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Université du littoral Côte d’Opale

TPE : Environnement

« Les Limaces De Mer »

POULEYN Sabrina

Responsable de l’enseignement : M F. Artigas.

Année universitaire 2007/2008

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Sommaire

 Introduction ------------------------------------------------------------------------------- P3

 Matériels et Méthodes ------------------------------------------------------------------- P4

 Résultats ----------------------------------------------------------------------------------- P5
Résumé de la Systématique. ------------------------------------------------------------ P5
Résumé des moyens de défense et protection utiliser. --------------------------- P5
Résumé des points faible. --------------------------------------------------------------- P6

 Discussion --------------------------------------------------------------------------------- P7

 Conclusion --------------------------------------------------------------------------------- P9

 Références bibliographiques ----------------------------------------------------------- P10

 Annexes ------------------------------------------------------------------------------------ P11

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Introduction

Dans ce rapport, nous aborderons, la manière et la procédure utiliser pour la réalisation du


rapport. Le type de recherche effectué et le résultat obtenu.

Soit, la partie concernant la méthodologie employée pour la construction des éléments de


réponse formant ce rapport, sera analysé en premier. Elle synthétisera, de la manière la plus
compréhensible possible, la forme de recherche effectué.
Elle décrira pas à pas, les formes employées ainsi que le type de support utilisé pour
trouver les informations.

Fera suite, la partie résultats, ou sera répertorié toutes les informations jugés utile au
rapport. Se faisant donc sous la forme de trois sous partis, qui serons:
-Résumé de la Systématique.
Qui abordera toutes les trouvailles en la matière, ainsi que toute la généralité concernant cet
animal.
-Résumé des moyens de défense et protection utiliser.
Qui abordera les différents moyens utilisés par les espèces trouvées.
-Résumé des points faible.
Qui abordera les points qui entraveraient la vie de nos « Limaces ».
Le tout reconstitué de manière claire et concise.

Ensuite, la continuation du rapport sera menée par la discussion, qui, elle, s'occupera de
faire la critique des moyens utilisés ainsi que leur aboutissement.

Pour aboutir a la partie conclusion,

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Matériels et Méthodes

Pour la réalisation de ce rapport ayant pour sujet : « Les Limaces de Mer », nous avions
utilisé tous les moyens à notre disposition.

Soit : -les livres de la bibliothèque -internet.


 En premier, nous avions cherché les informations sans méthode ni chronologie
particulière.
Ceci afin d’élargir au maximum la fourchette de résultat trouvé et de pouvoir, par la suite,
diriger et orienter la recherche vers quelque chose de plus approprié au sujet demandé.

Pour ce faire, nous avions fouiné :

- Tout les recoins de la bibliothèque afin d’en retirer la plus grande quantité de chose en
rapport avec nos chères « Limaces ».
Bref. Recherche à la bibliothèque : 2 livres
 « Mer Rouge Sanctuaires de la vie marine » Frédéric Denhez / Claude Rives
Glénat P157.
Qui nous avaient permis de construire un début de Systématique, utile pour l’orientation de
la recherche.
 « Guide des bords de mer Mer du Nord, Manche, Atlantique, Méditerranée »
P. Hayward / T. Nelson-Smith / C. Shields Delachaux et niestlé P210-229
(les compagnons du naturaliste. Identifier plus de 3000 espèces animales et
végétales)
Qui nous avaient permis une Systématique plus détaillé des familles et espèces.

- Dans Google :
En tapant tout et n’importe quoi en espérant de trouver, au petit bonheur la chance, toutes
sortes d’informations.

Conclusion. Une grande trouvaille de photos diverses et variées, et tout un tas de document
quasi-inutile.
Photos qui nous avaient permis de poursuivre notre Systématique avec l’espèce des
« Limaces » indiqué sur celles-ci.
 Ensuite, ayant un début un peu plus constructif, nous avions utilisé notre Systématique
obtenue pour faire une recherche plus précise et beaucoup plus orientée.
Au fur et à mesure de l’avancement de la Systématique et donc de l’orientation de la
recherche, les documents trouvés furent plus précis.
 Enfin. Le triage de ce qui servira au rapport.
Pour cela on a réalisé une sorte de synthèse de tout ce qu’on avais trouvé.

Résultat. Un certain nombre de contradiction.

Soit, il a fallu faire la part des choses.

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Résultats

Résumé de la Systématique:
Règne: Animal ; Sous/Règne: Eumetazoa ; Embranchement: Mollusques ; Classe:
Gastropodes ; Sous/Classe: Opisthobranches

Ici, nous allons voir deux Ordres, avec un exemple d'Espèce pour chaque Ordre.
Pour l'Ordre des Sacoglosses, nous prendrons l'Espèce: Elysia viridis.
Pour l'Ordre des Nudibranches, nous prendrons l'Espèce: Flabellina affinis.

