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Listes des abréviations

AA : Aside Aminé

ADN : Acide désoxyribonucléique

As : Arsenic

ATP7B : une protéine trans-membranaire de type ATPase

CCMH : concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine

Cu : Cuivre

Co : Cobalt

Cr : Chrome

Créat : Créatinine

Cd : Cadmium

CuSO4 : Sulfate de cuivre

Cu2S : la chalcocite

CuFeS2 : Sulfure de cuivre-fer (la chalcopyrite)

CusFeS4 : SSulfure de bonite

C6H8O6 : Acide ascorbique

°C : degré

ETM : Eléments traces Métalliques

EDTA : acide éthylène diamine tétra-acétique

Fe : Fer

g : gramme

g/mol : gramme/mole
Introduction Générale

g.cm-³ : gramme/centimètre

GB : globules blancs

GR : globules rouges

H : heure

HCI : Chlorure d'hydrogène

Hg : Mercure

HGB : Hémoglobine

IB : Indénombrable

IL-6 : l'interleukine-6

LEAT : Laboratoire des écosystèmes aquatiques et terrestres.

LH : Hormone lutéinisante

mg/kg : milligramme/kilogramme

mg/L : milligramme/Litre

Min : minutes

Mn : Manganèse

Mo : Molybdène

Ni : Nickel

Sb : Antimoine

Se : Sélénium

SOD : Le superoxyde dismutase

SVCT1 : transporteur de vitamine c sodium dépandante type 1

SVCT2 : transporteur de vitamine c sodium dépandante type 2

T° : Température

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Introduction Générale

TGO : aspartame aminotransférase

TGP : alanine aminotransférase

Ti : Titane

TNF-α : facteur de nécrose tumorale alpha

U : unité de masse atomique unifiée

Pb : Plomb

PLT : plaquettes

V : Vanadium

VGM : volumes globulaires moyenne

W/mk : watt par mètre-kelvin

Z : numéro atomique

Zn : Zinc

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Introduction Générale
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Introduction générale :
Les humains sont les êtres vivants qui ont le plus d’impact sur leur environnement. Ils modifient
leur habitat pour répondre à leurs besoins davantage que toute autre espèce. Lorsque les ressources
deviennent limitées pour une population croissante, les humains agrandissent les villes et les champs
cultivés (Anonyme 1,2005). Les activités humaines ont de tout temps affecté l’environnement et la
santé mais le phénomène s’est amplifié avec la révolution industrielle il y a deux siècles et demi,
jusqu’à s’emballer aujourd’hui (Anonyme 2,2022).

La révolution industrielle, qui a marqué les XVIIIème et XIXème siècles, est un moment
charnière dans l'histoire de l'Occident : Elle a donné lieu à des mutations techniques, économiques et
sociales importantes et se caractérise par le développement de nouvelles technologies telles que
l'électricité et le moteur à explosion. C'est principalement à partir de cette période que l'on a
commencé à ressentir de manière significative l'action de l'homme sur l'atmosphère avec une pollution
principalement industrielle (RAMADE, 1993 ; AMBROISE, 2000 ; RODIER, 2005 ; ADRIENNE
YRA, 2006). Jusque dans les années 1970 la pollution atmosphérique était considérée comme un
problème local, en réponse aux manifestations de pollution dans certaines zones urbaines et
industrielles comme le célèbre smog de Londres en 1952 (UNICUMA, 2000).

Les activités industrielles (gazeuses, particulaire, sonores, vibratoires, calorique, lumineuse,


radioactives, électromagnétiques, génétique, nano-technologique, etc.), ont contribués au
développement des pays mais ils sont aussi source de nombreux rejets dans les différents milieux de
l'environnement et ont générés plusieurs types de pollution.

La pollution industrielle désigne la part de la pollution de l'environnement directement induite par


l'industrie quand elle introduit des altéragènes biologiques, physiques (dont radiations telles que la
radioactivité ou dans la lumière artificielle quand elle perturbe l'environnement nocturne), chimique ou
organique, affectant de manière plus ou moins importante le fonctionnement de l'écosystème
(Anonyme 3, 2023).

