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Chapitre 2- Les systèmes fermés

Nous allons à présent étudier les transferts d’énergie et ce qui en résulte dans le cadre des
systèmes fermés (puis des systèmes ouverts dans le chapitre suivant)

On définit un système fermé lorsqu’on isole une masse de fluide donnée qui va évoluer dans
un système dont les frontières ne permettent pas le transfert de masse. Pression, température
et volume peuvent alors changer, mais pas la masse.

Il faut noter que la plupart du temps on peut aussi préférer travailler sur un volume fixe qui est
traversé de matière, on parle alors de système ouvert.

Les deux descriptions sont équivalentes, on choisit la mieux adaptée au problème à analyser,
les machines alternatives (séquentielles) sont la plupart du temps analysées comme des
systèmes fermés, les machines à écoulement continu (comme un turbo-réacteur) sont étudiées
comme des systèmes ouverts

I. Enoncé du premier principe

1. Ecriture dans le cas d’un système fermé


Le premier principe traduit la conservation de l’énergie totale d’un système au cours d’une
transformation et on va tenir compte du fait que cette énergie peut être échangée sous la forme
de travail ou de chaleur

Lorsqu’ un système dont le nombre de particules reste identique subit une


transformation d’un état 1 à un état 2, la somme algébrique des travaux et de la chaleur
échangés ou acquis par le système au cours de la transformation est égale à la variation
d’énergie E2-E1. Elle est indépendante de la nature de la transformation et ne dépend
que de l’état initial et de l’état final.

E2-E1 = W+Q

Dans le cas le plus général l’énergie potentielle et cinétique du système, interne et


macroscopique, a varié au cours de la transformation et :
E2-E1 = U2 int +E2 pot,mac + E2 cin,mac-( U1 int +E1 pot,mac + E1 cin,mac)

Lors de la transformation 1→2, il peut y avoir séparément ou simultanément un échange


d’énergie sous forme de travail ou de chaleur.
Dans un système fermé les énergies potentielle et cinétique macroscopiques ne varient pas
puisque le fluide reste ‘sur place’ et on est ainsi amené à écrire
∆U=U2-U1 = W+Q

Puisque la variation d’énergie ne dépend que de l’état initial et final, l’énergie interne U
au système ne dépend également que de l’état du système.
Ainsi dans le cas d’une transformation d’un état 1 à un état 2 l’énergie interne variera de la
quantité U2-U1. Une telle grandeur ne dépend que de l’état du système (et pas de la façon
dont le système a été amené dans cet état) et est appelée fonction d’état.

Attention:

1
• W et Q dépendent séparément de la transformation subie, seule leur somme est
indépendante du chemin parcouru de l’état 1 à l’état 2.

• on compte positivement un travail ou une chaleur reçu(e) par le système


et négativement un travail ou une chaleur fourni(e) par le système.

2. Cas particulier d’un cycle (fermé):


Dans le cas d’une transformation cyclique on part de l’état 1 et on y retourne (l’état 2 coïncide
avec l’état 1) après avoir décrit une boucle fermée dans le diagramme de Clapeyron.
Dans ce cas et sans variation d’énergie potentielle et cinétique macroscopique : U2=U1 et
W+Q=0

3. Expression différentielle du premier principe

Cette formulation du premier principe sera particulièrement utile pour les calculs. Il est
donc fondamental de bien la dominer.

On peut énoncer le premier principe de la façon suivante :

Au cours d’une transformation élémentaire, un système fermé échange avec le milieu


extérieur un travail W et une quantité de chaleur Q.
L’énergie interne subit alors la variation dU = W+Q.

dU est une différentielles totale exacte alors que W et Q ne le sont pas en général,
c’est pour cette raison que la notation des diverses différentielles n’est pas la même.

II. Travail des forces de pression (très important)

A. Expression du travail des forces de pression

Cette forme de travail intervient presque toujours dans les calculs puisque la pression du
fluide est toujours présente.

