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II – CONFIANCE ET ESTIME DE SOI……………………17
1) DEFERENCE ENTRE ESTIME DE SOI ET CONFIANCE
EN SOI………………………………………………….17
a) Le manque d’estime de soi………………………….18
b) Quand le manque d’estime………………………….18
c) Soigner la présentation……………………………...18
2) CONFIANCE EN SOI…………………………………19
a) L’origine du manque de la confiance en soi…………19
b) Possibilité d’amélioration de la confiance en soi…….20
3) IMAGE DE SOI………………………………………...20
a) Déformation de l’image de soi……………………….21
b) Avoir une meilleure image de soi……………………22
4) VAINCRE SES COMPLEXES………………………...22
a) Comment se manifeste 1 complexe ?...........................23
b) Le complexe par le physique…………………………23
c) Le complexe Intellectuel……………………………..23
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2) Quelques reflexes à adopter pour gagner en estime de
soi……………………………………………………37
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PARTIE 1 :
RELATIONS AU TRAVAIL
ET
COMMUNICATION INTERPERSONNELLE
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INTRODUCTION
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CHAPITRE I : LES RELATIONS AU TRAVAIL
LECON I : INTEGRATION EN ENTREPRISE
Pour trouver sa place au sein d'un groupe, il faut savoir s'intégrer.
Afin de s'épanouir pleinement dans son métier, il faut connaître les rites et coutumes
de la société qui vous emploie.
Il va donc falloir faire sa place au sein d'un groupe qui va être modifié, car il doit
absorber un nouveau venu.
Cela évitera : les malentendus, les tensions, les conflits, les interrogations et les
hostilités
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I.2.1. L'organisation du séminaire.
Ceux-ci peuvent avoir lieu sur : une journée, plusieurs jours ou encore répartis sur
l'année pour un meilleur suivi.
Les séminaires sont ouverts bien souvent à toutes les nouvelles recrues (cadres et
non-cadres).
Il est aussi possible de faire appel au coach d'intégration qui s'avère être aussi une
formule efficace.
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II. conseils pour réussir son premier mois en entreprise
Le premier mois en entreprise est primordial. En effet, c'est durant cette période
qu'on fait sa première impression et qu'on pose les bases des relations futures. Notre
astuce fait le point pour vous !
Il existe bien entendu des ajustements selon le poste que vous prenez et la place que
vous occuperez. Se présenter à tous pour créer le premier lien
Quand vous arrivez dans une entreprise, vous devez vous présenter.
En PME
Dès que vous croisez une nouvelle tête, prenez les devants !
Présentez-vous en deux phrases : « Bonjour, je m'appelle …. je suis
…………….. ».
Vous travaillez dans une plus grande entreprise, voire une multinationale ?
Présentez-vous :
Vous devez aussi vous présenter à votre manager direct, votre n+1. En effet, ce n'est
peut-être pas lui qui vous a recruté. N'hésitez pas à solliciter un entretien pour
connaître ses attentes.
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II.1. Observer son environnement de travail
Sans vous montrer introverti, sachez prendre une certaine distance pour votre
premier mois. Cela vous permettra :
Bon à savoir : évitez de confier vos états d'âme à la première personne qui se
montre amicale. Vous ne connaissez pas encore vos collègues, ne prenez donc
pas le risque d'être jugé trop rapidement
Même si vous avez bonne mémoire, vous aurez une foule d'informations à retenir
(en plus des prénoms !) et il est judicieux de tout noter. De plus :
Même si les usages de votre nouvelle entreprise ne vous sont pas familiers ou ne
vous conviennent pas, il va falloir commencer par les adopter. Vous pourrez peut-
être amener une discussion sur les sujets qui vous dérangent plus tard, quand vous
serez bien intégré.
NB : les premiers mois sont souvent votre période d'essai. Respectez donc
scrupuleusement les horaires et faites un peu de présentéisme !
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LECON 2 : LA PRISE DE POSTE
L'appartenance à un groupe se révèle très importante aux yeux de tout individu.
Pour ce faire, lors de votre prise de poste, il va falloir faire votre place et rentrer
dans un espace où :
C'est donc un système de partage et d'échanges que vous devrez composer avec
votre personnalité et votre fonction au sein de l'entreprise, à savoir :
Sachez que la première impression que vous donnerez sera déterminante. On dit
souvent que vous disposez de 100 jours pour faire vos preuves et confirmer votre
intégration dans votre nouvelle fonction.
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o qui influence,
o qui prend la décision finale ?
connaître aussi l'historique de la société au moyen de documentation.
Pour les postes d'encadrement, il est impératif d'aborder sereinement les nouvelles
prises de fonction (mutation interne, promotion ou nouvelles prises de fonction) en :
C'est donc un nouveau challenge qui s'offre à vous, il va falloir relever de nouveaux
défis pour réussir votre carrière au sein de votre nouvelle société.
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o Sachez faire reconnaître votre travail et vos réalisations sans trop
d'excès. N'hésitez pas à faire preuve d'initiatives et proposer des pistes
d'action pour améliorer le fonctionnement de votre service.
o La polyvalence n'a jamais fait de mal à personne, certaines missions
peuvent être source d'opportunités. Soyez ouvert aux nouveaux défis,
même si ces derniers sortent du cadre de votre fonction. C'est peut-être
un tremplin pour une évolution de carrière.
Soyez toujours positif, attention aux attitudes négatives, restez attentif aux
signaux d'alerte. Sachez faire la part des choses.
Soyez réceptif aux nouvelles méthodes de travail et aux nouveaux outils mis
à votre disposition.
Et enfin, cultivez votre réseau professionnel.
Attention à ne pas commettre d'erreurs qui pourraient s'avérer fatales pour votre
prise de poste, comme :
En conclusion, n'oubliez pas que l'entreprise est un lieu de travail, ce n'est pas un
terrain d'expression d'amitiés.
Ces dernières ne doivent pas interférer sur votre activité, sachez rester
professionnel.
Restez discret sur vos affinités personnelles, certaines complicités peuvent
susciter des réactions peu favorables.
Dans votre vie professionnelle, vous serez confronté à des situations conflictuelles :
jalousies ou attaques.
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LECON 3 : LE TRAVAIL EN EQUIPE
Une équipe est un groupe de professionnels qui s’engagent à travailler ensemble
autour d’un projet commun. Le travail d'équipe ou travail en équipe repose sur deux
types de compétences, pour atteindre l’objectif fixé :
Travailler ensemble n’est pas automatique, cela s’apprend. Cela ne nécessite pas
« d’aimer » tout le monde, mais requiert de la confiance, un engagement pour un
objectif commun et des pratiques partagées. Il ne faut pas forcément « être
ensemble », mais travailler tous dans le même but.
De par votre métier, vous êtes porteur de compétences techniques : votre formation,
votre expérience professionnelle vous ont permis de les acquérir et de les
développer. De la même façon, vous pouvez améliorer vos compétences
relationnelles et apprendre à mieux travailler en équipe.
Voici une liste non exhaustive des problèmes qui peuvent surgir suite à un mauvais
travail d'équipe :
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I. les composantes essentielles du travail d'équipe
Le travail d'équipe a trois composantes. Prenez-les en compte, vous aurez ainsi un
rôle à jouer, même si vous avez des points faibles dans l'une ou l'autre d'entre elles.