Un grand nombre d'industries utilisent et rejettent des quantités importantes de métaux lourds,
(CSPIN, 1997). Ce qui Peut conduire à une augmentation de ces concentrations naturelles. La
population humaine est continuellement exposée à des produits chimiques potentiellement toxiques
(CSPIN, 1997). Parmi ces produits les métaux lourds. La plupart des scientifiques préfèrent
l'appellation des métaux lourds par «Eléments traces Métalliques » (ETM), ou par « éléments traces »
(Miquel, 2001).

Le terme « éléments traces métalliques » est aussi utilisé pour décrire ces mêmes éléments, car ils
se retrouvent souvent en très faible quantité dans l’environnement (Baker et Walker, 1989). Ils sont
des éléments naturels dont la masse volumique dépasse 5g/cm3 et qui possèdent un numéro atomique
élevé. Ils sont présents dans tous les compartiments de l'environnement. On dit qu’ils sont présents en
« quantités traces» car ils représentent 0,6 % (en masse) du total des constituants de la croûte terrestre
(Blum, 1990). Ils sont des nécessaires au fonctionnement normal des plantes et des animaux
(Verbanck in Guemaz, 2006).

On distingue deux types des ETM en fonction de leurs effets physiologiques et toxiques. Il s’agit
des éléments traces essentiels et des éléments traces toxiques. Les ETM essentiels sont des éléments
indispensables pour de nombreux processus cellulaires et qui se trouvent en proportion très faible dans
les tissus biologiques (Loué, 1993).

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C’est le cas du Fer (Fe), du Cuivre (Cu), du Zinc (Zn), du Nickel (Ni), du Cobalt (Co), du
Vanadium (V), du Sélénium (Se), du Molybdène (Mo), du Manganèse (Mn), du Chrome (Cr), de
l’Arsenic (As) et du Titane (Ti) Dans ce cas, leurs concentrations dans les organismes doivent
répondre aux besoins métaboliques de ces derniers. Dans le cas contraire, une carence ou un excès de
ces éléments essentiels peut induire des effets délétères. D’autres ne sont pas nécessaires à la vie, et
peuvent être même préjudiciables comme le Mercure (Hg), le Plomb (Pb), le Cadmium (Cd) et
l’Antimoine (Sb) (CASAS, Stellio.2005).

Aujourd'hui les éléments traces remplissent des fonctions sociales importantes dans différents
domaines (Anonyme 4, 2016). Ils ont des applications importantes dans le domaine médical. Par
exemple : Le fer est utilisé pour traiter l'anémie ferriprive et le sélénium pour prévenir la
cardiomyopathie de Keshan. D'après Romero-Navarro et Alonso (2021), les ETM ont également des
applications en thérapie anticancéreuse, notamment le platine utilisé dans les traitements de
chimiothérapie. Ils sont utilisés dans l'agriculture pour améliorer la croissance des plantes. Le zinc, le
cuivre, le manganèse et le fer sont des éléments importants pour la production de nourriture. Ils sont
impliqués dans la photosynthèse, la respiration et la formation de chlorophylle. De plus, des additifs
comme le cuivre sont utilisés dans l'alimentation animale pour maintenir la santé des animaux et
favoriser une meilleure croissance, l'utilisation de nanomatériaux contenant des ETM peut également
améliorer la croissance des plantes (Evdokimova et al., 2021). Ils sont impliqués notamment dans la
production de peintures, d'alliages métalliques, de batteries et de véhicules électriques. Par exemple :
le lithium est utilisé dans la production de batteries pour véhicules électriques et est considéré comme
un élément clé pour la transition énergétique (Zhu et Chen. 2021). On peut utiliser l'or et l'argent pour
la confection des bijoux (Hammel , 2000 ).

