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Institut de Philosophie
et de Science d'Extrême-Orient
CENTRE IGNORAMUS
8, Rue Lamartine - Tél. : LAM 54-.31 - PARIS 9e
C. C. P. PARIS 15998.91
-- YIN-YANG --
YIN-YANG
Rédaction : G. MASSAT
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A la suite des extra.l.ts de Qv.erel Pacis d'Erasme que nous avons publiéS
dans les numéros d:'aNI'il et de mai, quelques lecteurs, dont les arguments
nous ont convaincus, nom ont demandé de putiller dans Yin,.Yang le texte
intégral de cetl ouvra;ge qui, pour être le moioo connu diu grand humaniste
n'en reste pas moins le ,p lus important.
DÉCRIÉE ET CHASSÉE
DE TOUS COTÉS ET
ÉCOUTEZ ...
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Si les mortels, malgré mon innocence et les avoantages que je leur offre,
me haïssent, me chassent et mc décriellJt, H ne me reste rplus qu'à déplorer
l'affront qu'rils me font ct Jeur iniquit·é. En m·e re:poussant ·d e la sorte, moi,
qui suis la source de toutes les félicités d'ici"bas, ils attirent sm· eux-mêmes,
le rd ébordmnent des pires malheurs : aussi, ne faut-il .p as ,plutôt déplorer leur
sort que I'outrage qu'ils me font ? (~uelque naturcJ.Ic que. soit ma disposition à
leur en vouloir, je suis forcée d'avoir quand même de la collllpassion pour
eux et de plaindre l'ironie de 'leur sort. En effet, si inhumain qu'il -soit de
r ·e pouss·e r ~ celui qui, d'une manière quelconque, ~vous prouve son dévoue;ment,
il est encore p lus ingrat de dédaigner celui qui mérite d'ètre comblé de
récomrpenses. C'est un sacrilège de ma-ltraiter la bienfaitrice -et la conservatri,ce
de toutes les ·bonnes choses ici-bas. Mais, à vrai dire, cette ,p ersévérance 'à être
jaloux de son :propre sort, à ne pas r ·econnaître la supériorité des aJvantages
que j'apporte av·e c moi -et à attirer sur -soi Jes pires maux qui déchirent ~e
monde, ne semrb le-t-eHe rpas 1]c comble de ,Ja démence ? U est naturel et juste
de méprtiser et de châtier les scélérats ; mais il ne nous reste qu'à 1]1 laindre
ceux qui sont possédés par la rage. Us sont d'autant P·lu-s à plaindre qu'ils ne
s'aJperçoivent pas qu'i~s sont eux-mêmes J'instrument d·e .l eur malheur ·Ct que
rien au monde ne peut J.e ur faire mesurer la grandeur de Œeur ·f olie.
Si je suis, ·en réalité, cette ,paix tant vantée par les hommes, la source,
la mère, la conservatri.ce et la protectrice de toutes les bonnes choses que
possèdent le ciel ·et Ia terre ; si hors de moi, aucune .p rospérité n'est ti'Ci-ba,s
durable ; si rien de 1pur, den de saint, rien qui soit a,gréable ne peut s'étaiblir ;
si par contre, la guerre est sans contredit, ~a cause .ess·entielrle d1e tous les
désastres qui a.rrivent dans Je monde, et si ce fléau >flétrit brusquement tout
ce qui fleurit ; si grâce à elle, tout ce qui avait grandi et mûri, s'écroule et
tombe en ruine ; si elle ébranle tout ce qui se s outient au prix des plus
pénibles efforts ; si elle détruit les 'choses les mieux étalblies ; si die empoisonne
tout c.e qui ·e st honnête et agréable ; en un mot, si crUe e-st aibominalb.le au
point d e détruire toute vertu dans le .c œur des ihommes e.t que rien ne leur
soit plus funeste en même temps que plus désagréa-ble : j~e vous demande
quel est celw qui ,peut croire sans peine, que ceux qui ria provoquent sont
DES HOMMES et qu'ils jouissent sri peu que ce soit ·des Jumièil'es de la raison,
quand on Jes voit s'employer avec tant de volonté, d'a.rdeur, d'·e tforts, d'artific.e
et 1de danger à me bannir et à pay·er si cher t~ant de soucis et de malheurs.
Si les bêtes f·é roc·es me ·h aïssent de cette manière, je l·e supporterais avec
rési,g nation et j,e passerais rl'injure au comrpte de la natur.e qui leur a infligé
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Cette faculté d'attirer à soi se manifeste aussi parmi ·les lbêtes sauvages..
