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Bien des générations avant la nôtre, la scolarisation de la jeune fille fit une confusion.

Après les
indépendance des pays africains, ces États adoptent le système éducatif coloniale selon des schémas
différents, en fonction de l’identité du colonisateur. L’école s’est ainsi progressivement installé en
Afrique mais pas totalement des tous les zones des États africains. Le taux des enfants scolarisés
entre 1960-1980 était de quantité infirme et les jeunes filles en étaient plus les victime. La première
différenciation sexuelle tient au fait que les filles ont globalement beaucoup moins de chance que les
garçons d’être inscrites à I ’École. Mais, même lorsqu’elles vont à l’École, les filles connaissent des
scolarités différentes de celles des garçons. Aux faibles taux d’inscription en première année d’école
des écolières, viennent s’ajouter des redoublements et des abandons souvent plus nombreux que
ceux des écoliers. Les scolarités féminines différente des scolarités masculines, en particulier parce
que les filles quittent l’École plus tôt (souvent dès la puberté), pour aider leur mère ou pour se
marier. Malgré la progression des effectifs scolaires féminins depuis l’indépendance de la Côte
d’Ivoire, les inégalités entre les sexes restent fortes et en défaveur de la grande majorité des fille. Il
Fallait donc imposer des politiques spécifiques en faveur des filles. De nombreux états africains ont
mis en place des politiques pour tenir leurs engagements à l’égard de l’éducation des filles. Le droit à
l’éducation est inscrit dans les traités internationaux des droits de l’homme et des engagements sur
l’éducation de la fille ont été pris dans un certain nombre d’accords et de cadres internationaux et
régionaux ratifiés par la majorité des états africains.

Ce tableau ci-dessus présente les traités internationaux, les engagements internationaux et


régionaux dans le cadre de la scolarisation des enfants dans le but d’une éducation pour Tous sans
aucune Attitude de discrimination fondée sur le sexe (spécialement, discrimination à l’égard du sexe
féminin).

Il a fallu aussi une vive exhortation à l’endroit des parents qui pensaient que la place de la fille est de
rester auprès de sa mère et à recevoir l’éducation féminine car elle sera plus tard une femme et
rejoindra son mari. Généralement il subsistait encore une tendance des parents à privilégier
l’éducation des garçons par rapport à celle des filles. Ainsi les parents étaient incertains quand aux
avantages qu’ils recevaient de l’éducation de leurs filles. L’éducation contribue donc à l’émancipation
de la jeune fille et lui permet d’échapper au mariage précoce. Aujourd’hui, une jeune fille instruite
est un leader pour sa génération. L’éducation participe donc non seulement à son épanouissement
personnel mais aussi garantit son avenir.

Aujourd’hui, nous sommes dans un nouveau siècle où les droits de la femme sont reconnus par tous.
La discrimination entre les filles et les garçons n’existe plus. En plus d’être un droit intrinsèque de
l’homme, la recherche et en droit fondamental pour la jeune fille, elle est l’un des moyens les plus
efficaces de développement, non seulement pour les jeunes filles elles-mêmes mais également pour
leur famille, pour leurs communautés et pour la société. L’éducation était donc perçue comme un
moyen pour lutter contre la pauvre, améliorer la santé maternelle, augmenter la force de travail
potentielle et la possibilité de croissance économique. Ainsi dans l’espoir d’être moi aussi plus tard
une femme indépendante et cultivée et aussi sortir de la pauvreté, mon père m’inscrivit à l’école
dans l’espoir de voir sa fille réalisée ses rêves et devenir une femme <<grand types>> comme l’on a
l’habitude de qualifier les gens qui réussissent dans la vie par le moyen des études. Dès l’âge de 7
ans, à une époque où la sensibilisation de la scolarisation des filles était alarmante. Au fil du temps
j’ai progressée cognitivement et dès la classe du cours Elément 2 eme année, lorsque l’enseignant nous
interrogeait sur le métier que nous voulons exercer plus tard, L’unique métier qui revenait dans mon
esprit était le métier de l’avocat et ainsi défendre les victimes d’injustice, défendre aussi les femmes
dont les droits sont violet. Après mon d’admissibilité à l’examen du CEPE quand j’avais 12, je fus
orienter dans une école de jeune fille dans une petite ville à proximité du village dans laquelle il faut
une petite marche de 20 minutes. La distance à parcourir au quotidien soit deux ou quatre fois par
jour n’avais pas d’effet Golem sur mes résultats scolaires. Aussitôt tôt, sans que le temps y presse, les
années se suivent et j’ai eu mon BEPC avec une bonne mention. Les efforts que je fournissait donnait
de plus en plus du courage à mon père de

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