Quelle que soit votre place dans l'équipe, actionnez chacun des leviers suivants :
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La vie est faite de relations : relations sociales, relations professionnelles, relations
familiales, relations sentimentales... Lorsque l'on manque d'estime de soi, cela peut
parfois compliquer un peu nos relations.
Le manque d'estime de soi est lié à l'image que nous avons de nous-mêmes. Il s'agit,
le plus souvent, d'une représentation interne qui se trouve en décalage avec la
réalité.
Nous nous dévalorisons alors que nous avons de la valeur aux yeux des autres et
nous pensons souvent ce que les autres ne pensent pas de nous-mêmes.
Bref, nous ne nous aimons pas suffisamment. De fait, il faut réapprendre à nous
apprécier au lieu de nous déprécier sans arrêt. Cela passe par :
L'éducation peut jouer un rôle important dans l'estime de soi. Nos parents nous ont
peut-être, sans le vouloir, habitués au perfectionnisme à l'excès. Il faut donc parfois
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en venir à travailler nos valeurs fondamentales et une psychothérapie est un bon
moyen de progresser.
Attention : manquer d'estime de soi et ne pas s'aimer assez peut amener certaines
personnes à tomber dans l'excès inverse, à force de travail sur soi. Il faut s'aimer
beaucoup, mais celui qui s'aime à la folie peut verser dans le narcissisme. La voie du
juste milieu est toujours la meilleure.
Il est possible de faire appel à la chirurgie esthétique. Affiner un nez ou refaire une
poitrine peut parfois redonner confiance en soi et changer la vie des patients.
Les personnes qui se voient des défauts alors qu'il n'y en a pas
Dans ce domaine, même des top modèles ont ce genre d'état d'âme, et il faut savoir
que même si tout le monde se pâme sur une plastique parfaite, la personne en
question peut souffrir d'un manque d'estime de soi, du fait d'une image de soi
déformée par rapport à la réalité.
Parfois, nous pouvons manquer d'estime de soi parce que nous ne faisons pas de cas
des apparences extérieures. Or, dans certaines relations, la présentation compte
beaucoup (relations professionnelles, relations sentimentales...).
Par exemple :
Si une femme se soucie peu d'elle-même, elle aura peut-être du mal à trouver un
partenaire et finira par manquer de plus en plus de confiance en elle.
Or, il suffit parfois d'une touche de maquillage, d'un changement de style dans
l'habillement ou d'une nouvelle coiffure, pour résoudre un problème relationnel.
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de voir un spécialiste en relooking ;
de se faire conseiller par un coiffeur ou une esthéticienne.
Dans certains cas en effet, le manque d'estime de soi tient à peu de choses. Le
problème c'est que la personne ne cherche pas forcément dans la bonne direction.
Ses relations s'en ressentent, se détériorent et peuvent créer un état dépressif chez le
sujet.
2. Confiance en soi
Le philosophe Emerson écrivait : « La confiance en soi est le premier secret du
succès ». Il est vrai que nous admirons souvent ceux qui ont une confiance en eux
infaillible et ce, d'autant plus si nous sommes timides et doutons de nos capacités
intellectuelles ou émotionnelles.
Cependant, même si nous n'atteignons jamais le charisme d'un leader, nous pouvons
travailler certains aspects de notre personnalité afin d'acquérir une meilleure
confiance en nous-mêmes et d'accéder ainsi à de meilleures relations
interpersonnelles.
La confiance en soi est une certaine dose de foi en soi même. Croire en ses capacités
physiques, mentales, émotionnelles ou encore croire que l'on va réussir dans un
projet qui nous tient à cœur : tout ceci n'est possible que si l'on a confiance en soi.
l'estime de soi ;
une image de soi positive.
En travaillant sur ce handicap et en consultant les spécialistes qui pourront les aider
à avoir une meilleure image d'eux-mêmes, ils pourront regagner une meilleure
confiance en eux.
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Mais, il existe aussi des cas où des adultes perdent leur confiance en eux-mêmes
après avoir essuyé plusieurs échecs consécutifs et n'avoir pas su gérer les
conséquences.
En ne tirant pas parti des échecs pour rebondir, mais en sombrant dans la culpabilité
et le doute sur leurs propres compétences, ils peuvent en venir à perdre ensuite leur
confiance en eux.
Par exemple :
Progresser à petits pas pour ne pas se décourager. Ainsi, lorsque l'on est
timide, on peut commencer à adresser la parole à un inconnu une fois par
semaine.
Sortir, éviter de rester enfermés chez soi. Plus on voit de monde, mieux c'est.
S'amuser. Lors d'une soirée en petit comité, proposer d'organiser une soirée à
thème : chanter ou réciter un texte devant un petit groupe pourra être une
étape avant de s'inscrire dans une chorale ou une troupe de théâtre.
Lors d'une prise de parole en public, regarder les gens dans les yeux et/ou
balayer l'assemblée du regard. Pensez à garder le sourire !
Apprendre à travailler sur la respiration. Se faire aider par la pratique du yoga
ou des gymnastiques orientales.
Observer les autres. Ceux qui sont très à l'aise, comment font-ils ?
Apprendre à gérer certaines émotions : timidité, complexes, etc.
3. L’image de soi
Lorsque nous développons une image de soi négative, nous mettons à mal nos
capacités à avoir des relations satisfaisantes : que ce soit en amitié, en amour, ou
encore dans notre cadre professionnel.
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Qu'est-ce que l'image de soi ?
L'image de soi est une représentation que l'on se fait de soi-même quant à son
physique et à ses capacités dans tous les domaines...
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2. Avoir une meilleure image de Soi
Des cas extrêmement sévères peuvent entraîner des troubles du comportement
(anorexie, boulimie, etc.) ou des états dépressifs et pour lesquels il est indispensable
d'entamer une psychothérapie.
Exemple
Que faire ? L'aider à travailler sur la confiance en soi en utilisant des exercices de
motivation. Lui faire faire de petits exercices de prise de parole en groupe et
lorsqu'elle sera plus à l'aise, la faire participer à des troupes de théâtre...
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4.1. Comment se manifeste un complexe ?
Un ou plusieurs complexes ?
Le complexe naît généralement d'un défaut physique ou intellectuel que l'on grossit
à outrance.
En effet, cette petite imperfection à laquelle aucun de nos proches ne prête attention
peut devenir à nos yeux un défaut sur lequel nous allons faire une fixation.
À tel point qu'une personne très complexée peut devenir timide ou avoir du mal à
satisfaire à de bonnes relations avec les autres, se comparant systématiquement à
eux, et toujours en se dévalorisant.
Par exemple : des personnes très complexées sur leur physique refusent de se
mettre en maillot de bain et d'aller à la plage, ou encore de faire du sport. Le
complexe s'accompagne souvent d'un manque d'estime de soi
On distingue :
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À titre d'exemple, le complexe d'infériorité peut avoir une cause réelle si l'on estime
de façon très objective que l'on n'a pas fait assez d'études et que l'on a un manque
par rapport aux autres.
Peut-être nos parents ne nous ont-ils jamais encouragés ou nous ont-ils abreuvés de
nos manques et incapacités ?
