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Baarouk

Description :
La région du Baarouk, de par son rôle durant la Conflagration, comme le champ de
batailles le plus important de la guerre, possède un aspect de désolation totale. En effet, le
baarouk étant la seule région ayant tombé au mains des Archidémons durant la Conflagration,
la région fut, par conséquent, l’hôte des batailles les plus importantes et destructrices de ce
temps.
Allant de citées, villes et villages fantômes et dévastés, en passant par des terres
devenue infertiles, tout aspect de contrée morte se voit présent au sein du Baarouk. Mais le
plus gros dégâts que le Baarouk est subit ne se voit pas en ceux-là, mais en la perturbation
magique qui vit en ces terres. En effet, quiconque, se trouvant au Baarouk, se sert de la magie,
se voit surpris par divers effets secondaires et ce de manière aléatoire.

Peuple :
Pour ce qui de la question d’habitant au sein du Baarouk, bien que lors de
Conflagration la quasi-totalité des population de la région est soit partis se réfugier dans les
autres régions du monde, soit a péri durant les évènements d’alors. Toutefois, certains
individus décidèrent de rester ce qui au fil des générations donna naissance aux tribus y vivant
actuellement, ces-derniers étant connues au nombre de quatre. Toutefois, l’ouverture des
plans par la Création lors de la Conflagration amena différentes entités, en passant des Dieux,
à de nouvelles espèces d’animaux et allant jusqu’à l’apparition des fées en Agaroth. Or il
s’avère que, de par sa perturbation magique, le Baarouk se voit être la région la plus touché
par l’apparition de nouvelles entités, amenant a une cohabitation entre ces-derniers et les
diverses tribu peuplant les contrés du Baarouk.
La première tribu, connue sous le nom de la tribu « Kuuchid », est une tribu vivant au
sein des forêt du Baarouk. Principalement composée d’Elfes, d’Hobbit et de Gnomes (les
autres races étant minoritaire), la tribu Kuuchid, ayant pris racine au sein de la forêt
« Etugen », s’est vue vivre en harmonie avec des entités féerique, notamment des Pixies et
autre Nymphe. De par cette cohabitation, cette tribu, au travers des générations, a développer
une importante culture basée sur la nature, la magie et la compassion, bien que cette-dernière
demeure instable les Kuuchid ont appris à vivre en ces conditions.
Pour ce qui est de la deuxième tribu, aussi nommée « Jaruud », a pour localisation les
monts « Temujin », dans lesquels réside un volcan actif nommé « Burkhan Khaldun ». Cette
tribu, uniquement peuplée de Nains et demi-Orques, ainsi que plus secondairement
d’Humains, à l’inverse de ses comparses Kuuchid, les Jaruud basent leurs dogmes sur la force
et la volonté de fer.
Quant à la troisième tribu, « Onnigud », celle-ci peut être trouvée parmi les étendues
enneigées du Baarouk, au sein des cavernes souterraines des monts « Oyuunchimeg », des
cavernes creusées de générations en génération par les Onnigud eux-mêmes. C’est au travers
de leurs divers excavations que les Onnigud, formés majoritairement d’Elfes, de Nains et
d’Humains, développèrent des principes de créativité, ingéniosité et architecture, à tel point
que l’aménagement des dîtes cavernes est si développées que l’on pourrait qualifier le tout de
citée sous-terraine. L’expansion perpétuelle des cavernes Onnigud a amené ces-derniers à
découvrir le cadavre, enfoui sous les monts gelés Oyuunchimeg, d’un Titan conservé par le
froid extrême, amenant une certaine admiration pour de telles entités de la part de la tribu.
Pour finir, la tribu d’« Aohans » ... Par où commencer ? Tout d’abord, une notion
importante est à prendre en compte. Au plus vous vous enfoncez dans les terres du Baarouk,
au plus la perturbation magique s’intensifie, or les différents lieux de vie, existants avant la
Conflagration (villes, villages, etc ...), se concentraient dans les plaines centrale du Baarouk.
Maintenant, quel rapport entre les spécificités de la perturbation magique et la tribu Aohans ?
Eh bien, cette-dernière, après la Conflagration, n’a pas pu se résigner à abandonner son
habitat d’origine, en plein centre du Baarouk, dans la capitale « Bayan », devenue alors
dévastée, fantôme. Ce faisant, au fil des générations, les Aohans payèrent le prix de leur
décision et changèrent petit à petit, eux et leurs alentours. En effet, ceux qui furent Humains
développèrent divers types de lycanthropie, ceux qui furent Elfes se voient être devenues des
Drows (Elfes noir), ceux qui furent Orques, ou demi-Orques, apparaissent aujourd’hui comme
des Ogres, ou demi-Ogres, ceux qui furent Nains prirent l’apparence de Duergars (Nains
sombres), ceux qui furent Gnomes et Halfelins sont, de nos jours, des Goblins et pour ce qui
est resté des animaux, domestiques ou sauvages, ceux-ci se sont transformés également, que
ce soit en Gnols, en Naga, en Goule ou bien d’autre encore. De plus, l’intensité de la
perturbation magique, subit par les Aohans, n’a pas seulement affecter la physiologie du
vivant, mais aussi la nature de la magie que ces-derniers usent, devenant une concentration
d’utilisateur de magie noir. Tout cela amenant à une société plus intéressée par l’idée de
survivre plutôt que développer une culture, des dogmes et autre ...