C’est un travail d’origine mécanique, le calcul que l’on va faire s’applique à la pression d’une
paroi sur le fluide par exemple mais aussi à la pression créée par le fluide lui-même, la
formule que l’on va déduire a donc une portée assez générale.

pe M

L
n

f = pe n S W= f L = pe L S
La variation de volume est Vf-Vi = ∆V = -S L (le volume diminue)

2
Donc W = -pe V
Soit pour un déplacement infinitésimal

W = -pe dV

Si la pression extérieure est constante au cours d’une transformation on peut calculer


facilement le travail extérieur :
W=-pe (V2-V1) si le volume passe de V1 à V2

Si pe n’est pas uniforme on doit calculer l’intégrale


2

𝑊 = ∫ −𝑝𝑒 𝑑𝑉
1

Lorsqu’il y a diminution de volume W>0 donc du travail est fourni au système, lorsqu’il
y a augmentation de volume W<0 et du travail est fourni par le système

Si pe = pint = p alors W = -p dV

B. Notion d’enthalpie à partir d’une transformation isobare

Une transformation à pression constante est dite isobare.


Il faut supposer que le système est initialement en équilibre de pression et qu’il le reste
pendant la transformation. En outre la pression extérieure est égale à la pression interne p du
système. Cette transformation est très importante puisqu’elle concerne tous les systèmes
soumis à la pression atmosphérique.

Le système à la pression p = pe passe du volume V1 au volume V2


Le travail des forces de pression s’exprime W= -p (V2-V1).
Le système reçoit en outre la chaleur Qp, l’indice p pour noter l’aspect isobare.

L’application du premier principe donne :


U2-U1 = -p (V2-V1)+W+Qp W représentant les éventuelles forces autre que celles de pression.
ou
(U2+p V2)-(U1+p V1)= Qp si on suppose qu’il n’y a que les forces de pression

On introduit la fonction H = U+p V appelée enthalpie du système

H est une énergie qui s’exprime en Joules

Remarque : la forme différentielle de H se simplifie

dH= dU+pdV+Vdp=Q-pdV+pdV+Vdp = Q+Vdp

III. Les échanges de chaleur

On dispose d’un arsenal de relations pour écrire l’échange de chaleur au niveau


macroscopique

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A. Les coefficients calorimétriques d’un gaz

1. les grandeurs ‘historiques’ : chaleurs massique et capacités calorifiques isochore et


isobare

On pose QV = CV dT et Qp = Cp dT

CV est la capacité calorifique isochore (ou à volume constant)


Cp est la capacité calorifique isobare (ou à pression constante)

On définit également les chaleurs massiques (par unité de masse)


cv = Cv/m et QV = m cV dT, cV s’exprime en J kg-1 K-1
On définit aussi la chaleur massique par unité de masse cp = Cp/m

et on définit parfois également la capacité calorifique molaire (pour une masse molaire)
Dans les exercices il sera précisé quelle quantité (chaleur massique ou capacité calorifique
ou encore capacité calorifique molaire) on aura à considérer

2. L’ensemble des coefficients calorimétriques

Savoir calculer les échanges de chaleur dans toutes les conditions possible est crucial en
thermodynamique, en particulier pour calculer la variation d’entropie On ne peut se contenter
de transformations isochores ou isobares. On définit donc les coefficients suivants pour les trois
couples de variables indépendantes:

Q = CV dT + l dV
Q = Cp dT+h dp

B. Le cas du gaz parfait

1. Expression de Cp et CV

Dans le cas du gaz parfait, l’équation d’état s’écrit pV = n R T, n étant le nombre de moles, on
va en tenir compte pour calculer les coefficients

Pour tout gaz parfait, on déduit la relation de Mayer


H = U+ n R T  dH/dT = dU/dT + nR soit

Cp – CV = nR

On introduit aussi fréquemment le facteur  = Cp/CV

Et à partir de la relation de Mayer on obtient :


