Transmettre 2024 - 2ste

Manuel de l'unité
transmettre
2STE
cours +applications
TRANSMETTRE L'ENERGIE MECANIQUE
cours LIAISONS ENCASTREMENTS
I. Analyse Fonctionnelle
1) Diagramme pieuvre :
FP1 : Lier complètement le solide 1 et le solide 2.
FC1 : s’adapter au milieu environnant.
2) Actigramme A-0 et Symbole Normalisé :
3) fonctions à assurer
FAST :
4) Solutions Constructives pour réaliser une liaison complète :
II. liaison Encastrement Démontable par adhérence :

1) Par Vis d'assemblage :
FEUILLE 106
2) Assemblage par Vis de Pression :
3) Assemblage par Boulon :
4) Assemblage par Goujon :
5) Assemblage par pincement :
6) Assemblage par tampons tangents ou coincement:
r FEUILLE 107
7) Freinage des éléments filetés :
8) Freinage par écrou à encoches et rondelle frein :
9) Freinage par Goupille V :
III. Liaison Encastrement par Obstacle :

1) Par Clavette :
r FEUILLE 108
2) Par Cannelure / dentelure :
3) Par Goupille :
4) Par Formes spéciales des surfaces de contact :
5) Les Anneaux Elastiques :
r FEUILLE 109
IV. Assemblage non démontables (permanents) :

1) Par rivetage :
2) Par collage :
3) Par emmanchement forcé/ Ajustement serré :
4) Par soudage :
5) Par sertissage :
Il consiste à assembler de façon étanche 2 pièces par déformation.
6) Par insertion au moulage :

Ex:
Moulage du manche plastique sur la lame
d’un tournevis en acier.
r FEUILLE 110
cours GUIDAGE EN TRANSLATION
I. Analyse Fonctionnelle :
FP1 : Assurer la translation suivant un axe du

Coulisseau 1par rapport au Glissière 2
FP2 : Transmettre les actions mécaniques.
FC1 : S’adapter au milieu environnant.
II. Liaison glissière basée sur une forme Prismatique :
En se basant sur un frottement de roulement
III. Liaison glissière basée sur une forme cylindrique :

Guidage par Vis de Guidage (de Pression):
FEUILLE 111
cours GUIDAGE EN TRANSLATION
Guidage par Ergot Guidage par Clavette
Guidage par Canne Guidage par Glissement deux Cylindres

parallèles
Guidage par Roulements Sur deux Cylindres parallèles . Système de guidage à galets (INA)
IV. Risque d’arc-boutement :
Le phénomène d’arc-boutement se traduit par le basculement du coulisseau (figure ci- contre),

entraînant une impossibilité de déplacement par rapport à la glissière (quelle que soit l’intensité de
l’effort).
Ce blocage peut provoquer la détérioration du coulisseau ou de la glissière.
Pour éviter ce phénomène, il y a trois possibilités :
 Augmenter la longueur de guidage L ;

 Diminuer le facteur de frottement f
(changer les matériaux en contact) ;
 Diminuer le jeu de guidage.
FEUILLE 112
cours TOLERANCEES ET AJUSTEMENTS
I. NOTION DE TOLERANCE :
Une pièce ne peut jamais être réalisée avec des dimensions rigoureusement
exactes. Mais pour qu’elle remplisse sa fonction dans un mécanisme, il suffit
en pratique que chaque dimension soit comprise entre deux limites. La
différence entre ces deux limites est appelée La Tolérance.
II. COTATION TOLERANCEE :

1) Tolérance dimensionnelle:
* 20 : Cote nominale :
* 0,1 : Ecart supérieur : ES = Cmax – Cnom
* -0,2 : Ecart inférieur : EI = Cmini - Cnom
2) Tolérances du système ISO :
III.AJUSTEMENTS NORMALISES ISO :

1) Définition:
Cotation normalisées utilisées pour les assemblages de deux pièces contenue et contenante appelées:
* Arbre : Désigne une pièce contenue (Lettre minuscule).
* Alésage : Désigne une pièce contenante (lettre Majuscule)
2) Jeu et serrage d'un ajustement :
FEUILLE 113
cours TOLERANCEES ET AJUSTEMENTS
3) Types d'ajustement:
Les ajustements avec jeu. Exe : Ø 50 H8 f7
Les ajustements incertains (jeu ou serrage). Exe : Ø 65 H7 k6
Les ajustements avec serrage Exe : Ø 80 H7 p6
4) Système à alésage normal H :
Dans ce système l'Alésage est toujours pris comme base et

