Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
MEMOIRE
PRESENTE EN VUE DE L’OBTENTION DU DIPLOME DE MASTER
INTITULE
Grades :
PRESIDENT : Pr HAMADACHE. Pr
Pr ZEMOURI Z. Pr
Dr MERABTINE A. Dr
Dr MENAIL Y. Dr
PROMOTION : 2017
Mes remerciements vont tout d’abord à notre Dieu
pour la santé et le courage qu’il m’a a donnés pour
terminer ce modeste travail.
Je remercie mon encadreur Mr. MENAIL YOUNES pour
le soutien moral pendant toute la durée de préparation
de ma thèse de Master.
Résumé :
SOMMAIRE
Sommaire :
RESUME………………………………………………………………2
INTRODUCTION GENERALE…………………………………….7
5. Compositions de la centrale……………………………………………………...17
SOMMAIRE
1. Généralités ………………………………………………………………………30
1.1. Définitions de la corrosion…………………………………………………..30
1.2. Processus de la corrosion……………………………………………………30
1.3. Aspect économique de la corrosion………………………………………….30
1.4. Influence de la corrosion dans le choix d'un matériau………………………31
SOMMAIRE
1. Introduction……………………………………………………………………....44
1. La tuyauterie……………………………………………………………………..59
1.1. Définition…………………………………………………………………59
1.2. Description des tuyauteries……………………………………………….59
1.3. Documentation : état initial et document de suivi………………………..61
2. La dégradation…………………………………………………………………..61
2.1. Définition………………………………………………………………...61
2.2. Morphologie des dégradations par corrosion…………………………….62
2.3. Facteurs de corrosion……………………………………………………..62
2.4. Modes de dégradation…………………………………………………….63
3. Moyens de prévention……………………………………………………………65
3.1. Conception des équipements……………………………………………...65
3.2. Emploi d’inhibiteurs de corrosion………………………………………...66
3.3. Les revêtements…………………………………………………………...67
3.4. La protection anodique……………………………………………………68
3.5. La protection cathodique………………………………………………….69
3.6. Contrôle non destructifs…………………………………………………..69
5
SOMMAIRE
CONCLUSION GENERALE………………………………80
BIBLIOGRAPHIE.
INTRODUCTION GENERALE
Introduction générale
7
INTRODUCTION GENERALE
Les chapitres suivants constituent donc un rapport basé sur les informations du
service de maintenance des installations industrielles ainsi que sur les mesures et
observations faites.
8
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
CHAPITRE 1 :
PRESENTATION GENERALE DE
LA CENTRALE.
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
1-Introduction :
Le recouvrement de la souveraineté nationale sur les richesses du sous-sol du
pays a permis au secteur de l’énergie de jouer un double rôle, celui d’approvisionner
l’économie en énergie et en matières premières et de contribuer au financement de
son développement.
10
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
Sharikat Kahraba Koudiet Eddraouch s.p.a, par abréviation SKD Spa, est une
société par actions, au capital social de 53 milliards de DA dont les actionnaires sont
SONALGAZ a hauteur de 51% et HOLDING SONATRACH AIE a hauteur de 49%,
ayant le siège social dans la wilaya d’El Taref.
Le site est situé dans la commune de Berrihane (daïra de ben m’hidi wilaya d’el
taref), ville se trouvant a 30 km a l’Est Annaba .Il est limité au nord par la mer et au
sud par un projet de route. Le site a une superficie totale de 42 ha 50a 45ca.il est
limité au Nord par la Méditerranée, et ailleurs par des terrains vagues.
11
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
La centrale thermique a cycle combiné comprend trois tranches single shaft (mono
arbre avec configuration (Turbine a gaz –Alternateur-Turbine a vapeur) de production
d’électricité d’une puissance totale est d’environ 1200 MW.
La puissance totale nette maximale de chaque tranche cycle combiné est de 400
MW (combustible gaz) et de 358 MW (combustible gas-oil) aux conditions site.
12
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
Constructeur :
Général Electric /Iberdrola
Ingéniera & Construction.