Les 'lions, quelque f.éroces qu'ils soient, ne comba ttent jamais entre eux. Le
sanglier n'attaque jamais un autre sangHer de sa dent meurtrière. Le lynx
vit en paix avec le lynx. Quant à la .b onne inteYigcncc d es loups, cHe est
passée en ,prover.b e. (.J'ajouterai ce qui sur,p rend encore plus : les mauvais
génies qui ont les premiers rOlllipu ~a paix entre 'Di eu et les hommes e t qui
n'ont pas cessé de poursuivre leur œuvre de destruc tion, sont unis ·e ntr·e eux
et toujours d'accord ,pour la protéger). Seuls les homm es qui devraient être
le plus enclins à l'union et auxquels elle est si nécessaire, demeurent sourds
à la voix de ·l a nature, si sensible et si efficace par aiJ:Ieurs. 'L es conseils ne
peuvent les unir ; le ,g rand avantage qui résulterai·t de 'leur entente ne leur dit
rien et ne peut 1les attacher Jes uns aux autres. ·L e sentiment des mallheurs
qui résultent de la guerre et b triste c~érience qu' Ils en font est sans illltluence
sur eux.
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fait qu'ils aiment 'leurs enfants avant même qu'ils naissent. Considérons aussi
la tendresse des enfants pour les parents dont les infirmités et l'âge sont aUégés
par les soins qu'•â leur tour i·ls ~eur donnent. Ajoutons enfin à tout cela les
liens de la parenté et de J'aJmitié. Il existe, en effet, entre certains hommes
des af·f inités dûes à la conforunité de leur nature, de :leurs t:dents, et de leurs
occupations : elles poussent à la bienveillance mutue~Ie. Beaucoup subissent
l'empire d'un s·e ntimcnt secret de l'âme qui les entraîne vers une sympathie
rédproque. Les anciens attribuaient ce sentiment à la puissa-nce divine et aux
bons génies qui invitent les hommes à s'lliimer entre ·eux.
Donc, de toutes les manières, la nature enseigne la paix et la concorde : tant
de charmes nous engagent à les aimer ; tant de liens, tant de raisons nous
invitent à les conserver ! Qu'on nous dise après tout cela quel est le démon
capable de nuire, qui brisant, ronl;Pant ou divisant tout, crée dans le cœur des
hommes, cette rage insatiable de la guerre ? Sans l'habitude et l'indolence qui
font disparaître notre étonnement ct même la conscience du ma-I, qui. pourrait
croire que ces hommes qui se disputent, qui se querellent, qui combattent
avec tant d'acharnement jouissent de la raison ? Ils piHent, tuent, répandent
à flots le sang humain, lboulev·e rsant tout, Je sa<ré et le ·p rotfane. Il n'y a pas
de traité assez solide, d'allia-nce assez ferme et assez sacrée qu'ils ne veuillent
rompre au pr.ix de ·leur ruine. Mais pour ne pas en dire dav·a ntage, la déno-
mination commune d'homme ne devrait~elle pa;s sutf.f ire pour .vivre en •bonne
inteiUgence.
Mais, ô comble de malheur ! J'ai ·h onte de ;Je dire, les Tribunaux, les
Cours royales, les Sénats, •les Temples, les pllaces .p ubliques retentissent de
disputes et de quereHes, comme on n'en a jamais vu chez les animaux ; si
bien que la foule des avocats à qui l'on doit en grande ;partie le maJ.h eur d·e s
hommes, ,p asse ici inaperçue, tellement est considérable le nombr·e des chica-
niers. J'aperçois une vil'le, et .aussitôt un espoir renaît .d ans mon âme : je me
dis .q ue du moins ici, la •b onne intel:ligence règne entre les hommes qui, entourés
des mêmes murs, sont gouvernés par les mêmes lois et qui, s emblables aux
p a ssa,g·e rs d'un même navire, sont ·e xposés aux •mêmes .d angers. Mais malheur
à Moi ! Ici aussi tout ·e st divisé par la discorde, au p(Jint de ne trouver d·a ns
la ville entière, aucune maison où mc reposer. Je laisse de côté pour le moment,
la lie du peuple qui, à i'image d'une mer rugitée, s'.é vcrtue sans but et sans fin
ou se laisse emporter ·p ar :les flots : j'entre dans ·l e palais des princes, comme
dans un refuge sûr. La paix règnera dans cet endroit, me dis-je ; les grands
sont ~cs .p lus s'a ges que le vulgaire. Ne sont-ils point choisis pour le gouverner
g.-âcc à leur sagesse et à leur prévoyance ? Non seulement ils conduisent la
destinée de celui qui est un maître et un prince de la paix, qui m'aime et me
recommande à tous, mais Je leur suis même ;particulièrement recommandée.
