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Contrôle non destructif par: Ressuage

Chapitre III

Contrôle non destructif par: Ressuage

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Origine de la méthode

➢ La technique du ressuage fut découverte à l'époque du chemin de fer à


vapeur par un mécanicien consciencieux qui entretenait régulièrement
sa locomotive.
➢ En nettoyant une des bielles de sa machine, il constata qu'après
essuyage une trace d'huile revenait toujours au même endroit.
➢ Il eut ensuite l'idée de recouvrir la bielle de poudre de craie après
l'avoir soigneusement essuyée.
➢ La trace d'huile réapparut, dessinant une ligne continue et bien nette
(appelée aujourd'hui « indication linéaire » dans le langage consacré
des contrôleurs par ressuage). Cette ligne révélait une crique de fatigue
(amorce de rupture) sur la bielle. L'inspection par ressuage était née !!!
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Contrôle non destructif par: Ressuage

Définition:
Le ressuage est une extension de l'inspection visuelle qui peut
s'appliquer sur tout matériau à l'exception de certaines fontes qui
présentent une surface poreuse.

C’est un terme qui désigne la sortie d’un fluide (liquide ou gaz) d’une
discontinuité dans laquelle ce fluide s’était précédemment accumulé au
cours d’une opération d’imprégnation.

L'essai de ressuage à pour but de révéler la présence de défauts


débouchant à la surface d'une pièce. Ces discontinuités ne peuvent
généralement pas être décelées par un simple examen visuel.

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Domaines d’application :
Ressuage: permet de détecter des discontinuités ouvertes et débouchant
en surface sur tous matériaux métalliques, sur de nombreux matériaux
minéraux (verre, céramiques) et également sur certains matériaux
organiques. Il est donc utilisé pour contrôler :

❖ Des pièces moulées ou forgées ;

❖ Des pièces mécaniques après rectification et/ou traitement


thermique ;

❖ Des pièces pré/post soudage ;

❖ Des produits laminés ou étirés en service.

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➢ Le champ d’application du ressuage est très vaste, car le procédé est


simple d’emploi et permet de détecter la plupart des défauts débouchant
en surface sur les matériaux métalliques non poreux, ainsi que sur les
autres matériaux, à condition toutefois qu’ils ne réagissent pas
chimiquement ou physiquement (adsorption) avec le pénétrant.

➢ Sa sensibilité est très bonne, puisqu’on peut estimer obtenir une


détection fiable de défauts de 80 μm de largeur pour 200 μm de
profondeur pour un ressuage coloré pratiqué en atelier sur une surface
usinée, alors que le ressuage fluorescent conduit dans les mêmes
conditions à une limite de détection de l’ordre de 1 μm en largeur pour
20 à 30 μm en profondeur.

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Le ressuage et les phénomènes de capillarité


Les mécanismes mis en jeu lors d'un contrôle par ressuage résultent donc
de plusieurs effets dont les principaux vont être succinctement énoncés et
illustrés.

La pénétration du liquide d'imprégnation dans les failles étroites et


profondes qui débouchent en surface de la matière résulte principalement
de la conjugaison de deux de ses caractéristiques qui sont sa mouillabilité
et ses propriétés capillaires. Lorsqu'une goutte de liquide est déposée sur
une surface plane, on observe une déformation de cette goutte comme
indiqué sur la figure suivante :

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Cette déformation est caractérisée par l'angle de raccordement Ө que font


les surfaces liquide et solide aux points d'intersection des deux milieux.
La mouillabilité s'exprime en fonction de la valeur de cet angle:
si Ө < 90° le liquide est mouillant (eau),
si Ө > 90° le liquide présente une faible mouillabilité (mercure).
La propriété qu'a un liquide tel que l'eau de s’étaler sur une surface plane
et lisse dépend des forces de cohésion qui agissent entre les molécules
de ce liquide, donc de sa tension superficielle a qui est la force par unité
de longueur sur la surface de ce liquide ( S en N. m-1 ).
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❖ Un liquide peut s’étaler de manières différentes à la surface d’un solide.


L’étalement peut être classé en deux catégories: Soit le liquide mouille
parfaitement ou partiellement.

❖ La grandeur qui distingue les 2 types de mouillage est le paramètre


d’étalement noté S, qui mesure la différence entre l’énergie de surface
du substrat (solide) sec et mouillé :

S= E substrat
sec −E substrat
mouillé

On peut également écrire en termes de tension de surface:

S =  S − ( SL +  L )
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Mouillage total: S > 0

( S > 0 alors γS > γSL+γL)


Le mouillage est dit total lorsque le liquide s’étale parfaitement sur le
substrat solide (angle de contact nul). L’état final est un film liquide qui
résulte de la compétition entre les forces moléculaires et capillaires.