Maitrise d’œuvre :
CEEG.
13
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
14
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
L’utilisation des turbines à gaz par des sociétés du service public est désormais
reconnue au niveau industriel, et la température des gaz résiduelles est des 500 c° ou
plus cette température crée la possibilité d’appliquer un procédé à cycle vapeur
supplémentaire.de tels systèmes optimisent les procédés gaz et vapeur pour optimiser
le rendement électrique. Les principes du cycle combiné peuvent également être
appliqués aux moteurs à combustion.
Turbine à gaz
Compresseur Condenseur
Chaudière de
récupération
Alternateur
Turbine à vapeur
Figure 3 : les équipements principaux.
Ateliers.
Equipements de stockage de combustible.
Equipements de stockage des eaux.
Station de traitement et de pompage d’eau de mer.
Système de canalisation.
Chaudière auxiliaire.
15
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
CIRCUIT TV :
➍ Dans la chaudière, au contact des gaz d’échappement très chauds, l’eau du circuit
est transformée en vapeur.
➎ Cette vapeur fait tourner une turbine à vapeur qui entraîne le même alternateur
générant de l’électricité.
➏ La vapeur utilisée est envoyée vers un condenseur dans lequel circule de l’eau
froide. Au contact de l’eau, la vapeur se transforme en eau, qui est récupérée et
envoyée à nouveau dans la chaudière. L’eau utilisée pour le refroidissement est
restituée au milieu naturel ou renvoyée dans le condensateur.
➐ L’électricité est injectée dans le réseau après avoir été portée à 220 000 ou à
400 000 volts à l’aide d’un transformateur de puissance.
16
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
5-Composition de la centrale :
5.1-présentation des installations principales :
COMPRESSEUR
LA COMBUSTION
ENTRÉE
TURBINE
D’EXPANSION
BASE
ECHAPPEMENT
Figure 5 : les sections de la turbine à gaz.
Elle se compose principalement d’une gaine, dans laquelle circulent les fumées,
d’échangeurs constitués de nappes de tubes traversés par l’eau ou la vapeur et d’un ou
plusieurs ballons.
Les températures et les pressions de cycle de la HRSG :
Température d’entrer 650°©
Température de sortie 80/60°©
Température ballon HP (180 bars) 565°©
Température ballon MP (25 bars) 565 °©
Température ballon BP (4bars) 300°©
17
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
Les turbines à vapeur soient construites selon deux principes différents à action ou à
réaction. leurs éléments essentiels sont similaires. Elle se compose de tuyères, et
d’ailettes.la vapeur s’écoule dans les tuyères, dans les quelles elle se dilate. Ainsi, sa
température diminue est son énergie cinétique augmente. La vapeur en mouvement
exerce une pression contre les ailettes mobiles, entraînant leur rotation. Les turbines à
vapeur sont des machines relativement simples dont la seule partie mobile importante
est le rotor.
18
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
5.1.4- L’alternateur :
19
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
5.1.6- La cheminée :
Figure 10 : la cheminée.
FONCTIONS :
Les fonctions principales du système PCI sont les suivantes :
• Confiner les incendies afin d’éviter leur propagation ;
• Permettre la détection précoce dans les zones où un risque d'incendie existe ;
• Fournir des moyens d'alarmes en cas d'incendie ;
• Fournir des moyens d'extinction tels que les installations fixes d'extinction, les
lances manuelles, les bouches d’incendies et les extincteurs portatifs.
DESCRIPTION :
Le système de protection contre les incendies se compose des éléments suivants :
• Moyens passifs de protection contre les incendies se basant sur la contention des
matériaux combustibles et la sectorisation des secteurs de feu afin d’éviter la
propagation des incendies et de limiter les dégâts.
20
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
Système de dessalement :
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
• À partir du sous-système d’eau de régénération des lits mixtes, l’eau est fournie aux
pompes de dilution de réactifs jusqu’au poste de traitement de l’eau.
