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***
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
***
UNIVERSITE D’ABOMEY-CALAVI
***
ECOLE POLYTECHNIQUE D’ABOMEY-CALAVI
***
DEPARTEMENT DE GENIE MECANIQUE ET ENERGETIQUE
Option Productique
***
MEMOIRE DE FIN DE FORMATION POUR L’OBTENTION DU DIPLOME
D’INGENIEUR DE CONCEPTION
THEME :
DEDICACES
REMERCIEMENTS
Ahmadou Kourouma nous recommande de « toujours remercier l’arbre
à karité sous lequel on a ramassé de bons fruits ». Nous tenons donc à dire nos
vifs et sincères remerciements :
Aux Professeurs Guy Alain ALITONOU, François-Xavier FIFATIN et
Clarence SEMASSOU respectivement Directeur, Directeur-Adjoint de
l’EPAC et Chef du Département de Génie Mécanique et Energétique ;
A vous, Docteur Guy Fortuné ANAGO, pour avoir accepté d’encadrer ce
travail et de l’alimenter de vos précieux conseils. Soyez-en remercié cher
Professeur ;
A Monsieur Jean-François ALIAS, Directeur Technique de BENIN
TERMINAL qui a accepté de nous accueillir dans sa structure;
A notre tuteur de stage, Monsieur Claude LISSANON, Directeur
Technique Adjoint et Resp. Service Levage de BENIN TERMINAL, pour
son implication personnelle dans la réalisation de cette œuvre ;
A Monsieur Christian ALOFA, Ingénieur Mécanicien, Ass. Resp. Service
Levage, pour son encadrement et ses conseils d’aîné ;
A Monsieur Romuald HOUANNOU, Responsable du Service Roulant ;
A Madame Lucienne AWOKOU, Ass. Resp. Service Roulant ;
A Monsieur Auguste FACOUNDE, Chef d’Equipe Mécanique pour le
partage d’expérience et de sagesse. Merci infiniment à vous cher Doyen ;
A Messieurs Confort GUEDOU, Leonel AGBO, Prince SETO, Césaire
GOUGOU, Techniciens de l’équipe mécanique;
A tous les autres Chefs d’équipe du Service Levage ;
Nous pensons à tous ceux qui, à leur manière, ont apporté leur science à
ce travail sans oublier nos amis de la promotion 2019-2020;
Comment ne pas remercier le Professeur Odon VALLET, Président de la
Fondation Vallet, pour son soutien financier à notre formation.
SOMMAIRE
DEDICACES ................................................................................................... II
SOMMAIRE ................................................................................................... IV
RESUME ......................................................................................................... XI
ANNEXES ..................................................................................................XVII
BT BENIN TERMINAL
EPAC Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi
Sce Service
RTG Rubber Tyre Gantry
CE Chef d’Equipe
Ass. Resp. Assistant au Responsable
PTFE Polytétrafluoroétthylène
ZPMC Zhenhua Port Machinery Company
mm Millimètre
m/s Mètre par secondes
Kg Kilogramme
N Newton
V AC Volt Alternative Current (tension alternative)
V DC Volt Direct Current (tension continue)
W Watt
A Ampère
Hz Hertz
T Tesla
H/m Henry par mètre
MPa Méga Pascal
B Intensité du champ magnétique
H Excitation magnétique
d, D Diamètre
Re Limite d’élasticité
E Module de Young
σ Contrainte normale
τ Contrainte tangentielle
Figure 4.8 : Epures des efforts tranchants et moments fléchissants des leviers
................................................................................................................. 81
Figure 4.9 : Section droite du levier en O ....................................................... 82
Figure 4.10 : Déplacement angulaire du levier entre ses positions extrêmes . 83
Figure 4.11 : Quelques vues du thruster ED 80/6 [22] ................................... 84
Figure 4.12 : Axe de guidage des leviers ........................................................ 84
Figure 4.13 : Illustration des sollicitations de l’axe de guidage des leviers .. 85
Figure 4.14 : Epure des efforts tranchants et des moments fléchissants ......... 86
Figure 4.15 : Illustration des sollicitations de l’axe de liaison vérin-bielle .... 88
Figure 4.16 : Illustration des sollicitations de la bielle ................................... 89
Figure 4.17 : Epures des efforts normaux et tranchants et des moments
fléchissants de la bielle............................................................................ 90
Figure 4.18 : Illustration des sollicitations de la plaque verticale................... 92
Figure 4.19 : Flèche de la plaque en fonction de son épaisseur ...................... 94
Figure 5.1 : Forces appliquées à une roue du portique pendant le freinage . 109
RESUME
BENIN TERMINAL est une société de manutention portuaire exerçant
ses activités de chargement et déchargement de conteneurs au port autonome
de Cotonou. Elle s’est dotée d’appareils de levage ultramodernes dont les plus
impressionnants sont les portiques de quai. Les freins de parking des portiques
de marque ZPMC de la société présentent actuellement un dysfonctionnement :
bien que les freins soient actionnés, les engins stationnés se déplacent sous
l’action de grands vents. Le présent travail est une proposition de solution à ce
problème à travers l’étude et la conception d’un frein à commande automatique.
Les résultats obtenus à l’issue de ce travail sont probants et méritent
d’être mis en application. Le principe de fonctionnement du frein conçu se
résume comme suit : pendant le stationnement du portique, les sabots, organes
de freinage de ce dispositif seront maintenus sur les rails par un électroaimant
et constitueront un blocage mécanique aux roues de l’engin. Les différents
éléments constitutifs du système sont choisis et dimensionnés de manière à
répondre à toutes les exigences du cahier de charges. La réalisation matérielle
du projet nécessite 717987.39 FCFA.
