BASE ECOLES DES FORCES ROYALES AIR

ECOLE TECHNIQUE

ACCESSOIRES

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 LES TUYAUTERIES RIGIDES

1- Généralités
Dans les différents circuits d'un avion, les fluides utilisés sont drainés dans des tuyauteries le plus
souvent rigides.

A la livraison et avant formage, inspecter la tuyauterie afin de détecter les rayures, défauts et
criques.

De plus, lors du stockage les tuyauteries devront être protégées.

2- matériaux employés
 Alliages d'aluminium :

Elles sont montées sur des circuits à basses ou moyennes pressions (circuit anémométrique,
dégivrage).

 Acier inoxydable :

Elles sont montées sur des circuits à hautes pressions ou dans des zones exposées à la chaleur
(réacteurs).

 Alliage de Titane : Le tube de titane présente l’avantage d’une résistance supérieure à

l’acier.
 3- identification des matériaux
Les couleurs codifiées des bandes utilisées pour l’identification des tubes en alliage
d’aluminium.

4- désignation de la dimension
Les dimensions des tuyauteries rigides sont données en diamètre extérieur, mesuré en seizième
de pouce. Ainsi un tube numéro 6 à un diamètre extérieur de 6/16 de pouce (10 mm).

Il est donc important, lorsque l’on installe des tuyauteries de connaitre non seulement le matériau
et le diamètre extérieur mais également l’épaisseur de la paroi.
 LES TUYAUTERIES SOUPLES
1- Généralités

Les tuyauteries souples sont utilisées, dans les canalisations aéronefs, pour relier des pièces
mobiles à des pièces fixes tels que les trains, les vérins, les freins etc....

2 Composition
 tube interne étanche
 renforts externes (tresse coton ou d’acier)
 Des embouts vissés ou sertis permettant la connexion aux équipements

3. Désignation de la dimension
La dimension d’une tuyauterie souple est définie par son diamètre interne.les dimensions
sont données en seizièmes de pouce.

4. Identification des tuyauteries

Les marques d’identification sont constituées de traits, lettres et chiffres, imprimés sur la
tuyauterie. Ces marques codifiées indiquent des informations telles que la dimension du tuyau,
son fabricant, les limites de pression et de température. Elles permettent de remplacer facilement
un conduit par un autre de même spécification.

5. Marquage
Chaque tuyauterie équipée portera une plaquette où seront inscrits les renseignements suivants :
 la lettre F (fabrication)
 la date de l'assemblage (mois et 2 derniers chiffres de l'année)
 la date de vulcanisation (trimestre et dernier chiffre de l'année)
 code couleur
 la référence complète de la tuyauterie
 RACCORDS DES TUYAUTERIES
1. Généralités
Les raccords ou connecteurs de tuyauteries, relient un élément de tuyauterie à un autre. Il en
existe différents types. La pression, la température et la nature du fluide du circuit décide en
général le choix du raccord.

2-Raccord type : AN
Un raccord pour tube évasé consiste en une manchette et un écrou.
L’écrou enserre la manchette qui tire l’évasement du tube pour l’appuyé fermement contre un
raccord mâle, formant ainsi un joint étanche. Le tube utilisé avec ce type de raccord doit être
évasé avant sa pose.

3- Raccord type ERMETO :

Il réalise une connexion étanche des tubes et des composants dans les systèmes hydrauliques.
L’étanchéité est assurée par la déformation d'une bague de pénétration .

Avantage :
 Etanchéité maintenue sous les vibrations (réacteurs).
 Facilité de montage.
4- RACCORD « HARRISSON ».
Ils sont réservés pour les tuyauteries à parois plus minces, mais plus résistantes
L'étanchéité est assurée par un « dudgeonnage » effectué à l’intérieur de la tuyauterie.
Un élément expansible qui a pour effet de déformer le tube qui est alors plaqué contre la surface
intérieure de la bague pour que deux bourrelets se forment.
5- RACCORD « MS ».
La fixation de la bague d’étanchéité est réalisée par un sertissage qui consiste à ancrer la bague
sur le tube par serrage.

