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ABSTRACT
REMERCIEMENTS
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Un bienfait n’est jamais perdu, notre évolution jusqu’à ce niveau d’étude n’a été
possible que grâce aux soutiens de ceux qui ont beaucoup d’estime pour nous ; sur ce,
nous tenons cordialement nos remerciements les plus chaleureux :
Nos remerciements vont également à l’endroit de tous ceux dont les noms ne figurent pas
ici et qui par leurs assistance morale, physique ou matérielles ont participer à la
réalisation de cette œuvre
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1 PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE
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Gestion et ressource humaine (GRH)
Droit des Affaires (DA)
Filière ISTA (Institut supérieur des technologies avancées) cursus BTS donc le
cycle s’est sur deux ans dans les spécialités suivant :
Électrotechnique (ET)
Génie-civil (GC)
Maintenance après-vente Automobile(MAVA)
Mécatronique (MK)
Informatique Industrielle
Froid et climatisation
Cursus DSEP (Diplôme supérieur d’étude professionnelle) formation deux
ans donc les spécialités sont :
Telecom munitions (TL)
Réseaux (RE
Filière ISA (Institut Supérieur des Sciences appliquées) cursus DSEP donc le
cycle s’étale sur deux ans dans les spécialités suivantes :
Technologie de Laboratoire (TL)
Soins Infirmière (SI)
Kinésithérapie (KT)
Technique de santé publique (TSP)
Étude pharmaceutique (EP)
Dans le cadre de notre formation, IUG et ses partenaires que sont les entreprises
nous offre les possibilités de nous frotté avec le monde de l’emploi, ceci en effectuant un
stage de 4 à 8 semaines dans un domaine d’étude bien précis et par la même occasion
nous sommes tenus de rédigé un rapport de stage qui participe à l’observation de notre
examens BTS. C’est ainsi que s’inscrit ce rapport de fin de stage donc le thème est
institué « procédé de réalisation d’une fondation superficielle sur radier plat. »
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INTRODUCTION
L’assainissement dans un milieu universitaire a pour objet d’assurer le traitement, le
transport, l’évacuation et l’épuration de l’ensemble des eaux pluviales et usées ainsi que
leur rejet dans les exutoires naturels sous des modes compatibles avec les exigences de la
santé publique et de l’environnement. La fréquence augmentation des étudiants dans
notre campus entraine évolution rapide des surfaces imperméabilisées. Ce qui a accru
considérablement les volumes et les débits ruisselés entraînant ainsi une insuffisance des
exutoires. On a donc assisté à une surcharge progressive des réseaux existants et à une
augmentation du risque d’inondation, la transmission des maladies, les bactérie, microbe.
C’est ainsi que notre projet tutoré porte sur les problèmes d’assainissement d’eaux
pluviale dans le campus ISB-B. pour la bonne réalisation du projet nous nous sommes
fixe les objectifs à atteindre tel que la protection de la sante et la salubrité de notre
campus, ainsi que l’environnement. Dès lors nous prendrons les dimensions réelles du
campus, ensuite propose un plan de masse en intégrant les différentes aménagements
extérieurs tout en ressortant le système de collecte, d’évacuation, ainsi que le système de
traitement d’eaux pluviale et imprime le dit plan sur un poster.
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Première partie : GÉNÉRALITÉ SUR ASSAINISSEMENT
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1.1 DEFINITION
L’assainissement dans un milieu universitaire a pour objet d’assurer le traitement,
le transport, l’évacuation et l’épuration de l’ensemble des eaux pluviales et usées
ainsi que leur rejet dans les exutoires naturels sous des modes compatibles avec les
exigences de la santé publique et de l’environnement.
1.2 HISTORIQUE
Au siècle précédent, la politique d’assainissement consistait encore essentiellement
en une évacuation rapide des eaux usées et pluviales le plus loin possible des zones
agglomérées. Cette situation considérée comme satisfaisante se prolonge la croissance
rapide de la population urbaine rend la situation critique. En effet le développement
rapide de l’urbanisation des villes à leur périphérie a entraîné une forte augmentation des
surfaces imperméabilisées, ce qui a accru considérablement les volumes et les débits
ruisselés entraînant ainsi une insuffisance des exutoires. On a donc assisté à une
surcharge progressive des réseaux existants et à une augmentation du risque d’inondation.
Si la solution traditionnelle de réseaux d’assainissement est une bonne réponse sur le plan
de l’évacuation des eaux, elle a sa limite et présente de nombreux inconvénients sur le
cycle naturel de l’eau. Devant l’impasse à laquelle conduisait l’assainissement pluvial
classique, il a fallu innover. On a fait appel à des techniques alternatives basées
essentiellement sur un stockage temporaire des eaux de pluie. Pour atteindre cette
objectif, les principes sont simple. Il suffit de construire des caniveaux pouvant recueillir
les différentes eaux de ruissellement.
