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Vibrations et Acoustique
U.E. EMPAI2D1
Contacts :
xavier.jacob@univ-tlse3.fr
2019-2020
Table des matières
1 Exercices de programmation 5
1.1 Vibrations d’une corde (1D) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.2 Vibrations d’une membrane (2D) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.3 Vibration d’une poutre encastrée-libre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.4 Rayonnement d’un monopôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
1.5 Diagramme de rayonnement d’un dipôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
1.6 Intensité rayonnée par un quadripôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2 Sujets d’exercices 11
2.1 Barre en traction-compression . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.2 Poutre en flexion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.3 Sphère pulsante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.4 Dipôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.5 Quadripôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.6 Source circulaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
2.7 Réseau linéaire de sources rectangulaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
3 Contrôles continus 28
1 Exercices de programmation
avec ωn = ckn = c nπ
L
∂y
Les coefficients de la série se calculent à partir des conditions initiales y(x, 0) et ∂t (x, 0) de la
manière suivantes :
2 L
Z
An = y(x, 0)sin(kn x)dx
L 0
Z L
2 ∂y
Bn = (x, 0)sin(kn x)dx (1.2)
ωn L 0 ∂t
Pour une corde pincée, on adopte les conditions initiales suivantes, et les données d’entrée du
tableau ci-après :
— la position initiale est donnée par un profil triangulaire tel que y(x = a, 0) = h.
— la corde est lâchée sans vitesse initiale
On montre que :
2hL2
An = sin(kn a)
π 2 a(L − a)n2
Bn = 0 (1.3)
5
Tension T Masse linéique µ Longueur L Position a Hauteur h
160 N 0.002 kg/m 0.32 m 0.1 m 0.005 m
1. Pour paramétrer les données d’entrée, on peut réécrire les expressions à l’aide de nombres sans
dimension (par exemple a/L).
2. Programme le calcul des An et Bn
3. Pour le calcul numérique, on doit fixer l’ordre de la série à N . Pour assurer que l’ordre N choisi
est suffisant, fixer un critère basé sur l’amplitude relative des coefficients de la série. (par exemple,
on néglige les modes dont l’amplitude est < à 10% de l’amplitude maximale.
4. Automatiser le choix de N à partir de ce critère.
5. Paramétrer la discrétisation spatiale et temporelle en fonction N .
6. Programmer le calcul des déformées modales yn (x).
7. Écrire un premier script permettant de vérifier la déformée de chaque mode.
Il y a différentes options pour animer la visualisation des oscillations en fonction du temps, dont :
— Calcul de toutes les données y(x, t) puis, dans un second temps, l’affichage et la sauvegarde des
figures.
— Calcul ”à la volée” de y(x, ti ) et affichage au cours des itération temporelles du calcul.
8. Ecrire un deuxième script qui calcule l’ensemble des données dans une matrice, puis réalise
l’affichage pour chaque pas de temps.
9. Ecrire un troisième script qui, pour chaque pas de temps, calcule les données et réalise l’affichage.
10. Comparer les vitesses d’exécution des deux programmes.
11. Pour simplifier/optimiser votre code :
— ”vectoriser” le calcul de y(x, t) ou y(x, ti ) pour supprimer au maximum les boucles
— utiliser une fonction ”anonyme” pour programmer le calcul sous forme symbolique.
Conditions initiales
Pour compléter le programme, on envisage de prendre en compte des conditions initiales arbitraires,
fournies sous la forme d’une fonction (voire de données d’entrée numériques).
12. Programmer une fonction qui calcule des conditions initiales, c’est à dire qui fourni en sortie
∂y
deux vecteurs correspondants à y(x, 0) et ∂t (x, 0). Pour comparer avec la résolution précédente,
on pourra programme le profil de corde pincée. L’échantillonnage spatial pourra être paramétré
en entrée.
13. Programmer le calcul des Bn et An par intégration (équations (1.2)) par le méthode de votre
choix trapz,....
6
14. Dans le cas où la condition initiale est fournie sous forme d’un fonction, utilisez trapz,... pour
réaliser l’intégration.
15. Dans le cas de la corde pincée, les intégrales qui définissent Bn et An sont calculables analyti-
quement, utiliser les fonction de calcul symbolique pour réaliser ce calcul.
16. Intégrer l’appel à ces fonctions dans un quatrième script, pour comparer aux résultats précédents.
1 ∂ 2 u(r, θ, t)
∇2 u(r, θ, t) − =0
c2 ∂t2
p
avec c = T /µs
∂2u 1 ∂u 1 ∂2u
et où ∇2 u = ∂r2
+ ∂r ∂r + ∂r2 ∂θ2
.
