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 KIWI

Contexte= situation informelle du quotidien entre trois amies


Teneur du récit= histoire réelle, en « elle », historie comique, amusant, papotage
Organisation et déroulement du récit= sollicité par la v. d’ignorance (car elle ne savait pas) Bea (7), récit
continu raconte par la première fois, un seul narrateur) vérification= « tu ne savais pas ? » + fonction de
surprise.
Fonction= fonction sociale mais aussi référentielle (raconte quelque chose) , anecdotique.
Parti narrative (in giallo) sono preponderanti, forniscono info che facilitano l’informazione + parti interattive
che permettono di costruire l’immagine delle narratrice

Propositons narratif
Protocol d’accord: procédé de vérification = question d’Elise. Rend nécessaire la fonction narrative.
Línea 18= première tentatif d’action narratif échange tout interactif. Pourquoi ? elle veux s’excuser car
elle va raconter quelque chose de longue. (un peu diff. De la procédure de négociation)
Línea 22= l’histoire commence, première locution narrative « donc c’t été ecc » développement du récit
proprement dit. Avec aussi des indications sur le cadre spatio-temporel. Temp verbale= passé composée.
Long digressionla partie en jeune dure beaucoup. Le récit est mise en suspense car nous n’avons pas des
évolutions temporelles. Il reprend à la ligne 44 + présent de l’indicatif car il y a des deictict temporels qui
explique le temp.
46 fin du récit, évaluation. Chute et coda on return a l’acte de la communication.

Livia : Contexte: c’est une conversation qui se passe à la maison, situation informelle du quotidien. Soeur de
la narratrice qui a un copain. Il y trois amies qui font apéritif et parlent de le copain d’une autre fille. Il s’agit
d’une histoire réelle, écrite en “il”, il s’agit d’une histoire commune de touts les jours, c’est un gossip.
Tonalité du récit: amusant, papotage (chiacchere)

C’est un récit sollicité de mar qui demande comme va avec le copain, et puis Eli lui racconte comme les
deux se sont connus. Le récit est continu et isolé.

La fonction de récit est purement anecdotique, au social (renforcer l’amitié) en effet il ne fait pas référence
à aucune connaissance antérieure.
Question de bea qui ne sait pas et innesca le récit: Procedé de vérification d’elisa que dit “tu savais pas?” et
puis commence à raconter à Beatrice que ne sait pas l’histoire. Ajoute commentaire comique pour
construire l’image d’elle même.

Fase de négociation: procedure de vérification, le savoir n’est pas partagé, il y a une manque qui rende
possible l’activité narrative. Puis énoncé évaluatifs: c’est génial, truc de dingue = commentaire qui évaluent
l’interêt de l’histoire
Sa suscite la curiosité de Beatrice qui ne sait pas.
Premier proposition narrative: “elle avait travaillé, allé aux impôts…” partie qui s’appelle développement,
l’evenement raconté et que la soeur est alle travaille, puis aussi information de cadre spatio-temporelle
(cette été). Temps verbal pour exprimer est le passe compose pour exprimer la progression temporelle.
Plus long digression de la ligne 26 à 41 qui se compose des énoncés évaluatifs, signe d’écoute, trop
contentes. Deuxième proposition narrative….
Temps verbale est le present de l’indicatif = parce que il y a le déictique temporelle qui l’accompagne “deux
semaines après” qui montre que l’action s’est passé dans le passé. Puis on a la fin, résultat du récit “et puis
voila” = chute
On a terminé l’acte narratif!

 OLIVES
deux récits (florence) sur la demande d’itinéraire. Anecdote réel, récit en « Je », de rire,
organisation/structure= offert, spontanément, Fonction= illustrative, anecdotique, construction de la
convivence, relation d’appartenance à une groupe, partager des émotions, La narratrice se mette en scène.
« Tout à l’heure » situé dans le passé, débrayage, discours rapporté directe qui constitue déjà par elle en
événement. Indications au début= temps= « tout a l’heure » permet d’inscrire la situation dans le passé et
permette d’utiliser le présent pour le narrer (progression temporelle), actant= « un » ; fragment du discours
rapporté direct signale la fin. Coda pas vraiment mais on peut considérer « alors ((rires)) vas pas m`
compliquer la vie toi » comme un différant sort de chute, commenter qui permette le rentrayage ?.