Dans ce cas, l'image de soi est ternie et il faut faire un travail sur soi afin de
reprendre confiance en soi et en ses capacités réelles, ce qui par la suite fera
disparaître nos complexes.
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LECON 4 : COMMUNICATION GAGE DU TRAVAIL EN
EQUIPE
I. Communiquez efficacement pour travailler en équipe
Communiquer en équipe repose sur quelques axes. Prenez tout d'abord le temps de
vous connaître et de connaître les autres en situation d'équipe.
Vous êtes tour à tour émetteur de message et écoutant : soignez ces rôles.
Soyez précis :
o Évitez les mots vagues ou les termes génériques (beaucoup, bien,
peu…) : quantifiez dès que possible, employez les termes précis,
techniques.
o Utilisez les questions suivantes pour cibler vos messages: Qui ? Quoi ?
Quand ? Où ? Comment ? Combien ? Pourquoi ?
Vérifiez vos perceptions : vous pouvez avoir une compréhension différente de
celle de votre interlocuteur. Prenez le temps de décrire ce que vous avez vu,
entendu, ressenti…
Reformulez les messages importants : « Si j'ai bien compris, tu as dit que…, il
faut que… »
Soignez le non-verbal : votre tenue, le ton que vous employez, la clarté, la
congruence, c'est-à-dire l’adéquation entre l’attitude (le langage corporel) et
le discours en disent long sur votre sincérité.
Faites la distinction entre faits, opinions et sentiment pour éviter et gérer les
conflits, les rumeurs, dire ce qui ne va pas, tâchez de repérer les différents
registres :
o Les faits se constatent objectivement, ils ne se discutent pas.
o Les sentiments ne se discutent pas et se respectent, ils appartiennent à
celui ou celle qui les ressent. Apprenez à exprimer vos émotions et à
respecter les émotions des autres.
o Les opinions sont propres à celui ou celle qui les expriment, elles se
discutent et peuvent évoluer.
Osez demander et refuser. Exprimez vos besoins, même les plus simples :
« J'ai besoin d'avoir un bureau dégagé en partant le soir », « J'ai besoin que
vous me disiez bonjour le matin ». Appliquez des règles de communication
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non violente : expression du refus, expression de ses ressentis, proposition de
solution alternative.
Respectez vos collègues : fixez des règles de respect mutuel avec vos coéquipiers.
1. Favoriser la communication
Un mail, c'est idéal pour laisser une trace écrite. Toutefois, certains échanges
peuvent être faits par oral. Ainsi, interdisez les mails quand les personnes travaillent
les unes à côté des autres et quand le sujet est informel.
Bon à savoir : veillez à laisser votre porte ouverte pour inviter vos
collaborateurs au dialogue.
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Sortir du cadre du travail
Quand vous discutez avec vos collaborateurs, ne parlez pas que du travail :
manque de motivation ;
collègues insupportables ;
mais aussi raisons personnelles.
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II.2.2. Les règles de vie dans un open-space
Il s'agit du respect de la concentration de chacun :
Ne jamais organiser une réunion sans ordre du jour, avec des objectifs
clairs et précis.
Ne jamais faire durer une réunion plus de 2 heures : au-delà, la concentration
diminue et l'équipe est inefficace.
Démarrer les réunions à l'heure et les finir à l'heure : le non-respect des
horaires génère de la désorganisation, de l'oisiveté (il est difficile de
commencer quelque chose quand on sait qu'une réunion est imminente), de la
frustration et de l'agacement. À terme, elle peut susciter agressivité ou
démotivation (sensation d'être coincé, peur de voir une réunion durer alors
que les enfants attendent à l'école ou qu'on va encore rater le cours de sport
qui apaise…).
S'astreindre à un compte rendu bref et précis et en tenir compte pour mener
les actions futures.
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Enfin, toujours garder en tête que les tensions et périodes chaotiques sont des
phases indispensables à la créativité et à l'émergence de solutions nouvelles et
constructives. Il s'agit simplement de les canaliser et de les orienter.
C'est utile aussi quand un collaborateur est absent et qu'il faut le remplacer.
Favoriser l'entraide décuple les forces et les potentiels.
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III. Organiser des activités de team building
Le team building, ou construction d'équipe, est un dispositif utilisé en entreprise
pour favoriser la cohésion d'équipe. En atelier, en dehors de l'entreprise, les
collaborateurs vont participer en groupe à des activités ludiques et formatives qui
vont développer la cohésion d'équipe, les compétences à travailler en groupe, la
solidarité… en bref toutes les compétences qui servent le collectif de travail et
créent un environnement favorable au travail. Véritable outil de cohésion et de
motivation, le team building favorise les relations de travail harmonieuses et la
reconnaissance
III. 1. Réfléchissez à l'objectif de votre team building avant
son organisation
Le team building peut être lié à une situation précise ou s'inscrire dans un projet plus
large d'amélioration des compétences collectives. Selon la situation, le team
building sera ludique ou stratégique.
gestion de crise ;
construction de la cohésion d'équipe ;
accompagnement d'un changement ;
réduction des freins à la coopération ;
dynamisation du moral d'équipe ;
optimisation du travail en équipe ;
dynamisation de la circulation d'information ;
reconnaissance des compétences spécifiques de chacun ;
gestion du stress ;
développement d'une compétence spécifique ou de la créativité d'équipe ;
constitution et valorisation d'une équipe, récompense de l'équipe ;
création d'une relation de confiance ;
gestion de conflits ;
ou tout simplement profiter d'un moment agréable.
Toutes les activités de team building, quel que soit l'objectif poursuivi, ont en
commun d'amener les participants à partager des expériences marquantes et à
réfléchir ensemble.
Soyez clair sur les raisons qui vous amènent à construire un team building.
Prenez le temps de définir les objectifs et enjeux du team building, vous
pourrez ainsi cibler les participants et choisir une activité cohérente. Rater un
team building peut être désastreux et avoir l'effet inverse à celui souhaité :
aggraver la problématique.
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Plus votre cible est stratégique et doit répondre à une problématique de l'entreprise,
plus vous devez préciser les objectifs du team building, par exemple :
Conseil : associez vos collaborateurs à cette définition des objectifs. Ils adhéreront
d'autant plus qu'ils auront exprimé leurs besoins
Le team building n'est pas miraculeux, il faut donc l'inscrire dans la durée. Selon les
problématiques, il ne va pas tout résoudre en une seule fois. Inscrivez le team
building dans le temps et envisagez de le renouveler chaque année.
Définissez le budget qui pourra être alloué au team building, inutile de vous
lancer dans le choix d'une activité sans savoir jusqu'où vous pouvez aller
financièrement : consultez votre direction.
Déterminez le lieu : prenez en compte les participants, d'où viennent-ils ?
jusqu'où peuvent-ils aller ? Le mieux est de choisir un lieu facilement
accessible par tous, soit proche du lieu de travail, soit central.
