BALZACLe projet de La Comédie humaine Son projet est de réunir tous ses romans et contes dans la

Comédie humaine, un recueil qui donne les aspects de la société de son siècle(Vergaciclo dei vinti). Pour
decrir la societè il utilise des personnages qui present certains characteristics comme l’amour paternelle.
(Père Goriot représente le christ de la paternité).

Les parties de La Comédie humaine. Cette œuvre immense, dont le titre est inspiré de La Divine Comédie
de Dante, se divise en trois parties. Dans le premier groupe il veut decrir les classes sociales; le deuxième
regroupement doit chercher les causes des comportements humains; le dernier expose les règles qui sont à
la base de la vie sociale des hommes. (il réussit a compléter 87 contes sur 146 avant de mourir)

Le style balzacien. Le narrateur balzacien n'est pas exactement omniscient, à la troisième personne: il n'est
pas toujours réellement objectif, bien que la représentation des événements, des personnes et des lieux
s'efforce de garder une objectivité plus ou moins rigoureuse. L'ironie est souvent employée pour mettre en
relief certains aspects irrationnels de la société. En général, la forme est la grande nouveauté du roman
réaliste, car elle abandonne les tons lyriques des romanciers romantiques pour un style plus familier, plus
moderne et convenant aux lecteurs bourgeois, le nouveau public auquel il s'adresse.

Réalisme et documentation. Les descriptions réalistes demandent documentations : les auteurs vont dans
les bibliothèques à la recherche d'informations. Les ecrivains realistes se comportent comme des
scientifiques. Flaubert, par exemple, quand il doit décrire la mort de Madame Bovary, se documente avec
soin sur les effets de l'arsenic. (positivisme = prend les elements realistes de la realitè)

L'idéal de l'objectivité. Naturellement les auteurs réalistes se rendent compte de l'impossibilité d'une
objectivité absolue parce que souvant Balzac laisse emerger son ironie. Mais le realisme refuse l’exè du
romantisme (subjectivisme) et il veut definir la realitè comme elle est.

LE PERE GORIOT Le Père Goriot, qui appartient aux Scènes de la vie privée, nous fait pénétrer dans la vie
d’un homme, négociant jadis riche, qui s’est ruiné pour aider ses filles qui eposuent des nobles et
l’abbandonne dans la misère totale, dans la pension Vauquer. Balzac le désigne comme « le Christ de la
paternité ».

L’ODEUR DE LA PENSION VAUQUER(description longueil devait payer des dettes)

Dans ce texte, Balzac fait une description minutieuse de la Pension Vauquer, où le père a été abandonné
par ses filles. Il commence en parlant du salon et de la salle à manger et il choisit des expressions très
précises pour donner une image réelle. Balzac utilise des adjectives pour nous faire comprendre
l’atmosphère horrible et médiocre comme « plates horreurs » et pour mieux transmettre la décadence des
meubles et il les personnifie, en disant « Manchot, borgne, invalide, expirant ». On dirait que Balzac parle
d’une personne handicapée (les nobles sont comparèes a des personnes malades). L’objectivité du texte
est donnée par certaines expressions comme « si vous le compariez » (donc Balzac s’adresse au lecteur) et
l’utilise des formes impersonnelles comme « il faudrait ».Mais il ne réussit pas à être complètement objectif
: il s’adresse au lecteur quand il dit que la pièce peut être compare à la salle ; il dit que pour décrire les
meubles on retarderait trop l’intérêt de l’histoire.
FLAUBERT - MADAME BOVARY

Emma Bovary est la fille d’un fermier aisé normand (bourgeois). Elle a été élevée dans une école religieuse
(couvent) (seulement le filles des nobles) et lit de romans sentimentaux. Romanesque, elle pense donc que
le mariage lui ouvrira les portes du bonheur mais elle épouse un médecin médiocre, Charles Bovary. Mais
ses espoirs sont déçus : il n’est pas intéressant, sa vie est monotone. Mais Emma sait qu’il existe un autre
monde fait de passions ; elle et son mari ont ètè invitè au cours d’un bal. Voyant sa femme de plus en plus
affligée, Charles Bovary accepte de déménager dans un autre pays. Mais l’ennui d’Emma reparaît vite,
malgré la naissance d’une fille. La jeune femme tombe amoureuse des quelques hommes qui profitent de
sa fragilitè et puis ils l’abbandonent. Emma très choquée se lance dans une folle vie de dépenses
inconsidérées en accomulant des dettes. Elle dérobe alors de l’arsenic (un legend dit que il a engagè de
l’arsenic pour mieux comprendre ce qu’elle eprouve) et se tue, laissant son mari abruti de chagrin.

On parle de bovarisme pour décrire l’insatisfaction personnelle donnée par la différence entre les contes et
la réalité. Emma ne reussit pas a distinguere la vie reelle par apport aux livres qu’elle lit et elle pense que sa
vie est mauvaise.

LECTURES ROMANTIQUES ET ROMANESQUES

Dans ce texte est un flashback. Emma est déjà mariée et se souvient de son adolescence. Elle parle d’une
vieille fille, fille de nobles déchus qui travaillait au couvent (en cette moment les personnes riches sont les
bourgeois qui veulent un titre et les nobles veulent l’argent) et racontait des histoires d’amour a des jeuns
filles (les pensioners) et leur prêtait de cachet des livres. Il etaient histoires d’amours,amants et amantes,
des cochers, chaveaux tuès, foret sombres, sermontes et signores courages comme des lions et bonnes
comme des lapines. Flaubert se moque de l'invraisemblance de ces livres et il se montre très ironique.
Emma grace à Walter Scott se pasionne à les « choses »historiques, quand Flaubert utilise cette parole il est
ironique parce que en realitè Emma ne comprende pas l’histoire. Elle amait les histoires des femmes
celebres mais malheureus avec les histoires d’amour. Elle chante les chansons qui parle des petites anges
qui sont des fausses realitès sentimentales.

Flaubert dénonce la littérature romantique. Il montre que les histoires sont toujours répétitives. Les décors
sont stéréotypés. Les personnages n'ont aucune psychologie. L'écriture est mauvaise. Flaubert dénonce la
mauvaise influence de cette littérature sur les jeunes femmes manipulables.