Pouvoir Politique :
De par la destruction de toute civilisation au sein du Baarouk, il n’y existe pas de
système de pouvoir politique centralisé. En effet, les quatre tribus ne sont jamais rentré en
communication et ce depuis la Conflagration, malgré le fait qu’elles connaissent leur
existence l’une de l’autre, à l’exception des Aohans, considérés comme n’ayant pas survécu
par les autres tribus. Ce faisant, chaque tribu possède sa propre interprétation du pouvoir
politique. Toutefois, toutes ont gardé en mémoire, à travers les siècles, le conte d’un puissant
dirigeant ayant réussi a unifier les peuples du Baarouk il y a de cela des millénaires, créant
ainsi le Baarouk tel qu’il fut avant la Conflagration. Ce conte attribut à cet individu de
légende le titre d’« Adya ». Mais depuis la chute des Archidémons, nul n’a réussi à recréer la
légende, malgré bien des tentatives.
Les Kuuchid ont pour chef désigné un « Batu ». La Batu actuel se trouve être Goa
Geriel une Elfe aux vertus druidique, protégeant son peuple depuis 194 ans.
Quant aux Jaruud, ceux-ci se voient avoir pour dirigeant un « Bathuan ». Le dernier
Bathuan en date n’est autre que Jochi Monkhbat, un demi-Orque ayant l’esprit de milles
combattants et le corps du plus puissant des barbares, qui se trouve invaincu depuis 42 ans.
Pour ce qui est des Onnigud, ces-derniers ne possèdent pas de chef, ou de champion,
comme leurs comparses, à la place cette-tribu ce voit diriger par un système de conseil formé
de quatre dirigeants, ayant pour titre les « Oktai ». Le conseil est composé de :
- Ulagan Oktai, un Nain siégeant au conseil depuis 24 ans et responsable des excavations
- Chimeg Oktai, une Elfe siégeant au conseil depuis 98 ans et responsable des habitations
- Munkhtsetseg Oktai, une Halfelin siégeant au conseil depuis 12 ans et responsable de
l’approvisionnement alimentaire
- Yesuntei Oktai, une Humaine siégeant au conseil depuis 30 ans et responsable sanitaire et
médical.
Enfin, au sein de la tribu Aohans, le dirigeant en place s’est vu abandonné son nom il
y a de cela 362 ans, au profit du titre auto-proclamé d’Adya. Nul ne connais ni sa race, ni son
genre, en revanche tous les Aohans connaisse la puissance redoutable de celui qui se fait
appeler l’Adya. La puissance que celui-ci tire de la magie noir lui a alloué une longévité
surnaturelle, digne d’une Liche ...

Cultures et Religions :
Les divers tribu du Baarouk ont toutes pour point commun une chose, un principe de
rituel mis en place dans l’idée de former leurs individus aux responsabilités de leur
communauté au travers de tests, de défis en somme, afin de prouver leur valeur et leur
maturité, et ainsi passer de manière officielle à l’âge adulte. Toutefois, la tribu Aohans, pour
qui les principes de survie et de loi de la jungle prévaut, ne possède pas ce point commun.
Les Kuuchid ont défini comme rituel de passage à l’âge adulte et ainsi devenir un
« Enkhtuya », le fait de parvenir à dompter, n’importe quelle entités de la forêt, non pas par la
force mais par méditation et communion avec la faune et la flore.
Les Jaruud ont, pour rituel de passage à l’âge adulte afin de devenir un « Batsaikhan »,
un voyage au cœur du volcan, qui depuis la Conflagration est devenue une porte vers le plan
élémentaire du feu, afin d’y affronter les entités de feu y résidants.
Quant au rituel de passage à l’âge adulte des Onnigud, pour obtenir le titre de
« Tarkhan », celui-ci consiste simplement en la création de quelque chose, pouvant aller de
créer quelque chose d’artistique, d’architectural, d’ingénierie ou encore d’utilitaire.
Pour ce qui est de la religion au sein des tribu du Baarouk, nous pouvons observer,
pour certaine tribu, une certaine diversité théologique, ce qui est le cas pour les tribu des
Kuuchid et des Onnigud. En effet, les Kuuchid peuvent se voir trouver leur foi dans les bras
d’Arcanna (Déesse de la Magie), de Dénora (Déesse de la Compassion et de la Guérison), de
Mélenna (Déesse des Forêts et des Animaux) et de Suëlle (Déesse de la Beauté et de
l’Amour). Les Onnigud, quant à eux, se sont retrouver parmi Arshran (Dieu du Feu et des
Forgerons), Gaëlm (Dieu des Arts et des Artistes), Gorom (Dieu de la Pierre et des
Architectes), Jeweln (Dieu des Souterrains et des Mineurs) et Trennër (Dieu du Temps et des
Ancêtres).
Et, à contrario, les tribus Jaruud et Aohans, de leur côté, sont grandement prédominées
par une divinité. Pour les Jaruud cette divinité n’est autre que Forthur (Dieu du Courage et des
Exploits physique). Quant à la tribu Aohans, celle-ci se réfugie parmi les prières destinées à
Mirandia (Déesse du Sommeil et des Rêves), pour mieux oublier l’enfer de Bayan et ce
malgré les désir de l’Adya d’imposer Morn (Dieu de la Mort et de l’Au-delà).

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