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UBBLLIICCSS
Intitulé :
Promotion 2009
Intitulé :
Membres de jury :
Examinateurs :
SOMMAIRE
REMERCIEMENTS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
LISTE DES ABREVIATIONS ET DES NOTATIONS
INTRODUCTION
PARTIE I : GENERALITES
- Chapitre 1 : Présentation générale de la ville d’Antananarivo
- Chapitre 2 : Etudes socio-économique et justification du projet
PARTIE II : CONCEPTION ARCHITECTURALE
PARTIE III : ETUDES TECHNIQUES
- Chapitre 1 : Prédimensionnement
- Chapitre 2 : Caractéristiques des matériaux
- Chapitre 3 : Evaluation des actions (vent, charges verticale)
- Chapitre 4 : Etude de la toiture
- Chapitre 5 : Descente des charges
- Chapitre 6 : Calcul des éléments de la superstructure
- Chapitre 7 : Calcul des éléments de l’infrastructure
- Chapitre 8 : Les seconds œuvres
- Chapitre 9 : Assainissement
PARTIE IV : ETUDES FINANCIERES
- Chapitre 1 : Formation des prix
- Chapitre 2 : Devis descriptifs
- Chapitre 3 : Devis quantitatif et estimatif
- Chapitre 4 : Etude de rentabilité
CONLUSION
BIBLIOGRAPHIES
ANNEXES
TABLE DES MATIERES
Remerciements
De prime d’abord je rends grâce à l’eternel, le Dieu du ciel qui m’a permis de terminer la
rédaction de ce mémoire de fin d’études en vue d’obtention du diplôme d’ingénieur en
Bâtiment et Travaux Publics.
Ensuite, c’est avec reconnaissance et avec grand plaisir que j’adresse mes vifs remerciements
à tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la réalisation de ce mémoire, en particulier :
Professeur RAMANATSIZEHENA Pascal, Directeur de l’Ecole Supérieure
Polytechnique d’Antananarivo qui n’a pas ménagé son temps pour promouvoir
l’image de cette prestigieuse école d’ingénieur ;
Monsieur RABENATOANDRO Martin, Chef de département Bâtiment et Travaux
Publics de l’Ecole Supérieure Polytechnique d’Antananarivo, malgré ses lourdes
responsabilités, n’a pas cessé de nous prodiguer des conseils visant de nous garantir
une carrière professionnelle honorable, qui en dépit de son emploi du temps très
surchargé ; a bien voulu accepter d’encadrer ce mémoire de fin d’étude ;
Tous les enseignants du département Bâtiment et Travaux Publics de l’Ecole
Supérieure Polytechnique d’Antananarivo qui ont donné le meilleur d’eux même tout
au long de notre formation ;
Tous les membres du jury qui ont accepté de juger ce mémoire ainsi que d’apporter
des remarques et des suggestions visant à son amélioration ;
Mon père, qui n a jamais cessé de m’encourager durant toutes mes études ;
Ma femme RAHELIARISOA Tsirinirina, qui m’a soutenu moralement au cours de
l’élaboration de ce mémoire ;
Et en fin toute ma famille et tous mes amis du département Bâtiment et Travaux Publics de
l’Ecole Supérieure Polytechnique d’Antananarivo, qu’ils trouvent tous ici les respectueux
témoignages de ma profonde gratitude.
NOMENCLATURE
Abréviations :
RDC : rez-de-chaussée
Département ROA : Département Route et Ouvrage d’Art
DRCI : Durée de Retour de Capital Investi
Notations Romanes :
d’ Distance des aciers à la fibre de béton la plus comprimée
distance minimale d’une armature au parement de béton le plus
e
proche, excentricité
ea Excentricité additionnelle
Excentricité par rapport au centre de gravité du béton seul ou
e0
excentricité structurale
e1 Excentricité du premier ordre
e2 Excentricité du second ordre
f Flèche
fbu Résistance de calcul du béton en compression à l’E.L.U
fcj Résistance caractéristique du béton à j jours d’âge
fc28 Résistance caractéristique du béton à 28 jours d’âge
fe limite d’élasticité de l’acier
fed résistance de calcul des aciers à l’E.L.U
ftj résistance conventionnelle à la traction du béton à j jours d’âge
ft28 résistance conventionnelle à la traction du béton à 28 jours d’âge
h hauteur de section
h0 hauteur d’une table de compression
i rayon de giration
l’ portée fictive d’une travée (méthode de Caquot)
la longueur d’ancrage
lf longueur de flambement
li portée de la travée i
lr longueur de recouvrement
ls longueur de scellement droit
lt distance entre nus de deux nervures parallèles
l0 longueur libre d’une pièce
INTRODUCTION
L’Homme est appelé à maîtriser la nature et son environnement afin d’assurer son
propre développement. Voilà un dicton qui pourrait bien traduire le grand essor dans le
domaine du génie civil, en particulier celui du Bâtiment et Travaux Publics, telle la création
de logiciels de calcul, de dessins, …
Parallèlement, les amateurs de ce domaine ne cessent d’augmenter. Ils se vantent
d’être capables à partir de leurs expériences, de mener à terme la conception et la
construction d’un bâtiment .Ainsi à la fin, certains jugeront inutiles une étude approfondie de
cette matière, et que les expériences suffisent.
Qui prime alors ?
Répondre à cette question revient à répondre à celle-ci : que reflète la construction ?
Un bâtiment est un abri, un lieu de travail ; il représente un niveau de vie, son architecture
exprime le talent de conception, et sa longue durée de vie reflète les bonnes études techniques
y afférentes.
Nous pensons que l’étude est vraiment nécessaire, mais elle devrait être complétée par
l’expérience.
Ainsi, à travers ce mémoire, nous allons compiler le fruit de nos études et les nombreuses
expériences acquises pendant les divers stages au cours de notre formation, en vue d’effectuer
étude et conception d’un bâtiment. Ce qui nous a amené à choisir le thème de ce mémoire :
«Projet de construction d’un immeuble (R+5) a usage d’habitation sis à Andranomena ».
Pour cela, nous allons entamer notre étude,
En premier lieu par une étude préliminaire concernant notamment ------ainsi que la
faisabilité du travail.
En second lieu, la forme d’ensemble et les différentes normes seront abordées dans
l’étude architecturale du bâtiment.
Viennent ensuite les études techniques, où infrastructures, superstructures, seconds
œuvres feront l’objet.
A la fin, nous verrons les études descriptives et financières pour la rentabilité.
I-HISTORIQUE :
Antananarivo est la Capitale de Madagascar, située au cœur de l’Imerina, abritant
plusieurs quartiers.
Berceau de l’histoire malgache, Antananarivo fut appelée Analamanga (forêt bleue)
jusqu’en 1610, année où le Roi Merina ANDRIAMANJAKA conquit les vazimba, peuple
considéré comme défendre la région ; on fit construire son palais sur la haute colline. La ville
prit alors le nom d’ Antananarivo.
Antananarivo évoque, sur une carte en relief, un immense quasi de forme Y, dont les
deux bras, les collines d’Antaninarenina à l’Ouest et celles de Faravohitra à l’Est. Entre ces
collines, la ville basse, le quartier central d’Antananarivo, la belle avenue fleurie de
l’indépendance, se prolonge vers les plaines de Betsimitatatra. Au Nord, le quartier central se
dégage de bras des collines pour s’étendre vers les marais d’Amboniloha.
II-DESCRIPTION GEOGRAPHIQUE :
II -1 SITUATION GEOGRAPHIQUE :
Située entre 1250m dans la pleine de Betsimitatatra et 1453m au sommet du Rova.
Antananarivo fait partie des villes tropicales comme Nairobi au Kenya, Addis-Abeba en
Ethiopie, Curzeo au Pérou.
Son relief se distingue par trois ensembles :
• Les hauts plateaux situés au Nord à l’Ouest et dépassant l’altitude de 1420 m ; ils sont
séparés par des vastes vallées drainées par deux fleuves, la Betsiboka et l’Ikopa.
• Le centre se caractérise par l’escarpement de faille de l’Angavo et le paysage de collines de
l’Imerina à l’Est. Le centre est caractérisé par ses collines escarpées et sa pleine inondable.
• A l’Ouest il y a la pleine d’Antananarivo, dont l’aménagement commençait au temps de la
royauté.
II -2 SUPERFICIE :
Antananarivo s’étend sur 83.36 km² et la Commune Urbaine d’Antananarivo est
administrativement divisée en six arrondissements suivant ce tableau :
10,69 %
19,72 %
16,20 %
26,65 % 8,18 %
15,54 %
II-3 CLIMATOLOGIE :
∑
Avec et =
On trouve d’après le calcul ||=0.99" 0.9, donc les variables année et nombre d’habitant sont
en corrélation linéaire, c'est-à-dire la connaissance de l’une des variables permet la
détermination de l’autre. Alors on peut établir la relation entre les deux variables par une
équation affine de la droite de régression. Cette équation est :
=, -.
Les paramètres a et b ont pour expression :
∑
, ∑
et . ,
On a alors :
=34167.2 67241515
II-HABITATION :
II -1 TYPE DE LOGEMENT
Divers type de logement ont été pris en compte lors de l’EPM de 2005 (Enquête
périodique auprès des ménages). Un appartement est un local d’habitation intégré dans un
immeuble, et forme de plusieurs pièces, toilette, cuisine, chambre, séjour. Un studio est un
petit appartement composé d’une seule pièce principale avec, éventuellement, des toilettes et
une cuisine. Une chambre est une pièce d’habitation servant à la fois de séjour et de chambre
à coucher ; les toilettes et les cuisines peuvent être utilisées en commun avec d’autres
occupants. Une maison individuelle de type traditionnel est un immeuble indépendant, occupé
exclusivement par le ménage et comprenant éventuellement plusieurs pièces. Une villa est une
maison moderne indépendante.
II -2 STATUT D’OCCUPATION
Plus de 80% de Malgaches sont propriétaires de leur logement .cette situation est de plus en
plus fréquentée à mesure que l’on s’éloigne des agglomérations urbaines. La proportion de
propriétaire est de 43% seulement dans la Capitale.
Tableau 10 : Surface moyenne occupée par ménage, selon le type de logement (en mettre
carré)
Autres Appartement Studio Chambre Maison Villa de Moyenne
individuelle type
de type moderne
traditionnelle
CUA 15 20.5 7.1 23.2 24.6 60.6 24.0
Source : INSTAT /DSM/EPM/2005
Comme Antananarivo est le Capitale de Madagascar, elle est un centre administratif et abrite
tous les secteurs : primaires ; secondaires ; tertiaires et informels.
III-LES SECTEURS :
II -1 SECTEURS PRIMAIRES :
Ce secteur n’est pas totalement exploité dans la Ville d’Antananarivo à cause du taux
d’urbanisation très élevé, donc elle importe toutes les alimentations de base et denrées.
II -2 SECTEURS SECONDAIRES :
Ce secteur regroupe les industries, ces derniers sont l’un des services du développement
économique d’une région et n’ont pas cessé d’augmenter leur nombre. Les industries
s’installent dans les périphéries de la grande Ville : Tanjombato, Andraharo, Andranomena.
II -3 SECTEURS TERTIAIRES :
Dans ce secteur on trouve :
II -3-1 Tourisme :
Antananarivo Renivohitra est considéré comme centre de distribution des flux
touristiques régionaux et centre de tourisme d’affaire. A cause de sa possession de l’Aéroport
international d’Ivato ; la Grande Ville a aussi un bon nombre d’agence de voyage dans la
Grande Île.
II-3-2 commerces :
II -4 TRANSPORT :
Le transport est assuré par le trafic routier, trafic fluvial, et trafic aérien. Le nombre de
véhicules qui circulent dans la Ville s’accroît rapidement. On enregistre un rythme
considérable par la croissance annuelle des véhicules immatriculés (maintenant, le centre
d’immatriculation enregistre 49 véhicules/jour).