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Mouillage partiel: S < 0


La goutte de liquide ne s’étale pas sur le substrat et formera une calotte
sphérique en faisant un angle de contact 𝜃 : angle de la tangente au point
triple (M) du profil d’une goutte déposée sur le substrat, avec la surface
du substrat)

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Loi de Jurin et Capillarité (application)


Le phénomène de ressuage résulte principalement de phénomène de
capillarité dont une application est la loi de Jurin qui précise les
conditions de remontée d'un liquide dans un tube.
Lorsqu'on plonge un tube de verre de faible diamètre intérieur ( tube
capillaire) dans une cuve large contenant un liquide mouillant, on
constate, comme indique la figure ci-dessous, que le liquide s'élève dans
le tube au-dessus du niveau intérieur à la cuve.

La loi de Jurin précise que la hauteur d'ascension h


varie en raison inverse du rayon intérieur r du tube.
En d'autres termes plus l'interstice est petit mieux
se fait la remontée de liquide.

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Important: La hauteur h d'ascension est également fonction de la tension


superficielle γ du liquide. Or ce paramètre peut varier dans des
proportions importantes en fonction de la propreté des surfaces et du
caractère plus ou moins mouillant du liquide.
En résumé la pénétration au remontée du liquide dans l'interstice se féra
d’autant mieux que :
✓ L' interstice est faible en dimension,
✓ La tension superficielle du liquide est élevée.
✓ L’état de surface et la propreté à l’intérieur de l’interstice sont bon.
✓ Le liquide est mouillant.
✓ La masse volumique du liquide est petite.
✓ La viscosité faible.

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Bases physiques:
Son principe repose essentiellement sur le phénomène de capillarité: c’est
la propriété qu’ont certains liquides d’être attirés par des cavités de faibles
dimensions (défauts débouchant), Elle est plus connue par l’effet d’un
liquide à forte tension superficielle remontant contre la gravité dans un
tube très fin, dit tube capillaire.
La capillarité est le phénomène d'interaction qui se produit aux interfaces
entre deux liquides non miscibles, entre un liquide et l'air ou entre
un liquide et une surface. Elle est due aux forces de tension
superficielle entre les différentes phases en présence.

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▪ Lorsqu'un fin tube en verre est plongé dans l'eau, les molécules d'eau sont
plus attirées par le verre que par l'air: l'eau adhère aux surfaces du tube
pour augmenter sa surface de contact avec le verre et diminuer sa surface
de contact avec l'air jusqu'à ce que la gravité qui s'exerce sur la colonne
d'eau compense exactement l'effet d'attirance vers le haut.
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▪ À l'inverse, le mercure (Hg) évite le contact avec le verre et descend


dans le tube pour minimiser sa surface de contact avec lui. En effet, la
force d'adhésion entre le verre et le mercure est plus faible que la force
de cohésion entre les molécules de mercure. L’article tension
superficielle décrit comment calculer la hauteur à laquelle monte ou
descend le liquide dans un tube capillaire, grâce à la loi de Jurin.

D’après la loi de Jurin (le poids du liquide au dessus du niveau normal


est équilibré par les forces de tension, superficielle), on a :

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Loi de Jurin

La loi de Jurin prédit la hauteur h d’un liquide dans un capillaire en


fonction de la tension superficielle du liquide et des caractéristiques
géométriques du tube.

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Démonstration de la loi de Jurin

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Démonstration de la loi de Jurin

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Démonstration de la loi de Jurin

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Démonstration de la loi de Jurin

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Démonstration de la loi de Jurin

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Démonstration de la loi de Jurin

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Démonstration de la loi de Jurin

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Exercice d’application:

Deux capillaires verticaux, de diamètre intérieurs 𝑑1= 0,10 𝑚𝑚 et 𝑑2= 0,30 𝑚𝑚


plongent dans un récipient contenant de l'eau à 20 °C (hypothèse de
mouillage parfaite).

Travail demandé:

1- Quelle est la différence de niveau du liquide entre les deux tubes ?

2- Que deviennent ces niveaux et leur différence lorsque l'on monte la


température à 70 °C?

3- Que peut-on conclure?

