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Candidats Réponses
Tapura Ce sujet est déjà déployé. La Direction de l’environnement et la Direction
de la biosécurité poursuivent, chacun pour ce qui les concerne, leurs
programmes de lutte contre la prolifération des espèces envahissantes.
Malheureusement, les îles où elles sont déjà bien installées, il faut
apprendre à vivre avec. L’objectif est aujourd’hui d’empêcher leur
arrivée dans les îles indemnes.
Et le travail des associations de Ua Huka et Rimatara pour éviter
l’arrivée du rat noir dans leur île est remarquable. Nous devons le
reconnaître. Nous devons aussi accentuer notre accompagnement de
leurs actions de véritable service publique.
Par ailleurs, la DIREN a lancé un programme de certification des
entreprises qui garantissent lutter contre les espèces envahissantes.
Elles sont 13 entreprises actuellement, essentiellement des entreprises
de vente d’agrégat et de transport maritime, qui peuvent par leur activité
transporter des espèces envahissantes.
Enfin, un réseau de surveillance des espèces envahissantes existe. Il
permet d’informer la DIREN de l’arrivée d’une nouvelle espèce
envahissante dans une île et ainsi d’agir au plus vite pour en empêcher
l’installation.
Tavini Nous déploierons des mesures de « biosécurité » véritablement
efficaces aux frontières et en amont via nos contacts avec les agences
de voyages partenaires et les compagnies aériennes touchant le Fenua.
Dans ce cadre, la maîtrise de l’aéroport international de Tahiti Faa’a est
essentielle.