∑
Avec et =
On trouve d’après le calcul ||=0.98" 0.9, donc les variables année et nombre
d’habitant sont en corrélation linéaire, c'est-à-dire la connaissance de l’une des variables
permet la détermination de l’autre. Alors on peut établir la relation entre les deux variables
par une équation affine de la droite de régression. Cette équation est :
=, -.
Les paramètres a et b ont pour expression :
∑
, et . ,
∑
On a alors :
=5139.48 10198041
II -5 SECTEURS INFORMELS :
Ils sont très développés dans la ville et se manifestent comme suit :
- L’occupation illégale des endroits publics ;
- Aucun enregistrement administratif n’a été effectué, numéro statistique inexistant.
III-LOCALISATION :
Suivant le plan cadastral de’ circonscription administrative, le site à étudier se situe
dans le sixième arrondissement. Cet arrondissement a une faible densité
(6 296.53habitant /km²). Or nous avons dit : Tous les secteurs existent à Antananarivo et
emploient beaucoup de personne, l’évolution industrielle est important dans cet
arrondissement car on constante que les autres arrondissements sont presque saturés. Vue
aussi l’augmentation de la population on aura besoin de faire une nouvelle construction de
maison d’habitation.
Bref, vus tous les tableaux comparatives ci-dessus, la population, les véhicules n’ont pas
cessé de s’augmenter en fonction du temps ; plus de 30% d’habitants sont locataires dans la
Grande Ville de Madagascar. Donc il est nécessaire de construire un immeuble d’habitation
dans la Capital et cet immeuble sera implanté dans l’arrondissement à faible densité pour
équilibrer le volume de la population.
I-GENERALITES :
La culture et très diversifiée et elle se manifeste notamment dans l’architecture comme
dans la peinture du paysage.
Le bâtiment que nous allons construire polarise souvent la perception distraite du
passant. L’étude architecturale est une étude qui consiste à résoudre les problèmes liés non
seulement à la forme du bâtiment mais surtout à sa fonction.
Lors de la conception architecturale, nous allons utiliser les normes malgaches
extraites de l’ouvrage intitulé « Travaux des Bâtiment à Madagascar » ; nous nous référons
aux normes françaises AFNOR en matière de confort, de stabilité et de pérennité des ouvrages
ainsi qu’aux prescriptions du NEUFERT.
II –I DESCRIPTION DE L’IMMEUBLE
Au niveau du rez-de-chaussée
Ce niveau est constitué du parking qui peut abriter 19 voitures légères occupant chacune une
surface de 2.5 m x 5 m et 9 motos occupant chacune une surface de 2.5 m x 1 m. L’accès à
l’immeuble se trouve du côté de la façade principale. La surface occupée par la cage
d’escalier est de 4.13 m x 3.24 m. La hauteur sous plafond est de 2.92 m.
Au premier étage
Le premier étage est composé des trois compartiments :
Le premier est composé de :
- Un ensemble de séjour, coin è repas,’’kitchen’’ : 41.56 m² ;
- Une chambre de 10.54 m² ;
- Un bureau de 8.90 m²
- Une salle d’eau + toilette de 6.80 m² ;
- Une véranda de 20 m² ;
- Un couloire de communication de 3.70 m².
Le second est composé de :
Le quatrième est composé d’un étendage couvert, étendage au soleil, lavoirs et repassage,
l’ensemble occupe une surface de 90.00 m².
Le septième niveau
Ce niveau s’appelle terrasse technique occupée par six chauffes eaux solaires ; chacune a une
capacité de 300 l. Cette terrasse occupe une surface de 111.00 m².
Total 10
Total 9
Total 18
- Le revêtement de sol par carrelage ou par parquet qui lui limite le niveau de bruit transmis par
le plancher.
3- L’isolation des bruits d’équipement :
- Superposer et juxtaposer les pièces de même nature : chambre avec chambre (pièces calmes),
pièces humides avec pièces humides (pièces bruyants).
- L’équipement hydraulique devra être ancré sur les parois lourdes.
III –2 Sécurités :
1- Protection contre la foudre :
On utilisera les paratonnerres pour se protéger contre la foudre. Ils ont pour fonction
de capter l’impact et de créer une zone de sécurité autour du bâtiment.
Les dispositifs sont constitués :
- D’un capteur à tige (pointe en platine) ;
- Des conducteurs de descente (fil torsadé) ;
- Des prises de terre en fond de fouille (de préférence prise de terre en pattes d’oie).
2- Protection des circuits électriques :
On installe le système de protection à savoir : les fusibles, les disjoncteurs
magnétothermiques ou différentiels et les prises de terre :
- les disjoncteurs différentiels assurent la protection contre les surcharges par un déclanchement
thermique à bilame et contre les courts circuits par des déclencheurs magnétiques. Ils
permettent la détection et la coupure du courant. Leur remise en service se fait par
enclenchement manuel.
- Les fusibles ou coupe-circuits sont à cartouche fusible.les fusibles calibrés sont placés au
départ de chaque circuit d’alimentation.
- Pose de prise de terre pour protéger les personnes
3- Protection contre l’incendie :
Un dispositif de détection d’incendie sera disposé dans l’immeuble. Ce dispositif
détecte et signale en même temps en cas de danger afin de pouvoir appeler le secours le plus
tôt possible.
On disposera également les extincteurs à chaque niveau.
4- Stabilité de structure :
Pour un bâtiment, il faut éviter les sinistres, les désordres qui peuvent nuire le
Bâtiment tout entier. La conception devra donc faire l’objet d’une étude maitrisée la quelle
nous a menés à recouvrir à des techniques et des procédés de calculs modernes. On a choisi
particulièrement une structure en béton armé car ce matériau présente les avantages suivants :
- Economique ;
- Très résistant aux efforts de flexion ;
- Très grande souplesse de mise en forme ;
- Facile à assembler ;
- Résistant aux feux et aux agents atmosphériques ;
- Présente une surface parement quasi-finie.
Les éléments en béton armé seront calculer par les règles de BAEL et les travaux de
construction devront se conformer aux règles de l’art.
En conclusion, la conception architecturale est une phase très intéressante et primordiale lors
de la construction d’un Bâtiment. Elle nécessite beaucoup de précision et des diverses règles,
elle est donc la base d’étude car la phase d’étude ou bien l’étude technique et l’étude
financière n’ont jamais démarré sans elle.
II-DALLE
Soit < 5.30 = et < 11.00 =
<
α 0.48
<
Comme 0.40> α > 1.00, on dit que la dalle porte dans les deux directions.
Alors soit L la longueur moyenne de la dalle :
? @< < 7.64 m
C
Condition de flexibilité : AB " DB 25.50 cm prenons alors hB 26 cm.
II-1. POUTRELLE
La portée de la poutrelle est de : l = 3.54 m.
La hauteur des poutrelles est généralement déterminée par :
< <
>A>
16 10
0.22 > A > 0.35, prenons A 30 H=
La largeur est déterminée par :
0.3A > . > 0.6A,
On a
Prenons b= 15 cm
La section des poutrelles sera 15 cm x 30 cm.
II-2. POUTRE PRINCIPALE
La portée de la poutre principale est de : l = 5.50 m.
La hauteur des poutres principales est généralement déterminée par :
< <
>A>
18 14
30.55 > A > 39.28, prenons A 35 H=
La largeur est déterminée par :
0.3A > . > 0.6A, on
10.5 > . > 21
Prenons b= 20cm
La section des poutres principales sera 20 cm x 35 cm
II-3. POTEAUX
Pour déterminer les dimensions du poteau, on peut supposer que le poteau travaille en
compression simple et que l’effort normal N est uniquement absorbé par le béton. Au stade
A.P.S (Avant Projet Sommaire), on peut appliquer la formule suivante :
N
BaKb"
PPPO
0.9σ
Avec :
• 0.9 : coefficient de travail du béton armé ;
• B : section du poteau ;
• σO : contrainte de compression du béton (25 Mpa)
PPP
• N = nSq, avec :
- n : nombre de niveau d’influence sur le poteau, n = 5
- S : l’aire du chargement du poteau à étudier, soit S=4.57 x 5.14 m² = 24.49 m² ;
- q : charge supportée par le plancher (charge moyenne q=1.20T/m²) ;
On a alors : B" 653 cm².
Prenons une section rectangulaire 20 cm x 40 cm
I -SABLES :
Le sable pour mortier et béton est du sable de rivière exempt d’éléments micacés,
devrait être propre, exempt de matières organiques ou végétales, ne contenant ni argile ni
éléments terreux. Il ne doit pas contenir en poids plus de cinq pourcent (5%) de grains fins
traversant le tamis de 900 mailles par centimètre carré, soit 200 µ, dont la plus grande
dimension dépasse les limites ci-après :
- Sable pour maçonnerie, enduit et ragrément : 2,5 mm ;
- Sable pour béton armé : 5 mm ;
- Mignonette : 10 mm.
Pour la composition granulométrique, on admet une contenance en poids de 20% à 35% de
grains ayant toutes leurs dimensions inférieures à 1/2 mm et de 30 à 35% de grains ayant
toutes leurs dimensions supérieures à la moitié de la dimension maximum. L'emploi de sable
de concassage et de broyage est formellement interdit
II-GRANULATS :
Les gravillons et pierrailles pour la confection des bétons proviennent de concassage
de pierre saine, extraite de carrières. Ils sont constitués d'éléments dense, stable et exempt de
toute trace de terre ou de débris végétaux. Si l'on en reconnaît la nécessité, ils doivent être
nettoyés par lavage. La grosseur de gravillon destiné à la confection de béton armé ne peut
pas être supérieure à 25 mm sans toutefois être inférieure à 5 mm.
III-CIMENTS :
Les ciments à utiliser sont des ciments respectant les classifications et les critères de
réception des laboratoires selon les normes en vigueur à Madagascar. Le ciment à utiliser est
donc de classe CEM 32.5 ; CEM 42.5. Il est livré en sacs de 50 kilogrammes. L'utilisation de
ciment ré ensaché est interdite. Le ciment est stocké dans des locaux bien ventilés et
parfaitement protégés du soleil et de l'humidité.
IV-EAU DE GACHAGE :
L'eau destinée à la fabrication des bétons doit être exempte de matière organique et ne
pas contenir ni acide ni alcaline.
V- BOISERIE :
Les bois de coffrages seront choisis parmi les bois pins du pays. Les bois de
charpentes sont en bois dur, séché naturellement équarris, à vives arêtes, rabotés
soigneusement sans aubier et de première qualité. Tous les bois doivent être imprégnés avant
l’assemblage d’un produit présentant une efficacité fongicide et insecticide de longue durée.
LE BETON
a) Mise en œuvre
Les bétons seront obligatoirement malaxés à la bétonnière durant un temps qui ne sera
pas inferieur à 2 minutes et demi et supérieur à 5 minutes. La bétonnière sera manœuvrée par
une personne initiée.
L’eau de gâchage sera débitée et jaugée de manière continue et régulière au moyen d’un
réservoir automatique ou d’un appareil doseur spécial.
Lors de la mise en œuvre des bétons dans les coffrages, on évitera soigneusement de les
verser en masse trop importante formant cône ou de laisse tomber d’une hauteur trop grande
pour éviter las ségrégations qui risquent de se produire.
Les coffrages seront parfaitement étanches, nettoyés avant le coulage du béton. Le béton
devront être employés et en mise en œuvre dans les 20 minutes qui suivent leur fabrication et
dans un rayon d’action inferieur à 50 mètres en cas de transport manuel ou à la brouette.
On réduira le plus possible les interruptions des Travaux pendant le bétonnage. Les surfaces
de reprises que la marche normale permet de prévoir seront disposées méthodiquement et
devront recevoir des armatures de couture.
Tous les éléments en béton et en béton armé seront obligatoirement vibrés lors du coulage. La
vibration se fera par pervibration ou vibration interne. Il ne sera pas admis de vibration par les
coffrages.
b) Resistances caractéristique :
Dans les calculs de béton armé, on caractérise le béton par sa résistance caractéristique
en compression à j jours d’âge. C’est une contrainte notée « QRS » (MPa).
