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DRE KARA CORRIGE TYPE DE LA COMPOSITION DU

IESG KARA PREMIER SEMESTRE 2021-2022 : CLASSE


DE TERMINALE A, C&D

SUJET I : CONTRACTION DE TEXTE


Texte : La télévision
Auteur : Michel CROZIER
Œuvre : télévision et développement culturel (Article de la revue
communication, N°7 1966)

I- RESUME
I-1- Les idées essentielles pour la rédaction du résumé
Paragraphe 1 :
La télévision n’est pas la seule à transformer la culture, mais c’est elle qui l’a
fortement influencée.
Paragraphe 2 :
La télévision, mieux que l’imprimerie, a permis de connaître beaucoup plus
le passé.
Paragraphe 3 :
La télé a favorisé une large et concrète connaissance des réalités sociales, ce
qui pourra affecter les relations interhumaines.
Paragraphe 4 :
La télé, non seulement altère la culture, mais aussi favorise son
enregistrement.
I-2- L’idée générale pour la compréhension du texte
Dans ce texte, Michel CROZIER analyse l’impact de la télévision sur la
culture.
II- EXPLICATION
II-1- « L’ampleur du phénomène télévision » : l’influence, la révolution de
la télévision/du media audiovisuel / « L’ampleur du phénomène
imprimerie » : l’influence, la révolution des techniques de fabrication
d’ouvrages / de textes écrits
II-2- « Cet envahissement vulgarise notre culture » : cet avènement de la
télévision rend accessible, rayonne, familiarise, clarifie notre connaissance.

III-DISCUSSION
Selon Michel CROZIER, « L’impact de la télévision sur la culture sera
beaucoup plus profond qu’il ne le paraît pour le moment. » Après avoir
expliqué son point de vue, dites si vous êtes de même avis.
III-1-Compréhension du sujet
III-1-1-Explication des mots ou expressions
L’impact de la télévision : le choc/ l’effet/la conséquence/la portée du
media audiovisuel ;…(il s’agit ici bien sûr de l’effet, la conséquence, la
portée négative)
La culture : civilisation, connaissance,…
Beaucoup plus profond qu’il ne le paraît pour le moment: plus grand,
plus important avec le temps/dans le futur/dans l’avenir,…
III-1-2-Reformulation du sujet
-La portée du media audiovisuel sera plus négative dans l’avenir.
-La télévision aura un effet plus dangereux dans le futur
III-1-3-Analyse de la consigne
‘’  Après avoir expliqué son point de vue, dites si vous êtes de même avis’’ :
plan dialectique c’est-à-dire thèse-antithèse-synthèse.
III-1-4-Contexte du sujet
-Contexte général : Media et culture
-Contexte précis : Influence négative du media audiovisuel/de la télévision
sur la culture.

III-2- La thèse : effets négatifs de la télévision sur la culture


- L’influence de l télévision sur la culture reste superficielle en ce sens
qu’elle ne met pas à nu l’essentiel des sociétés, des civilisations. Elle n’a
pu donc combler les attentes du public.
- Elle est ainsi réduite au pied du mur parce qu’elle sert d’abord l’intérêt du
propriétaire pour des raisons afférentes ; elle ne peut jamais divulguer
toutes les informations moins encore les fondements de certaines sociétés.
- Le travail en équipe à la télé tamise ou élimine des fois certaines
informations culturelles (documentaires) entourées de polémique mais
qui sont pourtant de grande envergure pour les téléspectateurs.
- Le montage ou le traitement des images altèrent le vrai visage des aspects
culturels.
- Le foisonnement des chaines de télévision dédiées à l’information fait la
promotion d’une diversité culturelle mais souvent contradictoire

Transition :
Limiter le pouvoir de la télévision à ce stade, n’est-ce pas méconnaitre
son rôle culturel ?

