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PLAN

Introduction
I. Le riz
A.Les types et variétés de riz
1. Les types de riz
2. Les variétés les plus communes
3. Production et marche de riz
a. La production du riz
b. Les pays producteurs
c. Les pays Importateurs
B. Généralité sur la production du riz au Burkina
II. Le blé
A.Origines et variétés
1. Origine du blé
2. Variété de blé
III. Le coton
1. Origine du Coton
2. Variété de coton
IV. Le cacao
A. Origine du cacao
B. Les pays producteurs du cacao
C.La culture du cacaoyer et le milieu naturel
V. Le café
A.Origine du café
B. Production du café

Conclusion
INTRODUCTION
Les céréales sont des plantes de la famille des graminacées. Ils servent
et sont souvent réduits en farine pour l’utilisation de l’homme et des
animaux domestiques. Le terme blé ou bled a longtemps été utilisé pour
désigner l’ensemble des céréales. Mais c’est à partir du XIXème siècle
qu’il a été appliqué au seul froment, mot venant du latin « frimentum »
aujourd’hui appelé blé tendre. De nos jours, le riz et le blé sont les
céréales les plus utilisés dans le monde. Ils sont subdivisés en plusieurs
types et variétés différents.

I. Le riz

A. Les types et variétés de riz

1. Les types de riz


Il existe dans le monde plus de cent mille variétés de riz que l’on peut
regrouper en trois catégories selon leurs formes. On a le riz à grain long,
le riz à grain moyen et le riz à grain court.
Le riz oryza sativa fait partie d’une famille qui ne compte pas moins
de cent vingt mille variétés de riz. Elle se divise en deux grandes sous
espèces. L’indica grain long et le Japonica à grain long, demi-long, ou
court.
Le Japonica, c’est un riz asiatique riche en amidon qui s’agglomère
à la cuisson. Très digeste, il est fréquemment utilisé dans les cuisines
Japonaise et Coréennes ainsi qu’en chine du Nord et L’Inde du Sud.
En Italie, on utilise essentiellement le riz oryza sativa qui reste ferme
après cuisson.
Aux Etats Unis, le riz californien est proche du riz Japonica. Il
présente 20% de la production américaine.
En Espagne les principales variétés de riz sont le senia, le bomba, le
bahiya, et le thaîboné.le riz etuvé souvent appelé riz incollable est le
riz blanc ou riz carbo soumis à traitement thermique avant
commercialisation pour éviter que les grains ne se collent.
2. Les variétés les plus communes

 Le riz tendre à grain rond est un riz collant contenant beaucoup


d’amidon. Il est idéal pour les potages et les desserts.
 Le riz dur à grain long, idéal pour la cuisson à l’eau ou la vapeur.
Il est souvent étuvé ou prétraité et ses grains se détachent bien.
C’est le riz le plus utilisé en France.
 Le riz brun ou complet à peine décortiqué, il conserve la plus
grande partie de ses vitamines mais se cuisson est beaucoup plus
long.
 Le riz Surinam : C’est un riz Guyane de très bonne qualité à
grain très long et très fin (6 à 8 millimètre)
 Le riz basmati : c’est le riz indien à grain long il convient à toutes
les préparations.
 Le riz parfumé en provenance du Viêt Nam et de la Thaïlande.
Sa finesse de goût et ses longs grains le rendent idéal pour la
cuisine du Sud- ouest asiatique.
 Le riz gluant très riche en amidon. C’est l’une des variétés de riz
cuits à la vapeur.
 Le riz sauvage qui est une graminée d’origine indienne. Ces
grains longs et noirs ont un goût typique et savoureux vendu en
mélange avec du riz blanc à un prix très cher.

