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• Présenter la simplification 3D vers 2D ➡ 1D

• Rappeler des éléments manquants dans le modèle simplifié

• Présenter le triangle de vitesses

• Décrire le triangle normal et les triangles spéciaux

• Présenter les coefficients de charge, de débit et le degré de


réaction
3
Dans le machines axiales le fluide entre et sort avec une vitesse
principalement axiale.
Dans ces dispositifs le débit est important mais le gain (ou
l’inverse) en pression est faible. Pour cette raison, ont utilise
plusieurs étages pour traiter le gain (ou chute) en pression
Chaque étage comprend un rotor (mobile) et un stator (fixe)
Dans un compresseur, le fluide est d’abord accéléré dans le
rotor où il y a un échange d’énergie avec le fluide
Dans le stator on modifie la forme d’énergie: l’énergie cinétique
résiduelle du fluide est transformée en pression
Dans une turbine, le fluide à haute énergie est d’abord et
accéléré et guidé dans le stator pour l’ajuster aux exigences
géométriques est cinématiques du rotor
Par la suite, l’énergie cinétique de l’écoulement est transmise au
rotor en même temps qu’un changement de direction a lieu.
Ces procès sont répétés pour des étages consécutifs
À cause du mouvement du rotor par rapport au stator, deux types
de vitesses, relatives et absolues, seront présentes
C2

Machine axiale C2m Machine radiale


C2u
C2x


C1x
C1u
C1m
𝒓𝒓
𝜽𝜽

𝒛𝒛
Carter
Plan 𝑟𝑟 − 𝑧𝑧
Rayon moyen

𝒓𝒓 𝒓𝒓
Moyeu Plan 𝑟𝑟 − 𝑧𝑧
𝜃𝜃 = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐

Plan 𝑟𝑟 − 𝜃𝜃
𝑧𝑧 = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 Plan 𝑧𝑧 − 𝜃𝜃
𝑟𝑟 = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐

Vues d’un compresseur axial


𝑈𝑈 = 𝑟𝑟𝜔𝜔
Carter
C
Cm
Cx

Rm

Moyeu

X

⃗ 𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣𝑣 𝑑𝑑𝑑𝑑 𝑙𝑙 ′ é𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐


𝑐𝑐:
extrados
surface S1

intrados

𝑼𝑼 = 𝒓𝒓𝝎𝝎

𝝎𝝎
surface S2 Rayon moyen r

L’étude est réalisé sur la surface 𝑆𝑆1


surface S1

θ
𝑼𝑼 = 𝒓𝒓𝝎𝝎
x
Zone aubée
Rotor Stator

Rotor-Stator
Stator Rotor

Dans une turbomachine,


l’ensemble stator-rotor est
appelé étage.
W3
C1
1 U
C vitesse absolue de l’écoulement

C2
2 W2
W vitesse relative de l’écoulement U

U vitesse périphérique du rotor


3 W3
C3
U
➀ W1 C1

U
Rotor

➁ W2 C2

U
Stator


W3 C3

U
Stator Rotor

W
Stator
Stator

C2
U2

Rotor
Rotor

W3

U3
Stator
Stator

C2
W2
U2

RRotor
otor

C3 W3

U3
Effets 3D
Effets visqueux
Distribution de pression
Traînée, Portance
Écoulement instationnaire
Intéraction fuide structure
Turbulence
Extrados
L

Intrados
Profil isolé
Grille d’aubes
Approche classique

Pour analyser l’échange d’énergie entre le fluide et le rotor d’une


turbomachine, on utilise la variation de la quantité de
mouvement (changement de direction et/ou de vitesse)

L’étude classique unidimensionnelle utilise le concept de triangle


de vitesse. Ce modèle est appliqué à l’entrée et à la sortie du
canal inter-aube (grille d’aubes)

Dans celui-ci on retrouve la vitesse absolue, exprimée dans un


repère lié aux parties fixes (le stator), accompagnée de la
vitesse relative liée aux partie tournantes ( le rotor)
Approche classique

L’application du triangle de vitesse permet d’estimer:

• l’angle d’incidence à l’entrée du rotor

• l’angle au bord de fuite du rotor

• la déflection de l’écoulement dans le stator

• le travail produit ou consommé par la roue


C vitesse absolue de l’écoulement

W vitesse relative de l’écoulement

U vitesse périphérique du rotor

Cu , Cm , Cx composante tangentielle, radiale et axiale de la


vitesse absolue du fluide

Wu , Wm , Wx composante tangentielle, radiale et axiale de la


vitesse relative du fluide
α l’angle des vitesses absolues mesurées par rapport à la direction
axiale
β l’angle des vitesses relatives mesurées par rapport à la direction
axiale

La forme des pales du rotor dépend des angles 𝜷𝜷


(des vitesses relatives dans le repère du rotor)

La forme des pales du stator dépend des angles 𝜶𝜶


(des vitesses absolues dans le repère fixe)

Si l’on veut garder la vitesse axiale 𝒄𝒄𝒙𝒙 = 𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄. , l’équation de


conservation de la masse 𝒎𝒎̇ = 𝝆𝝆𝚨𝚨𝒄𝒄𝒙𝒙 = 𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄, impose 𝝆𝝆𝝆𝝆 = 𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄.
Compresseur

Cu

Cm

Cu

Plan méridional

Plan normal
BF
BA
C2
W2
U

W3
C3
U
Les vecteurs vitesse (vitesse absolue 𝒄𝒄 pour le stator et
relative 𝒘𝒘 pour le rotor) sont considérés tangents à la
ligne de squelette de l’aube

W2 β2

W3 β3
Pour les machines axiales (u= uent = usort ) le triangle
de vitesse donne lieu à des équations scalaires telles
que:

cu= wu+u
cx= = wx w c
cx= wx
wu U
cu
Pour les machines à étages multiples on suppose que la
vitesse axiale demeure constante. C’est à dire que:
𝒄𝒄𝟐𝟐𝒙𝒙 = 𝒄𝒄𝟑𝟑𝒙𝒙 = 𝒄𝒄𝒙𝒙 = 𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄.
Cette condition jumelée à: 𝑼𝑼𝟐𝟐 = 𝑼𝑼𝟑𝟑 = 𝑼𝑼 mène à l’hypothèse
d’une cinématique répétitive. En pratique:
Les triangles de vitesse à l’entrée et à la sortie d’un
étage peuvent être superposés
Nous commençons par la représentation de triangles de vitesses
pour le cas d’une turbine
Nous rappelons que par hypothèse le rayon ne varie pas dans le
plan inter-aube et que la vitesse axiale demeure constante dans
le sens axial
Ces conditions permettent d’effectuer la superposition des
triangles de vitesse au bord d’attaque et bord de fuite du rotor
avec la vitesse 𝑼𝑼 commune
Turbine
w1
c1

u

c2
➋ w2
u2

w3 c3

u

➀ ∆Cu= ∆Wu
U
➁ ➂
Stator Rotor
𝑈𝑈 = 𝑐𝑐𝑛𝑛𝑛𝑛𝑡𝑡𝑡𝑡. α2 α3
β2 C2 W3
𝑐𝑐𝑥𝑥 = 𝑐𝑐𝑛𝑛𝑛𝑛𝑡𝑡𝑡𝑡. β3 𝒄𝒄𝒙𝒙
𝛼𝛼3 = 𝛼𝛼1 W2 C3
𝑐𝑐3 = 𝑐𝑐1
U
Cinématique C2u C3u
répétitive
W2u W3u
Turbine