III-2-L’ antithèse : rôle positif de la télévision dans l’acquisition de la


culture

- S’il y a de nos jours un moyen de vulgarisation de la vraie culture à


travers le monde, c’est la télévision par le son et l’image.
- Elle constitue une source sûre d’informations incontestables.
- La concurrence en matière d’auditoire oblige aujourd’hui les chaînes à
donner le meilleur d’elles-mêmes en offrant au public des informations
culturelles fiables à travers des émissions notamment des documentaires.
-
III-3-La synthèse : rôle binaire de la télévision dans l’acquisition de la
culture

-La télé a un impact socio-culturel négatif


-Elle a aussi un apport culturel important
-Son usage efficient procure certainement une culture plus saine.

Critères de notation
*Résumé
C1 : Compréhension du texte à travers le résumé 3/3
C2 : Technique du résumé 3/3
C3 : Langue et style dans le résumé 2/2
*Vocabulaire :
C4 : Explication des mots et expressions 2/2
* Discussion
C5 : Compréhension du sujet de discussion 2/2
C6 : Technique de la discussion 3/3
C7 : Contenu de la discussion 3/3
C8 : Langue et style 2/2

SUJET II : COMMENTAIRE COMPOSE

Texte : De mieux en mieux


Auteur : Kandjangabalo SEKOU
Œuvre : Toukara en yèrèyèrè (Rédaction de latérite), 2017
I-Idée générale
A travers ce poème, Kandjangabalo SEKOU dénonce, par le truchement d’une
ironie incisive, la mauvaise gouvernance des Etats.
II-Centres d’intérêt
Centre d’interêt1 : L’évocation des maux de la société.
Centre d’interêt2 : Le poète tourne en dérision la politique / la dénonciation des
travers politiques des Etats
III-Plan détaillé :
III-1-Centre d’interêt1 : L’évocation des maux de la société.
Le poète expose trois problèmes essentiels de la société : Le manque
d’infrastructures éducatives, sanitaires et le salaire dérisoire qui conduit à
la faim.
III-1-1-Les difficultés liées au secteur éducatif
III-1-1-1-L’éloignement des écoles / difficultés liées à la distance entre
les écoles

-L’éducation est le parent pauvre des secteurs où le gouvernement investit


le plus souvent. Ainsi les établissements scolaires sont éloignés, rendant
plus pénible le déplacement aux jeunes écoliers qui n’ont pas le choix. Le
poète en parle explicitement au vers 9 : « écoles de treize kilomètres ».
-L’idée de distance peut aussi s’interpréter ou se percevoir par le biais de
l’image que revêt le mot ‘’route’’ contenu dans le chiasme des vers 1 et
2. En effet, c’est exprès que l’auteur a choisi cette figure rhétorique qui
commence et termine par le mot ‘’route’’ et qui crée dans l’esprit des
apprenants l’idée de largeur et de longueur, entrainant par ricochet la
peur de l’effort à fournir pour aller à l’école.
III-1-1-2-L’absence ou le manque d’infrastructures éducatives

-L’absence/le manque d’infrastructures est mis/mise en relief par une


panoplie d’expressions contenues dans les vers 3, 4,6 : « Les gamins du
pays n’ont pas de place/ Sur le banc à l’école publique du quartier/ Ils
peuvent se mettre en cinq ».
-L’absence d’infrastructures ou à la limite son manque s’entrevoit aussi
bien dans l’utilisation de la négation dans le syntagme
« N’ont pas de place » au vers 3.