Tolérance H. Seule la dimension de l'arbre varie.
IV. Application:
En se référant au tableau des ajustements compléter le tableau

suivant:
Type Ajustement
1) Serrage: S
2) Jeu J
3) Incertain I
FEUILLE 114
cours GUIDAGE EN ROTATION
I. But :
Le guidage en rotation consiste à réaliser une liaison PIVOT entre un Arbre et un alésage (Moyeu)
II. Analyse Fonctionnelle :
FP1 : Guider en rotation autour d’un axe le l'Arbre 1 par rapport au Moyeu 2.
FP2 : Transmettre les actions mécaniques.
FC1 : S’adapter au milieu environnant.
III. Solutions constructives pour réaliser la liaison pivot

1) Liaison pivot ( Direct ):
FEUILLE 115
2) Liaison pivot par : Coussinet :
a) Principe :
Afin d'alléger les frottements on interpose entre l'arbre et son alésage une ou deux bagues en bronze (Alliage
de cuivre) appelés Coussinets.
b) Règle de montage :
Afin de limiter les frottements, le coussinet doit être monté serré sur l’alésage, et glissant sur l’arbre.
Exemple: Le galet du tendeur de courroie est monté sur deux coussinets épaulés.
3) Liaison pivot par : Roulement

a) Principe:
L’effort nécessaire pour faire rouler une pièce est nettement
inférieur à celui pour la faire glisser sur une surface plane Le
coefficient de frottement interne au roulement est très faible
(de 0,001 à 0,005) :
• Puissance absorbée par la résistance au roulement
très faible.
• Très bon rendement au niveau de la liaison réalisée
par les roulements.
b) Constitution d'un Roulement
FEUILLE 116
c) Montage des roulements (Roulement BC) :
• Montage Radial :
• Montage Axial :
FEUILLE 117
FEUILLE 118
g) Exemple d'arrêts axiaux :
FEUILLE 119
h) Protection des Roulements :
• Etanchéité
Joint feutre joint à l évre
• Lubrification
Assurée par de l'Huile ou la Graisse Pour diminuer d'avantage les frottements et augmenter
la durée de vie des roulements.
FEUILLE 120
APPLICATION 1 : TOURET A MEULER Ensemble en

rotation
Echelle 1:2
(Meule
)
L’arbre porte-meule (2) est guidé en rotation par deux roulements (3) et (4). Répondre aux
questions suivantes :
a) Colorier l’ensemble des pièces en rotation
b) De quel type de roulement s’agit-il ?……………………………………………………………….
c) Est-ce un montage à arbre ou à alésage tournant ? ……………………...…………………...
d) Quelles sont les bagues montées serrées (extérieures ou intérieures) ? ……………………….
e) Identifier les obstacles arrêtant ces bagues axialement (A, B, C, D, E, F, G, H) : ……….……
f) La bague intérieure du roulement (4) est liée indirectement en translation avec l’arbre (2), à
gauche en G, à droite en H. Etablir sur le diagramme ci-dessous, la suite des contacts entre
la bague intérieure et l’arbre (2) :
g) Les bagues extérieures sont-elles montées avec jeu ou avec serrage ? ………….……………
h) Identifier les obstacles arrêtant ces bagues axialement (A, B, C, D, E, F, G, H) :………….……
i) La bague extérieure du roulement (3) est-elle liée en translation avec le bâti (1) (OUI ou
NON) ? ………………
j) Donner la tolérance des portées des bagues intérieures situées sur l’arbre : …….……..….…
k) Donner la tolérance des portées des bagues extérieures situées sur l’alésage :…….………..
l) Coter les portées de roulement sur l’arbre (2)
Coter les portées de roulement sur les alésages (1) et (8).
FEUILLE 121
FEUILLE 122
cours SANS MODIFICATION DE LA VITESSE
LES ACCOUPLEMENTS
I. GENERALITES :
1. Situation :
La Transmission de l'Energie mécanique du moteur électrique à la machine réceptrice

