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CHAPITRE I :
GENERALITES SUR L’ECLAIRAGE PUBLIC
L’éclairage public joue un rôle important dans les projets d’aménagement des
communes, des villes, des routes, etc. Cependant, il s'agit avant tout d'une mesure
visant à accroître la sécurité des espaces publics, que cela soit dans les zones de
circulation ou dans les zones de détente et de récréation. Ce pourquoi, nous avons
voulu commencer par traiter quelques notions fondamentales liées à l’éclairage public
dans ce chapitre.
Mais avant de faire un aperçu sur l’éclairage public, il est aussi impérieux de
rappeler quelques notions des bases sur la photométrie
I.1. NOTION DE BASE SUR LA PHOTOMETRIE
I.1.1. Introduction
La production de la lumière est expliquée par le principe de BORH énoncer
telle que : Un électron tourne autour du noyau d’un atome à un niveau d’énergie 1,
reçoit une énergie venant de l’extérieur de l’atome, il va passer au niveau supérieur
(niveau 2) où il sera instable et il finira par céder l’énergie gagner sous forme de la
lumière afin de regagner son niveau initial. Ainsi, nous pouvons déduire la valeur de
cette énergie par l’expression ci-dessous :
𝑊 = ℎ. 𝑓 (𝐼 − 1)
𝐶
Or 𝑓=𝜆 (𝐼 − 2)
Avec :
- f : la fréquence en Hertz (Hz)
𝑑
I= (𝐼 − 4)
𝑑
Avec, : L'angle solide s’exprime en stéradian (sr), il est défini comme le quotient de de la
surface par le carré du rayon
𝑆 4𝜋𝑅 2
= = = 4𝜋 (𝐼 − 5)
𝑅2 𝑅2
I.1.2.3. Éclairement
L’éclairement est la quantité de flux lumineux reçu en un point d’une surface.
𝑭𝒊𝒈𝒖𝒓𝒆 𝑰 − 𝟑 ∶ 𝑬𝒄𝒍𝒂𝒊𝒓𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕
Remarque
1) Si a direction principale d’émission est parallèle à la normale à la surface :
I.1.2.4.Luminance
La luminance d’une source est le rapport entre l’intensité lumineuse
émise dans une direction et la surface apparente de la source lumineuse dans la
direction considérée. La luminance s’exprime en candela par mètre carré
(cd/m2).
𝑭𝒊𝒈𝒖𝒓𝒆 𝑰 − 𝟔 ∶ 𝑳𝒖𝒎𝒊𝒏𝒂𝒏𝒄𝒆
dI
L= (𝐼 − 9)
dS × cosα
La luminance est la seule grandeur réellement perçue par l’œil humain qui
reçoit des valeurs de luminance allant d’un millième de cd/m2 à 100 000 cd/m2. C’est
ce que perçoit l’œil qui observe une surface éclairée.
I.2.1. DEFINITION
L’éclairage public est l’ensemble de moyens d’éclairage mis en œuvre dans
l’espace public, à l’intérieur et à l’extérieur des villes, très généralement en bordures
des voiries et places, nécessaires à la sécurité ou l’agrément de l’homme.
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L’objectif de l’installation : Est-ce qu’il s’agit d’un réseau d’éclairage d’une route
principale, de voiries de quartiers résidentiels, des zones industrielles, des
zones piétonnes, des zones des récréations et de détente, de l’illumination
d’ambiance des bâtiments publics ou des œuvres d’art, etc.
La taille du réseau, c’est-à-dire le nombre approximatif de lampadaires à
installer et la taille de la zone d’intervention
Les spécificités de la zone d’intervention, c’est-à-dire la densité de
l’agglomération, la largeur des voiries, la présence d’une végétation dense, etc.
L’existence d’un réseau d’alimentation en électricité ou d’un ancien réseau
d’éclairage public dans la zone d’intervention
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Notons :
- la réglementation en vigueur sur l’éclairage public demande la gestion
automatique de l’allumage et de l’extinction des réseaux d’éclairage public. Il
demande également l’inclusion d’une marge de sécurité permettant une
extension future du réseau.
- La conception de l’éclairage public doit être adoptée aux espaces et aux édifices
auxquels elle est destinée. Le type d’équipement est déterminé en fonction de
la nature du projet. L’objectif n’est pas d’offrir de la lumière uniquement dans
un but sécuritaire mais de créer une ambiance nocturne agréable donnant une
nouvelle vision des ouvrages et approche des espaces.
2. Désavantages
Nécessité de raccordement au réseau public d’électricité
Solution coûteuse avec des équipements spécialisés
Nécessité de consulter un(e) spécialiste / Implication obligatoire de la S.N.EL
Nécessité de remplacer les batteries tous les 10 à 15 ans (en fonction de la
qualité)
Maintenance intensive: Nettoyage régulier des panneaux solaires
Risque de vol des installations exposées (panneaux solaires)
3. Cas d’utilisation
Réseau sur les sites pourvus d’un réseau public (S.N.EL) ou présence d’un
groupe électrogène
Sites sensibles par rapport à la sécurité (par exemple routes principales, parc
municipal de la commune, zones industrielles)
I.5.4. Système 4 : Réseau public (moyenne tension)
1. Avantages
Pas de risque d’interruption en cas de manque de soleil
Faible en maintenance
Pas de nécessité de remplacer périodiquement des équipements coûteux
4 Possibilité de réaliser des grands réseaux
2. Désavantages
Frais de fonctionnement très élevé /Paiement régulier des factures d’électricité
Implication obligatoire de la S.N.EL
Risque d’électrocution ou d’incendie en cas de câblage exposé près des
bâtiments (réseau moyenne tension)
3. Cas d’utilisation
Réseau de moyen et grande taille pourvu d’un réseau public d’électricité (par
exemple : agglomérations principales, zones industrielles)
Sites sensibles par rapport à la sécurité
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Type défilé : la distribution est assez concentrée, ce qui élimine tout risque
d’éblouissement, ils conviennent pour les sources ponctuelles telles que les
lampes à vapeur de sodium haute pression, lampe à vapeur de mercure ou
lampe à halogénures métalliques.
Type semi-défilé : la distribution est plus évasée; ils sont utilisés pour les
sources de grandes dimensions telles que lampes à vapeur de sodium basse
pression ou tubes fluorescents.
c. Supports pour luminaires
En effet, les supports pour luminaires utilisés à l’éclairage public tiennent
compte deux types de contraintes pour leur choix du modèle, à savoir: le poids du
luminaire, et l’action du vent.
On distingue donc :
- Consoles ou crosses
- les candélabres
2. Les candélabres
Ils ont des hauteurs moyennes (8 à 15m) et sont généralement en acier
galvanisé; ce qui garantit une protection très efficace contre la corrosion.