Données :

𝛾 = 0,073 𝑁/𝑚 (20 ° 𝐶) , 𝛾 = 0,064 𝑁/𝑚 (70 °𝐶) , 𝜌 = 1000 K𝑔/𝑚3 , 𝑔 = 10 𝑚/𝑠2
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Solution:
On sait que
h = 2 𝛾/ 𝑟 𝜌 𝑔 = 4 𝛾 𝑑 /𝜌 𝑔 car on considère le mouillage parfait.
Donc: h1 = 4 𝛾 𝑑1 / 𝜌 𝑔 et h2 = 4 𝛾 𝑑2 /𝜌 𝑔
et alors: ∆ℎ = 4 𝛾 𝜌 𝑔 ( 1/ 𝑑1 − 1 / 𝑑2 )

A.N : à 20°C , ∆ℎ ≈ 0,195 m


A.N : à 70°C , ∆h ≈ 0,171 m

3- La température est un facteur très important à prendre en considération


de façon générale dans les contrôles non destructives car une augmentation
de température de 50°C à changer considérablement la différence du niveau
du liquide entre les deux tubes.
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Principe de CND par ressuage


➢ Après nettoyage, la méthode consiste à appliquer un pénétrant de faible
tension superficielle (de bonne capillarité) sur la surface de la pièce.
➢ On lui laisse un certain temps de sorte qu'il puisse s'introduire dans les
discontinuités aboutissants à la surface.
➢ On élimine ensuite le pénétrant sur la surface mais cette opération laisse
cependant en place la partie qui à réussie à s'infiltrer dans les
discontinuités.
➢ Un révélateur, produit opaque et absorbant est appliqué sur la surface, le
pouvoir absorbant du révélateur fait que le pénétrant qui a réussi à s'infiltrer
dans les discontinuités est alors aspiré vers la surface (effet buvard) et y
laisse une trace. Cette trace à cause de la diffusion du pénétrant dans le
révélateur, est toujours plus importante que la discontinuité.
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L’efficacité de cette méthode de contrôle repose sur la possibilité de détecter


les indications de discontinuité afin d'améliorer cette détectabilité. Le
pénétrant contient en général un produit coloré visible à la lumière blanche
ou un produit fluorescent visible à la lumière noire (ultraviolet)

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Phase 1: Excitation
La phase d’excitation pour le ressuage est comprise de 2 étapes :
1. Le nettoyage préalable: On nettoie la pièce avec un solvant pour
éliminer la graisse, les huiles et les impuretés.
2. La pulvérisation du pénétrant: On pulvérise le pénétrant sur la surface
du solide à contrôler et on laisse pénétrer entre 15 et 30 minutes.

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Mise en œuvre de la méthode: Différents types de produits utilises :


1- pénétrants : II existe trois familles principales de pénétrants
✓ Les pénétrants colorés, qui sont généralement de
coloration rouge/violette, pour lesquels
l'observation se fait en lumière blanche.

✓ Les pénétrants fluorescents : la lumière noire ou


lumière de Wood, est une lumière composée de
violet et d’ultraviolet dans une bande spectrale
quasi continue. Les pigments fluorescents
transforment la lumière noire en lumière visible
jaune verte.
✓ Les pénétrants mixtes qui peuvent être indifféremment examinés en
lumière blanche ou U.V.
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2- Emulsifiants :
L'émulsifiant n'est utilisé que dans le cas d'un produit pénétrant à
post-émulsification pour l'enlèvement de l'excès de pénétrant en surface
de la pièce: l'émulsifiant, appliqué sur la surface de la pièce, diffuse dans
le pénétrant pour former une émulsion rinçable à l'eau.
Deux types d'émulsifiants peuvent être utilisés :
➢ Les émulsifiants lipophiles (ou lipophiliques) utilisés à l'état pur,
solubles dans le pénétrant,
➢ Les émulsifiants hydrophiles (ou hydrophiliques) utilisés en solution
dans l'eau, mais peu solubles dans le pénétrant: leur action, localisée en
surface, se caractérise par une modification de la mouillabilité du
pénétrant qui se déplace plus facilement sous l'action mécanique de l'eau.