• Les services de la centrale indiqués ci-dessous sont alimentés par le sous système de
distribution d'eau déminéralisée :
- Au point au condenseur.
- Module de lavage du compresseur de la turbine à gaz.
- Alimentation du système de conditionnement chimique.
- Alimentation du laboratoire.
- Prélèvement d'échantillons du système d'analyse et d'échantillonnage.
- Alimentation du système de traitement du gasoil.
- Remplissage de la chaudière auxiliaire.
- Alimentation du poste GIS blindé.
- Remplissage du système de refroidissement des auxiliaires et remplissage de la
bâche tampon.
- Alimentation du système de production de H2.
- Remplissage des réchauffeurs de gaz du poste de détente.
Le système d'eau de circulation a été conçu pour réaliser les fonctions suivantes :
22
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
23
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
FONCTIONS :
Le système de gaz naturel est conçu pour fournir du gaz, conforme aux exigences, aux
turbines à gaz et aux chaudières auxiliaires. Il remplit les fonctions suivantes :
• Fournir à la turbine à gaz du gaz réchauffé, conforme aux exigences de propreté,
pression et température.
• Éliminer les éclaboussements de liquides et polluants par filtration/séparation dans
le système du conditionnement du gaz.
• Fournir un raccord pour l’échantillonnage du gaz.
DESCRIPTION :
Le système de purges de la centrale est composé de :
• Différents réseaux de caniveaux et tuyauteries pour la collecte et l’acheminement
des purges et effluents.
• Quatre (4) décanteurs lamellaires distribués de la manière suivante :
- Trois (3) décanteurs lamellaires ; un (1) pour l'îlot de puissance (un pour la zone des
transformateurs, les purges du plancher et des équipements contenant de l'huile de la
salle des machines et de la zone de chaudière).
- Un (1) décanteur lamellaire situé dans la zone des magasins.
• Deux (2) stations de traitement des eaux usées.
• Quatre (4) puisards et huit (8) pompes pour la collecte et le transfert des purges ne
pouvant pas être acheminées par gravité.
24
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
25
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
- Système de vapeur d’étanchéité : -Il évite les fuites dans la turbine HP.
-Poste de dessalement.
26
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
27
CH 1 : PRESENTATION GENERALE DE LA CENTRALE
poste blindé :
• Configuration :
– Double barre avec isolation au gaz (SF6).
– Trois postes de groupe depuis les transformateurs du cycle.
– Trois postes de sortie de ligne.
– Poste de couplage.
– Poste mesure de barres.
28
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
CHAPITRE 2:
ASPECTS THEORIQUE DE LA
CORROSION
29
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
1. Généralité :
A laquelle est couplée une réaction cathodique qui sera dans la plupart des cas:
Il en résulte que le métal attaqué sera l'anode couplée à une cathode sur laquelle se
produira l'une des trois réactions précédentes. Il y a donc constitution d'une pile
électrochimique.
La plupart des réactions de corrosion ont lieu en présence de l'eau dans la phase
liquide ou sous forme de vapeur condensée. Certaines corrosions « sèches» en
J'absence d'eau ont lieu dans un électrolyte solide et sont aussi considérées comme
électrochimiques.
30
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
- arrêt de la production.
- coût de l'entretien et du contrôle.
- coût des pièces à remplacer, des réparations à effectuer.
- coût dû à l'utilisation de matériaux plus nobles.
- contamination du produit par les produits de corrosion solubles.
- perte du produit.
- perte d’efficacité.
- augmentation des coefficients de sécurité (surdimensionnement).
Le choix d'un matériau pour la construction d'un équipement résulte d'un compromis
entre plusieurs facteurs:
- compromis entre la résistance à la corrosion et d'autres propriétés comme la
résistance mécanique, la facilité de mise en œuvre, le soudage
- compromis entre la durée de vie de 1'équipement et la durée de vie estimée du
matériau La synoptique de la figure I.1, résume les différents compromis qui
règlent le choix d'un matériau dans la construction d'un appareil ou d'une
installation.
