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Avant même de décider de lancer son plan marketing, il faut faire une analyse de la situation avec différents outils d’analyse simples (PESTEL, SWOT…) qui
permettent de structurer sa démarche.
Vérifier sa vision du marché.
Se tromper sur son client type et son segment de marché (ensemble de clients types), et dans ce cas il faut valider son “persona”, et vérifier que le segment
de marché est accessible et rentable.
o Un Persona vous servira à personnifier votre client, et donc de penser à lui à chaque fois que vous faites une action marketing ou que vous lancez
une offre.
o Un Persona officiellement valider par le marketing et les ventes permet d’aligner tout le monde sur un seul client type.
o Un Persona vous permettra de mieux cibler vos campagnes marketing (Linkedin, Facebook Ads, SEO…) en sachant exactement quels sont ses
besoins, ses peurs, son profil, les mots clés employés…
o Un segment de marché regroupe une cible avec un besoin similaire.
Se tromper sur la structure des ventes (produits vendus, marges, circuit de distribution, conversion…). Car parfois on est surpris par une répartition des
ventes qui n’est pas celle que l’on pensait (top clients, top produits…), ou une évolution de son parc client. Le plan marketing est donc le moment de
prendre du recul et de refaire une photo de son activité.
o Pour cela, il faut analyser les chiffres des ventes, du parc client… (et ne pas rester dans les intuitions).
Se tromper sur les besoins actuels et futurs des clients (évolution du marché, nouvelles tendances, nouveaux concurrents..), et dans le cas le mieux est
d’aller rencontrer ses clients et prospects, ou mener des études quantitatives et qualitatives:
o Il faut donc valider en amont avec la direction (DG, Président…) la stratégie globale.
o En même temps, le marketing doit anticiper les tendances.
Oublier d’écouter ses clients, que cela via les enquêtes de satisfaction ou des entretiens qualitatifs.
o Faites un tour réguliers des remontées clients (ex: commentaires des enquêtes, participez à un salon…), et demandez aux personnes en contact
avec les clients (Service Client, Avant-Vente…).
1 – L’analyse de l’environnement externe via la Matrice PESTEL
L’analyse via la matrice PESTEL permet l’analyse de son écosystème, c’est à dire les facteurs externes qui peuvent influer sur votre activité.
Les innovations technologiques, dans son secteur ou dans des secteurs proches
Les évolution psychologies (nouveaux business modèles…)
2 – L’analyse de sa gamme de produits avec la Matrice BCG
La Matrice BCG (Boston Consulting Group) permet d’avoir une vision synthétique de l’état de son portefeuille de produits.
La croissance des ventes de la gamme de produits d’une année sur l’autre (ex: +10%)
La part du chiffre d’affaires que cela représente dans l’entreprise
L’estimation de la part de chiffre d’affaires de votre entreprise sur le marché (ex: 10 %…). Cette dernière information peut être estimée avec une note de 1 à
10 (10 = 100% du marché).
Les produits “vache à lait” qui font beaucoup de chiffre d’affaires, mais avec une croissance faible.
o Généralement ce sont les produits “historiques” de la société, qui ont permis de bâtir le succès.
o Ils permettent de financer l’ensemble de la structure, mais ils sont désormais copiés et concurrencés.
o Il faut donc les remplacer ou les “rajeunir”.
Les produits “stars” qui ont une croissance importante, mais qui représentent encore peu de chiffre d’affaires.
o Ce sont généralement des nouveaux produits, des produits plus segmentés… qui doivent prendre la suite des produits stars.
o Il faut les booster et leur donner plus de croissance.
Les produits “dilemmes” qui ont peu de part de marché malgré une croissance importante.
o Ce sont des produits qui auraient dû fonctionner, mais pour lesquels le mix produit, le nom, le prix… n’a pas fonctionné.
o Il faut alors choisir entre les relancer ou les arrêter.
Les produits “poids morts” qui ont peu de croissance et peu de part de marché.
o Typiquement ce sont des produits qui sont en fin de vie ou qui n’ont jamais réussis à percer sur le marché.