Avant 28 jours, le béton a une résistance « QRS » inférieure à « QRTU », selon les dosages
S
QRS Q QRTU > 40 Z[\,]
V.WXYB.UDS RTU
pour
Sous l’application des charges de longue durée, le béton va opérer une modification de
sa structure interne afin de mieux accepter les sollicitations. C’est le phénomène de fluage.
Le béton possède deux modules d’élasticités :
- Module de déformation longitudinale instantanée (durée d’application des charges_
24 A`a`b )
d
cS 11 000. &QRS (e [MPa] ;
- Module de déformation différée :
d
cfS 3700. &QRS (e [MPa].
VI-2 L’ACIER :
Pour nos travaux, on utilisera des aciers durs à haute adhérence (HA) dont les barres
sont torsadées pour assurer la bonne transmission de contrainte entre les armatures et le béton.
Caractéristiques mécaniques :
La caractéristique mécanique servant de base de calculs est la « limite d’élasticité garantie »
notée Qg .
Enrobage des armatures :
L’enrobage de toute armature est pris égal à :
- 5 cm pour les ouvrages d’infrastructure ;
- 2.5 cm pour les ouvrages de superstructure.
I.1.2 Définition
a) Les surfaces au vent, surface sous le vent
Si on éclaire la construction par un faisceau de rayons lumineux parallèles à la direction
d'ensemble du vent :
- les surfaces éclairées (exposées au vent) sont dites « au vent » ;
- les surfaces non éclairées (non exposées au vent) ou sous incidence rasante (parallèles à la
direction du vent) sont dites « sous le vent ».
b) Maitre couple
C’est la projection de la construction sur un plan perpendiculaire au vent.
c) Pression, dépression
La face d’un élément de la construction est dite soumise à une pression lorsque l’action du
vent est dirigée contre elle. Elle est dite soumise à une dépression (ou une succion) dans le cas
contraire.
2344
2488
2488
Tableau 20 : Valeur de
.
@6 & - (
Avec :
V-vitesse du vent ;
d-largeur du maitre-couple ;
S-nombre de Strouhal compris entre 0.25 à 0.30, prenons S=0.28
La résonnance est obtenue lorsque la période de la vibration de la construction est égale à la
période de tourbillon ; dans ce cas, la vitesse du vent correspondante est une vitesse critique.
On a : h , on obtient mR h
Nous constatons que les vitesses critiques sont largement supérieures à la vitesse de
vent. Il est inutile de faire le calcul de résonnance.
D’où la pression dynamique de base corrigée, compte tenu de tous les coefficients déterminés
ci-dessus
2.50 1.130
§B 1 K &1 0.85( 0.863
2.5 1
§B 0.863
Vent normal à la surface ®
• Face au vent : C¤ = +0.8 ;
• Face sous le vent : C¤ = - (1.3 §B-0.80) = -(1.3*0.99-0.80) = -0.49
Vent normal à la surface ¯
• Face au vent : C¤ = +0.8 ;
• Face sous le vent : C¤ = - (1.3 §B-0.80) = -(1.3*0.863-0.80) = -0.32
b- Sur les toitures
i- Vent normal à la grande face surface ®
En appliquant les règles du vent pour la surface convexe des toitures en voûte. On utilise le
diagramme de la figure R-III-6 (Voir annexe effet du vent, page vi)
Qui vérifie les conditions suivantes :
w
f ≤ T
° 22° ; §B 0.942
Face au vent : Ce = - 0.34
Face sous le vent Ce = - 0.37
ii- Vent normal à la grande face surface ¯
° 22° ; §B 0.942
Face au vent : Ce = - 0.34
Face sous le vent Ce = - 0.37
c- Actions intérieures
Les actions intérieures sont caractérisées par des coefficients Ci calculés au moyen des
formules valables pour chaque cas selon la perméabilité des parois µ.
Comme le bâtiment est considéré entièrement fermé, on a alors :
• Face au vent : C² = +0.6 (1.8-1.3 §B ( ;
• Face sous le vent : C² = 0.6 (1.3-0.8 §B ( .
Vent normal à la surface ¨©
§B 0.99
• Face au vent : C² = +0.6 *(1.8-1.3K 0.99( = 0.31
• Face sous le vent : C² = - 0.6*(1.3-0.8*0.99) = -0.30
Vent normal à la surface ¨«
§B 0.863
• Face au vent : C² = +0.6*(1.8-1.3*0.863) = 0.41
• Face sous le vent : C² = - 0.6*(1.3-0.8*0.863) = -0.37
Calcul de C¤ C²
- Vent normal à la face Sa ;
- Vent normal à la face Sb.
II-CHARGES VERTICALES
I-VERIFICATION DE LA COUVERTURE
Il s’agit de vérifier deux conditions :
·¸
- Condition de résistance : σ > σºz
¹
w
- Condition de déformation : flèche = de la portée
TBB
- Poids = 10 Kg/m 2
- I
v = 4.65 cm 3
- σ adm = 1600daN / cm 2
I.2.ENTRAXES
- Entraxe des pannes = 0.80 m
- Entraxe des fermes = 5.23m (entraxe maximal)
Pour notre cas on prend un entraxe de 5.00 m
360 K &0.80(²
M 28.80 daNm
8
- Contrainte de flexion :
σ 619.36 daN/cm² _ σºz 1600 daN/cm²
Vérification de la flèche :
5qL4 L
f = <
384 EI 200
Les deux conditions (résistance et flèche) sont vérifiées, donc le choix de la couverture est
justifié.
Soit G = 16 Kg / m 2
Charges variables
- vent extrême : We = 87.5 kg/m2
y'
x'
t
p
x n
Figure 4 : Toiture
p n cosα 71.5 K cos 22° 66.30daN/ml
t n sinα 71.5 K sin 22° 26.78 daN/ml
Moments de flexion maximaux
Les pannes étant considérées isostatiques, les valeurs des moments fléchissant sont donc :
pLT 66.30 K 5T
M 207.19 daNm
8 8
tLT 26.78 K 5T
M 83.69 daNm
8 8
La section des pannes est donnée par les conditions de résistance :
Mx I M
≤σe ⇒ ≥ ∑ x
I v x σe
v x
My I My
≤σe ⇒ ≥
I v σe
vy
I M
≥ x = 12.94cm3
v x σe
I My
≥ = 5.23cm3
v y σe
v. condition de flèche
Si f désigne la flèche maximale au niveau de la section, on doit avoir :
L
f <
200
Les charges maximales pondérées à prendre en compte pour le calcul de la flèche sont :
p=1,25 G·d·cos(α)
t=1,25 G·d·sin(α)
où d est l’entraxe des pannes
p=14.83 kg/ml
t=6.00 kg/ml
Flèche suivant (x’x) :
5 pl 4 L
f = <
384 EI x 200
1000 pL3
⇒ Ix > = 23.00cm 4
384 E
5tL4 L
f = <
384 EIy 200
1000 tL 3
⇒ Iy > = 9.30cm 4
384 E
Cas du poteau 2B et 2E
Cas du poteau 2C et 2D
Tableau 36 : Récapitulation
Poteaux Charges transmises [kg]
Permanentes Exploitation
2A’ 104 197 26 331
2B 108 239 37 755
2C 108 681 22 586
2D 108 681 22 586
2E 230 945 37 755
2F’ 104 197 26 331
Ð Ò ¨ Î Ñ
Ôw
On étudie alors les poteaux de la file I au niveau rez-de-chaussée ; et on trouve selon la figure
ci-après la distance di :
Tableau 37 : Valeur de di
di d1 d2 d3 d4 d5 d6
[m] 11.62 5.92 1.72 1.72 5.92 11.62
• Surcharge d’exploitation
Les charges uniformes équivalentes sur chaque travée sont alors les suivantes :
Nous avons alors les schémas de chargement suivants pour le portique de l’axe 2:
• En ELU, on a :
qw=87.50*1=87.50 daN/ml
• En ELS, on a :
qw=64.00 daN/ml
Nous avons fait le calcul sur Excel et sur Matlab 6.5 en vue de faciliter les tâches,
d’éviter les erreurs et d’avoir des résultats de façon plus rapide et plus sûre.
C6 16,7914907 12,1648893
D6 -16,7914907 -12,1648893
E6 -43,48625 -31,504375
F6 92,3129167 66,8777083
x1 -91,059816 -70,085008
x2 -54,732456 -42,125328
x3 -54,732456 -42,125328
x4 -54,732456 -42,125328
x5 -54,732456 -42,125328
x6 -54,732456 -42,125328
Courbes enveloppes
Les courbes enveloppes des moments fléchissant seront trouvées en annexe (calcul des
structures).
II-CALCUL DE L’OSSATURE
Cette étude consiste à déterminer la quantité d’armature à utiliser pour chaque élément en
béton armé .Ces armatures ont pour rôle de contribuer à équilibrer les sollicitations agissantes
sur une section.
Pour tous les calculs, on utilisera les règles BAEL 91 modifiée 99 et éventuellement selon les
règles BAEL 91.
• Acier
·ë
μ
·µ¤ì
° 1.25&1 1 2μàí (
Z=d (1-0.4 °)
Les armatures sont déterminées par :
[a [<a
îÁ
&Ñ Ñ Á (÷øg
Et
[a [<a ÷øRg
î - îÁ
& K Q`Ñ ( ÷øg
Vérification à l’ELS
On vérifie Mser tel que : [øg > [øg àï^g
Flèche
Si les trois conditions suivantes sont vérifiées, la déformabilité des flèches ne sera pas à
craindre.
v w
à
" wX 0.0625 &1(
4.2. K Ñ
î> &2(
Q`
A [^
"
< 10[B
Avec :
<: Ñùbè,úH` `úè` <`b úab Ñ’,þaùb ;
[^ : ==`úè `ú è,é`;
[B : ==`úè `ú è,é` þùb H==` ùbbè,èùla`.
III-POTEAU
III.1. DEFINITION
Un poteau est une poutre droite verticale soumise en générale à la compression simple
centrée. Ils ont pour rôle de :
- Constituer les éléments porteurs de systèmes plancher poutre par point d’appui
isolé
- Supporter les charges verticales
- Participer à la stabilité transversale par le système poteaux-poutres pour
combattre les efforts horizontaux
- Servir de chaînages horizontaux
- Limiter l’encombrement (surfaces réduites des sections des poteaux)
Nous étudierons le poteau E2 au niveau de la RDC qui est le plus chargé.
ßé¯ ß
: <ú
a`a <ù.` Ña þè`,a laù ,aè 3.85 = Ñ,úb H`èè` úù`,a HúbùÑ`é.
Ainsi la longueur de flambement correspondant vaut 3.85 m.
L’élancement est donné par la formule :
√12 K <ó«
ª 33.34
A
- Dans le sens b :
ÜêÜ Ü'é . )
Ü
. »¼
On a :
ÜêÜ > Ü
¦ Ü'é > Ü
,
ßé¯ ß
ß : <ú
a`a <ù.` Ña þè`,a laù ,aè 3.85 = Ñ,úb H`èè` úù`,a HúbùÑ`é.
Ainsi la longueur de flambement correspondant vaut 3.85 m.
L’élancement est donné par la formule :
√12 K <ó«
ª 66.68
.
• Sollicitation à considérer :
Nous somme en présence de poteau soumis à un effort normal donc à une compression
simple, les efforts normaux exercés sur le poreau correspondent aux réactions d’appui.
Voici donc la valeur d’effort normal appliqué sur le poteau E2 :
Nser [T] = 223
Nu [T] = 305
)
. ¼ Ü
» > >
»
La valeur des armatures est résumée dans le tableau suivant :
Notations utilisées
G : giron,
h : hauteur de la contre marche,
ep : épaisseur de la paillasse,
H : hauteur de la volée,
L : longueur de la volée projetée,
400 400
≤ ep ≤
30 20
⇒ 13.34 cm ≤ ep ≤ 20 cm
Nous prenons:
ep = 17 cm
Conclusion
Nous prenons une épaisseur de 17 cm pour tous les escaliers de notre bâtiment.
