Au cours de la gestation

des ovins

Aide au diagnostic
et recommandations
 Un prérequis

Un poids des agneaux à la naissance

insuffisant : la première cause de mortalité.
C’est au cours du dernier mois de
gestation que tout se joue. Un agneau
simple à la naissance pèse environ 5 kg,
un double entre 3,5 et 4 kg (pour les types
génétiques d’un format de 70 kg).

Les agneaux trop petits représentent plus de 16 % de la mortalite

Très petit / chétif / maigre

Mauvaise prise de colostrum
Ecrasé / accident / disparu
Diarrhée
Ballonné ou entérotoxémie
Respiratoire
Brebis sans lait
Noyé, pas respiré (dans les poches) Agneau
Baveur Brebis
Infections
Mal placé
Autres
Mort subite sans symtôme
Malformé
Non accepté
Trop gros
Mou
Arthrite / gros nombril

0 2 4 6 8 10 12 14 16 18

% de mortalité à 60 jours

Source : Massif mortalité / CIIRPO/UMT Santé des troupeaux de petits ruminants 2011/13
Les points clefs à vérifier afin de
garantir des agneaux suffisamment
lourds à l’agnelage et un bon
démarrage de la lactation concernent
l’alimentation, le sanitaire et le
bâtiment.

Date : ......................................................

Élevage : ........................................................................................................................................

Lot(s) concerné(s) : ......................................................................................................................

