Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Management : séance 1
Le fordisme :H.Ford : en poursuivant l’œuvre de Taylor et en s’appuyant sur la loi de déboucher (l’offre
crée sa propre demande), il invente le travail à la chaine et la standardisation des produits deux principes
ayant permis à FORD de réaliser une augmentation gigantesque de la productivité et réduction des couts
Citation de l’auteur
- si j’avais demander aux gens ce qu’il voulaient il m’auraient répondu des chevaux plus rapides
- Tout le monde aura la voiture de la couleur qu’il souhaite, à condition qu’elle soit noir .
classiques L’OAT: Henri Fayol 1916 ils distingue 5 fonctions dans les entreprises ( technique, commerciale, financière,
de sécurité,et enfin la fonction comptable) mais il focalise l’intention sur la fonction administrative, il attribue à cette
fonction 5 missions POCCC (prévoir, organiser, coordonner commander et contrôler), puis il attachent l’efficacité de l’organisation
au respect de 14 principes les plus importants sont :
- Unité de Commandement et de direction, spécialisation des taches, l’autorité claire , la coordination hiérarchique
- L’ordre et la discipline, l’initiative, esprit de corps, stabilité de personnel, l’équité.
La bureaucratie : Max Weber 1922 l’auteur à commencer par s’interroger sur comment certaines
personne exercent des fonction de commandement non pas en raison de leur compétences mais simplement grâce à
leur statut social ou leur charisme « ils invente en cela 3 forme d’autorité reconnue inconsciemment dans la société comme
légitimes « autorité statutaire , autorité charismatique et autorité rationnel-légale »
Pour l’auteur l’autorité rationnel-légale est la forme idéale d’organisations en effet dans cette forme d’organisation l’essentiel des
décisions sont écrites et c’est la fonction qui est investi de l’autorité et pas l’individu en conséquence le fonctionnement est basé
sur des relations impersonnelles.
Depuis les années 30 plusieurs critiques ont été adressées à l’approche
classique surtout l’ignorance de la dimension humaine et sociale dans
les organisations et c’est pour palier à cela qu’un autre courant de
pensé va voir le jour… on parle bien évidement du courant des
relations humaines.
Importance des relation sociale : Elton mayo 1933 mayo fut le 1er qui a mis en
évidence le rôle de la dimension sociale des organisation( importance de la motivation sociale dans
l’amélioration de la productivité comme la reconnaissance, l’appartenance au groupe..)
Le style participatif : kert lewin 1961 à travers une enquête auprès de directeurs de
grandes compagnie d’assurance , il observe que ceux ayant des résultats les plus médiocre présentent
des traits communs principalement la focalisation sur les taches et donc leur comportement est
orienté surveillance, contrôle, procédure.. A contrario les dirigeant qui se concentre plus la motivation ,
les valeurs et les relation sociales déclarent des résultat largement supérieurs au 1er.
Évolution des théories :
Emery et trist 1960 : présentent au moins 2 sous systèmes au sein de l’entreprise et qui
sont intimement système technique et le système sociale.
Comment les décisions se prennent au sein des organisations ? Ces décisions sont elles rationnelles ?
La rationalité limité : herbert simon 1957 : les décision de l’homme ne sont pas optimales à cause de
• l’information utilisable
• Temps disponible
• capacités du décideur
Par conséquent l’individu confronté à un choix il va élaborer un modèle simplifié de la réalité en fonction de
ses connaissances , ses valeurs, ses expérience.
Le processus de la décision passe par : Intelligence modélisation choix
Le modèle politique : Cyert et march 1970 : en conceptualisant l’organisation comme une structure
composée de plusieurs joueurs, ou chaqu’un cherche à satisfaire ses propres objectifs.
L’école de pour les auteurs 3 éléments expliquent le processus de décision au sein de l’organisation
la décision • Rationalité local
• Élimination d’incertitude
• Apprentissage organisationnelle
Théorie de la poubelle : cohen march et olsen 1972 : la prise de décision n’est qu’une rencontre fortuite
entre 4 flux : participant, problème, solutions et opportunité de choix.
