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Sevuc mensuelle N" 3 - lère année - Jutn 1979
paratt lO fole par an
abonnæeot annuel 50O FB
le nrnéro 50 FB
trédlt com. O88-0728L60-73
té1., 068/55.14.58
SOMMAIRT
a._ d-r*ry^..Fz
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A Bo[J FNTEÀI0EUR,
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Voi,Là. {ië!a te* v&uheet, e,t î.e pilultt-zn de uPtLAftlTE" ett aupwdue
iuqa'u dêbut" du moi; de.teptenUu.
En deux maiÂ, notne mouveneyut. a toue-Itë" pÙu cle !.50 ytuuawLe 3 earl-
.Cu covt{c.tÀ, nau ovtt. non *er"utartont rnonttr.ë, L' fuLtûLAi. gnanùLttant que
votu, pontez at ?n-inV+e Unt-que at, E ts, tlauwbinti4ue eue,tgnët pan Geo,ngel
OfISAOA, nwi de pfua, rwut tendorteent. dntu nottte uoLotttî. d.e pauruuivne
whte bu.t..
Pgndg*rL qile. vau lau"<nez dtun ttepe.a ceJLto,inwenlbien mêni.tla, nput Lgr.,,
doubl,&onï na,s .eddotr,ta pûutL ytnêpanut une h.e,wflLd.e ta pfui i,tutst*efiue .pog.-,,,..
cu$Utq' po,A pott^ atâant, no$rs ôe.rlctwt taujouta â. votne. dilpotiùinn pau"tL
tau,t',neraqignwenÉ que. vouÀ jugwLez uti,Le, toi,t pan ëctt(.t., aoit pan tilë"-
phone, au enc.otLe, uutxgz nou,s nendsæ vi.ti.te,
' N'agdsnt. iûtna.i"6 w dtexwpl"u, pta*iatn* frt"&Âtnne^ nout ont manL1telty. Leum
di6|irilI.tL6 d.e" nvivne mactabi.0l-Lqw,,. Etant c,onnê. naune exp-wi.e.nce, n4sÂ
penâoït| que. e-e. eanp'de vû.c-&nce *ua pLuin d'ewtoi4nwentt pottst totu eeux
qui dfuinen't: un norle d.e vie en
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Le dê,taiA det aciivi-tët n, e,tt pa eneljLe ê,tnhLi, mait tachÏz que L, ey4,ei_
gnuent de teongu 0f{SAû,4, f.e ?a,inùyte llniquz et I_a" ltacnobiott4ue, àeÀs.
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OlfSAttA, [,ec.te!fi,s, Q1u ne..L'tnt. pa cëvLnLL, potw]û.i.enL ê,tne o-Itoquës
Ceux qwL' L'ont conwt nelttauveJunfr 9e âr'qLe .qul
'tee.oue mafii.ùLe de at expnimut,
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^a. Le Leetettn"avec'e1ilvne,;etr&'bui de.te uaft.tilL de t'æ tonpw$t f'rnnqu'ili'
6ante adin de Lt inciten à" dâvai,tett ôon iugwerû,
Ce terminus de notre voyage que nous avons norunê et baptisé logiquement "infi--
ni-absolu", est très dilficile à comprendre pour beaucoup de personnesr surtout
chez les oôcidentaux. (ûrande fut ma stupéfaction lorsque j'ai appris'que ce
mot "infini" n'est pas du tûrlt cffipris et aimê par les occidentaux, si prison-
niers du "fini" !
S'il. ex.iste,quelque chose d'infinitêsimai .danS.ce.monde poTl vous' .c'est dire
que v-ous,ne savez rien de la constitution de 1'univers, cette grandiose concep-
tiori du monde, et que par conséquent, vous avez êtê et êtes très mâIheurbux, et
aussi, gue vous 1e derel de plus en plus et aboutirez tôt ou tard à une fin tra-
gique, catastrophique ou scandaleuse.)
,Quelques amis macrobiotiques qui sont venus jusqu'â "La Parolet', nrêcrivent
de t{mps en temps, certaing,même régulièrementn et me f,ont part deJleurs dê-
couveriles sans nombre, de leur joie-extraordina'ire et de leur marctte rapide et
solide vers f inconnu. Ceux qui ne mtécrivent pas n'ont pas de nouvel'les, de
joie inêpuisabTe à me connnuniquer. Its sont retournês dans le monde.fïni'et
relatif, 1a prison sans barreeux visibles, pour continuer Teur viê de forçats
condamnés â mort, dont la date d'exécution est méchanment cac!$e, :. ., :.
Malheuneux ceux qui y sont retournés lls ont entendu rrluii'piro'1e"i''ên ont
I
pri.g co,nnaissance conceptuelle, rnais ils n'ont pas voulu paitir'da-p3"'lâ'pro-
fondeur.du sepliême ciel.
Ils o.nt êtê attirÉs par la force d.'attraction des
plaisirs, de la facilitê et le confort de ce nronde fini.
Ils-ont toûs'une
irave maiadie rnentale : 1e iugemeàt,cornpiètement voilé.