Grâce à cette matrice, il devient très simple de faire des choix concernant ses produits, tout est clair avec la Matrice BCG :
3 – L’analyse de ses forces et faiblesses internes via un SWOT
Un SWOT permet d’analyser sa situation sur un marché, via une présentation simplifiée des Menaces / Opportunités, Forces / Faiblesses
Les forces internes : ce qui fait que vous êtes bons (ex : une bonne image…)
Les faiblesses internes : ce qui est votre point faible (ex: peu de moyens, des problèmes produits…)
Les opportunités externes : ce qui pourrait booster votre croissance (ex: racheter un concurrent…)
Les Menaces externes : ce qui peut nuire à votre business (ex: un concurrent américain qui arrive sur le marché, un règlement…).
5 points clés sur votre offre à valider avant de lancer un produit
Voici les 5 questions essentielles avant de lancer un nouveau produit et faire son plan marketing .
Pour faire simple, vous devez être capable de répondre simplement à la question suivante : comment convaincre “Votre Cible” de faire passer l’argent qui
est dans sa poche dans VOTRE poche.
Il faut avoir une bonne raison objective qui va décider votre prospect à commander chez vous :
Sortir un produit innovant n’est pas forcément la bonne solution, Google Glass, qui étaient sensées révolutionner notre vie… et depuis elles ont disparues :
Ce n’est pas non plus vendre un produit star un peu moins cher, la preuve avec le Zune de Microsoft qui n’a pas apporté de vrai plus par rapport à l’iPod :
Ce n’est pas non plus en essayant de disrupter un marché en proposant une innovation qui au final se révèle moins pratique comme l’a été le Laser Disk de
Philipps.
Sans le réseau de distribution, les films, le prix… le Laser Disk et mort même si la technologie était meilleure que les cassettes VHS :
C’est le même principe qui est arrivé avec le DAT, qui a été boycotté par l’industrie musicale qui craignait le piratage lié à l’excellente qualité du support.
Ce n’est pas non plus une licence ou une marque qui fait vendre… Tout le monde n’arrivera pas à la complémentarité de Légo & Star Wars… Cosmopolitan
et une marque de nourriture en ont faits les frais …
Ce n’est pas non plus un simple design original qui suffit, il faut qu’il plaise, qu’il créé de l’émotion, qu’il ait du sens… Tout ce que n’avait pas l’Apple Cube (et
qu’avaient les iMac) :
Pour vous aider à valider votre idée vous devez répondre aux questions :
2- Quelle stratégie ?
– Choisir quoi proposer à cette cible: développer un nouveau produit/concept ? Faire émerger un nouveau bénéfice ? Faire une nouvelle offre ? …
Pour cela il faut se baser sur les forces actuelles de l’entreprise plutôt que de devoir développer de nouvelles compétences.
"…En effet il est toujours plus simple de se baser sur un parc de clients existants, d’un réseau de distribution… que de devoir tout ré-inventer..".
La value proposition permet de faire une offre adapté à un marché (ou à un segment de marché) avec un produit donné.
Par exemple si vous vendez des logiciels de gestion, vous pouvez avoir plusieurs couples produits / marché avec des propositions de valeur différentes :
Il faut rédiger sa “value proposition” pour positionner le produit (ou “unique selling proposition” ou positionnement produit) : Que va faire le produit ? A
qui s’adresse-t-il ? A quel prix ? ….
3- la fourchette de prix.
Cette value proposition doit être communiquée partout et à tous: communiqué de presse, packaging, cartes de visites, fiches produits…
La “value proposition” est l’image / perception que doit avoir le client doit avoir de vos produits, ce qui peut être différent de la “réalité”.
On peut résumer la proposition de valeur via un “Elevator Pitch”, qui résume en 30 secondes à 1 minute maximum (le temps de prendre l’ascenseur) votre
idée.