31
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
La corrosion galvanique se produit donc quand deux métaux sont en contact dans
un milieu humide. Le moins noble, se corrodera, il est dit anode alors que le second,
la cathode sera en partie protégé de la corrosion. Ce phénomène s'appelle aussi effet
de piles métalliques. Une condition indispensable pour j'apparition du phénomène de
corrosion galvanique est la présence d'un électrolyte et ce, même si le contact n'est pas
direct entre deux métaux, De l'eau légèrement acide voire faiblement minéralisée peut
constituer cet électrolyte.
Cette corrosion est une attaque ponctuelle qui, dans le cas de l'acier se produit
sous l'effet d'ions halogènes particulièrement les chlorures en présence d'un oxydant
32
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
33
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
Ce type de corrosion est produit par le mouvement du fluide sur la surface d’un
métal.
L’aspect mécanique du mouvement est important. Des phénomènes de turbulence,
de collision, de couplage galvanique, peuvent contribuer à détruire les films
protecteurs et entraîner des vitesses de corrosion très élevées sur des matériaux par
ailleurs très résistants à l’état statique.
34
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
La nature de l'eau en contact avec les métaux peut être très déterminante.
L'eau de mer est un milieu particulièrement agressif, on peut définir l'eau d'un
océan à partir de sa salinité ou de sa conductivité. La solubilité de l'oxygène dans l'eau
de mer est fonction de la température.
Les eaux douces dont l'eau de distribution des villes possèdent des caractéristiques
diverses selon leur composition (pourcentage des minéraux dissous, teneur en
oxygène et en gaz carbonique, pH, etc.). La résistance à la corrosion d'un métal mis au
contact de l'eau douce peut varier considérablement selon le type d'eau. Les eaux
peuvent être incrustantes ou agressives. On les nomme respectivement eau dure et eau
douce. Dans le premier cas l'eau est très minéralisée et laisse un dépôt de calcaire et
de carbonate provoquant l'entartrage des conduites. Ce dépôt, qui isole le métal de
1'eau, ralentit ainsi la corrosion; cependant, s'il n'est pas uniforme, il peut y avoir
corrosion localisée par piqûres. Les eaux agressives, quant à elles, sont peu
minéralisées ; elles sont donc plus corrosives que les eaux incrustantes, car elles ne
favorisent pas la formation d'un dépôt protecteur.
35
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
- la teneur en S02
- la teneur en cl
La corrosion dépend également beaucoup de l'agressivité locale : atmosphère rurale,
industrielle ou marine.
Les sols sont loin d’être des milieux homogènes ; ils présentent en effet, d'un
site à l'autre, des caractéristiques très variées. Le caractère corrosif des sols est
fonction des paramètres suivants:
• leur perméabilité à l'air et à l'eau, qui dépend de leur porosité et de la granulométrie
des matériaux constitutifs.
• leur taux d'humidité.
• leur teneur en sels.
• leur alcalinité ou leur acidité (c'est à dire leur pH).
• leur conductibilité électrique.
En général ce sont ces deux derniers paramètres (pH et conductibilité électrique)
que l'on mesure. Dans la grande majorité des cas, le pH des sols est compris entre 6 et
9.
Quand une canalisation traverse des sols de natures différentes, le potentiel d'équilibre
du métal avec chacun de ces milieux peut être différent, ce qui entraîne la formation
de zones cathodiques et de zones anodiques.
36
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
• La protection électrochimique.
• La protection par revêtement et traitement de surface.
• L'action sur le milieu de corrosion.
• Le choix des matériaux.
• La conception et le tracé des assemblages.
37
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
• anodes sacrificielles :
Le métal à protéger est couplé à un métal moins noble c'est à dire plus électronégatif
(Magnésium, aluminium, zinc). Celui-ci devient alors l'anode et la structure à protéger
la cathode du système. L'anode se corrode alors et il faut la remplacer
périodiquement.
• le soutirage de courant
Cette méthode consiste à coupler le métal à protéger avec une anode inerte.
