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Nom et prénom 

: IDSIALI MOHAMED
Master spécialisé : Culture, Patrimoine et Tourisme durable

Aujourd’hui le monde cherche sérieusement à arrêter les causes des crises économiques et
environnementales en raison de leurs impacts sur le bon déroulement des activités exercées
dans la société contemporaine.
Alors la notion d’économie sociale et solidaire en général est liée aux entreprises qui sont
organisées d’une façon précise telles que des associations, des fondations, mutuelles et des
coopératives qui adoptent le principe de solidarité, l’intérêt social et des modes de gestion
participatifs et démocratiques à travers la création d’autres manières de produire et d’utiliser
puis la planification détaillée des bénéfices, tout en mentionnant son rôle incontournable à
l’intervention et la lutte contre l’inégalité des chances, l’exclusion et la protection de
l’environnement.
Au Maroc Les acteurs de l’économie sociale et solidaire à savoir principalement les
coopératives, les associations mais aussi les entreprises sociales présentent des produits et des
services tout en visant des échanges entre eux à travers l’organisation des rencontres et des
manifestations autour de l’année qui sont également des occasions de discuter des contrats
pour but de commercialisation d’un tel produits et rencontrer des partenaires internationaux
qui se regroupent tous ensemble afin de valoriser principalement l’économie sociale et
solidaire.
Depuis les années soixante le Maroc a commencé le soutien du secteur de la coopération et il
a favorisé le concept de la solidarité pour objectif de développer l’activité économique et plus
particulièrement l’artisanat, l’agriculture et l’habitat, puisque c’est un secteur d’économie
important car il aide efficacement à créer des offres d’emploi.
Le roi du Maroc Mohamed VI a lancé ‘L’initiative National du Développement Humain’
qui vise à favoriser la solidarité dans la société marocaine et subvertir le secteur coopératif en
tant qu’un des principaux leviers de développement, cette initiative a pour objectif surtout de
réduire les niveaux de chômage et de la pauvreté et ce à partir de supporter le lancement des
moyens et petits producteurs dans des projets de développement local.
Le Maroc dispose de plus en plus un capital important en terme d’économie sociale et
solidaire, depuis longtemps le secteur des coopératives ne cesse pas à se développer avec
l’émergence de l’intégration intense des femmes dans le domaine, plus de 2000 coopérative
sont tenues par des femmes ce qui multiple la capacité de ce levier à offrir des offres d’emploi
et résoudre relativement la question du chômage.
Les secteurs d’activités principaux dans ces coopératives sont d’abord l’agriculture qui
domine au niveau mondial et national puis l’artisanat et l’habitat, ce sont les trois domaines
traditionnels de la coopérative mais aujourd’hui nous remarquant qu’ils existent des nouvelles
spécialités au niveau des coopératives à savoir le traitement des déchets et le recyclage, nous
voyons même des coopératives de création des plateforme de commercialisation des produits
fabriqué par d’autres coopératives et la plupart parmi ces derniers sont créé et géré par des
jeunes diplômés.
Ces coopératives ont principalement pour objectif l’exploitation rationnelle et la valorisation
des richesses et des potentialités locales, en parallèle le pays vise toujours à augmenter la
contribution de ce secteur dans le PIB à travers l’invention des stratégies réalisable à long
terme en suivant les étapes nécessaires avec délicatesse.
Le secteur d’économie sociale et solidaire est considéré donc au Maroc comme un des
leviers de sortie de crise vu que le chômage qui touche plus particulièrement les jeunes
continue à augmenter ainsi que la pauvreté et la marginalisation, plusieurs obstacles et défis
ont la capacité d’entraver le poursuite des progrès nous constatons alors que l’économie au
Maroc n’a pas encore la capacité essentielle pour garantir un développement inclusif, une
situation qui reflète la gravité, surtout que une grande partie des chômeurs ont déjà suivi des
formations supérieures.
L’économie social et solidaire au Maroc reste limité en raison de l’inefficacité du cadre
juridique qui doit délimiter et réglementer son champ d’intervention, les acteurs de ce secteur
ont encore besoin des programmes d’accompagnement, car même si ils existent-ils ne sont
pas suffisants et adaptés.
La notion de l’économie sociale et solidaire reste partiellement peu connue et mal défini au
Maroc, ce qui réduit la possibilité d’accès aux populations surtout ceux qui sont marginalisé et
souffrent de la pauvreté, ce qui nécessite une médiatisation intense et sensibilisation à l’intérêt
de cette notion qui vise principalement à changer plusieurs situations qui sont graves à travers
la création des opportunités qui permet au gent de s’épanouir.
Ainsi que les initiatives et le nombre des expériences qui sont limitées dans ce sens, même
s’il a dépassé assez des étapes importantes, le Maroc a encore besoin d’élargir ce champ en
valorisant l’innovation qui est aussi un parmi les secteurs dont lequel il doit investir.
Après la constitution de 2011, le Maroc a commencé l’organisation de plusieurs stratégies
qui a pour objectif de créer un cadre juridique, renforcer les organisations et instances de
l’économie social et solidaire et favoriser la commercialisation de plus il a modifié les lois
relatives aux coopératives et aux associations, le pays a même annoncé une loi cadre de
l’économie sociale,
Dans tous les cas l’économie sociale et solidaire au Maroc a répondu aux nombreuses
exigences socioéconomiques, ce pays a l’intention à construire un bon modèle de croissance
et développement pus inclusif qui est capable d’offrir un équilibre équitable et une bonne
répartition des richesses et finalement inclure les femmes et les jeunes dans le marché du
travail.

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