ABSTRACT
BENIN TERMINAL is a port handling company carrying out its
activities of loading and unloading of containers at the autonomous port of
Cotonou. It is equipped with ultramodern lifting devices, the most impressive
of which are the quay gantries. The parking brakes of the company's ZPMC
brand gantry cranes are currently malfunctioning : although the brakes are
applied, parked vehicles move under the action of high winds. The present work
is a proposal for a solution to this problem through the study and design of an
automatically controlled brake.
The results obtained from this work are convincing and deserve to be
implemented. The principle of operation of the designed brake is summarized
as follows : while the gantry is parked, the shoes, braking members of this
device will be held on the rails by an electromagnet and will constitute a
mechanical blocking of the wheels of the machine. The various components of
the system are chosen and sized so as to meet all the requirements of the
specifications. The material realization of the projet requires 717987.39 FCFA.
INTRODUCTION GENERALE
L’historique du frein remonte à l’invention de la roue. Car, si l’on a
inventé un organe qui permet le déplacement, il faut bien trouver le moyen de
progresser à une vitesse voulue et surtout de s’arrêter au moment voulu. C’est
bien ce besoin qui a conduit à l’invention des systèmes de freinage des engins
roulants.
Des premiers systèmes aux plus récents, la technologie de construction
des freins a connu beaucoup d’évolution dans le temps. Ce progrès permanent
est imposé par le développement, la diversité et la performance (en termes de
vitesse) des moyens de transport. En cas de défaillances, d’inefficacité ou de
fausse manipulation d’un système de freinage, les conséquences peuvent
s’avérer lourdes. On peut évoquer ici le premier accident de la route, dû à un
problème de freinage. Ce fût en novembre 1770 au début de l’utilisation du
fardier de Joseph Cugnot. En effet, suite à une erreur d’estimation de la distance
de freinage, le premier chariot motorisé de l’armée française finit sa course
dans un mur de pierre qu’il défonça. La chaudière, pièce maîtresse du fardier
et bien d’autres organes s’en sortirent gravement endommagés.
Dès lors, les incidents de freinage se multiplient et les dégâts tant
matériels qu’humains restent non négligeables. Les portiques de quai de la
société de manutention BENIN TERMINAL (BT) n’en sont pas épargnés.
Ainsi, dans le cadre de notre mémoire de fin d’études, il nous est confié le
présent travail qui doit contribuer à solutionner un problème de freinage des
portiques de marque ZPMC de la société sus-citée. Il est intitulé “ amélioration
du système de freinage de parking des portiques ZPMC de BENIN
TERMINAL’’.
Le document est subdivisé en cinq chapitres. Le premier présente la
société d’accueil et fait une description de l’équipement de travail. Le deuxième
est consacré à la présentation du projet. L’étude et la conception d’un système
de freinage pour les portiques ZPMC font l’objet du troisième chapitre. Quant
au quatrième chapitre, il est destiné au dimensionnement des principaux
composants du frein. Le cinquième et dernier chapitre permet de faire
l’évaluation et l’entretien de l’objet technique.
02 Magasiniers 02 Pompistes
CE Dépannage 12 Techniciens
CE Mobile 3 Techniciens
Salle machine
S
Arrière bec
3
4
Légende
1→Balancier principal
2→Balancier secondaire
3→Moteur d’entrainement
4→Roue de translation
Pour réguler ce mouvement, le portique possède deux systèmes de freinage :
l’un de service et l’autre de parking.
Le levage (ou hoist)
Le levage est le mouvement de montée et descente du spreader. Le
spreader est en effet, le moyen de préhension du portique : c’est cet organe qui
s’accroche au conteneur pour le faire monter ou descendre. Il est tenu par des
câbles en acier enroulés sur deux tambours disposés dans la salle de machines.
Ces tambours sont entrainés par des moteurs électriques accouplés à des
réducteurs.
Le relevage (ou boom)
Le relevage est le mouvement de l’avant-bec. L’avant-bec est l’une des
poutres longitudinales de la structure haute du portique. Il est situé du côté
mer. Il peut occuper deux positions :
- 0° : position horizontale ou position de travail lorsque le portique est sous
exploitation ;
- Entre 0 et 80° : position de parking pour ne pas perturber l’accostage d’un
navire.
Le mouvement de chariot (ou trolley)
Le déchargement d’un conteneur du navire et sa pose sur le quai
nécessitent un déplacement longitudinal du spreader. Ce déplacement est assuré
par un chariot qui est véritablement le support du spreader. Ce chariot circule
sur les rails de l’avant-bec et de l’arrière-bec.
Le tableau suivant indique quelques caractéristiques des portiques ZPMC
Translation 8
Hauteur de
58
levage totale (m)
Masse (t) 1139
Sur la mer 47
Portée (m)
Sur la terre 15
Nombre 2
De levage Puissance (kW) 425
Vitesse (tr/min) 900 à 1800
Nombre 1
De chariot Puissance (kW) 165
Caractéristiques Vitesse (tr/min) 1750
des moteurs Nombre 24
De translation Puissance (kW) 13
Vitesse (tr/min) 1750
Nombre 1
De relevage Puissance (kW) 150
Vitesse (tr/min) 1750
Conclusion partielle
Commande
𝑭𝑨 𝝁𝒆 𝑭𝑩 𝝁𝒆
= 𝑒𝑡 = (2.2)
𝑭𝑪 𝒎−𝝁𝒏 𝑭𝑪 𝒎+𝝁𝒏
- un circuit hydraulique ;
- un circuit pneumatique ;
- un circuit électrique ;
- un assemblage mécanique (cas des tringles, des timoneries).
