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CHAPITRE III : Equipement de climatisation et de ventilation


I. Equipement de climatisation
1. but de la climatisation (conditionnement de l’air) :
Ensemble de procédés visant à maintenir les caractéristiques de l'air ambiant d'une pièce ou d'un
ensemble de locaux dans des valeurs de température, d'hygrométrie, de qualité de l'air requis pour leur
utilisation.
Pour des locaux de travail ou d'habitation, le but de la climatisation sera de traiter l'air intérieur afin que
les personnes utilisant ces locaux éprouvent une sensation de confort thermique et respiratoire.
Pratiquement, la climatisation consiste à maintenir une température et une hygrométrie régulière et à
supprimer les facteurs de pollution de l'air gênant pour les utilisateurs (poussières, germes microbiens,
CO2, odeurs, etc.).
Une climatisation peut être utilisée également pour maintenir les qualités de l'air à des valeurs précises
nécessaires à certaines applications où le confort de l'utilisateur n'est pas recherché (salles de laboratoire,
salles blanches, salles informatiques, etc.).
On emploie souvent le terme de climatisation pour des appareils produisant du froid et également du
chaud dans le cas d'une climatisation réversible.
2. Types des systèmes de climatisation :
2.1. Les appareils autonomes (individuels) :
- principe 
L’air est traité dans le local à climatiser.
Il est repris, filtré, éventuellement mélangé à de l’air neuf, refroidi (et déshumidifié) et enfin soufflé à
partir d’un appareil monobloc.
2.1.1. Les climatiseurs monoblocs (de fenêtre où Windows)
Le climatiseur est encastré dans une paroi extérieure du local. On distingue alors deux parties.
Une partie intérieure assurant le traitement de l’air du local.
- l’air est aspiré par un ventilateur, au travers d’un filtre.
- puis il est refroidi et déshumidifié par une batterie froide. un volet permet de régler manuellement
l’introduction de l’air neuf.
- l’air est diffusé dans le local au moyen de grilles orientables montées en façade du climatiseur.
- parfois, des résistances électriques sont ajoutées pour assurer le réchauffage du local.
Une partie extérieure renfermant le groupe de condensation qui évacue la chaleur grâce à un ventilateur.

Figure 1. Installation d’un climatiseur fenêtre.


2.1.2. Les climatiseur bi-blocs (« split-system » ou climatiseurs à éléments séparés)
L’air est traité par un caisson de traitement d’air situé dans le local à climatiser.

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Pour abaisser le niveau sonore, réduire l’encombrement et disposer de puissances plus élevées, le groupe
de condensation est placé à l’extérieur, sur une terrasse, en façade, au sol, sur un châssis….
Les deux unités, intérieure et extérieure, sont reliées entre elles, par des conduites de fluide frigorigène
pré chargées, équipées de raccords rapides et, aussi par une connexion électrique.
La distance entre les deux unités ne dépasse généralement pas 10 à 15m.

Figure 2. Installation d’un climatiseur split-system.


2.1.3. Les armoires de climatisation :
Les armoires de climatisation sont classées parmi les appareils autonomes, même si certaines d’entre
d’elle sont raccordées à un réseau de distribution d’eau chaude ou d’eau glacée.
Principe :
L’air est traité soit :
- dans le local si l’armoire y est placée,
- à l’extérieur du local si des conduits acheminent l’air traité.
L’air est repris, filtré, éventuellement mélangé à de l’air neuf, refroidi, déshumidifié, puis soufflé.

Figure 3. Armoires de climatisation


2.2. Les centrales de climatisation :
2.2.1. Principe de fonctionnement d’une installation de climatisation centralisée :
Une installation de climatisation centralisée est constituée d’un ensemble de matériels ayant les fonctions
suivantes :
 Préparation et distribution de l’air à des caractéristiques thermiques, aérauliques et acoustiques
bien définies,

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 Distribution de l’air traité dans les locaux à climatiser par l’intermédiaire de conduits et
d’appareils terminaux.

