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RAPPORT DE STAGE
SEMESTRIEL
(5ème RAPPORT)
Sous le thème :
I- Identification du stagiaire:
* Nom.................................................: Faik
* Prénom............................................: Mohamed
Date de naissance........................: 17 janvier 1981
Situation de famille.....................: marié
* Adresse ………………………. : Lot. Aziz rue 5 n° 5 Derb solltan El fida. Casa
Tél; Fax.....................................: 0663 195 089
Signature du stagiaire
Introduction 6
Intérêt du sujet :
Dans le cadre d’une mission de commissariat aux comptes, les vérifications des comptes ne
sauraient suffire, car on ne peut pas contrôler l’ensemble des comptes. Ainsi, il faut s’assurer
qu’une même opération est toujours traduite de la même manière, par le respect d’une procédure
prévue et appliquée.
L’évaluation du dispositif de contrôle interne est essentielle dans la démarche d’audit. En effet,
lorsque l’analyse aboutit à une appréciation favorable du contrôle interne, l’auditeur peut alléger les
Le présent rapport de stage porte sur l’évaluation du contrôle interne dans le cadre d’une mission de
commissariat aux comptes. Il décrit la démarche à suivre et son importance dans la formation de
Un bon contrôle se caractérise par une qualité optimale de l’organisation interne qui peut être
recherchée autour :
connue de tous ;
- d’un personnel qualifié, compétent et intègre pour mettre en œuvre les éléments
précédents.
L’existence d’un bon contrôle interne permet à l’auditeur d’obtenir une assurance sur la fiabilité des
informations générées par le système et par conséquent lui permettra de réduire ses vérifications
directes.
Réalisée pour des besoins de certification des comptes, l’appréciation du contrôle interne ne porte
que sur les systèmes qui traitent des données répétitives (Commandes, livraisons, facturation…).
- Evaluation de la conception ;
- Evaluation du fonctionnement ;
définir le niveau de risque associé à chaque domaine significatif et l’importance des travaux à
compréhension des circuits de traitement des informations depuis l’initiation d’une opération
Pour que ces travaux puissent être pleinement exploités dans la suite de la mission et réutilisés les
exercices suivants, l’auditeur doit garder trace des informations recueillies. Il peut avoir recours
- le manuel des procédures annoté pour mettre en évidence les éléments importants ;
- les narratifs ;
validé par un teste d’existence. Ce test n’a pas pour objectif de valider la procédure mais de
confirmer que le descriptif représente bien la procédure telle qu’elle a été prévue par la société.
Disposant d’un descriptif précis des systèmes, l’auditeur recherche si la conception du système
permet de protéger les actifs et les opérations de la société contre les risques d’erreur dans le
Ces risques s’apprécient par rapport à l’objectif final de l’auditeur qui est la certification de la
régularité, la sincérité et l’image fidèle des comptes annuels. Il porte donc sur :
comptabilisation et de présentation)
Autrement dit, l’auditeur recherche si l’entreprise à prévu un contrôle interne pour chaque point du
Cette technique consiste à identifier les points du circuit où un contrôle serait nécessaire, à identifier
les risques correspondants et évaluer les contrôles correspondants mis en place par l’entreprise.
Cette technique consiste à utiliser des questionnaires préétablis qui, pour chaque fonction de
l’entreprise, listent les principaux points de contrôle interne qu’il est généralement nécessaire de
prévoir.
Cette technique permet un gain de temps et la facilité de délégation des tâches. Toutefois le
questionnaire ne doit jamais être utilisé comme une fin en soi sans adaptation aux spécificités de
l’entité auditée. Il appartient donc au responsable de la mission que le questionnaire a été complété
Ce questionnaire est souvent annexé d’une feuille d’analyse de la séparation des tâches. Cette
feuille permet de détecter les cumuls de fonction capable de remettre en cause la fiabilité de la
procédure.
