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Introduction 

Bien que la réflexion scientifique sur les phénomènes sociaux ne date pas d'il
y a longtemps, les questions liées à la vie en société occupent depuis longtemps
l'esprit des penseurs. Dans l'histoire de la sociologie, ils se réfèrent au savant Ibn
Khaldoun, était connue sous le nom de sociologie humaine ou d'urbanisme
humain, et d'autres pensent qu'Emile Durkheim est le vrai père de la sociologie,
jusqu'à ce que Comte s'impose aussi comme celui qui a lancé le terme moderne
sur cette science (sociologie), il faut donc se tenir debout sur la réalité de cette
science et répondre également aux questions suivantes : Qu'est-ce que la
sociologie ? Et qui sont les pionniers ? Et quelle est l’importance de cette
connaissance ?.
1. Définition de la sociologie :
La sociologie peut être définie comme la branche des sciences humaines
qui cherche à comprendre et à expliquer l'impact de la dimension sociale sur les
représentations (façons de penser) et les comportements (façons d'agir) humains.
Ses objets de recherche sont très variés puisque les sociologues s'intéressent à la
fois au travail, à la famille, aux médias, aux relations, aux réseaux sociaux, aux
rapports de genre (hommes/femmes), aux statuts et fonctions, aux religions, ou
encore aux formes de cultures et d'ethnicités...C'est elle qui pousse l'humain à
réagir en société de façon à modifier ou préserver son statut social.
Le terme de sociologie est forgé par Emmanuel-Joseph Sieyès à partir du
préfixe « socio » du mot latin socius signifiant « compagnon, associé » et du
suffixe « logie » du terme grec ancien λόγος logos, signifiant « discours, parole
». Il s'agit donc étymologiquement d'une science des relations. Le terme est
popularisé par Auguste Comte dans le sens d'une « physique sociale » à partir de
1839. L'emploi du mot sociologie serait né d'une petite querelle : Auguste
Comte, secrétaire de Saint-Simon de 1817 à 1823, veut reprendre l'idée de
création d'une science de la société. Il la nomme d'abord « physique sociale » ;
mais le Belge Adolphe Quételet l'utilise déjà pour désigner des travaux
statistiques portant sur les phénomènes sociaux. Le mot « sociologie » est dès
lors préféré et retenu.
2. Les précurseurs :
2.1. Ibn Khaldoun
Ibn Khaldoun, de son nom complet Abou Zeid Abd ur-Rahman Bin
Mohamad Bin Khaldoun al-Hadrami1,2 (né le 27 mai 1332 à Tunis et mort le 17
mars 1406 au Caire), est un historien, philosophe, diplomate et homme politique
arabe.
Sa façon d'analyser les changements sociaux et politiques qu'il a observés
dans le Maghreb et l'Espagne de son époque a conduit à considérer Ibn
Khaldoun comme un « précurseur de la sociologie moderne ».
Ibn Khaldoun est aussi un historien de premier plan auquel on doit la
Muqaddima (traduite en Prolégomènes et qui est en fait son Introduction à
l'histoire universelle et à la sociologie moderne) et Le Livre des exemples ou
Livre des considérations sur l'histoire des Arabes, des Persans et des Berbères.
Dans ces deux ouvrages résolument modernes dans leur méthode e, Ibn
Khaldoun insiste dès le début sur l'importance des sources, de leur authenticité
et de leur vérification à l'aune de critères purement rationnels. Georges Marçais
affirme que « l'œuvre d'Ibn Khaldoun est un des ouvrages les plus substantiels et
les plus intéressants qu'ait produit l'esprit humain ».1
Néanmoins, des intellectuels déplorent que bien que son nom soit aussi célèbre
au Sud qu'au son œuvre soit surtout lue dans cette seconde région ses travaux les
plus importants sont ceux qu'il a écrits lors de sa retraite à la forteresse des Beni
Salama100. Il s'agit de son autobiographie (Târif) qui tire son intérêt du fait de
l'éclairage qu'elle donne sur les conditions de la réalisation de ses autres travaux,
son Livre des exemples et surtout sa Muqaddima Nord de la Méditerranée,

