BOIS ET BRIQUES

OBJECTIFS
L’étudiant doit être capable :
 de comprendre la structure des matériaux du génie civil,
 de comprendre les règles d’emplois de ces matériaux dans les ouvrages,
 de choisir des matériaux de construction en fonction des propriétés d’usage recherchées.

CONTENUS
BOIS :
 microstructure et macrostructure du bois,
 caractéristiques physiques du bois –masse volumique, teneur en eau, rétractabilité,
 caractéristique mécanique –résistance à la compression, résistance en traction, élément
constitutif d’élasticité-, durabilité du bois)

BRIQUES :
 matière première,
 cycle de fabrication,
 produits de terre cuite : briques, tuiles etc.)

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 I- Généralités sur la construction bois
L’homme a toujours utilisé le bois pour construire son habitat. Naturel, léger, renouvelable, résistant,
biodégradable, esthétique, le bois dispose de nombreux atouts qui en font un matériau idéal pour la
construction.
Cependant, le bois est sensible aux risques biologiques xylophages : termites et champignons. La
présence de ces pathologies menace à terme la construction.

Pourquoi utiliser du bois dans la construction ?

- L'esthétique est bien sûr l'une des premières raisons du choix du bois.
- Il y a aussi sa simplicité de mise en œuvre et sa liberté architecturale
- Enfin utiliser le bois dans la construction revient à stocker du CO2 au lieu d'en dépenser (le
bilan croissance de l'arbre – énergie dépensée pour le travailler est positif).
Donc, avant l’utilisation du bois dans la construction, certaines garanties sont à considérées :
- Choix des essences,
- Durabilité,
- Risques biologiques,
- Choix des traitements.
Les bois de construction actuellement sont : soit durables naturellement soit traités afin de résister
aux différentes attaques.

II- Caractéristiques du matériau

1- constitution
Le bois est un matériau d’origine biologique comprenant :
- Des matières organiques : carbone, hydrogènes, oxygène, azote.
- de substances minérales. Après plusieurs étapes et transformations du bois, la composition va
se modifier en cellulose, en lignine et en d’autres substances minérales, qui forment les
cendres (graisses, minéraux, composés carbonés).
- De l’eau.

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 Ces composants sont associés sous forme fibreuses qui définit le squelette du matériau.
Les fibres ont une dimension microscopique ; longueur inferieur à 1mm, épaisseur inferieur 1/50mm.
L’enchevêtrement des fibres constitue un tissu dont la trame principale est orientée parallèlement à
l’axe de croissance.
Les bois durs possèdent un tissu dense (cailcedrat)
Les bois tendres possèdent un tissu lâche (baobab)
Les caractéristiques mécaniques du bois varient selon les différentes directions du tissu fibreux. On
dit que le matériau est anisotrope.

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 2- Coupe schématique d’un tronc d’arbre
La branche ou le tronc d’arbre est constitué de cinq couches principales :
- L’écorce : L'écorce est le revêtement extérieur du tronc, des branches et
des racines des arbres, et plus généralement des plantes ligneuses. Elle protège l’arbre contre les
intempéries, les insectes et les agressions extérieures. C’est l’arme de défense de la plante. Son
épaisseur varie selon les espèces. (1 à 3cm)
Il est souvent possible de reconnaître un arbre par son écorce, dont l'aspect peut cependant
fortement varier selon les régions (latitudes, altitudes), son âge, son exposition, et la présence
éventuelle de lichens, mousses, algues ou d'autres épiphytes.
- Le liber (phloème) : aussi appelé écorce interne, il sert à transporter la sève élaborée.
Son épaisseur est de 2 à 5 cm. C’est le lieu de prédilection des xylophages.
- Le cambium : c’est l’usine de fabrication des cellules de bois vers l’extérieure pour
nourrir l’aubier. C’est une partie très peu visible mais elle assure la croissance de l’arbre. Son
épaisseur est inférieure à 10mm
- L’aubier : encore appelé bois vivant, c’est le bois nouvellement fabriquer par le
cambium, mais non encore durci. Il permet la circulation de la sève brute du sol vers les feuilles. C’est
aussi la plus fragile entre l’écorce et le bois dure dans laquelle les parasites résistants (insectes et
champignons) trouvent les éléments nutritifs (amidon, sucre)