Le palier :
Poids de la dalle………………………… 0,17 x 25 = 4.25KN/m²
Poids des revêtements……………………………… = 1,24KN/m²
G = 5.49KN/m²
Surcharges d’exploitation ………………………………….. Q = 2,5 KN/m²
V.3.4 Ferraillage
a) Calcul des efforts T et des moments fléchissant M
Calcul des
Figure 11 : Charge appliquée à l’escalier
Pour le système a, on a :
l<
Õ ×
2
l T
[&(
2
l
On a alors:
Õ × 20.42 kN
[Õ× [& 1.83( 18.68 kNm
[Õ× [& 2.30( 17.44 kNm
[Õ× [& 1.58( 18.33 kNm
Pour le système b, on a :
,
l,&. - (
Õ 2
<
.
l.&, - (
× 2
<
l T
[&(
2
l
On a alors :
Õ 5.36 kN, 1.58 m
× 3.76
[& 1.58( 4.22 kNm
[& 2.30( 8.08 kNm
[& 1.83( 5.56 kN
D’où les diagrammes des efforts T et des moments M
Armature principale
!®
¯
) é¯
@)
" .
#
& . "(
!®
î
Q`
K
h
Application
. K ½
. ½ _ . ½)
& ). »() .
@ )
"
.
Application
)¼. ¼ K ½
. _ . ½)
& ). »() .
On a une section a simple armature
√ ) K .
" . ¼
.
)¼. ¼ K ½
î 5.54 H=T
13.88 K 348
Vu
τ se =
0,9 × d × ∑ ui
32,90 × 10
τ se = = 1,2 MPa
0,9 × 18 × 18,84
0,4 × f c 28 × 0,9 × bd
Vu ≤
γs
0,4 × 25 × 10 −1 × 0,9 × 14.5 × 100
Vu ≤ = 957 KN
1,5
1,15 Mu
Aa = 4,71 ≥ × Vu + ⇒ Donc vérifié.
fe 0,9 × d
V.3.6 Vérifications à l’ELS
Calcul des efforts et des moments à l’ELS
Même procédure qu‘à l‘ELU
La vérification n’est pas nécessaire car l’élément est couvert donc la fissuration est peu
nuisible.
b) L’état limite de compression du béton
σ bc = Kσ s ≤ σ bc = 15MPa
Mt 16.42 × 10 3
σs = = = 219.76MPa .
Ast β1 d 5.65 × 0,912 × 14.5
2.46 × 10
σs = = 73.06MPa
2.513 × 0.924 × 14.5
σ bc = K.σ s = 1.75MPa< σ bc = 15 MPa
a) Etat limite de déformation (vérification de la flèche)
5 ql 4 L 366
f = ≤ f = = = 0.73 cm
384 Ev I 0 500 500
V1 = 8 .78 cm ⇒ V 2 = 8 .63 cm
(
I 0 = V13 + V23 ) b3 + 15 A (V
st 2 − c)
2
⇒ I 0 = 47170.37 cm4
V.4.1 Redimensionnement
L L
≤ ht ≤
15 10
51,76 KN/ml
ht : la hauteur de la poutre
L : partie libre L = 3,00 m
20 ≤ ht ≤ 30
3,00 m
Recommandation de RPA 99 Version 2003
h ≥ 30 , b ≥ 25
0,4ht ≤ b ≤ 0,7ht
ht = 35 cm ht
⇒ = 1.17 < 3
b = 30 cm b
⇒ Condition vérifiée
M 0 = qu
l2
= 69,46 ×
(3) 2
8 8
M 0 = 78,13 KN .m
Pour tenir compte de semi encastrement :
Ma = 0,30 Mmax = 3,440 KN.m
Mt = 0,85 Mmax = 66,42 KN.
d) Calcul les armatures longitudinales
Mu St
Zone µb β Obs As (cm²) Adoptée
(KN.m) (cm)
Vu 104 .20
τu = = = 1.05 MPa
b ⋅ d 30 × 33
∑u i = 3,14 × 3 × 1 = 11,304cm
Vua 104.20
τ se = =
0.9 ⋅ d ∑ U i 0.9 × 33 × 11.304
τse =Ψs ⋅ f t 28 = 3.15 MPa
τ se =3.10 MPa < τse =3.15 MPa
⇒ Vérifiée.
f) Calcul des ancrages des barres
35 30
φt ≤ min , ,1,2 = 1 cm
35 10
Nous prenons :
φt = 8 mm
Espacement
St max ≤ min{0,9.d,40cm} = 29,7cm
St1 = 25cm
At . f e 6,79 × 400
St 2 ≤ = = 226,33cm
0,4.b 0,4 × 30
0,8.A t f e 0,8 × 6,79 × 400
St 3 ≤ = = 172,44 cm
b(τ u − 0,3.f t 28 ) 30(1,05 − 0,3 × 2,1)
- -
V.4.5 Vérification à l’ELS +
49,50
qs = 2,625 + 49,13 = 51,76 KN/ml Mz (KN.m)
b) Les moments
l2
M 0 = qs × = 58 , 23 KN .m
8
Ma = -17,47 KN.m
Mt = 49,50 KN.m
VI. LE PLANCHER
VI.1. GENERALITES
Le plancher est un élément horizontal, généralement de forme rectangulaire dont l’une des
dimensions (l’épaisseur h) est petite par rapport aux deux autres (les portées lx et ly). On
désigne par lx la plus petite des portées. Le plancher est l’un des principaux ouvrages de gros
œuvres dans la construction de bâtiment d’habitation, c’est une aire généralement plane,
destiné à limiter les charges et à supporter les revêtements de sols, il doit remplir les fonctions
principaux suivants :
Assurer la transmission des charges permanentes et variables aux porteurs verticaux
qui les descendront aux fondations ;
Assurer l’isolation acoustique et thermique des différents niveaux. L’isolation
thermique est généralement considérée par des niveaux exposés horizontaux ;
Assurer la stabilité au feu pendant le temps nécessaire à l’intervention des moyens de
protection ;
VI.2.
.2. DESCRIPTION DE PLANCHER
Le plancher est constitué par :
Le revêtement qui résiste à l’usure ;
Une dalle e compression d’épaisseur
d’ 4 cm coulée sur place sur les hourdis creux de 22
cm de hauteur. Les hourdis ne constituent pas d’élément porteur.
Des nervures d’épaisseur qui varie de 4 à 8 cm coulées sur place avec la dalle de
compression, portant une zone de charges dont la largeur est généralement de 33 cm et
les transmettent aux poutres principales ;
Des poutres principales reposant sur des piliers.
VI.3.1
I.3.1 Règle de conception
La dalle de compression est coulée sur place, elle est de 4 cm d’épaisseur, armée d’un
quadrillage de barres (treillis soudés).
L’espacement ne doit pas dépasser les valeurs suivantes :
20 cm pour les armatures perpendiculaires aux nervures ;
33 cm pour les armatures parallèles aux nervures.
Si A est la section des armatures perpendiculaires aux nervures (A en cm2 par mètre de
nervure) et fe la limite d’élasticité en, MPa des aciers utilisés, on doit avoir :
lorsque l’écartement l entre axe des nervures est inferieur ou égal à 50 cm, on a :
)
A≥ %&
ß
lorsque l’écartement l entre axe des nervures compris entre 50 et 80cm, on a : A≥
%&
Les armatures parallèles aux nervures, autres que les armatures supérieurs des poutrelles,
'
doivent avoir une section par mètre linéaire, au moins égale à .
)
Le fait de fixer une section minimale pour ces armatures perpendiculaires aux nervures ne
dispense pas de vérifier l’état limite ultime de résistance du hourdis dans le cas particulier
d’application des charges localisées d’intensité notable
VI .3.2 Armature
a) Armatures perpendiculaires au nervure
Selon les règles de construction précédentes, nous avons pris comme valeur de h0=4 cm.
Soit A : Armatures perpendiculaires aux nervures ;
St≤ 20cm ;
l0 : entre axe des nervures est égale à 33cm
)
A≥ %&
fe =400MPa
)
On a alors : A≥ = 0.5 cm²/ml
Pour St=20cm, alors il existe 5 ф par mètre linéaire d’où A=»ф6 p.m.
Soit A=1.414 cm2/ml de nervure.
b) Armatures parallèles au nervure
Soit Ap : armature parallèle au nervure, et Ap > ) = 0.707cm2/ml
Avec :
L : distance entre deux parements voisins de deux poutrelles.(33 -8 ),( L = 25 cm )
L1 : longueur de la plus grande travée. (L1 = 550 cm)
b0 : largeur de la nervure. (b0 = 8 cm)
h0 : épaisseur de la dalle de la dalle de compression (h0 = 4cm).
b) Application
b1 ≤ min (12.5 ; 55 ; 40 )
b
b1 = 12.5 cm
b = 2.b1 + b0 = 33 cm
h0
La dimension retenue par la poutrelle est donc :
- Epaisseur de la table : h0= 4cm ; b1
- largeur de la nervure : b0 = 8 cm ; L b0
- largeur de la table : b = 33 cm ;
- hauteur : h=26 cm
- hauteur utile : d=23.5 cm.
[T [) 0.40 Tm
[D [V 0.32 Tm
[wT [)X 0.26Tm
[TD [V) 0.0001 Tm
[DV 0.33 Tm
Les efforts tranchants :
w 0.46 T
w+ 0.69 T
T 0.50 T
T+ 0.33 T
D 0.063 T
D+ 0.063 T
D’où les diagrammes suivants :
A l’ELU
VI.4.4 Vérifications:
a) Condition non fragilité
En travée :
ó01
îïÓ 0.23 K . K Ñ K
óg
T.w
îïÓ 0.23 K 33 K 23.5 K 0.94 H=²
VBB
2.1
îïÓ 0.23 K 8 K 23.5 K 0.23
400
Aa = 1.13 cm² > Amin = 0.23 cm²
⇒ Condition vérifiée
b) vérification de l’effort tranchant : (art .A.5, 1.1 /BAEL 91)
Tmax = 0.82T=8.20 KN
2345
τu
O/ º
U.TB .wBe
τu 0.44 MPa
UB.TD)
On doit vérifier :
Des deux vérifications ci dessus on conclut que les contraintes dans le béton sont vérifiées.
b) Vérification de l’état limite d’ouverture des fissures
La fissuration est peu nuisible, aucune vérification n’est nécessaire.
c) Vérification de la flèche
M s .l 2 _
l
fi = ≤ f =
10 . E v I fi 500
Avec:
B0 = b0 . h + (b. b0) h0 + 15 A
B0 = 8 × 26 + (33-8) × 4 +15 × 1.00
B0 = 323 cm2
Le moment statique de la section homogénéisée par rapport à l’axe (X.X)
b0h 2 h2
S = + ( b − b 0 ) 0 + 15 Ad .
xx 2 2
S = 3256,5cm3
xx
S / xx 3256.5
V1 = = = 10.08cm
B0 323
V2 = h – V2= 26-10.08 =15.92 cm
b0 h
I0 = ( V13 + V 23 ) + ( b − b0 )h0 ( V1 − 0 ) 2 + 15 A( V 2 − c ) 2
3 2
I0 =4834 cm4
Ms : moment fléchissant max à l’ELS
Ev : module de déformation différée du béton
Ifv : moment d’inertie fictif pour les déformations de longue durée
B0 : section homogène
ρ : le rapport de l’aire (A) dans la section des armatures tendues à l’aire de la section utile de
la nervure.