Deuxième récit de Florance. « comme la dernière fois » // permette l’inscription dans le passé.
« ça s’arrête des gens à Saint-Amour » indications, éléments d’orientation lieu et personnage
Temps utilisée = imparfait, qui explique le cadre. En réalité cet énoncé réassume c’est que se passé , il
narrativise le discours, il ne précise pas mais il synthétise. N’est pas « non narrative » car il est un
préposition nécessaire pour la comprénsion du récit.
Parti préliminaire a travers laquelle Florance donne des informations pour comprendre et réagir
correctement (« non c’è il restaurant »)

Dernier passé composé, cet réponse souci le rire des amis. Elle réinterprète son récit « alors qu’y en avait
un à cinq minutes avant (0.4) voilà\ (.) bon ». Le caractère ridicule, absurdité de la réponse de Florance est
réalisé par des fatigues. Pour justifier pourquoi le récit est nécessaire d’être raconté, car il est ridicule, fat
rire. « voilà » = fin du récit.

 CHASSE

Contexte= familière
Teneur du récit= histoire réelle, en « je »
Thème= plus bon souvenir de chasse
Fonction= anecdote, fonction sociale, relationnelle, fonction argumentative car son premier commentaire
est que cet âge-là a des beaux souvenirs, donc il utilise cette histoire pour expliquer son point de vue.
Organisation= auto émisse, isolée
Présente, discours direct

 AGRAFE

Teneur= réel, dramatique et drôle


Organisation= offert sp. raconté pour la première fois. Récit à épisode= 1. comment elle a trouve l’agrafe
(drame) ; 2. Plante dal respnsabile del supermercato ; 3. Reparation car le responsable lui offre en
reompense pour remédier.
Fonction= anecdote, social ecc aussi un fonction de montrer que quelque chose d’imprévu peut arriver a
tout le monde.
Protocole d’accord : pour un peu vous ne me revoyiez pas  captiver l’attention de l’interlocuteur et
justifier ce que va être raconté
Orientation :
Le récit commence à la ligne 10 avec des éléments d’orientation= temporelle (sollicité pour le narrateur),
l’activité,
Resultat passé composé,
Ben voilà= première chute
Procedè de veridification
exagere+montrer que s’est vrais
….présence de fatigues qui intéressé l’autre. Usage du discours rapporté sollicité l’intérêt, rapporte ce que
quelqu’un a dit mais aussi reproduit la scène.
Stratégies de vérification, véridictoire, ex. quand elle montre, mime la taille de l’agrafe ; « je vous assure »,
Procède de
Toutes les émotions positives, montre l’imprévu
Nécessite d’exagère pour alimenter l’intérêt mais aussi accréter la vérité
NB : Stratégie de Pire imaginaire= imaginaire une situation similaire mais on pire, plus grave. Lin 55, 135

Procèdes de dramatisation :
-pire imaginaire
-procède de répétition, de la reprise
-énoncé d’émotion
-usage du discours rapporté directe
-présent de l’indicatif (rapproche les narrateurs)
-emploie du détailles concrets

MUSEE

 EXTRAIT DE VISITE GUIDEE (VIDEO ENFANTS)


 EXTRAIT IPOUSTEGUY
 EXTRAIT MANET LITHOGRAPHIE
 EXTRAIT NUSCH
 EXTRAIT LIBERTE
 EXTRAIT PARIETAIRE (SALAGON)

TEMOIGNAGES SHOAH

 MARCELINE LORIDAIN-IVENS NEE ROZENBERG


C’est une écrivaine, livre “ma vie baladant = chaotique”. Elle est une survécue, elle est échappé du
champ de concentration. Analyse: on peut remarquer que l’acte de mémorisation est déjà un acte
de résistance! Cette remémoration est signalé linguistiquement par le verbe “je me souviens…”. La
narratrice raconte le souvenir d’une monologue intérieur qu’elle a eu dans le passé, c’est la voie de
Marceline appena libérée qui parle. Il s’agit d’un retour réflexif sur soit même.
On a une justification pour cette dureté qu’elle avait avec le femmes, c’est à dire qu’elle était sorti
de cet univers quotidien de la mort.

Sortait = passé imparfait, confère une valeur duratif à ce processus.


Polyphonie = plusieurs voix dans le témoignage, Marceline du present et puis il y a la voie de
Marceline du passé: Marceline pense dans le passé, c’est une énonciatrice du passé.

