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LE MOTEUR ASYNCHRONE
1. FONCTION
2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
3. CONSTITUTION :
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4. SYMBOLE ELECTRIQUE :
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Une fois défini, le couplage (étoile Y ou triangle Δ ) sera réalisé grâce à des barrettes de
Grâce à leur simplicité, leur robustesse et leur coût attractif, les moteurs à cage sont les moteurs les plus
souvent utilisés dans l’industrie. En commutation directe, ils absorbent un courant de démarrage jusqu’à 8 fois
plus important que le courant nominal et ils développent donc un couple de démarrage élevé.
Les courants de démarrage élevés ont souvent comme conséquence une chute de tension désagréable et les
couples de démarrage élevés nécessitent des éléments mécaniques résistant aux surcharges. C’est la raison pour
laquelle les distributeurs d’électricité fixent des valeurs limites pour les courants de démarrage des moteurs, par
rapport aux courants de fonctionnement nominaux. Les valeurs permises varient d’un réseau à l’autre, en
fonction de la charge. En ce qui concerne la mécanique, des procédés qui diminuent les couples de démarrage
sont souhaitables.
Pour diminuer les courants et les couples, il existe différentes commutations et méthodes de démarrage :
• Démarrage étoile-triangle
• Démarrage par autotransformateur
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Les schémas suivant permettent d'alimenter un moteur asynchrone triphasé directement sur le réseau.
Le moteur est commandé par un bouton marche et un bouton d'arrêt, l'arrêt est prioritaire.
Le schéma puissance est constitué principalement d'un sectionneur, d'un contacteur et d'un relais
thermique.
Le schéma de commande en basse tension comprend un transformateur (mono 230V ou mono 400V) et
ses protections. Ce montage est aussi équipé de voyants (optionnels).
8.1) Schéma de puissance :
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8.3 Caractéristiques :
Au démarrage :
Td = 1.5 à 2 fois Tn
Id = 4 à 8 fois In
Les enroulements stator sont couplés directement sur le réseau, le moteur démarre et atteint sa
vitesse nominale.
Avantage :
- Procédé simple
- Temps de démarrage court
Inconvénients :
- Surintensité élevée
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Les schémas suivant permettent d'alimenter un moteur asynchrone triphasé directement sur le réseau.
Le moteur est commandé par un bouton marche avant, un bouton marche arrière et un bouton d'arrêt,
l'arrêt est prioritaire.
Le schéma puissance est constitué principalement d'un sectionneur, de deux contacteurs équipés
d'interverrouillage et d'un relais thermique.
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9.3 Fonctionnement :
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10.1 Généralités :
Le démarrage étoile triangle est très utilisé en électrotechnique pour la mise en route des
moteurs électriques asynchrones triphasés. Ce dispositif est employé afin de diminuer les
"risques" du démarrage direct. En effet, l'intensité du courant au démarrage (en direct) est très
importante vis à vis du courant nominal du moteur (environ 5 à 7 fois l'intensité nominale).
Sur les gros moteurs ces courants importants entraînent des surcharges sur les lignes
d'alimentations (fils, câbles, bornes) et sur les appareils de protection et de commande
(fusible, sectionneur, contacteur, relais thermique...) d'ou une usure, voir une destruction,
prématurée des composants du démarreur.
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Nous pouvons noter qu'un contact de KM3 interdit la mise sous tension de KM1 (ce dispositif
est un ou exclusif appelé verrouillage électrique).
Une impulsion sur le bouton poussoir S1 (BP ARRET) arrête le moteur.
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MOTEURS MULTI-VITESSES
1. PRINCIPE
Ce type de moteur comporte deux enroulements statoriques électriquement indépendant permet d’obtenir deux
vitesses dans un rapport quelconque. Les enroulements PV devant supporter les contraintes mécaniques et
électrique résultant du fonctionnement du moteur en GV leurs caractéristiques électriques sont souvent
affectées. Parfois un tel moteur fonctionnant en PV absorbe un courant plus important qu'en G V.
ll est également possible de réaliser des moteurs à trois ou quatre vitesses en procédant au couplage des pôles
sur I'un des enroulements statoriques ou sur les deux. Cette solution exige des prises supplémentaires sur les
bobinages.
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Pour PV :
Impulsions sur S2.
Fermeture de KM1.
Verrouillage KM2 par KM1 ( 61-62)
Auto-maintien de KM1 ( 13-14).
