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v1=0.1474 m3/kg
Pr. A. AL MERS - Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers de Meknes- Filière Génie
Thermique Industrielle et Energies Renouvelables (GTIER)
Pr. A. AL MERS - Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers de Meknes- Filière Génie
Thermique Industrielle et Energies Renouvelables (GTIER)
Sommaire
I- Introduction
II- Concepts et définitions
II-6. La puissance
Introduction
a) Source de chaleur
b) Types de transformations
C) L’entropie
III- Cas d’un système non calorifugé : Inégalité de Clausius (ou Carnot-Clausius)
IV- Cas d’une transformation monotherme : Enoncé de Kelvin-Planck
V- Cas d’une transformation ditherme : Enoncé de Carnot
1) En mécanique
2) Exemple de l’entropie
Thermodynamiques
Introduction
I-3. Conclusion :
a) Le point critique
b) Zone de saturation
c) Liquide sous-refroidi et liquide comprimé
d) Titre de vapeur
e) Vapeur surchauffée, sèche saturée, humide saturante.
IV-Introduction
V- Concepts et définitions
Le milieu extérieur désigne tout ce qui n’est pas compris à l’intérieure des
surfaces fermées délimitant les frontières du système.
En physique, le travail est donné par une force qui s’exerce sur une certaine
distance (déplacement), ce qui se traduit par l’équation :
W = F x L
= (masse) . (longueur2/temps2)
Cette analyse montre que les dimensions d’un travail sont bien celle d’une
énergie.
La chaleur : Lorsqu’un corps chaud est mis en contact avec un corps froid,
on dit que le corps chaud transfert une quantité d’énergie sous forme de
chaleur au corps froid.
-l’énergie interne :
-l’énergie cinétique :
Elle est relative au mouvement d’un objet de masse m et qui se déplace avec
une vitesse V dan sl’espace :
1
EC m V2
2
-l’énergie potentiel :
Elle est relative à la présence d’un champ de forces agissant sur un système
macroscopique : électrique, magnétique ou gravitationnel.
Exemple :
Z2 Z2 Z2
Wg W F . dZ mg . dZ mg Z 2 Z 1
Z1 Z1 Z1
EP mg Z 2 Z1
d E P mg dZ
E E p EC U
Equilibre quasistatique :
II-6. La puissance
1 W 1 J .s 1
1 ch 735 W
Q
C
dT
Exemples :
Echange d’énergie
ΔE = W + Q
dE = δW + δQ
dU = δW + δQ
dE W Q
W Q
dt dt dt
Entrée ’’ e ’’
Sortie ’’ s ’’
Masse entrante
pendant dt Masse sortante
Instant (t) Instant (t+dt)
pendant dt
A un instant t, la variation de La masse qui entre à travers La masse qui sort à travers
la masse totale contenue l’ouverture d’entrée du l’ouverture de sortie du
dans un volume de contrôle = volume de contrôle à l’instant - volume de contrôle à l’instant
pendant un intervalle de t pendant dt t pendant dt
temps dt
mvc t me t ms t
me ms
mvc
t t t
dt dt dt
Ou encore :
d mvc
m e m s
dt
d mvc
: Variation par rapport au temps de la masse totale du volume de
dt
contrôle
Vn
V Vn dt
ds
dS
d m V dS Vn Vt dS Vn dS
Donc le débit massique total traversant l’ouverture S s’écrit :
m Vn dS
S
m Vn dS dt
S
m Vn dt dS Vn S dt
S
Vn Vn dt
dS
Cas particuliers :
d mvc
m e m s 0 e m
m s m
dt
d mvc
dt
m e m s
entrées sorties
En régime permanent : m e m s m
entrées sorties
- Ecoulement mono-dimensionnel :
Exemple :
AV
m AV
«e»
Pe me Ae
«s»
As ms Ps
W
Les deux ouvertures de la machine possèdent respectivement des sections A e
et As (pas nécessairement égales), en plus d’échange de matière et de travail,
un échange thermique est aussi possible entre la machine et son entourage.
«e»
δme Se
T∑
«s»
δms
Ss
∑
δW
a- Bilan de masse :
me – ms = m
Pendant dt, on peut écrire :
δme –δms = δm
dm
m e m s
dt
b- Bilan d’énergie
Chaque unité de masse du fluide qui entre dans la machine est caractérisée par
une certaine quantité d’énergie Ee :
E s U s Ep s Ec s
Ee U e Ep e Ec e me
E s U s Ep s Ec s ms
E U Ep Ec m
Pour compléter le bilan d’énergie, il faut considérer les travaux des forces de
pression exercées par le fluide à l’entrée et à la sortie au nivaux des sections.