La structure du pitch est la suivante :
Un Produit A avec une marque “distributeur” (Carrefour, Auchan…) qui s’adresse aux ménages avec de faibles revenus et qui veulent un minimum de
qualité.
o Prix : faibles marges, avec un gros volume.
o Promotion : pas de communication (marque, packaging…), c’est le distributeur qui valide le logo et le packaging…
o Distribution : uniquement via la grande surface
o Produit : un produit “basique” avec un bon rapport qualité / prix
o Processus : la réduction des coûts maximale
o Personnel : le personnel de l’entreprise sans marketing et commerciaux
Un Produit B avec une marque “locale” (Malo…) qui s’adresse aux familles aisées ou aux consommateurs locaux avec un pouvoir d’achat important (ex:
retraités…)
o Prix : élevé
o Promotion : un logo plus “traditionnel” et local avec la mention de la zone de production
o Distribution : via toutes les grandes surface “haut de gamme” (monoprix…) et locales.
o Produit : un excellent produit en termes de goûts et d’ingrédients
o Processus : utilisation de la chaine de production actuelle, plus un emballage spécifique
o Personnel : le personnel de l’entreprise avec du marketing et des commerciaux
A noter :
Le mix marketing peut comporter plus de P, avec par exemple 12P (preuve, partenariat, passion, gestion de projet…) afin d’avoir une “checklist” encore plus
complète
Le mix marketing est de plus en plus remis en cause, pour ne plus mettre le produit au centre de l’entreprise (avec les 6P), mais les clients. Pour cela on
parle des 4C (Convenience of Buying / Customer need / Cost to satisfy / Communication), afin de créer une offre à partir des besoins des clients. L’autre
option est de partir sur les profils
5 – Votre positionnement
Le positionnement en marketing, c’est la manière dont vous souhaitez être perçu par vos clients, prospects, prescripteurs… Par exemple, vous pouvez
souhaitez être perçu comme le meilleur en sécurité de votre marché par rapport à tous vos concurrents.
Pour trouver un positionnement, il faut identifier parmi tous les critères de choix d’un client pour acheter un produit, les deux plus importants qui
comptent pour votre cible (ou segment de marché). Par exemple:
si vous vendez des voitures Tesla, votre clientèle (le segment) est celle les entrepreneurs et startupeurs qui ont réussis, les critères de choix sont l’image
sport et écolo.
si vous vendez des Mercedes, votre segment est celui des hommes ou des femmes à hauts revenus qui veulent de la sécurité et du confort.
..
Attention :
vous devez choisir 2 critères qui comptent vraiment pour le client, et pas des critères que vous avez défini.
vous pouvez aussi partir de votre liste de clients actuels, et déterminer des caractéristiques communes, et ainsi obtenir votre cible.
Le Plan Marketing est le bras armé de votre Stratégie Marketing, c’est la mise en pratique de toute votre réflexion.
Si vous lancez un nouveau produit sur le marché, il sera indispensable de soigner le lancement de ce produit.
En effet un lancement de produit est un fusil à deux coups : vous pouvez éventuellement manquer le lancement initial, mais le relancement doit alors être
parfait !
Le but est d’identifier quels sont les points d’influences sur les clients dans le cycle de vie, c’est-à-dire identifier les influenceurs, les actions, les personnes…
qui impactent dans le processus de décision d’achat du produit ou du service. Pour cela il faut procéder à l’identification points d’influence sur les clients
(lieux de contacts) via la modélisation de son parcours client (logigramme)
Le but est d’analyser les points de contacts, et de faire en sorte que le processus de commande soit le plus fluide et le plus simple possible.
Par exemple il y a :
Le site internet
La boutique
Le distributeur
La livraison
…
– Les influenceurs directs : ils interviennent directement dans le choix du client, car c’est leur métier. Ce sont les commerciaux, les distributeurs…
– Les influenceurs indirects impliqués: ce sont des prescripteurs qui peuvent intervenir dans le choix du client car le choix du produit intervient dans leur
activité.
– Les influenceurs indirect non impliqués: ils sont en relation avec vos clients mais le choix du produit n’aura aucune influence sur leur activité.
Bien entendu il faudra consacrer tous vos efforts sur les influenceurs de niveau 1, et ensuite sur ceux de niveaux 2.