6-. Raccord type NAS :

Le principe d'étanchéité est identique à celui des raccords AN. C'est un raccord américain
(National Aircraft Standard) que l'on trouve sur le circuit dégivrage de capot entrée air réacteur,
par exemple.
Mode d'étanchéité : On interpose entre les deux épanouis des tuyauteries un joint métallique
bicône appelé souvent "olive".

7- Raccord type AGS :

C'est un raccord anglais utilisé sur le circuit pneumatique. Le mode d'étanchéité est pratiquement
identique au type NAS. La différence réside dans la forme du joint métallique bicône et dans les
angles de cônes (32°3').
 LES RESSORTS

1. Définition
Un ressort est un système dont la fonction est de se déformer sous l'action d'une force puis de
restituer l'énergie emmagasinée à la reprise de sa forme initiale.
Un ressort n'est pas un organe standard, il doit être adapté à la fonction qu'il doit remplir.

2. Types de ressorts
La classification des ressorts est basée à la fois sur la forme du ressort et sur sa fonction.

3-Caractéristiques et applications

3. 1 Ressorts de compression

 Les spires deviennent jointives, en contact les unes avec les autres, en cas de surcharge le
ressort réagit comme une pièce solide, ce qui le protège de la rupture.
 Les spires du ressort conique se plient les unes dans les autres lorsque le ressort est
complètement compressé.
 Les rondelles Ressort : tension élevée mais un espace limité.

Généralement un moyen de centrage constitué par un noyau qui s'engage à l'intérieur du ressort,
soit par un rebord qui entoure le ressort.

3- 2 Ressorts de traction

Les moyens de liaison pour les ressorts de traction sont appelés attaches. Les forces sont
appliquées au ressort de traction :
 soit par des anneaux, boucles ou crochets formés dans le fil même du ressort pour
les formes les plus courantes,
 soit par des accessoires assemblés au ressort.
.3. 3 Ressorts de torsion
Les ressorts de torsion remplissent des rôles similaires à ceux que remplissent les ressorts de
tension et de compression ; cependant, la déformation du ressort est mesurée par un angle .

4. Matériaux des ressorts

On distingue deux catégories de matériaux utilisés dans la conception des ressorts :
 les ressorts métalliques qui ont un module d’élasticité élevé,
 les ressorts en caoutchouc qui ont un faible module d’élasticité.

matériaux observations
Aciers au chrome - Résistant à la fatigue, supportent des contraintes et des chocs plus
vanadium élevés
Largement utilisé pour fabriquer les ressorts de soupapes de moteurs
d’avion et qui convient aux hautes températures jusqu’à 220 °C.
Aciers au chrome - Résistant à la fatigue, et aux chocs plus élevés. Il peut être utilisé
silicium jusqu’à des températures de 250°C.
Aciers inox Résistant à la corrosion et aux températures élevées (350°C).
 LES ROULEMENTS

1. Généralités
Le roulement est un organe mécanique destiné à permettre la transmission des efforts entre deux
pièces en rotation, l'une par rapport à l'autre avec un frottement minima.
Avantage :
 grande vitesse de rotation
 sécurité de fonctionnement, précision et rigidité

2. Constitution
Les roulements sont formés par :
 Une bague intérieure (solidaire de l'arbre après le montage),
 Une bague extérieure (solidaire de l'alésage après le montage).
 Des éléments roulants se présentant sous forme de billes, rouleaux (cylindriques,
coniques…) ou aiguilles

3. Les charges supportées par les roulements

3.1. Charge radiale (Fr)

Sa direction, perpendiculaire à l’axe de rotation, passe par le centre du roulement.

3.2. Charge axiale (Fa)

Sa direction est celle de l’axe de rotation du roulement.