L’efficacité
L’efficacité d’un système de freinage est son aptitude à arrêter l’engin sur
une distance minimale quelles que soient les conditions extérieures. Ceci
implique une optimisation des effets qui ralentissent la rotation des roues. Dans
le cas des freins à friction, ces effets correspondent aux forces de frottement ⃗⃗⃗
𝐹𝑓
qui dépendent du coefficient de frottement, de la pression de contact et des
surfaces de frottement.
Le confort
Le confort d’un système de freinage est lié à la réduction des bruits et
vibrations produit pendant le temps de freinage. Il prend en compte également
la réduction des efforts de l’opérateur.
La stabilité
Un système de freinage est dit stable lorsque la trajectoire du mouvement
de l’engin est conservée pendant le freinage.
L’endurance
Un autre critère de performance d’un système de freinage est son
endurance : capacité du système à conserver ses fonctions sans défaillance sur
une longue durée.
La progressivité
Pendant que certains freins s’enclenchent progressivement, d’autres ont
tendance à fonctionner en Tout Ou Rien. Selon le cas, on parle de frein
progressif ou de frein en TOR.
Orifice d’alimentation
Capteur de proximité
Cylindre
Levier
Plaquette
Figure 2.10 : Partie opérative du système de freinage des portiques ZPMC [8]
La commande des freins d’un portique ZPMC est assurée par deux circuits
hydrauliques identiques. En effet, les 4 freins d’un même côté sont alimentés
en parallèle par un circuit hydraulique (cf. fig. 2.11) dont la centrale a une
capacité nominale de 15 litres. Le schéma de ce circuit est représenté dans l’état
de retour de l’huile au réservoir.
RDU1
ACC
PRST
MANO
RDU2
VAN1 VAN3
CAR
PT
VAN-EH
FLT VAN2
RNF SD1
THMC
SD2
M P JN
PM
RSV
17 ACC 1 Accumulateur
16 RDU 2 Réducteur de débit unidirectionnel
15 PRST 1 Pressostat
14 MANO 1 Manomètre
13 PT 1 Port d’essai
12 VAN-EH 1 Vanne électrohydraulique
11 VAN 3 Vanne 2 voies
10 CAR 3 Clapet anti-retour
9 FLT 1 Filtre à huile
8 RNF 1 Reniflard
7 SD 2 Soupape de décharge
6 PM 1 Pompe manuelle
5 JN 1 Jauge de niveau
4 THMC 1 Thermo-contacteur
3 P 1 Pompe électrique
2 M 1 Moteur électrique
1 RSV 1 Réservoir d’huile hydraulique
N° Code Quantité Désignation
Présence de
goudron sur la roue
Goudron
Figure 2.16 : Frein des portiques KALMAR : (a) vue de face, (b) vue de
derrière [10]
12 2 Cale de serrage
11 1 Roue de serrage
10 2 Capteur de fin de course directionnelle
9 1 Vis de verrouillage
8 1 Rail de translation
7 1 Thruster
6 2 Capteur de position
5 1 Levier de déverrouillage manuel
4 2 Sabot de frein
3 2 Tige
2 1 Boitier
1 1 Bride de montage
N° Nombre Eléments
7 6 4 5
8 1
9
2
10
Les éléments (4) et (5) sont solidaires d’un même axe qui à son tour est
monté en pivot sur le boitier servant de bâti pour le mécanisme. Le degré de
mobilité est: 𝒎 = 𝟑𝒏 − 𝟐𝒑𝟓 (2.4)
- n = 9 éléments mobiles, car (4) et (5) forment une classe d’équivalence que
nous notons (45) ;
- p5={bâti/1; bâti/2; bâti/45; bâti/7; 1/2; 2/3 ; 3/45; 45/9; 9/10; 10/8; 8/7 ; 7/6 ;
6/45}=13 couples supprimant chacun 5 degrés de liberté.
Alors m = 1 (mécanisme unimobile) : il faut et il suffit que soit donnée
la loi de mouvement d’un seul élément pour conférer un caractère déterminé
aux mouvements de tous les éléments du mécanisme. Ici, l’élément menant est
la tige (1) du propulseur. Sa sortie et sa rentrée correspondent respectivement à
l’élévation et à l’abaissement des cales (10).
Les cales de la roue de serrage (cf. fig. 2.20)
Les cales sont munies, en dessous, de deux semelles. Celles-ci servent à
la fois de sabots de freins et d’éléments d’assemblage des deux cales. Au-dessus
se trouvent des garnitures servant de patins lors du contact entre les cales et la
roue de serrage.
La bride de montage
Elle permet de fixer le frein sur le portique. Chaque portique possède
quatre freins. Les positions de montage des freins sur le portique sont bien
définies de manière à optimiser le freinage.
d’huile hydraulique. Ensuite, le problème n’est pas propre aux portiques du port
de Cotonou. En effet, les mêmes dysfonctionnements ont été constatés sur les
portiques de marque ZPMC des ports de Lomé au Togo et de Pointe-Noire au
Congo. Il est enfin important de préciser que les premières apparitions de ces
défaillances remontent à une période où les engins et leurs freins sont encore
dans un état relativement neuf. Nous en venons aux conclusions suivantes :
Conclusion partielle
FP
FT2
FT1
deux sabots ayant un plan incliné et jouant un rôle de cale (cf. fig. 3.2) ;
Tige filetée
Ecrou
Coulisse
Boitier
Thruster
Levier
Tige filetée
Electroaimant
Plaquette de frein
Sabot
Rail
Roue du portique
Sur chaque balancier principal du portique (cf. fig. 1.3) sera fixé un frein
dans l’espace compris entre deux roues consécutives.