Les résultats de la recherche de la Systématique, nous démontrent qu'il est très difficile de
faire un classement. En effet, plusieurs de nos document se contredisent quand a savoir si les
différents noms sont ceux de Classes ou d'Ordres ou autre chose. Soit, la Systématique cité ci-
dessus est le résultat de fait tranché.

Quand a savoir ou se trouvent les différentes Espèces Herbivores des différentes Espèces
Carnivores, la recherche démontre que :
-un Ordre comprend plusieurs Espèces qui n'ont pas le même régime alimentaire.

Pour la question de l'habitat, toutes les Espèces vivent sous l'eau, au niveau des côtes à
faible profondeur. Les différentes Espèces se répartissent dans les différents milieux.

Toutes les Espèces sont de petites tailles. ( de quelques millimètres à moins de un


décimètre.) Nos « Limaces » sont hermaphrodites et se déplace, grâce a leur pieds musculeux,
en rampant. Elles vivent plusieurs années.

Nous avons trouvé que la couleur, souvent flamboyante des Opisthobranches qui nous
intéressent, leur servent de défense contre les prédateurs. Ainsi elles avertissent ceux-ci que
l'animal n'est pas consommable. Elles servent aussi de camouflage, pour, notamment les
Herbivores qui ne garderaient pas les cellules urticantes de leur alimentation.

En effet, il nous a étaient décri que les Espèces Carnivores, comme Flabellina affinis, qui
se nourrissent de petites proies de mer comme les anémones, les éponges ou méduses, les
cnidères... peuvent stocker les cellules urticantes de ceux-ci dans les papilles dorsales et ainsi
s'en servir pour se défendre.

La couleur et l'ornementation sont des aides à l'identification. Les Herbivores aurons plutôt
la forme des éléments de leur milieu, qui facilite ainsi leur camouflage. Tandis que, les
Carnivores aurons les cellules, stocké de l'alimentation, qui dépasseront de leur dos. Soit, on
pourra reconnaître plus facilement un Carnivore d'un Herbivore.

Résumé des moyens de défense et protection utiliser:


 Très colorée pour dissuader, les éventuels prédateurs, de les attaquer. C'est une
défense passive efficace.
 Utilisation des substances stockées.
 l'HOMOCHROMIE (adaptation au milieu par coloration identique).

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 l'HOMOMORPHIE (simulation de la forme du substrat d'accueil).
 l'AUTOTOMISATION (perte volontaire d'une partie du corps, ex: les papilles...).
Pour distraire l'attention de l'ennemi.
Une perte trop importante peut entraîner la mort par asphyxie.

Résumé des points faible:


Un des principaux points faible des Opisthobranches étudiés, est leur mode de
reproduction.
En effet, ils pondent leurs œufs en forme de long ruban gélatineux enroulé autour d'un
hydraire par exemple. Et ceux-ci sont volontiers mangés par les prédateurs. Les œufs sont
donc sans défense fasse à l'ennemi.
Certaines Espèces ont des aliments cible, soit si ceux-ci se font rare, et bien cela affaibli
l'animal.
Les sources de pollution de l'eau entraîne aussi la disparition des « Limaces ». De façon
indirecte, si l'eau n'ai plus limpide, moins d'algues et de petits animaux de mer se
développerons. Et donc moins les « Limaces » aurons de quoi se nourrirent.
La protection des coraux, mangé par nos Opisthobranches.

Ces « Limaces » sont aussi acclimatable en aquarium. Mais elles supportent mal les
variations soudaines de densités et les traitements de cuivre.

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Discussion

Pour la recherche de la Systématique, qui c'est avéré très difficile du fait de la


contradiction au sein même d'un paragraphe trouvé, le résultat est que personne ne semble
être d'accord sur la hiérarchie d'une espèce. Même pas un auteur lui-même!
Soit, pour ce rapport nous avons due faire une sorte de calcul de probabilité afin d'en
ressortir la Systématique la plus juste possible. En somme, ce qu'il en ressort et que: une
recherche à partir d'Internet ne donne pas une indication claire et concise a prendre comme
vérité, mais plutôt une sorte de ligne directrice. Cela nous donne une idée de la chose que l'on
recherche et non une vérité absolue!
Donc, une bonne recherche fait appel à tout un amalgame de moyen de recherche
différente et son association avec l'esprit critique. Soit, par le fait, ce rapport n'est pas
constitué de vérité absolu mais de l'assemblage proportionnel et réfléchi d'une information la
plus probablement véridique.

