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Cours Instrumentation & Mesure 1GE & 1GIND

Chapitre 1 : Généralités sur la mesure

1. Introduction
Le savant D. Mendelev a écrit autrefois « la science commence là où commence la mesure » ;
Cela signifie que nous n’avons pas de science sans mesure.
L’instrumentation est une science interdisciplinaire : langue ; électronique, art, math,
électrique.
2. Grandeur mesurable et système internationale (SI) d’unités
Le SI est fondé sur un choix de sept unités de base bien définies et considérées par convention
comme indépendantes du point de vue dimensionnel : le mètre, le kilogramme, la seconde,
l'ampère, le kelvin, la mole et la candela.

Il existe deux unités supplémentaires ont été ajoutées, elles sont nécessaires pour définir les
unités dérivées, soient :

3. Unités dérivées ayant des noms spéciaux


Les unités dérivées sont des combinaisons des unités de base et des unités supplémentaires.
Certaines possèdent un nom propre(le Hertz, le joule,….) et peuvent être utilisées pour
définir d’autres unités dérivées n’en possèdent pas (le Newton par mètre, l’ampère par mètre
carré). Le tableau suivant donne les unités dérivées du SI d’unités ayant des noms spéciaux.

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Grandeur Nom de l’unité Symbole Dimension

Fréquence Hertz Hz T-1

Force Newton N MLT-2

Energie, Travail Joule J ML2T-2

Puissance Watt W ML2T-3

Pression Pascal Pa ML-1T-2

Force électromotrice Volt V ML2I-1T-3

Résistance ohm Ω ML2I-2T-3


électrique

Conductance siemens S M-1L-2I2T3


électrique

Quantité coulomb C TI
d’électricité

Capacité électrique Farad F M-1L-2I2T4

Inductance Henry H ML2T-2I-2


électrique

Flux d’induction Weber Wb ML2T-2I-1


magnétique

Induction Tesla T MT-2I-1


magnétique

Flux lumineux Lumen (cd.sr) lm JΩ

Eclairement Lux (lm /m2) lx JΩL-2

4. Formations des multiples et sous multiples des unités


Les unités du système international peuvent être précédées d’un préfixe formé à partir de
puissance de 10. Le tableau suivant indique les différents préfixes ainsi que leur symbole, qui
doit être placé devant le symbole de l’unité.

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Quelques unités d’origine anglo-saxonne sont également couramment utilisées


- Le pouce (inch) : 1 in =2.54cm= 25.4mm ;
- Le pied (foot) : 1ft =12pouce=30.5cm= 0.305m ;
- La livre (pound) : 1b = 453.6g ;
- Le mile : 1ml = 5280ft = 1609m=1.609km ;
- Le mil : 1mil = 10 -3 in = 25.4µm ;
- 1cheval : 1CV=736W.
5. Incertitudes de mesure
Lorsqu’on mesure une grandeur quelconque (intensité, tension,…), on ne peut jamais
obtenir une valeur exacte.
On appelle erreur la différence entre la valeur mesurée et la valeur exacte. Mais comme on
ignore la valeur exacte, on ne peut pas connaitre l’erreur commise. Le résultat est donc
toujours incertain on parle, alors, d’incertitudes de mesure.
Les trois causes d’incertitudes sont :
- L’imperfection de l’appareil de mesure
- Le défaut de la méthode
- Les limites de l’homme (lecture des appareils analogiques)
5.1. Incertitude absolue

L’erreur absolue (notée ∆X) est la différence entre la valeur mesurée X m et sa valeur exacte
X e . En effet, l’incertitude ∆X a une limite supérieure raisonnable de l’erreur telle que l’on
puisse affirmer : X m - ∆X< X e < X m +∆X.

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En l’absence d’indication explicite, l’incertitude absolue d’un résultat est égale à une demi-
unité du dernier chiffre exprimé.
L’erreur peut être exprimée de manière décimale, en pourcentage, en ppm (part par million)
ou en puissance de 10.
5.2. Incertitude relative

L’erreur relative notée  r est un coefficient qui exprime en % la précision d’une mesure. Elle
représente le rapport de l’erreur absolue à la valeur réelle de la grandeur X m de mesure. Elle
X
égale à :  r = , si  r = 0.02, on dira que la précision est de 2%.
Xm

6. Estimation des incertitudes de mesure

La mesure d’une grandeur G peut être directe ou indirecte.

6.1. Méthode de l’évaluation directe

On détermine la valeur de la grandeur mesurée directement de l’appareil de mesure qui doit


être gradué correctement. Cette méthode de mesure est peu précise.