CV = n R/(-1) et Cp =  n R/(-1)

Remarque : retrouver les expressions des chaleurs massiques en fonction de r


Soit cp=  r/(-1) et cV= r/(-1)

2. Les autres coefficients, deuxième loi de Joule

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dU = Q -p dV = CV dT + l dV - p dV et puisque dans le cas du gaz parfait U ne dépend que
de T alors l = p
De la même façon
dH = d(U+PV)=dU+p dV+V dp=Q -p dV+pdV+Vdp et
dH = Q+ V dp = Cp dT+ h dp + V dp et puisque H n’est que fonction de T pour un gaz parfait
(H(T)) alors h = -V

On retiendra que dans le cas du gaz parfait dU = Cv dT et dH=Cp dT, formules souvent utiles
qui résument les lois de Joule.

C. L’échange de chaleur lors d’un changement d’état

1. Variation d’enthalpie et chaleur latente de changement d’état

On a vu au premier chapitre qu’un changement d’état est isobare et isotherme


Rappelons nous l’exemple de l’eau pour fixer les idées

Le changement d’état s’accompagne d’un échange de chaleur.


Q = H sur une isobare qui est aussi une isotherme

On appelle chaleur latente de changement d’état de vaporisation la quantité de chaleur qu’il


faut fournir à l’unité de masse de la phase 1 pour la transformer en phase 2, de manière
réversible (T, p constants).

L1,2 = h

On reprend le diagramme p,V avec les différentes phases

La courbe de saturation est


constituée de la courbe d’ébullition et
de la courbe de rosée
La zone de saturation est la zone
d’équilibre diphasique liquide-vapeur
La vapeur saturante (ou parfois
vapeur humide) est définie
lorsqu’elle est en contact avec la
phase liquide. On parle parfois aussi
de liquide saturant
La vapeur pure est aussi appelée
vapeur sèche ou vapeur surchauffée

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2. Mélange liquide-vapeur, titre de la vapeur et échange de chaleur

Lorsqu’on est en présence du mélange liquide vapeur, la pression étant fonction de T les
variables d’état à utiliser sont T ou p et x la proportion en masse de vapeur dans le mélange,
ou encore titre en vapeur

Notation usuelle : il est d’usage d’utiliser des lettres primées une fois pour les grandeurs
relatives au liquide saturant et des lettres primées deux fois pour celles de la vapeur saturante.
Les lettres minuscules sont souvent réservées aux grandeurs massiques

Soit m la masse total du corps sous deux phases :


m = m’+m"
le titre en vapeur est alors x=m"/m

x s’exprimera en fonction des variables extensives utiles, pratiquement le volume, l’enthalpie


et l’entropie.
Raisonnons par exemple avec le volume :
V=V’+V", ou les volumes sont totaux
En grandeurs massiques V = mv = m’v’+m"v"
En introduisant x on obtient v = x v"+(1-x) v’

La variation d’enthalpie lors du changement d’état est mesurée par la chaleur latente L. Ainsi
si h" correspond à la phase gazeuse , h’ à la phase liquide lors d’un changement d’état, et x le
titre si les deux phase co-existent, on

h"-h’=L et h(x) –h’ = x L ou


h(x) = h’+x.(h"-h’)=x h"+(1-x) h’

h(x) est l’enthalpie du mélange de titre x.

IV La transformation adiabatique réversible d’un gaz parfait

Les applications de cette transformation sont innombrables, nous conseillons donc au lecteur
d’assimiler parfaitement cette transformation. Nous la reverrons dans les chapitres suivants.