La recherche d’une solution par séparation des variable, : u(r, θ, t) = R(r)Θ(θ)T (t) abouti aux
solution suivantes :
Jm (ka) = 0 (1.5)
7
qui permet, pour m donné, de déterminer les fréquences de modes propres à partir des valeurs possibles
de k, qu’on notera kmn .
La solution prends alors la forme :
∞ X
X ∞
u(r, θ, t) = Jm (kmn r) [C cos(mθ) + D sin(mθ)] [Amn cos(ωmn t) + Bmn sin(ωmn t)]
m=1 n=1
1. Utiliser la fonction fzero pour déterminer les fréquence des premiers modes (n < 4), solutions
de l’équation (1.5), pour m ∈ [0, 5].
2. Programmer le calcul et la visualisation des déformées modale
3. Finaliser par l’animation au cours du temps.
∂ 2 v EI ∂ 4 v
+ =0
∂t2 ρS ∂x4
8
Les déformées modales sont alors données par :
Avec
sinh(βn L) − sin(βn L)
σn = (1.10)
cosh(βn L) + cos(βn L)
Pour la représentation des modes propres de la poutre (indépendamment des conditions initiales), on
peut utiliser l’expression :
∞
X
v(x, t) = φn (x) [An cos(ωt) + Bn sin(ωt)] (1.11)
n=1
Vibrations forcées
Des oscillations forcées résultent :
— soit de conditions aux limites qui varient au cours du temps.
— soit d’une force extérieure f (x, t) exercée le long de la corde.
Dans le premier cas, la décomposition modale n’est plus possible (sauf pour des formes très simples
de conditions aux limites). Dans le second cas, l’équation d’onde (1.1) comporte un second membre,
que l’on peut projeter sur la base modale.
Ces situations peuvent être abordée numériquement de deux manières :
— par différences finies dans tous les cas (voir par exemple ce code).
— par projection modale dans le second cas
A suivre..
En présence d’un plan réfléchissant infini, la méthode dite ”source-image” permet de calculer le
rayonnement en tout point (du demi-espace situé du coté de a source). Pour cela on définit une source
”virtuelle”, image de la première, dont la position est symétrique par rapport au plan réfléchissant. La
superposition des pression rayonnées
9
1.5 Diagramme de rayonnement d’un dipôle
1. Écrire une fonction permettant de calculer le champ de pression rayonné par un dipôle et de la
visualiser en 2D.
2. Représenter le diagramme de rayonnement du dipôle (amplitude en échelle linéaire ou logarith-
mique, en fonction de l’angle)
3. Utiliser cette fonction pour calculer le rayonnement du premier mode d’un diapason
10
2 Sujets d’exercices
Vibrations libres
1. Rappeler la mise en équation pour des vibrations longitudinales u(x, t), qui abouti à l’équation
suivante :
∂2u E ∂2u
− =0 (2.1)
∂t2 ρ ∂x2
2. Quelle est la forme de cette équation pour une poutre de section non constante S(x).
3. Donner les solutions générales de l’équation 2.1.
4. Utiliser la méthode de séparation des variables pour obtenir les solution sous la forme d’ondes
stationnaires.
5. Exprimer les conditions aux limites pour la barre encastrée a ces deux extrémités et donner
l’expression de la solution.
6. Donnez les fréquences des deux premiers modes propres, et représenter les déformées de la barre.
7. Exprimer les conditions aux limites pour la barre encastrée en x = 0, et libre en x = L.
8. Donnez les fréquences des deux premiers modes propres, et représenter les déformées de la barre.
Conditions initiales
On se place dans le cas de contions aux limites encastrée-libre. A l’instant initial t = 0, une force
constante F0 est appliquée à l’extrémité libre de la barre, et on considère que la vitesse est nulle
∂u
∂t (x, t = 0) = 0.
∂u F0
9. La condition initiale se traduit par : ∂x (x, t = 0) = ES . En déduire l’expression de u(x, t = 0)
10. Rappeler l’expression de la solution u(x, t) sous la forme d’une superposition de modes propre,
∂u
et calculer la vitesse ∂t
11. Montrer que la prise en compte des conditions initiales revient à calculer les coefficients d’une
série de Fourier.
11
12. Calculer ces coefficients pour montrer que :
∞
8F0 L X (−1)n+1
u(x, t) = 2 cos(ωn t)sin(kn x)
π ES (2n − 1)2
n=1
(2n−1)π
Avec kn = 2L
∂ 2 v EIOz ∂ 4 v
+ =0
∂t2 ρS ∂x4
4. Exprimer les conditions aux limites suivantes : l’extrémité en x = 0 est encastrée et celle en
x = L est libre.
5. Montrer que la prise en compte des conditions aux limites prends la forme d’un système linéaire
d’ordre 4, portant sur les constantes C, D, E, F .