Les métaux traces sont rejetés dans l'environnement à partir de diverses sources anthropiques telles
que la fusion minerais métalliques, la fabrication industrielle et l'application commerciale des métaux
dans un large éventail d'industries (Sunderman, 1993 ; Padmaja et al ., 2003). Leur accumulation
dans l’environnement est liée à leur utilisation comme matières première pour des nombreux produits
industriels ou comme catalyseurs chimiques. On les trouve également des produits tels que les
pesticides ou les engrais qui sont distribués sur une large surface .ils sont aussi apportés sous forme de
déchets urbains ou industriels, solide, liquides ou gazeux (Eshighi et Malayri B, 1995) .

Les éléments traces tels que le plomb, le cadmium, le cuivre, le zinc, et le mercure ne peuvent pas
être biodégradés et donc persistent dans l’environnement pendant de longues périodes. De plus ils sont
continuellement rajoutés dans les sols (Wang et al. 2003).ils peuvent donc être transférés dans le
réseau trophique et s’accumuler dans la matière vivante (Duquesne, 1992).

Particulièrement ils sont capables à passer d’un compartiment du sol quel qu’ils soient vers une
bactérie, un animal ou un végétal vivant. Les animaux peuvent être contaminés par contact avec la
peau, par inhalation de poussières toxiques et par ingestion de l’eau et d’aliments pollués. La
dispersion des métaux constitue un danger pour la faune sauvage, le bétail et l’homme, qui se situe en
bout de chaine alimentaire. Dans certaines zones très contaminées, le pâturage, les cultures fourragères
ou destinées à l’alimentation humaine sont interdites (Bert et Deram, 1999).

L’accumulation et le transfert des éléments métalliques constituent un risque pour la santé


humaine via la contamination de la chaine alimentaire, mais aussi pour le milieu naturel dans son
ensemble. (Walid Z, 2011).

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I

L’exposition aiguë des organismes vivants à une dose élevée d’élément-trace (qu’il soit oligo-
élément ou contaminant strict) ou bien l’accumulation dans les tissus suite à une exposition chronique,
entrainent des effets de toxicité (Slatni I, 2014).

Les éléments traces se caractérisent par leur persistance, leur toxicité et leur pouvoir
d'accumulation dans le milieu naturel, et par conséquent la présence de ces derniers dans
l'environnement peut être nuisible à plusieurs variétés d'espèces vivantes. (CSPIN, 1997). Certains
sont essentiels à la vie (comme le Cuivre : qui est une substance très connue qui est naturellement
présente dans l’environnement et se diffuse dans l’environnement par des phénomènes naturels. Des
1930, le cuivre est reconnu comme élément trace essentiel (Alloway B.J., 1995). Il est un élément
important pour l'industrie, l'agriculture et le corps humain, mais sa contamination et son utilisation
excessive peuvent conduire des effets nocifs sur l'environnement et la santé.

Le cuivre est présent dans l’environnement de manière ubiquiste. Sa concentration dans l’écorce
terrestre est estimée à environ 70 mg/kg. Il est présent dans la chalcopyrite à 34,5 %, sa teneur est de
0,01 % dans les roches volcaniques et de 0,0055 % dans les roches cristallines. Le transport par le vent
des poussières de sol, les éruptions volcaniques, les décompositions végétales, les feux de forêts et les
aérosols marins constituent les principales sources naturelles d’exposition (Amirad, 2011). Il se
trouve aux états d’oxydation I ou II, sous forme de sulfures, sulfates, carbonates, oxydes et sous forme
métallique.

Cet élément métallique a été utilisé par les humains depuis des milliers d'années en raison de ses
excellentes propriétés conductrices, de sa résistance à la corrosion le cuivre est également un
nutriment essentiel pour les plantes et les animaux, y compris les humains. (Leskó et al., 2020).Il joue
également un rôle biologique important dans le corps humain. Il intervient dans la formation de
l'hémoglobine, une protéine nécessaire au transport de l'oxygène dans le sang. Il facilite la production
de collagène, un élément clé des tissus conjonctifs, ainsi que la fonction cérébrale normale. (Gaggelli
et al., 2015) .Chez tous les vertébrés, un manque de cuivre provoque un ralentissement de la
croissance, des pertes de poids, de l'oedème généralisé, de l'anémie, des pathologies squelettiques, des
déficiences cardio-vasculaires, et des pathologies du système nerveux central. Un manque chronique
de cuivre peut provoquer des mutations génériques (Drucker et Wilding, 1977; Cumings, 1959).