Muqaddima

Conformément à la tradition des auteurs musulmans, Ibn Khaldoun fait


précéder son Histoire universelle d'une préface. Il s'agit de la Muqaddima ou
Prolégomènes, une introduction en trois volumes. Pour l'essentiel, les deux
premiers volumes sont écrits entre 1375 et 1378 tandis que le troisième a été
rédigé bien plus tard, certainement en Égypte. Ce dernier est consacré à la
jurisprudence, la théologie, la philosophie, aux sciences pures et appliquées, les
méthodes d'enseignement, la rhétorique et la poésie. Il ne présente pas le même
intérêt que les deux premiers concernant l'histoire de l'Afrique du Nord et la
méthode de l'histoire de manière générale.

Avec cette œuvre, Ibn Khaldoun crée pour la première fois dans la culture
islamique une science reposant sur l'analyse précise des faits historiques. Il tente
d'y déterminer le symptôme et les causes de la montée et du déclin des dynasties
arabes en s'appuyant sur sa propre expérience. Les historiographes s'étaient
jusqu'alors contentés de consigner les événements historiques sous forme
d'annales et sur la base de récits transmis d'abord oralement puis par écrit. À

1
Ibn Khaldūn. Discours sur l’histoire universelle (al-Muqaddima). Traduit par Vincent Monteil. 3e
édition. Paris: Sindbad, 1997.
l'inverse, Ibn Khaldoun s'interroge constamment sur les causes des évolutions
historiques qu'il classe en facteurs sociaux, culturels, climatiques, etc….2

Dans la préface, rédigée selon la tradition de l'adab en prose rimée arabe,


il décrit l'historiographie comme la plus importante des branches de la science
car elle traite de la création et de l'évolution de la civilisation humaine. À travers
son approche, Ibn Khaldoun explique la légitimité du pouvoir par l'asabiyya, un
mot d'arabe ancien qu'il réinterprète. Le comportement sociopolitique du groupe
s'analyse comme suit : naissance d'une asabiyya puis identité d'intérêts et de
comportements qui fonde un groupe. Ce dernier cherche à imposer sa
souveraineté (mulknote ) qui est la base de toute civilisation ordonnée. À ce
moment, entre en jeu un autre facteur de civilisation, la religion, superstructure
soumise à des déterminations de base et à leurs sollicitations. À chaque phase de
l'évolution sociale correspond donc un type de comportement religieux. La
religion s'insère dans une situation où elle a une fonction d'ordre politique réf.
nécessaire]. C'est elle qui sous-tend le mouvement d'une asabiyya vers le mulk.

Ibn Khaldoun ne prétend donc pas retrouver dans l'histoire quelque


dessein de Dieu et note que le sentiment religieux se dénature et se dissout en
même temps que se distendent les liens de solidarité de l'asabiyya. Cette
doctrine heurte le rigoureux idéalisme malékite qui règne alors au Maghreb

Son enseignement sur la civilisation et la culture, Ilm al-Umran,


comprend des discussions approfondies sur les relations entre la vie rurale
bédouine et la vie urbaine sédentaire qui sont, selon lui, la source d'un conflit
social majeur. Dans cette perspective et à l'aide du concept de l'asabiyya, il
explique aussi bien dans l'histoire islamique que non islamique la montée et le
déclin des civilisations au sein desquelles la religion et la foi peuvent compléter
et épauler l'effet de la asabiyya, comme par exemple lors du règne des califes.

2
Ibn Khaldun. Le Livre des exemples : La Moquaddima. Traduit par Abdeslam Cheddadi. Paris:
Gallimard, 2002.
Selon lui, les Bédouins, en tant qu'habitants des régions rurales, possèdent une
forte asabiyya et une foi plus solide tandis que les habitants des villes
deviennent toujours plus décadents et corrompus au fil des générations et voient
ainsi l'intensité de leur asabiyya diminuer. Au bout de plusieurs générations, la
dynastie implantée en milieu urbain voit donc son pouvoir (fondé sur la
cohésion) s'amoindrir, devenant ainsi la proie d'une tribu agressive issue de la
campagne, possédant une asabiyya plus forte, qui établit à son tour, après la
conquête des villes et leur destruction partielle, une nouvelle dynastie.1

2.2 Auguste Comte :

(Isidore Marie Auguste François Xavier Comte).