3. Production et marche de riz

a. La production du riz
Le riz est la première céréale alimentaire la plus produite au monde
avec une production mondiale de quinze mille deux cent kilogrammes
de riz par seconde (15 200 kg/s) soit 479,2 millions de tonnes (2013-
2014) de riz par an. La chine et l’Inde fournissent ensemble plus de la
moitié du riz mondial soit 52 ,3% sur la période 2013-2014. Le riz est
cultivé dans une centaine de pays des quatre points du monde. 90% de
la production du riz provient d’Asie sa terre d’origine. Or, la production
du riz sur ce continent sert principalement à l’autosubsistance. C’est- à-
dire qu’elle est destinée avant tout à la consommation locale. Seule une
très faible partie est négociée sur le marché mondial. Selon les
estimations de la FAO, la production du riz paddy a atteint 600 millions
de tonnes en 2007 soit une hausse de 1%. Elle a donc été à la croissance
démographique pour la deuxième année consécutive entrainant ainsi au
niveau mondial une régression de la production par tête.

a. Les pays producteurs

La production mondiale du riz paddy a augmenté de 73 millions de


tonnes entre 2010 et 2013. Cette progression quasi généralisée est
Cependant due surtout à la forte progression de l’Inde avec 39 millions
de tonnes à elle seule soit plus de 32% de la production de l’Indonésie,
le 3e pays producteur mondial avec une production de 71 millions de
tonnes environ. L’Inde avec ses quasis 160 millions de tonnes produites
l’an dernière se rapproche maintenant du leader mondial incontesté et
imbattable à savoir la chine avec ses 203 millions de tonnes. Notons
aussi qu’il ne figure qu’un seul pays non asiatique parmi les dix
premiers producteurs mondiaux du riz. Parmi les pays producteurs
Africains, seul trois pays figurent parmi les vingt premiers à savoir
l’Egypte, classé 14èm avec une production de 6,750 millions de tonnes ;
le Nigeria classé 16èm avec une production de 4,7 millions de tonnes et
le Madagascar classé 19èm avec une production de 3,6 millions de
tonnes. Le Burkina Occupe la 54e place avec une production de 315
millions de tonnes. En effet, 116 pays ont été classés mondialement
pour la production du riz dont les dix premiers sont les suivants :
 La Chine : 203 290 000 tonnes
 L’Inde : 159 200 000 tonnes
 L’Indonésie : 71 279 700 tonnes
 Le Bengladesh : 51 500 000 tonnes
 Le Viêt-Nam :44 076 100 tonnes
 La Thaïlande : 38 787 700 tonnes
 Le Nyamar : 28 000 000 tonnes
 La Philippine : 18 439 400 tonnes
 Le Brésil : 11 758 700 tonnes
 Le Japon : 10 758 000 tonnes

b. Les pays importateurs


En 2008 le principal importateur fut le Mexique avec 716 kilotonnes
devant le Nicaragua avec 138 kilotonnes et le Honduras avec 104
kilotonnes. Les philippines traditionnellement le plus gros importateur
de riz ont importé 0,985 millions de tonnes en 2004 et ont estimé à 1,1
millions de tonnes des importations pour l’an 2005. La république
populaire de chine possède un énorme stock de riz évalué à 42 millions
de tonnes. Ses prévisions d’achat portent sur 0,7 millions de tonnes en
2013

B. Généralité sur la production du riz


au Burkina

Le riz occupe la 4e place parmi les céréales cultivées au Burkina Faso.


Tant du point de vue des superficies de la production que de la
consommation par tête. La production nationale en riz paddy est passée
de 85090 tonnes à 113724 tonnes en 2006 puis a 270658 en 2010 pour
atteindre 517mille tonnes en 2013.La consommation annuelle par tête
est passée de 18,2kg en 1998 pour atteindre 21kg. Elle atteint 50kg par
personne dans les centres urbains de Ouagadougou et de bobo
Dioulasso. La production nationale du riz ne couvre pas les besoins
d’où des importations massives chaque année pour satisfaire une
demande sans cesse croissante.