Si vous dispersez vos efforts en micro actions, vous allez éparpiller vos ressources et finalement ne pas obtenir des résultats optimum. C’est pourquoi il est
essentiel de définir 1 ou 2 grands axes marketing.
Par exemple un axe marketing peut être:
de vendre plus en direct sur le web, via votre site web, et de vous développer plus sur le marché Allemand
d’augmenter les profits en vendant plus de produits et de services via des offres Premium, tout en humanisant votre marque pour la rendre plus “haut de
gamme”.
de donner une image plus “haut de gamme” en faisant appel à un designer pour tous produits “haut de gamme”
de mettre de la gamification dans vos offres afin de les rendre plus “fun” et ludiques à utiliser
…
Une fois que vous avez une vision du parcours client, des influenceurs… vous pouvez commencer à lister les actions à mettre en place:
Généralement, il faut frapper fort dès la sortie du produit. C’est pourquoi il est important de soigner son plan marketing à 3 mois, en planifiant de manière
moins précise les actions pour le reste de l’année.
Le mieux est de se rappeler ses objectifs marketing, et de lister à partir d’une page blanche toutes les actions possible, puis dans un second
temps reprendre sa liste d’actions marketing habituelles.
Voici différents outils marketing, avec leurs objectifs principaux :
– Informer en interne
Ces documents permettent de mettre en ordre de bataille votre entreprise, en étant certain que tout le monde à compris les enjeux, les objectifs…
Bannière de pub sur son propre site, les sites de partenaires, le blog, les media sociaux (ex: cover Facebook, Twitter, Linkedin…),
Spot pub radio (locales ou nationales),
Video (animation vidéo, film…) ou spot TV (TNT/Satellite, locale, nationale),
Partenariats d’échange de visibilité,
Newsletters/emailing/mailing/ push notifications / SMS / Chatbots / Messages vocaux (à destination de ses revendeurs, ses prescripteurs…),
Affichage du mobilier urbain (abribus, 4 x 3, métro, Smart, affichage dans les commerces…),
Pub magazine, produit offert, promo dans le cadre des cartes de fidélisé,
PLV (stop rayon, Catalogue, fiche produit, dépliant, flyer, standee, box, kakémono, tour d’écran, autocollants, affiche, enseigne…),
Goodies (clés USB, cutter…),
Street marketing (distribution de flyers ou d’échantillons…),
Mention sur les factures / répondeur téléphonique/ cartes de visite/…,
Sponsoring d’événement,
Buzz marketing (vidéo, jeu concours…)
Publication de Content Marketing sur les Media Sociaux (images / vidéos / textes /…)
…
Politique de prix (ex : marges commerciales plus importantes sur un nouveau produit, prix de lancement…),
Offre satisfait ou remboursé,
Mise en avant par des merchandiseurs et des démonstrateurs,
Produits gratuits offerts lors d’achat d’autres produits,
Versions gratuites pour les distributeurs,
Concours de ventes (distributeurs, commerciaux…),
Dossier de référencement pour la grande distri (plan de communication détaillé, potentiel du marché, principaux avantages du produit…),
Kit de prospection à ses revendeurs,
Pack et bundles
…
Une fois toutes ces actions listées, il faut maintenant les priorisées selon vos objectifs et votre budget marketing, car vous ne pourrez pas choisir de faire
toutes les actions.
Pour cela vous pouvez utiliser la méthode “I.C.E.” pour choisir quelles actions mener en priorité.
La méthode “I.C.E.” vous permet de rationaliser vos choix, via 3 critères simples :
Impact sur votre business
Coût de mise en œuvre (et pas que les coûts d’achats, tous les coûts). Dans un premier temps vous pouvez vous contenter d’un prix “à la louche”, vous
pourrez affiner par la suite.
Effort pour le mettre en place (pour ne pas perdre de temps avec des usines à gaz ou des actions que vous n’aimerez pas faire)
Il faut mettre une note de 1 à 10 pour chacun des critères afin d’obtenir une liste des actions rationnellement les plus pertinentes.