Figure 4.Constituants d’un système de climatisation


Les fluides primaires (air ou eau) sont préparés dans des équipements centralisés qui peuvent être placés
dans une salle de machine (grosses installations de climatisation).
Les équipements terminaux, toujours situés dans les locaux climatisés ou à proximité immédiate.
Entre les équipements centralisés et les équipements terminaux, les fluides primaires et l’air traité sont
distribués par des conduits comportant plusieurs accessoires de fonctionnement (clapets, filtres, robinets,
…)
De plus, les installations sont équipées d’appareils de régulation et de sécurité (thermostat, pressostats,
détecteurs d’incendie,…)
2.2.2. Présentation des systèmes les plus courants
On distingue deux grands types d’installations de climatisation centrale :
 Installations "tout air"
Lorsqu’une installation utilise uniquement de l’air pour évacuer les calories du local à climatiser, cette
installation est dite du type "tout air" ou à air total. On peut classer les installations "tout air" en deux
grandes familles :
 Les installations à débit d’air constant,
 Les installations à débit d’air variable.
 Installations mixtes "air/eau"
Ce sont des installations où un réseau d’eau est utilisée comme médium pour l’évacuation des calories
prélevées dans les locaux et où un réseau d'air est utilisé pour apporter l'air hygiénique aux occupants. Si
cet air est refroidi, il participe également à évacuer les calories des locaux. Il est alors en même temps
déshumidifié. On distingue deux types principaux d’installations mixtes :
 Les installations à éjecto-convecteurs,
 Les installations à ventilo-convecteurs.
2.2.2.1 les installations "tout air"
A- Installations "tout air", à débit constant
Ce type d’installation distribue un débit d’air primaire rigoureusement constant, avec seulement la
température et l’humidité qui varient en fonction de charges calorifiques des locaux à climatisation. Ces
systèmes de climatisation distribuent directement l’air primaire froid dans les locaux par l’intermédiaire
des bouches de soufflage.
A.1. Centrale de Traitement d’air unizone :

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La figure 4 présente le schéma de principe d’une centrale unizone à débit d’air constant. Les centrales de
traitement d’air à débit constant soufflent dans les locaux de l’air à basse vitesse (2 à 6 m/s) et à débit
constant compris entre 1000 m³/h et 100 000 m³/h. L’air est généralement distribué par des bouches de
soufflage de type mural ou plafonnier.

Figure 5. Centrale à un conduit à débit d’air constant


A.2 Centrale de Toiture à détente directe (Roof-Top) :
Les roof-top sont des centrales unizones à détente directe installées à l’extérieur du bâtiment. La figure 5
présente le schéma de principe d’un roof-top.
Les roof-top sont fréquemment utilisés pour les applications suivantes :
 Grandes salles de bureaux, salles d’ordinateurs et hall recevant du public,
 Climatisation des grands magasins, supermarchés, restaurants, ateliers,…
Ils sont très utilisés en climatisation industrielle.

Figure 6. Centrale de toiture (Roof-Top)


B. Installations "tout air", à un seul conduit, à débit variable
Dans un système à débit d’air variable, l’air est soufflé à température constante, mais à un débit volume
variable. Le système à débit d’air variable est constitué de :
Une centrale de traitement d’air type unizone,
Un réseau de conduits à basse vitesse (2 à 6 m/s) ou à moyenne vitesse (6 à 15 m/s),

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Des diffuseurs d’air terminaux permettant une bonne répartition de l’air soufflé.

Figure 7. Centrale à débit d’air variable


Pour chaque local ou groupe de locaux, il faut prévoir un régulateur de débit tant au soufflage que sur la
reprise, ces régulateurs étant commandés par un thermostat d’ambiance. Les systèmes à débit d’air
variable permettent la climatisation de locaux intérieurs dont les charges varient peu. Ces systèmes sont
très intéressants pour la climatisation des bâtiments comportant des locaux ayant des charges faibles mais
variables, car ils permettent une bonne optimisation de la consommation d’énergie. En pratique, on peut
adapter le débit par réglage d'un clapet : un servomoteur commande la position d'un clapet en fonction de
la température dans le local. Ce clapet est généralement doté d'un système d'auto réglage en fonction de
la pression (afin de maintenir le débit souhaité malgré les variations de la pression du réseau). Il est
inséré dans une boîte de détente tapissée d’absorbantes acoustiques pour réduire le niveau de bruit. L'air
est ensuite réparti vers le local via des diffuseurs.

Figure 8. Réglage au niveau des boîtes de détente Figure 9. Réglage au niveau des diffuseurs
2.2.2.2 Les installations mixtes "air / eau"
D’une manière générale, les installations mixtes présentent une meilleure souplesse de fonctionnement et
un niveau de confort élevé.
1. Systèmes à éjecto-convecteurs
Généralement utilisés en allège de fenêtre dans les locaux périphériques d’un bâtiment, les éjecto-
convecteurs sont des équipements terminaux exclusivement alimentés par de l’air neuf préparé dans une
centrale de traitement d’air. L’air primaire provenant de la centrale est pulsé, à pression élevée (100 à 400
Pa) et à vitesse élevée (15 à 25 m/s), dans le caisson de l’éjecto-convecteur.

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Figure 10. Fonctionnement d‘un éjecto-convecteur


2. Systèmes à ventilo-convecteurs
Dans ce système, un réseau de tuyauteries distribue de l’eau glacée dans une batterie incorporée à un
équipement terminal appelé ventilo-convecteur (voir figure 11) qu’on installe dans le local à climatiser.
Un ventilateur incorporé au ventilo-convecteur permet de souffler dans le local de l’air repris ou de l’air
mélangé. Le ventilo-convecteur peut fonctionner soit en air recyclé intégral, soit en assurant un
renouvellement d’air grâce une prise d’air neuf situé à l’arrière de l’appareil.