Né le 19 janvier 1798 (30 nivôse An VI) à Montpellier (Hérault) et mort le 5


septembre 1857 à Paris, est un philosophe français.

Il est l'auteur de la célèbre loi des trois états, selon laquelle l'esprit humain passe
successivement par « l'âge théologique », par « l'âge métaphysique », pour
aboutir enfin à « l'âge positif » admettant que la seule vérité accessible l'est par
les sciences.

Son influence sur l'épistémologie française est considérable.

Il fut le secrétaire particulier, puis le disciple du comte de Saint-Simon, lui-


même fondateur du mouvement saint-simonien.

Comme on l’a déjà dit le terme sociologie est popularisé par Auguste Comte
dans le sens d'une « physique sociale » à partir de 1839.2

Le positivisme scientifique

Les principes du positivisme scientifique ou positivisme philosophique, sont


décrits dans le Cours de philosophie positive, publié de 1830 à 1842. Auguste
1
Ibn Khaldun. Le Livre des exemples : La Moqaddima. Op.cit.

2
Jean lacroix la sociologie d’auguste compte presses universitaires de France 1973.
Comte y expose une théorie dite loi des trois états. Article détaillé : Loi des trois
états.

Pour Auguste Comte, le positivisme est lié à l'émergence de l'âge de la science


caractéristique de « l'état positif » qui succède, dans la loi des trois états, à «
l'état théologique » et à « l'état métaphysique ».

2.2.1 L’état théologique

Appelé aussi âge théologique ou « fictif », il correspond à celui de l'âge de


l'enfance de l'humanité ; dans lequel l'esprit recherche la cause des phénomènes
soit en attribuant aux objets des intentions (cf. fétichisme), soit en supposant
l'existence d'êtres surnaturels (religion polythéiste) ou d'un seul Dieu
(monothéisme). C'est donc le début de l'exercice de la pensée. L'enfant prend
conscience de son propre pouvoir ; il croit alors à un pouvoir magique. Cette
notion est amplifiée par l'apparition de la parole, l'enfant joue avec le langage
(mensonges, ...). Il y a aussi une forte croyance aux choses : le fétichisme se
traduit par la religion des forces de la nature. Toute la nature est une divinité ;
c'est l'animisme. Peu à peu, les esprits deviennent des hommes et la religion de
la nature se transforme en religion politique.

2.2.2 L'état métaphysique

Appelé aussi âge métaphysique ou abstrait, il correspond à celui de l'adolescence


de la pensée ; dans lequel les agents surnaturels sont remplacés par les forces
abstraites :1

 La « Nature » de Spinoza,

 Le « Dieu géomètre » de Descartes,

 La « Matière » de Diderot,

 La « Raison » du siècle des Lumières.


1
Jean lacroix la sociologie d’auguste compte, op.cit.
Cette époque est un progrès par rapport à la pensée anthropomorphique
antérieure. Mais la pensée reste prisonnière de concepts philosophiques abstraits
et universels. On rapporte la réalité à des principes premiers. C'est la « Méthode
du philosophe », écrit Auguste Comte.

Comme l'explique John Stuart Mill dans son ouvrage sur Auguste Comte, « le
signe diagnostique universel du mode métaphysique de penser, dans le sens
Comtien du mot » correspond à « celui d'ériger une pure création de l'esprit en
règle, ou norme de la vérité externe, et de donner l'expression abstraite des
croyances déjà adoptées, pour la raison et la preuve qui les justifient. » Le
raisonnement des médecins dans le malade imaginaire de Molière expliquant
que « les vertus dormitives » dans l'opium seraient la cause du sommeil en est
un exemple - fictif - célèbre : un mot (ou une expression) que l'on associe à un
phénomène est donné comme sa justification.

