Vous êtes sur la page 1sur 7

Examen de Méthodologie.

Licence 1
SEMESTRE 2 SESSION 1
2014/2015

Consignes pour répondre aux questions :

1- Vous devez vous identifier correctement sur la feuille de réponses qui, seule, sera
rendue à la fin de l’épreuve. Ecrivez en capitale d’imprimerie, en prenant soin de bien
former vos lettres.

2- Pour chaque question, vous devez cocher la ou les cases qui vous semble(nt) correcte(s).
Pour cocher, faites une croix ou noircissez la ou les case(s) choisie(s). N’inscrivez jamais
de signes tels que des points dans les cases. N’utilisez surtout pas de Tipp-Ex.

3- Vous avez pour chaque question, 4 propositions (de A à D). Une ou plusieurs
bonne(s) réponse(s) est ou sont possible(s). Si vous hésitez ou ne connaissez pas la
réponse à une question, vous avez la possibilité de ne pas répondre. Dans ce cas, ne cochez
aucune des cases. Attention, les réponses inexactes participeront à la cotation sous la
forme de points négatifs.

Remarque : la seconde ligne est proposée si vous vous êtes trompé-e. Attention, quand elle
est utilisée, elle est toujours prioritaire sur la première.

1) L’observation 
A. marque la volonté de savoir ce qui se passe de manière « naturelle », en dehors de toute
intervention
B. enregistre des comportements effectifs
C. enregistre leur description par les sujets eux-mêmes ou des témoins
D. permet la collecte de données qui ont été sollicitées par le chercheur

2) L’observation participante
A. admet ouvertement l’impossibilité de se distancer véritablement de l’objet d’observation
B. tente de s’approcher le plus possible de l’objet de l’observation
C. suppose une certaine capacité empathique
D. s'effectue après l'élaboration du cadre théorique, sans changements d'orientation
théorique au cours de l'observation

1
3) Les facteurs à contrô ler lors d’une observation sont
A. l’effet des attentes des observateurs
B. la tendance au conformisme
C. la tendance à l’acquiescement
D. l'effet de halo

4) Pour contrô ler l’effet de la présence (intrusion) de l’observateur, on peut :


A. habituer graduellement les sujets à la présence de l’observateur
B. observer les sujets à leur insu
C. utiliser des appareils d’enregistrement
D. répartir cette influence de manière homogène sur toutes les observations.

5) Dans la grille d’observation,


A. on doit utiliser le plus possible de critères de classification abstraits
B. on doit concentrer sa notation sur un nombre limité d’unités
C. on doit utiliser des unités comportementales descriptives
D. on doit plutô t utiliser le terme "menacer" que "montrer du poing

2
6) La grille de Bales:
A. Comprend deux zones: une zone socio-affective positive et une zone opérationnelle
B. Correspond aux six problèmes auxquels est confronté le groupe
C. Grâ ce à elle, l'école interactionniste a montré que celui qui émet le moins est aussi celui
qui reçoit le plus
D. Grâ ce à elle, l'école interactionniste a montré l'existence de leaders complémentaires

7) L'enquête :
A. se compose de deux phases : la phase préparatoire et l'enquête définitive
B. se compose de trois phases : la phase préparatoire, la pré-enquête et l'enquête définitive
C. se compose de trois phases : l'analyse bibliographique, l'étude documentaire et l'enquête
définitive
D. peut être empirique (c'est-à -dire déduite de données expérimentales ou de résultats
empiriques) ou fondée sur un modèle théorique

8) Dans l'enquête:
A. Le comportement de l'enquêteur ne peut pas influencer les réponses des sujets
B. les discours sont nécessairement spontanés
C. on est obligé de tenir compte des différences d'usage du langage
D. les passations ont lieu sur le terrain.

9) Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) correcte(s) ?


A. L'entretien exploratoire est utilisé pendant la phase préparatoire de l'enquête
B. La pré-enquête permet une première approche du terrain
C. Les enquêtes dites empiriques sont fondées sur un cadre théorique
D. L'enquête définitive se compose de deux opérations : la collecte des données et leur
traitement et analyse.

10)Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) correcte(s) ?


A. Les reformulations relèvent de l'attitude directive
B. Les relances servent à solliciter l’interviewé sur des aspects du thème qu’il a traités d’une
manière trop rapide ou superficielle
C. Les relances permettent d'expliciter l'implicite, le non dit
D. La première consigne du guide d'entretien est la consigne inductrice

3
11) Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) correcte(s) ?
A. Plusieurs méthodes peuvent être utilisées pour analyser les données verbales d'un
entretien
B. Dans l'analyse lexicale, l'unité de découpage est le thème
C. Dans l'analyse thématique, l’unité de découpage est le mot ou le groupe de mots
D. L'analyse de discours est la plus fréquemment utilisée.

12) Dans le questionnaire,


A. Il faut utiliser des mots généraux
B. Les questions peuvent comporter plusieurs idées
C. Il faut éviter les mots concrets
D. Il faut éviter les négations

13) Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) correcte(s) ?


A. les indicateurs factuels et formels font appel à l'appréciation subjective de la personne
B. on réserve plutô t les QCM et les questions ouvertes aux indicateurs d'ordre subjectif
C. on peut utiliser les questions fermées dans un but psychologique, afin de donner un
sentiment de moindre contrainte
D. les questions ouvertes sont rapides à dépouiller.

14) Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) correcte(s) ?


A. La tendance à l'acquiescement désigne la tendance de certaines personnes à répondre
"oui" plutô t que "non".
B. La phobie des mots désigne le fait que certains mots peuvent entraîner des réactions de
rejet.
C. Dans l'effet de contexte, les réponses aux questions précédentes viennent contaminer les
réponses aux questions suivantes. En effet, la personne veut rester en accord avec ses
premières réponses.
D. Pendant la passation, on peut modifier l'énoncé de la question si la personne ne le
comprend pas ou ne veut pas répondre.

4
15) La question en éventail :
A. est adaptée à l’étude de variables comme les opinions ou les motivations
B. est facile et rapide à dépouiller car les items sont pré-codés
C. doit présenter des items qui répondent à trois contraintes: ces derniers doivent être
exhaustifs, hétérogènes et subjectifs.
D. a un inconvénient, la difficulté à élaborer l'éventail des items

16) La question ouverte


A. est aussi appelée question en éventail
B. est adaptée à l'étude de variables complexes
C. doit être très précise
D. permet de découvrir des points de vue auxquels l'enquêteur n'aurait pas pensé.

17) Voici quatre questions :


Q1. Si vous deviez vous décrire aujourd’hui, que diriez-vous ?
Q2. Avez-vous pris des responsabilités ou initiatives récemment (- de 6 mois)
OUI NON
Q3. Pouvez-vous situer l’image générale que vous avez de vous-même sur une échelle
graduée de 0 à 7 ?

0 1 2 3 4 5 6 7

Q4. Je suis très apprécié(e) par les personnes de mon â ge


me ressemble 1 2 3 4 5 6 7 ne me ressemble pas

Quelle(s) est/sont celle(s) dont la forme vous paraît correcte et qui ne devrai(en)t pas
induire de biais ?
A. La question Q1
B. Les questions Q1, Q2, Q3 et Q4
C. Les questions Q1 et Q3
D. La question Q4

5
18) Parmi ces différentes formulations de questions, quelle(s) est (sont) celle(s) qui vous
paraît (paraissent) correcte(s) :
A. Pratiquez-vous une activité sportive comme l’athlétisme ou la danse?
B. Prenez-vous une douche ou un bain au moins une fois par jour ?
C. Ne faudrait-il pas encourager les enfants à moins regarder la télévision ?
D. Pratiquez-vous une (des) activité(e) sportive(s) ? Si oui, laquelle (lesquelles) ?

19) Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) correcte(s) ?


A. Les tests sont des épreuves standardisées et donnent toujours des résultats sous forme
numérique.
B. La sensibilité d'un test (sa capacité à détecter une variation du trait mesuré) est relative à
une population donnée.
C. Zazzo a conçu une épreuve (le test dit des « deux barrages ») destinée à évaluer un
processus cognitif spécifique, dont l’efficience est appréhendée à l’aide de deux critères :
vitesse et précision des réponses.
D. La figure de Rey sollicite de la part du sujet le traitement d’une information spatiale.

20)Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) correcte(s) ?


A. Le GEFT permet d'évaluer une dimension de la personnalité et situe les individus sur une
échelle bipolaire qui va de l’introversion à l’extraversion.
B. Les tests dits « projectifs » reposent sur une conception psychodynamique de la
personnalité.
C. Les tests d’intelligence reposent exclusivement sur des capacités de raisonnement
inductif.
D. Le test de Rorschach est le plus ancien des tests projectifs.

21)Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) correcte(s) ?


A. Les tests d'efficience mesurent tous des performances réalisées par des sujets qui
fournissent des réponses verbales.
B. Le D5D s’appuie sur une approche factorialiste de la personnalité.
C. La standardisation est une caractéristique essentielle des tests d’efficience : elle ne peut
toutefois être exigée des tests qui mesurent une dimension de la personnalité.
D. Les tests psychométriques n’auraient aucun sens si l’on ne faisait a priori l’hypothèse que
le comportement d’un individu est relativement stable dans le temps, malgré les variations
de la mesure.

6
22)Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) correcte(s) ?
A. Les tests d’efficience sont toujours liés aux acquisitions scolaires.
B. Les échelles de Wechsler sont fondées sur des hypothèses neurophysiologiques relatives à
la spécialisation hémisphérique.
C. L’approche empirique dans la construction des tests de personnalité consiste à mesurer
une dimension de la personnalité en s’appuyant sur un modèle théorique bien défini.
D. Le NV5 R est une batterie factorielle qui s’appuie sur une conception multifactorielle de
l’intelligence.

23) L'entretien clinique se caractérise par


A. L'utilisation systématique de tests
B. Le remplissage d'un questionnaire
C. Un dialogue entre un patient et un soignant
D. Une nouvelle communication

24) L'entretien psychiatrique est fondé sur


A. Une recherche d'objectivation de la maladie
B. Une approche subjective du patient
C. Une analyse intuitive des troubles
D. La suggestion

25) La demande implicite du patient


A. Est de nature largement inconsciente
B. Est généralement explicite
C. Caractérise la posture du clinicien
D. Est totalement consciente

26) La relation entre un psychologue et un patient se caractérise par :


A. Une symétrie relationnelle
B. Une asymétrie relationnelle
C. Une opposition fondamentale des points de vue
D. une totale indifférence

Vous aimerez peut-être aussi