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DE LA RECHERCHE ET DE
Unite-progres-justice
L’INNOVATION (MESRI)
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SECRETARIAT GENERAL
------------------
DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
(DGESUP)
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THEME :
Titre : Titre :
Fonction : Fonction :
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DEDICACE
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2
REMERCIEMENTS
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3
LISTE DES SIGLES ET DES ABREVIATIONS
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4
LISTE DES TABLEAUX
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5
LISTE DES GRAPHIQUES
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PREAMBULE
PRESENTATION DE L’IST
Dans une dynamique d’auto-prise en charge des jeunes et dans une perspective de réduire le
taux de chômage, l’État s’est lancé en 2000 dans une politique de formation technique et
professionnelle à travers la création d’un ministère délégué à l’enseignement technique.
Cette politique a permis la naissance de plusieurs écoles supérieures techniques dont l’Institut
Supérieur de Technologie (IST).
Son objectif social est la réalisation et la gestion d’établissement d’enseignement technique et
professionnel, la réalisation d’étude, de conseil, de formation dans l’enseignement technique
et continue des travailleurs.
L’Institut Supérieur de Technologie (IST) a développé et mis en œuvre des nouvelles filières
de formation grâce à des collaborations avec des universités publiques au niveau national et
des universités étrangères.
Dans le cadre du volet formation dans l’enseignement technique et la formation
professionnelle ainsi que la formation continue des travailleurs, l’IST a pour vocation la
formation des techniciens supérieurs, des ingénieurs et des cadres de conception. Son objectif
principal est de relever un défi en besoin des personnes compétentes, dynamiques et
performantes pour le marché de l’emploi à travers deux (2) départements repartis en plusieurs
filières :
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et Audit, en gestion des Ressources Humaines, en Gestion des projets de développement et en
Marketing et Stratégie.
A ce jour, l’IST compte trente-deux diplômes (32) diplômes homologués par le Conseil
Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES).
L’IST dispose de nos jours de 7 (Sept) campus notamment le Campus de Gounghin qui abrite
la direction générale, le campus de Wayalghin, le campus de Tanghin, le campus de
Ouaga2000, le campus de Tampouy qui abrite le siège, le campus de Tenkodogo et le campus
numérique.
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INTRODUCTION GENERALE
(2 pages maximum)
− Contexte du sujet
− Problématique
− Énoncé des objectifs à atteindre
− Justification du choix du sujet, motivations et intérêt du thème par rapport à la
formation théorique suivie
− Intérêt du thème
− Méthodologie de la recherche
● Méthodes
● Techniques
● Plan de collecte de données
− Présentation du plan du rapport
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PREMIERE PARTIE
CADRE INSTITUTIONNEL ET THEORIQUE
DU THEME
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CHAPITRE 1 : PRESENTATION DE LA
STRUCTURE D'ACCUEIL
CHAPITRE I : PRESENTATION GENERALE DU CHU DE
BOGODOO
I. Situation géographique
Le Centre Hospitalier Universitaire de Bogodogo (CHU-B) est implanté dans la
commune de Ouagadougou dans l’arrondissement 11 au secteur n°51. Il est bâti sur
une superficie de plus de 7 hectares. Il s’étend sur deux (02) sites : le site A
(nouvellement construit) et le site B (l’ex CMA du secteur n°30).
II.2. La Vision
La vision du CHU-B est intitulée comme suit : « des soins synergiques et
humanisés centrés sur le patient ».
Le contexte de l’ouverture du CHU-B lui impose de prendre en compte son
implantation territoriale afin d’éviter une rupture dans l’offre de soins et d’améliorer
celle existante. Offrir la meilleure qualité de soins ne peut se faire qu’en plaçant le
patient au centre de toutes les préoccupations à travers une approche humaniste et
en ayant comme principe directeur l’action concertée, mutualisée et efficiente. C’est
l’engagement de tous les acteurs du CHU-B qui se traduit par l’appropriation et le
respect de certaines valeurs fondamentales, lit de la confiance à chaque fois
renouvelée entre tous, patients, praticiens et personnel hospitaliers, administration,
communauté et autorités.
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II.3. Valeurs du CHU de Bogodogo
Elles sont au nombre de neuf (9). Ce sont :
L'égalité
soigner tout le monde quelle que soit son état de santé et sa situation sociale.