Et, en vérité, tout me semble au premier abord de bon augure. L'on m'ac-
cueille avec cordialité et de la façon la ,plus aimaJble du monde. Je vois mes
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quotidienne. Pourrait-on croire qu'i,l n'y a pas ici de .p lace pour la ,p aix ? Mais,
ô comble de ma:lheur ! II n'est pas un COOlège qui -vive en bonne intelligence
avec son Evêque. Cela serait toutefois de peu d'Ï.mŒlOl'ltance, si les prêtres
n'étaient pas en ipleines luttes intestines. Quel est celui parmi eux qui n'ait
tlas un motif de dis•p ute avec un autre prètre ? Paw• n'admettait pas qu'un
Chrétien ,f ût en contestation avec un autre Chrétien ; et un prêtre prend
position contre .u n autre prêtre, un évêque contre un évêque ! Mais ne pourrait-
on pas, malgré tout, .Jes excuser en quelque manière : c'est :p ar une habitude
déjà longue qu'ils sont devenus scmbl rubiles aux p·rOifanes. Ils ont, en effet, à
leur exemple, commencé à posséder d .c s terres ·ct ils jouissent sans doute, de
leurs droits quand ils les revendiquent à titre de prfJpriété.
II reste toutefois, une classe d'hommes ·q ui sont <à ce point attachés à la
religion, qu'ils ne •pourraient, si même Hs le voulaient, pas p~us l'abandonner,
qu'une tortue n'wbandonne sa carapace. .J' aurais espéré trouver une place
sûre dhcz ces derniers si tant d'c s~oirs déçus ne m'avaient pas désapprise à
espérer. Cependa nt, pour ne pas mc reprocher de ne l'avoir pas essayé, je
tentai la chance. Veut-on en connaître le résultat ? Je ne demeurai nulle part
moins longtemps que chez eux. Y avait-il, .e n etl'et, à espérer quelque chose,
là où la rclj.gion ne s'entend pas ,a vec Ia religion ? Il y a autant de factions
qu'i.t y a de confréries. •L es Dominicains sont en conJlit avec ,l es Co11deliers
déclhaussés ; les .Bénédictins avec les Bernardins. Autant de noms, autant de
cultes, autant de cérémonies différentes, de crainte de s'accorder en quoi
que ce soit : cltaque confrérie n'aime que ses règdements, pendant qu'eUe
blâme et hait ceux de ses rivrules. On les voit même dans une réunion, divisés
en p~lusï.eurs fractions : Les Cordeliers haïssent les Célestins ; les uns et les
autres détestent les Conventuc:ls qui, ii leur tour et entre eux, ne vivent pas
en .b onne intelligence.
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(( .. . cependant, tout gemble fait pour les inuiler à la concorde ... >>.
:.: onnante. ]) a .p ensé eomme le poète Smus, qui avait dit de moi en termes
Jgieux : « La paix est .J.a meilleure des choses que la nature ait accordée aux
.)mmes ».. Esaïe a.ppel'le ensuite la paix, l'ouvrage de da justice, pensant,
· je ne me trompe, de la même manière que Paul, lorsque, devenu au lieu
, ., Saül le Fanatique, 1l'l10mme le rpilus pacifique et le propagateur de la
>ix et ayant ,p référé l'a mour mutue.J à tous les autres dons du Saint-Esprit,
~ faisait r·é sonner aux oreilles des .c orinthiens mon éloge av·ec un courage
·rue de louanges ct avce la plus grande éloquence. Pourrai-je ne pas me glo-
.. , ier qu'un homme si parfait et si célèbr·c ait fait mon éloge ? Ce même Paul
" · rle en certains endroits de la paix de .Dieu ; en certains autres, du Dieu
· · la Paix, rendant ,p ar là évidente la vérité que ces deux choses sont à cc
iut solidaires, que la paix ne peut exister sans Dieu et que Dieu ne peut se
:mver où la paix est a!bsente.
Il n'y a rien de moins sérieux, rien de moins fondé que les argum.e nts
ceux qui ·P rétendent qu'~l est fait mention dans la Bible d ' un Dieu des
·:nées et d'un Dieu de la vengeance. Il y a !b eaucoup de ditférence entre le
·~u des Juifs et le Dieu des Chrétiens, quoique dans sa nature, Dieu soit
ique et toujours semblable à •l ui-même. Mais, 1puisque les anciennes conoep-
. :ns ne nous déplaisent point, admettons qu'il existe un .Dieu des armées,
~ondition toutefois qu'on entende par armée, la réunion d.e toutes les vertus
,, · .ts ·l 'égide desque'lles les homm·e s combattent tous les vices. Admettons encore
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moins de plus pénibles encor.e. Ils a1gissent avec tant d'emportement qu'ils
brisent et violent res liens de la nature ; ils ne respectent aucun traité ;
ils se font Ja guerr·e à toute ·é poque ·Ct dans tous les lieux sans 1but ni fin.