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3- Révélateurs :
Il existe essentiellement deux types de révélateurs, pouvant être utilisés
avec les diverses familles de pénétrants et d'émulsifiants :
➢ Les révélateurs secs se présentant sous forme de poudre : ce type est
utilisable seulement avec les pénétrants fluorescents, et :

☞ Pour surfaces rugueuses,


☞ Pour pièces de forme complexe : filetage, rainure, trou,
☞ Pour pièces de grande dimension,

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Les révélateurs humides constitués d'une poudre en suspension ou en


solution dans un liquide. Sous cette forme deux types de révélateurs
peuvent être rencontrés :
❖ Le liquide support est un produit organique volatil: ce type de révélateur
est universel et peut s'employer indifféremment avec les pénétrants
colorés ou fluorescents.
❖ Le liquide support est de l'eau et on affaire à un révélateur humide du
type aqueux: ce type de révélateur conduisant à des manques de
reproductibilité sur le plan technique tend à disparaître. Ce type de
révélateur est utilisable pour :
☞ Surface polie et lisse.
☞ Grand nombre de petites pièces.
☞ Quand on cherche des discontinuités larges et peu profondes.
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Phase 1

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Phase 1

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Phase 1

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Phase 2

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Phase 2

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Phase 2

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Phase 2

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Phase 3

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Phase 3

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Phase 3

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Phase 3

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Vérification de I 'opération de rinçage :


Il est important de vérifier après rinçage à l'eau, l'absence de pénétrant en
surface. Deux cas peuvent se présenter suivant la nature du pénétrant :
1. La vérification se fait en lumière blanche (naturelle ou artificielle) dans
le cas d'un " pénétrant coloré ",
2. La vérification se fait en lumière ultraviolette le cas d'un pénétrant
fluorescent .
Si après vérification, une coloration anormale subsiste, on renouvelle
l'opération de rinçage à l' eau. Dans certain cas on peut être amener à
recommencer complètement la procédure. Dans les anomalies constatées
peuvent provenir d' une mauvaise préparation de surface de la pièce.

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Les étapes du contrôle par ressuage :


Contrôle non destructif par: Ressuage

Exemple:

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Limite et fiabilité de la méthode :


Sa sensibilité est très bonne, puisqu’on peut estimer obtenir une
détection fiable de défauts de 80 μm de largeur pour 200 μm de
profondeur pour un ressuage coloré pratiqué en atelier sur une surface
usinée, alors que le ressuage fluorescent conduit dans les mêmes
conditions à une limite de détection de l’ordre de 1 μm en largeur pour 20
à 30 μm en profondeur.
La vérification de la fiabilité du contrôle par ressuage est en particulier
indispensable lorsqu’il s’agit d’une chaîne manuelle ou automatique.
Indépendamment des procédés d’assurance qualité concernant
l’installation et les produits de ressuage mis en œuvre, on effectue des
tarages périodiques basés sur l’utilisation de pièces de référence que l’on
soumet au contrôle par ressuage.
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Contrôle non destructif par: Ressuage

Exemple: Les plaques billées recouvertes d’un chromage dur sont très
utilisées en aéronautique mais ont l’inconvénient, d’avoir une surface
quasi poli miroir trop parfaite pour renseigner sur la lavabilité du
pénétrant ou la saturation de l’émulsifiant.

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Pour caractériser un procédé de ressuage donné, la classification


suivante figurant dans les normes ISO est utilisée:
Par exemple, la famille de produits comprenant: un pénétrant
fluorescent, de sensibilité N°4, qui est éliminé à l’aide d’un émulsifiant
hydrophile, puis révélé avec de la poudre sèche, est identifiée par la
désignation IDa4 d’après l’ISO 3452-1.

Classification des pénétrants selon la norme ISO 3452-1 :


La norme ISO 3452-1 classe les pénétrants fluorescents en 5 niveaux de
sensibilité, du moins sensible, Niveau ½, au plus sensible, Niveau 4.

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Avantages et inconvénients
Avantages:
✓ Facilité de mise en œuvre avec les produits pré-émulsionnés,
✓ Facilité de mise en œuvre sur les chantiers Bonne sensibilité de
détection des défauts débouchant,
✓ Contrôle relativement économique et rapide,
✓ Simplicité et faible coût,
✓ Permet des contrôles rapides en service,
✓ Applicable à tous les matériaux non poreux,
✓ Existence de produits pour application à température élevée (150-200 °C),
✓ Bonne sensibilité de détection des défauts débouchant

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Contrôle non destructif par: Ressuage

Inconvénients:
x Nécessite des surfaces propres et bien dégraissées : ne pas
travailler sur des produits « bruts de laminage »
x Impossibilité de révéler les défauts internes et obstrués.
x Nettoyage rigoureux des pièces à contrôler.
x Les opérateurs doivent être expérimentés pour certaines techniques.
x Produits inflammables, volatils et nocifs.
x Gestion des déchets liquides rejetés à l'égout.
x Pas de trace du contrôle (hors PV).

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Travaux pratiques: CND Ressuage

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Travaux pratiques: CND Ressuage

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Travaux pratiques: CND Ressuage

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Travaux pratiques: CND Ressuage

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