Charges supportées par un roulement

. 4. Matériaux
Les billes et les surfaces de contact seront en matériaux très durs, la lubrification sera nécessaire.
Il existe à l'heure actuelle des roulements en céramique pour des applications de guidage très
précis.

Matériaux éléments roulants Matériaux cages Matériaux d'étanchéité

Acier rapide trempé Acier à haute résistance Flasques en Téflon -
Acier de cémentation Résine phénolique Caoutchouc
Acier de nitruration profonde Composite
Acier inoxydable
Céramique

4. Types de roulements et leur application

Le choix du type de roulement dépend de la conception de l’ensemble mécanique, de
l’encombrement disponible, du type de charge et de la performance du roulement attendue.

4.1. Roulements rigides à une rangée de billes

Il a une bonne capacité à supporter les charges radiales et aussi les efforts axiaux dans les deux
sens. Il est utilisé dans tous les domaines de construction mécanique en général (volets, paliers
de réacteurs, transmissions d’hélicoptères, équipements de bord…).

4.2. Roulements à deux rangées de billes à contact oblique

Ces roulements nécessitent une bonne coaxialité entre l'arbre et le logement.
Ce type de roulement admet de fortes charges radiales et axiales dans les deux sens
On trouve ce type de roulement sur des pompes, réducteurs (roue et vis).
4-3Roulements à une rangée de billes à contact oblique
Ces roulements supportent des charges combinées à composante axiale prédominante à des
vitesses élevées. Les roulements standards ont un angle de contact d'environ 40°, alors que les
roulements de précision ont des angles de 15° ou 25°.

4.4. Roulements à rouleaux cylindriques

Ces roulements supportent des charges radiales très élevées et des vitesses assez grandes.
Utilisations principales : moteurs électriques, turbocompresseurs, ventilateurs, boîtes de vitesses,
etc.

4-5 Roulements à rouleaux coniques

Il s’agit de roulements adaptés aux fortes charges axiales et radiales, mais ils ne supportent pas
des vitesses de rotation élevées. Pour des charges axiales élevées, on prend un roulement avec
un angle de contact important pouvant varier de 10° à 30°.
4-6 Roulements à rotule
Ces roulements sont employés lorsqu'on prévoit un désalignement dû à la flexion de l'arbre ou à
un défaut de position. Ils sont disponibles avec alésage conique.

4-7 Roulements à aiguilles

Ce type de roulement supporte de fortes charges radiales, mais aucune charge axiale. De plus, il
exige un bon alignement. On les rencontre dans les paliers.
 Types de transmission et leurs applications
1- Généralités
Les transmissions mécaniques désignent les différents systèmes aptes à transporter entre deux
points d’éloignement variable une puissance, un ordre ; elles peuvent se présenter sous trois
aspects différents :
 Les transmissions souples (câbles, poulies et accessoires)
 Les transmissions flexibles (systèmes par rotation, par translation)
 Les transmissions rigides (billes, biellettes, chaines, engrenages, etc …)
2- Les transmissions rigides par translation

2-1 Les bielles (tringles)

Les bielles sont composées de tubes en alliage léger (corps de bielle) équipés aux extrémités
d’embouts de raccordement réglables ou non.elles permettent la transmission d’un mouvement
alternatif .

Exemple d’une bielle simple

Exemple d’une bielle réglable

A : corps de bielle B : chapes fixes et réglables

C : embouts à rotules fixes et réglables D : chapes doubles fixes et réglables
E : embouts à œil fixes F/G : écrous et freins
L1 : longueur du corps de bielle H : adaptateurs
2-2 Les guignols et Les relais

 Les guignols ou renvois permettent les changements de direction des transmissions par
bielles
 Les relais permettent de réaliser la liaison de deux bielles travaillant dans la même
direction.