III-1-2-L’absence notoire d’infrastructures sanitaires


-La négligence des patients dans les centres sanitaires montre à quelle
ampleur la société est sujette à la précarité. En effet, le poète l’évoque
vertement en exposant dans quelles conditions les femmes enceintes
accouchent : « Elles accoucheront sur des feuilles de papayer », au vers 19
comme si on était au paléolithique ou au néolithique. C’est donc dire que
ces besoins en santé et la vie des patients aussi bien que leur intégrité
physique sont les derniers soucis des dirigeants.
-C’est cette négligence qui exprime la récurrence leitmotiv « c’est n’est
pas grave », une Ironie par laquelle le poète feint de dramatiser ce qui est
inquiétant : « c’est traditionnel, économique et bio » au vers 20.
-L’absence de matériels de soins et de centre de santé est réelle et
pathétique puisqu’on le constate même « à la maternité ». Cette idée de
manque se révèle à l’aune de la négation « N’ont pas de lit à la
maternité » au vers 17.
III-1-3-L’homme ne vit pas de son travail
-L’homme travaille dans le but de jouir de ses biens, de son labeur.
Malheureusement, tel n’est pas le cas des travailleurs dans la société.
C’est ce que justifie le champ lexical suivant : « revenu », « labeur », « se
battre », « manger », « son pain », « à la sueur de son front », « le pain
dévient un peu salé », « pas assez à manger », « serrer le ventre et la
ceinture ».

-Les conditions de travail étant pénibles, la rémunération devrait être à la


hauteur de l’énergie déployée. Loin de là ! L’ouvrier, surexploité, doit se
contenter du subside. C’est ce que dissimulent les métaphores « le pain en
dévient un peu salé » au vers 25 et « se serrer le ventre et la ceinture ».

Transition :
Derrière cette évocation des maux de la société se dissimule une
dénonciation des travers de la politique des Etats.

III-2-Centre d’interêt2 dénonciation des travers de la politique des Etats.


Le poète dénonce les trouvailles politiques et la mauvaise gouvernance.
III-2-1-Les trouvailles politiques
-Les hommes politiques se servent des discours propagandistes et des
slogans politiques pour défendre les actes qu’ils posent. Le poète
l’évoque par le biais du Chiasme qui a toute sa valeur et son
fondement : « la route du développement passe par le développement de
la route » aux vers 1et 2.
-Une autre trouvaille est le raisonnement. En fait, les arguments avancés
par les différents dirigeants, pour justifier les actions politiques,
contrastent avec ce que vit le peuple. Ces arguments ont un fondement
logique sauf qu’ils sont décontextualisés. Au nombre de ces arguments,
on a :« Ils en saisiront mieux l’intérêt de l’école » au vers 7, « Tout le
monde ne peut pas devenir ingénieur/médecin, banquier, colonel de
l’armée » aux vers 12 et 13, « elles accoucheront sur les feuilles de
papayer/ c’est traditionnel, économique et bio » aux vers 19 et 20, « Ils
apprendront à se serrer le ventre et la ceinture » au vers 17.

III-2-2-La mauvaise gouvernance des dirigeants


- Le manque de vision et de prévision occasionne la déchéance des
secteurs clés des Etats notamment l’éducation, la santé et le travail :
Cf. vers 3, 4, 17, 21.
- La négligence des couches vulnérables comme les enfants et les
femmes est un signe qui ne trompe pas. En effet si les enfants et les
femmes ne constituent pas la priorité des hommes politiques, cela
prouve que les signes d’une mauvaise gouvernance sont plausibles. La
fréquence dans le poème de l’expression « ce n’est pas grave »
témoigne à suffisance de la négligence de la nonchalance des
décideurs vis-à-vis de leurs peuples.
- La mauvaise gouvernance fait l’apologie de la médiocrité dans la
mesure où les politiques semblent dire aux « petits peuples » de se
contenter du peu car ils investissent dans la réfection et la construction
des routes pour le développement des Etats.
- La paresse des dirigeants se lit à travers l’usage du verbe pouvoir dans
l’expression « Ils peuvent » au vers 6, renchérie par l’emploi du futur
simple « accoucheront » au vers 19 et « apprendront » au vers 27 mais
aussi et surtout du titre évocateur du poème « De mieux en mieux »
qui contraste avec le quotidien du peuple.