EA= Electroaimant
Conditions initiales= Sabots en position basse. EA
0 activé
Conditions initiales. Bouton marche
1 Désactiver EA Temporisation 5s
2 Relever sabots
3 Abaisser sabots
4 Temporisation 20s
5 Activer EA
AE activé
Au fur et à mesure que l’on tourne les écrous, les sabots montent jusqu’à ce que
les bouts des tiges filetées butent contre l’extrémité du trou lisse borgne de la
coulisse. Les sabots remontent alors à 5 mm environ au-dessus des rails.
Une fois la maintenance du portique achevée, il faut verrouiller à
nouveau les freins. Pour ce faire :
- abaisser d’abord les sabots sur les rails en tournant les écrous dans le sens
antihoraire ;
- fermer ensuite le circuit électrique de l’électroaimant.
Le matériel Arduino
La carte Arduino
Le microcontrôleur
Le microcontrôleur est le cerveau de la carte. C’est donc lui qui reçoit,
stocke et exécute les instructions contenues dans le programme téléchargé sur
la carte via un port USB. A chaque carte Arduino correspond un
Le logiciel Arduino
Dans le but de rendre simple, complète et visuelle la programmation des
cartes, les créateurs de Arduino ont conçu et développé un logiciel informatique
bien approprié. Ce logiciel a évolué dans le temps à travers plusieurs versions
jusqu’à la dernière (version 1.8.13) créée le 16 juin 2020. L’environnement de
développement intégré (IDE) fonctionne sur divers systèmes d’exploitation
(Windows, Mac OS, GNU/Linux) et permet d’éditer le programme sur un
ordinateur et de le transférer sur la carte.
Le langage de programmation est très proche du C et du C++. De manière
générale, un code Arduino comporte deux grandes parties (ou
fonctions) précédées de la déclaration des variables (ce qui est optionnel): la
fonction setup () et la fonction loop ().
- La fonction setup () est encore dite fonction d’initialisation. On l’appelle
une seule fois lorsque le programme commence. On y retrouve la mise en place
des différentes sorties et quelques autres réglages. C’est une sorte de check-list
avant démarrage. Une fois le programme initialisé, il faut passer à sa partie
principale.
- La fonction loop () est le “ cœur ’’ du programme. C’est elle qui renferme
le contenu essentiel du programme et, à la différence du setup (), elle est
appelée en permanence. On parle de boucle infinie.
Caractéristiques Valeurs
Microprocesseur ATMega 328
Fréquence d’horloge du
16 MHz
microprocesseur (cadencement)
Tension de fonctionnement 5V
Tension d’alimentation
Entre 7 et 12V
recommandée
Tensions d’alimentation extrêmes 6V et 20 V
Broches d’entrées /sorties
14
numériques
Broches d’entrées analogiques 6
Intensité maximale d’alimentation 200 mA
Intensité maximale sur chaque sortie 40 mA
Mémoire SRAM (mémoire volatile) 2 kB
Mémoire EEPROM (mémoire non
1 kB
volatile)
Mémoire flash 32 kB
Le capteur de courant
IP- IP+
Output
Vcc
GND
(a) (b)
Vcc NC
GND Relais COM
IN NO
Le relais temporisé
- Principe de fonctionnement
instantanée par rapport à l’arrêt de l’engin. Ce choix de contact sera effectif par
l’usage des bornes 67-68 (cf. fig. 3.15).
S
KA
KA H
t=5s
S2
S1
Vcc 67
IP+
OUT ACS 712 KA
t=5s
GND IP- 68
KA
L1
L2
L3
N
1 3 5
KA
2 4 6
La LED (voyant)
Elle est également branchée en série avec l’électroaimant et reste allumée
tant que ce dernier est activé. Son état “ allumé ’’ ou “ éteint ’’ permet donc de
déduire celui de l’électroaimant c’est-à-dire “ activé ’’ ou “ désactivé ’’.
3.2.5.3 Schéma de câblage électrique du frein
ISIS PROTEUS est un logiciel de création de schémas électriques. Il
offre un environnement de travail simple et interactif. Comme tout logiciel de
design et de simulation, PROTEUS possède une bibliothèque de composants
électriques et électroniques. Il a servi à réaliser le circuit électrique du système
de freinage (cf. fig. 3.20).
VCC
GND
PC4/ADC4/SDA/PCINT12 AD4
PC5/ADC5/SCL/PCINT13
PC6/RESET/PCINT14
Capteur de courant
M
3 PHS
SOURCE PRINCIPALE 400 V AC
Moteur du thruster
Relais tempo.
24 V
Voyant
SOURCE AUXILIAIRE 24 VDC
RELAIS (NO)
0V
ELECTROAIMANT
AMELIORATION DU SYSTEME DE FREINAGE DE PARKING DES PORTIQUES ZPMC DE BENIN TERMINAL
moyenne serait toujours nulle sur une période. Nous avons donc considéré les
valeurs absolues des mesures effectuées. Ce faisant, la moyenne de ces valeurs
serait nulle sur une période donnée si et seulement si la tension est demeurée
nulle sur toute cette période.