Ils sont munis d’une porte de visite permettant l’accès à une platine portant
les bornes de raccordement, les fusibles et l’appareillage auxiliaire (ballast, amorceur).
Les candélabres sont les supports les plus utilisés, ils ont de section octogonale
comportant un fut creux et un embout ou crosse tubulaire où s’emboîte le luminaire.
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Notons :
- Les lampes VSHP ne sont pas munies d'électrodes d'allumage en raison du petit
diamètre du tube à arc.
- Le tube à arc est fait en céramique capable de supporter des hautes
températures (1300 °C) et résister aux effets corrosifs du sodium chaud.
b. Le fonctionnement
Le ballast fournit une impulsion à haute tension (2500 V) d'une microseconde
pour allumer la lampe. Cette pointe de haute tension amorce l'arc de xénon entre les
électrodes principales. Le mercure et le sodium, se vaporisant alors rapidement,
maintiennent l'arc. Le temps de préchauffage dure de trois à quatre minutes. La durée
de rallumage est d'environ une minute ce qui constitue la plus courte durée de
rallumage de toutes les lampes à décharge.
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d. Durée de vie
Elle est de 24 000 heures pour la plupart des lampes VSHP.
e. Couleur
La lumière des lampes VSHP est habituellement décrite comme une lumière
de couleur or blanc. Les lampes VSHP sont disponibles dans des versions transparente
ou opalisée. Les lampes à couleur améliorée fonctionnant sous des pressions accrues
offrent un meilleur rendu des couleurs, mais aux dépens de la durée de vie de la lampe
et de l'efficacité lumineuse.
f. Efficacité lumineuse
- Les lampes VSHP sont la source la plus efficace de lumière or blanc.
- Les lampes VSHP sont plus efficaces que les lampes HM, mais moins efficaces
que les lampes à vapeur de sodium à basse pression (VSBP).
- L'efficacité lumineuse varie de 50 à 140 lumens par watt.
- L'efficacité lumineuse augmente avec la puissance de la lampe.
1) Interrupteur crépusculaires.
Ils sont soit intégrés dans les équipements (par exemple un régulateur), soit il
s’agit d’unités autonomes. Un éclairage commandé par interrupteur crépusculaire
permet de façon automatique de déclencher l'extinction et l'allumage de l'éclairage
public en fonction de la lumière du jour.
Ils sont alimentés, soit en basse tension 220/380 v par réseau indépendant (ou
commun aux abonnés quand la chute de tension due aux lampes reste inférieure à 1%
de la tension nominale), soit en moyenne tension 6600 v pour des distances et
puissances plus élevées.
Pour y greffer les luminaires, ce qui n’assure d’ailleurs pas forcement les
conditions d’uniformité de luminance.
Dès que la puissance à installer atteint 30kw, il est conseillé d’utiliser un réseau
M.T. 6,6KV avec transformateurs abaisseurs par foyer ou groupe de foyers. Les
principaux avantages sont alors :
a. Distribution
Elle peut être effectuée de trois manières : monophasé 220v, triphasé étoile
220/380v ou le triangle 220V.
Il est à noter que pour une distribution en étoile Yn , le neutre est parcouru par
le courant d’une lampe sur le tiers de sa longueur, par la somme de 2 courants sur un
autre tiers, et par la somme NULLE de trois courants sur le dernier tiers, tout au moins
en concerne les termes fondamentaux des courants et en supposant que le nombre de
lampes soit multiple de 3.
b. Implantation
Lors d’implantation en antennes, on veille à ce que le transformateur soit au
centre géométrique de l’installation pour diminuer les chutes de tension aux
extrémités ou réduire les sections des câbles.
c. Poste de transformation
Le choix de la puissance d’un transformateur dépend :
De la puissance absorbée par les liminaires,
Des intensités consommées durant l’amorçage : 1,5 à 2 fois les valeurs
nominales durant les premières minutes (il faut donc un allumage fractionné),
De l’extension possible du réseau.
Il doit en outre présenter toutes les sécurités et protections usuelles en travail
sous moyenne tension. Les armoires de commande comportent, outre les différentes
protections, mises à la terre et compteurs d’énergie, un système de télécommande à
l’allumage et à l’extinction :
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I.9. Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons essayé de parler de quelques notions
fondamentales liées à l’éclairage public, tout en présentant les deux types de lampes
favorables pour les réseaux d’éclairage public, grâce à leur puissance, leur faible
consommation d’électricité, leur efficacité et leur longévité, à savoir : Les lampes à
vapeur de sodium haute pression et les LED.
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II.1. INTRODUCTION
Pour défendre de la manière rationnelle la consommation ou de dépense de
l’argent sur l’énergie électrique, il y a lieu de comprendre les trois concepts suivants :
b) économiser
C’est l’art de mettre des côtés de l’argent de manière de constituer son capital,
dans l’autre sens, c’est aussi l’art d’utiliser rationnellement son argent ou son potentiel
de manière à éviter un gaspillage inutile.
c) économie de l’énergie
Il s’agit d’utiliser rationnellement l’énergie produite de manière à éviter au
maximum les pertes dues au transite et les pertes dues à la mauvaise gestion de
l’homme pendant la facturation
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d) Balance commerciale
C’est la différence entre l’argent mis en jeu et le revenu relatif
C’est la différence entre le revenu et les capitaux mis en jeux positif c’est-à-dire
les revenus dépassent les capitaux.
f) Balance déficitaire
C’est la différence entre les revenus et les capitaux mis en jeux négatif c’est-à-
dire les revenus dépassent les capitaux.
g) énergie utile
Il s’agit de l’énergie réellement consommé par des abonnées
h) énergie produite
Il s’agit de l’énergie réellement produite par les différentes centrales d’un
système électro-énergétique.
Noté : Ceci est à la base de freinage des beaucoup de sociétés nationales d’électricité
dans les pays du tiers monde.
l) Le kilowattheure
Il s’agit de l’énergie consommée pendant une heure par une charge de
puissance 1kw.
m) Le cout du kilowattheure
C’est la valeur fixée par l’autorité de régulation de l’énergie électrique comme
unité de mesure de la consommation énergétique, elle dépend de la source énergétique
primaire ainsi que le milieu.
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n) Facture énergétique
C’est la valeur où l’argent qu’il faut payer pour une consommation mensuelle
de l’énergie électrique. Elle est calculée souvent en deux volets :
- Si cos 𝜑 > 0,95 : dans ce cas la facture est réalisée uniquement en fonction de la
puissance active consommer par l’abonné P en KW
- Si cos 𝜑 < 0,95 : Dans ce cas la facture est réalisée en fonction de la puissance
active en P en KW et la puissance réactive Q en KVAR ; dans ce cas l’argent
supplémentaire ainsi de Q est appelé pénalité.