Il est important de rappeler à ce stade que l’efficacité de la mission dépend en grande partie de la
informatisé) ;
- les contrôles prévus (ou l’absence de contrôle) ne garantissent pas que les objectifs de
contrôle interne soient remplis ; l’auditeur doit apprécier les risques qui en résultent ;
- Les contrôles prévus garantissent partiellement que les objectifs de contrôle interne
fonctionnement ;
- Les contrôles prévus sont suffisants pour garantir que les objectifs de contrôle interne
soient remplis ; Il convient alors de déterminer quels sont ceux qui, si leur
fonctionnement est vérifié, permettront de limiter l’étendue des contrôles des comptes.
Selon les circonstances qui prévalent au cours de l’exercice, la qualité de l’application du contrôle
s’appuyer sur le contrôle interne, l’auditeur doit donc s’assurer qu’il fonctionne correctement et
régulièrement.
L’auditeur ne doit vérifier que le fonctionnement des contrôles internes sur lesquels il souhaite
Dans son choix des contrôles à vérifier, l’auditeur doit également tenir compte de la nature des
contrôles exercés afin d’adapter ses sondages à leur force probante. On distingue généralement :
- Les contrôles de prévention : sont réalisés lors du traitement des opérations notamment
avant leur enregistrement, il sont le plus souvent matérialisés par un visa (vérification
des limites de crédit pour un clients, vérification de la liasse d’achat avant de donner le
bon à payer sur une facture fournisseur, contrôle arithmétique des documents avant leur
enregistrement…) ;
groupe d’opérations pour vérifier l’inexistence d’anomalies ou, le cas échéant, les faire
Afin de vérifier le bon fonctionnement de ces contrôles, l’auditeur dispose de plusieurs techniques :
Il s’agit de la présomption de réalisation d’un contrôle. Par exemple l’existence de « bon à payer »
sur une facture atteste le contrôle de la lissa d’achat et du calcul arithmétique de la facture.
Cependant, cette technique n’a pas suffisamment de force probante pour être utilisée seule.
L’existence de visa ne preuve pas que le contrôle a été fait ou correctement exécuté. L’auditeur doit
Pour pouvoir apprécier la qualité de l’exécution des contrôles, l’auditeur doit procéder à la
répétition de certain nombre d’entre eux. Par exemple il doit vérifier l’exactitude d’un
rapprochement bancaire avec les journaux de la banque, les relevés bancaires et le contrôle de
1.2.3. L’observation:
L’observation de l’exécution d’un contrôle permet à l’auditeur de mieux comprendre la façon dont
le contrôle est réalisé et vérifier sa correcte exécution. Par exemple, l’auditeur peut examiner la
façon dont les marchandises reçues sont vérifiées et comptées par le service réception. Cependant,
ces contrôles ont généralement une portée limitée dans la mesure ou une personne peut agir
Ce n’est donc qu’après avoir vérifier le fonctionnement des contrôles sur lesquels il souhaite
s’appuyer, que l’auditeur pourra établir le programme définitif de contrôle des comptes ce
Si les résultats des sondages confirment la fiabilité d’un contrôle interne, l’auditeur ayant démontré
que la possibilité que des erreurs se produisent et ne soient pas corrigés par l’entreprise est faible,
Dans les deux cas, l’entreprise ne dispose pas des moyens nécessaires pour empêcher ou détecter et
corriger les anomalies ; il existe donc un risque important que des erreurs soient produites dans les
comptes, l’auditeur doit évaluer l’ampleur de ces risques et adapter son programme de contrôle des
L’auditeur doit tenir compte des risques généraux évalués lors de la prise de connaissance, la
corrélation entre les deux risques permet d’évaluer le risque général d’audit et d’établir le tableau
suivant :
Risques généraux
(Risque inhérent)
contrôle interne
Le degré de précision des sondages sur les comptes est inversement proportionnel au niveau de
risque évalué.