Vue qu'il y a +/- 100000 espèces de gastropodes répertoriés, nous avons choisie de
comparer deux espèces ayant un régime alimentaire différent afin de pouvoir comparer les
habitudes, les morphologies adopté par chacun, entre autres choses.
Il en ait ressorti que le régime alimentaire était en adéquation avec la morphologie externe
de l'animal. Et que donc, chaque comportement étant en relation avec cette même
morphologie, l'est aussi avec l'alimentation.
Exemple même de l'herbivore qui se camoufle par sa morphologie, qui n'a pas le même
régime alimentaire que le carnivore qui lui, ne se camoufle pas mais présente les cellules
urticantes sur son dos.
Soit, il y a une sorte d'adaptation a la vie commune de tout les facteurs qui forment
l'animal.

Les différents auteurs semblent se mettre d'accord su le fait que toutes les « Limaces de
Mer » vivent sous l'eau, à de faibles profondeurs et au niveau des côtes. Toutes les espèces
sont de petites tailles, ne dépassant pas le décimètre. Qu'elles sont toutes hermaphrodites et
vivent plusieurs années.

En ce qui concerne la protection et la défense, cela diffère de la morphologie.


Soit, un herbivore aura plutôt une protection passive de par le fait de sa morphologie qui
s'adapte au milieu dans lequel il se trouve, tandis que le carnivore affichera ses couleurs
flamboyante comme protection passive, soit une sorte d'avertissement.
La recherche tenterai à dire que les carnivores auraient plus une attaque direct fasse a
l'agression, de par le fait de la libération des cellules urticantes stockées de l'alimentation,
tandis que les herbivores tenteraient plus au camouflage qu'en jouant les fourmis en se
préparant à une probable attaque.

La question importante, qui porte sur les différents points faible de nos petits mollusques,
n'a pas trouvée énormément de réponses concrètes. Le fait est que le net est une source
intarissable du « Grand n'importe quoi ». Soit, au travers de forums, de blogs et de publicités,
les informations utile se fond discrète.

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Soit, en somme, pour chercher correctement des informations sur un sujet précis, et bien
mieux vaut en connaître un minimum assez grand tout de même, sinon on a vite fait d'être
perdu.
Bref, la ponte des œufs se révèle problématique. En effet, ils sont volontiers dévorés par
les prédateurs et n'ont aucune défense. Soit, la survie d'une espèce étant dépendante de sa
capacité a se reproduire, se voie en péril si la ponte n'aboutit qu'en dîné pour poisson!
Le fait aussi que la pollution est un grand facteur de détérioration de la vie. Notamment
celle de l'eau en l'occurrence. Vue que ce sont des animaux marins.

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Conclusion

Soit, la recherche d'une Systématique est à la fois importante pour situer une vie parmi ses
pères, avoir une précision quand à son appartenance hiérarchique. Malgré cela, il y a
beaucoup d'incohérences quand a savoir ou placer une espèce.

Le fait qu'il y ait un amas de facteurs risque à la survie d'une espèce, en fait donc que
chacun est menacé de disparition. L'aboutissement à cette disparition ne fait intervenir que le
facteur « temps ».
La pollution entrave les ressources alimentaire utile à la survie, et donc en tarissant ces
ressources, l'on est plus faible et donc encore moins enclin à se défendre fasse à l'ennemi. Soit
notre menace de disparition s'accroît de plus en plus.
Le fait aussi que le produit formé, pour assurer la survie, n'a pas ou presque pas de
défense, augmente encore un peut plus la menace.
En somme, toutes les espèces sont menacées de disparition par l'accumulation de facteurs
risque et l'évolution temporelle!

Cependant, la vitesse de dégradation de vie d'une espèce peut être ralenti. Comme par
exemple, par le fait de la protection d'espèces menacé par un temps très court et aussi de
l'acclimatation de certaine espèces dans d'autres milieux que le point d'origine.

En conclusion, nous pouvons dire que, pour effectuer une recherche, il faut un minimum
d'organisation, de réflexion et de points de vue large.
En somme, aucune question n'a de réponse unique! Tout est une question de points de vue!

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Références Bibliographiques

 « Mer Rouge Sanctuaires de la vie marine » Frédéric Denhez / Claude Rives


Glénat P157.

 « Guide des bords de mer Mer du Nord, Manche, Atlantique, Méditerranée »


P. Hayward / T. Nelson-Smith / C. Shields Delachaux et niestlé P210-229
(les compagnons du naturaliste. Identifier plus de 3000 espèces animales et
végétales)

 http://pagesperso-
orange.fr/gonzales.manuel/textes/la%20mer/Faune/chromodoris_krohni.html

 http://www.ashgp.fr/biologie/article3.html

 http://www.cg66.fr/environnement/espaces_naturels/reserve_marine/especes/m
ollusques/GAST/opistho.html

 http://fr.encarta.msn.com/media_102639241/Limace_de_mer.html

 http://pagesperso-orange.fr/gd-biosubsea/mollusques.htm

 http://pagesperso-orange.fr/manu-plongee/bio/bio%20mollusque.htm

10
Annexes

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Elysia est herbivore

flabelline est carnivore

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