Conclusion partielle
Noyau ferromagnétique
I
Plaquette
Entrefer F F
Rail
Ligne moyenne
1 𝐵𝑛2 𝑆𝑛
𝐹 = 𝐹𝑚 = [17], [18]. (4.1)
2 2𝜇0
Avec :
𝐹 𝐵𝑛2
Donc = < 139.459 𝑁⁄𝑐𝑚2
𝑆𝑛 2𝜇0
⟹ 𝐻𝑛 𝑙𝑛 + 𝐻𝑓 𝑙𝑓 + 𝐻𝑟 𝑙𝑟 + 2𝑒𝐻𝑒 = 𝑁𝑠 𝐼 (4.3)
Avec :
𝐵𝑛 𝐵𝑓 𝐵𝑟
Il vient : 𝑙𝑛 + 𝑙𝑓 + 𝑙 = 𝑁𝑠 𝐼. (4.5)
𝜇0 𝜇𝑟𝑛 𝜇0 𝜇𝑟𝑓 𝜇0 𝜇𝑟𝑟 𝑟
S𝑛
B𝑟 = B𝑛 ⋅
S𝑟
⟹{ S𝑛 (4.6)
B𝑓 = B𝑛 ⋅
S𝑓
Avec :
B𝑛 𝑙 𝑆 𝑙𝑓 𝑆 𝑙
De (4.5) et (4.6), on tire : 𝑁𝑠 𝐼 = (𝜇 𝑛 + 𝑆𝑛 ⋅ 𝜇 + 𝑆𝑛 ⋅ 𝜇 𝑟 ) (4.7)
𝜇0 𝑟𝑛 𝑓 𝑟𝑓 𝑟 𝑟𝑟
Avec :
Avec :
On a :
- p = 4 x 120 mm = 0.48 m ;
- NsI = 1137.796 Ampères-tours ;
- U = 24 V DC
Alors s = 0.387 mm2 c’est-à-dire d = 0.71 mm (diamètre du fil).
𝛼 =30°
Pendant le freinage, lorsque le portique aborde le plan incliné, le sabot subit une
compression et un cisaillement dans la section L x b (cf. fig. 4.3 et 4.4).
P est la charge exercée par le portique sur le sabot. Par hypothèse, on suppose
une répartition uniforme de la masse M du portique sur l’ensemble de ses 32
𝑀𝑔
roues. Alors, 𝑃 = avec 𝑀 = 1139 𝑡 [1].
32
𝑠⋅𝑀𝑔√(𝑐𝑜𝑠𝛼)2 +3(𝑠𝑖𝑛𝛼)2
𝐿≥ (4.11)
32𝑏⋅𝑅𝑒
Où :
F
Figure 4.5 : Illustration de la sollicitation de la tige filetée
Choix du filet
Types Triangulaire
Trapézoïdal Carré Rond
Caractéris- (métrique)
tiques
Rendement Bon Très bon Médiocre Médiocre
Très
Résistance Résistant Peu résistant Résistant résistant au
choc
Transformati Transformation Organe
Attelage
Utilisation on de de mouvement d’assemblage:
(train)
mouvement non normalisé vis
Tableau 4.2 : Masse des pièces portées par les tiges filetées
Masse volumique
Eléments Volume [mm3] Masse [kg]
[kg/L]
Noyau d’électroaimant 7.8 10434816 81.392
Sabots 7.2 3751622 x 2 27.012 x 2
Plaquettes en fonte 7.2 144000 x 2 1.037 x 2
Plaquettes en
1.5 394908 x 2 0.592 x 2
composite
Fil de bobinage 8.9 190775 1.698
Total 138.298
Alors la charge portée par les deux tiges vaut 2m = 138.298 kg + masse
des coulisses. Les dimensions des coulisses dépendent en partie de celles des
tiges. Leur masse est donc inconnue à cette étape. En faisant l’hypothèse :
masse des coulisses ≪ 138.298 kg, on peut écrire 2 m ≈138.298 kg.
𝑅𝑒 𝑠.𝐹
𝜎𝑁𝑟é𝑒𝑙𝑙𝑒 ≤ ⟹ 𝐷1 ≥ 𝐾𝑡 + 10 (4.13)
𝑠 𝑡×𝑅𝑒
On trouve D1 ≥ 10.475 mm
𝑅𝑒
𝜎é𝑞 = 3.733 𝑀𝑃𝑎 ≪ = 300 𝑀𝑃𝑎 : la condition de résistance est bien
𝑠
vérifiée.
Avec :
4𝑝𝐹
ℎé𝑐𝑟𝑜𝑢 = 𝑚𝑎𝑥 {𝑛𝑝;
𝜋(𝑑 2 −𝐷1 2 )𝜎𝑝𝑒𝑟𝑚
} (4.17) où 𝜎𝑝𝑒𝑟𝑚 est une pression limite
(permise) qui dépend aussi bien des matériaux assemblés que des conditions de
fonctionnement (cf. tableau 4.3).
Dans notre cas, σperm = 17 MPa et hécrou = max {15; 1.373}. D’où le
choix d’un écrou hexagonal de filet trapézoïdal Tr 20×3-7H de hauteur
hécrou = 15 mm.