Si, par exemple, les risques généraux détectés lors de la prise de connaissance sont considérés
moyen et que le risque lié au contrôle interne est qualifié de faible, l’auditeur peut prendre un
risque le degré de précision des sondages sur les compte est élevé et par conséquent le risque
« L’article 170 de la loi du 17 octobre 1996 précise que le commissaire aux comptes est convoqué à
la réunion du conseil d’administration qui arrête les comptes. L’article 169 définit les irrégularités
qui devraient être révélées par le commissaire aux comptes et les modifications devant être
1
Manuel des normes d’audit
Il en résulte que, si le commissaire aux comptes assoit son opinion, en partie, sur la qualité du
fonctionnement du contrôle interne, il peut et même doit faire bénéficier la société des observations
qu’il a pu faire et même suggérer des améliorations et donner des conseils sans immixtion dans la
gestion.
Tant que ses suggestions ont un lien avec sa mission et qu’il n’intervient pas au niveau des choix et
de l’exécution, il ne peut pas lui reproché d’avoir enfreint le principe d’indépendance ou de s’être
Afin de concrétiser le caractère pratique de ce rapport nous avons choisis de lui annexer le produit
fini communiqué au client sur le contrôle interne d’une société de négoce. (Annexe)
ANNEXE
É VALUATION DU DISPOSITIF
DE CONTRÔLE INTERNE
Table des matières
1.2 STOCKS 2
OBJECTIFS
TRAVAUX EFFECTUÉS
Pour atteindre les objectifs susvisés, nous avons effectué les travaux suivants :
La vérification des procédures mises en place pour l’enregistrement et le suivi des
immobilisations ;
La vérification de l’existence de critères précis permettant de distinguer les dépenses à
comptabiliser en immobilisations et celles à comptabiliser en dépenses d’entretien ;
La vérification que les acquisitions ont été correctement identifiées et suivies par le
service comptable : enregistrement, nature, début et durée d’amortissement ;
La vérification que les taux d’amortissement utilisés par la société sont analogues à ceux
des exercices précédents.
CONSTATATIONS
La société ne procède par à un inventaire physique périodique des immobilisations ;
La société ne dispose pas d’un registre des immobilisations mis à jour qui lui permettrait
de suivre et de gérer ses immobilisations (acquisition, retrait, cession, réforme…) ;
Les immobilisations corporelles ne sont pas identifiées par un numéro de référence porté
directement sur l'immobilisation ;
L’absence de registre ou de fichier d’immobilisations permettant de centraliser
l’ensemble des informations liées aux immobilisations (date d’acquisition, de mise en
service, affectation, durée d’amortissement…) et de procéder au rapprochement périodique
entre l’existant physique et la comptabilité ;
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Rapport de stage
C.E.C
RISQUES OU INCIDENCES
Risque de discordance entre l’existant physique et les données de la comptabilité ;
Risque de perte d'actifs et d'erreurs lors de l'opération d'inventaire ;
Risque de non suivi des entrées et des sorties des immobilisations ;
RECOMMANDATIONS
Pour un suivi rigoureux et une protection suffisante de son patrimoine, XXXX devrait
mettre en place une procédure de gestion de son patrimoine en prévoyant notamment :
L’élaboration d’une procédure d’inventaire physique des immobilisations ;
La réalisation périodiquement d’un inventaire physique des immobilisations ; les
résultats dudit inventaire doivent être soumis à l’approbation de la direction et rapprochés
avec la comptabilité.
La codification des biens devrait être systématique lors de l’acquisition d’un bien ou à
défaut au moment de l’inventaire des immobilisations ;
L’établissement pour chaque immobilisation d’une fiche donnant :
La nature de l’immobilisation ;
La date d'installation et de mise en service ;
Le compte concerné ;
Le montant brut ;
La durée d'amortissement ;
Le type d'amortissement (linéaire ou dégressif) ;
Le type d'amortissement considéré comme économiquement justifié ;
Les conditions de cession et de mise au rebut en cas de sortie de patrimoine ;
Le lieu et le service d’affectation.