Stator Rotor
➀ ➁ ➂
𝑾𝑾𝟑𝟑

𝜷𝜷𝟑𝟑 𝑪𝑪𝟑𝟑 𝑼𝑼
𝑪𝑪𝟏𝟏 𝑾𝑾𝟐𝟐
𝜶𝜶𝟏𝟏 𝜷𝜷𝟐𝟐
𝜶𝜶𝟐𝟐 𝜶𝜶𝟑𝟑
𝑼𝑼
𝑪𝑪𝟐𝟐
Le cas du compresseur est similaire à celui d’une turbine:
Le rayon ne varie pas (l’étude se déroule dans le plan inter-
aube) et la vitesse axiale demeure constante dans le sens axial
Comme pour la turbine, nous pouvons superposer les triangles de
vitesse au bord d’attaque et bord de fuite du rotor
Compresseur
W1
C1

U


W2
C2
U


W3 C3
U
L’opération est vectorielle

𝑪𝑪𝟐𝟐𝒖𝒖 − 𝑪𝑪𝟏𝟏𝒖𝒖 =- 𝑾𝑾𝟐𝟐𝟐𝟐 − 𝑾𝑾𝟏𝟏𝟏𝟏 C1U


W2U

C2 W1
α2
β2 β1 α1 C
CX W2 1


U
➀ C2U

We =
/U ( C 2 u − C1u )

Compresseur

Rotor Stator
➀ ➁ ➂

𝑾𝑾𝟏𝟏

𝑼𝑼 𝑾𝑾𝟐𝟐
𝜷𝜷𝟏𝟏
𝜷𝜷𝟐𝟐
𝜶𝜶𝟏𝟏 𝜶𝜶𝟐𝟐 𝜶𝜶𝟑𝟑
𝑼𝑼 𝑪𝑪𝟑𝟑
𝑪𝑪𝟏𝟏
𝑪𝑪𝟐𝟐
Approche classique

Trois quantités fondamentales sont utilisées dans la


conception des turbomachines:

• le coefficient de charge ψ

• le coefficient de débit Φ

• le degré de réaction R
Coefficient de charge

We
Ψ= 2
U
Parfois ψ est considéré positif pour les turbines et négatif
pour les compresseurs. 𝑊𝑊𝑒𝑒 = 𝑊𝑊̇ ⁄𝑚𝑚̇
∆ℎ0
Coefficient de charge 𝜂𝜂𝑠𝑠 =
∆ℎ0𝑠𝑠
W Turbine
We =
m

We h02 − h01 ∆h0 η s ∆h0 s


ψ= =2
= 2 2
= 2
U U U U
Coefficient de débit

cx
Φ=
U
𝑚𝑚̇ = ρ𝐶𝐶𝑥𝑥 𝐴𝐴
Cx
Φ=
U

ρ RT Cx RT ρ C x RT  RT
RT m
Φ= = =
p U U p U Ap

𝛾𝛾+1

𝑅𝑅𝑇𝑇0 𝛾𝛾 − 1 2 2(𝛾𝛾−1)
𝑚𝑚̇ = 𝑀𝑀 𝛾𝛾 1 + 𝑀𝑀
𝑝𝑝0 𝐴𝐴 2
Approche classique

Afin de généraliser le triangle de vitesses d’une machine


axiale, on effectue une mise à l’échelle en divisant chaque
côté par la vitesse tangentielle U

Cette opération permettra de retrouver directement les


coefficients de charge ψ et de débit Φ

Par la suite, un nouveau paramètre R qu’on appelle degré


de réaction, sera introduit pour compléter la caractérisation
de l’aubage
L’opération est vectorielle

c3u - c2u= w3u - w2u

C2 W3
CX α2 β3 CX
β2 W2 C3 α3
U
W2u W3u

𝚿𝚿 = 𝑾𝑾𝒆𝒆 ⁄𝑼𝑼𝟐𝟐 = 𝑪𝑪𝟑𝟑𝒖𝒖 − 𝑪𝑪𝟐𝟐𝒖𝒖 ⁄𝑼𝑼


Turbine

α2 C2/U W3/U β3
β2 W2/U C3/U α3
1
c3u Ψ Ψ
2
Ψ
2
= R −1 + c3  c2 
U 2 = Φ +  R −1+ 
2
= Φ + 1 − R + 
2

U  2 U  2
c2u Ψ
=1 − R +
U 2
Ψ Ψ
2 2
w3  w2 
= Φ +R+ 
2
= Φ + − R
2

w3u c Ψ U  2 U 2 
=
1 − 3u = + R
U U 2
w2u c2u Ψ  R −1 + Ψ / 2   1− R + Ψ / 2 
=
1 −= = −R α 3 atan
=   α 2 atan  
U U 2  Φ   Φ 

 Ψ / 2+ R   Ψ / 2−R 
=β3 atan
=   β atan  
Φ Φ
2
   
Compresseur

W1/U
β2 α2 β1
W2/U α1 C1/U

C2/U
Les coefficients 𝚽𝚽 et 𝛙𝛙 ne suffisent pas pour définir de manière
univoque le triangle de vitesses
ψ ψ
C2/U W3/U
C2/U
Φ W3/U Φ
W2/U C3/U W2/U C3/U

1 1

Il faut définir un troisième paramètre pour différencier ces deux


triangles de vitesses ayant le même 𝚽𝚽 et le même 𝛙𝛙
Le degré de réaction est un paramètre adimensionnel qui
exprime la variation d’enthalpie subie par le fluide dans le rotor
par rapport à la chute totale d’enthalpie dans l’étage
Variation d ' enthalpie dans le rotor
R=
Variation d ' enthalpie dans l' étage


Stator

Rotor ❸

∆hrotor h3 − h2
=R =
∆hétage h3 − h1
R=0 machine d’action (Δhrotor=0, Δhétage=Δhstator)

R=1 machine à réaction (Δhstator=0, Δhétage=Δhrotor)

∆hrotor h3 − h2
=R =
∆hétage h3 − h1

R indique la répartition du saut d’enthalpie (de pression) statique entre


le stator et le rotor
Le degré de réaction R, défini en fonction de variables
thermodynamiques (l’enthalpie), peut aussi s’exprimer en fonction
de variables cinématiques présentes dans le triangle de vitesses.
Notamment en fonction de la vitesse périphérique U et des
composantes des vitesses absolues et relatives
 La vitesse absolue à l’entrée du stator est égale à celle à la
sortie du rotor (c1= c3 : étage répétitif )
ℎ3 − ℎ1 = ℎ3 + 𝑐𝑐32 ⁄2 − ℎ1 − 𝑐𝑐12 ⁄2 = ℎ03 − ℎ01 = 𝛥𝛥ℎ0

