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Sommaire ……………………………………………………………………………………I
Dédicace …………………………………………………………………………………..II
Remerciements ……………………………………………………………………….... III
Introduction Générale ….…………………………………………….………………….1
Première partie : Généralités et Présentation de la Structure d’accueil
Chapitre I : Présentation générale de la structure
Section 1 : Historiques, Activités et Missions
1.1 Historique
1.2 Activités
1.3 Missions
Section 2 : Organisation, Fonctionnement et organigramme
2.1 Organisation
2.2 Fonctionnement
2 3 Organigramme
1
5.2 Problématique
5.3 Définition de la méthode Merise
5.4 Les concepts de la méthode Merise
Section 2 : Résultats de l’analyse
6.1 Le Modèle Conceptuel de Données de l’application
6.2 Le Modèle relationnel de la Base de données
6.3 Les Diagrammes de flux de l’application ?
6.4 La base de données sur MYSQL
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DEDICACES
3
REMECIEMENTS
4
INTRDUCTION
5
Première partie : présentation de la structure
1.1 Historique
L’EXEMPLE est une entreprise de presse écrite à l’origine, et veut à présent étendre son action en
ligne. D’où la mise en place d’une nouvelle plateforme qui se développement actuellement. Elle
exerce ses activités sous la tutelle du Ministère de la communication. Son fondateur et Directeur
Général Mr ONDIA Randi, exerce cette fonction depuis la création de l’entreprise en 2019. C’est un
hebdomadaire de recherches, d’enquêtes, d’analyses et d’informations.
L'histoire de cette entreprise a une double vocation. Elle doit d'abord décrire la croissancedu
monde des périodiques depuis ses origines, analyser les facteurs de son développement, apprécier
l'influence des journaux sur la vie des sociétés et sur le comportement des individus : elledoit
identifier et suivre le courant particulier de la presse dans le flot de l'histoire générale du Gabonet du
Continent africain. Elle est ensuite, et en même temps, une science auxiliaire de l'histoire, carles
journaux, archives de la vie quotidienne, sont une source essentielle pour les historiens de toute
vocation qui ne peuvent reconstituer valablement le passé sans recourir à leur témoignage. Ses
difficultés sont grandes. Écho de toutes les activités des hommes et agent d'influence pour toutes les
forces politiques, économiques, sociales et spirituelles, la presse exige, pour être analysée, unesorte
de compétence encyclopédique. Les collections de journaux, qui sont la matière première de leur
histoire, forment une masse énorme dont le dépouillement demande un temps et des efforts
démesurés.
Une en apparence, la presse est en réalité insaisissable dans sa globalité : elle se diversifie en un
ensemble hétérogène de catégories aux fonctions différentes et en une infinité de publications
concurrentes. Son histoire s'émiette dans les destins particuliers de dizaines de milliers de titres et
s'éparpille dans le récit d'une multitude d'épisodes. Les facteurs qui ont commandé l'évolution de la
presse sont comparables dans tous les pays, mais chaque nation, selon les conditions et les
circonstances spécifiques de sa propre histoire, a orienté son évolution, façonné les structures de son
marché et modelé son journalisme de manière irréductiblement originale : le recours au passé est
donc dans le domaine de la presse encore plus indispensable que dans les autres secteurs des
sciences sociales pour comprendre les réalités du présent.
1.2 Activités
Ses activités étant particulièrement encadrée (y compris par la loi n° 2016-1524 visant à renforcer
la liberté, l'indépendance et le pluralisme des médias).L’objet social essentiel de l’entreprise porte
notamment sur la création, la réalisation et l'édition de titres de presse, magazines … (supports
imprimés et numériques), la réalisation et la commercialisation de supports multimédias, la création et
la commercialisation de labels liés aux magazines édités mais aussi :
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- édition imprimée et numérique de journaux, revues et périodiques
- travaux de reproduction et d'impression
- activité de publicité de la presse imprimée et numérique
- édition de livre, ouvrages et produits multimédia
- édition d’enregistrements sonores
- imprimerie de journaux
- imprimerie de labeur, papeterie commerciale et scolaire
- reliure et finition
- prépresse
- travaux graphiques
- presse numérique
- activités de presse en ligne
- édition de journaux, y compris journaux publicitaires, publiés sous forme imprimée ou électronique,
y compris sur Internet.