Recensez les prestataires et envoyez-leur le cahier des charges : objectifs,
déroulement, souhait d'un coach…
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Choisissez les activités : les activités sont pour tous les budgets, goûts,
personnalités, elles peuvent être sportives, culturelles, artistiques,
gastronomiques… par exemple :
o création d'un chant, plusieurs voix (chorale) : développement des
capacités d'écoute, cohésion d'équipe, estime de soi ;
o création d'une chanson thématique ou flash mob : culture entreprise ;
o atelier d'œnologie : outil d'intégration, reconnaissances des
compétences spécifiques de chacun ;
o challenge sportif : esprit d'équipe, goût de l'effort, communication… ;
o atelier avec animaux : mieux communiquer, mieux se connaître,
comprendre ses émotions et celles des autres, gestion du stress ;
o challenge survie : maîtrise de soi, gestion de l'imprévu, gestion de crise,
prise de décision, esprit d'équipe…
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CHAPITRE 2 : COMMUNICATION
INTERPERSONNELLE
LECON 5 : COMMUNICATION INTERPERSONNELLE
Votre image donne déjà à votre entourage, une première idée majeure de votre
savoir-être à un moment « T », sans avoir commencé à formuler la moindre parole.
les mots et le comportement, qui une fois exprimée sont irréversibles, il vous
est juste possible de les atténuer si vous souhaitez revenir en arrière, comme
lors d'une prise de parole en public ou le fait de faire une présentation.
La tenue vestimentaire :
o Elle représente un mode d'appartenance, de conformité, de différence,
de règles qui généralement doivent s'adapter à la société pour une
meilleure intégration en entreprise.
o Un banquier ne viendra pas travailler en jean, cela n'est pas conforme à
l'éthique, tout comme le créateur travaillant dans la pub en costume
cravate, il serait en décalage avec son secteur d'activité.
la communication orale,
le téléphone : attention au ton de la voix quand vous parlez au téléphone,
l'écriture : la façon de rédiger : communication par mail ou écrire une
note informera le lecteur sur votre culture générale et intellectuelle,
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la gestuelle fera passer des messages selon votre posture.
Conclusion
La communication interpersonnelle est donc fondée sur l'échange :
Celle-ci sera utilisée dans notre quotidien à chaque fois que nous sommes en
relation avec quelqu'un. Si la communication interpersonnelle est bien utilisée, elle
aidera l'individu à réussir sa carrière.
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LECON 6 : LES CONFLITS AU TRAVAIL
Une entreprise dynamique génère des conflits et c'est normal.
Se faire respecter au travail est important pour l'estime de soi et pour entretenir
des relations professionnelles fluides.
Comment se faire entendre, comment faire entendre ses idées au travail comment
être reconnu par ses collègues, ses supérieurs ou en tant que manager ? Voici
quelques conseils pour y arriver.
Revalorisez-vous
Reconnaissez que vous êtes une personne qui a autant de valeur que toutes les
autres.
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I.2. réflexes à adopter pour gagner en estime de soi !
L'estime de soi signifie que l'on se respecte soi-même. La renforcer n'est pas
compliqué et permet de mieux s'épanouir dans la vie. Voici des conseils efficaces
pour gagner en estime de soi.
NB : une bonne estime de soi permet de gagner des points lors d'un entretien
d'embauche.
I.2.2. Se respecter
Pour que grandisse l'estime de soi, il faut, avant toute chose, respecter qui on est,
être fidèle à soi-même et à ses convictions.
de soi :
I.2.6. Positiver
Pour avoir une opinion favorable de soi-même, il faut apprendre à voir la vie du bon
côté et à parler de façon positive. Pour cela, une méthode facile qui a fait ses
preuves peut vous y aider.
« Je peux y arriver ».
« Je suis le ou la meilleur(e) ».
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« Je vais tout mettre en œuvre pour réussir l'objectif que je me suis fixé ou
que Répétez ces phrases dans votre tête pour vous aider sur le chemin de la
positivité. Oui, le verre est à moitié plein, pas à moitié vide !l'on m'a
imposé ».
En réalité, le « non » garantit de la valeur à vos « oui », en posant les limites entre
ce qui est réaliste et réalisable, légal, dans vos compétences et souhaitable pour
votre carrière. Le « non » est signe de respect et d'affirmation de soi. Le tout est de
savoir dire « non » avec respect et en s'expliquant.
Vous devez toujours avoir en tête et sur papier (ou à l'écran) vos priorités et réaliser
qu'en étant toujours là pour les autres vous ne pouvez pas vous concentrer sur votre
travail.
Vos « non » seront alors plus facilement compréhensibles. Grâce à votre planning,
vous êtes en mesure d'expliquer votre refus.
Listez tous les projets, dossiers ou activités (une activité est un groupe de
tâches) de votre poste.
o Prévoyez votre planning sur la semaine, ainsi vous aurez une vision
claire de votre activité et de vos disponibilités.
o Prenez un code couleur par type de priorités. Veillez à ce que, dans vos
journées, il y ait toujours les trois types de tâches, cela vous laisse une
souplesse et vous permet de répondre à des imprévus.
Attention : une tâche non urgente aujourd'hui pourra devenir urgente demain.
II.2. L’assertivité
Les relations interpersonnelles se composent d'échanges et, pour que ceux-ci se
fassent harmonieusement, il faut parfois choisir l'assertivité afin de s'exprimer et de
s'affirmer tout en respectant les opinions d'autrui.
L'assertivité est un terme basé sur l'anglais « assertiveness » lequel vient du verbe «
to assert » qui signifie : défendre ses droits, ses opinions.
En effet, pour certains « s'affirmer » ne peut se faire qu'en élevant la voix dès que
quelqu'un n'est pas d'accord avec eux. Or, ce n'est pas un comportement assertif.
L'assertif a envie de s'affirmer, mais il sait gérer ses émotions et utiliser un langage
qui soit OK avec l'autre.
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Le principe de fonctionnement de l'assertivité
Elle permet non seulement une communication efficace, mais elle pacifie les sujets a
priori conflictuels.
Il s'agit donc de :
Conseils
Rappelons encore une fois que le comportement assertif est celui qui va permettre
de trouver un terrain d'entente entre deux parties. Personne ne doit être lésé :
l'assertivité est entre la soumission et l'agression.
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L'empathie est une aide appréciable dans le comportement assertif. De même que la
personne qui sait gérer ses émotions et connaît les bases de la communication non-
violente (CNV) aura plus de prédispositions à ce type de comportement.
Si la demande n'entre pas dans votre mission et donc dans votre champ de
compétences, vous risquez de rencontrer de grandes difficultés si vous dites
« oui ».
Exemple : Pour refuser, vous pouvez répondre : « Je comprends que vous ayez
besoin d'aide, mais je suis gêné d'avoir à refuser car je ne peux pas réaliser ce type
de tâche ».
Regardez votre interlocuteur dans les yeux : vous manifestez ainsi votre
sincérité et vous n’en serez que plus crédible. Une tendance à regarder par
terre ou ailleurs révèle votre manque de confiance en vous. A contrario, si
vous regardez trop fixement votre interlocuteur, il risque de se sentir mal à
l’aise.
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Mettez-vous au même niveau que votre interlocuteur : assis s'il est assis,
debout s'il est debout. Cela établit un rapport d'égalité.
Ponctuez vos paroles de gestes appropriés. Cela peut souligner le caractère
important, ouvert et chaleureux de vos propos.