 On néglige les pertes et le transfert de chaleur dans le stator


𝒉𝒉𝟎𝟎𝟎𝟎 = 𝒉𝒉𝟎𝟎𝟐𝟐
1 2 3
ℎ03 − ℎ01 = ℎ03 − ℎ02 = 𝛥𝛥ℎ0(3−2)

ℎ03 − ℎ02 = ℎ3 − ℎ1 𝑐𝑐32 ⁄2 = 𝑐𝑐12 ⁄2


ℎ03 ℎ02
𝛥𝛥ℎ0(3−2) = (ℎ3 + 𝑐𝑐32 ⁄2) − (ℎ2 + 𝑐𝑐22 ⁄2�

ℎ3 − ℎ2 = 𝛥𝛥ℎ0(3−2) + 𝑐𝑐22 ⁄2 − 𝑐𝑐32 ⁄2

∆hrotor h3 − h2 ∆h0( 3−2 ) + c22 / 2 − c32 / 2


=R = =
∆hétage h3 − h1 ∆h0( 3−2 )

ℎ3 − ℎ2 = 𝛥𝛥ℎ0(3−2) + 𝑐𝑐22 ⁄2 − 𝑐𝑐32 ⁄2


(ℎ01 = ℎ02 , 𝑐𝑐1 = 𝑐𝑐3 )
𝛥𝛥ℎ0(3−2) + 𝑐𝑐22 ⁄2 − 𝑐𝑐32 ⁄2 𝑐𝑐32 ⁄2 − 𝑐𝑐22 ⁄2
𝑅𝑅 = =1−
𝛥𝛥ℎ0(3−2) 𝛥𝛥ℎ0(3−2)

∆h=
0(3− 2) U (c3u − c2u )

𝑐𝑐32 − 𝑐𝑐22
𝑅𝑅 = 1 −
2𝑈𝑈(𝑐𝑐3𝑢𝑢 − 𝑐𝑐2𝑢𝑢 )
𝑐𝑐32 − 𝑐𝑐22
𝑐𝑐 2 = 𝑐𝑐 𝑥𝑥2+𝑐𝑐𝑢𝑢2 𝑅𝑅 = 1 −
2𝑈𝑈(𝑐𝑐3𝑢𝑢 − 𝑐𝑐2𝑢𝑢 )
𝑐𝑐𝑥𝑥 = 𝑐𝑐2𝑥𝑥 = 𝑐𝑐3𝑥𝑥 = 𝑐𝑐𝑛𝑛𝑛𝑛𝑡𝑡𝑡𝑡
2 2
𝑐𝑐3𝑢𝑢 − 𝑐𝑐2𝑢𝑢
𝑅𝑅 = 1 −
2𝑈𝑈(𝑐𝑐3𝑢𝑢 − 𝑐𝑐2𝑢𝑢 )

c3u + c2u
R= 1−
2U
ℎ3 − ℎ2 𝑐𝑐3𝑢𝑢 + 𝑐𝑐2𝑢𝑢
𝑅𝑅 = =1−
ℎ3 − ℎ1 2𝑈𝑈

Indirectement l’équation pour R décrite en fonction de composantes


cinématiques établit un lien entre les angles d’entrée et de sortie
( équation justifiée plus tard lors de la rothalpie)

w22 w32
h2 + =h3 + Machine axiale U2 = U3 !
2 2
w32 w22
h2 − h3 = −
2 2

w32u + w32x w22u + w22x


h=
2 − h3 −
2 2
La composante axiale de la vitesse demeure constante w3x = w 2x
c2u – c3u= w2u - w3u
w32u w22u
h2 − h3 = −
2 2
( w3u − w2u )( w3u + w2u )
h2 − h3 =
2
∆hrotor h3 − h2 h3 − h2
=R = = Étage répétitif c3 = c1
∆hétage h3 − h1 h03 − h01

h03 − h01= U (c3u − c2u =


) U ( w3u − w2u )
Si les pertes dans le stator sont négligées
c2u – c3u= w2u - w3u

∆hrotor h3 − h2 h3 − h2
=R = =
∆hétage h3 − h1 h03 − h01
h03 − h01= U (c3u − c2u =
) U ( w3u − w2u )

( w3u − w2u )( w3u + w2u )


h3 − h2 =−
2
𝑤𝑤3𝑢𝑢 + 𝑤𝑤2𝑢𝑢
𝑅𝑅 = −
2𝑈𝑈
u32 − u22 c32 − c22 w32 − w22 ℎ2 − ℎ3 ℎ2 − ℎ3
We = + − Expliquée + tard 𝑅𝑅 = =
ℎ1 − ℎ3 ℎ02 − ℎ03
 2 2 
2
I II III Degré de réaction
c32 − c22
We = h03 − h02 = h3 − h2 +
2
h2 − h3 = (u22 − u32 ) / 2 − ( w22 − w32 ) / 2

(u22 − u32 ) − ( w22 − w32 ) −(𝑤𝑤22 − 𝑤𝑤32 )


R= 2 𝑅𝑅 = 2
(c2 − c32 ) + (u22 − u32 ) − ( w22 − w32 ) 𝑐𝑐2 − 𝑐𝑐32 ) − (𝑤𝑤22 − 𝑤𝑤32

U= u=
3 u2
ℎ3 − ℎ2
𝑅𝑅 =
ℎ3 − ℎ1
c3u + c2u
R= 1−
2U
( w3u + w2u )
R= −
2U

−(𝑤𝑤22 − 𝑤𝑤32 )
𝑅𝑅 = 2
𝑐𝑐2 − 𝑐𝑐32 ) − (𝑤𝑤22 − 𝑤𝑤32
Puisque le degré de réaction R, peut aussi s’exprimer en
fonction de variables cinématiques, on peut chercher sa
représentation dans le triangle adimensionnel de vitesses
Turbine

c2u – c3u= w2u - w3u

C2
α2 W3
β3 C3x
C2x
β2 W2 C3 α3
W2u U
C2u C3u

Ψ = 𝐶𝐶2𝑢𝑢 − 𝐶𝐶3𝑢𝑢 ⁄𝑈𝑈 𝑾𝑾𝟐𝟐𝒖𝒖 ⁄𝑼𝑼 = 𝐶𝐶2𝑢𝑢 ⁄𝑈𝑈 − 𝑈𝑈⁄𝑈𝑈= (𝑪𝑪𝟐𝟐𝒖𝒖 − 𝑪𝑪𝟑𝟑𝒖𝒖 )⁄2 𝑈𝑈 − 1 + (𝑪𝑪𝟐𝟐𝒖𝒖 + 𝑪𝑪𝟑𝟑𝒖𝒖 )⁄2 𝑈𝑈
𝑅𝑅 = 1 − (𝐶𝐶3𝑢𝑢 + 𝐶𝐶2𝑢𝑢 )⁄2 𝑈𝑈
Φ = 𝐶𝐶2𝑥𝑥 ⁄𝑈𝑈 = 𝐶𝐶3𝑥𝑥 ⁄𝑈𝑈 Ψ/2 −R
𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟐𝟐
𝑹𝑹 =
𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟏𝟏 ψ