Pour la section d’entrée, le travail des forces de pression exercée par le fluide
est :
We Pe . Ae . dx Pe dVe Pe . ve . me
1
Avec v e est le volume massique du fluide entrant (m3/kg) ( v e )
e
Ws Ps . As . dx Ps dVs Pe . v s . ms
Variation d’énergie Energie qui entre avec Energie qui sort avec Chaleur et travail
totale du système = la masse entrante
pendant dt
- la masse sortante
+ Echangés avec l’extérieur
Pendant dt
pendant dt pendant dt
d E U e Ec e Ep e Pe ve me U s Ec s Ep s Ps v s ms W Q
dE
he Ec e Ep e m e hs Ec s Ep s m s W Q
dt
Cas particuliers :
1- Régime permanent : 0
t
he Ec e Ep e m e hs Ec s Ep s m s W Q 0
V 2 V 2
Q m hs he m s e m g Z s Z e
2 2
Cette relation est valable pour les écoulements avec apport de chaleur
(turboréacteur, moteur de fusé, …)
3- Ecoulement adiabatique Q 0
V2
h g z cst
2
Ps Vs2 Pe Ve2
Us g zs U e g ze
s 2 e 2
4- Machines industrielles
dU
m e he m s hs W Q
dt
dU
En régime permanent : 0 :
dt
e he W Q
s hs m
m
Introduction
Exemples :
3. Une masse m qui tombe d’une altitude Z (plus haut) vers une
altitude Z’ (plus bas) est une opération qui s’effectue spontanément.
Mais on ne peut pas avoir le retour de cette masse de Z’ vers Z d’une
manière spontanée.
Air
Air atmosphérique à
atmosphérique à
la pression 1 bar
la pression 1 bar
Après Δt
Z
8 kg
Z’ 8 kg
Après Δt
a) Source de chaleur
Une source de chaleur est une partie du milieu extérieur qui, lorsqu’elle est
mise en contact avec le système, peut échanger avec lui de la chaleur sans que
sa température ne soit modifiée.
b) Types de transformations
D) L’entropie
L’entropie d’un système peut être définie comme étant une fonction d’état qui
a les propriétés suivantes :
- S est extensive ;
Au cours de l’´evolution d’un système fermé calorifugé d’un état initial 1 vers
un état final 2, L’entropie ne peut qu’augmenter :
S S2 S1 0
S1 S2 0
Ce qui implique :
S1 S2
dS 0
1 S P S
T U V ,m
; T V U ,m
U : l’énergie interne
m : masse du système
dU T dS PdV
dU Q W
Q
dSrév
T
S S2 S1 0
Q
S
T
D’où le résultat :
Q
S
T
Q
dS (1)
T
dS 0 (2)
cycle
Q
(1) et (2) donne : T
0
cycle
Remarques importantes :
2 Q 2 Q
1 T
0 ne signifie pas que 1 Q 0 . Car si
T
est une fonction d’état,
Source de chaleur à la
température Ts
W
Système à T Milieu extérieur
Ecycle Q W 0
D’onc :
W 0
Exemples :
Moteur Frein
électrique
W
Système
Remarques :
Source de chaleur à la
température TF
QF
W
Système à T Milieu extérieur
QC
Source de chaleur à la
température TC
l’autre partie du cycle. Pour que cette condition soit satisfaite il faut
obligatoirement avoir
Tc >Tsystème>TF.
Ecycle Q W 0
Qcycle Wcycle
Dans ce cas, pour que le système délivre un travail au milieu extérieur il faut
avoir :
Wcycle 0 donc QC QF
« Une machine thermique motrice ditherme ne peut fournir (au cours d’un cycle) du
travail que si l’agent thermique absorbe une quantité de chaleur QC d’une source chaude
à Tc et rejette une partie QF à une source froide à TF ».
Cours de Thermodynamique. Pr. AL MERS Ahmed 35
Pr. A. AL MERS - Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers de Meknes- Filière Génie
Thermique Industrielle et Energies Renouvelables (GTIER)
Exemple :
QF
Qc Qc
système W
Q
e
dS = deS + diS
Causes d’irréversibilités :
δQ
«e»
δme Se
T∑
«s»
δms
Ss
∑
δW
Qe
dS T
me Se ms S s
frontière
du système
dS Q e
m e S e m s S s
dt frontière
T e s
du système
Qe
dS d ex S
frontière
T
dme S e dm s S s
du système
S’il s’agit d’une machine motrice, elle absorbe une quantité de chaleur QC de la
source chaude, transforme une partie de cette chaleur en travail vers
l’entourage et rejette le reste sous forme de chaleur vers la source froide.