6. Montrer que ce système admet des solutions à la condition :
12
10. Comparer la pulsation du premier mode propre pour des vibrations en compression et en flexion.
On rappelle que les pulsations des modes propres pour une barre en traction-compression sont
données par l’expression suivante (pour les mêmes conditions aux limites) :
(2n − 1)πcL
ωn =
2L
p
Avec n entier et cL = E/ρ
11. Pour une poutre de section pleine (a × a), quelle valeur a permet d’obtenir une fréquence de
440Hz pour le premier mode de flexion ?
12. Dans le cas d’une section section creuse, avec c = 3mm, quelle nouvelle valeur de a faudrait-il
choisir ?
13. Quelle est l’influence de cette différence de section sur le fonctionnement du diapason ? Une
section creuse ou une section rectangulaire est-elle plus intéressante ?
14. Le diapason est constitué de deux branches qui se rejoignent sur une tige. Comment faudrait-
il dimensionner la tige pour que son premier mode en traction-compression ait également une
fréquence de 440Hz ? On se placera dans le cas d’une section carrée pleine (cf. question 10).
Pourquoi les diapasons sont pas constitués d’une seule branche ?
13
5. Calculer l’intensité acoustique a partir des résultat précédents, puis la puissance acoustique
rayonnée : ZZ
W = ~ ndS
I.~
S
(flux d’intensité acoustique à travers une sphère de rayon unité). Montrer que lorsque la source
est de petite taille (comparée à la longueur d’onde), la puissance s’exprime :
ρ0 ω 2 Q2
W =
8πc
.
2.4 Dipôle
Deux sources sphériques ponctuelles sont séparées d’une
distance d. Elles émettent des ondes sphériques de même
amplitude, en phase ou en opposition de phase, soit des
pressions de la forme :
iωρ0 Q i(ωt−kr1/2 )
p1/2 (r, t) = ± e
4πr1/2
4. En déduire une expression simplifiée de p(r, θ), en ne conservant que les terme du premier ordre
en d/r :
2dck 2 ρ0 Q
1
p(r, θ, t) = − sin θ 1 + e−ikr
4πr ikr
5. Donner l’approximation de champ lointain de cette pression et représenter schématiquement la
directivité du dipôle.
6. Calculer l’expression des deux composantes, vr et vθ , de la vitesse particulaire à partir de
l’équation d’Euler.
14
8. Montrer que la puissance W rayonnée à travers une sphère de rayon r est :
4 2 2
~ = ρ0 ω 4d Q
ZZ
W = ~ dS
I.
S 12πc3
9. Comparer la puissance rayonnée par le dipôle à celle du monopôle de l’exercice précédent. Le
dipôle est-il efficace pour les basses fréquences ?
10. Quel est l’intérêt des sources élémentaires de type monopôle, dipôle ou quadrupôle en terme de
modélisation ? Quelles sont les limites de ce type de modèles de rayonnement ?
2.5 Quadripôle
La pression rayonnée par le quadripôle est donnée par
l’expression suivante :
Ak 2 2 2
i(ωt−kr)
p(r, t) = 3 cos θ − 1)(1 + ikr) − (kr) cos θ e
r3
où A est le facteur d’amplitude, qui dépend du débit vo-
lumique des sources et de la distance les séparant. Le
point d’observation M (r, θ), est repéré en coordonnées cy-
lindriques.
15
4. Montrer que la vitesse particulaire tangentielle est
donnée par :
6k k 2
1 ik
vθ (r, t) = 2 − 2− cos θ sin θ
r 3 r r
Deux microphones, espacés d’une distance ∆r, délivrent des signaux de pression notés p1 (t) et
p2 (t).
1. Montrer, à l’aide d’une discrétisation de l’équation d’Euler, que la vitesse particulaire peut être
approximée par :
i
v≈ (p2 − p1 )
ρ0 ω∆r
.
2. Estimer l’ordre de grandeur de l’erreur et commenter.
3. Montrer que l’intensité acoustique moyenne, donnée par I~ = 1
2 Re(p~v ∗ ), peut être obtenue à
partir des deux signaux de pression sous la forme suivante :
Re(p1 p∗2 )
I(ω) =
2ρ0 ω∆r
4. Comment mesurer les différentes composantes de l’intensité à l’aide de cette sonde à deux
microphone ?
16
Figure 2.4 – Source circulaire
Pour une source circulaire, l’expression de la pression sur l’axe Oz est donnée par :
h √2 2 i
p(z, t) = ρ0 cVS ei(k z +a −ωt) − ei(kz−ωt)
3. Discuter suivant la valeur de a l’existence (ou non) de valeurs de z pour lesquelles la pression
s’annule.