 (ELIE WIESEL)
 SIMONE VEIL
Elle était échappée de la Shoah, déporté au champ d’ Auschwitzt avec sa mere et sa soeur. Elle est
la seule qui survie de sa famille. Elle est écrivaine, et elle a eu aussi une carriere politique.

Analyse:
La prise de parole se divise en 3 moments narratifs, 3 mini-récits. Le témoignage sollicité par
l’intervention de la journaliste qui fait des questions et des précisions pour solliciter des
informations. Acte de la mémorisation c’est une acte de résistance, on peut trouver les traces de
l’acte de mémorisation (verbes je me rappelle, souviens…) et aussi les difficultés liée à la
mémorisation.

Ligne 1- 2 = images mêlées, souvenir est confus, elle ne se souvienne bien.


Du point de vue prosodiques, on remarque des hésitations, des pauses, des silences prolongés
(liées à l’ état d’âme et à la difficulté a se rappeler et à la souffrance qui cause cette mémorisation)
L’ épisode qui lui cause la plus souffrance c’est quand le journaliste lui domande de la mort de sa
mere, elle ne semble pas de vouloir en parler, c’est l’interviewer qui intervient pour l’amener à
parler.
Puis on a des énoncées évaluatifs et descriptifs (quand elle décrive le cadre des départages etc). Il
ne s’agit pas des énoncés évalutifs dans les récit traditionnel qui avaient le but de solliciter, mais ici
ont la fonction d’expliquer, de mieux faire comprendre les conditions de vie des déportées
Ligne 4 - 6 phrase pseudo-clivée = deux adjectifs évaluatifs axiologiques: “extraordinaire” et
“exceptionnel”: elle fait comprendre le fait que rester avec sa mère et soeur était considéré comme
un privilège, un luxe (NB: la déportation comportait surtout une séparation familière et privations
des affects). La locutrice se focalise sur cette condition de vivre ensemble qui pour elle était
extraordinaire.
Simon explique qu’elle était dans la limite d’âge inferiore et sa mere au limite supérieur pour entrer
dans le champs. Elle 17 mère 40 (ceux sur ou sous ce limite étaient amenés aux chambres à gaz) =
encore une fois une chose extraordinaire!
L’explication, la justification qu’elle se donne est “elle avait tellement d’allure (andatura, presenza,
portamento” = ceci a permit à sa mere d’échapper à la chambre à gaz. Elle dessine un petit portrait
de la mere, elle allure
Séparation linguistique aussi = dans les champs les langue différents limitaient beaucoup les
échanges entre les détenus, et quand on trouvait qualcun parler la même langue était
extraordinaire, ligne 23 = “c’était un miracle qu'elle parlait le français (la femme qui les coordonnait
= coordinava)”

Macro structure = 3 fragments narratifs où elle raconte des épisodes différents, qui sont tous
sollicités par le journaliste.

Première partie:
Ligne 14 introduit par la journaliste: début du récit, on a une autocorrection, elle re-dit “trois pas
deux” = les déportés perdent les repas temporelles, c’est difficile se souvenir.
On trouve la localisation spatiale (Birkenau), et on a la description des actants.
Ligne 18-20 = elle dit qu’on travaillait, on portait des pierres, on a la description des activités qu’ils
devaient faire. On a l’utilise du passe composé qui mantiene la continuité temporale.
Joue rôle cruciale = à un certain moment une femme coordinatrice lui prend en sympathie et elle
avec sa famille sont envoyé dans un autre champ, à Bobrek, où les conditions de vie étaient un
petit peu meilleures.

1 partie = ligne 14
2 partie = ligne 35
3 partie = ligne 62

Dernier partie:
Ligne 31 on trouve la conclusion du récit, on trouve le futur simple “nous partirons tout le trois”.
On a une chute / coda (ligne 33) de l’interviewer, où on revient au present de la narration, et on
commence à parler de la mère.
Séquence descriptive où elle explique les conditions de vie atroces.
On trouve un lexique avec des mots axiologiques connotés qui suscitent des émotions, des
réactions pathétiques qui causent empatie = réaction émotionnelle, ex: “faim, soif, cannibalisme,
verbes comme mourir, tuer, tellement on mourrait de soif” = elle se concentre sur la soif, cherche
de transmettre une idee concrete de qu’était la soif, qui n’était pas une sensation physique, mais
quelque chose autre.