II. Le blé

A- Origines et variétés

1. Origine du blé
Le blé est un terme générique qui désigne plusieurs céréales appartenant
au genre tritium. Ce sont des plantes annuelles de la famille des
graminacées ou poacées cultivées dans de très nombreux pays. Le terme
blé désigne également le grain (caryopse) produit dans ces plantes. Le
blé fait partie des trois grandes céréales avec le maïs et le riz. C’est avec
environ 600 millions de tonnes, qu’elle occupe la 3èm place dans
l’importance des récoltes mondiales et avec le riz à la première place,
le plus consommé par l’homme. Le blé est dans la
civilisation occidentale au moyen orient, un composant central de
l’alimentation humaine. Sa consommation remonte à la plus haute
antiquité. Les premières cultures apparaissent au 8ème millénaire avant
Jésus-Christ en Mésopotamie et dans la vallée du Tigre et de l’Euphrate,
l’actuel IRAQ, dans la région du croissant fertile.
.
2. Variété de blé
D’un point de vue économique, deux variétés importantes actuelles
sont des blés à grains nus. Le blé dur ( triticum, turgidum, subsp-durum)
surtout cultivé dans les régions chaudes et sèches (Sud de l’Europe
comme le Sud de la France et de l’Italie). Le blé dur, très riche en gluten
est utilisé pour produire les semoules et les pâtes alimentaires.
Le blé tendre ou froment (triticum, oesturim) qui devient le plus
important est davantage cultivé pour faire de la farine panifiable utilisé
pour faire le pain, galettes, biscuits et des pâtisseries, des pizza. Ses
grains se séparent de leur enveloppe au battage communément appelé
blé tendre ou tout simplement blé. L’espèce a connu une très grande
dispersion géographique et est devenue le céréale la plus cultivé suivi
par le riz et le maïs.
Il existe d’innombrables variétés de blé dans le monde. La sélection
moderne commencée à la fin du XIX s par Henry de Vilmorien s’est
concentré sur trois critères: la résistance aux aléas climatiques ; la
richesse en protéine notamment le gluten pour la planification et bien
attendu le rendement.

III. Le Coton

1. Origine du Coton
Le coton est une fibre végétale qui entoure les graines des cotonniers «
véritables » (Gossypium sp.), arbustes de la famille des Malvacées.
Cette fibre, constituée de cellulose presque pure, est généralement
transformée en fil qui est tissé pour fabriquer des tissus. Le coton est la
fibre naturelle la plus produite dans le monde, principalement en Chine
et en Inde. Depuis le XIXe siècle, il constitue, grâce aux progrès de
l'industrialisation et de l'agronomie, la première fibre textile du monde
(près de la moitié de la consommation mondiale de fibres textiles.

2.Variété de Coton
Cultivé sur environ 586 000 ha, la production de coton graines pour la
campagne 2013-2014 est estimée à 760 000 tonnes1. Le coton est
cultivé dans l’ensemble du pays, sauf dans la zone sahélienne du nord.
La région Ouest autour de Bobo Dioulasso demeure cependant la
grande région cotonnière. Il s’agit pour une grande partie de coton Bt
génétiquement modifié (GM). Cet emploi massif de semences de coton
GM suscite cependant certaines oppositions de la part de plusieurs
associations de la société civile burkinabé et d'une partie des paysans4.
De plus il semble que la qualité des fibres du coton GM soit inférieure
à celle du coton conventionnel, ce qui a conduit à la réduction des
surfaces ensemencées en coton Bt à partir de la campagne 2012/2013.
Le Burkina Faso commence aussi à produire du coton biologique dont
la production, bien qu’encore très faible (864 tonnes en 2013/2014)5est
en croissance. Le coton est une source de revenus monétaires
importante pour les 325 000 producteurs du pays. Il contribue largement
aux recettes d’exportation : il a occupé la première place des produits
exportés jusqu’en 2009, mais à la suite du développement de mines
d’or, il est passé à la deuxième place avec 26 % de l’ensemble. Le coton
est donc d’un intérêt stratégique pour le Burkina Faso qui occupe le
douzième rang mondial des pays producteurs6. Le pays fait partie du
groupe (appelé C4) des grands pays producteurs de l’Afrique de l’Ouest
avec le Mali, le Bénin et le Tchad. Le C4 intervient dans les
négociations internationales sur le commerce pour dénoncer les
mesures de soutien au coton prises par les États-Unis et l’Union
Européenne qui créent des distorsions de concurrence au détriment des
pays africains pauvres.