4. Calculer l’expression de zM , position du dernier maximum de pression
5. Représenter l’amplitude de la pression en fonction de z, pour différentes valeur de a.
17
6. Rappeler quelle condition correspond à l’approximation de champs lointain.
7. Représenter la fonction de directivité pour différentes valeurs de a. Commenter.
8. Rappeler sur quelle principe repose cette décomposition de la source en sources infinitésimales ?
Que représente Q ? Quelles conditions doivent respecter les dimensions a, b, dX et dY de l’élément
de source pour que cette sommation soit justifiée.
9. Montrer que la pression rayonnée dans la direction ~k peut s’écrire :
ZZ
p(~k) = A0 e−iφ dXdY
S
18
— Simplifier l’expression de I(~k) dans le cas où la direction d’observation ~k est dans le plan
Oxz
Représenter schématiquement, et commenter, les diagrammes de directivité de cette source
suivant les dans les plan Oxz et Oyz.
13. En vous aidant de la figure 2.6, pour a = 1 mm et f = 5 MHz, dans l’eau :
— calculer les valeurs de θ pour lesquelles la pression rayonnée est nulle
— de la même manière, calculer l’ouverture angulaire de la source à −3dB
1 sinc(x)
0.8
sinc2 (x)
sinc(x) et sinc2 (x)
0.6
0.4
0.2
-0.2
0 1 2 3 4 5
x
On considère à présent un réseau de N sources rectangulaires, représenté figure 2.7, placé le long
de la direction x, dans le plan (x, y). Les sources sont identiques à celle de figure 2.5, et respectent les
hypothèses b >> a et b >> λ. Le pas du réseau d est du même ordre de grandeur que la largeur a
des éléments. On s’intéresse au rayonnement de cette association de source, en champ lointain, dans
le plan Oxy, la direction de propagation est donc déterminée par l’angle θ.
1. D’après les résultats précédents, que peut on dire du rayonnement dans un plan Oyz ?
2. Si toutes les sources émettent en phase, montrer que le déphasage entre deux sources voisines
s’écrit : φ = 2πd sin(θ)/λ
19
Figure 2.7 – Réseau de sources rectangulaires, vues de face et de dessus
3. On donne l’amplitude de l’onde de pression rayonnée par une source dans une direction θ sous
la forme :
πa sin θ
dp = A0 sinc
λ
Calculer la somme des amplitudes p(θ), et en déduire que l’intensité acoustique s’exprime :
2
2 πa sin θ sin(πN d sin(θ)/λ)
I(θ) = I0 sinc
λ πN d sin(θ)/λ
Rappel : la somme des N premier termes d’une suite géométrique un+1 = run débutant pour
N
n = 1, est donnée par u1 1−r
1−r
20
Eléments de corrections
Barre en traction-compression
Vibrations libres
1. Faire un schéma pour indiquer les axes et les notations. On applique le PFD à un tronçon de
poutre situé entre x et x + dx.
∂2u
ρSdx = N (x + dx) − N (x)
∂t2
Avec N la force exercée sur la section de poutre (en x ou x + dx).
∂N
Pour dx petit : N (x + dx) = N (x) + ∂x dx
N
D’après le formulaire, la loi de Hooke pour une barre s’écrit : S = E ∂u
∂x
On obtient :
∂2u
∂N ∂ ∂u
ρSdx 2 = dx = ES dx
∂t ∂x ∂x ∂x
Soit après simplification :
∂2u E ∂2u
− =0
∂t2 ρ ∂x2
2. Pour un poutre de section non constante, on ne peut pas sortir la section S(x) de la dérivée du
second membre et l’équation reste :
∂2u
E ∂ ∂u
2
= S(x)
∂t ρS ∂x ∂x
3. Les solution générale de cette équation onde, sans conditions aux limites, sont des ondes
progressives : u(x, t) = f (t − x/c) + g(t + x/c)
4. On pose u(x, t) = f (x) × g(t), et on obtient :
1 d2 f 1 d2 g
c2 =
f dx2 g dt2
d2 f 2
en posant ω 2 une constante positive, on sépare en deux EDO portant sur f et g : dx2
− ωc2 f = 0
d2 g
et dt2
− ω 2 g = 0. Dont les solutions se combinent sous la forme d’ondes stationnaires :
avec k = ω/c
nπ
5. u(0, t) = 0, ∀t donne A = 0 u(L, t) = 0, ∀t donne sin(kL) = 0, soit kn = L avec n entier. D’où
ncπ
les pulsation propres : ωn = ckn = L et l’écriture des solutions comme une superposition de
modes propres :
∞
X
u(x, t) = sin(kn x) [Cn cos(ωn t) + Dn sin(ωn t)]
n=1
cπ 2cπ
6. ω1 = L, ω2 = L Pour les déformées de la barre, schématiser sin(k1 x) (1/2 période) et sin(k2 x)
(1 période) sur [0, L].