Noté : Pour certaines sociétés des ventes de l’énergie électrique, si le cos 𝜑 > 0,95 ; Il
calcul l’énergie réactive Q et l’argent qui s’y rattache ; alors cet argent est considéré
comme bonus pour l’abonné, par conséquent il sera soustrait dans la facture qui
devrait normalement payer de manière à encourager l’abonné à maintenir son facteur
de puissance au-delà de 0,95.
Dans ce cas l’ingénieur doit proposer les solutions pour que les affaires marchent « CE QUI
EST LE CAS POUR CE TRAVAIL »
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Avant d’aller plus loin, nous allons ici commencer par rappeler certaines notions
connues afin de mieux préciser leur utilisation dans la suite. Il s’agit principalement des
paramètres ci-après :
- Facteur de puissance
- Facteur énergétique de la puissance réactive
- Facteurs d’utilisation des pertes et de la charge
a) Facteur de puissance
Soit, tout circuit électrique à courant alternatif, la puissance absorbée est le produit
des valeurs instantanées de la chute de tension aux bornes de circuit et du courant qui le
parcourt. Cette puissance est donnée par l’expression :
De cette relation, l’angle 𝜑 est positif si le courant est en retard sur la tension, et négatif si le
courant est en avance sur la tension. Il est démontré que la valeur moyenne de cette puissance
vaut :
𝑉𝑚𝑎𝑥 𝐼𝑚𝑎𝑥
𝑃= cos 𝜑
2
= 𝑉𝑒𝑓𝑓 𝐼𝑒𝑓𝑓 cos 𝜑
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= 𝑆 cos 𝜑 (𝐼𝐼 − 2)
𝑄 = 𝑆 sin 𝜑 (𝐼𝐼 − 3)
𝑄 𝑋
Il vient que 𝑡𝑔 𝜑 = 𝑃 = 𝑅
Lorsque les lignes de transport n’étaient pas longues l’effet du déphasage ne croit pas
des problèmes. Les alternateurs des aucunes centrales, qui généralement n’étaient pas très
éloignés des centres de consommation travaillaient avec un facteur de puissance qui
envoisinait l’infini, produisant ainsi : non seulement la puissance active mais également la
puissance réactive pour ressembler du réseau en dépit des pertes que conçoit le transit de cette
puissance réactive d’une centrale jusqu’au consommateur.
Pour obtenir ces facteurs, il est nécessaire de produire la puissance réactive non dans
des centrales, mais dans les voisinages immédiats des centres de consommation.
Les sources de la puissance réactive à injecteur dans les réseaux sont le plus souvent
les batteries de condensateurs dans compensateur statiques ou compensateurs synchrones qui
sont des machines synchrones nécessaires qui se comportent comme condensateur
fournissent de la puissance réactive.
b) Facteur énergétique
Soit un circuit triphasé équilibré dont la représentation unifilaire est donnée par une
impédance. 𝑍 = 𝑅 + 𝑗𝑋
R X
Les pertes de puissance active dans un tel circuit sont données par :
𝑃𝑝 = 3𝐼 2 𝑅
2
𝑆
= 3𝑅 (( ))
√3𝑈
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𝑅
= (𝑃2 + 𝑄 2 )
𝑈2
𝑅𝑃2 𝑅𝑄 2
= + 2
𝑈2 𝑈
= 𝑃′𝑝 + 𝑃′′ 𝑝 (𝐼𝐼 − 4)
Les pertes de puissance active dans un circuit donné comportent deux composantes
dont l’une 𝑃′𝑝 est déterminée par transit de la puissance active et l’autre 𝑃′ ′𝑝 est déterminée
par la transite de la puissance réactive.
∆𝑃′′ 𝑝 = 𝐾𝑒 ∆𝑄 (𝐼𝐼 − 6)
c) Facteur d’utilisation
Nous avons vu dans le paragraphe précèdent que les pertes de puissance active sont
données par :
𝑃𝑝 = 3𝑅𝐼 2 (𝐼𝐼 − 8)
Comme le courant 𝐼 peut-être variable dans le temps les pertes d’énergie seront données par :
𝑡2
𝐸𝑃 = ∫ 𝑃𝑝 𝑑𝑡
𝑡1
𝑡2
= 3𝑅 ∫ 𝐼 2 𝑑𝑡
𝑡1
𝑡0
1
= 3𝑅𝐼 2 𝑚𝑎𝑥 . ∫ 𝐼 2 𝑑𝑡
𝐼 2 𝑚𝑎𝑥 0
𝑃2 𝑚𝑎𝑥 𝑙
= 3𝑅𝐼 2 𝑚𝑎𝑥 𝜁 = 2 2
. 𝜁 (𝐼𝐼 − 9)
𝑈 𝑐𝑜𝑠 𝜑 𝛾𝑠
Pertes maximales
Est la durée équivalente des pertes sous
courant maximum aussi appelé durée
d’utilisation des pertes maximum
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𝑡0
1
𝜁= ∫ 𝐼 2 𝑑𝑡 (𝐼𝐼 − 10)
𝐼 2 𝑚𝑎𝑥 0
Les pertes d’énergie peuvent s’exprimer en deux façons différentes suivantes que l’on
considère constant la tension ou le facteur de puissance
𝑃𝑝𝑚𝑎𝑥 𝑇 2
𝐸𝑝 = ∫ 𝑆 𝑑𝑡
𝑆 2 𝑚𝑎𝑥 0
𝑃𝑝𝑚𝑎𝑥 𝑇 2
= ∫ 𝑃 𝑑𝑡 (𝐼𝐼 − 12)
𝑃2 𝑚𝑎𝑥 0
1 1 𝑇2
𝜁 ≃ 𝑇+ (𝐼𝐼 − 15)
3 3 𝑇0
On appelle facteur d’utilisation de la charge 𝐾𝑇 le rapport entre 𝑇 𝑒𝑡 𝑇0 ,
𝑇
𝐾𝑇 = (𝐼𝐼 − 16)
𝑇0
𝑒𝑡 le facteur d’utilisation des pertes 𝐾𝜁 est le rapport entre 𝜁 𝑒𝑡 𝑇0
𝜁
𝐾𝜁 = (𝐼𝐼 − 17)
𝑇0
Partant de la relation des pertes d’énergie
𝐸𝑃 = 3𝑅𝐼 2 𝑚𝑎𝑥 𝜁
𝑃2 𝑚𝑎𝑥 𝑙
= 2 2
. 𝜁 (𝐼𝐼 − 18)
𝑈 𝑐𝑜𝑠 𝜑 𝛾𝑠
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Dans un réseau donné pour diminuer les pertes, les points d’alimentation devant se
trouver en l’encontre d’équilibre des charges
.
