Travaux dirigées de RDM – Chapitre 3 : Filières GCI, GM, GMP, GAM, TCI, TAU,

PEI, HSSI, GCH, GPR

Exercice 1:
1. Identifier les liaisons présentes sur la
poutre
2. Mettre en place le repère général ;
3. Déterminer les efforts transmis par les
liaisons ;
4. Déterminer le nombre de tronçons
nécessaires à l’étude de la poutre en RdM
5. Mettre en place les coupures, et les repères associés à chaque coupure,
6. Déterminer le torseur de cohésion dans chaque tronçon ,
7. Tracer les diagrammes de sollicitations.
Exercice 2 : Poutre console (encastrée en A) de portée l est soumise a une charge répartie
q sur sa longueur l . Vérifier que le système est isostatique et pour les systèmes
isostatiques : Calculer les réactions d’appuis. Ressortir le torseur de cohésion en tout point
de la poutre. (fig. 2)
Exercice 3: Poutre console (encastrée en A) de portée l est soumise a une charge
concentrée P en B ou P=6ql .Vérifier que le système est isostatique et pour les systèmes
isostatiques : Calculer les réactions d’appuis. Ressortir le torseur de cohésion en tout point
de la poutre. Comparer ces résultats avec ceux obtenus en exercice 2. (fig. 3)

Fig 2 fig. 3
Exercice 4:
Poutre console libre en C est soumise a une charge répartie q sur une longueur l ; un
couple M en C avec l=2a ; M=6ql . Vérifier que le système est isostatique et si tel est la
cas calculer les réactions d’appuis. Ressortir le torseur de cohésion en tout point de la
poutre.
Exercice 5: Un portique constitué de deux montants AC et BD et d’une traverse CD avec
un appui simple en B et un appui double en A est soumise a une charge concentrée sur AC
: R = 10q appliquée à une distance de 4m de A, puis a deux charges réparties de même
intensité q appliquées sur CD et BD. Vérifier que le système est isostatique et pour les
systèmes isostatiques calculer les réactions d’appuis. Ressortir le torseur de cohésion en
tout point de la poutre et tracer les diagrammes des actions internes.

Fig. 5 fig. 6
Exercice 6: Un portique constitué de deux montants AC et BD et de deux traverses CE et
ED reliées par une articulation. Les appuis : - Un encastrement en A. - Un appui simple en
B. - Une articulation en E. Le chargement : - Un couple M = 4 ql2 ; - Une charge
concentrée sur ED : R = 8ql appliquée à une distance de 2m=l de E ; - Une charges
répartie sur CE (𝑞 = 2𝑞 ).- Une charges triangulaire sur BD (𝑞 = 3𝑞 ). Vérifier que le
système est isostatique et pour les systèmes isostatiques : Calculer les réactions d’appuis.
Ressortir le torseur de cohésion en tout point de la poutre et tracer les diagrammes de
cohésions.
Exercice 7: Soit la figure ci
contre. Déterminer les efforts
internes engendres par le
système. Vérifier si le système
est isostatique et si tel est le
cas mettre en place un repère général, déterminer le nombre de tronçons nécessaire a
l’étude de la poutre, calculer les réactions d’appuis, Ressortir le torseur de cohésion en
tout point de la poutre. Et tracer le diagramme des sollicitations. (L’angle que fait la force
de 56.5 N avec l’horizontal est de 45 degrés)
Exercice 8:
Etant données q, L, et P = 0,4qL. Déterminer le
nombre de tronçons nécessaire a l’étude de la
poutre, calculer les réactions d’appuis, Ressortir le torseur de cohésion en tout point de la
poutre. Et tracer le diagramme des sollicitations. Calculer la longueur avantageuse de la
console. N.B: On appelle longueur avantageuse de la console d'une poutre la longueur de
la console pour laquelle le moment fléchissant maximal a la plus petite valeur possible.
Exercice 9: D’après le diagramme des moments fléchissant donnés établir la charge agissant sur la
poutre (voir le dessin).

Exercice 10: On considère une poutre curviligne ci contre décrivant un arc de cercle soumise a l’action
d’une force P a son extrémité libre inclinée d’un angle par rapport a la verticale. Tracer le diagramme des
efforts normaux, des efforts tranchant ainsi que le diagramme des moments fléchissant. Sous quel angle α
il faut appliquer l’effort Р pour que les contraintes de cisaillement dans la poutre curviligne (fig. 10)
soient minimales?

fig. 7