21
∂u
7. u(0, t) = 0, ∀t donne A = 0 ∂x (L, t) = 0, ∀t (c’est à dire pas d’effort appliqué) donne cos(kL) = 0,
(2n−1)π (2n−1)cπ
soit kn = 2L avec n entier. D’où les pulsation propres : ωn = ckn = 2L
cπ 3cπ
8. ω1 = 2L , ω2 = 2L Pour les déformées de la barre, schématiser sin(k1 x) (1/4 période) et sin(k2 x)
(3/4 période) sur [0, L] : déformation maximale pour x = L (et nœud de vibration en x = 0).
Conditions initiales
F0
9. Par intégration : u(x, t = 0) = ES x
10.
∞
X
u(x, t) = sin(kn x) [Cn cos(ωn t) + Dn sin(ωn t)]
n=1
∞
∂u X
= sin(kn x) [−ωn Cn sin(ωn t) + ωn Dn cos(ωn t)]
∂t
n=1
∞
∂u X
(x, t = 0) = ωn Dn sin(kn x)
∂t
n=1
ZL
2 ∂u
Dn = (x, t = 0) sin(kn x)dx
ωn L ∂t
0
Pour le démontrer : multiplier les deux équations précédentes par sin(kn x) et intégrer sur [0, L].
On peut aussi projeter les deux relations sur la base des modes propres sin(km x), et les modes
RL
propres étant orthogonaux donc : sin(kn x) sin(km x)dx = 0 si n 6= m.
0
∂u
12. Dans le cas présent, ∂t (x, t = 0) = 0, donc Dn = 0
Le calcul de Cn se fait par intégration par parties.
Poutre en flexion
22
(b−c)(a−2c)3
soustraire, donc leur inertie est : I2 = 12 .
ba3 (b−c)(a−2c)3
On obtient : IOz = I1 − I2 = 12 − 12 Remarque : méthode alternative, en sommant les
inerties des trois rectangles ”non vides”, mais pour la base et le sommet du I, il faut utiliser la
formule de changement d’axe (car l’axe Oz ne passe pas par les centres de gravité.
2. Faire un schéma pour indiquer les axes et les notations. On applique le PFD à un tronçon de
poutre situé entre x et x + dx.
∂2v
ρSdx = Qy (x + dx) − Qy (x)
∂t2
Avec Qy l’effort tranchant exercée sur la section de poutre (en x ou x + dx). Pour dx petit :
∂Qy
Qy (x + dx) = Qy (x) + ∂x dx Soit :
∂2v ∂Qy
ρS =
∂t2 ∂x
La première hypothèse d’Euler Bernoulli intervient quand on applique le théorème du moment
dynamique : on néglige l’inertie de rotation (donc la somme des moments autour de l’axe z est
nulle) soit : Mz (x + dx) − Mz (x) − Qy dx = 0, D’où l’expression de l’effort tranchant
∂Mz
Qy = −
∂x
.
La deuxième hypothèse d’Euler-Bernoulli permet d’exprimer la courbure de poutre en fonction
du moment Mz uniquement (on néglige l’influence des efforts tranchant sur la courbure :
∂2v
Mz = EIOz
∂x2
∂2v ∂2 EIOz ∂ 2 v
+ =0
∂t2 ∂x2 ρS ∂x2
∂ 2 v EIOz ∂ 4 v
+ =0
∂t2 ρS ∂x4
EIOz
3. On pose u(x, t) = f (x) × g(t), et c2 = ρS et on obtient
1 d2 f 1 d2 g
c2 =
f dx4 g dt2
d2 f 2
. En posant ω 2 une constante positive, on sépare en deux EDO portant sur f et g : dx4
− ωc2 f = 0
d2 g
et dt2
− ω 2 g = 0. Les solutions pour la deuxième équation sont de la forme :
Pour la première équation, on recherche des solutions sous la forme ekx . L’équation caractéristique
q
ω2 ω2
est d’ordre 4 : k 4 = c2
, qui a 4 racines, deux réelles et deux imaginaires : k = ± 4 c2
et
23
q
ω2
k = ±i 4 c2 q
4 ω2
D’où des solution pour f , avec β = c2
:
v(0, t) = 0
∂v
(0, t) = 0
∂x
En x = L, extrémité libre donc le moment de flexion et l’effort tranchant sont nuls, soit
∂2v
(L, t) = 0
∂x2
∂3v
(L, t) = 0
∂x3
5. En x = 0 on obtient :
D+F = 0
βC + βE = 0
24
Ce système admet des solutions non nulles si son déterminant est nul, soit après quelques lignes :
cos(βL) cosh(βL) = −1
−1
7. Il faut représenter les fonctions cos(βL) et cosh(βL) , les solutions correspondent aux intersections.
Les valeurs possibles de βL fournissent les nombres d’ondes et les pulsations propres des modes
propres de flexion.