𝑭𝒊𝒈𝒖𝒓𝒆 𝑰𝑰 − 𝟐 ∶ 𝑨𝒍𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 é𝒄𝒐𝒏𝒐𝒎𝒊𝒒𝒖𝒆
𝑉 = 𝑆1 𝑙1 + 𝑆2 𝑙2 (𝐼𝐼 − 19)
La longueur totale :
𝑙 = 𝑙1 + 𝑙2 (𝐼𝐼 − 20)
Comme la puissance :
Et en passant
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1
𝑡= (𝐼𝐼 − 25)
√3𝑈∆𝑈𝑚𝑎𝑥 𝛾
On a
(𝑃1 𝑙 21 ) (𝑃1 (𝑙 − 𝑙1 )2 )
𝑉= + (𝐼𝐼 − 26)
cos 𝜑1 cos 𝜑2
Le minimum du volume de conducteur par rapport a une longueur d’une branche est
obtenue pour :
𝑑𝑉
=0 (𝐼𝐼 − 27)
𝑑𝑙1
C’est-à-dire :
𝑆1 𝑙1 − 𝑆2 (𝑙 − 𝐿1 ) = 0
𝑆1 𝑙1 = 𝑆1 𝑙1 (𝐼𝐼 − 28)
II.6.1.1. Pertes d’énergie dans le réseau de transport
Les pertes ohmique sont dans les lignes de transport un des facteurs du choix de la
section des conducteurs le terme densité économique du courant exprime la charge optimale
du conducteur de point de vue des pertes et des frais de construction de la charge. Soient les
frais de construction de la ligne par une longueur unitaire (y par 𝐾𝑚 de ligne)
𝐾𝑙 = 𝐴 + 𝐵𝑆 (𝐼𝐼 − 29)
- La constante A est indépendante de la section, elle exprime coût de l’installation du
conducteur
- Le terme 𝐵𝑆 exprime le coût du conducteur fonction de la section S
𝐾 = 𝑎𝐾𝑒 + 𝐾𝑃 𝑃𝑃𝑚𝑎𝑥 + 𝐾𝑒 𝐸𝑃
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3𝐼2 𝑚𝑎𝑥
= 𝑎(𝐴 + 𝐵𝑆 ) + (𝐾𝑃 + 𝐾𝑐 𝜁) 𝛾1
(𝐼𝐼 − 33)
En effet,
𝜕𝐾 3𝐼 2 𝑚𝑎𝑥
= 𝑎𝐵 − (𝐾𝑃 + 𝐾𝑐 𝜁) =0 (𝐼𝐼 − 34)
𝜕1 𝛾𝑠1
La section économique vaut alors :
√3(𝐾𝑃 + 𝐾𝑐 𝜁)
𝑠𝑒𝑐 = 𝐼𝑚𝑎𝑥 (𝐼𝐼 − 35)
𝑎𝐵𝛾
La densité économique du courant par mm2 vaut :
𝐼𝑚𝑎𝑥 𝑎𝐵𝛾
𝐽𝑒𝑐 = =√ (𝐼𝐼 − 36)
𝑠𝑒𝑐 3(𝐾𝑃 + 𝐾𝑐 𝜁)
Pertes d’énergie dans les réseaux de distribution sont importantes, nous n’allons pas
les calculer parce que les chutes de tension sont directement liées à ces pertes et elles sont plus
faciles à mesurer que les pertes d’énergie.
Pour les lignes de distribution, il n’est d’une part nécessaire d’établir les sections
économiques et de calculer les pertes d’énergie : leur section est déterminée sur base des
contraintes de la chute de tension et de l’échauffement des conducteurs.
Dans une ligne en basse tension, en mettant la réactance inductive on peut écrire :
Δ𝑈 RP √3𝑈𝐼𝑚𝑎𝑥 cos 𝜑 𝑅
= 2=
U 𝑈 𝑈2
𝑃𝑃 3𝐼 2 𝑚𝑎𝑥 𝑅
=
𝑃 √3𝑈𝐼𝑚𝑎𝑥 cos 𝜑
D’où
𝑃𝑃
𝑃 = 𝑃𝑃 [𝑃𝑢] = 1 (𝐼𝐼 − 37)
Δ𝑈 Δ𝑈[𝑃𝑢] 𝑐𝑜𝑠 2 𝜑
U
On constate donc que pour un facteur de puissance donné la chute de tension relative
représente la valeur du produit des pertes relatives par le carré du facteur de puissance.
Les pertes d’énergie peuvent être calculées de deux manières différentes.
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a) charge constante
Dans le cas, le courant est constant et les pertes d’énergie durant un temps 𝑡 vallent :
On sait que :
𝑃2 𝑚𝑎𝑥 𝑙
𝐸𝑃 = 2 2
. 𝜁
𝑈 𝑐𝑜𝑠 𝜑 𝛾𝑠
𝑃2 𝑚𝑎𝑥 𝑇 2 𝑙
= 2 2 2
. 𝜁
𝑈 𝑐𝑜𝑠 𝜑𝑇 𝛾𝑠
𝐸2 𝑙 𝜁
=
𝑈 𝑐𝑜𝑠 𝜑 𝛾𝑠 𝑇 2
2 2
D’où
𝐸1 𝐸 𝑙 𝜁
= 2 (𝐼𝐼 − 39)
𝐸 𝑈 𝑐𝑜𝑠 𝜑 𝛾𝑠 𝑇 2
2
On voit que les pertes relatives d’énergie diminuent quand la durée d’utilisation de la
puissance maximale augmente.
𝐸1 𝐸𝑙 1 1 2 𝑇2
= 2 ( 𝑇 + )
𝐸 𝑈 𝑐𝑜𝑠 2 𝜑𝛾𝑠 𝑇 2 2 3 𝑇0
𝐸𝑙 1 𝑃𝑚𝑎𝑥
= 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝐸 =
𝑈 2 𝑐𝑜𝑠 2 𝜑𝛾𝑠 𝑇0 𝑇
𝑃𝑚𝑎𝑥 𝑙
= (𝐼𝐼 − 40)
𝑈 2 𝑐𝑜𝑠 2 𝜑𝛾𝑠
II.6.1.1. Pertes d’énergie dans le transfo
Nous savons que le schéma équivalent d’un transformateur est un schéma artificiel
du faite que l’on remplace le couplage magnétique par un couplage électrique
- La résistance longitudinale R
- La réactance longitudinale X
- La conductance transversale G
- La suscepetance transversale B
Dans les réseaux de transport, le schéma en gamme est plus fréquemment utilisé ;
bien que l’on recoure parfois au schéma en T
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Dans le schéma en gamma (T) l’admittance trouvée est concentrée aux bornes d’un
enroulement qui ordinairement est l’enroulement d’alimentation.
Pour des tensions qui ne dépassent pas 30 KV et aussi pour les calculs de court-circuit,
on utilise un schéma équivalent du transformateur ne comporte que l’impédance
longitudinale dans laquelle pour les calculs des courant de court-circuit, on met la résistance.