Φ W3/U
α2 C2/U β3
β2 W2/U
α3
C3/U
1
ψ/2 -R ψ/2 +R-1

𝒄𝒄𝟑𝟑𝒖𝒖 + 𝒄𝒄𝟐𝟐𝒖𝒖 𝒄𝒄𝒙𝒙 𝑾𝑾𝒆𝒆


𝑹𝑹 = 𝟏𝟏 − 𝚽𝚽 = 𝚿𝚿 =
𝟐𝟐𝑼𝑼 𝑼𝑼 𝑼𝑼𝟐𝟐
𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟐𝟐
𝑹𝑹 =
𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟏𝟏
R- ψ/2 ψ 1-R-ψ/2

W1/U
Φ
β2 α2 β1
α2 C1/U
W2/U
C2/U

1
𝒄𝒄𝟑𝟑𝒖𝒖 + 𝒄𝒄𝟐𝟐𝒖𝒖 𝒄𝒄𝒙𝒙 𝑾𝑾𝒆𝒆
𝑹𝑹 = 𝟏𝟏 − 𝚽𝚽 = 𝚿𝚿 =
𝟐𝟐𝑼𝑼 𝑼𝑼 𝑼𝑼𝟐𝟐
Les représentations des triangles de vitesses adimensionnelles
sont très riches en information et contiennent plusieurs formules

Par exemple, pour un compresseur on déduit aisément que


𝜓𝜓 = 𝜙𝜙(tan𝛽𝛽1 − tan𝛽𝛽2 )
𝑊𝑊𝑒𝑒 𝑐𝑐𝑥𝑥
Avec 𝜓𝜓 = , Φ= , et que, pour 𝑐𝑐𝑝𝑝 = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐, 𝑊𝑊𝑒𝑒 = 𝑐𝑐𝑝𝑝 (𝑇𝑇02 −𝑇𝑇01 ),
𝑈𝑈 2 𝑈𝑈
on trouve:
𝑈𝑈𝑈𝑈𝑥𝑥
(𝑇𝑇02 −𝑇𝑇01 ) = (tan𝛽𝛽1 − tan𝛽𝛽2 )
𝑐𝑐𝑝𝑝
Alors, si l’on veut obtenir une plus grande variation de
température 𝑇𝑇02 − 𝑇𝑇01 , indirectement un plus grand rapport
(𝑝𝑝02 /𝑝𝑝01 ), on peut augmenter:

• la vitesse périphérique 𝑈𝑈 (la vitesse de rotation)


• la vitesse axiale 𝑐𝑐𝑥𝑥 (le débit massique)
• l’angle de déflection de la pale(tan𝛽𝛽1 − tan𝛽𝛽2 )
De manière similaire, à partir du triangle de vitesses on peut
trouver le degré de réaction décrit par

𝑅𝑅 = 𝜙𝜙(tan𝛽𝛽1 + tan𝛽𝛽2 )⁄2

On note que la variation adimensionnelle de température dans le


degré de réaction 𝑅𝑅 = (𝑇𝑇3 − 𝑇𝑇2 )⁄(𝑇𝑇3 −𝑇𝑇1 ) est aussi une fonction
des angles des pales!
C’est le temps de faire
un peu d’exercise
Pour un compresseur axial, on a les données suivantes:

Nétages=5 U= 313 m/s T01=293 K p01=0.1 Mpa


Ψ =0.393 R=0.5 ̇
𝒎𝒎=19kg/s Rg=287 J/kg K
γ=1.4 rext =0.339m rint =0.271m ηp =0.9
•Écrire l’ensemble d’équations qui vous permettrait de calculer T, p et ρ à
l’entrée 1 du compresseur. Est-il possible d’utiliser une forme abrégée
1 pour obtenir le même résultat ?
•Calculez la vitesse axiale et la puissance transmise au fluide
•Obtenez les angles α1,β1et β2
•Calculez le rendement ηtt (isentropique)
2
•Calculez les conditions T02 et p02 à la sortie 2

• Supposez p02 /p01=5 (pour l’ensemble des étages) . Vérifiez cette


3 hypothèse! Comme première approximation considérez c1x=c1≠0
Écrire l’ensemble d’équations qui vous permettrait de calculer T, p et ρ à l’entrée 1 du Nétages=5 U= 313 m/s
compresseur. Est-il possible d’utiliser une forme abrégée pour obtenir le même résultat ? T01=293 K p01=0.1 Mpa
Ψ =0.393
𝑚𝑚̇ 19
R=0.5
̇
𝒎𝒎=19kg/s
𝒄𝒄𝟏𝟏𝟏𝟏 = 𝒄𝒄𝟏𝟏 𝒄𝒄𝟏𝟏𝒙𝒙 = = γ=1.4
Rg=287 J/kg K

Hypothèse!
𝜌𝜌1 𝐴𝐴1 𝝆𝝆𝟏𝟏 𝜋𝜋(0.3392 − 0.2712 ) rint =0.271m
rext =0.339m
ηp =0.9

𝑝𝑝1 𝒑𝒑𝟏𝟏 T1 = 284 K


𝝆𝝆𝟏𝟏 = =
𝑅𝑅𝑇𝑇1 287 × 𝑻𝑻𝟏𝟏 p1 = 0.0897 MPa
𝑐𝑐12 𝒄𝒄𝟐𝟐𝟏𝟏 ρ1 = 1.1kg / m3
𝑻𝑻𝟏𝟏 = 𝑇𝑇01 − = 293 −
2𝑐𝑐𝑝𝑝 2 × 1004 c1x = 132.7 m / s
𝛾𝛾 1.4
𝑇𝑇1 𝛾𝛾−1 𝑻𝑻𝟏𝟏 0.4
𝒑𝒑𝟏𝟏 = 𝑝𝑝01 = 0.1 × 106
𝑇𝑇01 293
𝛾𝛾+1

𝑅𝑅𝑔𝑔 𝑇𝑇01 𝛾𝛾 − 1 𝟐𝟐 2(𝛾𝛾−1)
𝑚𝑚̇ = 𝑴𝑴 𝛾𝛾 1 + 𝑴𝑴
𝑝𝑝01 𝐴𝐴1 2
𝛾𝛾+1
− − γ +1
𝑅𝑅𝑇𝑇
RT01  𝛾𝛾γ −−1
1 22 2(𝛾𝛾−1 )
2( γ −1)
= 𝑀𝑀 𝛾𝛾γ 
11++
0
𝑚𝑚̇
m =M 𝑀𝑀
M 
𝑝𝑝010 𝐴𝐴1
P A  22

𝑇𝑇01 𝛾𝛾 − 1 2 T1 = 284 K
=1+ 𝑀𝑀
𝑇𝑇1 2 p1 = 0.0897 MPa
ρ1 = 1.1kg / m3 𝑐𝑐1𝑥𝑥 = 𝑐𝑐1
rext
𝒄𝒄𝟏𝟏𝟏𝟏 = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏. 𝟕𝟕𝟕𝟕/𝒔𝒔

rint
Nétages=5 U= 313 m/s
Calculez la puissance transmise au fluide T01=293 K p01=0.1 Mpa
Ψ =0.393 R=0.5
̇
𝒎𝒎=19kg/s Rg=287 J/kg K
γ=1.4 rext =0.339m
Le travail spécifique rint =0.271m ηp =0.9