2.2.3L’état positif

Appelé aussi âge positif, il est décrit comme « l'état viril de notre intelligence ».
L'esprit positif rejette la recherche du « pourquoi ultime » des choses pour
considérer les faits, « leurs lois effectives, c’est-à-dire leurs relations invariables
de succession et de similitude » (Cours, I). Le recours aux faits, à
l'expérimentation, à l'épreuve de la réalité, est ce qui permet de sortir des
discours spéculatifs. C'est le premier principe du positivisme. Alors que l'esprit
métaphysique recourt à des concepts éternels et universels, qu'il ne soumet pas à
la réalité, l'esprit positif confronte les hypothèses au monde réel.

Les plus importants œuvres d’August Comte :1

 Séparation générale entre les opinions et les désirs, 1819

 Cours de philosophie positive, 1830-1842

 Traité de Géométrie analytique,


1
Jean lacroix la sociologie d’auguste compte, op.cit.
 Traité philosophique d’astronomie populaire, 1844

 Discours sur l’esprit positif, 1844

 Discours sur l’ensemble du positivisme, 1848

 Système de politique positive, 1851-18541

2.3 David Émile Durkheim :

(15 avril 1858, Épinal - 15 novembre 1917, Paris) est l'un des fondateurs de la
sociologie moderne.

En effet, si celle-ci doit son nom à Emmanuel-Joseph Sieyès et a été popularisée


par Auguste Comte à partir de 1848, c'est grâce à Durkheim et à l'École qu'il
formera autour de la revue L'Année sociologique (1898) que la sociologie
française a connu une forte impulsion à la fin du XIX ͤ siècle.2

Formé à l'école du positivisme, Durkheim définit le « fait social » comme une


entité sui generis, c'est-à-dire en tant que totalité non réductible à la somme de
ses parties. Cette définition lui permet de dissocier l'individuel du collectif et le
social du psychologique, et de fonder logiquement les conditions de possibilité
d'une action contraignante de la société sur les individus. « Extériorité, étendue
et contrainte caractérisent le fait social » : cette thèse fit de lui le véritable
fondateur de la sociologie en tant que discipline autonome et scientifique.
Durkheim est à l'origine de plusieurs termes qui sont aujourd'hui très connus,
comme anomie et conscience collective.

L'apport de Durkheim à la sociologie est fondamental puisque sa méthode, ses


principes et ses études exemplaires, comme celle sur le suicide ou la religion,
constituent toujours les bases de la sociologie moderne. Toutefois, l'apport de

1
Jean lacroix la sociologie d’auguste compte, op.cit.
2
Jean-Daniel Boyer https://doi.org/10.4000/revss.420 p. 118-125
son œuvre va bien au-delà de cette discipline et touche presque toutes les
disciplines dans les sciences humaines, dont l'anthropologie, la philosophie,
l'économie, la linguistique, et l'histoire.1

2.3.1 Les plus importants œuvres de Durkheim :

 1893, De la division du travail social, Paris, Alcan.

 1895, Les Règles de la méthode sociologique, Paris, Alcan.

 1897, Le Suicide, Paris, Alcan.

 1912 - Les Formes élémentaires de la vie religieuse 2

3. L’importance de la sociologie :

La sociologie est d'une grande importance dans la vie humaine, et cette


importance réside dans beaucoup de choses qu'elle fait, à savoir :3

 Rechercher les fondements et les règles du développement :

Tout processus qui cherche à réaliser des progrès dans la société et un


changement radical dans celle-ci doit fournir une grande quantité d'informations
précises sur la réalité sociale et les lois et réglementations sociales en vigueur.