Épisode de la mort de la mère ligne 51-54: elle ne dit pas explicitement “ma maman est morte”
mais seulement “elle n’était plus la” et avec ça elle termine son récit. C’est seulement à partir de
mots de la soeur qu’elle comprenne que la mère était morte, elle ajoute “on survivra seulement
quelques jours en plus”.
Interviewer insiste sur la mort de sa mère (ligne 58), il revient sur cette épisode pour amener la
locutrice à dire qualche chose en plus. On voit comment cet acte de souvenir est vraiment
douloureux, on le comprend de la voix grave de Simon, du silence prolongé qui dit tout.

La partie finale du récit (linge 63) qui conclude cette témoignage c’est la référence aux Anglaises qui
arrivent dans le champs et libèrent tous les déportées. Un soldat lui demande quelle âge et elle lui
demande combien des années il lui donnerait. Il réponde comme minimum 40 ans, même si en
réalité elle en avait 18! = faire voire comment l’expérience de champ changeait, comment ils
étaient devenus. Ligne 72 le journaliste reprends la chute finale et lui dit qu’une partie d’elle est
toujours dans le champ, en faisant ça pose un lien avec le passe et le present. Cette chute est très
important parce qu’elle montre l’impossibilité de sortir de l’expérience des champs.

 MARCELINE LORIDAIN -IVENS VOYAGE DANS LE TRAIN


On peut retrouver plusieurs aspects communs avec les autres témoignages (évènements,
conditions de la guerre…), mais elle le fait en maniere différence de Simone. Mercerise était
écrivaine et aussi femme de theatre. Ici l’interviewer intervienne plusieurs fois parce qu’il veut
obtenir plusieurs détails.
Marceline raconte le voyage en train et l’arrivé en Pologne à Birkenau.

On a toujours une acte de mémorisation, on trouve des verbes comme “je me rappelle, je me
souviens” , aussi pour elle l’acte de se souvenir est confus (ligne 6) elle dit “je crois"… mais c’est
normale, parce que la memorie est abimé et on doit chercher de la restaurer.
On comprend que la perte des références temporels et géographiques commence déjà en train!
Elle n’était pas certaine, l’information n’est pas sure. Perte de repères spatiaux et temporelles,
pertes d’espace et de temps. “Je suis incapable de vous dire où”.
On a une bi-partition entre l’énonciatrice du témoigne “hic et hunc” qui évalue ce qui était éprouvé
par Marceline du passé.
Ligne 22-24 “je me souviens incroyable” = adjectif d’exclamation dans le present de l’énonciation,
c’est elle qui évalue ce qu’elle avait éprouvé dans le passé, elle pense qu’il y avaient personnes
déguises avec des costumes. Incroyable est une expression du present mais qui fait référence au
passé, on a deux instances énonciatives.

Premier passage = nombreux énonces evaluatifs et descriptifs, on a un adjectif axiologique qui


contribuent construction de pathos, ligne 4 “ça était horreur” ligne 7 “ long”, “on était toujours
enfermées dans wagon infernale” “ c’etait l’horreur” = répétition qui renforce l’impact
émotionnelle. On a encore des mots chargés comme “on mourrait de soif” = thème du soif
récurant.
Dans la primer partie on trouve la description de l’évènement au passé composé qui assure la
progression temporelle.
C’est intéressant que entre le début du récit et son développement on assiste a une sorte de
suspension = interrompe la progression temporelle, il faut attendre beaucoup, ligne 31 reste
suspendu, le c.o.d du verb “voire” n’est pas prononcé!

Les baffles (=schiaffi) du garçon = ce n’est pas l’ évènement principale, mais il a une fonction
argumentatif = montre à quel point les personnes dans les wagons étaient désespérés
Au ligne 44 on trouve enfin le développement du récit principal. On trouve le passage “on voie un
grip de femmes aves des foulards rouges sur la tête” on comprend ce qu’elle avait vie, le c.o.d est
complète.

Domande qui a une fonction phatique adressé au journaliste pour attirer l’attention sur sa
réflexion, coda qui termine le récit 47-52 “vous rendez compte? Comment j’étais enfant, je n’avais
aucune idée”. C’est une réflexion produite à postérieurs. Fonctionne comme chute. On étaient des
enfants, on n’entendaient pas.