Exemple : un courant I est mesure par un ampèremètre

La résistance est mesure par un ohmmètre

6.2. Méthode de l’évaluation indirecte

Les dérivations de plusieurs appareils de mesures permettent de détermine la valeur inconnue.


En effet, on mesure les grandeurs inconnues par l’application de certaines lois physiques.
Ainsi, on détermine la valeur d’une résistance par la mesure de la tension et le courant qui le
traverse (application de la loi d’ohm).

7. Classifications des erreurs


Lors d’une opération de mesurage, on a besoin de connaître les sources d’erreurs et leurs
propagations afin de connaître et d’identifier le résultat de mesure avec son incertitude. Les
erreurs qui accompagnent une opération de mesurage sont de trois types : erreurs
systématiques, aléatoires et accidentelles.
7.1. Erreurs systématiques
Elles affectent une mesure toujours dans le même sens et de la même qualité. Ces erreurs sont
dues à la méthode utilisée, à un réglage imparfait (faux zéro d’un appareil de mesure), erreurs
de parallaxe dans la lecture (cas IM analogique), défaut d’étalonnage, vieillissement de
l’appareil de mesure ……
➢ Ces erreurs sont constantes et elles peuvent être corrigées.

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7.2. Erreurs aléatoires (fortuites)


Si on veut mesurer une grandeur électrique avec une certaine précision, on doit tenir compte
de l’influence possible d’agents extérieurs sur le dispositif utilisé. Ces erreurs n’obéissent à
aucune loi. Elles sont purement aléatoires. Elles peuvent fausser complètement la mesure
donc on s’efforce de les éliminer partiellement en faisant la moyenne des résultats observés
ou bien atténués leurs effets.
Elles résultent de la classe de précision de l’appareil et du matériel de mesure, dues aussi aux
capacités parasites, erreurs dues aux conditions atmosphériques (température pression,
hygrométrie, …)

➢ Ces erreurs peuvent être estimé mais non éliminée.

7.3. Erreurs accidentelles


Ces erreurs n’arrivent pas souvent, elles sont dues à : mauvais contact, erreur due à un
composant, manque d’habilité de l’opérateur.
7.4. Justesse, fidélité et précision

❖ La fidélité (Précision) d’un instrument de mesure est son aptitude à donner des indications
très voisines lors de l’application répétée du même mesurande dans les mêmes conditions.
Un instrument fidèle donne des erreurs aléatoires faibles.
❖ La justesse (Trueness) d’un instrument de mesure est son aptitude à donner des indications
exemptes d’erreur systématique. L’estimation de l’erreur systématique est appelée biais de
mesure ou erreur de justesse.
❖ L’exactitude (Accuracy) : qualité d’un appareil qui est à la fois juste et fidèle donc exact,

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8. Evaluation des incertitudes


8.1. Identification des sources d’erreurs
Pour évaluer les sources d’erreurs, nous pouvons utiliser comme outil le diagramme de cause-
effet ou diagramme d’Ishikawa associé à la méthode des 5 M.
La méthode des « 5 M » permet de ne rien oublier lors de l’inventaire.
- MOYEN : matériel utilisé (verrerie, appareils de mesure, instruments….) ainsi que les
substances chimiques et les réactifs utilisés.
- METHODE : toutes les étapes de l’analyse (prélèvement, pesée, mise en solution,
dilution,…..).
- MATIERE : produit biologique (plasma, urine,…), produit alimentaire (eau, lait,
bière,…..), …. Pouvant contenir des substances responsables d’interférences lors de la
mesure.
- MILIEU : conditions environnementales (température, pression, hygrométrie,….).
- MAIN D’ŒUVRE : opérateur (technicien, élève, ….) effectuant la mesure

Exemple : Utilisation d’une pipette jaugée à deux traits pour prélever une solution

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8.2. Evaluation de l’incertitude de type A (incertitude de répétabilité)


Un même opérateur effectue n mesures du même mesurande m dans les mêmes conditions. Si
les valeurs mesurées sont différentes, alors il y a une erreur de répétabilité dont l’origine est
souvent inconnue. D’une mesure à l’autre, cette erreur peut prendre une valeur différente :
l’erreur de répétabilité est une erreur aléatoire. Elle est évaluée par une méthode statistique.
La meilleure estimation du résultat de la mesure est donnée par la moyenne arithmétique :
1 n
mmoy = m =  mk
n k =1

