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À l'origine, 

la résilience est un terme de physique qui définit la capacité de résistance d'un corps ou d'un
matériau à un choc ou à une déformation (youmatter Definitions, 2019)

Nous allons nous intéresser dans un premier temps à l’étymologie du terme de la « résilience » et enchainés par les
différentes communautés qui se sont penchées progressivement sur cette notion.

Dans le domaine de la psychologie elle correspond à l’aptitude à affronter les épreuves, à trouver des ressources
intérieures et des appuis extérieurs, à mettre en œuvre des mécanismes psychiques permettant de surmonter les
traumatismes. Selon (Académie française, 2021)

Le mot résilience vient de l’anglais « resilience » issu lui-même du latin « resiliens » et qui a pour signification : saut
ou mouvement vers l’arrière, se retirer, ou encore se libérer. Parallèlement à cette définition française, la langue
anglaise à ajouter la notion de « rebond » et qui donne une dimension nouvelle a ce terme, celle de reculer pour
mieux sauter. La notion de résilience n’est pas un concept nouveau. Par exemple, en physique elle désigne la
capacité qu’un matériau puise retrouver sa forme initiale directement après une collision ou un choc. “Un matériau
résilient (ou ductile) peut se plier lorsqu’une force est appliquée et revenir à son état d'origine une fois cette force
supprimée (Jobin, 2020).

Du côté de la médecine traditionnelle chinoise, elle renvoie à la régénération des cellules de l’être vivant après être
grièvement blessé. En psychologie, la résilience est la capacité d’une personne à faire face aux traumatismes et aux
chocs émotionnels, de rebondir et d’apprendre de ses expériences, aussi mauvaises et malheureuses soient-elles .
(Cyrulnik, Jorland, & Masson, 2012) ont publié, dans ce sens, de nombreux ouvrages et études sur la notion de
résilience, selon eux, elle peut être définie comme une force intrinsèque d’une personne lui permettant de
surmonter sa souffrance, physique et/ou morale, d’apprendre de ses échecs et d’en tirer une bonne leçon le
rendant plus fort. Dans la même vision des choses, (Marie-Josée & Dubard Barbosa, 2016) nous indiquent que la
résilience s’inscrit dans un processus de restructuration de soi, d’identification et de remise en question des
pensées inadaptées, voire de prendre une revanche contre les mauvais coups de la vie, ce qu’elle définit comme
résilience entrepreneuriale. D’un autre côté, celui des sciences de gestion, la notion de résilience est apparue dans
le cadre des recherches sur la gestion des crises des organisations. Dans la littérature, il existe une multitude de
définitions théoriques de la résilience organisationnelle, Selon (Pinel, 2010), Celle-ci peut être exprimée par la
capacité d’une entreprise à anticiper, résister et s’adapter a une perturbation et de s’en rétablir directement après
en retrouvant le plus possible l’état d’origine. Il affirme par la même occasion, que cette notion d’anticipation
s’inscrit uniquement dans le concept de la résilience organisationnelle. À partir de cette définition, nous pouvons
faire ressortir les points suivants qui paraissent importants et essentiels et qui peuvent être exprimés comme suite :
la connaissance de l’environnement, le degré de préparation, devancer les perturbations, la capacité de
déploiement des ressources, le niveau d’adaptation, d’appropriation et de rétablissement.

D’autres auteurs proposent des définitions différentes, (Haimes, 2009) par exemple définit la résilience comme la
capacité d’un système à se rétablir à la suite d’une urgence. Quant a (Lengnick-Hall, 2011), le concept de résilience
organisationnelle se défini comme l’aptitude d’une entreprise à absorber, rebondir et à capitaliser sur des
perturbations causées par son environnement.