Quatre systèmes d’évacuation sont susceptibles d’être mis en service, en application des
dispositions contenues dans l’instruction technique
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Systèmes fondamentaux,
Système pseudo-séparatif,
Système composite,
Systèmes spéciaux.
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1.3.1.2 Le système unitaire
L’évacuation de l’ensemble des eaux usées et pluviales est assurée par un seul
réseau généralement pourvu de déversoirs d’orages permettant en cas d’orage le rejet
direct, par surverse, d’une partie des eaux dans le milieu naturel.
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1.3.1.3 Le système mixte
On appelle communément système mixte, un réseau constitué suivant les zones en partie
d’un système unitaire et d’un système séparatif.
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Figure 4 système pseudo-séparatif
1.3.3 SYSTÈME COMPOSITE
C’est une variante du système séparatif qui prévoit, grâce à divers aménagements,
une dérivation partielle des eaux les plus polluées du réseau pluvial vers le réseau d’eaux
usées en vue de leur traitement.
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Figure 5 système pseudo-séparatif
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Figure 6 Système sous pression
:
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Les raisons qui poussent à canaliser l’eau de pluie sont nombreuse et variées :
l’écroulement de certain bâtiment du fait de l’infiltration de l’eau dans la fondation ; les
inondations du fait l’augmentation de population et des constructions anarchique. Nous
assistons de nos jours de nombreux systèmes de canalisation ne fonctionnent plus à cause
des déchets qui bouchent les voiries. Dans ce cas, l’eau de pluie représente une
alternative intéressante. Variation de la disponibilité de l’eau des lacs, des rivières et des
nappes phréatiques superficielle connait de grandes variations. La collecte et le stockage
de l’eau de pluie fournit de l’eau pour les usager domestiques dans les périodes de
pénurie, mais aussi lorsque la qualité de l’eau est médiocre ou variable, comme celle des
rivières et des autres ressources en eau de surface pendant les saisons de pluies. Privilège
de la collecte et du stockage près du lieu d’utilisation des sources traditionnelle d’eau
sont souvent situer à une certaine distance de la communauté. Lorsque la collecte et le
stockage de l’eau se font près des lieu d’habitation, les réservés d’eau sont plus accessible
et plus pratique à utiliser, ce qui a des répercussions positives sur la Sante. Ce système
renforce également le sens de la priorité. Qualité des réserves d’eau. Les réserves d’eau
risquent être polluées par les déchets industriels ou humain ou par présence minerais
comme l’arsenic, le sel (zone côtière) ou le fluorure. L’eau de pluie est généralement de
bonne qualité.
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2 Chapitre 2 : LES ENJEUX ÉCONOMIQUES ET
ENVIRONNEMENTAUX DE LA CANALISATION DES EAUX
PLUVIALES
2.1 INTERET
Pour un particulier, une collectivité ou encore un industriel, la réutilisation des eaux
pluviales présente un double intérêt : par les économies d’eau potables qu’elle induit, elle
permet :
Par ailleurs, la récupération des eaux de pluie, si elle est rependue, permet de lutter
contre les inondations : elle limite l’évacuation de l’eau pluviales par le réseau d’égouts,
ce qui limite les débordements les station d’épuration des eaux usée et la diminution de
leurs rendements pas dilution de l’effluent en temps de pluie. D’autre cote, les station
d’épuration ne sont pas sensées collecter les eaux de pluie. Intérêt de la récupération des
eaux pluviales résiderait donc plutôt dans le fait qu’elle permet de limiter les débits de
pointe rejeter au réseau, ce qui réduise les risques de débordement.
Sachant que notre consommation d’eau est en moyenne de 200 litres par jour, on
estime entre 26 et 44% des besoins domestiques pourraient être couvert pas les apports en
eaux pluvial.
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flux, collectes et contribuent de plus à préserver l’alimentation naturel des nappes et des
petits cours d’eau à l’amont.
2.2.2 Stockage
Un stockage sans restitution de l’eau au milieu tel que les retenues collinaires
perturbe le cycle de l’eau en réduisant considérablement les apports : cela peut conduire à
assèche les milieux sensibles comme les eaux humides ou les ruisseaux et a limité la
réalimentation naturelle des nappes. En Revenge stoker les eaux pluviales et les restituer
à débit limite soulage les infrastructures en aval. Cela permet également de dépolluer les
eaux de ruissèlement dans les ouvrage de stockage, notamment par décantation.