 (mk − m )
n
2

On détermine l’écart-type :  A = k =1 si n  30
n −1

 (mk − m )
n
2

Ou A = k =1 si n  30
n

On détermine l’incertitude type de répétabilité u A (m) du mesurande m à l’aide de la


relation suivante :

u A ( m) = A
n
Comme le nombre de mesures est limité, on introduit le facteur d’élargissement k (ou
coefficient de Student t (n;x%)) qui dépend du nombre de mesures n et de l’intervalle de
confiance (x%) choisi.
L’incertitude élargie sur le mesurande se calcule avec la relation :

U A (m) = k  u A (m) = t (n, x%)  u A (m)

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8.3. Evaluation de l’incertitude de type B


L’évaluation de l’incertitude de type B est effectuée par des moyens autres que l’analyse
statistique de série d’observations. Elle est basée sur la connaissance de la loi de probabilité
suivie par le mesurande.
On applique les normes de l’AFNOR (association française des normes) pour la propagation
des erreurs. y = f ( x1, x2 , x3 ,..........., xi )
Les xi : indépendant (non corrélé) alors l’incertitude se calcul comme suit :
n  2
f 
u B ( m) =   x xi2
k =1 i 
L’incertitude élargie U(m) est donnée par la relation :
U B (m) = k × u B (m)
Dans la majorité des cas, lorsqu’on a une estimation de type B, on peut montrer que le
coefficient d’élargissement k à retenir :
✓ pour un niveau de confiance de 68 % est k = 1
✓ pour un niveau de confiance de 95 % est k = 2
✓ pour un niveau de confiance de 99 %, k = 3.

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8.4. Combinaison des erreurs


L’incertitude composée permet de tenir compte à la fois des incertitudes de type A et de type
B qui impactent la valeur obtenue du mesurande.

La formule est : U (m) = U A2 (m) + U B2 (m)


8.5. Expression d’un résultat de mesure

Dans un résultat de mesure, on doit trouver la valeur adoptée et son incertitude absolue ou
relative. On a trois façons d’écriture du résultat :
 X adoptée = X m  X unité
 X adoptée = X m  unité   r %
 X adoptée = X m − X  X  X m + X  unité
9. Régression linéaire

9.1. Position du problème

Lorsqu’on fait des mesures ; on a souvent une relation entre deux paramètres ou plus.
Par exemple, d’après la loi d’ohm, on peut conclure qu’il ya une relation entre la tension aux

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bornes d’une résistance R et le courant qui la traverse. Il arrive souvent qu’on effectue des
mesures mais on n’est pas sure qu’il ya une relation entre l’entrée et la sortie du système.
La détermination de cette relation fait recours à une méthode analytique permettant de
décrire aux mieux la relation existante entre variables de mesure. Cette méthode est celle des
moindres carrés (ou méthode de régression linéaire).

On considère un nuage de points de mesure ( xi , yi ) que l’on désire ajuster aux mieux
par une fonction mathématique f donnée. On cherche les paramètres de la fonction (affine,
polynôme,…..) minimisant la sommes des carrés des distances entre yi et f ( xi ) telle que :

 ei2 =  yi − f ( xi )
2
soit minimale.

On suppose que la relation existante entre x et y est une droite affine de la forme :
y = mx + b ; les valeurs des coefficients m ( représentant la pente de la droite) et b (l’ordonnée
à l’origine) sont finalement données par :

Figure 1. Le point G fait partie de la droite d’ajustement

m=
 xi yi − nxy Ou encore b=
 y i − m x i = y − mx
 xi2 − nx 2 n

9.2. Coefficient de corrélation

La dispersion des points autour de la droite y = mx + b est caractérisée par le


coefficient de corrélation (noté : r ). En effet, ce dernier donne la corrélation entre grandeurs

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de mesures entrée et sortie d’un système de mesure. Le coefficient de corrélation est donné
par l’expression suivante :

n xi yi −  xi  yi
r=
(n xi2 − ( xi ) )  (n yi2 − ( yi ) )
2 2

La valeur de r est comprise entre : − 1  r  1

▪ r = +1 si tous les points sont parfaitement alignés selon une droite de pente positive
▪ r = -1 si tous les points sont parfaitement alignés selon une droite de pente négative
▪ r est d’autant plus proche de 0 que l’alignement est faible (virtuellement il n’ya pas
de corrélation entre les xi et yi )
9.3. Utilisation des moyens modernes pour la modélisation d’un système de mesure
La relation entrée sortie d’un système de mesure peut être approximée par une
fonction polynômiale de la forme :
y = a0 + a1x1 + a2 x22 + .......an xnn

x : grandeur d’entrée et y : grandeur de sortie


Nous pouvons utiliser le logiciel Matlab qui est un environnement puissant, complet et
facile à utiliser pour le calcul scientifique. Matlab dispose de plusieurs centaines de fonctions
mathématiques, scientifiques et techniques.