IV. Le cacao

A. Origine du cacao
Le cacao est originaire d’Amérique, et cela, il y a plus de 4 000 ans,
mais sa production et sa popularité se sont vite répandues dans le
monde. Découvrez dans ce texte les pays qui dominent cette activité.

B. Les pays producteurs du


cacao

1 – La Côte d’Ivoire
La Côte d’Ivoire fournit en général plus de 30 % de la production
mondiale de cacao, soit environ 1 448 992 tonnes par an. Ainsi, de
nombreux grands chocolatiers choisissent le cacao en provenance de ce
grand pays de l’Afrique. Cette activité est la source des deux tiers des
recettes du commerce qui entrent dans cette nation.

2– Le Ghana
Dans ce pays africain, le cacao est roi et sa production représente un
peu plus du cinquième de son PIB. Au Ghana, les trois-quarts des
agriculteurs sont des petits exploitants, c’est-à-dire qu’ils détnt et
entretiennent la ferme cacaoyère. Cependant, les coûts opérationnels
sont extrêmement élevés. Cela peut être dû au manque de contrôle des
entreprises. Par conséquent, la plupart de ces agriculteurs vendent leur
cacao en contrebande en Côte d’Ivoire. En effet, dans ce premier pays
producteur du monde, le cacao se vend à 50 % de plus de son prix qu’au
Ghana. Ce dernier récolte en général plus de 835 466 tonnes de cacao
par an.

3– L’Indonésie

Avant les années 80, ce pays ne cultivait pas de cacao, mais


actuellement l’Indonésie est devenu le troisième plus grand producteur
du monde. En effet, en 2013, il a cultivé 777 500 tonnes de fèves de
cacao. Mais l’une des plus grandes préoccupations de l’industrie
cacaoyère de ce pays est l’insecte foreur de gousse qui nuit à sa
croissance. Comme au Ghana et en Côte d’Ivoire, la production de
cacao dans ce pays est assurée par les petites exploitations.

4– Le Nigeria

Le Nigeria possède une technologie agricole de pointe, ce qui le permet


d’alimenter le développement de son industrie cacaoyère. Ainsi, ce pays
produit au minimum 421 300 tonnes de cacao chaque année.

5– Le Cameroun
Le Cameroun a toujours été dans le classement des 7 plus grands pays
producteurs de cacao dans le monde. En 2013, il a récolté 275 000
tonnes métriques. Mais actuellement, cette activité est menacée. Le
manque d’espace pour cultiver et de nouveaux arbres, ainsi que la
mauvaise gestion de la filière a engendré une situation catastrophique
dans l’industrie cacaoyère du Cameroun.
6– Le Brésil

Le Brésil est entré dans le top 7 des pays producteurs de cacao du


monde. Mais cela n’empêche qu’il soit également un grand importateur,
car les Brésiliens consomment beaucoup plus de cacao. De plus,
l’industrie cacaoyère de ce pays a chuté depuis quelques années et cela
ne s’arrêtera pas de si tôt. Le gouvernement brésilien prévoit que d’ici
à 2024, la production de cacao va chuter de 15,7 %.

7 – L’Équateur

L’Équateur possède l’industrie cacaoyère la plus ancienne du monde.


Même si sa production ne peut pas rivaliser avec celle des pays de
l’Afrique de l’Ouest, ses cacaos demeurent les meilleurs en termes de
qualité.