.1.,,
".,,
,:';.';,,, ,';:
UNTAVENTUREPAS$iOI'INANTÊ! ; ,''
Aujourd'hui, je vous conduis \rers une autre aventure, plus ëpouvantable, plus
6
passionnante. Nous alTons visiter ce petit monde des forçats condamnés à nortr
dont Îa date d'exécution est cachêe. i'tontez dans notre nét qui va vous t1"trns-'
porter à une vitesse plus grande que la lumiëre, à travers le temps et 1'e3pù-
ce infinis. tette fois, ç'est la descente de f tinfini au fini ! ilous allon's
contempler Ï.a tréation" C'est infiniment, plus dtfficile que Ia montée que
nous avons dêià faite en partant de notre premièr rûyaume de l'homme vers I'in-
fllir.en-traversant les 5 royaumes intermÉdiaires : le vêgêtal, la terre (pÏa-
nètes), Ie prê-atomique, l'énerg'ie et les deux pôles.
Icir_ nQus sorrunes da4s 1''infinin oû il ,n'y a ni couleur, ni forme, ni lumière,
ni obsurité, mais qui est la matière de tout. Crest une expansiôn infinie,
sans limite, où toute relativité s'effacê. ,t'est 1'univers tout â fait invi-
sible pour nos sens relatifs.
Il est seulement "visible" pour notre âme ou jugemenÈ suprême.
t'est le monde sans distinction, où le bien et ,le.lemal ne se différencient pas,
ni l'individuel et le collectif, ni le passë et futur, ni la vie et la mori...
En réalitér-crest le pays natal de tous les êtres vivants et morts, dont nous
avons tous le souvenir. C'est notre point de dÉpart et en même terips le termi-
1us de.,ngtrg voyage dit "vie". C'est ia grande Mbre de toute existeirce relative.
Nous sorlnes tous partis de ce 7Ème ciet il
y a des milliards et des rnilliards
d'annëes, et nous sorrunes arrivés ici dans cê petit monde infinitésinaT et rela-
tif, très éphêmêrer QUe nous appelons la vie ou le royaume de l'horrne.
Hotre Yoyagq dans ce monde est extrêmement court : que'lques dizaines d'annêes, ce
qu!_est.infinitêsipt], pfesquq un point gêomêtrique'infiniment p'lus petit qu'un
milliardiême de rnilliarilième du temps quà nous avons traversê uir de èes qidq
royaumes. . .
LA RECHERCHT DU BONHTUR ,
Tgu! l.q cherche Ie bonheur à tou.t prix dans ce mdnde si'ëphêmère. Tout
rnonde,
9'9b9f$' on_cherche la vie éternelle, ou'1'argent, ou 1a puissalrce phyiique,
intellectuelle, soc'iale, on veut la iatisfactlon ét Ia sélurite senlimendalés.
sociales, etc...s dans cê monde si petit, si Timitê. test illogique, c'est fou.
Voilâ pourquoi de grands hornnes, dits "saints" ou t'savants", ont entrepris des
recherches i prûpos du bonheur. IIs ont cherchè et'cherairë'pendant dei siècles
9! et sont arrTvés à une conclusion lamentabler'sinon ridiculg.:
iI {es.siêcles,
faut attendre un miracle -qui n'arrive jamais- ou un grand sauveur, ûu un
paradis qui ne peut pas exister.dans ce moide êphemere, ilati au*Jeià,'aàns-i*
ciel inconnu ou infini !
Il est absurde de dire "Credo'quia absurdum est" (Tertullium, Quintus Septimus
Florens) ou "Cherchez Ta vêrité. La vérité vous âffranchira-de tout", sàns sa-
voir oÛ, ni corlenent, ni pourquoi. Tous les saints, "les grands honmes, se grou-
Pçn! autour de ces deux pôles de pgnsêe. Ils sont tous mystiques ou ipiritga-
listet, crest*à-dire dêpendants diune chose inconnue ou iircondaissabte. I1.s
ont tous confiance au fond en quelque "magie noire". A côté de ces mystiques,
il est une autre catégorie de'igranàs hontes" qui s'efforcent d'établir Ia paix
et de trouver la libertê infinié dans ce monde'fini, ce sont les chercheurs'
scientifiques rnodernes. Leurs travaux ont abouti â"la crêation du grand bâti-
ment illusoire, le "Pala'is des Nations", ou à Îa fabrication des bombes omni-
potentes.
7
DE L,'NFI*{I AU FINI
' 'i . j
l4ais ie-vais montrer deux chemins, deux sens. L'un est Mahayaniste et l,autre
Hip4yanis!*.,. t*.premier,egt physique, matênia:l,iste et scieniifique; te seiond
9s! Pgtaphyliqqç'rj.pi,tîitUat iste et imaginaire. L'un (hinayanistd) ést :long,
tr$;:Jong' il faut gamp.ler des milliards d'années pour le parcourirn, 1'autFË
.9?firtF,plus cour,tr. be.âucoup plus court, conme une autoroute.
Puisque.nous n'avons
.la pas beaucoup de temps, aujourd'hui nous prendrons une fu-
. sée magigge,,a vi,tesse infiniment beaLcôup,plus,.grande que celle Ce ia-tu-
mlère. Plus tard'. vous prendrez le même qbeminr êr 'ralentfssant la vitesse. et
vous rencontrerez beaucoup de paysages très curieur et latâr:rsân?$ â r-egàrisr.
Première êtape : LE MûNûË DES CIEUX POLES
3) Algues-poissons
t) YegÉtql-animal terrestre {vache}
5) Animal carnivore (loup)
6i AnimaT vêgêtarien' (sihôe)
.le
7) céréalien. L'homme qui civilise monde avec le feu et le sel.
