LES ESSAIS DE COMPACTAGE

Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
EXAMEN PREALABLE A LA
Tours - 15 mai 2008
RECEPTION DES TRAVAUX
D ’ASSAINISSEMENT

Michel MONTAUT
1
 Objectifs des épreuves de
Journée technique
compactage
Qualité des réseaux d’assainissement
Tours - 15 mai 2008

• Vérifier que les caractéristiques du sol d ’enrobage sont

conformes aux hypothèses fixées dans le projet.
• Vérifier que le remblai est stable dans sa globalité, et
ne génèrera pas de tassement en surface.

• Dans les deux cas la vérification va porter sur la

densité du remblai, qui doit atteindre un niveau
minimum fixé dans le CCTP.

ZONE DE REMBLAI
PROPREMENT DIT

ZONE D‘ENROBAGE

Figure n°1 : Coupe – type d’une tranchée d’assainissement

et zones concernées par les épreuves de compactage

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 Objectifs des épreuves de
Journée technique
compactage
Qualité des réseaux d’assainissement
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• Si les objectifs ne sont pas atteints, des désordres peuvent
apparaître à plus ou moins long terme.

Écrasement de tuyau

Affaissement de chaussée Ovalisation d ’un tuyau PVC

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 Objectifs des épreuves de
Journée technique
compactage
Qualité des réseaux d’assainissement
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• Vérification du lit de pose et du fond de fouille.

– Dans le cas d ’une mauvaise portance du lit de pose, des
fissures circulaires peuvent apparaître rapidement.

Fissure circulaire sur un tuyau béton neuf

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 Références normatives et réglementaires
Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
Tours - 15 mai 2008 Norme européenne

Contrôles de compactage

Essais géotechniques

Fascicules

Guides 5
 Références normatives et réglementaires
Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
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 Méthode de contrôle
Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
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PSR
Le Fascicule 70 du CCTG précise :
PIR - Arrêt de l’essai sous le lit de pose,
- Arrêt de l’essai sous la substitution,
- Sur demande du Mo, 0,40 m dans
le terrain naturel.

Enrobage

Lit de pose

substitution
 Méthode de contrôle
Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
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• LES CONTROLES EFFECTUES AU PENETROMETRE

- au minimum un contrôle tous les 50 m et au moins un par

tronçon, sur l ’ensemble du linéaire.
- un essai au moins tous les trois dispositifs d ’accès ou de
contrôle.
- un essai sur au moins un branchement sur cinq.

• Le nombre des emplacements où les essais sont effectués doit être fixé
dans le CCTP.
• Il est du ressort du maître d ’ouvrage et du maître d’œuvre de transmettre
à l ’organisme de contrôle les données fiables sur les matériaux employés
et de définir la localisation des points de contrôles.

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 Méthode de contrôle
Implantation du point d’essai
Journée technique
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RV AMONT

- Le Mo définit la zone d’essai

- L’entreprise confirme
- Le contrôleur implante le point
+ 15 cm 0,5 x OD

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RV AVAL
 Méthode de contrôle
Journée technique
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• Identification des matériaux

• Cas 1
Des essais d’identification sont réalisés au cours des
travaux par l’organisme qui procède aux contrôles. Il les
utilise sous sas responsabilité.

• Cas 2
Les résultats des essais d’identification ainsi que la teneur
en eau sont fournis à l’organisme de contrôle par le donneur
d’ordre. La mention de l’origine des informations est portée
au PV.

• Cas 3
Aucune identification préalable n’existe. Des prélèvements
sont effectués par l’organisme de contrôle. Après
identification, l’organisme de contrôle se réfère au catalogue
de cas du pénétromètre, sinon réalisation d’une planche
d’essai 10
 Principe d’un contrôle
au gammadensimètre
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z Mesure directe de la densité

z Profondeur de mesure: 40
cm maximum
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 Principe d’un contrôle par la méthode
pénétrométrique
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•Réalisé à l ’aide d ’un

pénétromètre dynamique.
Cette méthode consiste à
battre une tige dans le remblai
et à mesurer le rapport
enfoncement de la tige /
énergie de battage.