1. Equation de Laplace

Q = 0 pour une transformation adiabatique réversible soit :


Cv dT+l dV= Cv dT+p dV=0

On déduit donc que Cv dT+p dV =0 (1)

Pour réduire le nombre de variables on introduit l’équation d’état

pV = n R T qui se différencie en p dV+V dp =n R dT (2)

En combinant les équations (1) et (2) ci-dessus on obtient en éliminant T :

CV (pdV+Vdp)/nR +pdV=0
soit (Cv+ nR) p dV+ Cv V dp =0
D’après la relation de Mayer Cp-Cv = nR on déduit que

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Cp p dV+ Cv V dp = 0 soit en posant = Cp/Cv :
V dp+ p dV=0 ou dp/p+ dV/V =0

Si  est constant (ce qui est le cas courant) alors on obtient pV= Cte
C’est l’équation de Laplace

On peut exprimer cette équation en fonction de chacune des paires de variables


indépendantes : p,V ; p,T ou V,T en combinant l’équation de Laplace et l’équation d’état du
gaz parfait qu’on écrit sous la forme pV/T = Cte

On en déduit p T/p = Cte ou p1- T= Cte


Et V T/V = Cte ou T V-1= Cte

Remarque : ces relations encadrées sont en fait souvent plus utiles sous leur forme
différentielle qu’on obtient facilement en prenant le logarithme népérien de chacune d’elle et
en différenciant l’expression :
ln(p V) = Cte soit dp/p+ dV/V = 0
ln(p1- T) = Cte soit (1-) dp/p+  dT/T = 0
et
ln(T V-1) = Cte soit dT/T+(-1)dV/V = 0

2. Travail échangé au cours de la transformation

Une transformation adiabatique (réversible ou non) est telle qu’il n’y a pas d’échange de
chaleur donc Q=0 et donc U=W (cas où dEc=dEp=0)

Comme nous allons nous intéresser à une transformation réversible, on écrira à chaque instant
W = dU
Et W= dU = Cv dT
D’autre part, W= -p dV selon la définition des forces de pression

Donc le travail échangé lors de la transformation adiabatique réversible peut se calculer de


deux façons différentes

• W=U = CV(T2-T1) (pour un gaz parfait U ne dépend que de T).


Or Cv=nR/(-1) et W = nR/(-1) (T2-T1)

• W = -p dV.

Il s’agit donc de se ramener à une seule variable pour pouvoir intégrer cette expression : nous
savons que pV=nRT et pV= cte.
W =-pdV = -p1V1 dV/V et en intégrant :
W = -p1V1 [V1-/(1-)]21
Mais puisque p1V1= p2V2 on obtient
W= (p1v1-p2V2)/(1-)= nR/(-1) (T2-T1)

3. Position relative des courbes isotherme et adiabatique réversible

Considérons le diagramme p,V. A partir d’un point M dans ce diagramme on fait subir une
transformation soit isotherme, soit adiabatique au système, comment se déplace le point M
représentant le système ?

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→ isoT , en partant de l’équation d’état on obtient p V = cte donc p  1/V
→ adiabatique réversible PV  = cte donc p  1/V

 étant en pratique toujours supérieur à 1, l’adiabatique en un point M du plan p,V


est toujours plus pentue que l’isotherme passant par ce point

p
Adiabatique réversible

isotherme

4. Transformation polytropique V

Parfois un échange thermique partiel se produit, nous sommes donc dans un cas
intermédiaire entre la transformation adiabatique, sans aucun échange thermique, et la
transformation isotherme, avec échange thermique complet puisque la température ne
varie pas.
Dans le cas isotherme P V = Cte
Dans le cas adiabatique P V = Cte
On appelle transformation polytropique quand P V n = Cte avec 1<n<
La courbe d’une polytropique dans le diagramme P,V se positionnera avec une pente
intermédiaire entre l’adiabatique et l’isotherme.
Dans le cas d’une transformation polytropique on peut montrer que
W est proportionnel à Q

Les transformations réversibles usuelles peuvent être vues comme un cas particulier
de transformations polytropiques :
-isotherme, n=1
-isobare n=0
-isochore n = , aucune contrainte sur P (P(1/n) V = Cte)
-adiabatique réversible n = 

V Notions sur les transformations dites réversibles

Notre expérience quotidienne est faite de transformations dites irréversibles. Elles se


traduisent essentiellement par l’impossibilité de « retourner en arrière ». C’est le cas par
exemple de beaucoup de réactions chimiques, ou d’expériences courantes comme la
dissolution d’un sucre dans une tasse ou l’égalisation de température lorsqu’un corps chaud et
un corps froid rentrent en contact.