𝑾𝑾𝒆𝒆 = 𝜓𝜓𝑈𝑈 2
2
𝑾𝑾𝒆𝒆 = 0.393 × 313
Il y a 5 étages Nétages=5

𝑾𝑾𝒆𝒆 = 0.393 × 313 2 × 𝟓𝟓 = 192509.1 𝑚𝑚⁄𝑠𝑠 2

𝟐𝟐
La puissance 𝑾𝑾𝒆𝒆 = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏. 𝟏𝟏 𝒎𝒎⁄𝒔𝒔
𝑾𝑾̇ = 𝒎𝒎𝑾𝑾
̇ 𝒆𝒆 = 𝟑𝟑. 𝟔𝟔𝟔𝟔𝟔𝟔𝑴𝑴𝑴𝑴
Calculez les angles 𝛼𝛼1 , 𝛽𝛽1 , 𝛽𝛽2 Nétages=5
T01=293 K
U= 313 m/s
p01=0.1 Mpa
Ψ =0.393 R=0.5
̇
𝒎𝒎=19kg/s Rg=287 J/kg K
γ=1.4 rext =0.339m
rint =0.271m ηp =0.9
Les angles 𝛼𝛼1 , 𝛽𝛽1 , 𝛽𝛽2

𝜓𝜓 = 𝜙𝜙(tan𝛽𝛽1 − tan𝛽𝛽2 )
R- ψ/2 ψ 1-R-ψ/2
𝑅𝑅 = 𝜙𝜙(tan𝛽𝛽1 + tan𝛽𝛽2 )⁄2
W1/U
W2/U α2 β1
𝒄𝒄𝟏𝟏𝟏𝟏 = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏. 𝟕𝟕𝟕𝟕/𝒔𝒔 φ
β2
α1
C1/U

C2/U
𝑐𝑐1𝑥𝑥 132.7 1
𝜙𝜙 = = = 0.424
𝑈𝑈 313

𝛟𝛟 = 𝟎𝟎. 𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒
Nétages=5 U= 313 m/s
T01=293 K p01=0.1 Mpa
Ψ =0.393 R=0.5
̇
𝒎𝒎=19kg/s Rg=287 J/kg K
γ=1.4 rext =0.339m
Les angles 𝛼𝛼1 , 𝛽𝛽1 , 𝛽𝛽2 rint =0.271m ηp =0.9

2𝑅𝑅 + 𝜓𝜓 2 × 0.5 + 0.393


tan𝛽𝛽1 = = = 1.63
2𝜙𝜙 2 × 0.424
β1 = 58.7 0 R- ψ/2 ψ 1-R-ψ/2

2𝑅𝑅 − 𝜓𝜓 2 × 0.5 − 0.393


tan𝛽𝛽2 = = = 0.715 W1/U
2𝜙𝜙 2 × 0.424 W2/U β2
α2 β1 C1/U
φ α1
β 2 = 35.580 C2/U
1
𝑅𝑅 = 0.5

α=
1 β=
2 35.580
Nétages=5 U= 313 m/s
T01=293 K p01=0.1 Mpa
Ψ =0.393 R=0.5
̇
𝒎𝒎=19kg/s Rg=287 J/kg K
γ=1.4 rext =0.339m
Les rendement total-à-total rint =0.271m ηp =0.9

�𝛾𝛾−1)⁄𝛾𝛾
𝑝𝑝02 ⁄𝑝𝑝01 −1
𝜂𝜂𝑡𝑡𝑡𝑡 =
(𝛾𝛾−1)⁄𝛾𝛾𝜼𝜼𝒑𝒑
𝑝𝑝02 ⁄𝑝𝑝01 −1

 (𝟓𝟓5 ) −1 
( 0.4 )/1.4

ηtt  =  0.875 𝜼𝜼𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟎𝟎. 𝟖𝟖𝟖𝟖𝟖𝟖


 ( 5) 
( 0.4 )/(1.4×0.9 )

 𝟓𝟓 − 1 

• Supposez p02 /p01=5 (pour l’ensemble des étages) . Vérifiez cette hypothèse!
Comme première approximation considérez c1x=c1≠0
Le valeur du rendement isentropique total-à-total 𝜼𝜼𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟎𝟎. 𝟖𝟖𝟖𝟖𝟖𝟖 a
été calculée sur la base d’un rapport de pression hypothétique
supposé égal à 5

On doit alors vérifier si ce résultat est cohérent par rapport à


l’ensemble de données et aux calculs réalisés.
Nétages=5 U= 313 m/s
T01=293 K p01=0.1 Mpa
Ψ =0.393 R=0.5
̇
𝒎𝒎=19kg/s Rg=287 J/kg K
γ=1.4 rext =0.339m

𝑊𝑊𝑒𝑒 = 𝑐𝑐𝑝𝑝 (𝑇𝑇02 − 𝑇𝑇01 � rint =0.271m ηp =0.9

h02 s − h01 T02 s − T01


=ηtt = = (c p cte)
h02 − h01 T02 − T01
(𝛾𝛾−1)⁄𝛾𝛾
 p  
( γ−1)/ γ 𝑇𝑇02s 𝑝𝑝02
=
 02
 − 1 𝑇𝑇01 𝑝𝑝01
 p01  
ηtt =
 p ( γ−1)/ γη pol  𝑇𝑇02 𝑝𝑝02
(𝛾𝛾−1)⁄𝛾𝛾𝜂𝜂𝑝𝑝
 02
 − 1 =
 p01   𝑇𝑇01 𝑝𝑝01
𝜼𝜼𝒑𝒑 = 𝟎𝟎. 𝟗𝟗
𝟐𝟐 Nétages=5 U= 313 m/s
𝑾𝑾𝒆𝒆 = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏. 𝟏𝟏 𝒎𝒎⁄𝒔𝒔
T01=293 K p01=0.1 Mpa
=
We c p (T02 − T01 ) 𝑻𝑻𝟎𝟎𝟎𝟎 = 𝟒𝟒𝟖𝟖𝟖𝟖. 𝟕𝟕𝑲𝑲 Ψ =0.393 R=0.5
̇
𝒎𝒎=19kg/s Rg=287 J/kg K
γ=1.4 rext =0.339m
rint =0.271m ηp =0.9

 T02 s − T01 
ηtt =  𝑻𝑻𝟎𝟎𝟎𝟎𝒔𝒔 = 𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒. 𝟏𝟏𝟏𝟏𝑲𝑲
 02
T − T 01 

𝜼𝜼𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟎𝟎. 𝟖𝟖𝟖𝟖𝟖𝟖

𝑝𝑝02 𝑻𝑻𝟎𝟎𝟎𝟎𝒔𝒔
𝛾𝛾⁄(𝛾𝛾−1)
460.12
1.4⁄0.4 𝑝𝑝02
= = = 4.84
𝑝𝑝01 𝑇𝑇01 293 𝑝𝑝01

(𝛾𝛾−1)⁄𝛾𝛾𝜂𝜂𝑝𝑝
𝑇𝑇02 𝑝𝑝02
= 𝑇𝑇02 = 483.3 K(vérification)
𝑇𝑇01 𝑝𝑝01
𝒄𝒄𝟏𝟏𝟏𝟏 = 𝒄𝒄𝟏𝟏
Hypothèse!