L’enfoncement est fonction:

z de la densité du remblai

z de la nature du matériau

zde l’énergie de battage

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 Principe d’un contrôle par la méthode
pénétrométrique
Journée technique
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Deux catégories d’appareils utilisables

z pénétromètre à énergie constante
Norme XP-P-94-063

z pénétromètre à énergie variable

Norme XP-P-94-105

Le principe d’interprétation est le même

dans les deux cas
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 Pénétromètres
à énergie constante
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Tours - 15 mai 2008 • Plusieurs matériels
Le pénétromètre à énergie constante permet
de contrôler des matériaux de D 100 à 150
mm lorsque la tranchée est complètement
remblayée.
PDG 1000 Sonde LRS Sedidrill

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 Pénétromètres
à énergie constante
Journée technique
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• Principe de
fonctionnement du
PDG 1000

15
 Pénétromètres
à énergie constante
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• Mesure effectuée:
Enfoncement
par coup de
battage
en mm

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 Pénétromètres
à énergie variable
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• Un seul matériel à
l’heure actuelle:

Le PANDA

•Le pénétromètre à énergie variable qui

est portable, permet de contrôler des
matériaux de D <= 50 mm.

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 Pénétromètres
à énergie variable
Journée technique
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• Principe de
fonctionnement
du PANDA
• Avantage:
matériel léger

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 Pénétromètres
à énergie variable
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• Mesure effectuée:
Résistance en
pointe du sol
(Rp) en Mpa

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 Mode d’interprétation des
essais pénétrométriques
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Trois fonctions sont définies par les normes

(XP-P-94-063 et XP-P-94-105):

• Fonction A:
Evaluation de l’épaisseur des couches compactées

• Fonction B:
Vérification de l’atteinte d’un objectif de densification

• Fonction C:
Vérification de la conformité par rapport à une
planche de référence
20
 Principe de la Fonction A
Journée technique
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Les zones d’enfoncements faibles correspondent au

passage des compacteurs

Variation de la densité sur une

couche compactée

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 Principe de la Fonction A

Journée technique
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 Interprétation des Contrôles
Journée technique
Fonction B
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• Il est nécessaire de placer sur le diagramme d ’essai

deux droites DL et DR, qui sont représentatives de la
réponse d ’un remblai correctement compacté. Ces
droites sont issues d ’un catalogue de cas spécifique à
chaque pénétromètre (sauf pour les autocompactants et
les gravettes).
• Leur position sur le diagramme varie en fonction de
l ’objectif de compactage visé, mais également de la
nature du remblai et de son état d ’humidité.
• L ’interprétation se fait en comparant la position du
diagramme par rapport aux droites de référence et
limite.

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 Principe de la Fonction B
Journée technique
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On utilise deux droites

qui résultent d’un
étalonnage de
l’appareil

Droite limite Dl
Droite Référence Dr
référence Dr

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 Etablissement des droites Dl et Dr
Procédure d’étalonnage
Journée technique
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Pour chaque classe de matériau et chaque état

d’humidité, on réalise une planche d’étalonnage

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 Etablissement des droites Dl et Dr
Procédure d’étalonnage
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Les droites sont tracées à partir des pénétrogrammes

réalisés sur la planche d’essai

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 Choix des droites Dl et Dr
Journée technique
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• Influence du
matériau sur la
position de la
courbe

27
 Choix des droites Dl et Dr
Journée technique
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• Les droites dépendent:

– de l’objectif de compactage contrôlé:
(q5 - q4 - q3 – q2)

– de la nature du matériau de remblai

(classification GTR)

– De l’état d’humidité du matériau pour

tous les matériaux sensibles à l’eau

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 Choix des droites Dl et Dr
Journée technique
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29
 Choix des droites Dl et Dr

Journée technique
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Possibilité d’avoir plusieurs

zones homogènes avec des
matériaux différents.

30
 Interprétation des essais en fonction B
Journée technique
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• Tout dépassement à gauche de la droite limite traduit une
anomalie.
– 4 degrés d ’anomalie sont décrits dans les normes d ’essai
XP-P-94-063 et XP-P-94-105.
• Lorsque une anomalie est détectée, avant prise de décision,
effectuer un contre essai à proximité .