1
L’alimentation
Les recommandations
Note d’état corporel :
● En milieu de gestation : si les brebis sont déjà maigres
un mois avant la mise-bas, il est trop tard pour les
retaper. Apprécier l'état d' une quinzaine de femelles en
milieu de gestation (lors du diagnostic de gestation par
exemple) permet d’anticiper. À ce stade, si le lot apparait
hétérogène, la constitution d’un lot de brebis maigres
(NEC <3) et la mise à disposition d’une alimentation de
meilleure qualité permet d’éviter ces brebis à problèmes
lors de l’agnelage.
● À l’agnelage : la moyenne doit être comprise entre 2,8 et
3,5 avec moins de 15 % des brebis avec une NEC ≤ 2,5 et
moins de 15 % des brebis avec une NEC ≥ 4.L’évaluation
de la NEC est réalisée sur 10 à 20 % de brebis en
séparant primipares et multipares.
Les prolapsus du vagin : ils sont à l'origine de problèmes
à la mise bas. Une consommation trop importante de
fourrages de trop bonne qualité (regain, enrubannage
de bonne qualité…) ou trop encombrants (trop grossiers)
peut être à l’origine de prolapsus. Les agnelles sont
particulièrement sensibles ainsi que les brebis qui portent
des multiples. Il est alors vivement conseillé de rationner
l’enrubannage ou le regain à raison d’un kg brut par brebis
et par jour au cours des 4 dernières semaines de gestation.
Le dosage des Beta-hydroxybutyrates (BOH) : réalisé
dans les 4 à 5 semaines précédant la mise-bas, il permet
d’évaluer la couverture des besoins énergétiques et
d'anticiper les risques de toxémie de gestation.
Les prélèvements sont à réaliser en priorité sur 7 à 10
brebis gravides d’agneaux doubles (si diagnostic de
gestation). L’interprétation des résultats est la suivante  :
Beta-hydroxybutyrates moyenne <0.8 mmol/l ; aucune
brebis > 1 mmol/l pour un lot sans problème.
Le diagnostic de gestation : le cout du diagnostic de
gestation varie de 0,5 à 1,6 € par brebis. Il permet une
économie de 9 € par brebis vide en lutte naturelle et de
4 € sur synchronisation des chaleurs. L’économie est de
seulement 2 € pour une brebis simple qui serait alimentée
comme une double mais cette technique peut être une aide
à la surveillance des agnelages.
Pour en savoir plus sur la note d'état
corporel et le rationnement...
- Vidéos : “ Évaluer l’état corporel des brebis ” ,
“ Le constat de gestation au cornadis ”, “ Le constat de
gestation au fauteuil de retournement ”
- Fiche CIIRPO : “ Note d’état corporel : grille de
notation et recommandations ”
- Feuille excel : “ Alim’ovin ” pour calculer des rations
Sur www.idele.fr et www.inn-ovin.fr
2
Le diagnostic
◗ Réalisation d’un diagnostic de gestation avec
dénombrement : .............................................................
..........................................................................................
◗ NEC des brebis en milieu de gestation : .......................
.............................................................................................
◗ Mise à part des brebis avec NEC<3 en milieu
de gestation : ..................................................................
..........................................................................................
◗ NEC des brebis à la mise-bas : ......................................
..........................................................................................
◗ Ration en milieu de gestation des brebis en état : ......
..........................................................................................
..........................................................................................
◗ Ration en milieu de gestation des brebis avec NEC<3  :
..........................................................................................
◗ Ration au cours du dernier mois de gestation (ou 6
dernières semaines pour les doubles et les triples) :
1. Taux de prolificité : ........................................................
2. Fourrage : nature et rationné ou à volonté : ...............
.............................................................................................
3. Fourrages : mode de distribution (râtelier, auge...) :
.............................................................................................
4. Concentré : nature et quantité : ...................................
.............................................................................................
◗ Origine de l’eau (source, réseau…) : .............................
◗ Pierre de sel : ..................................................................
◗ Date de rentrée en bergerie : ........................................
◗ Date de début de complémentation : ...........................
Des pistes d’amélioration...
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..........................................................................................
..........................................................................................
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Pour aller plus loin...
- Doser la BOH et la glycémie pour vérifier la bonne
utilisation de la ration (kit disponible)
- Peser des portées d’agneaux simples, doubles et
triples à la naissance
Le statut minéral et vitaminique
Les recommandations
Un minéral adapté : l’idéal est de distribuer un aliment
minéral équilibré avec le concentré. Les minéraux et les
vitamines y sont présents dans les proportions adéquates
et toutes les brebis en consomment. La mise en libre-
service de blocs à lécher enrichis est envisageable mais
le niveau d’ingestion des animaux reste plus irrégulier.
Quant aux seaux à lécher, la consommation des brebis est
directement liée à la proportion de mélasse ou de sel. La
surconsommation qui en découle peut entrainer un surcoût
mais également induire des carences, l’excès de certains
éléments empêchant l’absorption des autres.
Profils métaboliques : avant la réalisation de profils, il est
indispensable de vérifier l’équilibre de la ration en énergie,
azote, calcium, phospore puis les statuts en sélénium
et zinc. Une brebis dont la ration n’est pas ajustée à ses
besoins valorise mal les macros et oligo-éléments. D’une
façon générale, les sols à pH très bas ou très élevés
sont susceptibles d’induire des déséquilibres. Les profils
métaboliques sur les vitamines sont trop couteux et ont peu
d’intérêt.
Pour en savoir plus sur le choix du
minéral...
Fiche CIIRPO : “  Choisir un complément minéral
vitaminé ”, “ La lettre technique des éleveurs ovins, n° 24 :
spéciale minéraux "
Feuille excel : “ Alim’ovin ” pour calculer des rations
Sur www.idele.fr et www.inn-ovin.fr
Pour aller plus loin...
Réaliser des profils métaboliques sur les minéraux est à envisager seulement après vérification de l’équilibre de la ration
(énergie, azote, minéraux et vitamines). Prendre alors contact avec le vétérinaire pour une analyse en mélange (pour des
raisons de coût).