1.3 Missions
Les différentes missions de L’entreprise peuvent ainsi être rattachées soit à une fonction
centralisatrice, soit à une fonction distributrice. Ces deux types de missions se recoupent au sein d’une
fonction centrale, celle d’interface. Les missions à visée centralisatrice sont les suivantes : Collecte
d’informations susceptibles d’intéresser les membres : veille informationnelle, juridique,
technologique, tant au niveau Gabonais qu’africain et international (consultation quotidienne de la
presse, de newsletters et sites web dédiés au secteur, mise en œuvre d’un réseau de contacts, colloques,
conférences,) ;
collecte de données sectorielles pertinentes : diffusion, lectorat, emploi, chiffre d’affaires,
consommation de matières premières (papier,…), évolutions en cours,… ;
développement de la coopération entre les membres via l’échange d’informations, la confrontation des
points de vue et l’étude de problématiques communes ;
centralisation des besoins et attentes des membres dans le cadre de dossiers et problématiques gérés
sectoriellement ;
centralisation de demandes de tiers concernant le secteur/les membres : monde politique,
administrations, milieux universitaires, autres intervenants du secteur (autres associations d’éditeurs,
autres médias, AJP, autres organismes sectoriels – AADJ, CDJ, Conseil de la Publicité,…) ; mise en
commun de besoins, analyses, … avec d’autres associations d’éditeurs (informelle ou formelle, au sein
de commissions permanentes ou groupes de travail ad hoc) .
En tant qu’interface, L’EXEMPLE procède à l’analyse, au traitement et à la coordination des données
et informations collectées ainsi que des attentes exprimées. Elle s’assure ensuite de répercuter celles-ci
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de manière claire et sous la forme la plus adéquate, soit vers ses membres, soit vers les tiers, dans le
cadre des missions redistributrices. Les missions à visée redistributrice sont les suivantes :
-Rédaction de notes d’information aux éditeurs ou à leurs services spécifiques ; défense des intérêts
moraux et matériels de la presse d’information à l’égard des pouvoirs publics africains, fédéral,
communautaire, régionaux et locaux notamment via la préparation des dossiers de lobby, la diffusion
de mémorandums, de positions, …
-Dynamisation de l’image de la presse quotidienne et promotion du secteur ;
-Amélioration de la prise en considération de l’importance des entreprises de presse francophones et
germanophone par la mise en valeur de leur rôle social, économique et démocratique ;
-Représentation sectorielle au sein de nombreuses instances belges : AADJ (Association pour
l’autorégulation de la déontologie journalistique), CDJ (Conseil de déontologie journalistique),
Conseil de la Publicité, Conseil central de l’économie, CIM (Centre d’information sur les médias),
Paper Chain Forum, CSEM (Conseil supérieur de l’éducation aux médias), … ; et au sein
d’organisations africaines et internationales (ENPA, WAN-IFRA, …) ; représentation à l’égard de
tous tiers ; négociation et conclusion d’accords sectoriels entre ses membres et d’autres intervenants
du secteur ou des tiers, pouvoirs publics, organisations ; suivi des conventions conclues et des
obligations souscrites ; développement d’activités dans le domaine de la promotion, de la
communication et de la vente, tendant à soutenir la presse quotidienne, notamment d’actions
d’incitation à la lecture et d’éducation aux médias (OMQ (Ouvrir Mon Quotidien) et OMQ numérique,
partenariat avec la Fédération Wallonie-Bruxelles pour Journalistes en herbe,…) et de conventions de
diffusion de la presse auprès des bénéficiaires de certains organismes publics ;
-Proposition de projets sectoriels d’innovation (technologique, marketing, analytique,…)
suivi des litiges gérés collectivement ;
-Développement de l’image de la presse quotidienne comme partenaire-média privilégié pour les
pouvoirs publics : coordination de campagnes de communication dans le cadre de différentes
conventions.