Ils sont réalisés en alliage léger forgé ou matricé et sont articulés sur la structure par
l’intermédiaire de roulements à billes ou de rotules étanches et graissées à vie

Exemple de guignol (d’equerre et à balancier)

Exemple d’application de guignol/bielle/secteur sur une chaine de profondeur

3- Les transmissions rigides par rotation

3-1Les arbres de torsion

Ils sont constitués de tubes d’epaisseur et de diametre constant en alliage lèger ou parfois pour
les grandes longueurs en acier.
3-2 Les cardans

Les cardans permettent la liaison de deux arbres légèrement désalignés

Ils se composent d’une noix centrale ou croisillon relié à deux étriers aux extrémités des arbres à
relier. Ce type de système est en général très robuste et en nécessite lors des révisions qu’un
nettoyage suivi d’un graissage.

3-3 Les paliers et crapaudines

 Les paliers supportent les arbres horizontaux
 Les crapaudines supportent les arbres verticaux

Lorsque la rotation des arbres est de faible amplitude les constructeurs utilisent des paliers lisses
et des crapaudines à contact métal contre métal ou métal contre téflon

Dans le cas contraire, l’installation de roulements ou de butées étanches semble généralisée et de

ce fait, l’entretien se trouve extrêmement réduit.
 Engrenages

1- Généralités
Un engrenage est un mécanisme composé de deux roues dentées (la plus petite est appelée
pignon) servant à la transmission d’un mouvement de rotation.

2- Les différents types d’engrenages

2-1 Engrenages cylindriques à denture droite

 Les plus courants ;
 Les plus économiques ;
 Pas d’effort axial ;
 Son principal défaut est d’être bruyant.

2-2. Engrenages cylindriques à denture hélicoïdale

 Contact progressif donc moins de bruit ;
 Présence d’un effort axial.

2-3. Engrenages à axes concourants à denture droite ou hélicoïdale

(engrenages coniques)

 Nécessite un réglage (coïncidences des sommets des cônes primitifs)

 Axes non parallèles
 Denture droite ou hélicoïdale
2-4 Engrenages cylindriques à contact intérieur
Les deux roues (pignon et couronne) ont même sens de rotation.

2-5 Pignon crémaillère

Transformer un mouvement de rotation en mouvement de translation et réciproquement .

2-6 Roue et vis sans fin

nombre de dents de la roue
 Grand rapport de réduction (R = )
nombre de filets de la vis
 Irréversibilité possible
 Axes perpendiculaires.

3 - Les caractéristiques de la denture

Le module (m) :
Le module d’une denture est la valeur qui permet de définir les caractéristiques
d’une roue dentée. C’est le rapport entre le diamètre primitif de la roue et le nombre
de ses dents .le module est une grandeur normalisée.
4-Rapports d’engrenages

Z (roue menante) d (roue menante)

R= =
Z (roue mené e) d (roue menée)

Exemple : pignon d’entrée (1) Z1 = 14 et d’une roue de sortie (2) Z2 = 62

n 2(roue menée 2) d 1 Z 1 14
R (2/1) = n 1(roue menante 1) = d 2 = Z 2 = 62 =0,226
Si R<1 on a un réducteur, si R>1 on a un multiplicateur

5- Systèmes d’engrenages de réduction et de multiplication

Les trains d’engrenages sont utilisés dans une grande quantité de machines pour obtenir des
démultiplications et des sens de rotation différents.
Trains simples : ce sont les trains d’engrenage dont les axes sont fixes par rapport au bâti et
parallèle entre eux.
Trains épicycloïdaux : cet engrenage est soumis à deux mouvements une rotation autour de son
axe, une révolution de cet axe autour d’un autre.
Il permet d’obtenir des rapports de réduction très importants mais le rendement n’est pas toujours
favorable.
 COURROIES DE TRANSMISSION ET POULIES, CHAINES ET PIGNONS