Le diagnostic
◗ Mode d’apport des minéraux : .........................................
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◗ Mode d’apport des vitamines : .........................................
................................................................................................
◗ Type de minéral : ...............................................................
................................................................................................
◗ Quantités apportées par brebis et par jour : ...................
................................................................................................
◗ Moment et durée d’apport : ..............................................
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Des pistes d’amélioration...
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3
Des avortements observés en fin de gestation,
des mort-nés, des nouveau-nés chétifs
Les recommandations
Des analyses pour limiter les impacts sur les lots
suivants  : les avortements sont d’origines multiples, il est
donc important d’observer les animaux et de rechercher les
causes notamment non infectieuses. Cependant, les causes
infectieuses sont particulièrement redoutables car souvent
contagieuses. Dans certains troupeaux, on peut observer
la circulation de plusieurs agents pathogènes impliqués à
différents degrés dans les avortements. Les cinq principales
maladies abortives rencontrées sur le territoire sont les
suivantes : la Fièvre Q, la Chlamydiose, la Toxoplasmose, la
Salmonellose et la Border Disease. Ces maladies entraînent
des naissances avant terme mais également des mort-nés
et la naissance d’agneaux vivants chétifs avec des défauts
de croissance. Tout avortement doit être enregistré et si
le seuil d’alerte est atteint (voir paragraphe ci-dessous), il
est essentiel de prévenir immédiatemment le vétérinaire
sanitaire : la déclaration est obligatoire et permet de
s’assurer par des prélèvements appropriés, de l’absence de
brucellose. Dans ce cadre, la visite est prise en charge par
l’État. Le vétérinaire peut en outre examiner les animaux
de manière approfondie et réaliser les prélèvements
nécessaires à la recherche des agents pathogènes
responsables. Connaitre l’origine des avortements (ou
exclure certaines causes) permet la mise en place de
mesures plus ciblées, appropriées pour limiter la mortalité
sur les lots d’agnelage suivants. Selon les départements, des
prises en charge des analyses sont proposées par les GDS.
Enfin, d’autres investigations sont possibles si les tests
sur les cinq principales maladies abortives sont négatifs :
listériose, leptospirose, erhlichiose…
Par ailleurs, de fortes infestations de parasites (Strongles
de la caillette, Grande Douve) peuvent provoquer des
avortements.
Le seuil d’alerte en cas d’avortements :
✓ trois avortements sont observés en moins de 7 jours
✓ pour des avortements espacés, le seuil est fixé à 4 %
pour un troupeau de moins de 250 brebis et à partir
du dixième avortement pour des lots de plus de 250
femelles.
Pour aller plus loin...
Prendre contact avec le vétérinaire pour qu’il réalise
les prélèvements nécessaires en cas d’avortements
si les seuils sont atteints (une intervention dès le
premier avortement reste possible). Le coût est variable
selon les départements et les régions en fonction des
protocoles mis en place.
4
Quelques informations à recueillir
◗ Nombre d’avortements : ...................................................
◗ Quel pourcentage du lot a avorté : ...................................
◗ Dans quel laps de temps ont eu lieu les avortements : ....
.............................................................................................
◗ Population ayant avorté : âge, stade de gestation,
localisation dans l’exploitation : .......................................
.............................................................................................
◗ Nombre d'agneaux malformés : .......................................
◗ Nombre de morts nés : .....................................................
◗ Nombre d’embryons morts au moment du diagnostic
de gestation : .....................................................................
◗ Plus de 2 % de brebis diagnostiquées pleines au
constat de gestation n'ont pas mis bas : .........................
............................................................................................
◗ Autres problèmes sanitaires sur le troupeau : ................
.............................................................................................
.............................................................................................
◗ Statut vis-à-vis de la Border disease (ou du BVD
en cas d’atelier bovin) si connu : .....................................
◗ Antécédents d’avortements sur le troupeau : ................
................................................................................................
◗ Vaccination contre des maladies abortives : ...................
...............................................................................................;
◗ Lesquelles : Chlamydiose, Salmonellose, Fièvre Q,
Toxoplasmose, Border Disease : .......................................
◗ Protocoles de vaccination des brebis : .............................
◗ Protocoles de vaccination des béliers : ...........................
◗ Contacts avec d’autres animaux ou introductions
dans les mois précédents (mâles inclus) : ......................
.............................................................................................
Des pistes d’amélioration...
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Le parasitisme
Les recommandations
Une forte infestation parasitaire peut être à l’origine
d’avortements, d’agneaux chétifs et d’un manque de lait.
Des parasites tels que la Grande Douve et les strongles
de la caillette conduisent à des dysfonctionnements
pouvant entrainer des avortements (et c’est une cause
non négligeable) et des maladies métaboliques comme la
toxémie de gestation.
Ils peuvent aussi perturber la synthèse des
immunoglobulines du colostrum. Les agneaux à naître
seront ainsi moins bien protégés contre les infections qu’ils
vont rencontrer.
Un contrôle du niveau d’excrétion par analyse de crottes
permet de déterminer la pertinence de la mise en place de
traitements. Dans tous les cas, préférez des prélèvements
individuels, de l’ordre de 3 à 5 brebis pour un lot de 70 à
100 brebis. Attention, ce diagnostic est peu fiable pour la
Grande Douve.
Pour être efficaces et éviter les avortements liés aux
manipulations, les traitements doivent être réalisés au
moins un mois avant le début des mises bas.
Les traitements antiparasitaires à base de nétobimim et
d’albendazole à dose efficace sur la petite Douve dans