A 1.00
ρ= = = 0.005
b0 d 8 * 23.5
⇒ β 1 = 0.961
0,05 f t 28 0,05 × 2,1
λi = = = 7.70
ρ ( 2 + 3 b0 b ) 0,005 ( 2 + 3 8 33)
2
λv = λ i = 3.08
5
Ms 0.26
σs = = = 11512T / m² = 115.12Mpa
β1 dA 0.961× 0.235 × 0.0001
1,75 f t 28 1,75 × 2,1
µ =1− =1 − = 0.834
4ρσ s + f t 28 4 × 0,005 × 115.12 + 2,1
1,1I 0 1,1 × 4834
I fv = = = 1490
1 + λv µ 1 + 3.08 × 0.834
1,1I 0 1,1 × 4834
I fi = = = 884.36
1 + λi µ 1 + 7.7 × 0.651
Ei = 32164,2 MPa ,Ev =10818,86 MPa
260 × (550) 2
fi =
10 × 32164.2 × 884.36
550
f i = 0.28cm < f i = = 1.10 cm
500
19 21.6 1.83
20 22.5 1.91
21 28.3 1.98
22 32.4 2.37
7h = 17.8 KN/m3
La nature du sol est obtenue dans la classification des sols (d’après M. Bustamante et L.
Gianeselli). Voir annexe fondation.
On a alors :
204
¨" 8.50 =T
24
On a alors ¨ 9.00=T
Pour une semelle isolée on va choisir une section carrée de dimension8 √¨, donc on a une
section de 3.00= K 3.00=.
Vu la dimension du bâtiment, il est impossible de retenir cette section car il y a
chevauchement des semelles.
Proposons alors une semelle filante de longueur L=24.24 m y compris les consoles à gauche
et à droite de longueur 1.00m chacune.
Prenions d’abord une largeur 8 2.40=
On a alors :
Section des poteaux : 0.40= x 0.20=
8 . 2.40 0.4
Ñ" 0.50=
4 4
Prenons Ñ 0.50= 50H=
Poids du remblai :
B.w)
Soit å á0.90 K 2.00 - 2.00 K â 1.60 K 24.24 75.63
T
Au total Ïö \ - å - Ï 1307.10
Redimensionnement de la semelle :
1307.10
¨ 8K? " 54.46=T
24
)V.TX
Soit 8 " TV.TV 2.25
Calcul de De :
Ú
1
:g Ò \< K=
þ<g
òÔB
1
:g &0.9 K 1 - 0.4 K 1.15( 1.28=
1.06
On a alors ?@ 0.896
l© 2.50 - 0.896 K 106 . /²
n )). ¼/² _ n®
. /² , pas de poinçonnement
Au niveau de limon argileux à 2.40 m, φ 25°
1
:g &0.9 K 1 - 0.4 K 1.15( 1.25 =
1.09
8 :g
Ü 0.8 C1 - 0.35&0.6 - 0.4 ( D
? 8
Ü 0.902
l© 2.50 - 0.902 K 109 . )/²
n )). ¼/² _ n®
. )/² , pas de poinçonnement
V- EVALUATION DU TASSEMENT
Le tassement total : E Eq - E
- Sc:Tassement dans le domaine sphérique ;
- Sc:Tassement dans le domaine deviatorique.
Tel que :
&n n (
F
)
&n n ( &
(
F
G wT.)
Valeur de : HI w.w) 10.87J 8à 14 donc α 0.5
Tableau 58 : Valeur de et
(coefficient de forme)
L/2R Cercle Carrée 2 3 4 5 10 infini
1.00 1.10 1.20 1.30 1.350 1.40 1.47 1.50
1.00 1.20 1.50 1.71 1.97 2.14 2.40 2.70
Valeur de ¦
L
? ? 24.24
10.10
2å 8 2.40
On fait alors une interpolation pour trouver la valeur de ªR et on a . ¦
).
Valeur de F , F
:
×
R= T =1.2 m
F
F - . »F) - F½/» - ). »F¼/ - ). »F/¼
1 1
0.097
cw 10.3
1 1 1 1
& - ( 0.104
0.85cT 2 K 0.85 10.3 12.5
cD/) : Moyenne harmonique de module pressiometrique de tranche 3 à 5
1 1 1 1 1
& - - ( 0.083
cD/) 3 12.5 10.9 12.8
cX/U : Moyenne harmonique de module pressiometrique de tranche 6 à 8
1 1 1 1 1
& - - ( 0.035
cX/U 3 K 2.5 13.4 11.5 9.6
c/wX : Moyenne harmonique de module pressiometrique de tranche 9 à 16
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
& - - - - - - - ( 0.030
cX/wX 8 K 2.5 10.1 12.4 11.8 12.3 11.3 12.6 19.6 21.6
F
. ¼!9®
l lB 22.46 2.50 . ¼/²
On a alors :
0.5
¨R &19.96(1.47 K 2.40 0.0037= 0.37 H=
9 K 1030
2 2.40 B.)
¨ &19.96( K 0.60&2.4 K ( 0.0071= 0.71 H=
9 K 1146 0.60
D’où . ½ - . .
47190&240 40(
î 6.78 H=²/=<
8 K 50 K 3480
On comme résultat :' ¼'), NOP t
Armatures de répartitions (longitudinales) :
î 6.78
îQ 1.70 H=²/=<
4 4
Soit : ' R )'), NOP t
Calcul de la longrine 0.40 x 1.40 :
Béton (béton dosé à 350Kg/m3):
0.85QHTU
Q«R
Sû«
0.85 K 250
Q«R 141.7 ý
/H=²
1 K 1.5
[
μ
8B K Ѳ K Q«R
Ñ A `; `: `ú.,
`
Cette valeur de μ est limitée par le moment reduit limité par l’armature de compression
(μQ 0.372(, sinon on a une section à double armature.
Acier :
[
î
Q`
K
h
1 @1 2μ
°
0.8
Ñ&1 0.4°(
138810
ãö 24.80 ý
/H=²
40 K 140
On a
1.57 K 0.9 K 3480
¨^ > 6.64H=
40&24.80 0.3 K 21(
¨^ 6 H=
I. L’ELECTRICITE
Notions de base
Objectif généraux
Les quatre points suivants doivent être assures obligatoirement:
La protection du bâtiment contre la foudre dans les régions exposées ;
La protection contre les surtensions pour les appareils sensibles ;
La protection des personnes contre les contacts indirects ;
Le bon fonctionnement en général de l’installation électrique.
Dispositifs de protection
a. Protection contre les surtensions et les courts circuits.
L’installation électrique de l’immeuble doit être commandée par un disjoncteur
général placé à l’origine du circuit (venant de la JIRAMA), ce disjoncteur est bipolaire et
différentiel. Des dispositifs découpe circuit à haute sensibilité (30 mA) équiperont les circuits
de prise de courant et ceux desservant la salle d’eau. Tous les circuits électriques seront
protégés contre les surtensions et les courts circuits par des dispositifs bipolaires (phase
neutre) qui peut être :
Des disjoncteurs divisionnaires ;
Des coupes circuits à cartouche fusible ;
Notre choix a été porté sur le deuxième type de dispositif, c'est-à-dire les coupes
circuits à cartouche fusible en raison de sa facilité de remplacement et surtout de son coût
moindre.
b. Protection des personnes
Afin d’assurer une protection des personnes contre les contacts indirects, les
installations électriques auront tous une prise de terre. Et comme il s’agit d’une nouvelle
construction, la prise de terre sera constituée par un conducteur posé en boucle à fond de
fouille c’est à dire par un ceinturage à fond de fouille suivant les conditions ci-après : Le
ceinturage doit être constitué par des câbles de cuivre nu ayant une section minimum égale à
25 mm2 La boucle doit être placée à 1m en dessous du sol naturel où le bâtiment repose. La
résistance R de la prise de terre doit être la plus petite que possible pour faciliter le passage du
courant. Dans le cas pratique, on prend une valeur maximale de cette résistance égale à 100
Ω. On aura les éléments à relier sur la terre ci-après :
Les éléments conducteurs : huisserie métallique contenant de l’appareillage électrique,
sols et parois non isolants,… Les contacts de terre des socles des prises de courant Les
liaisons équipotentielles principales et supplémentaires. En plus de la mise en place des prises
de terre, nous effectuerons aussi les liaisons équipotentielles principales et supplémentaires du
bâtiment. Elles sont destinées à empêcher l’apparition de toute différence de potentiel entre
deux éléments quelconques. La liaison équipotentielle principale du bâtiment consiste à relier
à la prise da terre les canalisations métalliques accessibles de la construction. Les liaisons
équipotentielles supplémentaires sont destinées spécialement aux salles d’eau.
c. Protection du bâtiment
Il s’agit de protéger le bâtiment contre la foudre par l’installation de paratonnerre
ayant les caractéristiques suivantes :
La tête du paratonnerre dit être un matériau très dur et inoxydable pour
avoir une forme de pointe durable, elle sera alors en platine ;
La section minimale du câble (conduite vers le sol) est égale à 25 mm2
pour obtenir une assez grande résistance ;
Les gouttières seront reliées aux câbles du paratonnerre.
Types de matériels
Il existe deux types de matériels essentiellement :
dures et un contraste violent avec l’environnement, si celui-ci n’est pas éclairé par
une autre source.
Eclairage indirect : Toute la lumière est dirigée vers le plafond à partir d’une
corniche par exemple, vers un mur à partir d’un bandeau lumineux. Il favorise la
détente. S’il vient uniquement du plafond il supprime les ombres donc les reliefs.
Le rendement lumineux est faible.
Eclairage diffus : La lumière est repartie à peu près également vers le plafond et
vers le sol. Il procure un bon confort avec une puissance électrique raisonnable.
C’est le cas de la lustrerie utilisant des abat-jours ou verrerie diffusant dans tous
les sens.
Le niveau d’éclairement doit être uniforme est élevé, environ 500 Lux avec des lampes
fluorescents teintes « De luxe ». La couleur des murs et du plafond sera claire.
Les luminaires seront étanches aux buées. On évitera le rayonnement infra rouge pour
limiter les apports calorifiques. Les lampes à incandescence sont déconseillées.
L’éclairage de sécurité
L’éclairage de sécurité a pour but d’assurer l’évacuation de l’établissement si
nécessaire. Il doit intervenir automatiquement en cas de défaillance de l’éclairage normal.
Deux solutions sont possibles : Soit des accumulateurs centraux ou intégrés aux
équipements. Leur capacité doit assurer une heure de fonctionnement avec possible réduction
de vingt minutes, s’il y a un éclairage de remplacement ; Soit par un groupe électrogène de
secours. La disposition des lampes permettra la circulation, la reconnaissance des obstacles,
positionnera les issues.
Eclairage extérieur
La façade : elle sera illuminée à l’aide des lampes projecteur utilisant des lampes
halogènes. Elles seront orientées de façon à mettre en relief et en valeur les éléments
architecturaux.
Les voies d’accès, parking et jardins : pour le parc à voiture, des luminaires décoratifs
seront utilisés. Les jardins seront mis en valeurs par l’utilisation de lampes de couleur. Les
lampes à incandescence conviennent pour donner les tons chauds aux fleurs et feuillages alors
que les lampes à décharge dans la vapeur de mercure renforcent les teintes vertes.
Calcul de nombres des lampes de chaque local
L’étude de l’éclairage consiste à la détermination des nombres d’appareil d’éclairage
nécessaire aux bons usages de chaque local.
Généralement, le choix de l’éclairage doit correspondre à la destination du local.
Nous utiliserons des lampes fluorescentes et/ou incandescentes pour l’éclairage dans le
bâtiment.
Où :
a- longueur du local ;
b - largeur du local ;
h - hauteur du local.
xU
b. L’indice de suspension « J » T xV Yx
U
e. Facteur de dépréciation « d »
Chapitre 9 : Assainissement
I- GENERALITES
L’assainissement des agglomérations a pour objet d’assurer l’évacuation de
l’ensemble des eaux pluviales et usées, ainsi que leur rejet dans les exutoires naturels par des
modes compatibles avec les exigences de la santé publique et de l’environnement.