Critères de notation
C1 : Compréhension du texte de commentaire composé 4 /4
C2 : Technique du commentaire composé 6/6
C3 : Contenu du commentaire composé 6/6
C4 : Langue et style 4/4

SUIJET III : DISSERTATION


« La fonction du personnage de roman est de refléter la société dans laquelle
il vit »
Expliquez puis discuter ce point de vue.
I-COMPREHENSION DU SUJET
I-1-Explication des mots et expressions
La fonction : le but, l’objectif
Personnage de roman : du latin persona (masque) ; création littéraire.
Refléter : ressembler, incarner.
La société : milieu humain au sein duquel l’on vit.
I-2-Reformulation du sujet
Le but de la création du personnage romanesque est de ressembler la société.
I-3-Analyse de la consigne
« Expliquez puis discutez » fait appel à un plan dialectique (thèse-antithèse-
synthèse)
I-4-Contexte du sujet :
-Contexte général : le roman
-Contexte précis : caractéristiques du personnage romanesque
I-5-Problématique du sujet :
Le but du personnage romanesque se limite-t-il au reflet de la société ?
II- LE PLAN DETAILLE

II-1-LA THESE : les personnages romanesques rendent compte de la


société où ils sont nés.

-Les personnages du roman, pour certains, ont pour vocation de nous


aider à mieux comprendre la société où ils évoluent.
-Dès lors ils nous permettent d’une part, d’avoir une vision plus nette sur
les valeurs auxquelles aspire la communauté, d’autre part à travers eux, on
peut avoir des informations sur les problèmes en cours dans la société.
-Ainsi, pas mal des personnages romanesques se distinguent par les
tendances profondes de leurs temps qu’ils incarnent notamment en
reflétant les vertus sur lesquelles se fonde la société.
-Souvent, les héros ou héroïnes sont des personnages qui brillent par leur
exemplarité et sont considérés comme des modèles à admirer et à imiter
par le lecteur. En guide d’exemple, on peut citer le personnage de
Ramatoulaye que l’on retrouve dans une si longue lettre de Mariama Bâ
et qui symbolise la femme sénégalaise victime de la polygamie mais qui
refuse de baisser les bras. Elle est donc un exemple de bravoure offert à
l’admiration des lecteurs.
- Dans l’univers romanesque, certains personnages peuvent également
refléter tous ceux que les gens au pouvoir et les plus forts exploitent,
humilient et écrasent. Exemple des personnages de guide providentiel et
de Martial symbolisant tour à tour les dictateurs et leurs victimes dans La
Vie et demie de Sony Labou Tansi

-Dans la société française du XIXème siècle, les exemples foisonnent


dans le roman réaliste et naturaliste où les personnages sont des
échantillons qui traduisent assez fidèlement les réalités de leur époque. Cf.
le personnage d’Etienne Lantier, héros de Germinal. En effet, Emile Zola
après avoir bien observé les tensions sociales nées de la révolution
industrielle, a pu créer ce personnage qui illustre de fort belle manière
l’exploitation de l’homme par l’homme pour ne pas dire des ouvriers par
les bourgeois. On voit donc bien que la formation du personnage de
roman peut dans beaucoup de cas, consister à rendre compte des réalités
de la société dans laquelle il vit.

-En outre, le roman regorge des personnages repoussoirs dont la vocation


est de refléter tous les problèmes qui gangrènent le corps social. Souvent,
ces personnages inspirent de la répulsion aux lecteurs pour qu’ils soient
antipathiques. Dans le père Goriot de BALZAC, Vautrin rappelle par les
agissements, les gens qui pensent que la fin justifie les moyens. Il est prêt
à tout pour avoir de l’argent. Ainsi BALZAC est en parfaite conformité
avec les mœurs de l’époque car l’argent et la femme occupaient une place
centrale dans la société française.