5 – Focus sur la fiche produit et la fiche technique…
Pour sortir un produit dans une entreprise, il existe un “Kit Marketing” minimum pour vendre une offre :
La grille de tarifs
Le fiche produit (PDF et sur internet)
La page de présentation sur le site
La présentation Powerpoint pour les prospects
Des visuels ou captures écrans du produit
Un support de formation pour les commerciaux
Un article de blog pour le lancement
Un email d’annonce de la disponibilité du produit (pour les clients & prospects)
Si l’on fait un focus sur la fiche produit et la fiche technique, il est important de distinguer les deux.
La première est une aide à la vente (principales fonction, cible, principaux arguments…) tandis que la seconde détaille les caractéristiques techniques du
produit (configuration, liste fonctionnelle détaillée…).
La fiche produit contient: le nom du produit, l’accroche, la cible, les bénéfices, les X bonnes raisons d’utiliser le produit, des témoignages et partenariats, la
photo du produit, vos exclusivités,
La fiche technique contient: les caractéristiques techniques, la liste des fonctionnalités, les améliorations par rapport aux anciennes versions, un
argumentaire en 2 ou 5 ou 30 lignes, les illustrations détaillées
Une fois que vous avez une idée des actions que vous souhaitez mener pour faire connaitre un produit, il faut estimer plus finement le coût des actions
et le ROI.
Vous allez commencer par les outils et actions marketing que vous avez retenu (ex: la fiche produit, refonte du site internet…), en vous concentrant que
ceux qui seront sans doute mis en place.
Une fois que c’est fait, il faut utiliser MS EXCEL ou autre logiciel pour estimer un coût pour chaque opération, et estimer un ROI probable (nombre de leads
générés ou nombre de ventes).
Et voilà, le plan marketing est presque fini !
Il faut définir quels vont finalement être les outils utilisés pour faire connaître son produit ou son service en tenant en compte votre budget marketing.
Lorsque l’on réalise son premier plan marketing, la question est souvent de se savoir combien accorder aux dépenses marketing ?
Une règle classique est d’accorder 10% à 15% de son chiffre d’affaires aux dépenses marketing, c’est à dire :
Ainsi, si je réalise 1 000 000 € de chiffre d’affaires, je peux octroyer 150 000 € au marketing avec par exemple :
Cependant le choix du budget marketing peut varier selon les objectifs de l’entreprise, et la nécessité de se faire connaître. Certaines entreprises comme
Salesforce dépensent 53% de leur budget global en ventes (commissions, salaires des commerciaux…) et en marketing (publicité…)…
1- Remettre en cause le budget N-1 et repartir de zéro pour redéfinir les opérations et mettre en face le CA qu’elles vont générer
2- Lister toutes les opérations marketing indispensables (et le retour attendu) et ensuite arbitrer entre les actions prioritaires pour obtenir le plan
marketing “optimal”.
4- Accorder X% de son chiffre d’affaires prévisionnel que vous devez effectuer ou que la direction commerciale a défini
– Le fichier Word qui rassemble votre analyse du marché, et vos hypothèses pour le plan d’action.
Ce document est la base pour faire vos choix et savoir quelles actions à mener pour réaliser le plan marketing sur Excel. C’est un document de travail qui
vous permet de rassembler vos idées, c’est un vrai état des lieux de votre marché, qui vous aura permis de nourrir votre réflexion. Normalement ce
document rassemble :
–…
– Le fichier Excel avec le détail des calculs et des actions prévues mois par mois, avec à chaque fois une estimation du coût de l’opération et les retours
escomptés (nombre de clients / leads), et le budget marketing annuel total.
Dans ce cas, le document va décrire les fonctions, à qui elle s’adresse (client, prospects, support, légal, génération de business…) avec une note pour chaque
service (marketing, R&D, commerciaux, support) :
– La présentation powerpoint du plan marketing: ce document synthétique d’une dizaine de slides (maxi 20) présente les grands axes marketing de
l’année, le calendrier mensuel des opérations (simplifié), le budget global annuel avec les objectifs liés à ces dépenses marketing.