A. Effet joules
Sont issues de l’échauffement des conducteurs et des appareillages lors du passage
du courant électrique. Pour un système électro énergétique, les pertes joules sont liées au
transite de l’énergie d’abord, les pertes dues à la résistance constituent aussi les pertes joules
mais secondaires.
Il s’agit des pertes joules telle que connues depuis longtemps, comme dans la ligne
triphasé on aura :
𝑃𝑗 = 3𝐼 2 𝑒 (1)
𝑃
𝐼𝑒 = (2)
√3𝑈𝑒 cos 𝜑
(2) – (1) montre que :
2
𝑃
𝑃𝑗 = 3 ( )
√3𝑈𝑒 cos 𝜑
𝑃2
=3
3𝑈 2 𝑒 cos 2 𝜑
𝑃2
=
𝑈 2 𝑒 cos2 𝜑
𝑃2 1
=( 2 ) 2 (𝐼𝐼 − 41)
cos 𝜑 𝑈 𝑒
𝑃2
Or 𝑃 𝑒𝑡 cos 𝜑 sont de constants, on pose cos2 𝜑 = 𝐾 on aura
𝐾
𝑃𝑗 = (𝐼𝐼 − 42)
𝑈2𝑒
Donc les pertes joules dépendent du carré de la tension, si la tension augmente se
pertes tendent vers zéro donc on doit préférer les lignes haute tension pour réduire au
maximum ses pertes joules.
- Aux énergies P et Q transité ; et par conséquent ces pertes traduisent les chutes de
tension absolue et relative au niveau de transport, cela ne se démontre pas.
B. Chute de tension
Chutes des tensions composées sont données par les expressions suivantes :
Δ𝑈 𝑅𝑃2 + 𝑋𝑄2
=
U 𝑈22
𝛿𝑈 𝑅𝑃2 + 𝑋𝑄2
= (𝐼𝐼 − 43)
U 𝑈22
L’examen 𝑸𝑪 la composante ∆𝑽 de la chute de tension
Δ𝑈 𝑋𝑄2
≃ 2 (𝐼𝐼 − 45)
U𝐿 𝑈 2
I.6.3. TECHNIQUE DE REDUCTION DES PERTES TECHNIQUE
Nous rappelons que l’on entend par pertes non techniques toutes les pertes absorbées
par l’entreprise dans son processus commercial à partir du moment où une consommation
d’électricité a lieu, en passent par sa facturation exacte jusqu’à son parfait paiement au compte
de l’entreprise et écoutant a une réduction du revenir auquel aurait théoriquement droit
l’entreprise.
Il impose de noter cependant que les entreprises les plus saines parviennent à réduire
au minimum les pertes dans les trois variables de base du modèle théorique ci haut. Il est
également important de souligner qu’aucune entreprise n’atteint la perfection du modèle
théorique, parce que les couts pour y parvenir dépassent la marge bénéficiaire des revenus
qu’ils permettent de retirer.
Pour y parvenir, il faudra cependant que l’entreprise d’électricité puisse d’une bonne
maîtrise de son processus commercial et des pertes non-techniques qui y sont associées.
Nous verrons dans la suite de ce texte la nature et les méthodes de détection des pertes
non techniques ainsi que les moyens pour arriver à les réduire et les contrôles dans le
processus commercial de vente d’électricité.
P a g e | 39
En conformité avec le schéma du modèle théorique, on peut identifier les pertes non
techniques en trois classes qui correspondent ainsi aux trois variables de base. On aura ainsi :
Les causes des pertes de facturation sont multiples, nous nous limiterons ici à donner
un tableau des pertes de facturation courantes les plus importantes.
Il y a d’abord les soldes de facture qui ne seront jamais acquittés par le client, on parle
alors des pertes de créances gestion des comptes à revoir.
Les principales causes des pertes imputables à ces deux éléments sont :
- Factures impayées
- Facture no-livrée au client ;
- Incapacité de payer de l’abonné
- Mode de recouvrement inadéquat
- Mauvaise gestion des comptes à recevoir
- Gestion inefficace des rencaissements
- Vol de recettes ;
- Perte de recettes ;
- Encaissements non appliqués
Dans le paragraphe précédent, nous venons de voir les principales causes des pertes
non-techniques. La plupart d’autre elles devraient être facilement décelables dans le cours
normal des actives, cela grâce à un processus opérationnel bien organisé et contrôlé.
Dans ce paragraphe nous voir quelques mesures supplémentaires qui peuvent être
mises en place pour détecter et mesurer l’ampleur des pertes non-techniques.
Il est bien évident que cette conciliation doit tenir compte des diverses pertes
techniques reliées au réseau et comparer le résultat avec ceux obtenues par d’autres entreprises
du même types.
Il faut systématiquement voir où ce que l’inventaire des compteurs soit tenir à faire
et qu’en tout temps, il soit possible de localiser les appareils, qu’ils soient installés chez les
clients, entreposés au magasin ou en réparation à l’atelier
- La vérification industrielle : Est une vérification spécifique où un client est visité suite
à une irrégularité ou une particularité rencontrée dans le processus normal des
opérations.
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Dans le domaine des pertes non-techniques, il est important de se rappeler en règle générale,
une entreprise d’électricité perd beaucoup plus de revenus par sa propre faute, c’est-à-dire à
caisse de faiblesses inhérentes aux procédures et systèmes de gestion commerciale en place
qu’à cause de froides et de vols de la parte de ses clients.
Pour réduire au maximum ses pertes non-techniques une entreprise d’électricité bien
gérée doit donc en tout premier lieu, s’assurer qu’elle est dotée d’une infrastructure
commerciale. La base de cette infrastructure repose sur un système de gestion permettant de
prendre en charge d’une façon efficace, l’ensemble du processus commercial.
Une réduction significative des pertes non-techniques doit donc débuter en priorité
par l’optimisation de l’infrastructure commerciale avant tout autre programme de réduction.
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A titre d’exemple on peut dire qu’un programme massif de dépistage des abonnées
clandestins ou des investissements substantiels dans un parc d’appareils de mesure plus
sophistiqués est voies d’avance à l’échec, si l’entreprise n’a pas, en aire de cette chaine, une
infrastructure bien rodée lui permettant de prendre avantage des retombées de ces
paragraphes.
Nous allons dans la suite analyser quelques thèmes qui encourent à la réduction et
au contrôle des pertes non-techniques à savoir :
Signature de contrat doivent être bien contrôlées, car le contrat est donnent de base
qui servira pour la facturation. Les contrats présentent certaines particularités suivant qu’il
s’agit des abonnés haute tension ou abonnés basse tension.