-On voit donc que les personnages de roman fonctionnent comme des
baromètres qui permettent de jauger l’état des mentalités et les rapports
sociaux dans une communauté donnée. C’est pourquoi en Afrique, les
romanciers donnent souvent des leçons de conduite aux lecteurs à travers
certains personnages dont les comportements assez tortueux sont offerts
en contre-exemple. Cf. Ahmadou Kourouma qui nous présente le
personnage odieux de thiekoura, un marabout féticheur qui a violé la
pauvre salimata qui voulait simplement des prières afin d’avoir un enfant.
C’est une réalité ivoirienne que le romancier met en exergue dans son
œuvre les soleils des indépendances car les pratiques occultes comme le
fétichisme sont bien ancrés dans l’inconscient des populations.
- Le roman, par ses personnages, devient alors l’un des outils les plus
précieux pour renseigner les lecteurs sur le monde dans lequel ils vivent.
Transition :
A la suite de ce qui précède, le personnage de roman apparaît comme une
représentation de la société dans ce qu’elle a de plus vertueux ou bien de
plus odieux. Cependant, certains personnages ne peuvent-ils pas
s’éloigner de tout ancrage social ou historique ?
.

II-2-L’ANTITHESE : Les personnages romanesques relèvent de la pure


fiction par excellence.

-Tout le monde ne s’accorde pas à reconnaitre que les personnages du


roman ont pour mission de refléter le réel. Ainsi, beaucoup de romanciers
inventent de toutes pièces leurs personnages qui peuvent révéler de
grandes différences entre eux et le monde dans lequel ils sont censés
évoluer
-Certains types de romans comme la science-fiction et le roman
fantastique ont la prouesse de présenter des personnages complètement
coupés de la réalité. Ils ont une psychologie, une physionomie et un destin
différent des nôtres. A partir de ce moment, ils ne reflètent plus la société
qui les a vues naitre. L’exemple d’Harry Potter est assez éloquent dans
Harry Potter à l’Ecole des Sorciers de J. K. Rowling. Il s’agit en effet
d’un apprenti sorcier évoluant dans un monde de sorcellerie et de magie.
D’ailleurs, ce roman a beaucoup de succès chez les enfants qui y trouvent
un excellent moyen d’évasion et de distraction. On ne saurait occulter les
personnages de Martial (qui refuse de mourir) dans La vie et Demie de
Sony Labou Tansi et Atoumbi l’archer (qui a le pouvoir de disparaitre et
même de se transformer en un serpent) dans l’Archer Bassari de Modibo
Sounkalo Keita. Cela sort de l’ordinaire donc relève du fantastique, de
l’imaginaire.
-Le romancier peut également inventer des personnages constitués
d’animaux ou de monstres à qui il attribue une conscience pour qu’ils
puissent cohabiter avec les humains. Dans vingt mille lieues sous les
mers, jules verne met en scène un monstre effrayant qui sème la panique
dans la ville de New-York. Cette histoire n’a jamais existé, le romancier
veut simplement alerter les gens sur les dangers que la science pourrait
engendrer dans l’avenir.

 Au Sénégal, c’est cheik Aliou Ndao dans son roman mbaam, le dictateur
qui offre aux lecteurs un personnage atypique et assez désopilent. En effet, c’est
le président dictateur qui s’est métamorphosé en âne à l’insu des personnes avec
qui il vit. On voit donc, en toute évidence que ce personnage n’est qu’une pure
invention ; il est impossible dans la réalité.

II-3- SYNTHESE
Cette analyse aura montré que le roman est la plupart du temps un univers
où les romanciers mettent en avant leur art pour créer les personnages qui
idéalisent la société, formant ainsi un modèle à suivre. Même si parfois les
personnages demeurent imaginaires parce que l’auteur redoute peut-être
les ennuis de la sociocritique, il faut au moins se rendre compte que
l’histoire est la reproduction acte de la vérité, les manipulations
onomastiques étant simplement réservées au romancier pour échapper à la
censure.

Critères de notation
C1 : Compréhension du sujet de dissertation 4/4
C2 : Technique de la dissertation 6/6
C3 : Contenu de la dissertation  6/6
C4 : Langue et style 4/4

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