Pour passage en GV, KM1 (67-68) étant fermé
impulsion sur S3.
Fermeture de KA1.
Auto-maintien de KA1 (13-14).
Ouverture de KM1 par KA1 (21-22).
Fermeture de KM2 par KA1 ( 33-34) et KM1 ( 61-62).
Verrouillage de KM1 par KM2 ( 61-62).
Auto-maintien de KM2 ( 13-14).
Arrêt: impulsion sur S1.
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Le couplage le plus utilisé est : triangle série (PV) - étoile parallèle (GV). ll porte le nom de couplages Dahlander-
Lindstrom.
Ce couplage fournit une puissance en grande vitesse deux fois supérieure à la puissance en petite vitesse.
Le couple utile est donc constant, quelle que soit la vitesse utilisée (formule P =Cω). Il est conseillés, si les
conditions d’exploitation le permettent, de démarrer le moteur en PV car le courant est plus faible.
L’ordre d’alimentation des phases doit être respecté pour ne pas avoir une inversion du
sens de rotation au moment du passage de la petite vitesse à la grande vitesse.
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LA FONCTION MAINTENANCE
2 – LE SERVICE MAINTENANCE
2.1. Les fonctions du service maintenance
b. Etude
Sa mission principale est l'analyse du travail à réaliser en fonction de la politique de maintenance choisie. Elle
implique la mise en œuvre d'un plan de maintenance avec des objectifs chiffrés et des indicateurs mesurables.
c. Préparation
La préparation des interventions de maintenance doit être considérée comme une fonction à part entière du
processus maintenance. Toutes les conditions nécessaires à la bonne réalisation d’une intervention de
maintenance seront ainsi prévues, définies et caractérisées. Une telle préparation devra bien sûr s’inscrire dans le
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respect des objectifs généraux tels qu’ils sont définis par la politique de maintenance : coût, délai, qualité,
sécurité,…
Quel que soit le type d’intervention à réaliser, la préparation sera toujours présente. Elle sera :
implicite (non formalisée) : dans le cas de tâches simples, l’intervenant assurera lui-même, par
expérience et de façon souvent automatique la préparation de ses actions ;
explicite (formalisée) : réalisée par un préparateur, elle donne lieu à l’établissement d’un dossier de
préparation structuré qui, faisant partie intégrante de la documentation technique, sera utilisé chaque
fois que l’intervention sera réalisée. Il sera donc répertorié et conservé sous réserve de mises à jour
ultérieures.
d. Ordonnancement
L'ordonnancement représente la fonction "chef d'orchestre". Dans un service maintenance caractérisé par
l'extrême variété des tâches en nature, en durée, en urgence et en criticité, l'absence de chef d'orchestre débouche
vite sur la cacophonie quel que soit le brio des solistes.
e. Réalisation
La réalisation consiste à mettre en œuvre les moyens définis dans le dossier de préparation dans les règles de
l'art, pour atteindre les résultats attendus dans les délais préconisés par l'ordonnancement.
f. Gestion
La fonction gestion du service maintenance devra être capable d'assurer la gestion des équipements, la gestion
des interventions, la gestion des stocks, la gestion des ressources humaines, et la gestion du budget.
Voici la liste des différentes tâches dont un service maintenance peut avoir la responsabilité :
• la maintenance des équipements : actions correctives et préventives, dépannages, réparations et révisions.
• l’amélioration du matériel, dans l’optique de la qualité, de la productivité ou de la sécurité.
• les travaux neufs : participation au choix, à l’installation et au démarrage des équipements nouveaux.
• les travaux concernant l’hygiène, la sécurité, l’environnement et la pollution, les conditions de travail, …
• l’exécution et la réparation des pièces de rechanges.
• l’approvisionnement et la gestion des outillages, des rechanges, ...
• l’entretien général des bâtiments administratifs ou industriels, des espaces verts, des véhicules, ...
Ce qui prouve le bien-fondé d’une formation polyvalente.
Les installations, les équipements, tendent à se détériorer dans le temps sous l'action de causes multiples
: usures, déformations dues au fonctionnement, action des agents corrosifs (agents chimiques, atmosphériques,
etc.).
