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Chapitre 

II : Le compte en banque

Introduction

L’usage d’un compte bancaire est sûr et commode : le besoin qu’en ressent le parti culier
est rappelé de la manière formelle par la publicité que font les banques.

L’ouverture d’un compte est un acte important :au-delà de la mise en jeu des procédures
techniques que nous étudierons, elle marque l’entrée en relati on du parti culier avec la
banque ; en se faisant ouvrir un compte, le parti culier devient un client de la banque.

1-Le compte

On entend par compte, un état comptable dans lequel est enregistré l’ensemble des opérations
effectuées entre la banque et son client.

En effet, la banque enregistre, sur le compte de son client, toutes les opérations effectuées par celui –ci.
Elle inscrit dans une colonne appelée crédit toutes les sommes que son client lui remet ou qu’elle reçoit
d’autre personne pour le compte de son client. Elle inscrit dans une colonne appelée débit toutes les
sommes qu’elle prélève du compte de son client soit pour les lui verser soit pour les remettre à un tiers
désigné par ce client.

Traditionnellement, cette inscription se faisait sur une fiche cartonnée. Mais les banques font de plus en
plus appel à l’électronique cela entraine le remplacement de ce support par des bandes magnétiques.

La différence entre le total des sommes portées au crédit et le total des sommes portées au débit est
appelée le solde du compte.

Lorsque le total du crédit est supérieur au total débit, le compte à un solde créditeur : ce compte
constitue l’avoir du client chez la banque.

Dans la situation contraire c’est –à- dire débit supérieur au crédit, le solde serait débiteur. Mais, sauf
autorisation de la banque, le particulier ne doit pas retirer plus qu’il ne possède à son compte :il ne doit
jamais rendre le solde de son compte débiteur.

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