2.1 Organisation
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Maquettiste : Jean Norbert BOULEMA
La division du travail au sein d’une entreprise de presse est particulière. L’organisation se fonde sur la
répartition des tâches entre d’un côté les pigistes dans la sphère de l’indépendance et de l’autre, les
titulaires, appartenant à la sphère du salariat. Le bon fonctionnement d’un journal est donc assuré par
un arbitrage entre division et coordination du travail parmi les acteurs en jeu. Ces deux catégories de
journalistes professionnels sont régis par la Convention nationale de travail des journalistes : d’un
côté, les titulaires ; de l’autre, ceux qu’il est devenu commun d’appeler les pigistes. Si les premiers
perçoivent une rémunération mensuelle et sont intégrés au sein d’une rédaction à part entière, les
seconds sont quant à eux rémunérés à l’article et connaissent la discontinuité de la relation de travail.
Outre le travail de rédaction, toute la prépresse nécessite du personnel qualifié, habitué aux pratiques
et à la maquette. Il faut construire le sommaire du titre, organiser la pagination, c’est le travail de
prépresse. Bien sûr, de nombreux ajustements sont réalisés automatiquement grâce à la PAO
(publication assistée par ordinateur), encore faut-il bien respecter les gabarits prévus pour la maquette.
Les instruments disponibles aujourd’hui permettent la saisie directe des informations et la correction
des erreurs, y compris de “petite typographie”, par le rédacteur lui-même, la composition des articles
en fonction de gabarits préalablement déterminés, l’incorporation directe d’éléments fournis par des
bases de données ou des agences de presse, le traitement Au sein des rédactions de presse écrite les
communications aussi bien, verbales, qu’écrites ou même médiées, sont continuellement présentes et
surtout nécessaires pour construire en continu le journal papier. Les discussions avec les collègues au
sein des réunions de rédaction, les interactions avec le rédacteur en chef durant l’écriture du papier
sont autant de communications nécessaires à l’élaboration du papier final. Nous pensons comme Jean-
Luc Bouillon (2003) que : « La communication, « les communications », plus exactement, semblent
faire référence à une sorte « d’éther » dans lequel baigneraient actions individuelles et collectives,
organisations et rapports sociaux. Elles sont tellement omniprésentes qu’elles en deviennent diffuses,
peut-être trop insaisissables pour être analysées en tant que telles. Il nous semble pourtant essentiel de
focaliser notre attention sur ces phénomènes polysémiques » (Bouillon, 2003, p. 8). Pour les étudier,
nous avons analysé les acteurs en situation, c'est-à-dire au sein des rédactions et au moment de
l’élaboration de l’article. Nous avons observé les différents acteurs du système journalistique
(rédacteur, secrétaire de rédaction, responsable de la pagination, rédacteur en chef, photographes…)
pour comprendre leurs rôles respectifs et leur impact sur le journal. Nous pensons que l’analyse des
situations de communication au quotidien est nécessaire pour comprendre comment les relations et les
interactions entre les acteurs, voire même les médiations structurent le processus de production de
l’information, c'est-à-dire le geste professionnel d’écriture de l’article de presse (Bouillon, 2003).