Si vous voulez vous nourrir seulement Ètvec des crudités. vous rétroqradez'à
llgtoglç gg,jluppuriti.on des-animaux vésêtariens iruÈràieniunt i-ii"rrËr'.ii
soit des millions et des millions d'années en amièrb. Votre organtsme srif-
pontera cela deux ou trois ans, peut-être davantage, mais si vôui coniinuôi
,!onglempsl vous tomberez malade bu votre mentalit6r'votr* ro*prài,ension, votre
pensée.et,.par consëquen!r vûtre comportenrent rÉtrôgraderoni ât-sàroni ieùi-Oà
la vache (trop Yin, faibles,dêpendants), ri
Llhonme-pell-vivre une vie carnivore .três Yang en prenant des fruits très
-"e!tÀ yin,
-on-peùt
$i:^t jgoult ibne est trës dêt icat â êtabl in,. it iiagii;,
vlvre longtemps en bonne santê aveç une aTjmentation carnée et des Ët:ii
fruits, le-
:. quq.esn gl,inents très Yin, Ia pensëe devient pluE analytique, ,sou.vent destiuc-
!ïj*r tl:tft: qu'avec unÀ _al imentation cêréai iennà àqirit iurce, f a-penièÀ :aeùtent
qlf l{llhftigUÊt plus unificatrice. ,Les a'iirnents hdmogtobiniques'{anfmaux} se
dëcomposen! diffieilenent dans I'organisme anirnal et lei produits finaux de'Ieur
!i:opg:i,tion* de Ieur.assimiTation-partiei1e, dêgag*ni uËuuiàup d:crÀmànis vin
qut înfluencent et modifient tout l'être humain.
Avec une a'limentation carnéei sous un cTirnat tempérê ou chaud, l,horme devient
$:_qlyt-|n ptus.YanE, fort, Énergique, vigoureux, actif, extrâverti, mais a Ia-
et.Parfois très vite, vaniteuxi se croyanù superieur, violenf,
Drutalr mêprisant. Ceux-qui mangent beaucoup de produits anjnraux sontiruei,
l9lg!9
bruyints,
*.T*t:11itê très ordina'iie ou mëme nrêdiocre. Ilii ,sont toris extêrieuràs,àî,i,
, maîs très Yin intêrieurementn três faiblesn sentimentaux et dëpenùaniir-Ën rËu-
lite très êgoîstes.
Si vous vous alimqntez avec ÏOCI 7, de fruits, vous tomberez nralade assez vite.
vous sérez,.,dou4, faiuie, iimice, n*ÀttaÀtr,'intraverti r-trôp 'Yin; vous aureu
yn jour ou I'autne un cômplexe û'Tnfêrionite, vous seiez victimË, vainiù àuns
la vie sociale.
'l
Sachez distinguer bon Yang et mauvais Yang, bon Y'in et mauvais Lin, bonne
qualitê et mauvaise qualité, bonne et'nauvaise quantitê
l
Les -pacifiques et calmes vêgêtariens ainsi que Ies agressifs carnivores sont
touJours les vietimes des carnivores plus entreprenants et brutaux. tt'ces
derniers sont convaincus ou vaincus è la Iongue par les cêrêaliens équi.librês.."
Si vous voulez vivre une vie belle et amusante dans la société dite "civilisée",
vous devez vous yanguiser un peu, de Ia bonne manièrer pour vous dêfendre, et
vous amuser !En vous nourrissant avec des cérêales et en employant le sel et
le feu, vgug y arriverez facilement, et vous résisterez à n'impoite quelle at-
taque extérieure {et bien sûr vous saurez trës bien maltriser ies difficultés
qui viennent de vôtre propre personne). CeJa va de soi que vous serez battu
au c0lfiïencement. f,Îai.s vous serez absoiument et êterne'llement vainqueur en dernier
La construction de notre corps depend uniquement de notre al imentation. C'est
la causalité biotogique, ptryiioto!ique et'psycholaglque. La psychologie, le
psychisme, n'existént, pas' sàns Ia-base ptryiiôlagiqile.'
CONCLUSTON
00000
II
oooôoooooooooooooooooooooooôoûco ôooooooôooooooo
q vtus N0us ECRIVIZT Nous v0u5 RËPûNûON5... .o
olo
OOoooOOOCro ACogOôOOûOoOOOoOôôô OooOOOOOoOOOOOoOOô
Plnt chaque revue, nous ferons paraltre les tettres qui nous semblent d'in-
têrêt gênéral. Pour toute rêponse personneT.le, veui'l'lez joindre u.ne envelop-
pe t,imbrêe et Tibeltée â votre nom,
de H de C. {12 ans)
Pourquc'l est-ce que je mange tant de sucre ?
"Le sucre est Ta véritable fleur du rnaÏ de .Ia civiljsation industrielle moderne,
importêe dans les pâys macrobiotiques de i'Ëxtrème-ûrient et, d'Airiqu., ii-e;t'
beaucoup p'lus, meurtrier qug"l'opirim ou les guerres en palLilcuil.ex pot L ceux
I
lY.ryange-nf du Fz eûmme a.timent Winei+a.t-,
A 1'époque de Jésusr.de Bouddha et ue Lâo-ise, il n'y avô'it, pas Çë poison chimi-
quç et industriel, c'est donc. nôturel qu'ils nf en pai.tent pai. t',ta'ii s,ils êtai-
ent,'nês parmi noua' auiourd'hui, ils,ndus n'rettrâiehi en,,gaFùà'contre, ce poison.
.i
0000û
D'un auditeur à la confêrence de Balâtre
- Qu'est-ce qui est le plus important: Ta foi ou la:'nourriture ?