Pour ces expériences on ne peut pas envisager de faire défiler le temps à l’inverse pour
revenir à l’état initial. Ces transformations sont dites irréversibles.

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La réversibilité est plus difficile à appréhender, et nous verrons qu’elle est en fait très rare au
sens strict de sa définition. On peut comprendre le concept en prenant l’exemple du cinéma.
Si le mouvement enregistré est réversible alors le passage de la bande enregistrée en sens
inverse apparaît réaliste. De même lorsqu’on tire sur un élastique il pourra reprendre sa
position initiale.

La thermodynamique a permis de conceptualiser l’irréversibilité.


Cependant le premier principe (la conservation de l’énergie) ne dit rien de l’impossibilité ou
pas de passer de l’état 2 à l’état 1. On sera donc amené à définir une autre fonction d’état que
U permettant de mesurer cette (ir)réversibilité.

A. Symétrie temporelle

Soit un processus régi par une équation, il est dit t-symétrique si l’équation qui la régit est
invariante par un changement de t en –t. Un processus t-symétrique est réversible (exemple
précédent du cinéma).
Par exemple, une particule qui subit une force qui ne dépend pas du temps a un mouvement t-
symétrique
En effet :
m d2x/dt2 = m d2x/d(-t)2 = F avec par exemple F =-k x (force de rappel élastique).
Par contre si on ajoute un frottement f = - v cette dernière n’est pas t-symétrique :
dx/dt = - dx/d(-t). Ainsi en cas de frottement le mouvement devient irréversible.

B. Equilibre thermodynamique d’un système

Un système est en état d’équilibre thermodynamique si les paramètres macroscopiques qui le


décrivent ne dépendent pas du temps et s’il ne se produit plus de phénomènes irréversibles en
son sein.
• l’équilibre thermique est assuré par l’uniformité de la température
• l’équilibre mécanique est assuré par l’uniformité de la pression

C. Transformation réversible en thermodynamique

Une transformation (ou évolution) est dite réversible du point de vue de la


thermodynamique si on peut négliger les processus irréversibles qui se produisent
inévitablement à l’échelle macroscopique.
Plus précisément on définira la transformation comme réversible si le système évolue en
passant par une suite continue d’états d’équilibre, c’est à dire qu’à chaque instant on peut
revenir à l’état antérieur, elle est donc t-réversible.
C’est un cas idéal jamais réalisable parfaitement.
On parle aussi de transformation quasi-statique si à chaque instant l’état est proche d’un
état d’équilibre, ainsi à chaque instant les variables d’état (pression, température, volume)
sont définies à tout instant. On pourra donc à tout instant calculer des grandeurs
thermodynamiques.

D. Conditions pratiques de réversibilité

Ces conditions sont très utiles dans la pratique


• Une transformation réversible doit être très lente, pour permettre au système de se
remettre à l’équilibre constamment. On verra qu’une transformation peut être lente du
point de vue du gaz et pas du manipulateur

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• En cas d’échange « mécanique », c’est à dire mettant en jeu des forces de pression, la
réversibilité mécanique exige que les pressions intérieure et extérieure soient toujours
égales donc p = pe

D’un point de vue pratique, un système évoluant de façon réversible est à chaque
instant en équilibre mécanique avec le milieu extérieur donc p(système) = pe et le
travail W va s’exprimer :
W = -pe dV = -p dV
• En cas d’échange thermique, la réversibilité thermique exige que Text=Tint=T, au
contact d’un thermostat par exemple

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