8. Au moins deux options :
— utiliser les fonctions symboliques pour définir f (x) = cos(x) cosh(x) + 1 et en rechercher les
zéros (fzeros) : fzeros(@(x) cos(x)*cosh(x)+1, x0), il faut alors fournir des valeurs
x0 autour desquelles doit être faite la recherche des zéros.
— discrétiser la variable x = βL, et faire une recherche de minimum sur f (x) = cos(x) cosh(x)+
1
1
cos(x)
1/cosh(x)
0.5
cos(x) et 1/cosh(x)
-0.5
-1
0.60 1.49 2.50 3.50 4.50
x/pi
−1
9. cosh(βL) tends vers 0 quand βL tend vers l’infini, donc on se ramène à la recherche des zéros de
(2n−1)π
cos(βL), soit βn = 2L .
10. On peut calculer le rapport des pulsations :
ωnf lexion
r
2L IOz
= βn2
ωncompression (2n − 1)π S
Pour le mode 1, β1 L = 1.87 :
ω1f lexion
r
2 2 IOz
= (1.87)
ω1compression Lπ S
25
(2n−1)π
Pour les modes d’ordre élevé, l’expression des nombres d’ondes est la même : βn = kn = 2L ,
on peut simplifier sous la forme :
ωnf lexion
r
IOz
= kn
ωncompression S
Dipôle
1.
p p
r1 = z 2 + (x − d)2 = r2 + d2 − 2rd sin θ
p p
r2 = z 2 + (x + d)2 = r2 + d2 + 2rd sin θ
2. En faisant l’hypothèse que le dipôle 2 est en opposition de phase par rapport au dipôle 1 :
iωρ0 Q −ikr1 iωρ0 Q −ikr2
p(r, θ) = e − e
4πr1 4πr2
D’où r1 ≈ r2 + dr, avec dr = −2d sin θ L’expression de p est alors similaire à celle d’une
df
différentielle au premier ordre f (x0 + dx) − f (x0 ) = dx dx :
" #
iωρ0 Q e−ik(r2 +dr) e−ikr2
p(r, θ) ≈ −
4π r2 + dr r2
4. On obtient :
iωρ0 Q −ik 1
p(r, θ) ≈ 1+ e−ikr2 × −2d sin θ
4π r2 ikr2
Au premier ordre en d/r :
2dck 2 ρ0 Q
1
p(r, θ) ≈ − sin θ 1 + e−ikr
4πr ikr
5. En champ lointain kr 1 :
2dck 2 ρ0 Q
p(r, θ) ≈ − sin θe−ikr
4πr
Diagramme de directivité : forme de 8, dont l’axe vertical est x.
6. A partir de l’équation d’Euler :
2dk 2 Q
−1 ∂p 2 2
vr = =− 1+ − sin θ.e−ikr
iωρ0 ∂r 4πr ikr k 2 r2
−1 1 ∂p i2dkQ 1
vθ = =− 1+ cos θ.e−ikr
iωρ0 r ∂θ 4πr2 ikr
26
7.
1 |p|2 1
Ir = Re(pvr∗ ) =
2 2ρ0 c 1 + k22r2
Soit en champ lointain :
2
k 2 Q2d
Ir = ρ0 c sin2 θ
4πr
2
k 2 Q2d
1 1
Iθ = Re(pvθ∗ ) = ρ0 c sin θ cos θ
2 4πr 2kr2
Soit en champ lointain :
1
Iθ ≈ ≈0
r4
8. On intègre sur une sphère de rayon r :
π 2π π 2 Z π
k 2 Q2d
Z Z Z
2 2 2
W = Ir r sin θdθdφ = 2πr Ir sin θdθ = 2πr ρ0 c sin3 θdθ
0 0 0 4πr 0
ρ0 ω 4 4d2 Q2
W =
6πc3
9. Pour comparer dipôle et monopole, on prends Q = Q/2 pour les deux dipôles pour assurer que
la source a globalement le même débit volumique On obtient :
Wdipole 1 d2
= k 2 (2d)2 ∝ 2
Wmonopole 3 λ
A fréquence fixée, le dipôle est moins efficace si la distance entre les deux sources est petite
devant la longueur d’onde. Si d λ, le dipôle est plus efficace que le monopole, et d’autant plus
en haute fréquences. En basses fréquences, c’est le monopole qui rayonne le plus de puissance.
27
3 Contrôles continus
28
Contrôle continu
Vibrations et Acoustique, U.E. EMPAI2D1
Master 1 Physique Fondamentale et Applications
2017-2018
Barre en traction-compression
On considère les déformations longitudinales u(x, t) d’une barre homogène de section S, de masse
volumique ρ, de longueur L, et de module d’Young E.