Sequence descriptives une fonction explicative, elle construit le scenario, cherche de situer le plus
précisément possible l’action, de rendre explicite des connaissances implicite, des informations qui
pour les personne qui n’avaient pas connu la Shoah ne connaissaient pas. Pour expliquer. Ex:
Hommes et femmes étaient divisées par le sexe, c’est une information implicite que les gens ne
pourraient pas connaitre, c’est à dire que les hommes allaient à Auschwitz et les femmes à
Birkenau. But = Construire une atmosphère qui favorise et sollecite l’empatie du public.

Le deuxième récit est sollicité par le journaliste qui lui demande qu’est ce qu’elle avait vu. Elle fait
comprende le mécanisme de sélectionnent des allemands, utilise beaucoup des fois mots comme
“sélectionner, être choisi”. On comprend que c’était un mécanisme ou les personnes s’auto-
condamnaient sans le savoir, les commandants leur demandaient s’ils voulaient aller à pied ou
avec le camions, on comprend qui ont la force et qui non.
Risque de Marceline parce qu’elle avait mal au pied et elle voulait aller avec les camions, mais sa
amie lui sauve la vie et lui dise de ne la pas abandonner, on comprend que si elle était allé avec le
camions, elle serait allée directement aux chambres à gaz.
Récit est raconte au present de l’indicatif = present de narration, phrases sont courtes, on a
impression des choses qui vont vite, comme si elle revivait ces moments. Le temps present a une
fonction d’accélération du rythme.
73-74 = “je étais mome = ragazzina” mais avec une grande masse de chevaux donc elle semblait
plus grande, aussi les talons ont l’aidé. C’est pour ça qu’elle est réussie è échapper, parce qu’elle
semblait plus grande.

Partie finale = description de champ ou moment de son arrivée, on assiste à une séquence
descriptive riche de mots connotés et axiologiques. Ex: “La fumée de Flames” syntagme connoté =
on sait que c’est la fumée de la chambre à gaz, “universe lugubre” apparaisse beaucoup de fois, “le
fang, il faisait froid” = mot connoté, sensation du froid dans le camp complètement différent. On
trouve une grande intensité des émotions dans cette dernière partie, on sent les odeurs aussi.
Récit est au present narratif et qui montre à quel point l’expérience à touché l’apathie
émotionnelle = machinisme d’auto-défense face au douleur.
Aussi référence à Primo Levi, on construit une dimension universelle, collective, elle se rapproche à
un autre échappé = établit un lien entre les expériences individuelles, qui sont différents mais qui
toutes racontent et prouvent les memes choses.

TEMOIGNAGES MUSEE IMMIGRATION

 L’ARPILLERA DE MARIA

Sorte de couverte, plusieurs morceaux de tissu cuciti ensemble qui représentent des scènes de vie
quotidienne. Cet objet est liée à un contexte politique spécifique de la dictature, ils étaient réalisées
par les femmes prisonnières, comme acte de rébellion, pour protester contre la violence de la
dictature.

partie introductive = retour au chili après la fin de la dictature;

partie = de la ligne 14 au ligne 21 on retour en France;

partie descriptive = de la ligne 21, on a description de l’arpiera avec l’explication du lien avec sa famille
et puis on a l’explication de valeur affective de cet objet.

On comprenne qu’elle raconte quelque chose q’elle a vécu en premier personne elle dit “mon frère,
mon..”

On a aucune négociation, aucun protocole, aucun raison pour entrer au récit, pas de motif de justifier le
discours narratif: elle commence à parler sans sollicitation parce que si les personnes écoutent cette
témoignage ça signifie qu’ils sont intéressés.

On a des extraits, des morceaux dans le discours: le musée a fait une collage des différents parties du
discours de Maria et les a mis ensemble.

Caractéristiques linguistiques: indication temporelle “dans années 90”, aussi information locative “au
chili” = éléments d’orientation

Emploi du passé composé qui assure la progression temporelle, (temp pour raconter quelque chose).

Clôture de cet récit introduite par “mais” “on n’avait confiance dans la France”. On a chute, la coda ou
rien sera comment avant de la ligne 11 a 13. Present indicatif permet passage du passe au present de
l’énonciation.

Puis on a “on” attribue à cette expérience una valeur /dimension collective.

“Vrai famille, vraiment” = elle tienne beaucoup à renforcer le valeur de l’authenticité. On a le retour en
France après le période en chili, phrases fonction explicatives pas vraiment narratives, qui explique les
raisons du retour en France.