 Recherche de problèmes sociaux :

Cette science est d'une grande importance pour travailler à identifier les
différents problèmes sociaux qui se produisent dans la société, les analyser et
développer des solutions appropriées, et pour ce grand rôle de la sociologie, elle
a reçu une grande attention par beaucoup à travers le monde, malgré la grande
différence entre ces sociétés En termes de comportements, de coutumes et de
traditions, qui ont conduit à l'existence de nombreux problèmes sociaux
1
Jean-Daniel Boyer https://doi.org/10.4000/revss.420 p. 118-125
2
Steiner P. (1992), « Le fait social économique chez Durkheim », Revue française de
sociologie, 33-4. p. 641-661.
3
Bernard LAHIRE. Pour la sociologie Et pour en finir avec une prétendue « culture de
l’excuse » Edition la découverte paris 2016
complexes et difficiles prévalant dans de nombreuses sociétés ; Comme les
drogues, le sucre et d'autres problèmes.

 Aide à fixer des objectifs et à comprendre les valeurs sociales :

Il a un grand rôle dans l'éducation des individus à suivre les bonnes méthodes
par lesquelles ils peuvent atteindre leurs objectifs, et à leur clarifier les
conditions qui doivent être remplies pour y parvenir. Valeurs de la société dans
laquelle vivent les gens, et de les comparer avec d'autres pays et sociétés.

 La société aide à identifier les forces et les faiblesses :

Elle s'emploie à stimuler le rôle positif de ses membres à travers un travail


d'équipe qui conduit au développement et à la force de la société. La sociologie
aide à former une perception claire et correcte de toute société : ce qui conduit à
une facilité de la traiter par les autres, en fonction de ses coutumes et traditions
de vie.1

 Reconnaître les différences entre les cultures :

La sociologie nous aide à voir le monde sous différents points de vue en


apprenant à connaître de nombreuses cultures et en connaissant leur structure
sociale et leurs modes de vie, ce qui nous fait accepter l'autre et accepter ses
coutumes et sa culture.2

 Évaluation de l'impact des politiques :

Connaître les effets résultant de certaines politiques émises par les autorités et
les systèmes de gouvernement et connaître l'impact de celles-ci sur la société et
ses résultats.

 L'auto-illumination :

Bernard LAHIRE. Pour la sociologie Et pour en finir avec une prétendue, op.cit
1

Bernard LAHIRE. Pour la sociologie Et pour en finir avec une prétendue, op.cit
2
La sociologie nous permet de nous comprendre, et de nombreux groupes sociaux
ont réussi des réformes sociales réussies, tels que les groupes d'alcool et de
drogue ou les groupes environnementaux.

Conclusion :

En guise de conclusion, on peut dire que La sociologie est une science


récente, mais elle a déjà produit de nombreuses connaissances qui changent le
regard sur le monde qui nous entoure.
Entreprendre de se former à la sociologie ne signifie pas se plonger dans les
textes des « pères fondateurs », des auteurs contemporains, ou encore dans la
généalogie et l’usage des concepts sociologiques, même si, souvent,
l’introduction à la sociologie se présente comme une histoire de grands penseurs
ou de grandes œuvres.

Faire de la sociologie ne signifie cependant pas non plus apprendre un ensemble


de faits et de chiffres sur la (ou les) société(s), ni s’engager sans plus de
préparation dans un travail de recueil de données, que ce soit à travers des
observations, l’utilisation de questionnaires ou toute autre forme de collecte
d’information.

Bibliographie :

 Ibn Khaldūn. Discours sur l’histoire universelle (al-Muqaddima). Traduit


par Vincent Monteil. 3e édition. Paris: Sindbad, 1997 [1967].
 Ibn Khaldun. Le Livre des exemples : La Moqaddima. Traduit par
Abdeslam Cheddadi. Paris: Gallimard, 2002.
 Jean lacroix la sociologie d’auguste compt presses universitaires de
France 1973
 Jean-Daniel Boyer https://doi.org/10.4000/revss.420 p. 118-125

 Steiner P. (1992), « Le fait social économique chez Durkheim », Revue


française de sociologie, 33-4. p. 641-661.

 Bernard LAHIRE. Pour la sociologie Et pour en finir avec une prétendue « culture
de l’excuse » Edition la découverte paris 2016

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