- Quei- eËt votre. avl.s ?
- La nouriturer :;
LE TSUKEMONO
C'est l'occasion drapprêcier toutes sortes de lêgunres Yi'n que nous présente
la nature.
Le Principe Unique dont 1a Macrobiotique est une application nous permet
d'apprécier ces dons de 1a terre sans déséquilibrer notre santê.
Pour celar nous..devons yanguiser ces légumes afin qu*ils arrivent à ltêqui-
libre Yin-Yang-'correspondant à celui de notre sang.
A cette fin, nous pouvons utiliser le selr la chaleur et la pression.
Le sel et la pression nous peymettent de nnnEer queTques crudités.
Connaissez-vous 1e tsukernono ?
Il est habituellement vendu en matière plastique; i1 se compose d'un récipient
et drun couvercle traversé par une tige en spirale terminêe par un ressort.
Ce mécanisme pennet drexercer une pression sur les aliments placés dans le
rêcipient.
Mais vous pouvez. confectionner cet appareil vous-mêmes.
-.Coupez en morceaux vos choux et haricots vertsr en rondelles vos carottes, con-
combres, cornichons, radisr.ou tout autre lêgume se consonûRant habituellement
cru, et placez-les au fond d'un rêcipient aux parois verticales.
Entre chaque couche de légr.unes, salez abondarnnent au sel marin. '
Ensuiter recouvrez vos lêgumes d'un morceau de bois (planche ou claie),iur
lequel vous dêposez une lourde pieme ou tout autre ôbjet três lourd,'
Attendez 1? à 24 heures maximum pour Ies concombres, cornichons et lêgumes
fort.aqueux' pour les autres, voûs pouvez attendre 48 heures ou mâne [lus
à votre goOt,
lyq. la pression et le sel, tous les êlëments Yin de ces légumes sortiront.
Videz le I iquide et désalez en passant les légunes sous I'eàu. Vous pouvez
les consffifiter crus ou cuits comme drhabitude, En cas.de forte chaleur, vous
pourrez ainsi apprécier 1a fraicheur des légumes sans trop vous yinniser.
00000
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SALÂDE DIETE
Lalsser cirire, Si l{pâte ntest pas asseu fe::ne, aJouter un,,peu db. fbilnei à
85 Z o'u:{rn peu d.tarrdwroot. :r-i " l.i.'
Lal'sser refroidir la pâte et cuire dans un fer â galêtte. i" ir . ,.;,:.iLr
- ; l-..i.r
00000 :. , jr ':r.i r..,
Falre boutlLir dans un peu dreau unibâton.de vanl,Lle . Dê1*eye!r 2 c.àp, .dê hou-
zou dans un fond dteau froideg enlever la vanilLe et ajouter Ie kouzou dilu6
en tournant, Jusqutà consistance de geLat.ine liquide"(travailter à feu doux),
Garnir le fond de tarte avec Les fraises entières ou coupêes et napper de kouaûu.
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oôoo(}60goooôooooôôôooôoooooôooëooGosoooooo
UN TAS I{ALHEUREUX
* Allo, bonjour Monsieur, j'ai appris que vous pourriee peut-être faire
quelque chose pour mon fils. J'ai consu'lté nrédecins, psychologues et psy-
chiatres sans résultat positif, je suis dêsemparée !
llon fils a douze ans et est toujours incontinent. C'est très gènant, à
l'école, dans le tram, partout, le jour et la nuit, il ne peut se reienir,
et pas seulement dturiner, rnais encor€... Pensez-vous que vous pouvez fa:ire
quelque chose ?
J.!'1, partageai! nos repas, et nous é'tions rnême plus large avec Ïui qu'avec
nos enfants.
Son mal etait peutrêtre dû â une malformation physique et d'orig'ihe psycho-
logique et affective, mais un simple changement de nourriture et.de milieq.
était arrivê â bout de son maÏ.
Quand il est retournê chez lui, nous lui avons recorrnandê de surveiJler sa'
nourriture pour consolider sa gUÉrison, et nous lui avons dit".que si son mal
revqnait, il savait maintenant conrnent se soigner. ;
flais
tout est cofirne avant.
ii-*erË-;rî'î"uiiu.ituurri affairêe et nerveuse, 1es enfants'toujours 1ivrrés
â eux-mêmes, et.'le pêne.occupe toujours. un poste important,dans une finne
de chocolat et.de'lait conientrê sucrê três connue d'où il napporte rpgul,!è-
rement des friandises.
l:"t.'1,,
0û000 I.I.
:
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ANNONCES
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)ooooôoo ctoooo
O RËFLEXIONS sUR ,.. O
Oô
ooooooooo ûoooûooooêoôoôo
.l
CONFËRËI,ICE A SAI.AîRE Lg 26 AVRÏL 97$
àr Jaeques SKAI-KA
.:.
Ûe plus en plusr les milieux officiels découvrent la relation entre la nourri-
ture et la maladie. Surtout depuis que Ta Sécurité Sociale est en fajllite.
plus.intêressanl.poui 1a Sêcuritê iocialà quu-f*s'malades iÀ
!l"est beaucouples_maisons
soignent_dans de régime, les al"irnentt naturels'ne sont pas rembour-
sês par les mutuelles.
It tl'y I Pas de.Jour qui passer sans qu'ûn'puisse l'ire dans un journal ou en-
tendre â la radio ou â ta tël'évisionr'que tâl alimeni est à dêcônseilter pÀur
telle maladie*'et que tel conservant, adoucissant, colorant ou autre est.ean-
cérigêne.