L’établissement d’un réseau d’assainissement doit répondre à deux catégories de
préoccupation à savoir :
Assurer une évacuation correcte des eaux pluviales (EP), provenant des précipitations
sur les toitures de manière à empêcher la submersion des zones urbanisées et éviter toute
stagnation dans les points bas après les averses ;
Assurer le traitement et l’évacuation :
Des eaux vannes (EV) provenant des WC
Des eaux ménagères (EM) provenant des salles de bain et cuisines
Choix du système d’évacuation
Les eaux collectées aux pieds du bâtiment peuvent être évacuées vers :
Un système d’assainissement autonome caractérisé par rejet directement dans le
milieu naturel des eaux pluviales, des eaux ménagères et des eaux vannes, par traitement
de ces deux derniers ;
Un système d’assainissement collectif qui consiste à évacuer ces eaux dans les
réseaux des égouts publics de l’agglomération.
Les eaux pluviales sont collectées par des regards et acheminées directement vers
l’égout public sans traitement.
Nous choisissons d’utiliser des tuyaux en PVC pour les descentes d’eau afin d’assurer une
durabilité, une faciliter d’entretien et de remplacement grâce à sa disponibilité sur le marché.
Leurs diamètres sont déterminés d’après les indications du tableau ci dessous (DTU 60.11) en
fonction de la surface en plan de la toiture.
Pour faciliter la mise en œuvre et pour des conditions de sécurité, nous proposons de
prendre Z = 100 mm en PVC, nous allons les placer tous les 12 m
Tuyaux de chute :
Les diamètres intérieurs des tuyaux de chute d'eaux usées doivent être choisis
conformément au tableau suivant. Ces diamètres seront constants sur toute la hauteur des
colonnes.
Diamètre intérieurs de chute en fonction du nombre d’appareils
Les eaux usées, plus particulièrement affluents des toilettes doivent subir un
traitement avant son évacuation vers les réseaux urbains. Le réseau d’Antananarivo est un
système d’évacuation unitaire. Tous les fluides à évacuer provenant de la construction sont
acceptés.
T T
mw m Î 20 000 13 334 <
D D
Un compartiment de chute
w w
mT m Î 20 000 6667 <
D D
Un compartiment de décantation
Prenons comme hauteur de la fosse h=2,00 m et la largeur l=2,50 m
D’où les longueurs correspondantes à V1 et V2
?w 2.70 =
?T 1.40 =
Dimensionnement de l’épuration
La surface du lit bactérien S en m2 pour un nombre d’usager (N) est donnée par la
formule :
Ï
¨
10 Î T
Avec H est la hauteur de l’épuration en mètre
Prenons H= 2,00 m (même dimension que les fosses septiques)
On a S= 2.00 m2
La largeur de l’épurateur =0,75 m
La longueur de l’épurateur =1.50 m
Alimentation en eau potable
La canalisation d’eau est composée de trois types de branchement :
Branchement primaire : provenant du branchement général du réseau de
distribution de la JIRAMA ;
Branchement secondaire : venant du branchement primaire et desservant
chaque étage du bâtiment ;
Branchement tertiaire : venant du branchement secondaire et desservant
directement les différents appareils.
Les calculs de ces canalisations sont surtout basés sur les débits à prendre en compte
et la vitesse de l’eau à la sortie souhaitée
Débit
Le débit servant de base au calcul du diamètre d’un conduit est obtenu en multipliant
la somme des débits des appareils (débit de calcul ou débit minimal) par un coefficient de
simultanéité K qui tient compte du fait que les robinets ne serviront probablement pas tous à
la fois (voir annexes)
Les débits de calcul sont donnés par le tableau B ci- après (DTU 60.11)
Vitesse
La vitesse à prendre en considération pour le calcul des diamètres selon la formule
de Flamant est de 2 m/s environ pour les canalisations en sous-sol ou vide sanitaire et de 1,5
m/s environ pour les colonnes montantes. Nous allons prendre 1,5 m/s. A partir de ces deux
caractéristiques, la DTU 60.11 donne les diamètres des conduites.
DECOMPOSITION A INDICE DE
ORIGINES DES FRAIS L'INTERIEUR DE CHAQUE COMPOSITION
CATEGORIE DE FRAIS CATEGORIE
Frais généraux Frais d'agence et patente ® 1,5
proportionnels aux Frais de chantier ®)
3
déboursés .
Frais d'études et de laboratoire ®½ 2,5
Assurances ® 1,4
Bénéfice brut et frais Bénéfice net et impôt sur le ®»
15
financiers bénéfice
Proportionnels aux prix de Aléas techniques ®¼ ) ).
1,4
revient
Aléas de révision de prix ® 1,5
Frais financiers ® 11
règlement avec TVA Frais de siège ® 0 ½
On a donc K= 1.40
Armature
4.03 Fourniture et mise en œuvre
d’armature en acier HA rond tout Poteaux, poutres kg
diamètre compris coupe, façonnage, linteaux, chéneau,
montage par ligature en fil de fer escalier, chainage
recuit et toutes sujétions.
Plancher
4.04 Fourniture et mise en œuvre de
plancher en corps creux céramique
22cm d épaisseurs surmonté d’un Plancher courant =T
béton armé de 4 cm d’épaisseur pour
dalle de compression et supporté par
des nervure en béton armé, y compris
armature, coffrage, étaiement et toutes
sujétions
Maçonnerie de brique d’épaisseur
22cm
d’épaisseur 5cm
Etanchéité
7.02 • Fourniture et pose
d’étanchéité multicouche, y
compris couche d’accrochage
à base de bitume et toutes
sujétions ;
• Béton ordinaire enforme de
pente dosée à 300kg/m3de
ciment CEMII de classe
42.5 ;
• Chape
Crapaudine Filtres au départ des
7.03 Fourniture et pose de crapaudine en descentes d’eaux U
fil de fer galvanisé. pluviales
Descente d’eau pluviale en PVC
7.04 Fourniture et pose de tuyaux de Evacuation d’eaux
descente en PVC Ф100 mm, pluviales ml
assemblés par colle spéciale, posée
sur colliers à contre partie boulonnée
tous les 2 m, y compris toutes
sujétions.
Faux plafond
Fourniture et pose de faux plafond, y Toutes les pièces du =T
7.05 compris toutes sujétions de mise en bâtiment sauf celle du
œuvre. RDC
Charpentes et pannes métalliques
7.06 Fourniture et pose de charpente et Toiture ml
pannes métalliques compris toutes
sujétion de mise en œuvre.
7.08 Couverture en galvabac 63/100
Fourniture et pose de tôle galvabac Toiture ml
(0.98m de largeur), y compris toutes
vachette.
9.02 Porte isoplane à un vantail
(0.73 x 2.10)
Porte isoplane à un vantail s’ouvrant Salle de bain U
vers l’intérieure de la pièce de
dimension 0.73 x 2.10m, à deux face
contreplaquées 4.8 mm, y compris
chambranles, quincaillerie marque
vachette.
9.03 Porte isoplane à un vantail
(0.83 x 2.10)
Porte isoplane à un vantail s’ouvrant Chambre, séjour U
vers l’intérieure de la pièce de
dimension 0.83x 2.10m, à deux face
contreplaquées 4.8 mm, y compris
chambranles, quincaillerie marque
vachette.
9.04 Porte pleine à panneau (0.93 x
2.10)
Fourniture et pose de porte pleine Entrée des appartements U
0.93 x 2.10 à panneau, en bois dur
du pays traités par insecticide et
fongicides, à un vantail, y compris
chambranles, quincaillerie marque
vachette.
9.05 Porte vitrée en aluminium de
1.60 x 2.10 Portes des façades U
Fourniture et pose porte vitrée
coulissante de dimension 1.60 x 2.10
m, y compris cadres, quincaillerie et
toutes sujétions de mise en œuvre.
9.06 Porte vitrée en aluminium de
2.90 x 2.10 Portes des façades U
disjoncteurs divisionnaires de 15 à
35 Ampères et toutes sujétions
11.03 Installation de paratonnerre
Fourniture et pose de paratonnerre, y Ensemble de U
compris descente de terre en fil de construction
cuivre et toutes sujétions.
11.04 Câblage en fil VGV 2 x 1,5
Installation de fil conducteur VGV 2 Interrupteur simple Fft
x 1,5, encastré dans les murs, allumage –tout point
protégé à intérieur des tuyaux lumineux à allumage
oranges et terminé par des boites de simple
dérivation à chaque angle des murs y
compris toutes accessoires de
raccordement couvert.
11.05 Câblage en fil VGV 3 x 2.5 Tout câble servant de
Installation de fil de conducteur source partant du Fft
VGV 3 x 2.5,encastré dans les murs, compteur vers les prises
protégés à l’intérieur des tuyaux de courants.
oranges et terminés par de boites de
dérivations à chaque angle des murs
y compris toutes accessoires de
raccordement.
11.06 Câblage en fil VGV 3 x 1.5
Installation du fil conducteur VGV Interrupteur va et vient Fft
,3 x1.5 encastré dans les murs,
protégés à l’intérieur des tuyaux
oranges et terminés par de boites de
dérivations à chaque angle des murs
y compris toutes accessoires de
raccordement.
11.07 Installation de lampe fluorescente
monotube de 1.20 m/65W
Installation de réglette monotube de
toutes sujétions.
11.13 Mise en terre Toutes installations FA
Mise en terre de toute les
installations électriques compris
toutes sujétions de pose et de bon
fonctionnement
XII-ASSAINISSEMENT
12.01 Canalisation en buse de ciment Ensemble des ml
comprimé : canalisations
Fourniture et pose de canalisation en d’évacuation des eaux
buse de ciment comprimé de usées et des eaux vanne
différents diamètres, non armé, regard jusqu’à l’égout
vibré, posée en tranchée sur lit de
sable de 0.10m d’épaisseur compris
toutes sujétions de coupe et
raccordement aux regards
12.02 Fosse septique en BA Fosse septique U
Fourniture et mise en œuvre de fosse
septique en BA dosée à 350Kg avec
incorporation d’hydrofuge de type
SIKALITE. Les accessoires
intérieurs tels que tuyaux droits
d’aérations ou tuyaux coudés de
distribution et de plongée seront en
fibrociment série
« assainissement »,avec un élément
épurateur constitué par une
accumulation des matériaux poreux
,mais résistant à l’écrasement et au
tassement (mâchefer).Une dalle de
fermeture en BA dosé à 350 kg et
7cm d’épaisseur avec anneau de
levage de 10cm de diamètres scellé
au coulage.
XIII-EQUIPEMENT
13.01 Extincteurs Chaque étage U
Fourniture et pose des extincteurs y
compris toutes sujétions de mise en
œuvre.
13.02 Climatiseurs Climatisation U
Fourniture et pose de climatiseur y
compris toutes sujétions de mise en
œuvre
13.03 Chauffe eau solaire Terrasse technique U
Fourniture et pose de climatiseur y
compris toutes sujétions de mise en
œuvre
XIV-EQUIPEMENT
14.01 Murs de clôture de l'enceinte comprenant:
- tous travaux de terrassement, ml
- tous travaux de maçonnerie et béton,
- tous travaux de revêtement et peintures,
et toutes sujétions de mise en œuvre
14.02 Plantation de fleurs sur plate-bande, y compris tous
travaux de m²
préparation du sol
14.03 Engazonnement y compris travaux de planage de
plateforme m²
et mise en œuvre d'engrais dérivé de « tain'omby »
14.04 Chaussée comprenant:
- Nettoyage du sol et décaissement,
- Lit de sable d'épaisseur 0,05m,
- Couche de fondation en tout-venant 40/60, m²
- Couche de base en tout-venant 0/40,
- Couche d'imprégnation au cut-back 0/1,
- Enrobé à froid d'épaisseur 0,04m,
MONTANT
N° DESIGNATION CONCERNE U Q.TE P.U. (Ar.)
(Ar.)