1. Rappeler la mise en équation pour des vibrations longitudinales u(x, t), qui abouti à l’équation
∂2u E ∂2u
suivante : ∂t2
− ρ ∂x2 =0
2. Quelle est la forme de cette équation pour une poutre de section non constante S(x).
3. Donner les solutions générales de l’équation donnée à la question 1.
4. Utiliser la méthode de séparation des variables pour obtenir les solutions sous la forme d’ondes
stationnaires.
5. Exprimer les conditions aux limites pour la barre encastrée a ces deux extrémités et donner
l’expression de la solution.
6. Donnez les fréquences des deux premiers modes propres, et représenter les déformées de la barre.
7. Exprimer les conditions aux limites pour la barre encastrée en x = 0, et libre en x = L.
8. Donnez les fréquences des deux premiers modes propres, et représenter les déformées de la barre.
Poutre en flexion
∂ 2 v EIOz ∂ 4 v
+ =0
∂t2 ρS ∂x4
4. Exprimer les conditions aux limites suivantes : l’extrémité en x = 0 est encastrée et celle en
x = L est libre.
5. Montrer que la prise en compte des conditions aux limites prends la forme d’un système linéaire
d’ordre 4, portant sur les constantes C, D, E, F .
6. Montrer que ce système admet des solutions à la condition :
(2n − 1)πcL
ωn =
2L
p
Avec n entier et cL = E/ρ
10. Pour une poutre de section pleine (a × a), quelle valeur a permet d’obtenir une fréquence de
440Hz pour le premier mode de flexion ?
11. Dans le cas d’une section section creuse, avec c = 3mm, quelle nouvelle valeur de a faudrait-il
choisir ?
12. Quelle est l’influence de cette différence de section sur le fonctionnement du diapason ? Une
section creuse ou une section rectangulaire est-elle plus intéressante ?
13. Le diapason est constitué de deux branches qui se rejoignent sur une tige. Comment faudrait-
il dimensionner la tige pour que son premier mode en traction-compression ait également une
fréquence de 440Hz ? On se placera dans le cas d’une section carrée pleine (cf. question 10).
Pourquoi les diapasons ne sont pas constitués d’une seule branche ?
2
Dipôle
4. En déduire une expression simplifiée de p(r, θ), en ne conservant que les terme du premier ordre
en d/r :
2dck 2 ρ0 Q
1
p(r, θ, t) = − sin θ 1 + e−ikr
4πr ikr
5. Donner l’approximation de champ lointain de cette pression et représenter schématiquement la
directivité du dipôle.
6. Calculer l’expression des deux composantes, vr et vθ , de la vitesse particulaire à partir de
l’équation d’Euler.
ρ0 ω 2 Q2
W =
8πc
. Le dipôle est-il efficace pour les basses fréquences ?
3
Contrôle continu
Vibrations et Acoustique, U.E. EMPAI2D1
Master 1 Physique Fondamentale et Applications
2018-2019
Durée 2h, sans documents, formulaire fourni et calculatrice autorisée
Barre en traction-compression
On considère les déformations longitudinales u(x, t) d’une barre homogène de section S(x), de
masse volumique ρ, de longueur L, et de module d’Young E.
1. Rappeler la mise en équation pour des vibrations longitudinales u(x, t), et à quelles conditions
on obtient l’équation suivante :
∂2u E ∂2u
− =0
∂t2 ρ ∂x2
2. Rappeler les solutions générales de cette équation.
3. Utiliser la méthode de séparation des variables pour obtenir les solutions sous la forme d’ondes
stationnaires.
4. Pour une barre encastrée a ces deux extrémités :
— Exprimer les conditions aux limites et appliquer pour préciser l’expression de la solution.
— Donnez les fréquences des deux premiers modes propres, et représenter les déformées de la
barre.
5. Pour une barre encastrée en x = 0, et libre en x = L :
— Exprimer les conditions aux limites et appliquer pour préciser l’expression de la solution.
— Donnez les fréquences des deux premiers modes propres, et représenter les déformées de la
barre.
Poutre en flexion
1
2. Rappeler les étapes de la mise en équation et les hypothèses d’Euler-Bernoulli, qui permettent
d’obtenir l’équation des poutres en flexion :
∂ 2 v EIGz ∂ 4 v
+ =0
∂t2 ρS ∂x4
3. Utiliser la méthode de séparation des variables pour obtenir les solution sous la forme suivantes,
en précisant l’expression de β en fonction de la pulsation ω :
4. Exprimer les conditions aux limites suivantes : l’extrémité en x = 0 est encastrée et celle en
x = L est libre.
5. Montrer que la prise en compte des conditions aux limites prends la forme d’un système linéaire
d’ordre 4, portant sur les constantes C, D, E, F .
6. Montrer que ce système admet des solutions à la condition :
10. Pour une poutre de section carrée pleine, de coté a = 10 mm, quelle valeur L permet d’obtenir
une fréquence de 440Hz pour le premier mode de flexion ?