QC > 0 QC < 0
Machine
Source chaude Source froide
thermique
W< 0
Turbine
Qc
Alternateur
QF
QC < 0 QF > 0
Machine
Source chaude Source froide
thermique
W> 0
ΔU = 0 = W + QC + QF
Ce qui donne :
W = - QC - QF
Ou encore :
|W| = QC - |QF|
énergie utile W
th
énergie consommée QC
QC QF QF
1
QC QC
1 2
TC
TF
4 3
QF
S
ΔU = 0 = W + QC + QF
Le deuxième principe donne :
T ds TC S 2 S1
2
QC
1
T ds TF S 4 S 3
4
QF 3
QF TF S 2 S1
On obtient :
QF TF
Carnot 1 1
QC TC
La chaleur rejetée à la source froide QF est inévitable dans tout les cas. C’est
pour cela que le rendement d’un système ditherme est toujours inférieur à 1.
Le maximum est obtenu dans le cas du cycle de Carnot (qui reste inférieure à
1).
W Q F
1
QC
QC
QF
Premier principe : QF QC W 0
QF QC
Or pour un cycle : S e
TF TC
Avec Si Sirré 0 est la création d’entropie due aux phénomènes internes
irréversible. Donc :
QF QC
2ème principe : T T Sirré 0 (2)
F C
T T
1 0 QC 1 0 QF W T0 Sirr 0
TC TF
T T
1 1 0 et 2 1 0
TC TF
1 QC 2 QF W T0 Sirr 0
Avec :
Remarques :
2 QF W
ex
1 QC
Si TF = T0 alors :
T T
2 1 F 0 et 1 1 F Carnot
TF T C
th
ex
Carnot
3) En mécanique :
Em = Ec + Ep = cste
On suppose que le système peut être décrit par la seule variable x par exemple.
L’équation précédente (encore appelée « intégrale 1ère du mouvement »)
permet de connaître le mouvement du système. En la dérivant par rapport au
temps, on retrouve notamment le théorème du centre d’inertie.
dE p
0 (Ep est extrémale à l’équilibre)
dx
2 EP
f x f xéq
df
x xéq 2
x xéq
dx éq x éq
L’équilibre sera stable si cette force correspond à une force de rappel, soit
d 2Ep
0
pour: d x2 (minimum de Ep)
éq
4) Exemple de l’entropie :
donne : dsi 0
Mais l’emploi de ce potentiel est rarement intéressant car les systèmes réels
échangent le plus souvent la matière et l’énergie avec l’extérieur.
Remarques :
Exemples :
Nom Formule
Energie interne U
Enthalpie H=U+PV
En particulier :
Ex 1 QC 2 QF W
W U QC QF
Ex 1 QC 2 QF U QC QF
T T
Ex 1 0 QC 1 0 QF U QC QF
TC TF
Q Q
U T0 C F
TC TF
U T0 S Sirr
(1) (2)
Remarque :
Attention : Dans le cas générale l’énergie libre n’est pas une fonction d’état car
il utilise une température qui n’est pas une propriété du système. Car en
générale la température du système est différente de la température de
l’entourage T0.
diagrammes Thermodynamiques
Introduction :
Un corps pur est un élément constitué d'une seule espèce chimique simple ou
composé. Un corps pur peut être dans l’un des trois états physiques de la
matière.
A l'état solide, les molécules, atomes ou ions constituent des cristaux où ils
sont presque immobiles sous l'action de forces d'interaction plus ou moins
intenses. Ce sont ces forces et leur orientation qui donnent la forme propre aux
solides.
Les liquides n'ont pas de forme propre, ils prennent la forme de leur contenant
et peuvent circuler dans des canalisations.
Les molécules, dans un liquide conservent une certaine mobilité les unes par
rapport aux autres, contrairement au solide qui est rigide. Bien que serrées les
unes contre les autres, les molécules d'un liquide possèdent une certaine
liberté de mouvement, elles sont en constante agitation. Elles ne peuvent pas
parcourir de grandes distances mais oscillent et peuvent prendre la place les
unes des autres. Cette agitation va croître avec la température.
Le phénomène de diffusion constitue une autre preuve que les molécules sont
en mouvement. L'exemple d'une goutte d'encre déposé à la surface d'un
liquide colorie progressivement tout le volume du liquide. Par contre, les
liquides ont un volume propre et sont peu compressibles.
Les noms des changements d'état (de phase) sont énumérés dans le schéma
suivant :
Exemple :
Thermomètre
P=1atm
eau
La température n'est pas le seul paramètre qui peut faire passer un corps d'un
état à un autre : il y a aussi la pression.
Vapeur Gaz
I-3. Conclusion :
Pression
F
2
1
Liquide
Solide V
3
Point triple
Gaz
S
Température
Le plan est divisé en trois régions qui correspondent à chacun des états. Le
solide ne peut exister hors de la zone 1, de même que le liquide et le gaz ne
peuvent exister hors des zones 2 et 3. Les courbes S, V et F sont des lieux
géométriques où existe un équilibre entre deux états.