(Pompe Centrifuge ) est assurée par un Mécanisme de Transmission Appelé : Accouplement.
2. Fonction :
3. Puissance mécanique :
TD :
Soit à transmettre une puissance de 10 Kw à 500 tr/ min Quelle est la valeur du couple en daN.m?
…….............................................................................................................................................
........................................................................................................................................……
II. TYPES D’ACCOUPLEMENTS :

On distingue généralement 3 familles d'accouplements :
1. ACCOUPLEMENTS RIGIDES : la liaison est rigide
2. ACCOUPLEMENTS ELASTIQUES :la liaison est élastique
3. ACCOUPLEMENT FLEXIBLE :la liaison n’est rigide qu’en rotation
4. LES LIMITEURS DE COUPLE.
FEUILLE 123
II.1) ACCOUPLEMENTS RIGIDES :

► Simples et économiques.
► Exigent une parfaite alignement des arbres à accoupler
(N’acceptent aucun défaut d'alignement des arbres) Symbole Normalisé
► Ne filtrent pas les vibrations.
a) Entraînement par Obstacle :
► Manchon et Goupilles :
► Manchon et Clavettes :
► Plateaux clavettes et Boulons :
b) Entraînement par Adhérence :
FEUILLE 124
II.2) ACCOUPLEMENTS ELASTIQUES.

► Un ou plusieurs éléments intermédiaires sont élastiques (élastomère ou métal)
► tolèrent plus au moins certains défauts d'alignement des arbres.
► amortirent et filtrent les vibrations.
1) Types de défauts d’alignement entre les arbres :
2) Exemples de construction :
- Accouplement Flector : Elément élastique en Caoutchouc naturel 3
- Accouplement ROTEX Elément élastique Intermédiaire Anneau
FEUILLE 125
- Manchon à gaine flexible : Elément élastique gaine flexible 5 en Caoutchouc.
II.3 ACCOUPLEMENT FLEXIBLE :

Proches des accouplements élastiques, Ces accouplements ont une rigidité en torsion importante.
► Acceptent certains défauts d'alignement à l'exception de l'écart angulaire de torsion.
► Ne filtrent pas les vibrations.
- Panamech, Multi-Beam
Elément élastique Métallique en forme de profilés hélicoïdaux, générés par usinage d'une gorge en
hélice dans un tube cylindrique.
- Accouplement à denture interne

Les deux plateaux sont des roues dentées à denture bombée qui engrènent avec la denture interne
d’un manchon.
Accouplement à plateaux rainurés : Joint d’ OLDHAM
FEUILLE 126
ACCOUPLEMENT PAR JOINT DE CARDAN (Arbres avec désalignement Angulaire)

Permet aux arbres d’avoir une liberté angulaire variable et importante au cours du fonctionnement.
La Réalisation Pratique d’une transmission homocinétique (ωe= ωs) est assurée par deux joints
de cardan tel que:
II. 4 LES LIMITEURS DE COUPLE (OU ACCOUPLEMENT DE SECURITE).

C’est un dispositif de sécurité qui évite toute surcharge ou blocage d’une machine.
1) Transmission par adhérence
Le tarage du couple est obtenu par un système presseur à ressort (Rondelles Belleville) (4)).
en serrant ou en desserrant les écrous (5).
FEUILLE 127
2) Notions de calcul :
La valeur du couple transmissible en fonction de l’effort de compression des surfaces de friction
est donnée par la relation suivante:
Application:
On souhaite transmettre un couple de 250 Nm maximum à l’aide de ce
limiteur de couple à friction.
Calculez l’effort de compression pour lequel on a un glissement lorsque le
couple à transmettre maximal est atteint.
On donne: f : 0.8 R et r ( voir le croquis de la bague de friction ci contre)
…………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………
FEUILLE 128
LES EMBRAYAGES
I. Fonction :
II. Symbole normalisé :
III.Embrayages instantanés :
► Transmission par obstacle
► La manœuvre ne peut se faire qu'à l’arrêt.
► N’admet aucun glissement.
IV. Exemple d’application : Boite de vitesse de machine à laver :
FEUILLE 129
V. Embrayages progressifs :
► La manœuvre peut être effectuée en marche.
► L’entraînement de la transmission est progressif (glissement possible au démarrage).
1) Embrayage progressif à friction plane mono-disque :
La transmission est assurée par l’adhérence des surfaces de friction du disque récepteur et du
plateau de pression lié à l’arbre moteur.
2) Embrayage progressif à friction plane multidisque :
Forme des disques
3) Couple transmissible par un embrayage à friction plane :
FEUILLE 130
4) Embrayage progressif à friction Conique :
5) Embrayage progressif à friction cylindrique Centrifuge :