Comme pour la photographie de presse (David, 2002) nous pensons que le geste professionnel
d’écriture de l’information est « un sens négocié s’élaborant dans l’entre des échanges formels et
informels » (David, 2002, p. 72) entre les acteurs. De plus, ces gestes permettent de rendre « compte
de l’histoire d’une construction où les objets ne sont pas « les buts [du] collectif, [mais] en sont les
conditions » (Serres, 1983, p. 111) » (David, 2002, p. 73). 12Lorsqu’on s’attache à comprendre
comment les interactions et les collaborations entre les rédacteurs produisent une information, et
comment les relations avec les lecteurs médiées par le journal influencent les articles futurs des
rédacteurs, il est tout d’abord nécessaire de comprendre comment on passe d’une donnée de terrain à
une information. Pour cela le rédacteur élabore un processus cognitif, permettant le passage d’une
donnée brute à une information, puis à une connaissance. Au départ la donnée est « un fait brut codé »
(Le Bœuf & alii., 2000, p. 15) que le rédacteur va chercher sur le terrain par le biais de ses
observations, ses reportages, ses interviews etc. Cette donnée de terrain permet au rédacteur d’élaborer
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un article, c'est-à-dire une construction de sens nécessaire à une interprétation contextuelle de la
donnée. Cette construction donne du sens à la donnée de terrain et la transforme en information. Les
journalistes en rédigeant l’article font ainsi de l’information préconstruite. L’information est alors
entendue comme : « le traitement rationnel, et l’état qui en résulte, de données objectives, matérielles
et symboliques, manipulables et stockables dans des documents physiques » (Linard, 2001, p. 212). «
L’information est une quantité de probabilité ou de variation d’évènement, transcrite en une
organisation syntaxique de symboles purement formels entraînant des différences de traitement
purement physiques dans un système matériel. Ce système inerte est par principe insensible à son
environnement (sauf pour ces conditions mécaniques de fonctionnement).
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Section1 : Organisation, Fonctionnement et Organigramme
3.1 Organisation
Le service de rédaction est une branche de l’entreprise qui s’organise comme suit :
Un décideur : le rédacteur en chef
Il préside la conférence de rédaction. Il a une vision synthétique du journal, il est responsable de la
ligne éditoriale. La fonction qu’il occupe exige : – des compétences d’animation. – des compétences
rédactionnelles. La fonction qu’il occupe l’oblige à : – arbitrer en dernier ressort sur le choix des
sujets, – fixer l’importance, la taille et la place des sujets dans le journal, – décider du compte à
rebours. En cela c’est lui qui contrôle la mise en place du chemin de fer.
Un organisateur : le secrétaire de rédaction
Son rôle est très important. Il assume le lien entre le rédacteur en chef, les services de rédaction et la
fabrication. La fonction qu’il occupe exige : – de l’organisation, – une bonne plume, – d’être capable
de déceler les erreurs. La fonction, qu’il occupe oblige à :
-collecter les articles des journalistes, les illustrations, la publicité,
– relire, corriger, modifier l’ensemble du journal si besoin est,
– chercher les titres,
– organiser la mise en page,
– préparer la maquette de mise en page et fournir des instructions à celui qui effectue la mise en page.
La fonction est centrale dans l’équipe mais le secrétaire de rédaction reste dans l’ombre. Il réécrit mais
signe rarement.
Les rédacteurs : les journalistes
Les rédacteurs sont “des travailleurs” de l’écrit au service du journal. L’organisation du travail
d’écriture est supervisée par le rédacteur en chef.
L’administrateur du site : Le maquettiste
Son rôle est de mettre en page les articles sur le site internet.
3.2 Fonctionnement
Le journal est écrit par une équipe de rédacteurs. Comme toute production collective, il
nécessite une cohésion de ses membres. Avant d’écrire, il faut sélectionner les sujets.
Cette opération s’effectue lors de la conférence de rédaction. Chacun doit pouvoir y
exprimer ses envies d’écriture et émettre un avis sur les “papiers” proposés. Tous les
participants n’ont pas le même rôle au sein du comité de rédaction. Elle doit comprendre
un décideur, un organisateur, des rédacteurs.