L’hypothèse 𝒄𝒄𝟏𝟏𝟏𝟏 = 𝒄𝒄𝟏𝟏 a permis d’effectuer un premier calcul des


variables. On doit cependant recalculer ces quantités en fonction
des résultats obtenus. Notamment
𝑐𝑐1𝑥𝑥 = 132.7𝑚𝑚/𝑠𝑠 α=
1 β=
2 35.580

𝑐𝑐1u = 𝑐𝑐1𝑥𝑥 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛼𝛼1 = 𝟗𝟗𝟗𝟗. 𝟗𝟗𝟗𝟗𝟗𝟗/𝒔𝒔

2 2
𝑐𝑐1 = 𝑐𝑐1𝑢𝑢 + 𝑐𝑐1𝑥𝑥 = 163.16 𝑚𝑚⁄𝑠𝑠

𝑐𝑐12 𝑐𝑐12
𝑻𝑻𝟏𝟏 = 𝑇𝑇01 − = 293 − = 𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐. 𝟕𝟕𝟕𝟕𝟕𝟕
2𝑐𝑐𝑝𝑝 2 × 1004
𝛾𝛾 1.4
𝑇𝑇1 𝛾𝛾−1
6
𝑇𝑇1 0.4
𝑝𝑝1 = 𝑝𝑝01 = 0.1 × 10 = 0.08503𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀
𝑇𝑇01 293
T1 = 284 K T1 = 279.74 K
𝑝𝑝1 𝑝𝑝1 p1 = 0.0897 MPa p1 = 0.08503MPa
𝜌𝜌1 = = = 1.059 𝑘𝑘𝑘𝑘⁄𝑚𝑚3
𝑅𝑅𝑇𝑇1 287 × 𝑇𝑇1 ρ1 = 1.1kg / m3 ρ1 = 1.059kg / m3
c1x = 132.7 m / s c1x = 163.16m / s
𝑚𝑚̇ 19
𝒄𝒄𝟏𝟏𝟏𝟏 = = = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏. 𝟓𝟓𝟓𝟓 𝒎𝒎⁄𝒔𝒔 𝑰𝑰 𝑰𝑰𝑰𝑰
𝜌𝜌1 𝐴𝐴1 𝜌𝜌1 𝜋𝜋(0.3392 − 0.2712 )

𝑐𝑐1𝑥𝑥 161.57 2𝑅𝑅 − 𝜓𝜓


𝜙𝜙 = = = 0.516 tan𝛽𝛽2 = 𝛽𝛽2 = 30.460 …etc.
𝑈𝑈 313 2𝜙𝜙
(𝛽𝛽2 = 35.58 1ère fois)
Pour une turbine axiale, on a les données suivantes:
Φ=0.8 n= 250 rps Tenv=1100 K penv=4 bar
̇
p01/p03=1.873 𝒎𝒎=20kg/s Rg=287 J/kg K α3=100
γ=1.33 U=340 m/s ΔT01-03=145 K ηtt =0.9

•Calculez ψ, β3, R ,β 2, α2, c2 ,Τ2 , p2, ρ2 et A2 (normale à cx)


1

•Calculez les surfaces annulaires (normales à cx ) aux sections 1, 2 et 3


•À l’aide de ces surfaces annulaires estimez la hauteur des aubes aux
2 sections 1, 2 et 3

• Considérez c p=cte= 1148 J/kg K


• Considérez les variables thermodynamiques de ‘‘l’environnement” comme
3 étant des quantités totales ou d’arrêt.
Image pour fins d’illustration. L’aubage correspond à celui d’un compresseur



Stator 1-2

Rotor 2-3

Marcelo Reggio
𝒑𝒑𝟎𝟎𝟎𝟎
= 𝟏𝟏. 𝟖𝟖𝟖𝟖𝟖𝟖
𝒑𝒑𝟎𝟎𝟎𝟎

U = 340 m/s

Chambre de
combustion


 = 20kg / s
m
Tenv = 1100K

Penv = 4 bar
 = 20kg / s
m
𝜟𝜟𝑻𝑻𝟎𝟎𝟎𝟎𝟎𝟎 = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝑲𝑲
Calculez ψ, β3, R ,β 2, α2, c2 ,Τ2 , p2, ρ2 et A2

Φ=0.8 n= 250 rps Tenv=1100 K penv=4 bar


̇
p01/p03= 1.873 𝒎𝒎=20kg/s Rg=287 J/kg K α3=100
γ=1.33 U=340 m/s ΔT01-03=145 K ηtt =0.9
c p=cte= 1148 J/kg K
𝑐𝑐𝑝𝑝 𝛥𝛥𝛥𝛥 1148 × 145
𝜓𝜓 = 2 = 3402
𝑈𝑈

𝝍𝝍 = 𝟏𝟏. 𝟒𝟒𝟒𝟒
ψ

φ α2 C2/U W3/U α3
β2 β3
W2/U C3/U
1
ψ/2 −R ψ/2 +R-1
1 1
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛼𝛼3 = 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛽𝛽3 − 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛽𝛽2 = 𝜓𝜓 − 2𝑅𝑅
𝜙𝜙 2𝜙𝜙
1 1
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛽𝛽3 = 𝜓𝜓 + 2𝑅𝑅 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛼𝛼2 = 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛽𝛽2 +
2𝜙𝜙 𝜙𝜙
Calculez ψ, β3, R ,β 2, α2, c2 ,Τ2 , p2, ρ2 et A2 Stator Rotor
Ψ

α2 C2/U W3/U
1 β3
φ

𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛼𝛼3 = 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛽𝛽3 − β2 W2/U C3/U α3 φ


𝜙𝜙 1
1 ψ/2 −R ψ/2 +R-1
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛽𝛽3 = 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡(10) + = 0.1763 + 1.25
0.8
Φ=0.8 n= 250 rps Tenv=1100 K
𝜷𝜷𝟑𝟑 = 𝟓𝟓𝟓𝟓. 𝟓𝟓𝟓𝟓𝟎𝟎 penv=4 bar ̇
p01/p03=1.873 𝒎𝒎=20kg/s
Rg=287 J/kg K α3=10 0 γ=1.33
U=340 m/s ΔT01-03=145 K ηtt =0.9
𝛙𝛙 = 𝟏𝟏. 𝟒𝟒𝟒𝟒
1
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛽𝛽3 = 𝜓𝜓 + 2𝑅𝑅 R
2𝜙𝜙
1
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛽𝛽2 = 𝜓𝜓 − 2𝑅𝑅 β2
2𝜙𝜙
1 α2
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛼𝛼2 = 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝛽𝛽2 +
𝜙𝜙
Calculez ψ, β3, R ,β 2, α2,| c2 ,Τ2 , p2, ρ2 et A2 Stator Rotor
Ψ
Hypothèse I T02 = T01
α2 C2/U W3/U
β3
φ
𝑐𝑐22 α3 φ
𝑇𝑇2 = 𝑇𝑇02 − β2 W2/U C3/U