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 - Le duramen est du bois mort qui sert de charpente à l’aubier qui l’entoure. C’est la
partie la plus dure et la résistante de l’arbre. C’est du bois qui a atteint le sommet de sa croissance. Le
duramen contient des antiseptiques naturels (tanins, résines) le rendant plus résistant aux agressions
biologiques. C’est cette partie de l’arbre qui sera donc la plus fiable pour la construction. Il est composé
de cellules mortes qui ont fini d'évoluer. Les cernes marquent les couches successives d’aubiers
superposées au cours des années. C'est le support de l'arbre que l’on nomme bois de cœur ou bois parfait.

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 3- Critères d’emploi
L’utilisation du matériau bois se détermine premièrement en fonction des caractéristiques
techniques d’une construction, d’une charpente ou d’une menuiserie, et deuxièmement en fonction
des critères esthétiques, pour les revêtements ou les meubles.

Les avantages attendus d’un bois destiné à la construction sont :

- Matériau indigène disponible sur place et de renouvellement constant ;

- Facilement transportable, mise en œuvre offrant un grand nombre de possibilités par
le débitage, les assemblages, les collages ;
- Présente, en comparaison avec d’autre matériaux, de bonnes qualités physiques :
masse volumique, résistance à la compression et à la flexion, isolation thermique et acoustique,
résistance à la corrosion chimique ;
- Qualité économique, construction rapide à sec ; bois récupérable et transformable en tout
temps.

Les qualités attendues d’un bois de charpente sont :

- longueur, stabilité, masse volumique adéquates ;

- comportement physique satisfaisant : résistance à la compression, au flambage, à la
traction, à la flexion, au cisaillement.

Les qualités attendues d’un bois de menuiserie sont :

- la résistance à l’humidité, aux intempéries, la stabilité, la durabilité ;

- une surface permettant l’adhérence de la peinture et des produits de finition ;

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 - des qualités d’isolation thermique, phonique et acoustique.

Les qualités attendues d’un bois d’ameublement sont :

- très riche en possibilités décoratives, selon les essences, les couleurs, les structures, les
jeux de placage, les principes de finition ;
- facile à travailler, offrant beaucoup de possibilité de construction selon exigences
esthétiques et architecturales ;
- bois de qualité inferieure transformable en panneaux de bonne qualité technique et aux
dimensions fonctionnelles.

4- Catégorie du bois
Au cours de l’évolution, le règne des plantes ligneuses formant des arbres s’est divisé en
résineux (gymnosperme) plus anciens, et feuillus (angiosperme) plus jeunes et de structure plus
complexe. Cette structure plus différenciée avec des cellules très spécifiques, permet aux feuillus de
nous offrir des bois des plus denses aux plus légers, des plus durs aux plus mous, des plus sombres
aux plus clairs.

a- Résineux (à feuilles persistantes).

L’anatomie des bois résineux (conifères, ou plus exactement «gymnosperme», se distingue
dans son principe même de celle des feuillus. Le tissu fondamental est constitué de cellules nommées
trachéides.

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 b- Feuillus (à feuilles caduques).
Les cellules longitudinales se sont spécialisées en éléments vaisseaux et en fibres. Les
vaisseaux remplissent la fonction conductrice de la sève brute (ascendante). Lors de leur croissance,
leurs extrémités se juxtaposent et leurs parois cellulaires sont perforées par de grandes ouvertures de
la taille de leur diamètre formant ainsi un long «tuyau» continu. Selon les espèces, la taille des
vaisseaux est tellement grande qu’ils deviennent visibles à l’œil nu sous formes de pores.

La distinction feuillus ‐ résineux

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 5- Caractéristiques physiques
Le bois est un matériau vivant dont le comportement physique est essentiellement influencé
par sa teneur en eau et les conditions d’humidité de l’air et de température.

La quantité d’eau contenue dans le bois aura une influence sur :

- Les qualités techniques ;

- Les variations dimensionnelles ;
- La masse volumique ;
- La résistance à la pourriture ;
- La résistance à l’attaque des parasites.