A travers toutes les contradictions qu'on nous prêsente, corcnent discerner ce
qui convient â notre épanouissement de ce qui n''est que'te fruit AiunÀ prUfi:
cité conmerciale. ?
Dernièrerngnlr le.syndicat des marchands de sel a publ iê un article expl iquant
qug 19.sel_de cu_isine ne représentait aucurr danger, même en excès puilqud
est ê1im'inê.par les reins, êxcepté dans certainË càs pathologiques.
ii
Les adversaires cnt imnêdiatemeirt ripostê avec des arguments-adssi scientifi-
qygs.que les autres, en dêmontrant que ie sel était tôujours consorunê en',èxcès
.1 9!t'iI est à I'origine de la majoËitë de nos maux. Qii croire-? ccnï,leÀ[---
savoir ? Les mêmes iontradictions nous sont offertes journellement à-propos ae
toutes sortes d'alimentsi de sorte que I'on entend ae itus en plus
F' scuvenl dire :
Que devons-nous mangerr alors ?
Nods rêpondrons plus iuia.-"
La.semaine passée, j'ai reçu par la poste un article très intéressant:
"L'enfânt nerveux et son alimentati0n',.
Dans cet articler on.peut-1ire qu'un médecin amêricain, le docteur Feingold,
du-dêpartérent'de l'alleigie au Medicai center de San rraÀcisio,-à
tê des enfants nerveux en supprimant de Ieut: alimentation toute nourriiureiiat-
:1.i91
con-
!:lllt_ll .gyglg'nque produir'thimique. Aprês que'rques i*o;,-ir i;speriot
loute nervosité et-problêmes scolaires avàient'disparu. Vàièl Ia colrclùstori ce qùit
son expêrience t
.)'\L-tem.bte da{ini.tivwnenft ArdhLL que tes anônu
{.el ea&onanra Irr,i,LU'q M{*"req u
dan"t un-ti gaand-n *bne de *a ol,inent* â1ytÉ unc.,cailâe
d,LrLec,te de nelLv o t iftA.,t
est très intëressante
l'aslle.- Mais.ccrnment.les produits et
!:tlt_l$lclusj,on
qe sauvera certainement plusieur.ns .enfants
chimiques agissent sur nôtre système ner-
I::I.i -,!rgll:t ?
Ie mêcanisme I
personne ne répont La meoeiine a ioujours
fll]n de constater et de recoirnaltre 1a nocivité, panfôis rnor-
teller {f..lul!{s.avant
d'un produït.chirnique ou d'un mÉdicament. Vous et moi, sonne! ces martyrs.
Nous, nous sormes adultes, nous sffilnes responsables de notre iante. Si nous
:I1{9!| ge gulon nous raconte et que cela tourne mal, nous n'avôns quà nous en
prendre â nous-mêmes. Nous n'avons qu'à dêvoller noire jugement et'devenii in-
dépendant:^9T
{lg.ment des autres. },iaig nss enfants t
saoles. Nous devons veiller â leur santê et à leur épanouissement. froils en scnrnes respon-
17
.les
Le docteur Feingold ne se contente pas d'éIiminer produits,chim'iQues de I'a-
limentationo il a êgalement constatË' que certains aliments naturels pouvaient
également avoir un effet dêfavorable, sur not,re; santê. ll comnence par supprimer
les tomates et tout produit à base de tomates, les concombres, les aniandes, les
porlmes, abricots, baies. groseilles, f,ramboisesn fraises, cerisesr,raisins - ou
tout autre fruit,en grappes - ûranges, pêches, pruneôux et prunes., '
Il demande en.suite aux parents de iêintroduirre un'û ulr.ces,,',fru,*ts,.dans'l'aii-
mentation de leurs enfants 4 à 6 semaines après le,dêbut du rêgimei sj I'enfant
a une ré.action défavorable avec l'un ou 1'autre frouit, il faut totale'rdrunt le sup*
primer de son"alimentation. C'est très intel.ligent;, mais pourquoi a,T'brs fiê pâs
àgir de la so'rte avec tous Ies atiments ? Ët sur*taut queTs sont les-''critères
qUi'permet,tent de reconnaître s'i un alirîient convient ou.ne cûnvient''pas ?
Cette approche de 1a recherche de 1a santê est rÉvolutionnaire, mais malheure-
Fementr'àllg..est aveugle, e,lle ne reposê sur aucune compréhension.r" geulement sur
1'expêriepcë?Tevra être rêpétëe sans cesse, puisque 1'enfant êvolue : cê n'test
pas très pratique.
LT SUCRE
dtun mécanisme três compliquê qui s'cuvre sur une ignorance encore â combler.
Lors de discus'sions avec des scientifiquesr on n'ariive'inêvitablement à entËn-
dre touJours-la rnême-phrase ; Ie progrgs né s'amêtera jamais. la siieni*-t"ôu-
vêra. Peut-être, nais en attendahtr-combien de personnés et à'enfanti iouir.ônt
de toutes sortes de maux. de toutes sortes de déionéresienies, oe mataoiÀi aiies
incurables ou d'origïne nrystârieuse, a"lols gu'i1-existe tant de moyens feaucoùp
molns violents et destructeurs que ia médecine officielle pour sôuiagàr-;t-;à*;
guêrir l.es,malades. Dans ce monde où on peut tuer têgatembntn â conlitiôn A;eire
membre de.l'Ondre des Mêdecins, et oû 1'oh est condamilc st on'soulage un-maiaaÀ
sfmplement en observant les lois de ia nature, la loi est hors ia tôi ùniVeriÀite.
te sont ces lois de la nature que j'ai recherchêes depuis que j,ai senti le dan-
ger de la médecfne officielle. , ,.'