2𝑐𝑐𝑝𝑝 1
ψ/2 −R ψ/2 +R-1

𝑐𝑐𝑥𝑥 𝜙𝜙𝑈𝑈
𝑐𝑐2 = = c2 𝑻𝑻𝟐𝟐
𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 𝛼𝛼2 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 𝛼𝛼2
Hypothèse II:
le processus 1-2 est
considéré isentropique
𝛾𝛾⁄(𝛾𝛾−1) 𝛾𝛾⁄(𝛾𝛾−1)
𝑝𝑝01 𝑇𝑇01 𝑇𝑇02 (sans pertes + adiabatique)
= = 𝒑𝒑𝟐𝟐
𝒑𝒑𝟐𝟐 𝑇𝑇2 𝑇𝑇2

Φ=0.8 n= 250 rps Tenv=1100 K penv=4 bar


p01/p03= 1.873 m=20kg/s Rg=287 J/kg K α3=100
γ=1.33 U=340 m/s ΔT01-03=145 K ηtt =0.9
Calculez ψ, β3, R ,β 2, α2, c2 ,Τ2 , p2, ρ2 et A2 (normale à cx)

p2 𝑚𝑚̇
ρ2 = 𝑨𝑨𝟐𝟐 =
RT2 𝜌𝜌2 𝑐𝑐2𝑥𝑥
?
 c1 x   φU 
= c1 =    ( c x = c1 x = c2 x = c3 x = φU )
α1 = α 3  cos α1   cos α1 
Rotor
Étage répétitif Stator
Ψ

𝑐𝑐12
𝑇𝑇1 = 𝑇𝑇01 − α2 C2/U W3/U
T1 φ β3
2𝑐𝑐𝑝𝑝 β2 W2/U C3/U α3 φ
1
ψ/2 −R ψ/2 +R-1

Φ=0.8 n= 250 rps Tenv=1100 K penv=4 bar


p01/p03= 1.873 ̇
𝒎𝒎=20kg/s Rg=287 J/kg K α3=100
γ=1.33 U=340 m/s ΔT01-03=145 K ηtt =0.9
Stator Rotor
même endroit Ψ

γ /( γ−1)
p1  T1  φ α2 C2/U W3/U
β3
=  p1 β2 W2/U C3/U α3 φ
p01  T01  1
ψ/2 −R ψ/2 +R-1

p
ρ1 = 1 ρ1
RT1
𝑚𝑚̇
𝑨𝑨𝟏𝟏 =
𝜌𝜌1 𝑐𝑐1𝑥𝑥

Φ=0.8 n= 250 rps Tenv=1100 K penv=4 bar


p01/p03= 1.873 ̇
𝒎𝒎=20kg/s Rg=287 J/kg K α3=100
γ=1.33 U=340 m/s ΔT01-03=145 K ηtt =0.9
Calculez les surfaces annulaires aux sections 1, 2 et 3, 3
Sortie 3

= T01 − ∆T013
T03 (∆T013 =
145 K )
c32
T=
3 T03 − 𝑐𝑐3 = 𝑐𝑐1
2c p
γ ) /( γ−1)
p03  T03  p01
= 1.873
p3 =  p03
p3  T3 
p 𝑚𝑚̇
ρ3 = 3 𝑨𝑨𝟑𝟑 =
RT3 𝜌𝜌3 𝑐𝑐𝑥𝑥

Φ=0.8 n= 250 rps Tenv=1100 K penv=4 bar


p01/p03= 1.873 ̇
𝒎𝒎=20kg/s Rg=287 J/kg K α3=100
γ=1.33 U=340 m/s ΔT01-03=145 K ηtt =0.9
Calculez la hauteur des aubes aux sections 1, 2 et 3

A ≈ 2πrm h
𝑛𝑛𝑛𝑛
ℎ=
𝑈𝑈
U = 2πrm n
Dans le domaine des turbomachines on a introduit un terme que
l’on peut associer à l’enthalpie totale décrite en fonction de la
vitesse relative. Cette nouvelle variable, désignée par rothalpie,
se conserve à travers le rotor.
Énergie h02 − h01
= (c2uU 2 − c1uU1 ) Euler

h02 − c2uU 2 =
h01 − c1uU1
1 2
h02 − c2uU 2 =h1 + c1 − c1uU1
2
ℎ0 − 𝑐𝑐𝑢𝑢 𝑈𝑈 : rothalpie Rth
1 2 1 2 1 2
Rth =h + c − cuU + U − U
2 2 2

h + ( c − 2cuU + U ) − U
1 2 1 2
= 2

2 2
1 2 1 2
h+ W − U
2 2
1
h0 w= h + W 2

2 
enthalpie de stagantion relative
𝑹𝑹𝒕𝒕𝒕𝒕 = ℎ 0−𝑐𝑐𝑢𝑢 𝑈𝑈
1 2 1 2
= ℎ + 𝑊𝑊 − 𝑈𝑈
2 2

La quantité Rth se conserve. Elle est désignée par rothalpie

La rothalpie correspond à la généralisation du cas


stationnaire(𝑈𝑈 = 0, 𝑊𝑊 = 𝐶𝐶) pour lequel l’enthalpie de stagnation
est conservée.
En général, l’enthalpie d’arrêt relative dans un repère mobile
𝒉𝒉 + 𝑾𝑾𝟐𝟐 ⁄𝟐𝟐 n’est pas une constante. Cependant, pour une
machine axiale 𝑼𝑼 = cnste. Dans ce cas, 𝒉𝒉 + 𝑾𝑾𝟐𝟐 ⁄𝟐𝟐=cnste!

1 2 1 2
𝑹𝑹𝒕𝒕𝒕𝒕 = ℎ + 𝑊𝑊 − 𝑈𝑈 = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐.
2 2

𝟏𝟏 𝟐𝟐 𝟏𝟏 𝟐𝟐
𝒉𝒉𝟐𝟐 + 𝑾𝑾𝟐𝟐 = 𝒉𝒉𝟑𝟑 + 𝑾𝑾𝟑𝟑
𝟐𝟐 𝟐𝟐
Trois valeurs particuliers du degré de réaction R sont à noter
R=0, toute variation de pression (d’enthalpie) a lieu dans le
stator. Le rotor simplement dévie l’écoulement

R=0.5, mène à un triangle de vitesse symétrique. La


variation de pression (d’enthalpie) est équirépartie entre le
rotor et le stator

R=1.0, toute variation de pression (d’enthalpie) a lieu dans


le rotor.
𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟐𝟐
𝑹𝑹 =
𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟏𝟏
R- ψ/2 ψ 1-R-ψ/2