- Les contrat Haute tension Ont deux impactes importants dans l’entreprise, ils exigent
l’installation des appareils de transformation (TI, TP) cet de mesures (Kw, KVAR, Kwh,
cos 𝜑) plus complexes d’une part et, les données transposées au dossier, il est
souhaitable que les entreprise d’électricité aient à leur disposition des
inspecteurs/vérificateurs responsables de vérifier le respect rigoureux des termes on
contrats HT.
- En basse tension, Alors que généralement les petites entreprises d’électricité faut
signer un contrat individuel à tous leurs clients, les grandes sociétés d’électricité
s’appuient plutôt sur un document légal soit un règlement tarifaire ou un ensemble de
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règles normalisés, régissant les conditions de vente et faisant foi du contrat collectif
pour les petits clients.
CREATION DU DOSSIER-CLIENT
Les gestes commerciaux posés lors de la création du dossier-client est une séquence
pour les revenus futurs d’une société d’électricité du fait que toute inexactitude ou omission
lors de l’enregistrement des données de base peut se traduire par une facturation erronée par
la suite un bon dossier-client doit comprendre l’ensemble des données de base permettant de
connaitre l’abonné, de situer le local (installation client) desservir, de connaitre l’emplacement
et les caractéristiques des appareils de mesures er comptage et d’avoir l’essentiel clients par
fins de facturation. Ces données de bases doivent également refléter les fidèlement possible la
situation réelle.
Il est impératif que toute installation alimentée par une entreprise d’électricité soit
enregistrée dans les dossiers du fournisseur.
En revanche, tout retard dans l’ouverture d’un dossier de facturation crée des
potentiels de perte pour l’entreprise, d’enregistrement des nouvelles installations.
EVOLUTION DU DOSSIER-CLIENT
Par mesure, le dossier-client est évolutif, c’est-à-dire que son évolution dans le temps
est très dynamique. Une fois créées les informations de base du dossier sont sujettes à des
fréquents changements.
La mise à jour du dossier-client doit donc être effectuée avec rigueur, afin d’éviter que
l’information se dénature les transactions de mise à jour en deux types :
- Les transactions d’ordre monétaires qui sont les changements des informations de base
ayant trait à ces transactions monétaires doivent être une préoccupation permanente
de l’entreprise parce qu’elles affectent directement les revenus. Elles modifient
généralement les ventes courantes et antérieures, les taxes et frais divers,
l’encaissement et le montant du dépôt.
- Les transactions no-monétaires qui constituent les modifications à apporter aux
éléments d’information l’entreprise puisse répondre à toutes les questions qui peuvent
survenir.
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La mesure de l’électricité est souvent négligée par les gestionnaires parce qu’ils
considèrent souvent à total, cette la mesure demeure la seule façon de déterminer la
consommation d’énergie afin d’établir la facture exacte du client. Sa précision et son efficacité
ont un effet direct sur la santé financière même de l’entreprise.
Il y a trois principes de base à respecter afin d’obtenir une mesure précise des
consommations d’électricité et de minimiser les consommations non autorisées, il s’agit de :
Il est important de noter que l’activité de lecture des compteurs est d’importance stratégique
pour l’entreprise d’électricité parce que tout système de facturation prend source au relevé de
compteur et parce que la lecture de compteurs représente le point de contact privilégié et
régulier de l’entreprise avec la chacun ses clients. Une partie importante des pertes non-
techniques ont leur origine ou peuvent être décelées lors de la lecture des compteurs.
Un système de lecture des compteurs repose sur une planification des activités et une
organisation des tournées de relevés de bien structurée qui permettent d’obtenir une efficacité
maximale du processus de relevés de compteurs lui-même.
Il ne faut pas non plus négliger le rôle du releveur des compteurs qui représente un
des postes clés dans le processus d’obtention des revenus de l’entreprise.
Pour les encaissements, on sait que lorsqu’un abonné paie sa facture d’électricité, il ne
produit deux faits dans le processus interne de l’entreprise :
- Une rentrée de fonds correspondant au paiement
- L’application d’un crédit au compte client approprié
Il existe des règles de conciliation des paiements reçus dans la journée et les dépôts
effectués afin d’éviter des fraudes.
Le recouvrement est une activité commerciale qui vise à obtenir quittance des comptes
échus non payés par les abonnés et à effectuer une gestion efficace des comptes clients.
Les entreprises devraient être capables de produire une infirmation de gestion valable
à partir des comptes à recevoir et de procéder aux actions prioritaires en matière de
recouvrement. Cette information de gestion est un des éléments de contrôle les plus
importants pour la direction d’une société d’électricité afin de juger de la bonne situation
financière de l’entreprise.
Dès qu’un compte est en souffrance, il est susceptible de subir des mesures de
recouvrement adoptés par l’entreprise doit être progressive, c’est-à-dire devenir de plus en
plus agressive au fur et à mesure de l’accumulation des comptes impayés c’est-à-dire être plus
rapide dans la progression pour les clients à risque, dont le crédit et les habitudes de paiements
sont douteuses.
Compte tenu de l’impact que les pertes non-techniques ont sur la rentabilité et les
projets de l’entreprise, il est parfaitement justifié et souhaitable qu’une unité dont la mission
est spécifiquement en détection des pertes soit créée à l’intérieur des entreprises d’électricité.
De plus, pour qu’un programme de réduction des pertes soit plus efficace, celui-ci
peut être rattaché à une unité opérationnelle distincte dont la mission serait la recherche et la
détection des pertes ainsi que la correction des irrégularités relevées. Dans la structure
organisationnelle, cette unité peut être rattachée au plus haut niveau de l’entreprise et être
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hiérarchiquement indépendante des différents chefs d’unités. Ceci lui confère une complète
autonomie et liberté d’action et évite des interventions susceptibles d’entraver la réalisation
de sa mission.
L’entreprise doit don avoir une stratégie bien établie lui permettant de faire face à ces
situations. Un support juridique et légal en matière de vol, des incitatifs pour réduire, des
méthodes de traitement et de suivi des cas découverts et un code d’éthique pour les personnes
de l’entreprise font partie de l’arsenal d’une bonne stratégie en matière de vol et de fraude.
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Et par là nous avons en toutes les conditions qui régies un système électro énergétique
pour sa mise en œuvre de manière normalisée.
- Si 𝐸𝑟 < 𝐸𝑎 : alors l’écart entre l’énergie réactive et l’énergie active sera bonification de
b$/kVArh, cette caractéristique Si 𝐸𝑟 < 𝐸𝑎 seuil correspondant ainsi à un facteur de
puissance limite. Dans l’exemple du graphe ci-avant Si 𝐸𝑎 seuil = 5𝐸𝑎 ce qui
correspond à un facteur de puissance limite de 9 cos 𝜑𝑙𝑖𝑚 = 9
- Si 𝐸𝑎 seuil ≤ 𝐸𝑟 ≤ 𝐸𝑎 , il n’y a une pénalité sur la bonification. On est dans une zone
pour laquelle l’entreprise d’électricité tolère le niveau de consommation de l’énergie
réactive par rapport à l’énergie active.