Selon Pinel, L’acception retenue de la résilience organisationnelle est : « la capacité d’un système à maintenir ou à
rétablir un niveau de fonctionnement acceptable malgré des perturbations ou des défaillances » (Pinel, 2010) Cette
définition rassemble l’ensemble des travaux et visions autour d’un même concept.
Dans la dimension de la résilience organisationnelle, D’après (Bégin & Chabaud, 2010), la résilience organisationnelle
au sein des entreprises est caractérisée selon 03 aspects :

- Elles sont pragmatiques : avec une posture simple et réaliste et font face aux difficultés rencontrées sans
l’expression d’un optimisme démesuré
- Elles détiennent un solide système de valeurs partagées : chose qui donne du sens aux multiples difficultés et
challenges rencontrés sur leurs chemins Revue Internationale du Chercheur Février 2022 Volume 3 : Numéro 1
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- Elles regorgent d’ingéniosité : dans le sens où elles tirent le meilleur de leurs ressources afin de mettre en place
des stratégies pour contrecarrer et faire face aux situations inhabituelles.

Selon (Hamel & Valikangas, 2004) quatre défis attendent les entreprises résilientes, à savoir :

- Un défi cognitif : elles doivent être conscientes que les changements vont affecter et perturber l’organisation…
avoir une vision réaliste.
- Un défi stratégique : dans le sens où elles doivent détenir une certaine capacité d’innovation lui permettant
d’imaginer de nouvelles stratégies face à la stratégie déclinante.
- Un défi politique : qui demande, d’une part, à supporter les activités prometteuses pour le futur en lui allouant
continuellement des ressources dans le but de se redresser, et d’une autre part, à délaisser les produits et
programmes du passé et qui étaient non concluant.
- Un défi idéologique : avoir une vision proactive anticipative et toujours orientée dans la recherche soutenue de
nouvelles opportunités.

Nous pouvons comprendre que la résilience combine deux approches complémentaires, la première est défensive
(se tenir, en aval, aux mesures barrières et gestes préventifs afin de faire face au choc lorsqu’il se produira), la
deuxième est proactive, être dans une optique de recherches continues de nouvelles solutions (Benyacoub,
Abdellah, & A., 2021) (Barton, Christianson, Myers, & Sutcliffe, 2020) ajoutent que l’entreprise doit apprendre de
ses erreurs ainsi que toutes les crises passées, faire une sorte d’auto critique afin de détecter les faiblesses et les
renforcer par la suite.

Les auteurs (Weick & Sutcliffe, 2011) ont présenté un résumé regroupant toutes les notions qu’on a vu tout au long
de ce travail, ils définissent la résilience organisationnelle comme l’imbrication de 3 dimensions fortement
corrélées dont Une capacité d’absorption : Donnant à l’entreprise la possibilité de résister au choc ou tout imprévus
possible et lui permettant de se relever directement après et rebondir, selon (Välikangas & Romme, 2013),
l’entreprise devrait, d’une part, allouer des ressources mobilisables et disponible sous forme d’un excédent
organisationnel, appelé communément en anglais « organizational slack », ce Revue Internationale du Chercheur
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est défini comme la différence entre les ressources suffisantes pour avoir un résultat et les coûts additionnels pour
préserver et maintenir cette coalition. D’une autre part, l’entreprise peut mobiliser des ressources en se référant à
son environnement externe à travers des prêts et soutiens d’organismes financiers. (Lengnick-Hall, 2011) Une
capacité d’appropriation : Lui permettant de sortir grandie de ses expériences et d’en tirer des leçons, cette prise
de conscience, aussi sage soit elle, permettra à l’entreprise d’être mieux outiller pour faire face aux crises avenirs.
(Bégin & Chabaud, 2010) Malheureusement, cette capacité d’appropriation reste très délicate à observer, elle
demande un certain recul, une grande prise de distance et d’une méthodologie infaillible. Autant d’éléments
considérés comme un luxe que les dirigeants s’offrent rarement. La variable du temps reste un élément central
dans cette dimension surtout quand les décideurs font face à des imprévus perturbateurs et doivent donner des
décisions dans l’urgence ! (Weick & Sutcliffe, 2011) La capacité d’appropriation des expériences passées, aussi
douloureuses soient-elles dans la mémoire organisationnelle, accroît la capacité de résilience de l’entreprise.