1 - INSTALLATION ET
REPLI DE CHANTIER:
1.1 Installation et repli de Début et fin de Fft 1,00 65 000 65 000 000,00
chantier comprenant: chantier 000,00
- Amenée de matériel,
- Clôture,
- Baraquement avec
installation eau et
électricité,
- Repli,
y compris parfait nettoyage
et remise en état des lieux
2 - TERRASSEMENT:
2.1 Décapage sur une épaisseur Emprise des m2 601,02 781,00 469 396,62
moyenne de 0,20m et travaux
nettoyage,
y compris enlèvement de
monticules, déchets et autre
ordures
nature, en rigole ou en
tranchée,
y compris éventuel
blindage des parois en
planches jointives et
toutes sujétions
3 - MACONNERIE ET
BETON EN
INFRASTRUCTURE:
3.1 Béton de propreté dosé à Fonds de fouille, m3 12,96 208 752,00 2 705 425,92
150 kg de CEM II 42,5/m3 sous semelles et
de béton,
coulé à-même le sol sur une sous longrines
épaisseur de 0,05m
3.2 Béton dosé à 350 kg de Semelles- m3 170,17 340 000,00 57 857 800,00
CEMII 42,5/m3 de béton Longrines-Départ
pour B.A., y poteaux
compris toutes sujétions de
3.3 Aciers pour armatures, tous Semelles- kg 13613,60 9 218,00 125 490 164,80
diamètres, y compris Longrines-Départ
poteaux
toutes sujétions de coupe,
de façonnage, de ligature
au fil de
fer recuit et de mise en
œuvre
4 - MACONNERIE ET
BETON EN
SUPERSTRUCTURE:
4.1 Béton dosé à 350 kg de Poutres-Poteaux- m3 1005,000 340 000,00 341 700 000,00
CEM II 42,5/m3 de béton Chaînages
pour B.A., y
compris toutes sujétions de Linteaux-
mise en œuvre avec Paillasses-Dalle-
pervibration Lattis
à aiguille et gâchage à la
bétonnière
4.2 Aciers pour armatures, tous Poutres-Poteaux- kg 9 218,00 741 127 200,00
diamètres, y compris Chaînages
toutes sujétions de coupe, Linteaux-
de façonnage, de ligature Paillasses-Dalle
au fil de
fer recuit et de mise en
œuvre
4.3 Coffrage en bois ordinaire Béton armé m2 10326,56 24 530,00 253 310 516,80
dressé et raboté, y compris
toutes
sujétions d'assemblage, de plancher
buttage, de montage et
d'étaiement
5 - ASSAINISSEMENT:
MAKIPLAST, y
compris: (3*25 personne)
- toutes sujétions de
raccordements et de mise
en œuvre,
- tous travaux de
terrassement et de remise
en état
- regard de protection ou
de visite, en béton armé
dosé à 350
kg de CEM II 42,5/m3,
de dimensions 60x60x80cm
6 - CHARPENTE,
COUVERTURE ET
PLAFONNAGE:
63/100è, à 04
nervures, y compris
accessoires de pose dont:
Cales-tôles,
Tirefonds, Rondelles
bitumineuses, Rondelles
galva, Cavaliers et
toutes sujétions de mise en
œuvre
Toiture terrasse technique toiture terrasse m² 124,68 105 000,00 13 091 400,00
6.24
7 - REVETEMENTS ET
CARRELAGES:
7.1 Enduit au mortier dosé à Murs extérieur et m2 4692,00 6 890,00 32 327 880,00
350 kg de CEM II 42,5/m3, intérieurs-
dressé sur ré-
pères, finement taloché et Plafonds
exécuté en 02 couches pour
une
épaisseur totale de 2cm
7.2 Enduit plâtre exécutée en Murs enduits m2 4692,00 4 470,00 20 973 240,00
02 couches, genre
BESSIER, lissé,
y compris ponçage soigné
et toutes sujétions de mise
en œuvre
7.7 Carreaux faïences émaillés Murs Cuisine-murs m2 382,00 37 018,00 14 140 876,00
blancs 20x20cm, posé à Salles d'eaux-
bain souf-
flant au mortier dosé à 350 sur une hauteur de
kg de CEM II 42,5/m3, y 1,50m du sol,
compris garnis-
sage des joints au ciment Paillasse et nez
blanc, nettoyage parfait à la
sciure de
tous gravois, et toutes escalier
sujétions de mise en œuvre
7.4 Carreaux grès cérame Salle d'eau m2 232,00 44 714,00 10 373 648,00
30x30cm, posé à bain
soufflant au
œuvre
7.9 Nez de marche en fer Nez de marches mL 138,60 22 654,00 3 139 844,40
cornière de 40x40mm, y d'escalier
compris pattes
à scellement en TPN de
2mm d'épaisseur au moins
tous les
0,30m, 02 couches de
peinture antirouille au
minium de plomb,
et toutes sujétions de mise
en œuvre
8 - MENUISERIE BOIS
et ALUMINIUM:
8,3 Fourniture et pose porte Porte façade u 56,00 571 200,00 31 987 200,00
vitrée coulissant de
dimension
1,60 x 2,10 m, y compris
cadre, quincaillerie et
toutes
sujétion de mise en
œuvre.
8,4 Fourniture et pose porte Porte façade u 10,00 1 035 300,00 10 353 000,00
vitrée coulissant de
dimension
2,90 x 2,10 m, y compris
cadre, quincaillerie et
toutes
sujétion de mise en
œuvre.
8,5 Fourniture et pose porte Porte façade u 3 339 150,00 1 017 450,00
vitrée coulissant de
dimension
0,95x 2,10 m, y compris
cadre, quincaillerie et
toutes
sujétion de mise en
œuvre.
8,6 Fourniture et pose des fenêtres façades u 5 750 000,00 3 750 000,00
fenêtres vitrées de
dimension
1,70 x 1,15 y compris
cadre, quincaillerie et
toutes
sujétion de mise en
œuvre
8,7 Fourniture et pose des fenêtres façades u 45,00 250 000,00 11 250 000,00
fenêtres vitrées de
dimension
9 - MENUISERIE
METALLIQUE:
9.1 Porte métallique à demi- Porte d'entrée u 1,00 457 516,00 457 516,00
vitrer à 02 vantaux, ouvrant
à la
française, principale
cadres et bâti en cornière,
remplissage en TPN 12/10è
sur 01 face,
y compris ferrage,
quincaillerie, serrurerie
type VACHETTE, 02
couches de peinture
antirouille au minium de
plomb et
toutes sujétions de mise en
œuvre,
de dimensions
1,50 x2, 10 m
9.2 Garde corps métallique Balcon, escalier ml 273,00 175 000,00 47 775 000,00
composé de:
- poteaux et lisses
horizontales en tube noir
rectangle 50/30/1,5mm,
- lisses verticales en tube
noir carré 20/20/1,2mm,
scellements et toutes
sujétions de mise en œuvre
de mise en
œuvre,
y compris:
- coupes, soudures,
ponçages, scellements,
- 02 couches de peinture
antirouille au minium de
plomb,
- toutes sujétions de mise
en œuvre.
10 - ELECTRICITE:
10,01 Tableau Général de Départ d'électricité u 1,00 2 395 000,00 2 395 000,00
coupure et de protection
comprenant:
- 01 départ points
lumineux,
- 01 départ de prises de
courante lumière,
- 01 départ de prises de
courant force,
- 01 dispositif de coupure
et de sécurité,
- 01 coffret de répartition
principal,
et toutes sujétions de mise
en œuvre
10,02 Tableau secondaire dito Etages u 6,00 165 000,00 990 000,00
10,05 Installation de fil Tout câble servant u 65,00 135 000,000 8 775 000,00
conducteur VGV 3 x
2,5mm, encastré
dans le mur, protégé à de source partant
l'intérieur des tuyaux
orange
et terminé par les boite de du compteur à
dérivation à chaque
angle des murs y compris allumage simple
toutes accessoires de
(rouleau de 50m)
10,08 Hublot plafonnier opalin Eclairage extérieur u 50,00 65 000,00 3 250 000,00
semi sphérique Ø 250mm,
à monture
10,11 Prise de Terre, joint de Ensemble de u 1,00 2 500 000,00 2 500 000,00
contrôle et circuit de terre,
y compris construction
regard et toutes sujétions de
fourniture et de mise en
œuvre
10,12 Prise de courant force type Parking u 10,00 157 500,00 1 575 000,00
encastré 3P+T/20A, type
LEGRAND
ou similaire, tube orange
encastré
11,1 Fourniture et pose des Chaque étage 6,00 3 000 000,00 18 000 000,00
extincteur y compris u
toutes sujétions de mise en
œuvre.
11,2 Fourniture et pose des climatisation Fft 4,00 4 500 000,00 18 000 000,00
climatiseurs y compris
toutes sujétions de mise en
œuvre.
11,3 Fourniture et pose des immeuble u 6,00 5 200 000,00 31 200 000,00
chauffes eau solaire y
compris
toutes sujétions de mise en
œuvre.
11 - PLOMBERIE ²
SANITAIRE:
11,1 fourniture et installation
des tuyaux en PVC pour
adduction
d'eau depuis le compteur Toutes les ml 2900,00 17 500,00 50 750 000,00
vers les robinets et appareil canalisations
sanitaires, y compris toutes d'alimentation
sujétions de coupe et de
raccordement ainsi que tous
les accessoires des
raccordement
11.5 Evier simple bac inox, avec Sanitaires u 11,00 450 000,00 4 950 000,00
accessoires
colonne, accessoire et
toutes sujétions de pose et
de bon fonctionnement
12 – PEINTURE:
12.1 Badigeon à la chaux, y Faces enduites et m2 11090,00 6 300,00 69 867 000,00
compris rebouchage plafonds enduits,
d'éventuelles fis-
12.3 Peinture plastique type Faces enduites et m2 10811,00 11 200,00 121 083 200,00
intérieure, genre plafonds
TORGAPINT, exécutée
en 02 couches sur couche sauf enduits des
d'impression, y compris salles
tous travaux
préparatoires d'eaux
12.5 Peinture plastique type Faces enduites et m2 3880,00 12 300,00 47 724 000,00
extérieure, genre plafonds
TORGAPINT, exécutée
en 02 couches sur couche et plafonds
d'impression, y compris
tous travaux
préparatoires
13 - AMENAGEMENT
DES ABORDS:
13.1 Murs de clôture de Voir plan de ml 250,00 1 350 000,00 337 500 000,00
13.2 Plantation de fleurs sur Bordure de l'allée Fft 1,00 4 230 000,00 4 230 000,00
plate-bande, y compris
tous travaux de
préparation du sol
13.4 Chaussée comprenant: Sol de plateforme m2 640,00 2 560 000,00 1 638 400 000,00
extérieure et
- Nettoyage du sol et parking
décaissement,
- Lit de sable d'épaisseur
0,05m,
- Couche de fondation en
tout-venant 40/60,
- Couche de base en tout-
venant 0/40,
- Couche d'imprégnation
au cut-back 0/1,
- Enrobé à froid
d'épaisseur 0,04m,
y compris toutes sujétions
de mise en œuvre
13.5 Bordures type T2, en béton Trottoir, (Cf. plan) ml 300.00 22 464,00 6 739 200.00
dosé à 350 kg d
e CEMII42,5/m3, pré-
fabriquées sous coffrage
métallique, posées sur lit de
sable
d'épaisseur 0,05m,
hourdées au mortier dosé à
300 kg
de CEMII42,5 /m3,
y compris jointoiement
arasé au mortier dosé à 400
kg
de CEM II 42.5 /m3
II- INVESTISSEMENT
Un investissement est défini comme une acquisition de moyen de production physique à être
utilisé de façon durable dans l’entreprise, tels que des bâtiments ou des machines. Mais on
peut parler aussi d’investissement financier matérialisé par des achats à titres, des placements
ou des prises de participation.
Son objectif est d’obtenir des avantages ultérieurs plus importants. On assistera dans ce projet
à un investissement sous forme de construction de bâtiment. Soit I cet investissement.
IV- ACTUALISATION
Pour pouvoir comparer plusieurs investissements, il faut disposer d’un outil permettant de
comparer des sommes d’argent apparaissant à différentes périodes. Cet outil est fourni par
l’actualisation.
Et cette actualisation permet de traduire les « cash-flows » engendrés par un investissement
tout au long de sa vie en franc de l’année au cours de laquelle est entrepris l’investissement.
L’actualisation est matérialisée par le taux d’actualisation qu’il faut appliquer à un cash-flow
pour l’actualiser.