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3.3 Organigramme
Le rédacteur en chef
Jean Gustave MABIKA
Secrétaire de rédaction
Sylvie Oyanne MBA
Suite à mon entretien avec le directeur général Monsieur ONDIA Randi , je fut admise au
sein des locaux de L’EXEMPLE, l’entreprise m’a été présentée par mon encadreur au sein de
celle-ci Monsieur… .puis m’a présenter à chaque membres du service de rédaction , ceux-ci
ont chacun eu à œuvrer pour me faciliter la tâche en entreprise .Celui-ci m’a présenter de
façon claire mon sujet de travail qui était defaire la conception d’un joirnal en ligne afin
d’assurer une visibilité à cette entreprise sur les réseaux (en ligne) .
4.2 Formation
Ma formation au sein de L’EXEMPLE fut une grande expérience. Le milieu de la presse étant
un domaine dont j’ignorais totalement le fonctionnement fut lors de ma formation une
découverte formidable, le journalistes doter de leur sens de l’observation et d’interprétation
des événements ,leurs facilité à communiquer ,leurs courage lors de la quête des informations
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vraies et leur capacité à utiliser les bon mots pour la transmission de l’information, m’ont fait
chacun découvrir ce qu’exige le métier de journaliste de j’ai appris les éléments de base de du
journalisme, le premier est le principe des trois W(What ? Where ?Who ?When ?et le
Why ?),la pyramide inversée qui n’est rien d’autre que la rédaction d’un article pour un
journal en ligne et en fin l’amour de la lecture qui caractérisent principalement un journaliste
de presse dans leurs locaux.
L’EXEMPLE est situé dans la commune d’OWENDO plus précisément 4 rue carrefour SNI-
OWENDO.
Suite aux présentation ,je pris connaissance de mon projet de travail à L’EXEMPLE ,ce projet était la
conception d’un journal en ligne pour l’entreprise, celui-ci devait apporter la visibilité de
L’EXEMPLE sur internet, ce journal est reparti en deux parties , celle des lecteurs qui doit contenir
des publications de nos journalistes dans des domaines variés tels que la santé, la culture , le sport les
nouvelles technologies et bien d’autres ,ainsi que des annonces et publicités des entreprises partenaires
et des particuliers. D’autre part ce site doit avoir une partie administrateur qui est réservée uniquement
aux journalistes de l’entreprise et aux administrateurs du journal pour leurs différentes publications
d’articles et de publicités.
6.2 Problématique
L’envie ou encore l’idée de créer une plateforme en ligne de L’EXEMPLE est principalement due à :
-Une visibilité sur le net
Leur désir d’être connu de la population locale mais aussi de la population mondiale, en effet, un
journal en ligne est facilement accessible par tout le monde à travers le monde.
-La quête de nouveaux partenaires
Grâce aux publications de publicité dans le journal de L’EXEMPLE, celui-ci met en avant sa
motivation à se faire un peu plus des partenaires en local mais aussi à travers le monde.
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-La croissance économique
L’entreprise rencontrant des difficultés au niveau économique, grâce à ce site effectuera moins de
dépenses pour la création de ses journaux et aura plus d’entrée économique grâce aux partenaires
qu’ils se feront pour faire leur publicité au sein du dit journal en ligne.
Il décrit les acteurs du système (qui peuvent être des personnes ou des objets), leurs
caractéristiques, ainsi que leurs interactions. Il est concrétisé par un schéma
Entités-Association constitué d’un ensemble d’entités ,d’associations ,de propriétés,
d’identifiants et de cardinalités.
Entités
Une entité est la représentation d'un élément matériel ou immatériel ayant un rôle
dans le système que l'on désire décrire.
Association (relation)
C’est un lien sémantique entre plusieurs entités, des liaisons qui représentent les
interactions entre les différentes entités. Elles n’existent qu’à travers les entités qu’elles
relient.
Propriété (Attribut)
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C’est une information élémentaire, c’est-à-dire non déductible d’autres informations, qui
présente un intérêt pour le domaine étudié, elle caractérise une entité ou une
association.