Fv
VO
Pc HO
(a) (b)
𝐏𝐜 = 𝟔𝟗𝟖. 𝟎𝟒𝟎 𝐍
∑ 𝐹𝑥 = 0 𝐻𝑂 − 𝐹𝑉 cos 65.3 = 0
A l’équilibre du levier, on a :{ ∑ 𝐹𝑦 = 0 ⟹ { −𝑃𝐶 + 𝑉𝑂 − 𝐹𝑉 sin 65.3 = 0
∑ 𝑀𝑂 = 0 𝑂𝐵 × 𝐹𝑉 𝑠𝑖𝑛83.7 − 𝑂𝐴 × 𝑃𝐶 = 0
Figure 4.8 : Epures des efforts tranchants et moments fléchissants des leviers
h = 40
D
- R e = 235 MPa ;
- D = 22 mm ;
- Kt le coefficient de concentration de contrainte ; Kt = 1.25 (cf. annexe
3b) [21]
Re 6h.s.Mf max
σmax ≤ ⟹ e ≥ Kt (4.19)
s Re (h3 −D3 )
A1 O
20
A2
15.11
B2
Cotes A C D E F G T P K L O R
Valeur 450 36 18 20 30 20 67 22 195 97 254 90
A A-A
D d
l A
- L’axe est réellement sollicité lorsque les sabots sont en position haute ;
- Le guidage en rotation des leviers par palier lisse permet de négliger la
torsion dans l’axe. On prendra en compte uniquement la flexion due à la force
résultante ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗𝑐 + ⃗⃗⃗⃗
𝐹𝑅 = 𝑃 𝐹𝑉 + ⃗⃗⃗
𝑃𝑝 qui s’applique sur la portion de diamètre d. En
réalité, ces trois composantes de la résultante n’agissent pas directement sur
l’axe : elles lui sont plutôt transmises par le levier.
On désigne par :
⃗ ) = 24.7° et β = (𝑥 , ⃗⃗⃗⃗
α = (𝑥 , 𝑁 𝐹𝑉 ) = 65.3° d’où :
1
𝐹𝑅 𝑥 = −𝐹𝑉 cos β + 𝑁𝑐𝑜𝑠α = −121.604 𝑁
2
{ 1 (4.20)
𝐹𝑅 𝑦 = −𝑃𝐶 − 𝐹𝑉 sin β − 𝑁𝑠𝑖𝑛α = −1080.145 𝑁
2
𝐹𝑅 = √𝐹𝑅 𝑥 2 + 𝐹𝑅 𝑦 2 = 1086.969 N
T [N]
1086.969
Mf [Nmm]
97011.983 Nmm
L’axe étant encastré à une extrémité (par soudure sur le boitier) et libre à l’autre,
le moment fléchissant maximal est simplement 𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥 = 𝐹𝑅 × 𝑙 et correspond
32𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥
à une contrainte 𝜎𝑚𝑎𝑥 = .
𝜋𝑑3
𝑹𝒆 𝟑 𝟑𝟐⋅𝒔⋅𝑭𝑹 ×𝒍
Condition de résistance : 𝝈𝒎𝒂𝒙 ≤ ⟹ 𝒅≥ √ (4.21)
𝒔 𝝅𝑹𝒆
Avec :
- s = 1.5 ;
- R e = 235 MPa ;
- FR = 1086.969 N ;
- l = 89.25 mm ;
On obtient d ≥ 18.476 mm. Prenons d = 20 mm et D = 22 mm.
- diamètre intérieur d = 20 mm ;
L’axe est le plus sollicité lorsque les sabots sont en position haute. Il
s’agit d’une sollicitation composée de flexion et compression (cf. fig. 4.15) :
l
N
2Fv
d
Pp
4𝑁 32𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥
𝜎𝑚𝑎𝑥 = + (4.23) avec 𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥 = 2𝐹𝑉 𝑙 .
𝜋𝑑 2 𝜋𝑑 3
𝑅𝑒
On trouve 𝜎𝑚𝑎𝑥 = 119.489 𝑀𝑃𝑎 Or 𝜎𝑎𝑑𝑚 = = 156.67 𝑀𝑃𝑎. On a bien le
𝑠
𝜋2 𝐸
La contrainte critique admise est donc (formule d’Euler): 𝜎𝑐 𝑎𝑑𝑚 =
λ2
au flambement.
∑ 𝐹𝑥 = 0 1
𝑉𝐴 = 𝑉𝐵 = − 𝑁 = 49.191 𝑁
{ ∑ 𝐹𝑦 = 0 ⟹ { 2 (4.24)
∑ 𝑀𝐴 = 0 𝐻𝐴 = 𝐻𝐵 = 𝐹𝑉 = 400 𝑁
𝑇(𝑥) = 𝑉𝐴
{ 𝑀𝑓 (𝑥) = 𝑉𝐴 𝑥 (4.25)
𝑁(𝑥) = 𝐻𝐴 − 2𝐹𝑉 = −𝐹𝑉
𝑇(𝑥) = −𝑉𝐴
{ 𝑀𝑓 (𝑥) = 𝑉𝐴 𝑥 − 2𝑉𝐴 (𝑥 − 0.5𝐿) = −𝑉𝐴 𝑥 + 𝑉𝐴 𝐿 (4.26)
𝑁(𝑥) = 𝐻𝐵 = 𝐹𝑉
Re s FV 6Mfmax
Critère de résistance : σmax ≤ ⟹l≥ . Kt. ( + ) + 20 (4.28)
s Re h h2
Où :
On choisit des vis de classe 8.8. Les 4 vis sont soumises à un effort de
cisaillement dû au poids du sabot qu’elles supportent. Le critère de résistance
s’écrit :
𝐴𝑠 𝑘𝐹𝑐𝑖𝑠
𝐹𝑐𝑖𝑠 ≤ 0.6𝑓𝑢𝑏 ⟹ 𝐴𝑆 ≥ (4.29) [24]
𝑘 0.6𝑓𝑢𝑏
Avec :
- 𝐴𝑠 : aire de la section résistante de la partie filetée ;
- 𝑓𝑢𝑏 : résistance ultime à la traction de l'acier du boulon, 𝑓𝑢𝑏 = 800 Mpa ;
- k : coefficient partiel de sécurité, k = 1,25 ;
27.012×9.81
- Fcis : force de cisaillement ; Fcis = = 66.247 N.