le premier tiers de gestation peuvent être responsables
de malformations chez les nouveaux nés. Consulter le
vétérinaire pour en savoir plus.
Pour en savoir plus sur l'analyse de
crottes...
Fiches CIIRPO : “ La technique de prélèvements de
crottes ”, “ Analyser les résultats de coproscopies :
l’exemple des arbres de décision ”
Vidéos : “ Les grande et petite Douves : des parasites
d’actualité ”, “ La coproscopie de A à Z la coproscopie
de A à Z ”, “ Réaliser un prélèvement de crottes ”
Sur www.idele.fr et www.inn-ovin.fr
Pour aller plus loin...
Réaliser des prélèvements des crottes pour analyses
(environ 10 € par analyse et possibilité de gratuité) et ou
des sérologies si la grande douve est suspectée (environ
10 € par analyse).
Le diagnostic
◗ Dates des derniers traitements antiparasitaires
internes : ..........................................................................
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◗ Produit utilisé : .................................................................
◗ Dose : ......................................................................................
◗ Dates des derniers traitements antiparasitaires
externes : .......................................................................
◗ Produit utilisé : ..............................................................
◗ Dose : ..............................................................................
◗ Réalisation de coproscopies ou de sérologies : ...........
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◗ Date de réalisation des coproscopies ou
des sérologies : ...............................................................
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Des pistes d’amélioration...
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5
Le logement
Les recommandations
Curage et vide sanitaire : le curage est souvent obligatoire
entre deux lots d’agnelage. Pour des raisons sanitaires, il est
de toute façon nettement préférable à l’enlèvement du fumier
au cours de la lactation. L’idéal est d’avoir une bergerie curée,
décapée, nettoyée et désinfectée avec vide sanitaire d’au
minimum 1 mois avant l’entrée des brebis. Désinfecter une
bergerie sans effectuer de vide sanitaire reste inefficace.
Densité : une densité est trop élevée dans la bergerie est
source de pathologies au cours de la gestation.
Les recommandations sont les suivantes :
✓ surface d’aire paillée par brebis : 1,2 m² pour les formats
moyens et 1,5 m² pour les grands formats ;
✓ longueur d’auge pour une alimentation rationnée :
2,5 brebis par mètre linéaire pour les formats moyens
et 2 pour les grands formats ;
✓ longueur d’auge pour une distribution du fourrage à
volonté : 9 brebis par mètre linéaire.
Paillage : une litière propre limite les problèmes sanitaires.
Une astuce consiste à effectuer le test du genou : en
s’agenouillant sur la litière, si un rond humide subsiste sur
le genou, le paillage est insuffisant.
Nombre d’abreuvoirs : le nombre d’abreuvoirs recommandé
est d’un pour 40 à 50 brebis. Le bas du bol est fixé à 60 cm
du sol de l’aire paillée ou bien 80 cm si présence d’une
marche.
Brebis avortées : pour limiter les contaminations au sein du
troupeau, les brebis avortées doivent être séparées du reste
du troupeau et ne pas rester dans la bergerie. Les mélanger
au lot de réforme est alors la meilleure solution.
Marche : la présence d'une marche à l'auge favorise les
prolapsus.
Pour aller plus loin...
Faire réaliser un diagnostic d’ambiance (de 300 à 500 €)
Pour en savoir plus...
“ Des agneaux en bonne santé  : bonnes
pratiques d'élevage et bergerie adaptée ”,
Intitut de l'Élevage 2015.
Sur www.idele.fr et www.inn-ovin.fr
6
Le diagnostic
◗ Date du curage de la bergerie : .......................................
◗ Date de décapage de la bergerie : ...................................
◗ Date de désinfection : .......................................................
◗ Avec quel produit : .............................................................
◗ Durée du vide sanitaire : ...................................................
◗ Surface aire paillée par brebis : .......................................
◗ Longueur d’auge pour le concentré : ...............................
................................................................................................
◗ Longueur disponible pour le fourrage : ............................
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◗ Présence d’une marche pour accéder à l’auge : .............
◗ Fréquence de paillage : ....................................................
◗ Présence de courant d’air : ...............................................
.............................................................................................
◗ Nombre de brebis par abreuvoir : ..................................
◗ Nettoyage régulier des abreuvoirs : .................................
................................................................................................
◗ Brebis avortées séparées du reste du lot : ......................
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Des pistes d’amélioration...
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Les manipulations
Les recommandations
Les bousculades et les manipulations sur les brebis au
cours du dernier mois de gestation peuvent également
entrainer des naissances prématurées avec des agneaux
rarement viables avant 138 jours de gestation.
Le diagnostic
...
◗ Interventions (tonte, sortie de la bergerie…) ou
incident (chiens errants…) dans le dernier mois de
gestation : .......................................................................
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Des pistes d’amélioration...
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 Mes notes
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8
Mes notes
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Pour en savoir plus...
Des fiches, des vidéos, des formations à distance
et quatre autres documents d’aides au diagnostic
Sur www.idele.fr et www.inn-ovin.fr

Document rédigé dans le cadre du réseau des spécialistes de l’action Inn’Ovin avec la collaboration de Baptiste Arcoutel (CA 19 et OS
ROM), Pierre Autef (Vétérinaire praticien, SNGTV), Laurent Batut (Unotec), Odile Brodin (CA 18), Agathe Cheype (Institut de l’Élevage),
Gilles Chesterman (OBL), Philippe Dubois ( Vétérinaire GDS 16), Laurent Fichet (CA 49), Jean-Marc Gautier, Carole Jousseins (Institut de
l’Élevage), Stéphane Pype (CA 60), Laurent Saboureau (Vétérinaire Alliance Pastorale, SNGTV), Danielle Sennepin (CA 23), Laurent Solas
(CA 71), Anne Staub (Ter’Elevage), Bernadette Vignaud (CA 03)
Animation et rédaction : Laurence Sagot (Institut de l’Élevage / CIIRPO)
Crédits photos : CIIRPO
Réf : 00 16 301 017 - ISBN : 978 23 634 37 259
Mise en page : M.T Gomez (Institut de l’Élevage)