11. Pour une poutre de section circulaire pleine, de même longueur L, quelle valeur d permet d’obtenir
une fréquence de 440Hz pour le premier mode de flexion ? Et pour d = 10 mm, quelle nouvelle
longueur L faudrait-il choisir ?
12. Dans le cas d’une section circulaire creuse, avec d = 10 mm et d0 = 7 mm, quelle valeur de L
faudrait-il choisir ?
13. L’une de ces options permet-elle d’économiser de la matière ? Quelle est l’influence des différences
de section sur les vibrations d’un diapason constitué à partir de poutres de ces différents types ?
2
14. Le diapason est constitué de deux branches qui se rejoignent sur une tige. Comment faudrait-
il dimensionner la tige pour que son premier mode en traction-compression ait également une
fréquence de 440Hz ? On se placera dans le cas d’une section carrée pleine de coté a = 10 mm.
15. Pourquoi les diapasons ne sont pas constitués d’une seule branche ?
3
Rappel : la somme des N premier termes d’une suite géométrique un+1 = run débutant pour
N
n = 1, est donnée par u1 1−r
1−r
1 sinc(x)
0.8
sinc2 (x)
sinc(x) et sinc2 (x)
0.6
0.4
0.2
-0.2
0 1 2 3 4 5
x
Questions de cours
4
Devoir maison
Vibrations et Acoustique, U.E. EMPAI2D1
Master 1 Physique Fondamentale et Applications
2019-2020
Durée 2h, documents, formulaire et calculatrice autorisés
Poutre en flexion
2. Rappeler les étapes de la mise en équation et les hypothèses d’Euler-Bernoulli, qui permettent
d’obtenir l’équation des poutres en flexion :
∂ 2 v EIGz ∂ 4 v
+ =0
∂t2 ρS ∂x4
3. Utiliser la méthode de séparation des variables pour obtenir les solution sous la forme suivantes,
en précisant l’expression de β en fonction de la pulsation ω :
4. Exprimer les conditions aux limites suivantes : l’extrémité en x = 0 est encastrée et celle en
x = L est libre.
5. Montrer que la prise en compte des conditions aux limites prends la forme d’un système linéaire
d’ordre 4, portant sur les constantes C, D, E, F .
6. Montrer que ce système admet des solutions à la condition :
1
8. Les premières solutions de l’équation (3.2), sont obtenues pour les valeurs suivantes : βL =
1, 87; 4, 69; 7, 85; 10, 99. Comment évoluent ces valeurs quand βL devient très grand ?
9. Comparer la pulsation du premier mode propre pour des vibrations en compression et en flexion.
On rappelle que les pulsations des modes propres pour une barre en traction-compression sont
données par l’expression suivante (pour les mêmes conditions aux limites) :
(2n − 1)πcL
ωn =
2L
p
Avec n entier et cL = E/ρ
10. Pour une poutre de section carrée pleine, de coté a = 10 mm, quelle valeur L permet d’obtenir
une fréquence de 440Hz pour le premier mode de flexion ?
11. Pour une poutre de section circulaire pleine, de même longueur L, quelle valeur d permet d’obtenir
une fréquence de 440Hz pour le premier mode de flexion ? Et pour d = 10 mm, quelle nouvelle
longueur L faudrait-il choisir ?
12. Dans le cas d’une section circulaire creuse, avec d = 10 mm et d0 = 7 mm, quelle valeur de L
faudrait-il choisir ?
13. L’une de ces options permet-elle d’économiser de la matière ? Quelle est l’influence des différences
de section sur les vibrations d’un diapason constitué à partir de poutres de ces différents types ?
14. Le diapason est constitué de deux branches qui se rejoignent sur une tige. Comment faudrait-
il dimensionner la tige pour que son premier mode en traction-compression ait également une
fréquence de 440Hz ? On se placera dans le cas d’une section carrée pleine de coté a = 10 mm.
15. Pourquoi les diapasons ne sont pas constitués d’une seule branche ?
Questions de cours
2
Formulaire
ab3 ba3
IGy = , et IGz =
12 12
Changement de repère, pour le calcul du moment d’inertie par rapport
2 S, où
à un axe Oy , passant par O, et parallèle à l’axe Gy : IOy = IGy + zG
zG est la distance suivant z du point O au centre de gravité.
Figure 3.1 – Section de
Pour une poutre de section circulaire de diamètre d :
poutre rectangulaire
πd4
IGy = IGz =
64
Moment d’inertie de rotation de la section :
ZZ
IO = r2 dS , et IO = IOy + IOz
S
Elasticité
∂ v 3
— Effort tranchant (ou force de cisaillement : Qy (x, t) = −EIOz ∂x 3.