Le Principe uniquet qppelé,ainsi parce ctu'il n'y en a qu'un, est un autre nom de
Dieu. c'est T'Infinil'ra force erb cngadion manifestée,
L'infini se manifeste pan la poïariiation" fôut Aans notre univers est oolarfsÉ-
!:ttl dire qu' jt-y a tôuiours'deux pôlei t te-jour et 'ta nuti, i;i.'orrmË-"[-i;'i;;:
me' le chaud et le froid, la contrai:tion et la dilatation -
{cf le,cÀeùiy, eti.
*: *y:_t!]::_tgnt appeies-dans 1a tradition extrème-or;eriiate yin-Àt'fang.'
Les.expressions frança'ises les plus proches sont: force centrifuge = Vin Ëi force
centripète = Yang, Lgs 'lnteryêàctiolrs de ces deux forces constitilent T'ordre
notre univers, c'est Ie mécanisrne de tout phÉnomêne.: --- de
pour notre santé, on dêtermine les aTiments qut correspondent le nrieux à nûtFB
biologie sujvant-Yin et Yang. 0n amive ainsi l cgplure que I,a cêrêale est 1r
nourrTture de 1'homne. Et 0n se rappelTe qu'effective$Ênt' iadis. les cêréal,es
constituaient la ppincipaTe nourriture de nos ancâtres. C'eSt t Fùrtir du néo-
'lythique, l,âge Ob ta pierre, dg 6.0û0 à 2.500 avant J.C.r q!te_1ltsqÈ,c* hrnaiçe
sieit'rniie â [roduire ies cêicates, cela fa]t plus ou moins 1.500 gênêrttianq
juiqu'â nos jburs, Jusqu'en l9I4l 1a cérêale constitue l'aliment de base. La
iàtiôn oscilîe seion les êpoques àt les rêgions entre 500 g.et l.200 9.paq J9YI.
'l kg. C'es! a.paflif {e t{O
et par p*rsonn*l- ô; iiSO â ieOO, la ratioi est. de
qùe'iiol-rànso*e *Àini de cêréaies dans Tes villes,.gt T-Pg*ir de 1890 dans les
dàmpagner. En ig5û,ila ration,de cêréales qui constituait''7S"'4 tlê;ri:l;â"nourriture
iomfià-a 38 %, nUjourO'huin elle est en-dessous de 25 %, soit 7 f,ois,moins en
poids qu'en 1600.
Georges gtisAl^lA nous propose de ne manger pendant 10 iours que des cêréal,es, et
pîùs'piriiiuiiei;é*Ànl cii riz:, car i1 ie cbntient praiiquement.'pas'de :toxines..
bé;-air. j;r.;'Éer*àttuni au iang de' se_renouveTer' sans necevoir de pgvell.es.to-
xines. Anrës. ôn 'fait conune le-conseille 1e docteur Feingoldr ûn,rêintroduit
il;; i'ai'i**niuilont cÀriains al iments, mais en respectant 1'équil iltu..Yi.n-Yang.
De nombreux maux disparaissent csnme par enchantement. G'est le dêbut-d'une vle
indépendante, parce que l'on devient son propre médecin.
Cela fait 17 ans que je ne me suis plus soigné, cela fait'17 ans que iequron fiTtre
avec le Prihcipe UnTque, toest
iàuies les informâtiois-La formidable ce essay
Jé-nàur iitrô rrôi".; lilacrobiotiqub est r"ine appf ication dç .g.principe au ni-
veAu de la nouÉriture. Grâce à ta dêcouverte du,feu et du sel, 1'honme a pu adap
ter Sa nourriture et ainsi êchapper à'tous les cataclysmes.
.:
Voici une définition de Ta l'lacrobiotique donnêe par Georges OHSAkJA dans son livre
ile f-ivib de,lq Vie Macrobiotique" : 'rMa Macrobiôtique n'.lt pas un,prÉcepte nêga
. tii qui Aii-toùSours "ii'ne faut pas"; mais eile est positive et son but,est d'é-
tabl ir une'.cOnStitution''capable de faire tout ce qu'ûn veut." :: ,.
;i
D'après le Principe Unique, pratiquement tsus les mêdicaments
,Ie allopathiques.sont
Vin, atlatateursr'a'lors'quà ia pldpart des maladies sont aussi. Alors, disent
certainsr csrrnent se taii-i.i quà ci:rtains maladel-guqtissent avec ufie telTe mêde-
iine. Vôici la réponse, si vôus prenez une feuiile"blancher vous faites une pe-
tite tache d'encre; lt ; a deux moyens pour la fairg disparaltre, ou bien vous.
I'enl'evez en supprimanf 1a causer'ôu biàn vous remplissez 1a pagg.d'encre en dis-
peisant la tachb'sur toute la'feuilTe. Dans les dôux cas, ta petite tache a dis-
'Voilàpourquoi la mêdecine dite classique aboutit à tant de maladies in-
iaru.
curabl es .
..le ne suis pas'venu prêcher. l{on seul but est d'aider-les.gens â iuger.par eux-
'mêmes, en abcord avel les lois universelles" Aprës celar,ils sont libres de fair
ce quiils veulent. Actueltement, Ies gens n'ont pas''le choix. Tout ce qu'on
leuË prêsente camoufle en rëatité une ignorance que la science comblera un jour.