4
𝜋𝑑𝑠 2
On a 𝐴𝑠 = ≥ 0.173 𝑚𝑚2 ⟹ ds ≥ 0.470 mm. On choisit des vis à tête
4
hexagonale à embase M10.
F F
z x
O
Figure 4.18 : Illustration des sollicitations de la plaque verticale
Les déformations de la plaque sont dues aux poids des différentes pièces qu’elle
supporte. Ces déformations sont données par le tenseur [𝜀].
𝜀𝑥 𝛾𝑥𝑦 𝛾𝑥𝑧
[𝜀] = [𝛾𝑦𝑥 𝜀𝑦 𝛾𝑦𝑧 ] (4.30)
𝛾𝑧𝑥 𝛾𝑧𝑦 𝜀𝑧
𝜕2 𝑤
𝜀𝑥 = −𝑧 ⋅
𝜕𝑥 2
𝜕2 𝑤
𝜀𝑦 = −𝑧 ⋅
𝜕𝑦 2
Avec : 𝜀𝑧 = 0 (4.31) où w = w(x, y) désigne la flèche ou
𝜕2 𝑤
𝛾𝑥𝑦 = 𝛾𝑦𝑥 = −𝑧 ⋅
𝜕𝑥𝜕𝑦
{𝛾𝑥𝑧 = 𝛾𝑧𝑥 = 𝛾𝑦𝑧 = 𝛾𝑧𝑦 = 0
encore le déplacement d’un point suivant la direction (O ; z) de l’épaisseur. Ce
déplacement dépend du matériau, du chargement, mais aussi de l’épaisseur e de
la plaque. Il peut être déterminé par des méthodes numériques, mais aussi par
simulation de la plaque. Cependant, la complexité de la méthode numérique et
surtout la non-conformité de notre modèle (plaque verticale, charge non
appliquée perpendiculairement à la surface de la plaque) aux modèles courants
(plaque horizontale, soumise à une charge verticale) nous obligent à opter pour
la seconde solution. Pour l’acier de nuance S 235 et pour un chargement tel
qu’indiqué à la figure précédente, une simulation sur Solidworks permet d’avoir
la flèche maximale fmax selon l’épaisseur e de la plaque (cf. fig. 4.19 et tableau
4.5). Nous avons pris successivement e = 5, 10, 15 et 20 pour obtenir
respectivement les figures 4.19a, 4.19b, 4.19c et 4.19d.
: 5mm :10 mm
: 20 mm
:15 mm
Epaisseur e 5 10 15 20
𝟏
En prenant pour critère de calcul de l’épaisseur la condition 𝒇𝒎𝒂𝒙 ≤ 𝐞 [25] on
𝟐
F F
75
0 40
38
70
4xM10
30°
36
E 120
E
230 49
Sabot
D D
8xM10
75
40
190
70
C C
70
25 70,50
36
120 120 120
557,70
Noyau d'électroaimant
B B
F F
R20
40
E 15
0 E
149°
R20
D D
10 22 H7 10
10
C C
85
B B
Echelle 1:2
Levier Date: 18/02/2021
A N° 02 A
F F
E E
20 f7
2,20 X 45° 2 X 45°
4
22
D D
+0,5
15 0
95 ±0,80 23 min.
C C
B B
Echelle 1:1
Axe de
Réalisé le 18/02/2021
guidage de levier
A N° 03 A
F F
1 3 2
E E
22H7p6
20H8f7
D D
C C
F F
20d11
20d11
24
25 25
E 75 65 E
240
D A-A D
R20 A 2x 10H8
40
A
C C
17,50
20 H11
35
85
170
B Bielle B
F F
2,20 X 45°
22
+0,50
16 0
75
E E
115
82
30
12H7
20
10 X 45°
D D
60
C C
50
25
20
B B
Echelle 1:2
Coulisse Date: 18/02/2021
A N° 06 A
F F
10
10H7
,25
E R10 E
260
D D
240
150
C C
Tr 20x3-7e
B B
Echelle 1:2
Tige filetée Date: 18/02/2021
A N° 07 A
F F
2 X 1 X 30° 2x 2,5
Axe d'articulation 1
D D
C C
4,5 min. 51,5 ±0,8 4,5 min.
Axe d'articulation 2
B B
Echelle 2:1
Axes
Date: 18/02/2021
d'articulation
A N° 08 A
F F
E 82 ±0,80 12g6 E
Echelle 1:1
D D
4 2 X 2 X 45°
C C
197
20f7
212 ±1,20
Echelle 1:2
F F
E E
D B2
A A D
B1
JB
B2 = 15
JB max = 1.5
15
JB min = 1
1
C A-A C
F 20 F
43
20
362,50
560
E E
980
328
2x 22
5 15
D D
12 x M24
800
228
228
B 1400 B
A-A
H H
27
3
26
7
G 8 G
28 Rondelle plate-Type S-10
27 6 Rondelle plate-Type S-20
12 2 Sabot EN GJL-250
11 1 Noyau d'électroaimant GC 25
11 14 13 12 2
10 Coulisse S235
7 1 Thruster
4 2 Levier S235
B 1
B
3 Axe de guidage du thruster S235
Conclusion partielle
T
N
30°
A d O
Mg
- P= la répartition de la charge du portique par roue (d’après
32
- HS1 : La force tractrice minimale à fournir pour faire tourner une roue
est celle capable de vaincre la résistance de cette dernière au roulement. On
𝛿
estime donc que le portique se met en déplacement à partir de 𝑇 = 𝑁 (5.1)
𝑅
- HS2 : Pour rester dans un cas extrême, on suppose que le vent est si
violent qu’il parvient à déplacer le portique avec une vitesse égale à sa vitesse
de translation motorisée : c’est-à-dire le portique aborde le plan incliné avec
𝑉0 = 0.75 𝑚/𝑠 ;
- HS3 : En supposant que les roues tournent parfaitement sur le plan
incliné, on néglige les frottements: f = 0 N.