Adoptez une expression qui concorde avec vos propos.
Maîtrisez votre voix. Restez calme.
Soignez votre élocution. Si votre réponse est émaillée de longs moments
d’hésitation, vous risquez de donner l’impression que vous manquez de
confiance en vous.
Écoutez, marquez de l'attention à votre interlocuteur : prenez le temps pour
répondre. Pour vous laisser le temps, réfléchissez à voix haute sur la question,
les difficultés que cela vous pose, les alternatives que vous voyez.
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III. Conflit au travail
Recadrer un collaborateur est un exercice délicat.
Avant de recadrer un collaborateur, il faut savoir diriger une équipe, c'est le rôle
d'un bon manager.
Votre objectif principal est d'asseoir votre autorité pour ne pas créer de précédent au
sein de votre équipe.
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Exposer ce que vous attendez de lui :
o soyez précis et intelligible dans votre démarche pour bien vous faire
comprendre,
o demandez-lui de trouver des solutions pour le responsabiliser.
Écouter le collaborateur pour savoir :
o Dans un premier temps, s'il a bien compris ce que vous lui demandez et
attendez de lui.
o Dans un deuxième temps, vous pourrez écouter ses différentes
propositions. Si ces dernières ne vous conviennent pas et qu'elles sont
inadaptées, demandez-lui de vous faire d'autres suggestions
correspondant au travail attendu.
Il faut donc trouver le juste équilibre pour « crever l'abcès ». De ce fait, le manager
va donc réagir aux dérapages du managé en le remettant dans le droit chemin tout en
préservant des bonnes relations.
Dans ce cas, il sera conseillé de rappeler les règles de l'entreprise et de durcir le ton
en le menaçant de sanctions. Son comportement ne doit pas nuire au bon
fonctionnement de l'équipe.
Il est quelquefois nécessaire de faire un exemple pour que tout le monde comprenne
qui est le manager.
En derniers recours, il sera utile de faire appel à la DRH pour prendre les mesures
qui s'imposent.
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III.2. Les conflits au travail
Il y aura donc une intention hostile envers l'autre. Un désaccord va donc éclater, il
aboutira à :
le conflit de personnes,
le conflit de définition de zone de pouvoir,
le conflit de valeurs,
les stratégies qui ne sont pas forcément expliquées aux employés, mais aux
cadres peuvent déboucher sur des conflits,
les ressources de travail nécessaires ne sont pas disponibles pour mener à bien
les différentes missions,
l'organisation n'est pas clairement définie.
deux personnes,
son équipe et une autre,
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l'équipe et le bouc-émissaire,
l'équipe et la hiérarchie (lui-même) : qui remet en cause sa fonction de
manager.
Si c'est un conflit entre son équipe et lui-même qui met en péril sa fonction, il serait
judicieux qu'il se fasse épauler par son supérieur hiérarchique.
Le manager peut aussi faire appel à une personne extérieure, tel qu'un coach qui
pourra jouer un rôle de médiateur.
Le manager va donc intervenir en qualité d'arbitre et indiquer ce que sont les règles
de vie et de respect dans un cadre professionnel.
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PARTIES 2
ADOPTIONS DE BONNES PRATIQUES
Vous essayez de faire le maximum dans votre travail, mais êtes-vous sûr de
travailler de la manière la plus efficace ? Maîtriser les bonnes pratiques vous
permettra de gagner du temps tout en gagnant en qualité dans vos tâches. Bonnes
pratiques pour vos écrits professionnels, bonnes pratiques pour une communication
efficace,
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CHAPITRE 3 : COMMUNICATION PROFESSIONNELLE
Un bon écrit renforce l’impact du message que vous voulez faire passer et conforte
votre professionnalisme. C'est pourquoi il est nécessaire de bien écrire, et d'écrire
pour être compris.
I. Quelques Conseils
Informer ?
Démontrer ?
Garder des preuves ?
Marquer une étape, un changement ?
Apportez des informations pour alimenter une recherche de solution ?
Délimiter une zone de responsabilité, d’influence ?
Si vous pouvez répondre « oui » à l’une de ses questions, l’écrit complétera l’oral ou
se suffira à lui-même.
Conseil : tout écrit est porteur d’effets relationnels : préparez-le avec attention.
I .2. Ciblez votre lecteur pour mieux rédiger votre écrit professionnel
Pour être lu, il faut s'adresser au bon lecteur, savoir qui il est.
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Appliquez ces questions à votre écrit et faites le point sur la cible que vous visez :
Pour :
50
o la pyramide inversée : regroupez les informations de même nature et
hiérarchisez-les ;
o le plan chronologique ;
o le plan analytique : commencez par les les faits et poursuivez par les
causes ou les conséquences ;
o le plan dialectique : thèse, antithèse, synthèse.
Listez les faits, les arguments qui vont s'insérer dans votre plan :
o Triez-les : éliminez ceux qui sont hors sujet ou anecdotiques.
o Organisez-les ensuite : ordre chronologique, du particulier au général,
de l'essentiel au détail, des observations au diagnostic…
Choisissez vos mots : en fonction de votre destinataire, choisissez des mots
qu'il comprendra, qu'il appréciera et qui entrent dans son domaine de
compétence. Évitez les termes de jargon technique si votre interlocuteur n'est
pas un spécialiste.
Utilisez le ton juste : bannissez le ton familier ou péremptoire dans un écrit
professionnel, restez neutre.
Écrivez sans faute : relisez et faites relire si nécessaire.
Soyez précis :
o utilisez des verbes d'action ;
o utilisez le présent en priorité ;
o bannissez les termes génériques : beaucoup, peu, etc. et quantifiez vos
données ;
o expliquez les sigles si vous devez en utiliser.
Distinguez faits et opinions :
o Le fait est une information tangible, vérifiable voire quantifiable. C'est
un constat objectif, il ne se discute pas.
o L'opinion est une appréciation subjective, un jugement de valeur. Elle
est contestable. Dans un écrit, présentez-la en hypothèse.
Allez à l'essentiel : un écrit professionnel vise l'efficacité. Veillez à ce que
chaque information ait son utilité. Éliminez tous les détails inutiles.
Supprimez les répétitions : allégez votre écrit.
Vérifiez si votre écrit est complet : votre information doit pouvoir se
résumer en 7 questions auxquelles vous devez pouvoir répondre : qui, quoi,
quand, où, comment, combien, pourquoi.
Respectez la charte rédactionnelle s'il en existe une ou les règles d'écrits
classiques professionnels.
Relisez toujours votre écrit.
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d'informer,
de proposer,
d'organiser.
Elle peut être destinée à des collègues de bureau, à des directeurs voire le président
directeur général ou le président.
II.1.2. La note de service, quant à elle, est rédigée par le supérieur qui
adresse des instructions ou des recommandations à ses collaborateurs
Votre mission sera de rédiger une note qui sera lue et comprise de tous les
collaborateurs destinataires, vous ferez preuve d'esprit de synthèse et soignerez
l'orthographe et la grammaire.
une page est suffisante pour écrire une note, elle sera courte et concise,
privilégiez de traiter un seul sujet par note,
adaptez votre texte à vos correspondants,
employez un style impersonnel.