Cependant, définissons les sens du concept « Institution bancaire » définie différemment selon les auteurs, dont
nous prenons en considération quelques-unes des définitions pouvant faciliter la compréhension du concept.

Une Institution bancaire  est Établissement financier qui, recevant des fonds du public, les emploie pour effectuer
des opérations de crédit et des opérations financières, et est chargé de l'offre et de la gestion des moyens de
paiement. (dictionaire la rousse)

Une institution bancaire (également appelée banque universelle ou commerciale) peut être aussi bien un grand
établissement financier jouissant d’une présence et d’une notoriété internationales qu’un petit établissement local.
(international finance corporation). Selon le Robert une institution bancaire est un lieu où s’exerce le commerce de
l'argent et des titres, effets de commerce et valeurs de Bourse (Dictionnaire Le Robert, 2021).

Louis F. et Norbert H. 1989 ; définissent la banque comme « une institution financière qui fait le commerce des
capitaux .C'est elle qui fait fructifier l'argent des capitalistes toute en leur évitant les différentes charges de gestion
d'une fortune C'est elle aussi sous diverses formes, avec ou sans garanties apporte l'aide de ses capitaux ou de son
crédit au commerçant et ou aux industriels qui peuvent ainsi donner de l'extension à leurs affaires à traverser parfois
les périodes critiques (Louis & Norbert, 1989). DUPOY C.; Quand à lui dit que les banques sont des entreprises et
établissements qui font profession habituelle de recevoir du public, sous forme de dépôt et ou autrement des fonds
qu'ils emploient pour leurs propres comptes en opérations d'escompte, en opérations de crédits ou en opération
financières (DUPOY, 1981).

Toutes ces définitions tournent de même thème notamment la perception des fonds du public  ; les crédits ; les
finance ; la monnaie ; etc.

Quant à la Maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) est un nouveau virus de la même famille que d’autres virus tels
que le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et certains types de rhumes courants qui se transmet par contact
direct avec les gouttelettes respiratoires produites par une personne infectée (lorsqu’elle tousse ou éternue) et au
contact de surfaces contaminées par le virus. Le virus du COVID-19 peut survivre sur les surfaces pendant plusieurs
heures, mais de simples désinfectants peuvent le tuer. (Unicef Afrique, 2020).

Quant à Futura science la définit comme celle qui fait référence à « Coronavirus Disease 2019 », la maladie
provoquée par un virus de la famille des Coronaviridae, le SARS-CoV-2.1 Le Sars-CoV-2 est le nom officiel du
nouveau coronavirus identifié le 9 janvier 2020 dans la ville de Wuhan, chef-lieu de la province du Hubei en Chine.
D'abord appelé coronavirus de Wuhan ou 2019-nCoV, le nom a été proposé par  International Committee on
Taxonomie of Viruses, l'organisme en charge de la classification des virus (futura sciences, 2020)

Sur le plan international la Covid-19 a provoqué une profonde onde de choc qui secoue l’économie mondiale. De
grandes incertitudes subsistent quant à l’évolution de la pandémie, aux perspectives de reprise économique et aux
changements structurels qui en découleront à long terme - notamment en ce qui concerne la mondialisation du
commerce et des capitaux (Findev gateway, 2020).

1
SARS-CoV-2 : Maladie à corona virus 2019 (COVID-19) (OMS, 2020)
Le Sars-CoV-2 est le nom officiel du nouveau coronavirus identifié le 9 janvier 2020 dans la ville de Wuhan, en
Chine.
Les impacts sur le secteur bancaire sont doubles : en premier lieu, les banques sont des entreprises classiques.
Comme les autres entreprises, elles ont dû s’adapter notamment aux contraintes sanitaires qui ont eu pour effet
de transformer profondément la manière dont elles géraient habituellement leurs activités, avec un
développement très fort du télétravail. Les établissements bancaires ont néanmoins bénéficié d’un avantage par
rapport aux entreprises des autres secteurs car la réglementation bancaire leur impose depuis plusieurs années
de disposer de dispositifs et de processus opérationnels leur permettant d’assurer la continuité de l’exploitation
(Predictice, 2021).