Mais quand ? Ileut-être quand il sera trop tard ou 'jamais !
tn'atiendant, l'es'malades souffrent, 1es enfants dégénèrent, alsrg;'ou!i.I suffit
dtouvrir les yeux'et surtout de nous dÉbarrasser de tous nos: prêjugës.
Posez-mgi nlimporte quelte quest'ion, I'enseignement de Georges OHSAIIA nous fait
comprendre qu'il faud trouver tout, ieul, nraii ie m'efforcerai de vous rêpondre
poui" vous dire merci de m'avoir écoutê avec tant de patience. 'i'ri i .i
0'0 0 t 0
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/.'at:"ir '.:' . .: ,..., ). .:
t - .) ) ::r oooo.o.o;q,oqp.oooooôooooooooooooÔooooooÔ
,.t;':',)ti. e;:4;6p..;igTftË vlslûN ilE LA SçIeNCË o
.-:;i', .::'. i:!.11!,, i. 1:2:1o .';
o
|itt:;.r.;.i /.:4:t,., i . ooooooôoôoôooooûooôooooooooooooaôôoo
j.t...ri1,:r,/:. 6wi,tgl
1.1 ...:
,;l' t Çurieusp expérience sûharienne
En '1958, sept mois durant, d'avril â septembre inclust une vaste enquête
biologique et médicale fut menée au Sahara sur f initiative du centre de
recheicties Prohusa {Problèmes Humains au Sahara}. Elle avait notarrnent
pour objet d'étudieÈ 1e cornportement du personnèl travaillant aux recher-
ches pêtrolières. A cet effet, un contrôle trës strict fut instauré sur
I'alimentation et la boisson,de certains groupes de travailleurs I en mê-'
me temps, les matières secrétées (selles, urinesret dans certains cas su-
eur) étaient recueillies, transportêes pàr avion dans des containers rê-
frigérés aux laboratoires de la facultê de Phannacie de Strasbourgr 0ù
une-équipe procêdait à l'analyse.
,
u.Je me rrappelaj
alors Tes expériences de 1'Américain Bass, en 1953.' Lui'"aussi
avait recueilli de la sueur humaine obtenue par forte chaleur, et'lui aussi
avait constaté que le corps humaino dans ces conditions, excrêtait plus de pc-
tassiurn qq',il n'en,ingérait. Aucune exptication ne fut trouvée à cet excêdent
qui au Sahqro,et.au mois de juil,let atteignit 50 %., : "
:
: .: : .i | :
2" Dans B0 % des cas, 1'excrétion en magnésium était très nettement supérieure
à l'ingestion, et ceci en ne tenant comfte que des selles et des urine! (la
sueur .nraurait pq,qulaggraver cette d'ifférence 'inexpl icable)'.'r. l-'excëdent se
maintint rêg.ul'iènernent pendant les six m0is,d,tobrservation, ce,qu'i'exc'lut I'hy-
pothèse dl,u1e dissipalion des rêserves du conps. traù vena,Lt done În mag$ê",aiun
.:
lw.YTYt, ,' ,
,31,Ën [tiù$aran!:,,J,es,r,biIans: de ca.lcium et du phosphore avec ceux du magnésium,
'.f,e'.constatai'que Lu,:des*x pnwiua 4.ta,Lent LLâ,s au lxo.itlëNe, Quand le bilan
du ,calcium. êta'it..nêga'tif r c'est-â-dire quand le calcium excrétÉ excêdait 1'e
calcium'ingërér'1e 6ilan du phosphore l'était aussi, et cbacun de ces cas'cor-
respondait à un bilan négatif du magnésium. Inversément, quand le bil.an du
mqgn$sium était positif {dans 20 '/" des.cas); le calcium et'le'phosphorê"sui-
va,ient le mouvement,
"Tolrs ces phênomènes, poursuit M" KERVRAN, suggèrent une même interprêtation :
si le corps est capable d'excréter des élemenii chimiques qu'il n'absorbe pasn
ou s'il en excrète p'lus qu'il n'en absorbe* et cÊla pendant des périodes si
longues que toute expiication par une dilapidati'on des rêserveb est â êcarter,
il faut bien admettre, puisque rien ne se crêer'que cet élêments proviennent
d'autres ê1éments. Cela paralt insensê, contraire aux principes: les p.lus'.sa-
,GréS,de la chimie et de la physique, rnais qu'y faire ? Rien n'est saci,.e'bh
sçiience, si ce n'est 'la fide'litê â T'observation'et'à I'expérience. Les "l'ois
actuellernent adm.ises de Ia physique et,de Ta chimTe compartent peut-êtrer
le domaine de,Ia biologîe, des exceptions auxquel'ies on n'a pas encore pris-dans
garder J. vais encore vous citer une exreption rebelle â toute'irrterprétation
cl ass i que
.:. : L
.(â stlivre)
00000 !
Du' l4:.,au,,29; jui I I et, Venez vous transmuter en partiÇjpant au premien camp
macrobiotiqûê' en frança'i s en Bel g'ique . '. '
22
ûoôoooo0000tlooëôoooôôôotoooô$ôo
PRTHTEMPS 5ILff*CIEUX
de Rachel Carson (t )
mort certaine" Yin et Yang en mauvaise proportion ce sont les maladies, tous
les maux, tous les malheurs incluant les'trimes, toutes les misères, toutes
les difficultés, et touronnant Ie tout, la.guerre nucTéairen la plus grande
maladie menaçant i'avenir de l,humanité.