Lorsque la vitesse est suffisante,
les garnitures de friction viennent
au contact de la cloche 5,
Sous l’action de la force
centrifuge agissant sur les
masselottes, et l’adhérence
générée entre les garnitures
et la cloche permet la transmission
du couple.
VI. Application :
1. Quel est le rôle des ressorts

-------------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
2. Quel type de commande utilise-t on?
-------------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
3. Calculer le couple à transmettre par cet embrayage :
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-----------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------
4. Que proposer vous si en désire doubler la valeur du
couple à transmettre ?
-------------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
5. Faire un schéma cinématique de l'ensemble
FEUILLE 131
COUPLEURS HYDRAULIQUE
I- Fonction :
Organe de transmission de puissance à compression d'huile conçu pour réaliser des démarrages
graduels, sans à-coups.
II- Principe de fonctionnement
La figure ci-contre montre le fonctionnement du coupleur hydraulique. Le coupleur est
composé de deux disques à ailettes frontales P et T en opposition qui forment le
circuit pompe-turbine. Pendant le démarrage, le disque moteur P accélère l'huile
spéciale vers le disque mené T solidaire de la machine à entraîner. L'huile accélérée
par la pompe P acquiert ainsi de l'énergie cinétique pour entraîner d'une manière
progressive la turbine T.
Le couple moteur est transmis progressivement à la machine à entraîner en quelques secondes.
Il demeure cependant un léger glissement fonctionnel entre le moteur et la machine à entraîner.
III- Exemples de réalisation
Coupleur hydraulique coupleur électromagnétique à poudre
IV- Exercice :
FEUILLE 132
LES FREINS
I. Fonction :
II. Symbole Normalisé :
III. Principes de freinage :
IV. Différent types :

1) Frein à disque à étrier 2) Frein à tambour
3) Frein à friction plane mono-disques.
FEUILLE 133
cours AVEC MODIFICATION DE LA VITESSE
POULIE COURROIE
I. Fonction :
Transmettre par adhérence, à l’aide d’un lien flexible « courroie », un mouvement de rotation
continu entre deux arbres éloignés.
Avantages Inconvénients par rapport aux chaines
►Durée de vie limitée
►Couple communicable faible pour les
Silencieuses courroies plates
vitesses élevées ►Tension initiale des courroies est
Grands entraxes indispensable pour garantir l'adhérence et
pas de lubrification Réglage au cours du temps pour
compenser l'allongement des courroies
►Glissement de la courroie sur les poulies
(À l’exception des courroies crantées)
II. PRINCIPAUX TYPES DE COURROIES :

1 Courroie plate :
► Transmission de vitesses très élevées (de 80 à 100 m/s ) ,
► Très silencieuses ,
2 Courroie Trapézoïdale : 3 Courroie Poly V :

►Puissance transmissible élevée ► très utilisées en électroménager.
(Emploie de gorges multiples),
►Forte adhérence entre courroie et poulie,
4 Courroie Crantée :
Transmission silencieuse sans glissement (r2/1 précis)
(Une des deux poulies doit être flasquée afin que la courroie ne sorte pas des poulies),
FEUILLE 134
5 Courroie Ronde :
Surtout utilisées dans les petits mécanismes,
III. RAPPORT DE TRANSMISSION :
► Sans glissement le rapport des vitesses est :

�
=……………………………..………………
► Vitesse linéaire de la courroie :
V=………………………………………………
IV. Principe d'une transmission :
V. Applications :
5.1. Calculs rapport et vitesses :
Exprimer et calculer le rapport de transmission et la vitesse linéaire (V) du système ci-dessous.
……………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………..…
……………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………..…
……………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………..…
……………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………..…
5.2. Calculs Diamètre et Vitesse :
Sur une machine de production, des courroies transmettent une puissance de 10kW entre un
moteur électrique (1500tr/min) et l’arbre de sortie (600tr/min).
7.2.1. Calculer le Ø de la grande poulie si la petite a son Ø primitif de 140.
7.2.2. Calculer la vitesse linéaire de la courroie.
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
FEUILLE 135
PIGNON ET CHAINE
I- FONCTION :
Transmettre par obstacle, à l’aide d’un lien articulé « chaîne », un
mouvement de rotation continu entre deux arbres éloignés parallèles.
II- PRINCIPALES CARACTERISTIQUES :
III- CHAINES A ROULEAUX :