OB = 57.493 mm. Par ailleurs, le positionnement des sabots par rapport aux
roues implique que le portique se déplace de d = AO = 62.917 mm avant
d’aborder le plan incliné. Alors, le déplacement global du portique, dans les
conditions des hypothèses ci-dessus est environ Da = d + OB.
Da = 120.410 mm.
Le thruster
Vérifier la bague
Fuites Sur la vis de remplissage d’étanchéité, serrer la vis
d’huile de remplissage
Sur le plan de séparation entre le
Serrer la vis de
carter hydraulique et la bride
raccordement
intermédiaire
Bruits
constants et Roulement à billes défectueux Remplacer le thruster
forts
Déclenche-
ment du
disjoncteur
Vérifier les résistances et
moteur ou Court-circuit dans la bobine
l’isolation du moteur
des
éléments
fusibles
Le circuit électrique
Fréquences
Désignation des opérations
J H M T S A
Dépoussiérage et nettoyage x
Vérification des raccordements et
x
resserrage si nécessaire
Vérification du réglage du relais
x
temporisé
Contrôle de l’échauffement du
x
bobinage de l’électroaimant
Mesure du courant d’alimentation de
x
l’électroaimant
Vérification de fonctionnement du
x
voyant LED
Contrôle des isolements du bobinage x
- J : Journalier
- H : Hebdomadaire
- M : Mensuel
- T : Trimestriel
- S : Semestriel
- A : Annuel
La structure métallique et les organes mécaniques
Fréquences
Désignation des opérations
J H M T S A
Vérifier les plaquettes de freins et les
remplacer si la limite admissible x
d’usure est atteinte
Vérifier les signes de corrosions et
x
les cordons de soudure
Vérifier la déformation (flexion) des
tiges filetées, des leviers et des axes x
de guidage
Vérifier les vis d’assemblage et les
x
serrer au besoin
Vérifier l’alignement des sabots sur
x
les rails
Conclusion partielle
CONCLUSION GENERALE
La sécurité de tout matériel roulant et de ses utilisateurs tient d’abord à
l’existence et au bon fonctionnement de son système de freinage. Le présent
travail qui s’achève ici s’est inscrit dans cette perspective en s’intéressant à
l’amélioration du système de freinage de parking des portiques ZPMC de
BENIN TERMINAL. A l’issue de l’étude, il ressort que le système utilisé
actuellement sur ces engins n’est pas adapté et mérite d’être remplacé.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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Built Drawings Two quayside container cranes for Benin Terminal, UNICAF.
Shanghai.150p.
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véhicules routiers. Mémoire Master, Génie Mécanique. Université Abou Bakr
Belkaid, Algérie. 80p.
[7] AOUEB Cherirou, SAMI Boudab. (2015). Etude d’un système de frein à
disque. Mémoire Master, Génie Mécanique. Faculté Des Sciences Et Sciences
Appliquées, Algérie.90p.
[10] SIBRE (2011). Mounting, Operation and Maintenance Manual Rail Brake
RTCB 350-80/6X0. Allemagne.22p.
[17] HABI Saliha, HAFSI Fatima (2015). Etude et Calcul de la Force Statique
d'un Electroaimant à Noyau Plongeur. Mémoire Master académique. Génie
électrique. Université Kasdi Merbah d’Ouargla, Ouargala.70p.
[21] Henri Yelle, Marie Bernard, Daniel Therriault. Resistance des materiaux
II-Concentration de contraintes. Polytechnique Monreal. pp : 397-432
ANNEXES
μr
𝑋1 = 𝐶𝐴2. 𝑋1 + 𝐶𝐴1
𝑋2 = 𝐶𝐴3. 𝑋2 + 𝐶𝐴2
𝑋3 = 𝐶𝐴4. 𝑋3 + 𝐶𝐴3
𝑋4 = 𝐶𝐴0. 𝑋4 + 𝐶𝐴4
𝑋0 = 𝐶𝐴1. 𝑋0 + 𝐶𝐴0
Programme ladder
%TM2
%I1.3 %M1
IN Q
MODE: TON
TB: 1s
TM.P: 20
MODIF: Y
%M2 %I1.3 %M3 %I1.1 %M4
CA1
X1
%M4
%M9 %M5
%M5
X2
%M7
%M9
%M11
%M13
%M2 %Q2.1
KA-
%M5 %Q2.2
KM+
%M8 %Q2.3
KM-
%M10 %Q2.4
KA+
AMELIORATION DU SYSTEME DE FREINAGE DE PARKING DES PORTIQUES ZPMC DE BENIN TERMINAL
Roue 2x 650
1100
1550
Rail
(a) (b)
Thruster
Capteur fin de course 1
DEDICACES ................................................................................................... II
SOMMAIRE ................................................................................................... IV
RESUME ......................................................................................................... XI
ANNEXES ..................................................................................................XVII