La neutralité
Elle doit être respectée. Les soins sont donnés en faisant abstraction des
croyances (religieuses, coutumières…) et opinions des malades et des soignants.
La continuité
L'hôpital public qu’est le CHU de Bogodogo se caractérise notamment par ses
obligations spécifiques en matière d'accueil en urgence et un système de
permanence des soins.
L'adaptabilité
Les réorganisations et les mutations sont étudiées et réalisées en vue de l'intérêt
général et des besoins de la population. Le patient a droit à un service de qualité et
les services rendus doivent être évalués avec rigueur.
L’intégrité
Notre métier repose avant tout sur une éthique sans compromis : nous devons
honnêteté et sincérité à nos patients et à nos collaborateurs. Par nos paroles comme
par nos actes, nous devons mériter chaque jour la confiance des patients et de leur
famille, mais aussi celle de nos propres équipes, de nos étudiants et de la
communauté qui nous soutient.
Le patient d’abord
Le patient doit être au cœur de nos préoccupations. Il mérite sollicitude et
disponibilité. Prendre soin de chaque patient et de la famille qui l’entoure est au cœur
de notre mission.
L’excellence
Nous cherchons sans arrêt à apprendre, à améliorer nos compétences, nos
programmes de soins et les services que nous rendons aux patients.
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Le travail d’équipe
Nos objectifs ne peuvent être atteints que grâce aux efforts collectifs et coordonnés
de nos équipes. Nous préférons valoriser et célébrer le succès des équipes plutôt
que celui des individus. Chaque agent de santé est un maillon indispensable de la
chaine de l’offre de soins.
La mutualisation
Le service que nous rendons aux patients est plus complet et plus efficace grâce aux
liens tissés entre acteurs du CHU de Bogodogo d’une part et avec les autres
structures sanitaires d’autre part.
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CHAPITRE II : ORGANISATION DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE
I. Le Conseil d’administration
Le Conseil d’administration exerce une autorité et un contrôle sur l’ensemble des
organes du centre hospitalier universitaire de Bogodogo. Il est obligatoirement saisi
de toutes les questions pouvant influencer la marche générale de l’établissement. Il
délibère sur les principales questions touchant le fonctionnement et la gestion de
l’établissement.
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III. Les organes consultatifs
Les organes consultatifs sont des groupes de professionnels reconnus pour leur
expertise dans un domaine ou pour leur représentativité des personnels. Ils sont
consultés par le Directeur général, ou formulent des recommandations au Directeur
général sur des questions relevant de leurs compétences.
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III.6. La commission de coordination hospitalo-universitaire (CCHU)
La CCHU assure l’information réciproque des parties intéressées sur tous les
problèmes communs de fonctionnement du CHU-B et propose les mesures
destinées à assurer l'équilibre entre les charges d'enseignement dans le respect des
malades.
Conclusion partielle
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CHAPITRE 2 : CADRE THEORIQUE DU THEME
(5 pages maximum)
Introduction partielle
2.1. Définition des concepts (définir les mots clés qui seront utilisés
dans le traitement du thème)
Quelques définitions :
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Selon l’AFNOR, la stérilisation est la « mise en œuvre d'un ensemble de méthodes et de
moyens visant à éliminer tous les micro-organismes vivants, de quelque nature que ce soit,
portés par un objet parfaitement nettoyé ».
L’état stérile d'un produit se traduit par la probabilité d'au plus 1 sur 1 million de trouver un
germe viable ou revivifiable sur un produit.
Le procédé le plus courant est l’autoclave. En effet, les autres présentent des risques non
négligeables dans le domaine de la santé :
La stérilisation par chaleur sèche, proscrite selon l’arrêté des « Bonnes Pratiques de
Pharmacie Hospitalière », s’avère inefficace vis-à-vis des Agents Transmissibles Non
Conventionnels et est susceptible de fixer fortement l’infectiosité résiduelle des
prions. Elle reste néanmoins utilisée dans l’industrie.
Le traitement chimique à l’oxyde d’éthylène est utilisé pour des dispositifs médicaux
thermosensibles car celui-ci ne dégage aucune chaleur. En raison de la toxicité de ce
gaz, il n’est réservé qu’à certaines applications et, lui aussi, est inefficace envers les
prions.