Ce sont les plus utilisées en transmission de puissance. Vitesse limite : 12 à 15 m/s.
IV-RAPPORT DE TRASNSMISSION :
II est analogue à celui des courroies crantées
Le rapport de transmission :
………………………………………………………………………………………………...
Vitesse linéaire de la chaîne :
………………………………………………………………………………………………...
V- Application :
Exprimer et calculer le rapport de transmission de cette transmission composée de deux pignons et
d’une chaîne :
……………………………………………
……………………………………………
……...……………………………………
……………………………………………
……………...……………………………
……………………………………………
……………………...……………………
……………………………………………
……………………………...……………
……………………………………………
……………………………………...……
……………………………………………
FEUILLE 136
ENGRENAGES
I. Généralités :
2. Terminologie : 1. Dimensions normalisées :

◊ Un engrenage est un ensemble de deux 2 valeurs permettent de définir les roues dentées:
roues dentées complémentaires. ◊ Le module m choisi parmi les modules normalisés
◊ Une roue à rayon infini est une crémaillère. ◊ Le nombre de dents Z de chaque roue dentée
II. Engrenages cylindriques à denture droite :
1) Condition d’engrènement :
Même module (m)

2) Caractéristiques :
FEUILLE 137
3) Inconvénient de ce type d’engrenage

Durant l’engrènement, les dents en prise fléchissent, de plus leur nombre varie (2 – 3), ce qui
engendre du bruit et des vibrations.
III. Engrenages cylindriques à denture hélicoïdale :

Pour que 2 roues dentées puissent engrener, il faut qu’elles aient
► Le même module (m)
► Même angle d’hélice
► Les hélices sont de sens opposés
2) Caractéristiques :
FEUILLE 138
► Avantage :
Fonctionnement plus silencieux que celui des engrenages à denture droite.
► Inconvénient :
Les dentures hélicoïdales provoquent une poussée axiale que l’on peut supprimer
par l’utilisation des roues jumelées dont les dentures sont inclinées en sens
opposé ou d’une roue à denture en chevrons.
IV. Engrenages coniques :

1) Caractérisation :
Ils permettent de transmettre le mouvement entre deux

arbres concourants,
► Même module
► Les sommets commun des cônes .
3) Rapport des vitesses :
V. Engrenage gauche : le système roue-vis sans fin :

► Même module axial.

► Même angle d’hélice.
2) Caractérisation :
FEUILLE 139
Avantages :
► Grand rapport de réduction (1/200).
► Système presque toujours irréversibles d’où sécurité anti-retour.
Inconvénients:
► Rendement faible (60%) (du fait du frottement)
► Effort axial important
3) Rapport de réduction :
Cas d’une vis à un seul filet :

• La rotation de un tour de vis provoque la la rotation de une dent de la roue.
• Il faut la rotation de Zv tours de la vis pour provoquer la rotation de un tour
de la roue (Zv = nombre de filet de la vis)
VI. Représentation Graphique :
VII. Liaison avec les arbres :
FEUILLE 140
VIII. Rapport de transmission :
Application:
Soit à calculer la raison du tran d’engrenage ci-contre :
……………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………k = …………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
FEUILLE 141
En utilisant la relation cinématique