1- Généralités
Les poulies, courroies, chaines et pignons permettent la transmission d’un mouvement de
rotation d’un arbre menant à un arbre mené relativement éloignés l’un de l’autre.
La transmission du mouvement est possible quel que soit le sens de rotation
Elles sont économiques et remplacent de plus en plus souvent les engrenages, les arbres,
les paliers et diverses transmissions rigides.
2- Principe de transmission par courroies et poulies
 Silencieuses, elles sont surtout utilisées aux vitesses élevées avec de grands
entraxes possibles entre poulies.
 La tension initiale des courroies est indispensable pour garantir l’adhérence et
assurer la transmission du mouvement.
 Les courroies sont de types : plates, en V (trapézoïdales) ou crantées
2-1 Exemples de réalisation

2-2 types de courroies

Très silencieuses
Courroies plates
Transmission de vitesses élevées

Puissance transmissible élevée

très utilisées en électroménager,
Courroies en V
et en automobile pour les
alternateurs

 Transmission silencieuse
sans glissement
 Une des deux poulies doit
être avec flasque afin que
Courroie crantée la courroie ne sorte pas
des poulies
 Entraînement de l'arbre à
cames de moteurs
d'automobile.
3 Chaînes et roues dentées
3-1. Principe
Transmet par obstacle, à l'aide d'un lien articulé appelé« chaîne », un mouvement de rotation
continu entre deux arbres éloignés et parallèles.
L’entrainement est assuré par l’engrènement des maillons de la chaine avec les dents des roues.

3-2 Avantages et Inconvénients

 Elles ont pour avantages par rapport aux courroies de présenter des durées de vie plus
élevées, de supporter des forces de tension plus élevées, de tourner moins vite et de
supporter des conditions de travail plus rudes.
 Elles ont pour inconvénients par rapport aux courroies d’être plus bruyantes et nécessitent
un graissage.
 Câbles de commande

1- généralités
Dans les systèmes de commandes de vol principales, les câbles constituent le mode de liaison le
plus largement utilisé.
Les câbles de commande utilisés pour les avions sont en acier au carbone ou en acier inoxydable.
Un câble est constitué de fils métallique (des brins élémentaires) réunis en torons, plusieurs
torons étant ensuite torsadés ensemble autour d’une âme pour donner une section cylindrique. Le
diamètre des câbles utilisés sur les avions varient de 1/16 à 1/4 de pouce.

2- Types de câbles
2-1 Câbles non-FLEX (sans fil)

Les câbles non-flex sont formés d’une seule torsade de fils ayant un plus grand diametre.ces
câbles peu flexibles, ils sont utilisés pour les longues sections rectiligne ou présentant de très
faibles déviations.

2-2 Cables Nylon-coated (gaine nylon)

Les câbles soumis à un environnement favorable au développement de la corrosion (exemple :
puits de train), sont revêtus d’une gaine nylon.
2-3 Corde à piano
Les cordes à piano ne peuvent être disposées qu’en ligne droite, tout renvoi par poulie étant
impossible, la corde à piano ayant une certaine rigidité, chaque changement de direction exige un
renvoi ou un relais.

2-4 Câble d’acier de Bowden

Il est composé d’un câble souple (généralement de l’acier torsadé), coulissant dans une gaine
souple.

Les deux extrémités du câble sont munies d’embouts sertis ou vissés, afin de relier un organe
mécanique à un autre.
 3- Embouts, tendeurs et dispositifs de compensation
3-1 embouts
Les câbles peuvent être munis de divers embouts.

3-2 Tendeur
C'est un élément de la câblerie qui permet:
 La jonction des câbles sur les différents éléments de la transmission.
 La tension des câbles
 Le réglage de l'ensemble de la transmission.
Nota :
Certains éléments tendeurs comportent une rainure dans la douille et sur les emboutes afin d’y
effectuer le freinage par des épingles

4- Composants de systèmes de poulies et câbles

Les changements de direction sont réalisés au moyen de poulies de renvoi

Lorsque les câbles cheminent en ligne droite sur de grandes longueurs ils sont supportés pour
éviter leur fléchissement par des poulies porteuses.