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Précisez si votre note est : pour information, pour avis, pour exécution, pour
classement, etc.
La diffusion de la note
Une prise de note consiste à écrire l'essentiel tout en étant très rapide. C'est un
moyen de présenter des informations en les synthétisant.
de la mémorisation,
de la concentration et de l'attention,
de l'organisation et de la structuration
Les signes : les mots sont remplacés par des signes comme pour la sténo ou
l'écriture automatique.
Les abréviations qui sont des raccourcis, exemple :
o beaucoup = bcp
o toujours = tjs
53
o c'est-à-dire = cad
o il est possible d'utiliser un glossaire commun spécifique à l'entreprise
(médical, juridique).
La suppression de mots qui ne sont pas indispensables comme les articles.
La présentation qui correspond à la structure du texte, exemple :
o idée générale,
sous-titre 1
paragraphe 1
paragraphe 2
sous-titre 2
paragraphe 1
paragraphe 2.
Définir un canevas, comme un tableau en trois colonnes, à savoir :
Pour que la prise de note soit lisible et claire, afin de ne pas perdre de temps à la
relire et à la comprendre, il faut :
Si vous devez intervenir lors de la réunion, préparez les sujets que vous aborderez.
Vous noterez à l'aide de flèches, par exemple, vos interventions ainsi que les
commentaires suscités.
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LECON 8 : PARLER AU TELEPHONE
Si les applications sont techniquement opérationnelles, le manque d'interprètes en
langue des signes risque de retarder l'application de ces dispositions. Parler au
téléphone en véhiculant votre professionnalisme .
Dans notre vie professionnelle, lors de son utilisation, nous représentons notre
entreprise.
Pour en transmettre une bonne image, nous devons savoir maîtriser cet
instrument qui est indispensable de nos jours. Il va donc falloir l'utiliser avec
méthode et courtoisie.
Il est donc indispensable de faire preuve de bonne volonté pour réduire les risque de
malentendus ou d'erreurs.
répondre au téléphone ;
s'identifier ;
indiquer le motif de son appel ;
communiquer de manière claire et agréable.
Tout d'abord utiliser les règles élémentaires de politesse, sachant que l'intonation de
la voix permettra à votre interlocuteur de savoir si vous souriez et si vous souhaitez
l'aider.
les mots magiques : bonjour, au revoir, s'il vous plaît, merci, je vous en prie,
je suis désolée, puis-je vous aider, etc. ;
avoir une voix chaleureuse.
N'oubliez pas que tout appel est important et que vous représentez votre entreprise.
Si votre voix est « souriante », agréable, naturelle : vous êtes efficace, votre
entreprise aura une image sérieuse et dynamique.
Dans le cas contraire, cela donne une mauvaise impression et détermine un
manque de professionnalisme pour vous et votre société.
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II. Faire une bonne présentation
1. Qu'est-ce qu'une bonne présentation ?
La présentation doit faciliter la compréhension de l'auditoire. Pour ce faire, celle-ci
doit être : linéaire, simple et structurée.
Il va donc falloir bien la préparer avec le choix des bons supports pour rendre la
présentation attrayante et intéressante aux yeux du public.
La préparation de la réunion
La présentation du document
Pour une présentation claire, agréable, aérée et comprise de tous, il est capital :
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d'utiliser des couleurs pour faire vivre votre texte (3 couleurs maximum) ;
de privilégier les polices comme : Arial, Univers, le gras et le souligné pour
faire ressortir les points importants ;
d'appliquer le même style pour être homogène ;
les pages au format paysage sont plus lisibles que les pages au
format portrait ;
trop d'animations sont néfastes, car l'attention de votre auditoire est fortement
diminuée.
L'auditoire est conscient que vous avez beaucoup travaillé pour effectuer cette
présentation, la quantité n'impressionnera pas votre public, le but est que ce dernier
vous écoute et vous comprenne.
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vous souhaitez transmettre de la documentation ou un document récapitulatif
en fin de présentation.
Prévoyez plusieurs supports pour les fichiers et/ou un jeu de secours en cas de
problème.
Pour bien communiquer par mail, il y a donc plusieurs règles simples à respecter
2. Communiquer par mail : quelles sont les règles simples
pour bien communiquer ?
La première, qui est capitale, est de faire bonne impression afin que vos
destinataires ouvrent et lisent vos messages.
S'identifier :
o En mettant votre nom d'expéditeur dans le champ expéditeur et en
indiquant l'objet de votre message.
o Ces deux points vous aideront à passer le cap de la « corbeille » du
mail non lu, vos destinataires sont déjà assez envahis par les spams.
Le contenu du mail : il doit être concis, aéré et agréable à lire.
o À proscrire la page « haute définition » qui bloque pendant un certain
temps la boîte aux lettres de votre correspondant.
o Cependant, vous pouvez envoyer des documents attachés, attention au
poids qui ne doit pas dépasser plus de 500 ko.
o Pour ne pas agacer votre interlocuteur, inscrivez plutôt des liens de
votre site Internet ou de votre blog.
Le texte : n'écrivez pas un roman fleuve, il ne sera pas lu. Privilégiez une
synthèse de votre message (10 à 15 lignes grand maximum) :
o insistez sur ce que vous pouvez apporter à votre correspondant ainsi
que sur les nombreux avantages ;
o indiquez également dans le corps du texte la présence d'un document
attaché ;
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o bien entendu, soignez la présentation, la grammaire et l'orthographe ;
o sachez que les mots en majuscule signifient que vous êtes en colère et
que vous criez, réfléchissez bien avant d'envoyer des mots ou une
phrase en majuscule.
La mise en page : attention, tout le monde ne possède pas un grand écran,
utilisez des polices classiques adaptées.
La sélection des destinataires : il y a deux types de destinataires :
o ceux qui sont destinataires du mail et qui doivent généralement y
répondre,
o ceux qui doivent simplement être informés, ils seront donc en copie
conforme (Cc).
L'envoi :
o Prenez du recul, relisez-vous, car une fois le mail envoyé, c'est
irréversible vous ne pourrez plus revenir en arrière.
o Vous pouvez aussi définir la priorité des messages selon leur
importance ou leur urgence. Pour être crédible, n'utilisez pas cette
option sur tous les envois de vos messages.
Vérifier votre message avant l'envoi pour éviter les gaffes et/ou les dégâts.
Évitez de donner votre carnet d'adresses à tous vos correspondants, cela ne les
concerne pas, utilisez le e-mailing :
o envoyez le mail en copie cachée à tous les destinataires,
o créer un groupe.
Il est primordial d'installer un antivirus sur votre ordinateur.
Avant de faire suivre un mail, assurez-vous que vous avez la permission de
l'auteur.
N'oubliez pas la formule de politesse du style : « bien à vous » ou
« cordialement ».
Pour bien communiquer par mail, il y a aussi des choses à ne pas faire, à savoir :
60
E-mail : 9 erreurs fréquentes à éviter
Bon à savoir : en organisant bien votre boîte mail vous pouvez déjà vous simplifier
la vie. Faites des filtres pour que les messages arrivent directement dans des dossiers
bien ordonnés, cela vous fait un premier travail de tri en un clin d'œil !