Si Yin devient absolument prêdominant dans ia constitution d'un être vivanto
gllli:.i..lq ,psut,gue. disparaîtrq. Lq .même chose s,appi ique à 1 ,absol,ge pré-
domindncé; de'.x*tg4 Là rëalisation d'une bonne propoi^tj,ori,gr*r*;;gç.riêiénânts
Yin.et Yang est ia quest'ion capitate. ceci coniidbré," i i;n'pili- Jriinnàr
gu'il,n'y,-a aucu! poison dans ia nature, rnais seulement un dèsêqui,l,ibrer,lun*
oportig.lr, entre 'les deux groupçs, Yin et Yang.
*rin'fu-''ti+sme constiitué seton une bonne proportion en plus puissante quanti:té
, jg_J3,
ç|p-lc'i tF d 'absorber et de neutiàl ; ier tÀut-f dârit"àe-àonsti tur,ion
i|tqg.'à une certaine dose.
rle iusqu'au boutr."La capacité extrème d'unL'on
{l:é!yilifrêer peuf même poùsse.,cette thêo-
orgànisme bieir èquilibré
les-règles-de l'ordre de i'univers peut lui pÀrmettre d'absorber et deielon neu-
traliser 1'-iqrPorte.quel
.|'esprit "pûison". Le cas htiioiiqùe-au *ôinà-iturpoutine se
présente à pour irous le rappeler.
Mais la science appartient encore à .I'âge ,le la pierr,e, affi,rme Rachel Câh.
son. Tous ceux qui ont lu ou écoutë KeËvran serbnt avec elle,
Elle sent la nécess]té.de repenser Ia icienie àntièred'âccord co*rnelKJFVrâp,j ce,bio-
chimiste' Éminent. tout,.ru ..i.fi.-n;àrt Àu;;; ;;;i;u*intl ele n,est
rsue trrartr.sensgiigl.Après
â..pgîrgyit"i à;.iôé.i*eiiàr,'et,oe aÀriiÀ ce qut ,se pas-
se dans ce monde de relàtivttei ia viè'Àst ilÀ-chose infiniment
elle est I'infin,i.lui-mêgre, Oqnt notre monde de relativitê niestptus grande;
qu,un poiiit
..séomQ'triqueinfinitêsimaI,..:..'.:'---.
La vie.prësente un double. aspàct, l,aspect visible de la matière dans le
monde des relativités et l,aipeci invii;inle Cans i.
vient sans cess* ùË-i; invirîuî*. -- '- 'invisible infin,ité; .
I ,
Le vfs,ible ,t
oo
oooooooo 0ôooôoôôooooooô
UNE ALII'IENTATI0N Sl^lIEr-9EqL REMEDE AU CANCER DU CoLoNI rrsus DIT tfr ûRAND
SPECIALTSTE D'ORIGINE BËLGÊ.
DAI{TËR DE LA SATCHARTNE
ir !.:
CINT ANS MARIES ! ''j\ : rr '
i-\ :'i,.\, i: ,'
Un couple de I'longolie vient de fêter son centième anniversqire de mariage.
Les époux qui sont respectivement âgés de 118 et de 115 ans'ont neuf enfants.
Les jub'ilaires appartiennent à une minoritê ethnique et sont les p'lus vieux
habitants de 1a région de Bajan-Ug'li-Aimak.
Ils attribuent leur grand âge et leur bonne santé au clim.at.des montagnes,
à la simplicité de leur nourriture ainsi qu'â leur. occlpaflioh, l'êlevage:de
bétail. Leur fille aînêe est, âgée de 92 an,s. Leurs descendants solt dêie
au nombre de 130'
,,Le soir', du ,o ..ri'inrr.
l: l,
tn'1969, alors âgé de.9 ahs, Êje,rre Poirej, sôuffrant de,)$gers troublei de
comportement, est conduit pg{ :qqq pap"ents chez un pédiatÈÈjiqui lui.plescr,-.it
un traitement. Après un lmois dd..soiqs, PE.lrice perd ses cheveuxi puis se5
sourgils. Les nombreusessVïsited'effec.tuêtCs ensui,te chez des spêciali'steË du
tralternentdetacajvitie.he;'donnêrentaucunresu':Ii!at$ii.ï'
lf Jeune homme qui a déjà'btTit au Minjs_tère de tiiiigaiïê poùr,fumahden 't rêtude
dc son dossier médicaT a decidé, en d.stispoir de causer'dâ s'adresser â
Giscard d'Estaing qui, êfairt'donné sorii'Cbonda!.&Ê toison1 ne'manquera pas de
faire preuve d'une grande compréhension.i
. iffij $ind*,, i .-.
"Lç Peuple," du Zl mans 1979.i
"i *;:, , "1'..!i1
.i.viiri ,iÈ, i '.
00000
26
!9LI'UûN DE lâ GRTLLE Ng 2 j
-rT.-..æ-.-Ft-=æ.$
IloËizontalecrent i 1)
r _ * Uilter - Riz -
P-g 2) Ana-Popo*e-3) Iatrépides *
4)Soi*Âo-Ert- 5)Vn*Ul.-Uâe- 6)Pas-To-RT
7) nt - Orge * II -8)Ri-Reln-Va - 9) Coin - Et,res * 1O) Entassées.
GRILLE NÔ 3
%
;;+{I}RI ZÛNTALEI''€IIT :
Y
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YAHG
VERTICATEMENT :