38
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
Un revêtement ayant pour fonction d'isoler le métal du milieu corrosif, il doit être
continu, adhérent et inerte par rapport à l'environnement. A cet effet, il faut préparer
soigneusement les surfaces à traiter; c'est à dire éliminer toute trace d'oxydation, de
graisse ou de tout autre corps étranger, afin que le revêtement joue totalement son rôle
de barrière au passage des électrons.
Les revêtements non métalliques sont soit des peintures, soit des polymères soit
des goudrons qui sont des produits organiques. En ce qui concerne les peintures, il
faut en appliquer au moins deux types différents: une couche de fond et des couches
de finition. La peinture utilisée pour les couches de fond, doit mouiller parfaitement la
surface à peindre et y adhérer fortement ; Ces peintures contiennent souvent des
poudres de zinc ou d'aluminium, qui agissent comme anode, ou des pigments (comme
le chromate de zinc), qui peuvent jouer le rôle d'inhibiteur.
Les polymères utilisés comme revêtement sont soit thermoplastiques (PET, PVC,
etc.), soit thermodurcissables (poly époxydes).
Les structures enfouies sont souvent protégées par des revêtements à base de
goudron, d'asphalte ou de bitume.
39
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
Par rapport au métal à protéger, lès revêtements métalliques peuvent être soit
anodiques, soit cathodiques. Ainsi, le zinc, qui est anodique par rapport à l'acier. Joue
le rôle de d'anode sacrificielle dans les pièces en tôles galvanisées. Le chrome par
contre est cathodique par rapport à l'acier par conséquent, au niveau de chaque
discontinuité du revêtement, il y a corrosion de l'acier sous le chrome.
Dans certains cas on protège les métaux grâce à une couche d'oxyde formée
artificiellement à leur surface. Le bronzage de: l'acier et l'anodisation de l‘aluminium
sont des exemples de ce procédé.
Le souci d'éviter la corrosion pousse à choisir avant tout des matériaux qui ne se
dégrader: mt pas dans leur environnement ou, du moins, qui se corroderont de façon
uniforme afin qu'on puisse connaître le plus exactement possible la durée de vie utile
de l'équipement. Il faut en outre porter une attention spéciale aux conditions
d'utilisation (combinaison matériau-milieu corrosif-contraintes) qui entraînent des
types particulièrement pernicieux de corrosion, comme la corrosion sous contraintes
ou la corrosion par piqûres.
40
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
a) Eviter la formation de couples galvaniques entre des métaux différents: pour des
métaux différents, les isoler électriquement l'un de j'autre.
d) Eviter tout tracé qui risque d'entraîner des concentrations de contraintes dans les
matériaux sensibles à la corrosion sous contrainte.
e) Eviter dans les conduites, les changements brusques de section, les vannes trop
petites ou les irrégularités, qui peuvent engendrer des zones de turbulences et
favoriser ainsi la corrosion par érosion.
41
CH2 : ASPET THEORIQUE DE LA CORROSION
42
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
CHAPITRE 03 :
PRESENTATION DES
MATERIAUX COMPOSITES.
43
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
1. Introduction :
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
Matrices
Organiques Minérales
Figure 30 : la résine.
Résines thermodurcissables :
Il s'agit d'une matière formée d'un réseau tridimensionnel de macromolécules.
Cette structure peut être rigide (par exemple polyester) ou souple (par exemple
polyuréthanne).
46
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
1. Le début de la réaction est déclenché soit par le mélange des produits soit par
l'apport d'énergie.
2. La mise en forme des produits est exécutée avant ou pendant le début de la
réaction
(moulage, injection, coulée ou stratification sur une forme).
3. L'objet est démoulé lorsque la réaction peut être considérée comme complète (90 à
100%).
Résines thermoplastiques :
Il s'agit d'une matière formée de macromolécules linéaires capables de devenir
mobiles entre elles lorsqu'on élève leur température.