Ces détériorations peuvent provoquer l'arrêt de fonctionnement (panne); diminuer les capacités de production;
mettre en péril la sécurité des personnes; provoquer des rebuts ou diminuer la qualité; augmenter les coûts de
fonctionnement (augmentation de la consommation d'énergie, etc.); diminuer la valeur marchande de ces
moyens.
Dans tous les cas ces détériorations engendrent des coûts directs ou indirects supplémentaires.
Le service maintenance, comme le service de sécurité, devient une interface entre toutes les entités qui
composent l'entreprise.
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La maintenance est de plus en plus concernée par la qualité des produits, qui passe par la qualité des machines.
Pour atteindre les objectifs de la maintenance, et en tenant compte d'un contexte de mondialisation
visant à réduire les coûts pour assurer la compétitivité, les entreprises ont besoin de techniciens ayant des
compétences très fortes tant dans les domaines techniques que dans l'approche économique des problèmes et
dans la capacité à manager les hommes.
La technologie des matériels actuels implique une compétence technique polyvalente. Les frontières entre les
domaines mécanique, électrique, hydraulique, pneumatique, informatique ... ne sont pas évidentes sur une
machine compacte.
Une polyvalence au niveau de la gestion est aussi indispensable, ainsi que la maîtrise des données techniques,
économiques et sociales.
Le profil du technicien de maintenance, est celui d’un homme de terrain, de contact et d’équipe, qui s’appuie
sur sa formation initiale puis sur son expérience pour faire évoluer la prise en charge du matériel dont il a la
responsabilité.
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C'est la maintenance exécutée après détection d'une panne et destinée à remettre un bien dans un état dans lequel
il peut accomplir une fonction requise.
C'est la maintenance exécutée à des intervalles prédéterminés ou selon des critères prescrits et destinée à réduire
la probabilité de défaillance ou la dégradation du fonctionnement d'un bien.
C'est la maintenance préventive exécutée à des intervalles de temps préétablis ou selon un nombre défini d'unités
d'usage mais sans contrôle préalable de l'état du bien.
C'est la maintenance préventive basée sur une surveillance du fonctionnement du bien et/ou des paramètres
significatifs de ce fonctionnement intégrant les actions qui en découlent.
C'est la maintenance préventive conditionnelle exécutée en suivant les prévisions extrapolées de l'analyse et de
l'évaluation de paramètres significatifs de la dégradation du bien.
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C'est un contrôle de conformité réalisé en mesurant, observant, testant ou calibrant les caractéristiques
significatives d'un bien.
En général, l'inspection peut être réalisée avant, pendant ou après d'autres activités de maintenance.
4.2 La surveillance
C'est l'activité exécutée manuellement ou automatiquement ayant pour objet d'observer l'état réel d'un bien
La surveillance se distingue de l'inspection en ce qu'elle est utilisée pour évaluer l'évolution des paramètres du
bien avec le temps.
4.3 La réparation
Ce sont les actions physiques exécutées pour rétablir la fonction requise d'un bien en panne.
4.4 Le dépannage
Ce sont les actions physiques exécutées pour permettre à un bien en panne d'accomplir sa fonction requise
pendant une durée limitée jusqu'à ce que la réparation soit exécutée.
4.5 L'amélioration
4.6 La modification
Ensemble des mesures techniques, administratives et de gestion, destinées à changer la fonction d'un bien.
La révision
Ensemble complet d'examens et d'actions réalisés afin de maintenir le niveau requis de disponibilité et de
sécurité.
4.7 La reconstruction
Action suivant le démontage d'un bien et la réparation ou le remplacement des composants qui approchent de la
fin de leur durée de vie utile et/ou devraient être systématiquement remplacés.
La reconstruction diffère de la révision en ce qu'elle peut inclure des modifications et/ou améliorations.
L'objectif de la reconstruction est normalement de donner à un bien une vie utile qui peut être plus longue que
celle du bien d'origine.
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LES DEFAILLANCES
1. GENERALITES :
1.1 La défaillance
1.2 La panne
État d'un bien inapte à accomplir une fonction requise, excluant l'inaptitude due à la maintenance préventive ou à
d'autres actions programmées ou à un manque de ressources extérieures.
Remarque : Après une défaillance, le bien est en panne, totale ou partielle. Une défaillance est un événement à
distinguer d'une panne qui est un état.
Ce sont les raisons de la défaillance. Les raisons peuvent résulter d'au moins un des facteurs suivants :
défaillance due à la conception, à la fabrication, à l'installation, à un mauvais emploi, par fausse manœuvre, à la
maintenance.
