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Evaluation 

: Génétique et évolution

Compétences évaluées : Observation :


Nom :
Prénom : -Communiquer à l’écrit
Classe : -Restituer des connaissances
-Pratiquer des démarches
scientifiques

I) Connaitre le cours
1) Vrai ou faux

Relever la (ou les) les affirmation(s) exacte(s),

Les mutations génétiques :

a) Expliquent à elles seuls l’existence de familles multigéniques


b) Sont liées à des erreurs de répétition des chromosomes lors des divisions cellulaires.
c) Peuvent être dues à des erreurs lors de la réplication de l’ADN
d) Expliquent l’existence de plusieurs allèles pour un grand nombre de gène

2) Vrai ou faux

Relever la (ou les) affirmations exacte(s),

Une mitose :

a) N’est possible que dans une cellule diploïde


b) Doit être précédée d’une réplication de l’ADN
c) Produit deux cellules identiques, aux mutations près.
d) Permet de former des gamètes haploïdes.

3) Restituer des connaissances

Expliquer l’intérêt de réaliser un croisement-test dans le cadre d’une analyse génétique.

4) Schématiser le cours
Schématiser une méiose aboutissant à des gamètes présentant un caryotype anormal.

II) Exercices d’applications


1) Nombre théorique de mutations

Estimer le nombre théorique de mutations qui surviennent lors du développement d’un organisme humain.

Données :

-Nombre de cellule dans un organisme humain : 3 x 1013


-Taux d’erreur au cours de la réplication de l’ADN (après réparation) : 1 mutation pour 1010 nucléotides de
répliqués
-Nombre de paires de nucléotides dans une cellule somatique humaine (diploïde) : 6.4x109
2) Brassage génétique chez la souris

Chez la souris, comme chez tous les organismes à reproduction sexuée, la diversité génétique s’explique par le brassage
génétique ayant lieu lors de la reproduction sexuée. On considère ici quatre caractères phénotypiques de la souris déterminés
chacun par un gène (appelés A, B, F et D) ; des croisements sont réalisés pour mettre en évidence ce brassage.
Résultats de deux croissements-test réalisés entre un individu F1 et un parent double homozygote récessif.

1) Justifier le fait qu’il y a bien eu brassage génétique dans les deux croisements
2) Indiquer pour chaque couple (A et B d’une part, F et D d’autre part), s’ils sont liés ou
indépendants en justifiant brièvement.

3) Résistances aux insecticides


Certains organismes nuisibles à l’espèce humaine deviennent résistants et survivent à des traitements qui les
éliminent auparavant. On cherche à expliquer les origines possibles de la résistance du moustique Culex pipiens
aux insecticides.

Document 1 : Résistance de Culux pipiens aux insecticides


Pour lutter contre le moustique culux pipiens, on utilise des insecticides organo-phosphorés.
L’étude du génome du moustique a montré qu’il possédait 2 gènes A et B codant pour des enzymes (estérases),
permettant la dégradation des composés organo-phosphorés.
On a observé par ailleurs que la quantité d’estérase était 500 fois plus importante chez un moustique résistant
que chez un moustique sensible.

Document 2 : Comparaison de l’organisation d’une partie du génome d’un moustique sensible et d’un
moustique résistant aux insecticides organo-phosphorés

Proposer une explication à la résistance aux insecticides et à l’apparition de celle-ci dans certaines
populations de moustiques.

4) Contrôle génétique de la robe des chevaux

Les chevaux présentent de nombreux robes (=pelages) différentes. Dans cet exercice, on s’intéresse au contrôle
génétique de quelques robes : les robes « noir », « Alezan » et « Bai ».
III) Arbre généalogique

1) Cette maladie est-elle récessif ou dominant ?


2) Pourquoi cette maladie touche préférentiellement les hommes ?

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