Solution
A. PAS DE B. COMPENSATION C. COMPENSATION
COMPENSATION TELLE QUE 𝐸𝑟 > 𝐸𝑎 TELLE QUE 𝐸𝑟 = 𝐸𝑎 𝑡𝑔𝜑
1. Energie active charge 22 500 22 500 22 500
𝐸𝑎 [𝑘𝑊ℎ/𝑚𝑜𝑖𝑠]
2. Energie réactive ch. 26 305 26 305 26 305
𝐸𝑟,𝑐ℎ = 𝐸𝑎 𝑡𝑔𝜑
3. Energie réactive tot. 26 305 22 500 10 897
𝐸𝑟 = 𝐸𝑎 𝑡𝑔𝜑′
4. Energie réactive comp. 0 - 3 805 - 15 408
𝐸𝑟,𝑐𝑜𝑚𝑝 = 𝐸𝑟 𝐸𝑟,𝑐ℎ
5. Ecart 3 805 0 - 11 603
∆𝐸 = 𝐸𝑟 − 𝐸𝑎
6. Pénalité 989 - -
𝑃 = 𝑝∆𝐸
7. Bonification - - - 1508
𝐵 = 𝑏∆𝐸
8. Puissance du conden 0 15. 22 61.63
𝑄𝑐 = 𝐸𝑟,𝑐𝑜𝑚𝑝 /𝑇
9. Coût $/mois 0 1065 43.14
𝐶 = 𝑎𝑘𝑄𝑐 /12
10. Dépense mensuelles 989 1065 2806
𝐷 = 𝑝∆𝐸 + 𝑏∆𝐸 + 𝐶
2’ Déphasage après 𝐶𝑂𝑆 −1 . 65 𝑡𝑔−1 1 𝐶𝑂𝑆 −1 . 9
compensation 𝜑′ 𝐶𝑂𝑆 −1 . 707
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Normalement les lampes utilisées en éclairage public ce sont des lampes comme
toutes les lampes elles doivent être facturée en fonction du coup du kilowattheure, en fonction
de l’énergie électrique consommée, en fonction de la durée d’utilisation et voir en dessous de
seuil fixé.
Mais en pratique on constate que selon les différents types de politiques nationales
des différents pays :
- Il y a des pays qui respect ce procédure normale de facturation comme la France où les
Etats unis.
- Il y a des pays qui exonèrent les coups du kilowattheure pour ses lampes par exemple
la Russie.
- il y a des pays qui respectent la procédure mais écarte la pénalité pour ses lampes par
exemple les pays de l’Afrique du nord dont la Tunisie et l’Egypte, les pays de
moyennes orient dont l’Arabie saoudite et les émirats Arabies.
- Les pays qui exemptent totalement ses lampes à la paie des factures de l’énergie
consommée.
Ce qui est une grosse erreur cas dans le secteur énergétique qui est à la fois, très
technique et très économique, tout doivent être gérée de manière rationnelle pour permettre à
la société nationale de l’électricité d’optimiser sa balance commerciale à la fin d’être complétive
face à la conséquence, et surtout sur le secteur d’électricité libéraliser ce qui est le cas de la
RDC.
Par conséquent c’est à l’hôtel de ville de Kinshasa de payer toutes les factures de
l’énergie électrique lier à l’éclairage public, car avec libéralisation de ce secteur, il finira par
contacter d’autres fournisseurs que la S.N.EL pour alimenter ces réseaux de l’éclairage public
dans les jours avenir ;
Alors pour le réveiller, on fera un programme qui permettra d’évaluer le manque à
gagner causé par la gratuité actuelle à l’aide du programme qu’on doit devoir élaborer dans
la suite de ce travail ainsi que de toutes les données reçues.
III.4. Elaboration des algorithmes de facturation des lampes utilisé en éclairage public
On sait que qu’u algorithme c’est un enchaînement logique des actions liées une
opération donnée, telle que la facturation ; il est à signaler qu’il est indépendant de langage de
programmation car il s’adapte à tout langage, mais du moins il peut appuyer les syntaxes
provenant des provenant des programme les plus fondamentaux dont le visuel basic qu’on a
vu en deuxième graduat c’est alors qu’on va l’utiliser les syntaxes telle que :
- CLS pour nettoyer l’écran
- Début pour commencer l’algorithme
- Fin pour clôturer l’algorithme où séquence donnée où un boucle donnée
- INPUT pour introduire une donnée
- SQRT pour la racine carrée (√ )
- Tant que ……... faire
- Répéter …………….jusqu’à ce que
- Si………………alors
- Pour 𝑖 allant ……………. Faire……..