Les approches globale, cohérente, concertées, intégrées, sont les mots clé de la
mise en œuvre de stratégie pertinente et durable de gestion des eaux pluviales. Tous les
principes sont essentiels lors d’une opération d’aménagement. Il se traduisent par une
évolution des méthodes de travail, déclinable en cinq points :
Bien que les réseaux d’évacuation revêtent des dispositions très diverses selon le
système choisi, leur schéma (page suivante) se rapproche le plus souvent de l’un des cinq
types décrits ci-après :
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2.4.1 Le schéma perpendiculaire au cours d’eau
C’est souvent celui des villes ou communes rurales qui ne se préoccupent que de
l’évacuation par les voies les plus économiques et les plus rapides sans avoir un souci
d’un assainissement efficace des eaux rejetées.
Ce schéma permet de reporter par simple gravité l’ensemble des effluents plus loin à
l’aval par rapport au schéma précédent.
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Figure 9 Le schéma type « collecteur transversal »
Selon que le réseau converge vers un ou plusieurs points bas où l’on peut reprendre
l’effluent pour le relever, on utilise ce type de schéma.
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Figure 11 Le schéma type « centre collecteur unique » et le schéma type radial
Ramifié : Maillé :
EXUTOIRE EXUTOIRE
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DEUXIEME PARTIE : RÉALISATION DU PROJET
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3 Chapitre 3 : HYPOTHÈSES DE CALCUL
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B. PRECIPITATION MOYENNES MENSUELLES
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Le record de chaleur est de 39°c enregistre le lundi 04 mai 1992 et record de froid est de
-1°c enregistre le vendredi 04 avril 1980
Il faut bien différencier le plan de masse actuel et celui projeté après travaux.
Dans le cadre d’une demande d’urbanisme, il faut fournir les deux plans pour signaler les
modifications. En supplément des bâtiments et aménagement actuels, l’état future
contient les nouvelles constructions, modifications et démolition effectue sur la parcelle.
En plus de l’aspect graphique le plan de masse est un document qui requiert des
compétences techniques pour être correctement réalisé. L’urbanisme attend un plan
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suffisamment précis et complet afin de valider la conformité des travaux. En effet, il doit
respecter l’échelle renseignée sur les normes du dessin d’architecture
Les sols des bas-fonds (hydro morphes ; très riche en matière organique souvent
inondes d’eau pendant les saisons de pluies et peu drainée en saison sèches.
Les sols de montagne quant a eu sont généralement ferralitiques, argilo limoneux
avec par endroit une cuirasse latéritique. Du fait que ces sols constitués des lieu
d’habitations par excellence il connaisse une exploitation de plus en plus
importante.
3.5 HYDROLOGIE
L’hydrologie est une discipline issue des sciences naturel qui s’appuie sur le cycle de
l’eau et ces propriétés. Son étude concerne les océans, les eaux de surface mais aussi les
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nappes phréatiques. Un bilan hydraulique es un document essentiel pour accompagner la
gestion des eaux et améliorée la consommation de chacun.
L’hydrologie fait partir des sciences de la terre. Sont objet d’étude ? le cycle de l’eau et
tous les échangés physique et chimie qui ont lieu entre les nappes phatiques, le sol et
l’atmosphère.
Chaque écosystème -des icebergs aux nappes souterraine en passant par des lacs -
incarne une étape différente du cycle de l’eau. C’est par l’action du sol quelle es évaporer
avant de remonte dans l’atmosphère. L’eau se refroidir et ce voire redistribue par les
courant atmosphérique sur la surface de la terre attraper les précipitations sous forme de
neige ou de pluie. 61% de cette eau s’évapore 16% ruisselle arriver les courant d’eau et
13% s’infiltre et alimente les nappes sphériques.
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Figure 18: le cycle de l’eau
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ENQUETES PREALABLES
ETUDE PREALABLES
La recherché
La
La des zones où
connaissance L’existence La qualité
connaissance il est possible
du et la des eaux de
du terrain et d’infiltrer ou
fonctionnemen capacité de ruissellement
les pratiques de prévoir
t hydrologique l’exutoire
du voisinage des
du bassin
équipements
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ETUDE HYDROLOGIQUE
DONNEES COURBES CARACTERISTIQUE
PLUVIOMETRIQUES D’INTENSITE - D’UN BASSIN
DUREE-FREQUENCE VERSANT
IDF
Les eaux qui sont capter par les surfaces (pavées revêtue ou non) sont drainer pour
éviter la stagnation, l’érosion et l’infiltration.
Les canaux à ciel ouvert : ce sont des cuvettes de formes diverses (elle se situe le
long des chausses et servent à évacue l’eau provenant de ces dernières). Eaux
superficielle de ruissellement sur le profil transversal de la chausse et des trottoirs
Les drains souterrains : ce sont des buses circulaires en béton arme qui permet
le conduit d’eau souterraine
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4.4 DIMENSIONNEMENTS DES RÉSEAUX DE DRAINAGE DES EAUX
DE RUISSELLEMENT
Il consiste à calculer les sections des caniveaux qui évacue les eaux de
ruissellement d’une surface :
Rectangulaire
Triangulaire
Trapézoïdale
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Figure 20 Les caractéristiques du bassin versant
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Tableau 1 Le coefficient de ruissellement
denivele
I= *100
distance horizontale
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4.5.3.3 DÉBIT D’EAU A ÉVACUE (Q en m³/s)
C’est le volume d’eau qui traverse un point donne du cours d’eau dans un laps de temps
déterminer. Il se calcule par la formule dite rationnelle.