A Madagascar, ce taux est égal à : a=8%
Soit N= durée de vie de l’investissement. C’est la durée dans laquelle on pense rentabiliser un
investissement. Dans le cas d’un bâtiment N=25 ans.
Soit d Le délai de récupération du capital investi DRCI
C’est la période nécessaire pour couvrir la dépense d’investissement. Entre autre, c’est le
délai pour lequel la somme des cash-flows après actualisation est égale au décaissement dû à
l’investissement. Il faut que le délai soit à l’intérieur de la durée de vie du projet.
Le projet est rentable si et seulement si : d _ Ï 25 ,úb
On a donc :
Les loyers augmentent de 10% tous les ans ;
Les charges annuelles incombent les coûts futurs de maintenance et
d’exploitation de la construction. Elles sont fonction de la recette et prises
égales à 5% ;
Les impôts et charges communales sont calculés en fonction des recettes.
Leurs sommes sont prises égales à 20% de la recette.
D’après l’étude socio-économique on a vue que lors de la première année les loyers
mensuelle sont donc de : Ar 18 755 000.00, c'est-à-dire Ar 225 060 000.00, la première
année. On a alors :
Tableau 74 : Récapitulatif des valeurs des : recettes, charges, impôts, bénéfice net.
Charges Bénéfice avant
Année Recettes annuelle impôts Impôts Bénéfice net
1 225 060 000,00 11 253 000,00 213 807 000,00 42 761 400,00 171 045 600,00
2 247 566 000,00 12 378 300,00 235 187 700,00 47 037 540,00 188 150 160,00
3 272 322 600,00 13 616 130,00 258 706 470,00 51 741 294,00 206 965 176,00
4 299 554 860,00 14 977 743,00 284 577 117,00 56 915 423,40 227 661 693,60
5 329 510 346,00 16 475 517,30 313 034 828,70 62 606 965,74 250 427 862,96
6 362 461 380,60 18 123 069,03 344 338 311,57 68 867 662,31 275 470 649,26
7 398 707 518,70 19 935 375,94 378 772 142,77 75 754 428,55 303 017 714,21
8 438 578 270,60 21 928 913,53 416 649 357,07 83 329 871,41 333 319 485,66
9 482 436 097,10 24 121 804,86 458 314 292,25 91 662 858,45 366 651 433,80
10 530 679 706,80 26 533 985,34 504 145 721,46 100 829 144,29 403 316 577,17
11 583 747 677,50 29 187 383,88 554 560 293,63 110 912 058,73 443 648 234,90
12 642 122 445,20 32 106 122,26 610 016 322,94 122 003 264,59 488 013 058,35
13 706 334 689,80 35 316 734,49 671 017 955,31 134 203 591,06 536 814 364,25
14 776 968 158,70 38 848 407,94 738 119 750,77 147 623 950,15 590 495 800,61
15 854 664 974,60 42 733 248,73 811 931 725,87 162 386 345,17 649 545 380,70
16 940 131 472,10 47 006 573,61 893 124 898,50 178 624 979,70 714 499 918,80
17 1 034 114 461,90 51 705 723,10 982 408 738,81 196 481 747,76 785 926 991,04
18 1 137 559 081,00 56 877 954,05 1 080 681 126,95 216 136 225,39 864 544 901,56
19 1 251 314 989,00 62 565 749,45 1 188 749 239,55 237 749 847,91 950 999 391,64
20 1 376 446 488,00 68 822 324,40 1 307 624 163,60 261 524 832,72 1 046 099 330,88
Considérons les bénéfices nets comme flux nets
L’investissement initial étant d’Ar 5 648 301 759,70, le délai de récupération se situe entre 16
et 17 années. Cette indication est plus souvent suffisante. Si l’on souhaite plus de précision il
est possible de faire l’hypothèse que les flux sont dégagés de façon sur l’année. Dans ce cas
on peut procéder une interpolation linéaire entre 16 et 17 année :
¼ » ¼ ½ ». » ) ½½ ½.
¼ ¼ ½ ½). » ) ½½ ½.
On a alors Ñ 16.54 ,úb 16 ,úb 6=ùb `è 15[ab
Interprétation des résultats :
La durée de récupération du capital investi (D.R.C.I.) est de 16 ans 6 mois 15 jours
qui est largement inférieur à la durée de vie de la construction, le projet est donc amorti après
16 ans de mise en service.
Tout ceci nous amène à dire que le projet est rentable économiquement.
CONCLUSION
A la fin de cette étude, nous pouvons dire que la création et le développement des
infrastructures économiques constituent la première priorité du pays. Le projet de
construction d’un immeuble d’habitation comme notre thème de mémoire tend à respecter la
norme environnementale, favorise la modernisation de l’endroit et résout le problème
recherche de locaux d’habitation.
D’une part, l’étude théorique dans la première partie nous a permis de montrer la
nécessité de concevoir un bâtiment à usage d’habitation.
D’autre part étude technique nous a donné l’occasion d’approfondir les méthodes de
calcul de structure, des formations, de second œuvre et de recouvrir à l’outil informatique tel
que Excel, Autocad,…Enfin de compte, nous avons étudié et conçu le bâtiment tout en
suivant les règles de l’art dans le but d’assurer la sécurité et le confort des futurs usagers de
l’ouvrage.
Quant à l’étude financière, elle a permis de traiter les devis descriptifs et estimatifs et
d’analyser la rentabilité économique du projet.
Ainsi, nous espérons que notre travail de mémoire puisse contribuer à améliorer les
projets de construction à réaliser dans notre pays. Nous souhaitons vivement que la
réalisation de notre projet soit considérée.
BIBLIOGRAPHIES
[1]-Ernest NEUFERT : Les éléments des projets de construction, « L’homme, mesure de
toutes choses » :8ème édition, DUNDOD 2002.
[2]-Jean –Marie Husson : Etude des structures en béton (BAEL 91 révisé 99)-Paris : Edition
casteilla 2002.
[3]- Document Technique Unifié (DTU) : Règle NV 65, Le groupe de coordination des
textes techniques .Paris : Editions Eyrolles 1978.
[4]-G.COSTET, G.SANGLERAT : Cours pratique de mécanique des sols (Tome I),
Plasticité et calcul des tassements –Paris : Bordas, 1981
[5]- G.COSTET, G.SANGLERAT : Cours pratique de mécanique des sols (Tome II),
Calcul des ouvrages –Paris : Bordas, 1983
[6]-Tharcis HUBRECHT : Connaitre et savoir construire son escalier –en bois-en béton-en
métal. Colmar : Edition S.A.E.P.
[7]-R.DELEBECQUE : Bâtiment 2-Eléments de construction ; Technique et Normalisation-
Paris Cedex 05.
[8]-Gérard BOND : La construction de bâtiment, maçonnerie et béton armé –Dunod
[9]-André GUERRIN, R.CLAVAUR : Traité de béton armé (Tome IV) : ossatures
d’immeubles et d’usine –Planchers-Escaliers-Encorbellement-Ouvrages divers du bâtiment
,4ème Edition DUNOD, 1971.
[10]-R.Adroit et D.Sommier : Guide du constructeur en bâtiment ; Maitriser l’ingénierie
civile-Hachette technique.
[11]-Claude ROUGERON : L’isolation acoustique et thermique dans le bâtiment-Paris :
Eyrolles 2ème Edition 1977.
[12]-Jean PERCHAT, Jean ROUX : Pratique du BAEL 91, cours avec exercices
corrigés.Eyrolles 3ème Edition 1999.
[13]-Max JACCOBSON : Technique des travaux, traité de pratique de travaux –
construction, béton, travaux publics-Tome I 2ème Edition 1962.
[14]-Groupe de Coordination des Textes Techniques : Document Technique Unifié (DTU)
n° 13.12, Règle pour le calcul des fondations superficielles Mars 1988.
[15]-Cours de mécanique de sol -3ème et 4 ème Année, professé par Monsieur Solofonjatovo
RAKOTONIRINA.
[16]-Cours de Technologie de bâtiments et d’élément de projet -3 ème Année, professé par
Monsieur Richard ANDRIANARIMANANA.
Figure
R-III-2 Coefficient de réduction δ des pressions dynamiques pour les grandes surfaces
Figure R-III-3
4 coefficient de pulsation τ.
Figure R-III-4
Figure R-III-6
6 toitures à un ou plusieurs versants plans. Coefficient ce
ANNEXE IV : FONDATION
TABLE DE MATIERE
INTRODUCTION....................................................................................................... 15
III-CIMENTS :.............................................................................................................................. 41
IV-EAU DE GACHAGE : ................................................................................................................... 41
V- BOISERIE : ............................................................................................................................. 42
VI- PRESCRIPTION CONCERNANT LE BETON ARME : ....................................................................... 42
LE BETON ................................................................................................................................... 42
VII-PRINCIPE DE CALCUL AUX ETATS LIMITES ............................................................... 43
CHAPITRE 3: EVALUATION DES ACTIONS ................................................................ 44
I-EFFET DU VENT ...................................................................................................................... 44
I-1 DEFINITION ET HYPOTHESE ...................................................................................... 44
II-CHARGES VERTICALES ................................................................................................... 56
I.1.LES CHARGES PERMANENTES .................................................................................. 56
CHAPITRE 4: ETUDE DE LA TOITURE ....................................................................... 58
I-VERIFICATION DE LA COUVERTURE ............................................................................... 58
I.1 CARACTERISTIQUES DU MATERIAU ....................................................................... 58
I.2.ENTRAXES ........................................................................................................................ 59
I.3.DETERIORATION DES ACTIONS : .............................................................................. 59
I.4. COMBINAISONS D’ACTIONS : ................................................................................... 59
II CALCUL DES PANNES .......................................................................................................... 60
CHAPITRE 5: DESCENTES DES CHARGES ................................................................. 63
I GENERALITES ........................................................................................................................ 63
I.1. BUT ET PRINCIPE ......................................................................................................... 63
I.2. DEMARCHE DE CALCUL ............................................................................................. 63
II- DESCENTE DES CHARGES VERTICALES ................................................................ 65
III- DESCENTE DES CHARGES DUES AUX EFFETS DU VENT ........................................ 74
IV- DESCENTE DE CHARGE TOTALE .................................................................................. 76
CHAPITRE 6 : CALCUL DES STRUCTURES..................................................... 78
I-DETERMINATION DES SOLLICITATIONS ......................................................................... 78
I-1 LES CHARGES VERTICALES ..................................................................................... 78
I-2 LES CHARGES HORIZONTALES ................................................................................ 81
I-3 EVALUATION DES SOLLICITATIONS DE CALCUL ................................................ 82
II-CALCUL DE L’OSSATURE ................................................................................................... 85
II.1 CALCUL DES POUTRES .............................................................................................. 86
III-POTEAU ................................................................................................................................. 88
III.1. DEFINITION ................................................................................................................. 88
III.2. LONGUEUR DE FLAMBEMENT ET ELANCEMENT ............................................. 89
IV. DIMENSIONNEMENT DES ARMATURES LONGITUDINALES ................................... 90
IV.1 HYPOTHESE DE CALCUL. ........................................................................................ 90
IV.2- DETERMINATION DES ARMATURES LONGITUDINALES. ............................... 90
V .DIMENSIONNEMENT DES ARMATURES TRANSVERSALES ...................................... 91
V-1 DIAMETRE. .................................................................................................................... 91
V-2 ESPACEMENT ............................................................................................................... 91
V-3 CALCUL DE L’ESCALIER ........................................................................................... 91
V.4 CALCUL DE LA POUTRE PALIERE ......................................................................... 102
VI. LE PLANCHER ................................................................................................................... 106
VI.1. GENERALITES .......................................................................................................... 106
Nom : ANDRIANASOLO
Email : tcbmendrika@yahoo.fr
Nombre de figures : 19
Nombre de tableaux : 75
Résumé :
Le présent mémoire a pour objet la conception et l’étude d’un immeuble R+5 à usage d’habitation.
Rubrique : Bâtiment