- Etc……………
P a g e | 52
0. CLS
10. DEBUT
115. SI LES LAMPES DU TYPE 2 c’est-à-dire LAMPE A DECHARGE aller à la ligne 120 ;
SINON ALLER A 190
170. 𝐶𝐿2 = 𝑃2 × 𝑇2 × 𝐶2 + 𝑄2 × 𝑇2 × 𝐶2 𝑒𝑛 $
190. Si les lampes sont du type trois (3) c.-à-d. à VAPEUR DE SODIUM HP, aller à la ligne 200,
sinon
𝐶𝐿3 = 𝑃3 × 𝑇3 × 𝐶3 𝑒𝑛 $
SI NON, ALLER A 250
250. Calculer
𝐶𝐿3 = 𝑃3 × 𝑇3 × 𝐶3 + 𝑄3 × 𝑇3 × 𝐶3 𝑒𝑛 $
265. Si les lampes sont du type trois (4) c.-à-d. LED, aller à la ligne 270
𝐶𝐿4 = 𝑃4 × 𝑇4 × 𝐶4 𝑒𝑛 $
SI NON, ALLER A 320
320. Calculer
P a g e | 54
𝐶𝐿4 = 𝑃4 × 𝑇4 × 𝐶4 + 𝑄4 × 𝑇4 × 𝐶4 𝑒𝑛 $
330. CALCULER 𝐶𝐿4𝑇 = 𝑁4 × 𝐶𝐿4
340. Afficher les coûts totaux calculés par ces types des lampes pour toute la ville de Kinshasa.
NB : Sachant qu’on a 4 principaux types de lampes dans la ville province de Kinshasa, les types
des lampes c’est-à-dire type 1, type 2, type 3, Type 4, ainsi que des nombres des
lampes𝑁1 , 𝑁2 , 𝑁3 , 𝑁4 ; Ces derniers peuvent être trouvé que on organise les données selon les
tableaux suivants :
350. FIN
1
https://www.usinenouvelle.com/expo/lampadaire-led-120w-mennessis-145in-w-p367229285.htm
2
https://www.ligthting.philips.fr/prof/luminaires-extérieurs/éclairage-routier-et-urbains/milewide2
P a g e | 55
Capture
a) Hypothèses : Si toutes les lampes étaient à vapeur de sodium à haute pression ou à vapeur
de sodium à basse pression
Les lampes ont les caractéristiques suivantes :
- Puissance
- Efficacité
- Tension nominale
- Flux lumineux
- Durée de vie
- Indice rendu de couleur
En analysons les résultats obtenus, on constate que les lampes à vapeur de sodium à
basse pression ont consommées 𝐸1 = 𝐾𝑤ℎ au total, ce qui fait une facture 𝐹1 = $
alors que les lampes LEDS ont consommée 𝐸2 = 𝐾𝑤ℎ ce qui fait une facture 𝐹2 = $
1. Sur le plan énergétique, on constate que les lampes LED permettent de réaliser une
économie ∆𝐸 = 𝐸1 − 𝐸2 𝐾𝑤ℎ = … … … . 𝐾𝑤ℎ
2. Sur le plan financier, on constate que les lampes LEDS permettent de réaliser une
économie de facturation de ∆𝐹 = 𝐹1 − 𝐹2 𝐾𝑤ℎ = … … … . 𝐾𝑤ℎ
Ce travail permet de montrer que le remplacement des anciennes par des nouvelles
lampes LED permet de réaliser, à l’échelle provinciale, des grandes économies en terme de
consommation d’énergie, et à la fois en terme de la facture à payer par l’hôtel des villes ; alors
les calculs à la main seraient longs, pénibles, durables et imprécis, alors ce programme est utile
dans la mesure où il remédie à tous ces inconvénients, en outre il peut faire la comparaison
avec quatre types de lampes différentes ; en plus il reste un standard qui peut être utilisé dans
toutes les villes où il y a encore présence des anciens types de lampes afin de les pousser vers
LEDS, ceci peut être un élément motivateur.
Les autres utilisations éventuelles peuvent être du côté des abonnés qui sont que des
gouvernements provinciaux qui peuvent les utiliser pour calculer les économies les réalisées
s’ils changent les anciennes lampes en LEDS, puis calculer eux-mêmes leurs factures estimées
qu’ils comparent avec celles données par la S.N.EL, afin de voir les écarts et décider ce qui est
juste.
LAMPES TYPE 1
NOMBRE PARTIEL
ARTER TRONÇON
PAR TRONÇON
AUCUNE LAMPE
TOTAL 𝑁1 0 0
LAMPES TYPE 2
NOMBRE PARTIEL
ARTER TRONÇON
PAR TRONÇON
ROUTE 2 : UPN – SELEMBAO
86 lampes
LIBERATION 4 km
TOTAL 𝑁2
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LAMPES TYPE 3
NOMBRE PARTIEL
ARTER TRONÇON
PAR TRONÇON
AUCUNE LAMPE
TOTAL 𝑁3
LAMPES TYPE 4
NOMBRE PARTIEL
ARTER TRONÇON
PAR TRONÇON
ROUTE 2 :
…………………………
Magasin- Gare centrale 3,5 Km - Coté chaussée : 300
lampes
30 Juin
- Coté trottoir : 300
lampes
- Coté chaussée : 481
lampes
By-pass Station échangeur – Station salongo 12 km - Coté chaussée : 481
lampes
10. DEBUT
90. FIN
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Ce travail a montré que les calculs des économies réalisées en utilisant les lampes
LEDS en lieu et place des anciennes lampes dont les lampes à incandescence, les lampes à
vapeur de mercure, les lampes à vapeur de sodium, nécessite l’utilisation d’un programme
surtout si l’espace du travail est une grande ville comme Kinshasa, celle offre les avantages
liés à la rapidité, et la précision, ensuite montre noir sur blanc les gains en énergie et les gains
en finance que offrent les LEDS.
En outre, ce programme reste à standard à utiliser dans toutes les provinces même les
villes étrangères où les anciennes lampes persistent encore de même, même les abonnées étant
les gouvernements provinciaux peuvent s’en servir pour estimer eux-mêmes de manière
objective, leurs factures d’éclairage public à comparer avec celles leurs fournies par le S.N.EL.
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CONCLUSION GENERALE
Ce travail dont le souci est de montrer de manière objective les économies réalisées
en changeant les lampes anciennes de l’éclairage public par les lampes LED à travers la
conception et l’implémentation d’un programme sous l’environnement MATLAB ; ne pouvait
se réaliser qu’en subdivisant objectivement ce travail en trois chapitres.
Au premier chapitre, on a évoqué les nations de l’éclairage public avec toutes leurs
spécificités techniques, au second on a évoqué les notions de base de l’économie de l’énergie
dont les paramètres de transit qui influent sur l’économie, ensuite les notions des pertes non
techniques qui réduisent le gaspillage ainsi que les notions de la facturation.
C’est alors qu’on est passée au troisième et au dernier chapitre où nous avons élaboré
nos algorithmes qu’on a implémenter sous forme des SCRIPTS ; alors après avoir collecté les
données sur les types de lampes utilisées en éclairage public sur la ville de Kinshasa et leurs
nombres respectifs, on a essayé le programme avec les lampes à vapeur de sodium ; puis avec
les lampes à LEDS, puis on a comparé les résultats.
Ce travail a montré que les calculs des économies réalisées en utilisant les lampes
LEDS en lieu et place des anciennes lampes dont les lampes à incandescence, les lampes à
vapeur de mercure, les lampes à vapeur de sodium, nécessite l’utilisation d’un programme
surtout si l’espace du travail est une grande ville comme Kinshasa, celle offre les avantages
liés à la rapidité, et la précision, ensuite montre noir sur blanc les gains en énergie et les gains
en finance que offrent les LEDS.
En outre, ce programme reste à standard à utiliser dans toutes les provinces même les
villes étrangères où les anciennes lampes persistent encore de même, même les abonnées étant
les gouvernements provinciaux peuvent s’en servir pour estimer eux-mêmes de manière
objective, leurs factures d’éclairage public à comparer avec celles leurs fournies par le S.N.EL.
Etant travail humain, il est loin d’être parfait, d’où vos remarques et suggestions sont
les bienvenues.
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BIBLIOGRAPHIE
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L’éclairage : notion de base et projets d’installation Patric Vande planque :
GE 02/147/C.
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économiques : Centre d'étude des tunnels (CETU), Octobre 2004.
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BIRHINGINGWA NTUMWA – Production de l’énergie, ISPT - Kin G3,
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P a g e | 62
C. WEBOGRAPHIE
http:// wwww.afe-eclairage.com.fr/Association française de l’éclairage
http://www.phillips.com
http://www.ellopro.fr
http://www.la-diege.fr
http: // www.eclairage-public-a-led.com
http://www.mbab-energie.com