Le cuivre est utilisé dans une variété d'applications industrielles. Les fils, les câbles et les tuyaux en
cuivre sont utilisés dans les secteurs de la construction et de la plomberie (Jain et al., 2019). Les
alliages de cuivre, tels que le laiton et le bronze, sont utilisés dans la fabrication de bijoux, d'armes et
d'outils (Fulmer, 2016). Il est également utilisé dans l'industrie électronique, comme matériau de base
pour la fabrication de circuits intégrés, de puces et de composants électroniques (Schlosberg, 2018).

Cependant, l'utilisation excessive du cuivre et de ses composés, tels que le sulfate de cuivre, a
conduit à sa contamination de l'environnement. La contamination du sol, de l'eau et des aliments par le
cuivre et ses dérivés a été signalée dans de nombreuses régions du monde, en raison de son utilisation
intensive dans l'agriculture, l'industrie minière et la production de produits chimiques. Les sources de
pollution du cuivre sont variées, y compris les eaux usées, les décharges de déchets dangereux, les
effluents industriels et les engrais minéraux. (Mizera et al., 2019).

Généralement le cuivre n'est pas toxique dans son état métallique mais certains de ses sels sont de
puissants inhibiteurs des enzymes endogènes présentes dans notre corps (NRC, 2000). L'incidence de
la toxicité du cuivre est très courante de nos jours. L’inhalation, la consommation d'aliments et d'eau et
le contact cutané avec l’air, l'eau et le sol contenant du cuivre constituaient des milieux d'exposition à

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I

la toxicité du cuivre (ATSDR, 2004). Les composés toxiques du cuivre sont le CuSO4 (vitriol bleu,
pierre bleue), le carbonate de cuivre et le sous - acétate de cuivre (vert - de - gris ou zangal).

Le sulfate de cuivre est également largement utilisé dans l'agriculture comme pesticide pour
contrôler les maladies fongiques et bactériennes, mais il peut également provoquer une toxicité chez
les plantes, les animaux et les humains. Les plantes peuvent absorber le cuivre par leurs racines,
augmentant ainsi son accumulation dans les tissus végétaux. Les animaux peuvent ingérer du cuivre
par l'eau, les aliments ou l'exposition cutanée, entraînant des effets nocifs sur le foie, les reins, le sang
et le système nerveux central. Les êtres humains peuvent également être exposés au cuivre par des
sources alimentaires et environnementales (Mousavi et al., 2020).

L'objectif principal de notre étude consiste à déterminer l'importance de cuivre dans notre organisme
et aussi l’évaluation des effets toxiques de Cuivre sur les fois et les reins.

Nous avons donc divisé notre travail en deux parties théoriques et pratiques. Pour la partie pratique On
a choisi un modèle biologique représentatif du l'espèce humains (des lapins locales "cuniculus lepus")
et on a les exposées chroniquement à le sulfate de cuivre durant 35 jours.

Le présent travail s’articule autour de quatre(04) chapitres :

 Dans le premier chapitre nous donnons des généralités sur le cuivre ces propriétés leur
utilisation et son rôle et métabolisme. Nous parlons aussi de leur toxicité.
 Dans le deuxième chapitre nous parlons de l'effet de l'exposition chronique du cuivre sur
la fonction hépatique et présentons nos résultats du travail pratique.
 Dans le troisième chapitre nous parlons de l'effet de l'exposition chronique du cuivre sur la
fonction rénal et présentons nos résultats du travail pratique.
 Le quatrième chapitre sera consacré à la synthèse de vitamine c son métabolisme et son
rôle dans la détoxification.

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