Figure 11. Climatisation par ventilo - convecteur

Figure 12. Fonctionnement d‘un ventilo - convecteur


Le système de climatisation par ventilo-convecteurs est de très loin le système le plus utilisé en
climatisation centrale. Le principal avantage du ventilo-convecteur est lié au fait qu’il soit possible
d’isoler une pièce inoccupée (ex. chambre d’hôtel) et de pouvoir très rapidement la remettre en

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température. L’installation à ventilo-convecteurs est nettement moins onéreuse qu’une installation à


éjecto-convecteurs.

Figure 13. Différents modes d'alimentation en air neuf d‘un ventilo – convecteur

Figure 14. Ventilo-convecteur monté en faux-plafond

Figure 14. Intégration dans une chambre d‘hôtel


3. Le circuit aéraulique
Les conduits seront généralement rectangulaires ou circulaires. On distingue :
 Les conduits maçonnés, section souvent rectangulaire,
 Les conduits en tôles d’acier ou d’alliages légers rigides, de section circulaire ou rectangulaire,
 Les conduits métalliques souples (section souvent circulaire),
 Les conduits constitués de panneaux isolants (section rectangulaire),
 Les conduits textiles,
 Les conduits plastiques,
 Les panneaux de fibre de verre,
 Le contre-plaqué.
Les vitesses d’air recommandées au départ des réseaux de gaines de soufflage en fonction des
applications sont présentées dans le tableau 1.

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Tableau 1: Vitesse d’air recommandée dans les réseaux de gaine de conditionnement d’air
4. Equipements terminaux (diffuseurs et grilles)
On distingue différents types de diffuseurs de soufflage (de gauche à droite) : diffuseur plafonnier
multicône carré, diffuseur plafonnier à jet hélicoïdal, plafonnier perforé, diffuseur linéaire, buse de
soufflage, grille murale à double déflecteur, bouche de sol.

Figure 16. Différents types de diffuseurs


Les vitesses de l’air dans chaque bouche de soufflage sont données par le tableau suivant :

Tableau 2 : Vitesses recommandées dans les organes de reprise et de transfert


Le tableau 3 fournit quelques valeurs indicatives (basées sur l’expérience) des performances des
principales bouches d’air utilisées en climatisation.

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Tableau3. Performances indicatives des bouches d’air utilisées en climatisation


5. Le circuit hydraulique
L’eau glacée et l’eau chaude produite dans les centrales de climatisation (salle de machines) doit
alimenter les ventilo-convecteurs situés dans les différents locaux par un système de tuyauteries.
Pour ces réseaux hydrauliques, il existe trois types de systèmes :
 Le système à deux tuyauteries : une conduite sert à l’alimentation des ventilo-convecteurs en
eau glacée et l’autre de retour à la centrale de climatisation,
 Le système à trois tuyaux : deux tuyaux amènent de l’eau à chaque ventilo-convecteur, l’un
véhicule l’eau froide et l’autre de l’eau chaude, un troisième sert de retour commun. Ce système
est applicable aux immeubles dont les locaux sont tantôt dans l’ombre tantôt au soleil et présentant
plusieurs orientations,
 Le système à quatre tuyaux : deux circuits hydrauliques sont utilisés ; l’un pour l’eau chaude et
l’autre pour l’eau froide. Les ventilo-convecteurs comportent deux batteries (chaude et froide) ;
chaque circuit comporte une tuyauterie aller et retour.

Tableau 3. Critiques des différents systèmes de réseau hydrauliques

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II. Equipement de Ventilation


La ventilation est nécessaire non seulement pour maintenir une température mais également pour limiter
la pollution de l’air. On admet qu’une personne au repos consomme 20 à 25 litres d’oxygène par heure et
rejette 20 à 20 litres de gaz carbonique : la consommation d’une litre d’oxygène produit un litre de gaz
carbonique.
Alors que l’air contient 21% d’oxygène (valeur approchée), la vie peut être conservée pour une teneur
minimale de 13% à condition que le corps soit en repos (de préférence l’air en mouvement).
Un air contenant 2% de gaz carbonique ne présente pas de danger immédiat (dans les sous-marins on a
relevé jusqu’à 5% de gaz carbonique sans accident notable, les accidents mortels surviennent pour une
teneur de 20%).
L’air est non seulement vicié par les occupants, mais aussi par la combustion du gaz (cuisines
domestiques ou collectives) ; les renouvellements à admettre sont donc en fonction de l’utilisation du
local.
On compte ordinairement :
Bureaux 3 volumes par heure
Classes 3à5
Salle d’eau 7
Garages 5
Cuisines (appartement) 2
Salles de bains 2à3
Cinémas 15
Cafés 10 à 20
Cuisines (restaurant) 20 à 30