8- Le cacao de Madagascar

Même si la Grande Île n’est pas classée parmi les 7 premiers pays
producteurs du monde, son cacao est renommé pour son goût unique et
sa qualité. Effectivement, il fait le bonheur de tous les chefs pâtissiers
et des chocolatiers du monde entier qui souhaitent créer un label afin de
préserver ce grand trésor (le cacao).
Le goût du chocolat dépend généralement de la qualité du cacao utilisé.
C’est pourquoi, les chocolats de chez Romuald REMY Maître
Artisan sont fabriqués avec du cacao de haute qualité.

C. La culture du cacaoyer et le
milieu naturel
Le cacaoyer, Theobroma Cacao L. est une lignée pure selon certains
auteurs, un hybride des espèces Theobroma Cacao, Th. bicolor, Th.
leio'carpa selon d'autres (2). On le trouve spontané sur les rives de
l'Amazone, du Tapajoz et de l'Orénoque ainsi qu'à l'île de la Trinité. Il
s'est répandu dans le Nouveau Monde tropical depuis une époque assez
reculée.
Nous avons puisé un grand nombre de renseignements et statistiques
dans un mémoire inédit de M. J. Touton, mis gracieusement à notre
disposition par l'auteur : La production et le commerce du cacao dans
le monde et dans 1'Union Française (166 p. dactylographiées). Qu'il
reçoive ici l'expression de notre reconnaissance.

V. Le café

A. Origine du café
Probablement originaire d’Ethiopie, le café a été cultivé pour la
première fois au Yémen. C’est au XVe siècle que des moines auraient
commencé à consommer du café dans le but d’avoir l’esprit clair et
éveillé. Il existe plusieurs légendes sur la découverte du café. L’une
d’elle relate l’histoire d’un berger dont les chèvres auraient consommé
les fruits du caféier. Ces dernières auraient alors gagné en tonus et en
vivacité, intrigant ainsi Kaldi le berger.

B. Production du café
- Production par plante : un caféier produit en moyenne 2,5 kg de
fruits/an. Cette production permet de donner entre 400 et 700 g de
café torréfié. Un caféier doit atteindre l’âge de 4 ans avant de
produire sa première fructification.
- Production mondiale annuelle : Près de 150 millions de sacs de
60 kg sont produits chaque année à travers le monde. Arrivant en
seconde place des produits cotés en bourse, juste derrière le
pétrole, le café génère environ 15 milliards de dollars par an à
l’échelle mondiale.
- Nombre de variétés de café : Il existe plus de 200 variétés
connues à ce jour.
- Quantité consommée par jour dans le monde : Aujourd’hui,
pas moins de 2,5 milliards de tasses vont être bues dans la
journée !
- Nombre de pays cultivateurs : Tous situés entre les tropiques du
Cancer et du Capricorne, 90 pays producteurs assurent
aujourd’hui l’ensemble de la production mondiale. Si dans
certaines zones le rendement est faible, concentré sur des crus
d’exception (Réunion, Tanzanie, etc…), d’autres pays en ont fait
leur produit d’exportation principal, comme l’Ethiopie par
exemple.
- Prix du café le plus cher du monde : Les cafés les plus chers du
monde sont élaborés à partir de grains ayant été consommés par
des animaux. Les enzymes de leur estomac provoquent une
fermentation qui confère un goût particulier au café produit. Ils
sont considérés comme étant les plus grands crus du monde. Le
Black Ivory issu de bouses d’éléphants, ou le Kopi Luwak issus
des excréments de marsupiaux indonésiens vous coûteront
environ 5O dollars soit 30 572,78 francs par tasse !

Conclusion
En général le riz et le blé qui sont de la famille des placées constituent
les produits agricoles les plus consommées et commercialisées dans le
monde. La plupart des grands producteurs de ces céréales sont des pays
Asiatiques. Aussi les scientifiques procèdent à l’amélioration des
semences et à la modification du code génétique de certaines plantes
afin d’accroître leur productivité et leur résistance. Cependant, ces
trouvailles ne sont pas sans conséquences.

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