1, 3644
Conversion A: 01h 09a 75ca = 10975m²; I: 1364,4 mm/h = m/s C: 0,85
3600
1,3644
Q= C*I*A AN Q= * 0,85*10975
3600
Q= 3,535m³/s
1 2
Q= K*I* Rh* Am*z²
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Le relèvement des eaux par pompage sera si possible évite car les débit d’eau pluviales
peuvent être importante
En dessous de cette valeur, la canalisation sera protégée par une dalle de répartition des
charges roulante pour éviter sont écrasement
Regard de vitesse tous les 80m au maximum pour permettre une vitesse de
camera
Regard à chaque changement de pente ou de direction
Vitesse minimum 4m/s afin d’éviter l’abrasion des tuyaux
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Si non, il est nécessaire d’adopter un tuyau en matériau résistant tel que la fonte ou le
polyéthylène à haute densité.
Iles donc important de vérifier la vitesse de l’eau dans la canalisation pour des points à
évacuer.
La section mouillée (Am) : c’est la section d’eau contenu dans le caniveau. Elle
est donne par la formule suivante
Sm=b*y
Le périmètre mouillée (Pm) : c’est le contour du caniveau qui es en contact direct
avec de l’eau. Elle est donne par la formule suivante
Pm=b+2y
Sm by
Rh= d’ où Rh=
Pm b+2 y
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Définition des symboles utilisées
b : la base ( m)
y : la hauteur mouillée (m)
Am : la surface mouillée (m²)
Pm ; le périmètre mouillée (m)
Rh : le rayon hydraulique (m)
Q : débit d’écoulement des eaux (m³/s)
R : la Revenge
Z et h est la largeur et hauteur définissant la pente de talus
K : coefficient de Manning-Strickler
I : pente du collecteur
1 2 by 1
On a Q= K*I* Rh* Am * z² avec Rh= ; b=0,5y ; k= (n comprise entre
2 3 b+2 y n
20 et 80) I= 13,37%
1 by 2
=KI ( ) (b+2y)
2 b+2 y 3
1 0,5 y ² 2
= KI ( ) (0,5y+2y)
2 0,5 y+ 2 y 3
1 0,5 y ² 2
= KI ( ) (2,5y)
2 2,5 y 3
1 0,5 y ² 5
= KI ( ) y
2 2,5 y 3
0,5 y ² 5
= KI( ) y
5y 3
= KI ¿)
Q = KI ¿)
15Q = 2,5 K I
15 Q
y²= ( )
2,5 KI
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√ √
15Q 15∗3,535
y= 1 AN y = 2.5∗1 *0,002
2.5 I ∗0,1337
n 20
y= 0,87m
Pour la bonne circulation du débit d’eau pluviales on prendra y= 0,90m
Calcul de b celons hypothèse de calcul on a b= 0,5y
Dou b= 0,5*90cm
b= 45cm
Le caniveau a pour section A=(y;b)=(0,9;0,45)
CONCLUSION GENERALE
Aujourd’hui la gestion des eaux pluviales doit implique tous les acteurs de la
planification urbaine dans une réflexion englobant les espaces publics, les espaces
collectifs et les espace privatifs. L’aménagement de surface doit permettre de gérer la
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plus grande partie des eaux urbaines ou naturelle situées à Laval. En outre, il doit
respecter les chemins préférentiels découlement (talweg) et éviter les constructions dans
la zone d’accumulation des eaux des eaux pluviales (point bas). On protègera ainsi ces
aménagements des effets des inondations tout en mettant ces espaces en valeur par des
ouvrages de transport visibles ou des dispositifs d’infiltrations et de stockage à ciel
ouvert. Ainsi au terme de nos analyses et vérifications, il en ressort que les systèmes
d’assainissements des eaux pluvial du campus déjà en place sont fiable (façade nord), car
les techniques de la moisson des eaux pluviales sont aujourd’hui bien maitrisées, pour les
usages extérieurs mais aussi pour l’alimentation des habitats. De nos jours, nombreux
sont les pays qui font de cette pratique un des leviers de la gestion durable des ressources
naturelles et l’environnement. Cependant, la variabilité des conditions météorologiques et
climatiques et le cout de l’investissement que requiert une installation pour les
particuliers sont des facteurs limitant. Néanmoins, cet investissement représente un
véritable palliatif à la pénurie d’eau dans les zones désertiques.
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