La commande polyfit de Matlab permet de déterminer les coefficients ai du


polynôme Pi . En effet, il suffit d’écrire p=polyfit(x, y, n) ; avec x vecteur contenant
l’ensemble des valeurs xi , y vecteur contenant l’ensemble des valeurs yi et n l’ordre du
polynôme choisi.

Afin d’en déduire la fonction approximant au mieux les grandeurs de mesure entre les
xi et les yi il suffit de faire appel à la fonction polyval (p,x). Cette fonction retourne la
valeur de P à tous les composants du vecteur x ou de la matrice x .

10. Caractéristiques d’un instrument de mesure

10.1. Calibre de mesure

On appelle calibre la plus forte valeur que peut mesurer un instrument de mesure. Tous
les appareils modernes de mesure sont multi calibres. On change de calibre en tournant un
communicateur ou déplaçant une fiche. Pour éviter de détériorer un instrument de mesure, on
a intérêt à le brancher sur le plus fort calibre. Il ne faut pas oublier de le baisser, si nécessaire,
pour obtenir un affichage suffisamment précis. Le bon calibre est le plus petit calibre possible,
c’est-à-dire celui qui est immédiatement supérieur à la grandeur mesurée.

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10.2. Gamme de mesure – Etendue de mesure

La gamme de mesure, c'est l'ensemble des valeurs du mesurande pour lesquelles un


instrument de mesure est supposé fournir une mesure correcte. L'étendue de mesure
correspond à la différence entre la valeur maximale et la valeur minimale de la gamme de
mesure. Pour les appareils à gamme de mesure réglable, la valeur maximale de l'étendue de
mesure est appelée pleine échelle.

Figure 2. Etendu de mesure d’un IM

10.3. Classe de précision

La classe d'un appareil de mesure correspond à la valeur en % du rapport entre la plus


grande erreur possible sur l'étendue de mesure.
la plus grande erreur possible
classe = 100 
Etendue de mesure
La commission électrotechnique internationale donne les indices de classes suivants : 0.001 ;
0,002 ; 0,005 ; 0,01 ; 0,02 ; 0,05 ; 0,1 ; 0,2 ; 0,5 ; 1 ; 1,5 ; 2 ; 2,5 et 4.
L’incertitude absolue de la classe est :
classe  calibre
xclasse =
100
10.4. Courbe d’étalonnage

Elle est propre à chaque appareil. Elle permet de transformer la mesure brute en
mesure corrigée. Elle est obtenue en soumettant l'instrument à une valeur vraie de la grandeur
à mesurer, fournie par un appareil étalon, et en lisant avec précision la mesure brute qu'il
donne.

10.5. Sensibilité

Connaissant la courbe d’étalonnage, on peut définir la sensibilité de l’instrument au voisinage


y
d’une valeur d’entrée x par la relation suivante : s =
x

10.6. Fidélité, Justesse, Précision

La fidélité est la qualité d'un appareillage de mesure dont les erreurs sont faibles (Fig. 3).
L'écart-type est souvent considéré comme l'erreur de fidélité. Un instrument est d'autant plus
fidèle que son écart type est faible.
Un instrument est d'autant plus juste que la valeur moyenne est proche de la valeur vraie (Fig.
4).
Un appareil précis est à la fois fidèle et juste (Fig. 5).

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Figure.3 : Appareil fidèle Figure.4 : Appareil juste Figure.5 : Appareil précis

10.7. Linéarité
Qualité d’un appareil dont l’indication varie proportionnellement à la grandeur à mesurer.

10.8. Résolution
C’est la plus petite différence de valeur qu’un appareil peut distinguer.
Lorsque l'appareil de mesure est un appareil numérique, on définit la résolution par la formule
suivante :
Etendue de mesure
Résolution =
Nombre de po int s de mesure
10.9. Rapidité et temps de réponse
C'est l'aptitude d'un instrument à suivre les variations de la grandeur à mesurer. Dans le cas d'un
échelon de la grandeur entrainant la croissance de la mesure on définit le temps de réponse à
 10%, c'est le temps nécessaire pour que la mesure croisse, à partir de sa valeur initiale jusqu'à
rester entre 90% et 110% de sa variation totale.

Figure.6 : Réponse indicielle


10.10. Bande passante ou réponse en fréquence
Ce problème est retrouvé dans tous les appareils de mesure tant analogiques que numériques.
En effet, tous les appareils ont une plage de fonctionnement en fréquence bien définie. Cela
dépend du mode de fonctionnement de l’appareil.

Figure.7 : Réponse en fréquence

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