W1/U
Φ
β2 α2 β1
α1 C1/U
W2/U
C2/U

1
𝒄𝒄𝟑𝟑𝒖𝒖 + 𝒄𝒄𝟐𝟐𝒖𝒖 𝒄𝒄𝒙𝒙 𝑾𝑾𝒆𝒆
𝑹𝑹 = 𝟏𝟏 − 𝚽𝚽 = 𝚿𝚿 = 𝟐𝟐
𝟐𝟐𝑼𝑼 𝑼𝑼 𝑼𝑼
𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟐𝟐
𝑹𝑹 =
𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟏𝟏 ψ

Φ W3/U
α2 C2/U β3
β2 W2/U
α3
C3/U
1
ψ/2 -R ψ/2 +R-1

𝒄𝒄𝟑𝟑𝒖𝒖 + 𝒄𝒄𝟐𝟐𝒖𝒖 𝒄𝒄𝒙𝒙 𝑾𝑾𝒆𝒆


𝑹𝑹 = 𝟏𝟏 − 𝚽𝚽 = 𝚿𝚿 = 𝟐𝟐
𝟐𝟐𝑼𝑼 𝑼𝑼 𝑼𝑼
La valeur du degré de réaction 𝐑𝐑 détermine des relations entre
les angles d’entrée et de sortie du rotor (𝛂𝛂, 𝛃𝛃) ainsi que des
relations particulières entre le coefficient de charge 𝚿𝚿 et de débit
𝚽𝚽 afin d’optimiser le transfert d’énergie entre le fluide en
mouvement et le rotor
Dans la suite, nous allons regarder trois cas spécifiques 𝐑𝐑 = 𝟎𝟎 ,
𝐑𝐑 = 𝟏𝟏/𝟐𝟐,et 𝐑𝐑 = 𝟏𝟏, pour le cas d’une turbine
α2 C2/U W3/U
β3
β2 W2/U C3/U α3
1
R=0 R=0
C2
β2 β3
W2 W3 C3
W2u U W3u
𝑊𝑊𝑒𝑒
𝛹𝛹 =
𝑈𝑈 2

α2

𝑊𝑊𝑒𝑒 = 𝑈𝑈(𝑐𝑐3𝑢𝑢 − 𝑐𝑐2𝑢𝑢 )

𝑊𝑊𝑒𝑒 = 𝑈𝑈(𝑐𝑐𝑥𝑥 tan𝛽𝛽3 + 𝑐𝑐𝑥𝑥 tan𝛽𝛽2 ) = 2𝑈𝑈𝑐𝑐𝑥𝑥 tan𝛽𝛽2 (𝛽𝛽2 = 𝛽𝛽3 )

𝑐𝑐𝑥𝑥 tan𝛽𝛽2 = 𝑐𝑐2 sin𝛼𝛼2 − 𝑈𝑈

𝑊𝑊𝑒𝑒 = 2𝑈𝑈(𝑐𝑐2 sin𝛼𝛼2 − 𝑈𝑈)


𝑊𝑊𝑒𝑒
Ψ=
𝑈𝑈 2

α2

𝑐𝑐2 𝑐𝑐𝑥𝑥
𝑊𝑊𝑒𝑒 = 2𝑈𝑈(𝑐𝑐2 sin𝛼𝛼2 − 𝑈𝑈) ψ=2 sin𝛼𝛼2 − 1 =2 tan𝛼𝛼2 − 1
𝑈𝑈 𝑈𝑈
∂𝑊𝑊𝑒𝑒
= 2𝑐𝑐2 sin 𝛼𝛼2 − 4𝑈𝑈 = 0
∂𝑈𝑈
𝒄𝒄𝟐𝟐 𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝜶𝜶𝟐𝟐
𝑼𝑼𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐 = 𝛙𝛙 = 𝟐𝟐 (𝛟𝛟 𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 𝜶𝜶𝟐𝟐 − 𝟏𝟏)
𝟐𝟐
α2 C2/U W3/U
β3
β2 W2/U α3
C3/U
1
R=1/2 R=1/2
C2 W3
W2 C3
W2u U W3u
𝑊𝑊𝑒𝑒
𝛹𝛹 =
𝑈𝑈 2

𝑊𝑊𝑒𝑒 = 𝜓𝜓𝑈𝑈 2 = 𝑈𝑈(𝑐𝑐2 sin 𝛼𝛼2 + 𝑤𝑤3 sin 𝛽𝛽3 − 𝑈𝑈�

𝑐𝑐2 sin 𝛼𝛼2 = 𝑤𝑤3 sin 𝛽𝛽3 (𝛼𝛼2 = 𝛽𝛽3 , 𝑐𝑐2 = 𝑤𝑤3 )
𝑐𝑐𝑥𝑥
𝑊𝑊𝑒𝑒 = 𝜓𝜓𝑈𝑈 2 = 𝑈𝑈(2𝑐𝑐2 sin𝛼𝛼2 − 𝑈𝑈) 𝝍𝝍 = 2 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡 𝛼𝛼2 − 1 = 𝟐𝟐 𝝓𝝓 𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 𝜶𝜶𝟐𝟐 − 𝟏𝟏
𝑈𝑈
∂𝑊𝑊𝑒𝑒
= 2𝑐𝑐2 sin 𝛼𝛼2 − 2𝑈𝑈 = 0 U opt = c2 sin α 2
∂𝑈𝑈
α2 C2/U W3/U
β3
β2 W2/U α3
C3/U
1
R=1
R=1
C2
α3
W2 W3 C3
W2u U W3u
=
We U (c3u − c2u )

=U (c3u + | c2u |) = 2Uc2 sin α 2


We c2 sin α 2 cx
ψ=
U 2
= 2
U
= 2
U
tan α 2 = 2 φ tan α 2 ψ = 2 φ tan α 2
R=0

R=0.5

R=1

𝜟𝜟𝒉𝒉𝒓𝒓𝒓𝒓𝒓𝒓𝒓𝒓𝒓𝒓 𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟐𝟐


𝑹𝑹 = =
𝜟𝜟𝒉𝒉é𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 𝒉𝒉𝟑𝟑 − 𝒉𝒉𝟏𝟏
∆hrotor
R=
∆hétage

Dans une machine d’action


l’énergie du fluide transmise au
rotor (en mode turbine) provient
d’une variation de l’énergie
cinétique

Lors du passage de l’écoulement


dans le rotor, la pression
(enthalpie) demeure constante.
Par contre, il y a un changement
de vitesse
∆hrotor
R=
∆hétage

Dans une machine à réaction la


pression (enthalpie) et la vitesse
varient dans le rotor. Ces
changements provoquent une
réaction dans les aubes qui
produissent(turbine) une puissance

Dans une machine hypothétique à


réaction pure (R=1), c’est
uniquement l’énergie de pression
qui change dans le rotor, tandis que
la variation d’énergie cinétique
demeure nulle
Pour un même débit, une variation de la charge modifie l’inclinaison de aubes
Pour une même charge, une variation du débit modifie l’inclinaison de aubes
Ψ=0.5 Ψ=1
Φ=0.5 Φ=1 Φ=0.5 Φ=1

R=0

R=0.5

R=1
L’étage répétitif n’est qu’une idéalisation. En réalité, ρ varie
d’un étage à l’autre
Pour compenser cette variation, on construit des roues avec
des diamètres différents
À venir:
Les machines radiales

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