Exemple :
-Num_Client
.Nom_Client
.Adresse_Client
.Num_Compte
.Nom_Banque
.Solde
.Date_Ouverture
Identifiant
Exemple :
Cardinalités
X : cardinalité minimale
Y : cardinalité maximale
(0,1) : une occurrence de l’entité ne participe jamais plus d’une fois à l’association
(1,1) : une occurrence de l’entité participe toujours une et une seule fois à l’association
(1,N) : une occurrence de l’entité participe toujours au moins une fois à l’association
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-Modèle Logique des Données (MLD)
C’est un modèle extrait à partir du Modèle Conceptuel de Données et qui représente les
données de celui-ci par un formalisme compréhensible par la base de données. Il
manipule plusieurs concepts tels que :
LA TABLE
Appelée aussi relation, il s’agit d’un tableau qui contient nos données. Elle est constituée
d’un nombre fixe de champs(colonnes), et d’un nombre arbitraire(enregistrements).
La clé primaire
Elle représente l’identifiant absolu dans le MCD. C’est l’attribut qui spécifie le mieux
une Table ou une entité elle est toujours soulignée.
Exemple :
Publicités_annonces (Id_publicités, Titre_publicités_annonces, …)
La clé Etrangère
Un simple champ dans une table qui joue le rôle d’une clé primaire dans une autre table,
elle permet d’établir la liaison entre deux tables à travers une jointure des tables, elle est
identifiée par un achtag (#) .
Exemple :
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Section 2 : Résultat de l’analyse du sujet
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Publicités_annonces (Id_ Publicités_annonces, Titre_ Publicités_annonces, Date_de_publication,
Durée_de_validite, Domaine, Photo_ Publicités_annonces) ;
Droit (Id_droit,libellé_droit) ;
Gestion_droit (#Id_droit,#Id_code_profil) ;
Utilisateur 👤
Connection à l’application
Authentification
Ok
Demande de formulaire
de publication
ok
Enregistrement,Sauvegarde
et publication de l’article
18
. Processus de création de compte
Utilisateur 👤
Connexion à l’application
Authentification
Demande de formulaire
de création de compte
Authentification
Demande de
Vérification des faire appel à
Incorrect Compte journaliste un
informations
saisies administrateur
pour la
Compte administrateur création du
compte
Saisie des informations
ok
19
. Processus de modification ou suppression d’un article
Utilisateur 👤
Connexion à l’application
Authentification
Incorrect
Vérification des Demande de
Compte inexistant création de
paramètres
compte
ok
Demande de la liste d’articles
publier
Affichage de la
liste d’articles
publiés
Demande de
Suppression
modification de
de l’article
l’article
Modifications
Enregistrement puis
republication de l’article
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7.4 La base de données sur MYSQL
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- CSS c’est l’acronyme de « Cascading Style Sheets » ce qui signifie « feuille de style en cascade »,
qui est un langage informatique qui permet de mettre en forme des pages web tel que des pages HTML
dans mon cas ou les pages XML.
-PHP (Hypertext Preprocessor) il désigne un langage informatique, ou un langage de script, utilisé
principalement pour la conception de sites web dynamiques afin d’interconnecter ma base de données à mon
site web.
RAS
22
9.2 Page d’accueil de l’application
RAS
RAS
RAS
Conclusion
Au terme de ce stage passé à L’EXEMPLE, nous retiendrons que la conception d’un journal en ligne
pour une entreprise nécessite un certain nombre de moyens dont des langages et logiciels de
programmations et des logiciels de créations de bases de données.
L’usage de celui-ci par ses propriétaires nécessite une certaine organisation par ses différents
utilisateurs membres de l’entreprise et l’usage de celui-ci par les éditeurs n’en nécessite guerre. Ce site
permettra à celle-ci de d’étendre sa visibilité, augmenter ses entrées et lui apporter encore plus de
partenaires.
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En définitif, nous dirons que l’intérêt de mettre en place une telle infrastructure réside simplement
dans le fait qu’elle permet à une entreprise de presse de bénéficier des services du journalisme à
moindre coût. Ce travail nous a permis aussi de montrer non seulement la fiabilité, la performance des
logiciels libres mais aussi leur évolution au sein du monde numérique.
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