précédente pour chaque engrenage et
en tenant compte que
N2 = N5 et N3 = N6, déterminer :
N2 / N1 =
N3 / N5 =
N6 / N4 =
En déduire
N6 / N1 = Ns / Ne =
FEUILLE 142
IX. Train épicycloïdal
FEUILLE 143
FEUILLE 144
BOITE DE VITESSE
FEUILLE 145
FEUILLE 146
FEUILLE 147
Exercice 1 : BOITE DE VITESSE DE TRACTEUR
Exercice 2 : Boîte de vitesse de motobineuse
1. Déterminer les 2 rapports de réduction N5/N27 propres à la boîte de vitesses schématisée ci-
dessous, à l’aide des données suivantes :
Z4 = 2 filets, Z5 = 58 dents, Z13a = 36 dents, Z13b = 39 dents, Z27a = 25 dents et Z27b = 22 dents.
2. En déduire les 2 fréquences de rotation envisageables pour la roue 5 (n5 min et n5 max) si la
cloche d’embrayage 25 tourne à la fréquence n25 = 2500 tr.min-1.
FEUILLE 148
VARIATEUR DE VITESSE
FEUILLE 149
TRANSMISSION AVEC
COURS TRANSFORMATION DE MOUVEMENT
FEUILLE 150
TRANSMISSION AVEC
FEUILLE 151
TRANSMISSION AVEC
FEUILLE 152
TRANSMISSION AVEC
FEUILLE 153
TRANSMISSION AVEC
FEUILLE 154
TRANSMISSION AVEC
FEUILLE 155
TRANSMISSION AVEC
FEUILLE 156
TRANSMISSION AVEC
FEUILLE 157
TRANSMISSION AVEC
FEUILLE 158

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2) Actigramme A-0 et Symbole Normalisé :

4) Solutions Constructives pour réaliser une liaison complète :

II. liaison Encastrement Démontable par adhérence :

3) Assemblage par Boulon :

4) Assemblage par Goujon :

5) Assemblage par pincement :

6) Assemblage par tampons tangents ou coincement:

8) Freinage par écrou à encoches et rondelle frein :

9) Freinage par Goupille V :

III. Liaison Encastrement par Obstacle :

2) Par Cannelure / dentelure :

4) Par Formes spéciales des surfaces de contact :

5) Les Anneaux Elastiques :

IV. Assemblage non démontables (permanents) :

3) Par emmanchement forcé/ Ajustement serré :

6) Par insertion au moulage :

FP1 : Assurer la translation suivant un axe du

II. Liaison glissière basée sur une forme Prismatique :

En se basant sur un frottement de roulement

III. Liaison glissière basée sur une forme cylindrique :

Guidage par Ergot Guidage par Clavette

Guidage par Canne Guidage par Glissement deux Cylindres

IV. Risque d’arc-boutement :

Le phénomène d’arc-boutement se traduit par le basculement du coulisseau (figure ci- contre),

 Augmenter la longueur de guidage L ;

 Diminuer le jeu de guidage.

II. COTATION TOLERANCEE :

2) Tolérances du système ISO :

III.AJUSTEMENTS NORMALISES ISO :

2) Jeu et serrage d'un ajustement :

4) Système à alésage normal H :

Dans ce système l'Alésage est toujours pris comme base et

En se référant au tableau des ajustements compléter le tableau

III. Solutions constructives pour réaliser la liaison pivot

3) Liaison pivot par : Roulement

APPLICATION 1 : TOURET A MEULER Ensemble en

La Transmission de l'Energie mécanique du moteur électrique à la machine réceptrice

II. TYPES D’ACCOUPLEMENTS :

II.1) ACCOUPLEMENTS RIGIDES :

a) Entraînement par Obstacle :

► Plateaux clavettes et Boulons :

b) Entraînement par Adhérence :

II.2) ACCOUPLEMENTS ELASTIQUES.

1) Types de défauts d’alignement entre les arbres :

- Accouplement ROTEX Elément élastique Intermédiaire Anneau

- Manchon à gaine flexible : Elément élastique gaine flexible 5 en Caoutchouc.

II.3 ACCOUPLEMENT FLEXIBLE :

- Accouplement à denture interne

Accouplement à plateaux rainurés : Joint d’ OLDHAM

ACCOUPLEMENT PAR JOINT DE CARDAN (Arbres avec désalignement Angulaire)

II. 4 LES LIMITEURS DE COUPLE (OU ACCOUPLEMENT DE SECURITE).

II. Symbole normalisé :

IV. Exemple d’application : Boite de vitesse de machine à laver :

2) Embrayage progressif à friction plane multidisque :

Forme des disques

3) Couple transmissible par un embrayage à friction plane :

4) Embrayage progressif à friction Conique :

5) Embrayage progressif à friction cylindrique Centrifuge :

1. Quel est le rôle des ressorts

II. Symbole Normalisé :

III. Principes de freinage :

IV. Différent types :