I.2 Stocks
OBJECTIFS
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Rapport de stage
C.E.C
TRAVAUX EFFECTUÉS
Entretien avec les responsables intervenant au niveau des stocks ;
Visite des sites de stockage (lots 12, 15, 19, 20, 21 et lot « Cousin ») ;
Vérifier que les données de l’inventaire physique correspondent à celles de l’inventaire
permanent ;
S’assurer que l’inventaire valorisé correspond au stock final comptabilisé ;
S’assurer de la valorisation correcte des stocks ;
Description des procédures de gestion des stocks adoptées par la société : inventaire
physique et valorisation ;
Examen des modalités et système mis en place pour la quantification des stocks, sélection
des références les plus importantes en valeur et/ou en quantité et analyse de leur traitement
comptable : modes de comptage, de valorisation et de dépréciation.
CONSTATATIONS
Le stock minimum n’est pas programmé au niveau du système afin de permettre le
déclenchement automatique de la commande ;
Le contrôle interne en matière de suivi des stocks prévoit l’application de contrôles jugés
efficaces. Toutefois, nous avons constaté que certains contrôles ne font pas l’objet de
matérialisation à savoir notamment le :
Rapprochement matérialisé des résultats de l’inventaire physique avec le suivi
permanent ;
Contrôles inopinés réalisés au niveau des stocks ;
Contrôle matérialisé du calcul manuel du CMUP.
Lors de notre visite des zones de stockage, nous avons soulevé les principales remarques
suivantes :
Certains articles ne comportent pas des étiquetages systématiques de comptage
dont notamment le deuxième comptage ;
Des écarts ont été constatés entre les résultats du premier comptage et ceux du
deuxième comptage ;
Certains articles n’ont fait l’objet d’une indication sur l’unité de mesure du
comptage ;
Les feuilles utilisées par la société ne sont pas préimprimés;
Dans les zones de stockage « Lot 15 Bureau » et « Lot 12 Zone 49 » un seul
comptage formalisé a été effectué.
RISQUES OU INCIDENCES
Surestimation ou sous estimation des stocks ;
Faiblesse au niveau du suivi des mouvements en stocks ;
Difficulté de déterminer avec précision, à tout moment, la valeur du stock ;
Risque d'erreur de comptage non détectée ;
Risque de gestion non optimale des stocks.
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Rapport de stage
C.E.C
RECOMMANDATIONS
1.4 V E NT E S - CLIENTS
Objectif
Travaux effectués
Nous avons procédé, par des entretiens avec les responsables, à une prise de connaissance
des procédures et des étapes de vente ;
Nous avons procédé à des tests pour apprécier le degré de fonctionnement de ces
procédures.
Constatations
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Rapport de stage
C.E.C
Risques ou incidences
Risque d'erreur ;
Risque de contestation de la part du client ;
Risque de la réception des marchandises retournées ne correspondant aux celles
initialement facturés.
Recommandations
Mettre en place, de manière formalisée, une procédure définissant d’une manière claire et
précise les services, la nature et la périodicité des rapprochements et contrôles clés à
effectuer dans le cadre du circuit facturation et stocks ;
Les bons de livraison devraient être systématiquement signés par le client ;
Toute commande client devrait être formalisée par un bon de commande qui devrait être
rapproché avec le bon de livraison ;
Les contrôles ainsi que les régularisations communiquées au service comptable devraient
être matérialisés par un écrit.
OBJECTIF
TRAVAUX EFFECTUÉS
Analyse des procédures de gestion des caisses et des banques ;
Identification des personnes habilitées à engager ou à régler les dépenses et celles
habilitées à autoriser ou à recevoir les recettes ;
Vérification du mode d'archivage des pièces de caisse et l'existence de livres de caisse ;
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Rapport de stage
C.E.C
CONSTATIONS
RECOMMANDATIONS
OBJECTIFS
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Rapport de stage
C.E.C
S'assurer que les charges relatives au personnel sont réelles, qu’elles sont correctement
évaluées et imputées ;
S'assurer que les charges du personnel font l'objet des déclarations requises, notamment
en matière d'IR, de CNSS et de retraite ...etc.