Sur ces courbes coexistent deux états, par exemple sur F (courbe en bleu)
coexiste l'état solide et l’état liquide qui sont en équilibre. Ces trois courbes se
rencontrent au point O appelé point triple. En ce point et en ce point
seulement le solide, le gaz et le liquide coexistent en équilibre.
F
F
F
T=140°C
Pression
(1) Début Fin
d’évaporation d’évaporation
T=100°C
T=140°C
Liquide évaporation Vapeur
Ps(100°C)= 1atm
Liquide +vapeur
T=60°C
Pression de
T=100°C
changement de phase
T=60°C
à 60 °C
Volume
a) Le point critique :
Point critique
C
Liquide
Liquide
T4 > TC
+
Vapeur
Vapeur TC
T3
T2 < TC
T1
b) Zone de saturation :
d) Titre de vapeur :
Vapeur
surchauffée
P
Vapeur saturée
sèche
Vapeur saturée
humide
Pour un corps pur la pression de saturation suit une loi bien spécifique en
fonction de la température, la fonction qui relie la Pression de saturation à la
température est une fonction d’état. Pour l’eau, cette loi est illustrée sur le
diagramme suivant :
Ps = f(T)
Parmi les lois qu’ont été proposée nous citons l’équation d’état d’ANTOINE
qui permet de calculer la pression de saturation en fonction de la
température pour des substances pure. Cette loi s’écrit sous la forme :
P B
Log10 A
P0 T C
Avec :
P : pression de vapeur en pascals (Pa) ;
A, B, C : coefficients d'Antoine ;
Les relations que nous ferons apparaître sont appliquées à l’équilibre liquide-
vapeur. Pour toute autre transformation, il conviendra donc de modifier les
indices relatifs aux phases du corps pur.
mV Vapeur
T, P
ml Liquide
Si on désigne par :
G ng nl g l nv g v
G H TS U PV TS
VdP SdT
dg v 0 Vv dP Sv dT
dg l 0 Vl dP Sl dT
gl g v
L’équilibre thermodynamique d’1 corps pur impose l’égalité entre les enthalpies libres
massiques des 2 phases.
La chaleur latente c’est la chaleur qu’il faut fournir à l’unité de masse d’un
corps pur pour obtenir son changement d’état à T et P constants. Elle est notée
L.
dp
On montre que L T v 2 v1
dT
Démonstration :
N
P+dP
Etat 1
P Etat 2
M
T T+dT T
En M : g1 g 2
' '
En N : g1 g 2
g 1' g1 dg1
dg1 dg 2
g 2' g 2 dg 2
dg vdP SdT
dP S2 S1
dT v2 v1
Q L1,2
S2 S1 S
T T
L1,2 T v2 v1
dP
dT
liquide ↔ vapeur
liquide ↔ solide
solide ↔ vapeur
Remarques :
dP
L1,2 0 , T 0 , 0 , v2 v1
dT
V=C+2–φ
: Le nombre de phases.
Par exemple Pour un système constitué d’un seul constituant chimique à l’état
liquide, il suffit de 2 paramètres pour caractériser son état.
Dans le cas général, les paramètres peuvent être soit deux variables d’état
choisies parmi les trois paramètres P,V,T. Soit un mélange de variables d’états
et les fonctions d’état (U, H, S, F ,G).
P P
W
Isobare
V1 V2 V
V
Pour une telle transformation et dans le cas d’un cycle tracé dans le
diagramme de Clapeyron, l’aire du cycle est égale à W, le signe étant donné
par le sens de parcours.
(-)
P
(+)
L’aire du cycle
est égale au
travail
Comme nous l’avons déjà vu, sur le diagramme de Clapeyron les isothermes
dans la zone de changement de phase liquide-vapeur ont la forme suivante :
Point critique
C
Liquide
Liquide
T4 > TC
+
Vapeur
Vapeur TC
T3
T2 < TC
T1
Dans le cas d'un cycle, la courbe est fermée et la chaleur est donnée par
l'aire intérieure à la courbe, son signe étant donné par le sens de parcours.
Qréversible T dS
T T
Q>0 Q<0
W<0 W>0
S S
Diagramme T, S de l’eau
Exemple :
1 2
T2
Q = -W
T1
4 3
Q1
S1 S2 S
Q rév dQ TdS
rév rév
T = const.
point G
critique vapeur
M
C liquide-
vapeur
T, P const.
liquide L x const.
h en kcal/kg
S en kcal/kg/K
T en °C
P en bar
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Thermique Industrielle et Energies Renouvelables (GTIER)
Enthalpie KJ/kg
Ces trois zones correspondent aux différents états du fluide frigorigène dans
un système frigorifique.
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Pr. A. AL MERS - Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers de Meknes- Filière Génie
Thermique Industrielle et Energies Renouvelables (GTIER)