On comprend qu’il y a une niveau de solidarité, d’empatie entre les membres de la famille de Marie, les
enfants comprennent les raisons pour le retour en France tout seules, sans que les parents les leur
expliquent, ils les comprennent par exemple à travers le silence et aussi par des gestes mémo-
gestuelles. Le but c’est de construire un meilleur avenir en France!
Deuxième partie: description de l’objet. Elle donne la définition qui se fonde sur une analogie, elle dit
“c’est la version meilleur de le patchwork”, puis elle nous donne le contexte politique de la dictature et
explique que c’était un acte de résistance.

Elle veule donner une valeur universale à cet objet et à sa expérience, pour cette raison elle change au
“on” inclusif, ligne 33-34, elle propose une réflexion qui est une sorte de chute finale à son discours.

Il est construit sous forme des énonciatif évaluatifs, puis on a des moralisateur comme“me semble”,
enfin on a aussi l’emploi encore un fois du adverbe “vraiment” pour renforcer la validité de son récit.

 LE CROCHET – MOLOSSI
Premier partie = raconte ce qui c’était passé, utilisation de l’imparfait qui relate évènements
récurrentes, souligne la récurrence de ces événements fréquentes, utilisé pour la construction des
habitudes du passée. On a des elements d’orientation, indications temporelles “2 ou 3 ans” de la
fille, ansi c’est u peu vague, aussi indication spatiale “le voyage, la route de la France vers l’Italie”,
ensuite il raconte cet épisode, raconte que sa fille a compris que la route changeait, dimension
émotionnelle. Fin du récit on l’a quand la fille dit au père “on est arrivés, on est en Italie”. Enonces
explicatives ligne 12,13, explique mieux le contexte pour mieux comprendre. Ligne 8-9
commentaire explicatifs aussi, commentaire sur la petite fille qui explique, dernier partie ligne 15-
17 forme d’expression émotionnelle, chute, coda de premier récit, commentaire très émotif et
subjectif. Mobilisation d’une dimension émotionnelle qui manifeste l’attachement à so pays, sa
langue, sa culture italienne, se manifesta aussi dans l’emploi d’un mot “gancio” utilise le mot italien
pour definir l’object, il utilise jamais le mots “crochait”, il utilise quel l’italien = attachement à sa
langue, sa culture, donc ce mot est connotée qui a un valeur effectif.

Deuxième partie = ligne 18 parle du “crochet” de l’objet. commence de la définition au ligne 23,
narration de l’usage de l’objet. Il s’agit de la transmission de la mémoire familiale et collective,
quand il dit de la ligne 31 “le travail des hommes, pour le pauvres…” il fait référence à la
collectivité, à l’ensemble de personnes qu’il se trouvaient dans celle situation = object qui
symbolise la condition des hommes dans ce période, époque passé de la classe sociale pauvres.
Mot “gancio” = mot déictique et mots generale pour le définit comme ça, quelque chose, seul
terme spécifique pour le designer c’est le mot italien, le mot français n’a pas le même valeur pour
lui, au ligne 33 sorte de chute.

 TAOUFIK

Indication locative: a Constantine, le ville, puis introduction des actants “mon pere” qui est le protagoniste,
récit à la 3 personne, il était le témoin, pas protagoniste de ces événements mais c’est le fils qui a assiste a
ces événement et les raconte. Puis on a la description du scenario, information sur le père “il était
musicien…” ligne 4 on a le développement du récits, les parachutistes nouvel et deuxième actant, on trouve
la complication typique que c’est l’interprétation des parachutistes, ils trouvent les carnets et pensent qu’ils
sont des documents secrets et qu’il soit une espionnage. On dit qu’ils ont pris son père ils sont emprisonné,
passe composer permet la progression du récit. Récit termine au ligne 11-12, on a le résultat, quelqu'un
reconnait qu’ils sont de la poésie et donc il le laissent. Il s’agit des carnets poétiques et musicales et donc il
est libéré. Sorte de chute au ligne 12-13 considération, commentaire du père qui fonctionne comme coda.
Discoure apporté direct. On a à la description de l’objet, les carnets, on a aussi des commentaire évaluatifs
et subjectif, puis on peut dire que l’objet matériel constitue un objet évènement = c’est un objet qui
rappelle une évènement spécifique, c’est a dire l’arrestation du père et puis sa libération. Il s’agit de
mémoire familiale (histoire de son père) et puis culturelle (amour pour la poésie, musique).

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