Pour la petite histoire : en 2012, un simple message administratif envoyé par une
université américaine à l'ensemble de ses 40 000 étudiants a provoqué une chaîne
d'e-mails sans fin qui aurait pu être évitée en ne rendant pas publique la liste des
destinataires.
Les réponses du tac-au-tac sans prendre le temps de vous relire. Cela vous
jouera forcément des tours !
Les simples « OK », « Je ne suis
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Bon à savoir : le langage SMS naît d'une volonté de réaliser des économies. En
effet, dans les années 90 et au début des années 2 000, le SMS était facturé à l'unité
de 160 signes. Il fallait donc trouver un moyen de communiquer en prenant le moins
de place possible.
Il faut vous y faire, tout le monde n'est pas accro aux nouvelles technologies comme
vous !
Ce n'est pas non plus parce que votre destinataire peut vous répondre qu'il va
forcément le faire : c'est l'avantage du mail et des SMS. Si vous voulez une réponse
immédiate, allez parler directement à la personne concernée ou téléphonez-lui !
- Oublier l'objet
Précipitation ou simple manque d'imagination, le champ « objet » mérite toute votre
attention que ce soit pour un message pro ou perso. En effet, il permet :
Souvent, en utilisant des références communes, des chaînes de mail usent et abusent
de ces petits plus ludiques. Mais attention !
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- Abuser des majuscules
En langage Internet, l'usage des majuscules symbolise le cri.
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CHAPITRE 4 : GESTION DU TEMPS
LECON 9 : GESTION DU TEMPS
Votre temps est précieux, sachez le gérer efficacement.
Une organisation personnelle et efficace passe par une bonne gestion de son temps
et une meilleure gestion de son stress.
comment planifier,
placer les priorités,
déléguer et organiser ses activités au quotidien.
ce qui se passe,
la localisation du temps pour un but donné : date de relance, date de rendez-
vous
les délais à prévoir pour la réalisation d'une tâche ou d'un projet, comme le
volume de temps nécessaire : durée d'une réunion, délai de
livraison, rédaction d'un compte-rendu
les ordres et priorités dans le temps, c'est-à-dire les contraintes dans
l'enchaînement successif des tâches selon un ordre de priorité, comme :
la prise de note, la relecture, la signature, l'envoi.
Être bien organisé permet d'être efficace dans le temps en sachant gérer ses tâches
dans les délais impartis et par ordre de priorité.
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Il va donc y avoir des règles de base à respecter pour que la gestion du temps se
déroule dans de bonnes conditions :
Les objectifs
La planification des tâches est l'organisation de son travail sur du court, moyen ou
long terme : quotidien, hebdomadaire, mensuel, annuel.
L'objectif essentiel sera de planifier les activités les plus rentables et les plus
performantes en priorité et d'y consacrer le temps nécessaire.
Une liste de toutes les tâches sera donc réalisée et contrôlée régulièrement pour
savoir si l'objectif a été atteint :
Le cycle d'efficacité
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La méthode NERAC : Noter – Estimer – Réserver – Arbitrer – Contrôler
La méthode NERAC est une fiche à réaliser permettant d'établir les différentes
priorités.
La méthode QQOQCCP
L'agenda papier n'est pas encore aboli pour certains et constitue une bonne base
pour l'organisation du travail.
Gérer son temps au travail, c'est savoir anticiper, organiser, et planifier toutes ses
activités. Un temps bien géré permet d'être efficace, de mener à bien ses objectifs,
de réduire les sources de stress et… de se dégager du temps !
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Les causes d'insatisfaction liées à l'utilisation du temps sont multiples et très
personnelles. L'utilisation des outils qui sont proposés, ici, permet de reprendre le
contrôle. Mais la réussite passe par un travail de réflexion et d'analyse, lui-même
consommateur de temps. Pour gérer son temps au travail, il faut d'abord accepter
d'en perdre ! Voici comment s’y prendre.
Pour démarrer une gestion du temps, il est important d'avoir une vision claire de
votre fonction. Ce « bilan » sera la référence pour mettre en place votre gestion du
temps.
À l’aide du bilan de vos activités établi à l'étape précédente, placez chacune de vos
activités et tâches dans les cases du tableau suivant :
Important + Important -
Je ressens de la
satisfaction à le faire.
Satisfaisant - 3 4
Je ne ressens aucune
satisfaction à le faire.
Gardez les activités notées en case 1, elles sont importantes et vous apportent
satisfaction.
Interrogez-vous sur les activités notées en case 2, elles vous apportent
satisfaction mais ne sont pas importantes : souhaitez-vous les conserver ?
Parlez-en à vos collègues ou à votre supérieur.
Soyez vigilant pour les activités notées en case 3, elles sont importantes et
mais ne vous apportent pas de satisfaction. Ce sont souvent celles-ci que l'on
a tendance à laisser de côté et qui vont ainsi être sources de problèmes.
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Éliminez les activités notées en case 4. Elles ne sont ni importantes ni
satisfaisantes, elles sont souvent dues à des habitudes ou à des contraintes que
l'on se crée soi-même.
Les objectifs et leur planification vont vous permettre de reprendre la main sur votre
gestion du temps.
Les mangeurs de temps sont toutes ces activités ou actions, plus ou moins longues,
qui vous font perdre du temps, vous détournent de vos objectifs et vous donnent la
sensation, à la fin de la journée, de n'avoir rien fait ! Listez ces mangeurs de temps
pour pouvoir les réduire.
Reprenez la liste des actions et tâches qui sont dans la case 4 du tableau de
l'étape 2.
Enrichissez cette liste : reprenez ce que vous avez fait lors des journées qui
précèdent et identifiez tous les mangeurs de temps qui vous ont pollué.
Une fois la liste complète, classez-les :
o en mangeurs de temps internes (ils dépendent de vous et vous avez le
pouvoir de les éliminer) ;
o et en mangeurs de temps externes (ils ne dépendent pas de vous et vous
n'avez le pouvoir de les éliminer seul).
Agissez en priorité sur les mangeurs de temps internes.
Pour chaque mangeur de temps, recherchez le maximum de solutions pour les
éliminer : qu'est-ce qui peut me permettre de ne pas le faire ? Supprimez-le
immédiatement ou testez vos solutions ou trouvez des idées d'action qui le
transforment pour le supprimer progressivement.
Toutes les tâches n'ont pas la même importance. Certaines sont prioritaires, surtout
quand elles approchent de leur échéance. Attention à la fausse urgence, celle qui
n'est pas importante mais à laquelle on réagit dans l'instant.
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Planifiez la veille ou le jour même la liste des tâches à réaliser dans la
journée, en vous aidant du planning des objectifs de l'étape 3.
Listez les priorités du jour : rendez l'important urgent. Les priorités ne sont
pas figées, elles changent chaque jour ou en fonction d'événements extérieurs
à vous. Il viendra un moment, selon les objectifs et leur planification qu'une
priorité en C remonte jusqu'au A, par exemple :
o Priorité A, important et urgent, à ce moment-là : à faire.
o Priorité B, important et non urgent, à ce moment-là : à faire si la
priorité A est réalisée.
o Priorité C, non important et non urgent, à ce moment-là : à faire lorsque
les priorités A et B sont réalisées.