TRAVAUX EFFECTUÉS
Nous avons procédé, sur la base d’un échantillon, à des tests relatifs aux procédures de
gestion des dossiers de personnel ;
Nous avons passé en revue les procédures de préparation de la paie ainsi que de son
règlement ;
Nous avons vérifié un échantillon de déclarations fiscales et sociales relatives aux charges
du personnel, ainsi que les déclarations aux compagnies d'assurance, notamment pour les
accidents de travail ;
Nous avons contrôlé les états de prêts et avances au personnel, ainsi que leurs modes de
remboursement.
CONSTATATIONS
Les dossiers administratifs du personnel, objet de notre sondage, ne sont pas correctement
tenus. Certains dossiers ne comprennent pas les copies des documents suivants :
Fiche anthropométrique ;
Extrait d’acte de naissance ;
Curriculum Vitae (CV);
Contrat de travail ;
Diplômes et attestations. …etc.
Le livre des congés n’est pas à jour ;
Les journaux préparatifs de la paie sont préparés par le responsable. Ils sont contrôlés par
la suite par la Direction. Ce contrôle n’est pas matérialisé ;
Le logiciel de la paie n’est pas interfacé avec la comptabilité ;
Le système actuel ne permet pas de générer automatiquement les états suivants :
Déclarations CNSS, déclaration CIMR
RISQUES OU INCIDENCES
Informations incomplètes et erronées sur le personnel ;
Difficulté de suivi de la situation administrative du personnel ;
Risque d’erreur au niveau des retenues en matière d’IR ;
Non respect de la réglementation ;
Lourdeur dans la préparation et la comptabilisation de ces états ;
Risque d’erreurs en matière des retenues ;
Assurance insuffisante quant à la réalité des informations contenues dans les journaux de
paie.
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Rapport de stage
C.E.C
RECOMMANDATIONS
OBJECTIFS
TRAVAUX EFFECTUÉS
Nous avons recueilli les informations auprès des différents responsables pour apprécier la
procédure du circuit des achats moyennant un questionnaire ;
Nous avons recherché le degré d'application de cette procédure au moyen d'un échantillon
couvrant l'ensemble du circuit. Pour ce faire, nous avons sélectionné des échantillons de
dossiers d'achats à partir desquels nous avons cherché à vérifier la bonne application des
procédures prévues par la société.
CONSTATATIONS
Lors de nos travaux de vérification, par sondage sur les factures d’achats, nous avons
soulevé les principales remarques suivantes :
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Rapport de stage
C.E.C
Les bons de commandes et les bons de livraison ne sont pas systématiquement joints aux
dossiers tenus par la comptabilité.
Certains achats sont appuyés par de simples bons ne comportant ni le numéro de la patente
ni celui de l’identifiant des fournisseurs…;
Les références de règlement ne sont pas mentionnées de manière systématique sur
l’ensemble des factures d’achat.
Les comptes fournisseurs ne font pas l’objet d’un suivi extra-comptable ni d’une
procédure d’analyse de compte régulière.
L’engagement des frais généraux est effectué auprès de fournisseurs habituels et non pas
sur la base de consultations auprès de différents fournisseurs ;
RISQUES OU INCIDENCES
Réalisation d’achats ne répondant pas à un besoin réel ;
Achats non correctement réceptionnés, contrôlés et comptabilisés ;
Cumul de tâches incompatibles ;
Risque d’achat à des conditions désavantageuses pour la société et absence de
formalisation des engagements pris par la société
Risques fiscaux.
RECOMMANDATIONS
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