La stérilisation par radiations ionisantes peut-être réalisée à température ambiante ;
mais les installations sont complexes et coûteuses. De plus, ce procédé n’est
compatible qu’avec certains matériaux. Compte tenu de ces limites, ce type de
stérilisation est utilisé uniquement pour le traitement de certains dispositifs médicaux
à usage unique.
La stérilisation par la chaleur humide utilise la vapeur d’eau saturée sous pression
comme agent stérilisant ; la chaleur associée à l’humidité provoque la destruction des
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germes. C’est le mode de stérilisation le plus utilisé en milieu hospitalier.
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Dans la chaîne de traitement, une désactivation des ATNC est possible.
Pour cela, une circulaire recommande trois procédés pour une efficacité importante :
Immersion dans l'hypochlorite de sodium, à 2% de chlore actif, pendant une heure.
Immersion dans la soude molaire pendant une heure.
Autoclavage à 134°C pendant 18 minutes en autocl ave à charge poreuse.
Dans le cas d’un DM critique, cette phase d’inactivation est complétée par un procédé visé à détruire les
agents infectieux conventionnels avec :
soit un autoclavage conventionnel
soit une désinfection sporicide utilisant un produit désinfectant sans aldéhyde.
Le pré-traitement :
La réception et le tri :
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Ce premier tri doit permettre de mettre de côté les instruments détériorés et de choisir le mode de nettoyage
adapté à chaque DM.
En l'absence de ces renseignements, la stérilisation ne peut pas prendre en charge les DM et l'agent chargé
de la réception doit en référer à son encadrement. Chaque DM susceptible d'être pris en charge figure dans un
fichier, comportant le nom du dispositif, du service et du fournisseur. La fiche technique du fabricant précisant
les modalités de nettoyage et de stérilisation doit être disponible dans le service de stérilisation. Si un DM
inconnu arrive en stérilisation, l'agent chargé de la réception ne doit pas le traiter avant d'avoir reçu des
instructions spécifiques.
Le nettoyage :
Le nettoyage se fait de préférence avec un laveur-désinfecteur, et manuellement pour des instruments utilisés
chez des patients à risques prions. Le but de cette étape est de réduire le nombre de micro-organismes,
d’éliminer les salissures mais surtout d’éviter la formation d’un biofilm. A la sortie du laveur-désinfecteur,
idéalement les DM se trouvent en zone propre.
Le conditionnement :
Cette étape consiste à enfermer le matériel, le plus rapidement possible après le lavage, dans des emballages
spécifiques qui peuvent être des sachets poreux à thermo soudage , des sachets poreux autocollants , du papier
crêpé, ou bien des containers métalliques avec filtres . En effet, ces emballages doivent laisser passer la
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vapeur d’eau lors du passage dans l’autoclave et deviennent imperméables après la stérilisation afin
d’empêcher le passage de micro-organismes et de maintenir l’état stérile.
La stérilisation :
L’agent stérilisant de l’autoclave est la vapeur d’eau. Un cycle se réalise à 2 bars, 134°C et pendant 18
minutes. De nombreux paramètres sont à valider :
La vapeur doit être saturée.
Il ne doit pas y avoir d’air.
L’eau doit être d’excellente qualité.
Le stockage :
En attendant leurs futures utilisations, les DM stérilisés sont stockés dans des emballages étiquetés indiquant
le nom du DM, la date de péremption et d’autres informations, puis rangés dans un endroit sans lumière
naturelle.
Toutes ces étapes sont introduites dans une démarche de « marche en avant » qui stipule que les objets ne
doivent pas revenir en arrière.
La traçabilité de tout cela est d’autant plus importante que la stérilisation ne peut être vérifiée. Seul le strict
respect des procédures propres à chaque opération permet de garantir la stérilité du produit traité.
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Zone « Sale » Zone « Propre »
Entre les 2 zones, seuls les outils peuvent passer. L’idéal est d’avoir des appareils à 2 portes avec une entrée et
une sortie.
Seul la zone « Propre » exige un traitement de l’air et le personnel doit porter des vêtements spéciaux.
(Conclusion partielle)
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DEUXIEME PARTIE
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(Conclusion partielle)
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4.4 OBSERVATIONS ET SUGGESTIONS A L’EGARD DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL ET
DE FORMATION
Conclusion partielle
CONCLUSION GENERALE
(Maximum 2 pag
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BIBLIOGRAPHIE
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ANNEXE
29
Annexe 1
ANNEXE 2
30
TABLE DE MATIERE
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