Un mode de panne est la façon par laquelle est constatée l'incapacité d'un bien à remplir une fonction requise.
Remarque : L'emploi du terme "mode de défaillance" dans ce sens est déconseillé par la norme.
Le mécanisme de défaillance correspond aux processus physiques, chimiques ou autres qui conduisent ou ont
conduit à une défaillance.
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4 – MECANISMES DE DEFAILLANCE
a) relais électromagnétiques :
Les résistances ne s'usent pas, mais peuvent subir des surintensités qui créent des coupures ou des courts-circuits.
Leur valeur peut être affectée par des variations thermiques.
Les condensateurs s'usent sous tension et ils sèchent hors tension (gare à l'allumage après arrêt prolongé). Les
surcharges provoquent la rupture du diélectrique.
Ce sont les transistors et les circuits intégrés, mais aussi les thyristors et les triacs pour les circuits de puissance.
De par l'intégration de plus en plus poussée des technologies SSI, MSI, LSI, VLSI contenant des milliers de
portes, la fiabilité d'un circuit est plus à considérer collectivement qu'au niveau du composant.
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Des tests de détection permettent de dire si le circuit est correct ou non. La localisation permet de situer le défaut
au sein du composant.
Les mécanismes de défaillance concernent surtout les jonctions électroniques (semi-conducteurs
thermosensibles) et se manifestent par des collages à 0 ou à 1.
d) Conducteurs et connexions :
La connectique est la source de bien des défaillances intermittentes ou fugitives qu'il faut suspecter et vérifier
avant de chercher à localiser des défauts internes. La fiabilité des connecteurs (cosses, soudures,...) devrait être
au moins de même valeur que celle des technologies associées, en logique câblée ou programmée.
La fiabilité opérationnelle de la connectique est dépendante des conditions de l'environnement (corrosion et
vibrations principalement).
La logique programmée est par nature sensible aux perturbations énergétiques (surtension d'entrée), thermiques
et surtout électromagnétiques de l'environnement. Dans un système programmable, se retrouvent les composants
actifs et passifs précédents, mais également des composants électroniques programmables, de fonction
paramétrable et modifiable.
Un automate est plus vulnérable par son intégration à son environnement et par son utilisation que par ses
faiblesses intrinsèques.
90% des défaillances proviennent des cartes d'entrée-sortie et sont dues principalement à des surtensions en
entrée.
b) Défaillances logicielles
Les défaillances logicielles sont dues principalement à des erreurs humaines ayant pour cause un manque de
rigueur (syntaxe), de logique ou d'attention (oublis).
La méthodologie suivante est celle présentée dans le programme officiel de BTS maintenance industrielle.
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Diagnostic : " C'est la recherche de la cause de la défaillance à partir d'observations de symptômes et à l'aide
d'un raisonnement logique.".
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7 – ORGANIGRAMME DE DIAGNOSTIC
L'organigramme de diagnostic permet la vérification des hypothèses émises pendant la démarche de localisation
de la défaillance.
8. Méthodes de dépannage
Le tableau ci-dessous présente les principales causes de pannes sur un équipement électrique et leurs
conséquences :
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Etude de l’enclenchement d’un contacteur Km1 par un commutateur S1, protégé par un fusible
F1 (les éléments sont représentés au repos).
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- Conformité au schéma.
- Section des conducteurs.
- Repérage des circuits (puissance, commande, information).
- Identification des conducteurs (couleur, code alphanumérique).
- Repérage polaire.
- Identification des circuits d’utilisation (câbles de départ).
- Maintien des conducteurs.
- Eloignement des arêtes vives (bord de tôle).
- Traitement des conducteurs non protégés contre les courts-circuits (circuits permanents, mesures).
- Liaisons souples, débattement des conducteurs des éléments amovibles (tiroirs, portes).
- Pénétration des conducteurs dans l’enveloppe (étanchéité, protection mécanique, absence de
contrainte).
- Disposition des jeux de barres (maintien mécanique, distances entre supports, raccords boulonnés).
- Conformité des appareils aux modèles prescrits (calibre, type, pouvoir de coupure, courbes de
fonctionnement).
- Obtention du pouvoir de coupure par association (si nécessaire).
- Sélectivité sur les circuits spécifiés.
- Plaques signalétiques et marquages.
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