Les biais cognitif : kahneman et tversky 1972 : le raisonnement humaine qui est au cœur de la
décision est frappée par des biais cognitif :
• Excès de confiance en sois
• Résistance au changement
• conformisme
Évolution des théories :
La variabilité de l’environnement : Burn et Stalker 1966 : les auteurs distinguent 2 structures types
• Mécaniste : cette structure est proche de l’organisation issue des travaux des théoriciens
classique ( cette structure est favorable dans un environnement stable)
• Organique : structure flexible, esprit de groupe, décentralisation…
La L’adaptation diversifiée à l’environnement : Lawrence et lorsh 1967 : les auteurs montrent que
l’environnement n’affecte pas seulement la structure dans son ensemble mais affecte aussi de
contingence manière différenciée les différentes divisions d’une organisation dès lors que chaque division est
confrontées à des environnments ayant des caractéristiques différents
La technologie : J.Woodward 1970 : l’auteur montre d’abord que les sys de production similaires
tendent à avoir des structures qui se ressemble de plus elle constate que les entreprises dont la
production est unitaire ou en petite série sont plus efficace quand leur structure est organique…
La taille : Blau 1971 l’auteur à travers son étude empirique établie le lien entre la taille des
organisations et la structure en montrant que la croissance de la taille entraine une plus grande
différenciation ce qui entraine mécaniquement une complexification des la coordination.
- Le cout de la structure augment moins proportionnellement à la croissance
Est il possible de comprendre le comportement des individus au sein de l’organisation ?
Si oui comment le contrôler ?
Stratégies d’acteur : Crozier et Freiberg 1977 l’analyse du pouvoir au sein des organisation
ne se limite pas aux rapports hiérarchique mais réside dans la capacité des individus à repérer et
saisir des zones d’incertitudes. ( stratégie d’acteur, système d’action concret , zones d’incertitude)
Pouvoir informel….
La culture d’entreprise, vue comme une ressource à gérer : comment créer un « esprit maison »
-pour Peter et waterman 1981 il n’y a pas de performance sans une forte culture unificatrice
- La théorie Z ; W. Ouchi a analysé les pratiques américaines (surtout basées sur l’individualisme) et
les pratiques japonaises (surtout basées sur le consensus social)
dans l’entreprise de type Z, la démarche participative doit alors faire partie intégrante des pratiques de gestion,
et la collaboration ne peut s’obtenir que par une identification aux valeurs de l’organisation
Sociologie :
la culture
d’entreprise La culture comme un environnement externe : hofstède On considère ici que la culture est
un environnement, qui est externe à une organisation. Cet environnement a un impact sur
l’organisation
Les cultures nationales diffèrent de par les valeurs qui sont inculquées dès le plus jeune- Age
cette culture se transpose aux etse et détermine un mode de management
Orientation l’individualisme/collectivisme
Degré d’acceptation de la distance hierarchique
contrôle de l’incertitude
Valeurs masculines / féminines
Évolution des théories :
Théorie de la
Théorie d’agence
firme
Théories
évolutionnistes
Pourquoi les entreprises existent et pourquoi certaines sont plus performantes que d’autres ?
Nature de la firme: R.Coase 1937 l’organisation résulte de l’échec de marché, en raison des
couts élevés de transaction.
Théorie des La gouvernance contractuelle des relations : O.Wiliamson 1979 : met l’accent
couts de sur le comportement des individus pour expliquer les couts de transaction en effet dans un
transaction. contexte d’asymetrie d’info et de rationalité limité les agents peuvent faire preuve
d’opportunisme ce qui augment les couts de conclusion de contrat(pour ne pas être victime de
sélection adverse) ainsi que les couts contrôle (pour réduire le risque d’alea moral).
Théories
évolutionnistes Les routines : Nelson et winter 1982 :
Suite à un changement de l’environnement les organisations qui persistent sont
celle ayant développés des routines d’apprentissage et d’adaptation rapide.
• Découle de ça que Les firmes qui perdurent ne sont pas celles qui maximisent
leur profit mais plutôt sont celles qui ont de bonnes « règles de conduite »
par conséquent l’objectif de la firme n’est pas seulement la maximisation du
profit mais aussi la survie.
Pourquoi les entreprise sont différentes ? Pourquoi certaines sont plus performantes que d’autres ?
Barney 1991 : se sont les caractéristiques de certaines ressources détenues par les organisations
qui expliquent les différence de performance , en effet plus les ressources sont VRIN (valorisables
,Rares, inimitables, Non substituables ) plus ils seront source d’avantage concurrentiel.
théories des
ressources et Amit et shoemaker 1993 : pas la peine de chercher les ressources VRIN se sont les routines le
compétences culture..