Les nations se heurtent contre les nations, ·l es viHes contre les viHes, les
[a·c tions contre les factions ct l·e s princes contre les princes ; et pour la sottise
ou l'ambition de deux faibles mortels, sujets d'un moment à l'autre à la mort
inflexible, ou ·b ouleverse de fond en comble 'l 'ordre naturel d·e s choses.
J e .p asse sous silence Jes tragédies des anciennes guerres : j'insisterai
seulement sur celles qui ont eu lieu dans ces dernières années. QueUe est la
terre où l'on ne se soit battu de la manière la plus imrpitoya·b le ? Quel est 'l e
fleuve qui n'ait pas été teinté d·e sang humain ? Et, honte inouïe, ils combat-
tent plus crueHement que les bêtes !féroces. Toutes les ,g uerres que les penp·l es
ont entreprises, ils devaient les soutenir contre les vices ; mais mallheureu-
sement, ils se sont identifiés avec ,Jes vices ; ·e t les ·h ommes combattent contre
les hommes.
Les anciens tyrans qui jadis livrai·ent des batailles y •é taient poussés
par la soif de la gloire ; toutefois ils avaient Je souci, en asse·r vissant les
nations étrangères et sauvages, d'être utiles aux vaincus, et ils s'appliquaient
ainsi, quoique vainqueurs, à mériter leur r ·e connaissance. Ds mettaient tout
leur soin à ce que la victoire fût aussi peu ensanglantée que possible, afin
qu'une g·l oire honnête !fût J.c 1prix de leur victoire, et Jeur magnan~ité la
consolation du vaincu.
On rougit de rappeler pour quels motifs honteux ou frivoles les princes
actuels font prendre les armes aux peuples.
Mais de comble de l'infamie, c'est qu'il y a des princes qui, sentant leur
autorité faiblir par suite d'une paix trop longue et de J'union de leurs sujets,
s'entendent en secret, de façon diabolique, avec .J.es autres princes qui, lorsque
le ,p rétexte es.t trouvé, provoquent la .g uerre, afin de tout .d iviser par la discorde
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à suivre ...
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II
QU'EST-CE
QUE
LA JUSTICE
p ar C. O HSAWA * * -* *
Un fort penchant pou r les imitation s
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Asanga, Jésus-Cihri<stl, 1etc ... ~comme partout on voit deux partis : yin ·e t
yang et un drame dit u la Vi·e 11 continue ses scènes dramatiques et amu-
santes éternellement.
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A SUIVRE
Qu'est-ce que la force spirituelle ?
Ohsawa est-iii un faiseur de miracles, un magicien, un docteur ?
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I...ISE::Z ..•
L'ÈRE ATOMIQUE
et la.
LA PHILOSOPHIE D'EXTRÊME-ORIENT
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Celui qui vit cee que certains ont appété n:a vie tragique et d'autres
1a vie amusante n'a pas à renoncer aux ,cJharmes de l'existence décrits ci-
dessus pal'oe qu'H ne iles perçoit pas du tout •COmm·e des clharmes mai's
bien •c omme des vides et des enn1u·i:s·. ill n'y a de sa part aucun effort << con-
tre lui.;même », aucune notion de mérite (surtout pas de morale ! ... )
aucune justification, aucune décoration compensatrice dans ce m-onde ni
dans iles autres, pas même de VlOilonté de suTvivre (bien au c-ontraire, plutô1l
Qe g-oût du risque, Q1'attraction du danger) aucune espérance de récompen-
ses et •c onséquemment aucune crainte de châtiments. C'est pourquoi même
le stoï·cisme gréco-romnin cla:sique est déjà une attitude •c omique à peine
différente du moralisme, chl"éli en d autre. Pourquoi notre homme crain-
drait-il la 1lur'bu1ence et tout ce qui en relève et qu'il .e st inutille que je
nomme ? Qui craint 1a destruction témoigne seu:lement de pl'lessentir qu'hl
va passer. Qui est p1lein de créations n'a pas d'œ~l pour iles destructions .
tout nettoyage a même des !chances de faire de <la place pour les nouveautés
dont i:l est enceint, dont il Iui faut se libérer, qu'i1 aspire à mettTe au
monde à •seuJle fin d'en être déchargé ; 'c ar i:l est à l'observatiD'l1 de nature
très femell·le, t<rès yin si vous savez.
Rien d'étonnant à ce 'que l'Antiquité <Cil·a ssique !!1Je perçut déjà plus
rien de 'l a l"éalit:é in'c:luse dans ses vieux mots historiques fossilisés. En
vol·Cl un exemplle si,gnifi,c atif· que je donne sans l"é:fiérences tel. qu'il m'est
resté en mémoire :
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LES
TRANSMUTATIONS
BI01LOGIQUE§
L. KERVRAN de L. KERVRAN
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OriSt\'J\1t\ ..fftAi'ICE
vous recommande •
•
OHSAWA-FRANCE
VOUARCES PAR ANGLURE (MARNE)
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