Dans les locaux où il y a production de gaz carbonique (cuisine), d’odeurs, de poussières, etc….. Il y a
lieu de capter l’air à proximité de la source de production afin d’éviter la diffusion.
En ce qui concerne les locaux occupés par un grand nombre de personnes (cinémas, salles de danse, etc..)
il faut assurer un renouvellement de l’air pollué par les occupants. Lorsqu’il y a production de fumées
(salle de réunion, de dense, etc….) on peut être amené à doubler les chiffre ci-dessus.
La ventilation peut être assurée par circulation naturelle ou par circulation mécanique.
A. Ventilation naturelle
La ventilation peut être réalisée de différentes façons. La solution la plus simple consiste à créer des
ouvertures (haute et basse) sur la même face d’un mur du local à ventiler.
L’air chaud intérieur, donc plus léger par unité de volume, que l’air extérieur, tend à s’élever en mettant la
partie haute du local en pression : l’air sortira par l’ouverture haute et sera remplacé par l’air froid venant
de l’extérieur ; cet air en se réchauffant augmentera de volume et augmentera l’effet de différence du
poids volumique entre l’intérieur et l’extérieur.
B. ventilation mécanique :
Malgré tous les perfectionnements que l’on peut apporté à la ventilation naturelle il n’est pas possible de
maintenir des conditions de ventilation fixes indépendantes des conditions intérieures et extérieures. Dans
un bâtiment de grande hauteur les locaux les plus hauts sont les plus défavorisés. La ventilation naturelle
ne peut donc pas être utilisée dans tous les cas, notamment :
- Si l’on désir maintenir un faible écart de température entre l’intérieur et l’extérieur.

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- Eliminer avec certitude, donc quelles que soient les conditions atmosphériques, des vapeurs ou des gaz
désagréables ou dangereux.
- Maintenir un local en dépression (ou en surpression) tout en assurant sa ventilation.
1 . Ventilation par extraction :
Une entrée d’air naturelle, mais avec une sortie d’air mécanique. (ex : laboratoire, cuisine professionnelle) .
2 . Ventilation par soufflage :
Une entrée d’air mécanique mais une sortie d’air naturel.
3 . Ventilation par soufflage et par extraction :
Ce type de ventilation est utilisé pour les grands locaux. Généralement la gaine sera placée dans le plafond (tout le
réseau d’amené d’air).

Figure 17. Installation de ventilation

C. Elément d’une Installation de ventilation

Le système de ventilation est composé des éléments suivants :


- un réseau de gaine.
- des ventilateurs.
- un système de contrôle de débit d’air.
- des filtres.
- éléments de distribution (bouche de soufflage, grille de soufflage ou d’extraction).

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D. Calcul des bouches de soufflage murales :

1. vitesse au centre du jet :


La vitesse dans l’axe du jet introduit d’une façon isotherme dans un local :
K ' .V 0
W c=
x . √ S .i . α
W c : La vitesse de l’air soufflé (ou de soufflage), [m/s]
V 0: Débit d’air de la bouche en [m3/s].
S: Surface totale de la bouche en [m2].
α : Coefficient de contraction (pour les bouches cloisonnéesα =0.7 )
' '
K : Coefficient de la bouche (pour les bouches cloisonnées K =5.3 )
i : Proportion de la surface libre par rapport à la surface totale 0<i ≤1
α , K ' , i: Sont donnés en fonction du type et la forme de la bouche).
La vitesse maximale dans l’axe du jet W c =0.3 m/s
x= La portée du jet pour les bouches murales : x ≤ 3. H , avec H= la hauteur du local.
Il existe aussi des bouches plafonniers dont la méthode de calcul est différente à celle des bouches
murales.
E. Calcul des réseaux :
La distribution de l’air frais s’effectue par un réseau de gaine. Il s’agit de gaines principales et de gaines
secondaires liées aux bouches de soufflage.
Le calcul du réseau (ou dimensionnement), se fait selon les étapes suivantes :
a) Tracer le réseau (principal et secondaire) en fonction de l’emplacement des bouches de soufflage
et le ventilateur.
b) Calculer le débit pour chaque tronçon.
c) Estimer une vitesse pour chaque tronçon.
d) Déterminer la section par la formule :
Vs
S=
v

S : Section (m2) ;

V s : Débit d’air du tronçon considéré (m 3/s)

v : Vitesse estimée du tronçon considéré (m/s)

e) Déterminer les dimensions de la gaine :

- Forme rectangulaire : (longueur et largeur) a et b

- Frome carré : (coté) a

- Forme circulaire (diamètre) d.

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