Les techniques de travail cherchent à neutraliser ces phénomènes physiques par :

- Le choix des essences ;

- Les conditions de séchage ;

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 - Les techniques d’assemblage et de mise en bois ;
- Les traitements préventifs ;
- Les revêtements de surface.

 taux d'humidité : en milieu humide, le bois absorbe de l’eau et il en perd en milieu

sec.

L’eau est présente dans le bois sous trois formes :

- l’eau de constitution moléculaire ;

- l’eau liée en périphérie des cellules ;
- l’eau libre circulant entre les grains.

Toutes variations sur l’eau liée entrainent des modifications dimensionnelles et sur les
caractéristiques visibles ou mécaniques.

Lors de son abattage, un bois vert peut contenir plus de 100% d'eau. Immergé, le bois peut
atteindre au bout d'un certain temps une teneur de 200%. La dessiccation à l'air n'est jamais totale,
au-dessous de 22% d'humidité un bois est à l'abri de la pourriture (ce minimum est nécessaire pour le
développement des organismes parasites).

Le taux d’humidité ou coefficient d’humidité est la quantité d’eau que renferme un bois par rapport
à la masse du même bois après dessiccation.

(mh – ma)/ma avec

- mh : masse humide,
- ma : masse anhydre

Pour limiter les désordres, il faut utiliser du bois dont le taux d’humidité sera aussi proche que
possible de l’hygrométrie de l’atmosphère dans lesquels ils sont exposés.

 rétractabilité : est la fonction qu'il a de varier en dimensions et en volume lorsque son

état d'humidité varie entre certaines limites comprises entre l'état anhydre et l'état de saturation des
tissus cellulosiques :

B (%) = (V1 – V2)/ V2 avec

V1 : volume à l'état saturé, V2 : volume à l'état anhydre.

Lorsque l'eau libre a entièrement disparu (point de saturation), il ne reste que l'eau liée qui
imprègne les membranes des cellules. Le départ de cette eau liée entraîne des phénomènes de retrait

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 et de déformation. Le point de saturation des fibres, en dessous duquel se manifeste le "jeu du bois",
est de l'ordre de 30 % pour toutes les essences (voir figure).

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 Le retrait et le gonflement sont directement proportionnels à la diminution ou à l'augmentation
du taux d'humidité du bois. L'amplitude des variations dimensionnelles observées dépend :

• de la direction par rapport au fil du bois (axiale, radiale ou tangentielle),

• de l'essence,

• du nombre de points d'humidité perdus ou repris ente 0 et 30 %.

Chaque essence est caractérisée par 3 coefficients de rétractabilité qui expriment les variations
dimensionnelles d'une pièce de bois pour une variation d'humidité de 1%, selon chacune des 3
directions :

• le retrait axial,

• le retrait radial

• le retrait tangentiel

Le retrait est très fortement anisotrope. Le retrait axial est si faible qu'il est pratiquement
négligeable. C'est dans le sens tangentiel qu'il est le plus important, il est environ 1,5 à 2 fois plus
élevé que le retrait radial. Ce sont ces différences de rétractabilité qui expliquent le gondolement au
séchage des pièces de bois. Le retrait n’est pas un phénomène réversible.

La rétractabilité conditionne la stabilité en ambiance extérieure d'une essence. On distingue

ainsi les essences :

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 • à fort retrait : 15 < B < 20%; chêne, hêtre, azobé, etc.,

• à retrait moyen : 10 < B < 15%; résineux en général,

• à retrait faible : 5 < B < 10%; sipo, iroko, noyer, peuplier, acajou,

etc.
Une finition extérieure sera donc plus sollicitée sur un support en bois à fort retrait débité sur
dosse (retrait tangentiel), que sur un élément en bois à retrait faible ou moyen débité sur quartier
(retrait radial).

En fonction de la température et surtout de l'humidité de l'air ambiant, le bois se stabilise à

une humidité d'équilibre, dite équilibre hygroscopique, qui est pratiquement indépendante de
l'essence du bois.

 Masse volumique et dureté :

C’est le rapport existant entre le volume d’un matériau et le m3 d’eau. Le bois, comparé à
d’autres matériaux de construction est léger d’où son utilisation judicieuse en charpente, par exemple.