31
 Interprétation des essais en fonction B
Journée technique
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• Le pénétrogramme est comparé

à la position des droites limites et
PSR
de référence concernées.
• Pour déterminer le type
d’anomalie, la profondeur h à
prendre en compte est celle
d’une épaisseur de remblai de h PIR
densification constante en
distinguant l’enrobage et le
remblai
• Les normes XP P 94-063 et XP Enrobage
P 94-105 définissent 4 types
d’anomalies par ordre de gravité h
croissante.
32
 Interprétation des essais en fonction B
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• Critères :
• • Résultat avec anomalie de type 1
• - le pénétrogramme ne se trouve jamais en dépassement de DL
• - les épaisseurs de couche sont systématiquement supérieures
de plus de 20 % aux valeurs prescrites.

ec

> 20 % h

Z
DL DR 33
 Interprétation des essais en fonction B
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• Résultat avec anomalie de type 2

• Critères : le pénétrogramme dépasse DL d'un écart inférieur à
la distance b entre DL et DR, et au total sur une hauteur de
moins de 30 % de la profondeur contrôlée h.
ec
b

(*)
h

a < DL - D R (*)

Z
DL DR
(*) Somme des dépassements < 30 % de la profondeur contrôlée h 34
 Interprétation des essais en fonction B
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• • Résultat avec anomalie de type 3

• Critères : le pénétrogramme dépasse DL d'un écart supérieur à
la distance b entre DL et DR, ou au total sur une hauteur de
plus de 30 % à 50 % de la profondeur contrôlée h, quelle que
soit l'importance du dépassement.

35
 Interprétation des essais en fonction B
Journée technique
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• • Résultat avec anomalie de type 4

• Critères : le pénétrogramme dépasse DL sur plus de
50 % de la profondeur contrôlée h.

36
 Interprétation des essais en fonction B
Journée technique
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• Critères d’acceptation du contrôle : chapitre 6 du Fascicule

n°70 du CCTG

iZone de remblai proprement dit : pour l’interprétation, la hauteur à

prendre en compte correspond à la hauteur totale de remblai.
- Anomalie de type 1 : essai acceptable
- Anomalie de type 2 : essai acceptable
- Anomalie de type 3 : essai non acceptable
- Anomalie de type 4 : essai non acceptable

iZone d’enrobage : pour l’interprétation, la hauteur à prendre en

compte correspond à la hauteur uniquement de l’enrobage.
- Anomalie de type 1 : essai acceptable
- Anomalie de type 2 : essai non acceptable
- Anomalie de type 3 : essai non acceptable
- Anomalie de type 4 : essai non acceptable 37
 Exemple de résultat

Journée technique
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38
 Exemple de résultat

Journée technique
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39
 Principe de la fonction C
Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
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• En début de chantier, une planche de

référence est réalisée.

• On y vérifie l’atteinte des objectifs

(gammadensimètre)

• On compare ensuite les pénétrogrammes

à ceux obtenus lors de la planche.

40
 Principe de la fonction C
Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
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41
 Principe de la fonction C

Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
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Journée technique
FROTTEMENT LATERAL ENTRE LE MATERIAU ET LE TRAIN DE TIGE
Qualité des réseaux d’assainissement
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L ’ESSAI N’EST PLUS VALIDE SI :

En fonction A, si le couple mesuré en newtons par mètre dépasse une valeur égale à
3
⎛d ⎞
3× ⎜ t ⎟
⎝ 10 ⎠

En fonction B ou C, si le couple mesuré en newtons par mètre dépasse une valeur

égale à :

3
⎛ dt ⎞
⎜ ⎟
⎝ 10 ⎠
Dans ce cas on peut néanmoins continuer l’essai en fonction A

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 Vérification du frottement
Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
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• Exemple d’essai perturbé par le

frottement
• Solution:
– mesurer le frottement
– si nécessaire, utilisation d ’une
boue de forage

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 Vérification du frottement
Journée technique
Qualité des réseaux d’assainissement
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Essai à la boue Résultat du contrôle

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 Influence d’une nappe
Journée technique
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Matériau sec Matériau sous nappe 46

 Interprétation des Contrôles
Journée technique
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• AIDE A LA DECISION A L ’ISSUE DU CONTRÔLE

• Lorsque les mesures relèvent une insuffisance, on peut apprécier le risque

d ’évolution de la tranchée en fonction du contexte : un trafic élevé, la présence d ’une
nappe, renforcent ce risque.
• Les dispositions à prendre à l ’issue du contrôle sont liées au contexte et à la gravité
du défaut estimé en fonction de l ’écart de la mesure par rapport à l ’exigence initiale.

- un risque d ’évolution faible pourra être accepté ponctuellement s ’il ne se révèle pas être
répétitif.
- un risque d ’évolution moyen nécessitera soit une reprise soit une adaptation du délai de
garanti.
- un risque d ’évolution fort nécessitera la reprise des travaux.

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