47
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
a- Le type de fibre :
- Verre : son utilisation représente 95% du marché des composites
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
49
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
50
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
Principe :
C'est la plus ancienne méthode de mise en œuvre des composites. Ce procédé
permet la réalisation de pièces de formes et de dimensions quelconques pour de
petites séries. Le moule, enduit d'un agent de démoulage, reçoit la couche de surface
(gel-coat), puis le renfort sous formes de couches successives de mat ou de tissu que
l'on imprègne de résine, généralement manuellement, jusqu'à obtention de l'épaisseur
souhaitée. La polymérisation peut se faire à température ambiante ou être accélérée
par chauffage. Après durcissement de la résine, la pièce est démoulée et détourée.
51
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
Principe :
Le moulage par injection de résine liquide RTM (Resin Transfert Molding) est un
procédé manuel ou semi-automatisé qui s'effectue entre moule et contre moule
rigides.
Les renforts, sous forme de mats, tissus ou préforme sont placés dans l'entrefer du
moule. Le moule est alors solidement fermé et la résine catalysée injectée à l'intérieur
sous faible pression
52
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
Principe :
Le moulage par injection de résine liquide RTM (Resin Transfert Molding) est un
procédé manuel ou semi automatisé, qui s'effectue entre moule et contre moule
rigides. Les renforts sous forme de mats, tissus ou préforme (verre grande diffusion
ou carbone haute performance) sont placés dans l'entrefer du moule; le moule est alors
solidement fermé et la résine formulée (polyester insaturée ou époxy) est injectée à
l'intérieur sous faible pression (1 à 5 bars).
53
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
Principe :
Procédé automatisé limité au moulage des pièces de révolution (tube, cône,
réservoir, silo...). Pour les thermodurcissables, les renforts sous forme de rovings sont
enroulés autour d'un mandrin, après passage dans un bain de résine catalysée. Pour les
thermoplastiques, les renforts pré-assemblés de matrice thermoplastique sont enroulés
autour d'un mandrin. L'enroulement proprement dit s'effectue sur un moule mis en
rotation.
Principe :
Procédé de moulage automatisé permettant la réalisation en continu de profilés
rectilignes ou courbes de section constante.
Des renforts (rovings, mats ou tissus en bandes) tirés par un banc de traction et
orientés dans la longueur du profilé sont successivement imprégnés de résine et mis à
la forme désirée par passage au travers de filières régulées en températures.
54
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
Principe :
Le SMC (Sheet Molding Compound) est un semi produit thermo dur constitué de
nappe de fils coupés ou continus (mats ou rovings), imprégnés entre pellicules par une
formulation de résine polyester chargée.
Une presse permet de comprimer à une température comprise entre 140 et 160 °C
et une pression allant de 50 à 100 bars, le SMC.
Principe :
Le BMC (Bulk Molding Compound) est un semi produit préparé dans un
malaxeur à base de résine polyester insaturée catalysée, de charges et d'adjuvants
divers, renforcée par des fibres de verre coupées.
Une presse permet l'injection sous forte pression (150 à 180 bars) et à grande
vitesse du BMC dans un moule fermé régulé en température (150 à 160 °C)
55
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
Le codage se fait comme suit : depuis le pli extrême de coté Z<0 jusqu’au pli extrême
de coté Z>0.
Cette technique consiste à déposer une âme ou cœur (constituée d’un matériau léger
possèdent des bonnes caractéristiques en compression) entre deux feuilles ou peaux
(possèdent des bonnes caractéristiques en traction).
56
CH3 : PRESENTATION DES MATERIAUX COMPOSITES
- L'isolation thermique
- La tenue en température
- La tenue au feu
- La performance acoustique du matériau
57
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
CHAPITRE 4 :
ETUDE D’UN CAS
58
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
Dans ce cadre, en va faire une étude sur l’impact de la corrosion marine sur les
installations industrielles on prend le cas qui concerne la dégradation de la tuyauterie.
Cette étude est destiné à pour l’aider à réaliser l'état initial des tuyauteries et à établir
les programmes d’inspection appropriés.