La masse volumique d’un bois est déterminée par les éléments suivants :

- Essence ;
- Croissance et texture ;
- Pourcentage d’humidité.

La masse volumique (ou densité) des bois est très variable selon les espèces (de 350 à 1 100
kg/m3) et à l'intérieur d'une même espèce (avec des variations maximales de plus ou moins 15%)

En tant que matériau hygroscopique, l'eau liée que le bois contient s'ajoute à la masse de la
matière ligneuse. Sa masse volumique varie donc avec son humidité. Pour la densité, et en règle
générale pour l'ensemble des caractéristiques physico-mécaniques, l'humidité de référence est de
12%.

La masse volumique est déterminée pour le transport des grumes et sciages, pour
l’entreposage sur une dalle, ainsi que pour les constructions de charpentes.

Une corrélation étroite existe entre la masse volumique et la dureté (tableau) : les bois les plus
denses sont les plus durs et les bois les plus légers sont les plus tendres.

L'échelle de dureté des bois est exprimée en indice Chalais-Meudon (selon la norme NF B 51-
013).

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 La dureté (nombre sans unité) est égale à l’inverse de la flèche de pénétration de la
génératrice d’un cylindre d’acier imprimé sous une charge de 1000 N par centimètre de largeur
l’éprouvette

 Conductibilité thermique et phonique : la conductibilité thermique est modérée, elle

dépend de l'espèce, de la masse volumique, de l'humidité et de la température. La diminution de l'air
dans les pores, due à une augmentation de l'humidité améliore la conductibilité thermique.

6- Propriétés mécaniques
Le bois matériau hétérogène et anisotrope, offre des résistances mécaniques différentes en
fonction de la direction de l'effort par rapport à la section transversale, radiale ou tangentielle. Elles
varient avec l'espèce (texture, densité, humidité); dans une même espèce avec l'âge, les conditions
d'exposition, de croissance et de voisinage et dans un même individu avec l'emplacement du
prélèvement (cœur, aubier, etc.).
Le bois se comporte dans la direction axiale comme une matière fibreuse, résistante, tenace,
rigide et dure. Par contre, dans la direction tangentielle, le bois se comporte comme une matière
plastique, déformable et de résistance relativement faible.
De plus, en testant le bois à la traction, à la compression, au poinçonnement, au cisaillement,
on trouve des différences capitales selon la direction des efforts.
Les résistances à la traction sont 2 à 4 fois plus grandes qu'à la compression. Dans les calculs
de construction en bois, il faut prendre un grand coefficient de sécurité (ex. : 6 pour les constructions
permanentes et 3 pour les constructions provisoires).
Sa résistance est très forte dans le sens longitudinal et peut se fendre aisément dans le sens
radial. Ces propriétés permettent de choisir le type de découpe selon l'utilisation souhaitée.

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 Le bois issu de la coupe de troncs d'arbres n'est pas utilisable directement. Il est débité puis
mis à sécher à l'air libre de nombreuses années afin que son eau soit éliminée et que les planches
utilisées ne se déforment pas.

Caractéristiques mécaniques de quelques essences.

Ces valeurs moyennes (en MPa) sont obtenues par essais en laboratoire sur des échantillons
de bois. Ces essais sont effectués dans le sens longitudinal du bois.

III- Les classes de risque ou d’emploi (polycopies)

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 IV- Les classes de durabilité (polycopies)
V- Classification des familles de bois africains
VI- Appellation commerciale des bois

désignation Section (mm)

volige 18 x 100, 18 x 150, 18 x 200
liteau 18 x 40, 27 x 27, 27 x 40, 27 x 50
planche 27 x 100, 27 x 150, 27 x 200, 27 x 250, 27 x 300, 38 x 250
carrelet 27 x 27, 40 x 40, 60 x 60, 80 x 80
tasseau 40 x 60, 50 x 70
chevron 60 x 80, 63 x 75, 70 x 90, 80 x 100
ossature 45 x 95, 45 x 145, 45 x 200
bastaing 38 x 150, 50 x 150, 60 x 180, 63 x 175, 70 x 220
madrier - poutre 45 x 145, 60 x 100, 80 x 120, 80 x 180, 100 x 200
poteau - poutre 100 x 100, 120 x 120, 160 x 160
panne - poutre 50 x 150, 50 x 175, 55 x 175, 75 x 225, 105 x 225, …