En Afrique ,La pandémie a déjà entraîné une nette dégradation des perspectives économiques du continent, la
croissance devant tomber à -1,6 % et le taux réel par habitant baisser de 3,9 %, faisant de 2020 la pire année depuis
1970, année où l’on a commencé à enregistrer  la croissance économique sur le continent (making finance work 4
africa, 2020).

Pandémie de Covid-19, inflation, crise énergétique, dette… Si le secteur bancaire africain a jusqu’à présent fait
preuve de résilience face à ces soubresauts successifs, son horizon reste plus que jamais incertain. Il est en effet
confronté à une multitude de risques : défaut de paiement, baisse de la rentabilité… Le tout alors que l’industrie se
reconfigure autour des Fintechs2, qui émergent peu à peu comme des acteurs clés de l’inclusion financière sur le
continent (Jeune Afrique, 2022).

Le secteur bancaire, comme les autres secteurs économiques, a été négativement impacté par la pandémie de Covid-19 en
République Démocratique du Congo (zoom eco, 2021).

Une étude du cabinet Déloitte a épinglé 10 impacts de cette pandémie dans le secteur bancaire situés à quatre
niveaux dont : revenus et coûts; crédits ; solvabilité et liquidité.

Primo, impacts sur le plan de revenus et coûts Ici, l’étude de Deloitte révèle trois impacts majeurs. Il s’agit
notamment de:
 Baisse des commissions reçues. Une situation due à la réduction des dépenses de consommation de la
population.
 Chute des revenus d’intérêt. Cela s’explique par la baisse du niveau de production, de la réduction des
transactions, de la hausse du coût des ressources.
 Appréciation du coefficient d’exploitation bancaire dans un contexte ponctué par des mesures de
réduction des heures de travail. Ce qui a entraîné un léger recul de certaines charges fixes et une baisse
des charges variables, malgré la baisse du Produit Net Bancaire.
Secundo, impact sur le plan de crédits
Ici, l’étude énumère quatre impacts. Il s’agit de:

 l’assouplissement réglementaire dont le report du relèvement du niveau du capital minimum des banques
commerciales (USD 50 millions) au 1er janvier 2021 et la possibilité de restructuration et de
rééchelonnement illimitée.
 Stagnation du tirage sur les lignes de crédit et de découvert, les activités étant en baisse;
 Augmentation du portefeuille à risque;
 Augmentation du nombre de crédits restructurés.
Tertio, impacts sur le plan de solvabilité
L’étude a noté deux impacts à savoir:

2
Les Fintechs sont généralement des startups, c'est-à-dire de jeunes entreprises, anticipant une forte
croissance et fondant leur activité sur une innovation.
 la dégradation de la solvabilité des banques due à l’augmentation du risque de crédits (risques bancaires
pondérés)
 le réajustement des provisions sur les pertes de crédits attendues «ECL», pour les établissements
appartenant à des groupes et assujettis à IFRS 9, du fait notamment de la baisse des prévisions
économiques sur certains secteurs.
Quarto, impacts sur le plan de liquidité
Il s’agit de l’augmentation de la liquidité des banques en raison d’une situation économique, sociale et
sanitaire incertaine stimulant l’épargne de précaution. (cabinet deloitte, 2021)

Il est important de donner une place à place nos hypothèses pouvant nous permettre de continuer avec notre travail
scientifique. Partant de la problématique de notre recherche nous pensons que :

a) La covid-19 aurait peut-être des répercussions négatives sur l’activité bancaire de la ville de Bukavu et
que Les régulateurs ont immédiatement pris des mesures pour assurer la stabilité financière face à la
crise, afin de réduire les risques de défaillance systémique des systèmes bancaires. 3
b)

3
Les régulateurs ont immédiatement pris des mesures pour assurer la stabilité financière face à la crise de
Covid-19, ce qui devrait réduire les risques de défaillance systémique des systèmes bancaires (making finance
work 4 africa, 2020).
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