Planifiez des plages horaires « imprévus » dans votre agenda, cela vous
donnera plus de souplesse : si l'imprévu arrive, votre planning quotidien ne
sera pas bouleversé et si, à l'inverse, aucun imprévu n'arrive, vous pourrez
réaliser une priorité C.
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LECON 10 : ORGANISATION DE SA BOITE MAIL
Conservez-vous tous vos courriers dans votre boîte aux lettres ? Non, bien sûr, elle
déborderait très vite ! Classez-vous tous vos courriers dans des dossiers, sur des
étagères ? Non, pour la plupart, c'est inutile de les garder tel quel. De même, laissez-
vous tous vos courriers en tas sur votre bureau ? Non, vous les utilisez, les classez
ou les ordonnez lorsque vous avez besoin les conserver.
Le mail est un courrier comme un autre et mérite également d'être classé. Voici
quelques astuces pour organiser sa boîte mail.
Votre boîte mail est surchargée de mails ? Pour y voir plus clair, créez des dossiers.
Le classement vous permettra de mieux l'organiser.
Ouvrez votre boîte mail, demandez le classement par ordre alphabétique et triez vos
expéditeurs courants en fonction de leur qualité (collègues, clients, supérieurs, etc.).
Est-ce un expéditeur en lien direct avec votre travail, votre mission et/ou un
projet en cours ?
o en interne (collègue, membre de votre équipe, de votre groupe projet,
supérieur hiérarchique ou service de l'entreprise) ;
o en externe (clients, partenaires, prospects, fournisseurs, abonnements à
des sites d'information professionnels).
Est-ce un expéditeur non directement en lien mais important pour la
réalisation de votre travail, votre mission et/ou un projet (sites d'informations
ou newsletters sur votre secteur, sur des thèmes clés, sur le métier, sites de la
concurrence) ?
Identifiez les autres expéditeurs que vous avez, qui n'entrent pas dans les
catégories précédentes : en quoi vous sont-ils utiles ?
o si la réponse est « en rien », éliminez-les, désabonnez-vous ou
qualifiez-les en « courrier indésirable ».
o si vous hésitez dans votre réponse, car ils peuvent éventuellement être
intéressants un jour, faites un dossier provisoire : « en cas ».
faites glisser votre mail vers le dossier lui correspondant qui est dans la barre
latérale (Mac) ;
ou sélectionnez le dossier dans « boîte de réception » en choisissant avec la
commande droite « déplacer vers un dossier ».
Avec la création de vos dossiers, votre boîte à lettres commence à s'alléger : les
expéditeurs inutiles ont été supprimés ou placés en indésirable. Organisez le contenu
des dossiers pour classer au mieux vos mails.
Conserver trop de mails dans les dossiers de votre boîte mail présente quelques
inconvénients :
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cliquez sur « fichier » puis « enregistrer sous » et suivez ensuite la même
procédure que pour un document classique : enregistrez-le sous la date de
réception ou, si l'objet n'est pas suffisamment explicite, avec un mot clé
adéquat.
Conseil : n'enregistrez que les pièces jointes avec la date de réception et le nom de
l'expéditeur si nécessaire.
Donnez-vous comme objectif de maintenir votre boîte mail quasiment vide. Pour
cela :
Ainsi, votre boîte mail revient à ses réelles fonctions de réception et d'expédition.
Si vous n'êtes pas vigilant, votre boîte électronique peut vite être surchargée : entre
les courriels non lus ou introuvables, ceux qui ne sont pas hiérarchisés par
importance, les e-mails qui ne vous concernent pas et
les Newsletters envahissantes… vous vous sentez débordé et ne savez plus comment
faire face. Le moindre mail devient source de stress.
Vous trouverez dans cette fiche quelques clés pour savoir comment gérer ses
mails.
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1. Disciplinez-vous dans la gestion de vos courriels
C'est vous qui décidez de l'organisation de votre travail. Cela vaut également pour
votre boîte mail, qui ne doit pas prendre le pas sur toutes vos autres tâches.
Avant tout, il est important de séparer vos boîtes mail professionnelle et personnelle,
et de supprimer les alertes : sauf si vous êtes journaliste ou travaillez dans la
communication, il est inutile de vous précipiter dès qu'on vous fait parvenir un mail.
Commencez par vos tâches urgentes et importantes du jour. Évitez de vous ruer,
systématiquement, sur votre messagerie électronique dès que vous arrivez au
bureau.
C'est vous qui décidez du rythme. Et c'est une bonne façon de cesser de consulter, à
tout moment, vos mails.
Bon à savoir : le traitement des mails doit entrer dans votre gestion du temps, c'est-
à-dire dans la liste, la planification et la priorisation des tâches.
Lorsque vous recevez des mails, ne les ouvrez pas systématiquement, consultez
uniquement l'objet. Procédez ensuite à un premier tri.
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o éliminer après consultation ;
o conserver « au cas où » (vous pouvez avoir besoin de la preuve d'un
rendez-vous, par exemple).Faites du traitement de vos mails une
tâche au même titre qu'une autre
Considérez le traitement des mails comme une tâche au même titre que toutes vos
autres tâches. Lorsque vous travaillez sur le thème d'un dossier, ouvrez, à ce
moment-là, les mails en rapport, et traitez toutes les tâches que vous avez
identifiées.
Pour avoir une boîte e-mail quasiment vide, il faut, dans un premier temps, la
réorganiser.
Dissocier les mails professionnels et les mails personnels vous permet de laisser
votre vie privée aux portes de l'entreprise et de ne pas tout mélanger. Cela présente
plusieurs avantages :
vous n'êtes pas tenté de vous évader sans cesse du travail par l'écran ;
vos collègues ou remplaçants ne risquent pas de lire, même involontairement,
des mails relevant de votre vie privée ;
si vous quittez votre emploi, vous ne perdez pas votre adresse électronique
personnelle.
Il est conseillé de créer des arborescences de dossiers dans votre boîte mail, adaptés
à votre fonction, à votre mission, à un projet.
Pour gérer ses mails, créez des règles (sur PC) ou des boîtes intelligentes (sur Mac) :
tous les messages d'expéditeurs que vous souhaitez garder iront se placer
automatiquement, selon les paramètres qu’avez définis, dans le bon dossier.
74
Cliquez sur OK.
Conseil : n'hésitez pas à multiplier les règles ; de cette façon, tous vos mails seront
correctement dirigés vers le bon dossier.
Supprimez tous les mails qui doivent l'être pour gérer au mieux vos mails. Ne
gardez que ceux qui sont récents, c'est-à-dire ceux que vous avez reçus depuis votre
dernière exploitation de mails.
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Une bonne gestion des mails passe par un certain nombre d'habitudes qui, en
devenant des automatismes, vous feront gagner du temps.
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personne à contacter en cas Dans « Effectuer les opérations
d’urgence. suivantes », sélectionnez
« Répondre au message ».
Saisissez enfin le texte de votre
message, en précisant le nom et
les coordonnées d'une
éventuelle personne à contacter
en cas d’urgence.
Cliquez sur OK.
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BIBLIOGRAPHIE
3) Ooreka ;
- Communication interpersonnelle
- Travailler en équipe
- Confiance et estime de soi
- Relations au travail
78