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 Photo Désignation produit Sections Longueurs
Madriers 8/22 7,5cm/22cm jusqu’à 6 mètres de long
6,5 et 7 mètres
7,5 et 8 mètres

8,5 et 9 mètres

Bastaings 8/18 7,5cm/18cm jusqu’à 6 mètres de long

6,5 et 7 mètres
7,5 et 8 mètres
8,5 et 9 mètres
Bastaings 8/15 7,5cm/15cm jusqu’à 6 mètres de long
6,5 et 7 mètres
7,5 et 8 mètres
8,5 et 9 mètres

Pannes 10/22 9,5cm/22cm jusqu’à 6 mètres de long

6,5 et 7 mètres
7,5 et 8 mètres

8,5 et 9 mètres

Demi-Madriers 4/22 4cm/22cm jusqu’à 5 mètres de long

5,5 et 6 mètres
6,5et 7 mètres

7,5 et 8 mètres

Demi-Bastaings 4/18 4cm/18cm jusqu’à 5 mètres de long

5,5 et 6 mètres
6,5 et 7 mètres
7,5 et 8 mètres
Demi-Bastaings 4/15 4cm/15cm jusqu’à 5 mètres de long
5,5 et 6 mètres
6,5et 7 mètres
7,5 et 8 mètres

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 Chevrons 8/10 7,5cm/10cm jusqu’à 5 mètres de long
5,5 et 6 mètres

6,5 et 7 mètres

Chevrons 6/8 5,5cm/7,5cm 7,5 et 8 mètres jusqu’à 5 mètres de long

5,5 et 6 mètres

6,5 et 7 mètres

Chevrons 8/8 7,5cm/7,5cm 7,5 et 8 mètres jusqu’à 5 mètres de long

5,5 et 6 mètres
6,5 et 7 mètres

7,5 et 8 mètres

Chevrons 8/11 7,5cm/11cm jusqu’à 5 mètres de long

5,5 et 6 mètres
6,5 et 7 mètres

7,5 et 8 mètres

Chevrons 7/9 7cm/9cm jusqu’à 5 mètres de long

5,5 et 6 mètres
6,5 et 7 mètres

7,5 et 8 mètres

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 Lambourdes 4/6 4cm/5,5cm jusqu’à 5 mètres de long

Lambourdes 4/10 4cm/10cm jusqu’à 5 mètres de long

Plateaux Maçons 5/25 5cm/25cm jusqu’à 5 mètres de long

Plateaux Maçons 5/30 5cm/30cm jusqu’à 5 mètres de long

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 Plateaux Maçons 6/25 6cm/25cm jusqu’à 5 mètres de long

Liteaux 3/4 2,7cm/4cm 2 mètres et 2,50

Liteaux 1,5/4 1,5cm/4cm 2 mètres et 2,50

3 mètres/3,50 et 4

Liteaux 2/5 2cm/5cm 3 et 4 mètres

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »
 Voliges 10cm/15mm jusqu’à 4 mètres
15cm/15mm jusqu’à 4 mètres
18cm/15mm jusqu’à 4 mètres
20cm/15mm jusqu’à 4 mètres

20cm/18mm jusqu’à 4 mètres

Planches 15cm/27mm jusqu’à 4 mètres

18cm/27mm jusqu’à 4 mètres
20cm/27mm jusqu’à 4 mètres
22cm/27mm jusqu’à 4 mètres
25cm/27mm jusqu’à 4 mètres

30cm/27mm jusqu’à 4 mètres

VII- La préservation des bois

1- Défaut physiques des bois
Anomalies de structure, on cite :
- nœud : se situe à la jonction du tronc et d'une branche,
- l'entre écorce : présence de l'écorce dans la masse du bois,
- gélivures et gerçures : fentes longitudinales orientées sur un plan radial provoquées
par l'alternance de la gelée et la dessiccation,
- roulures : fentes circulaires constituées par le décollement de deux couches annuelles.

2- Les maladies des bois

3- Les insectes lignicoles

« Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, et la disette, comme un homme en armes. »