Cette étude a été mise au point en prenant en compte les expériences vécues et
pourra être mis à jour, autant que nécessaire, pour intégrer les évolutions du retour
d'expérience.
1. La Tuyauterie :
1.1. Définitions: sont des composants de canalisation, destinés au transport des
fluides, lorsqu'ils sont raccordés en vue d'être intégrés dans un système sous pression.
Les tuyauteries comprennent notamment un tuyau ou un ensemble de tuyaux, le
tubage, les accessoires de tuyauterie, les joints d'expansion, les flexibles ou, le cas
échéant, d'autres composants résistant à la pression.
Composants et accessoires :
Les éléments de tuyauteries sont :
- Composants de tuyauterie : tube, fond, bride, coude, té, réduction, tampon plein…
- Accessoires sous pression : organes de robinetterie, flexibles, pots de purge,
compteurs, filtres…
- Supports : composants qui, quand ils existent, relient les tuyauteries à la structure
principale, par exemple : patin, fer rond, fer plat, collier, pendard, chandelle. Ces
composants peuvent être ou non démontables.
Points singuliers :
Les points singuliers sont les zones particulièrement sensibles et propices à
l’apparition de dégradations susceptibles d'engendrer des dommages spécifiques ou
accentués par rapport à ceux constatés sur la tuyauterie hors points singuliers.
Il peut s’agir des zones suivantes :
59
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
60
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
-un plan ou un schéma comportant les accessoires sous pression et les repères des
accessoires de sécurité, complété éventuellement de documents pertinents (Ex.
photos),
- les caractéristiques de construction (DN, PN, fluide, température et pression
maximales admissibles, matériaux, revêtements de protection, isolants, codes ou
normes).
- les éléments relatifs aux interventions (contrôle initial, inspections, contrôles non-
destructifs, maintenances et réparations éventuelles).
Documents de suivi :
L’exploitant tient à jour les documents de suivi qui comportent notamment :
- les éléments de l’état initial.
- le plan d'inspection.
- le programme d’inspection.
- les comptes rendus des inspections et contrôles de la tuyauterie, tels que prévus dans
le plan d'inspection et ceux réalisés lors des interventions (réparations ou
modifications).
- le cas échéant, les attestations de requalification périodique.
2. La dégradation :
2.1. Définition :
61
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
a. Etat d'immunité :
- Le métal ne se corrode pas, il est thermodynamiquement stable
- Etat rencontré pour les métaux nobles que l'on trouve à l'état pur dans le minerai :
Or, Platine, Rhodium, …
- Etat pouvant être obtenu pour l’ensemble des métaux dans des conditions
opératoires particulières.
b. Etat de passivité :
Absence de corrosion liée à la formation d’une mince couche d’oxyde jouant le rôle
d’écran entre le métal et le milieu extérieur.
c. Etat d'activité :
- Corrosion du métal par le milieu environnant
- Corrosion en milieu aqueux : se manifeste de différentes façons identifiables soit par
un examen visuel, soit par un examen microscopique des zones endommagées.
2.3. Facteurs de corrosion :
Quelles que soient les origines d’une corrosion, il faudra toujours garder
présent à l’esprit un certain nombre de facteurs susceptibles de l’aggraver. Citons en
particulier :
62
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
Il n’est pas question de revenir ici en détail sur le rôle capital, d’une part de
l’oxygène dissous, à la fois dans le mécanisme de base de la corrosion en milieu aéré
et dans le processus particulier de l’aération différentielle
Les principaux modes de dégradation qui peuvent être rencontrés sur des tuyauteries
sont listés dans les tableaux suivants :
63
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
1.5. Liée à la Cas des aciers ferritiques dans H2S humide- -Fissures
présence Sulfide.Stress Cracking, Hydrogen Induced
d’hydrogène Cracking
1.6. Assistée
par des -Matériaux métalliques dans un milieu
facteurs contenant des particules solides en -Perte
mécaniques mouvement d’épaisseur
- Erosion /
corrosion -Endommagement des robinets sur circuits à -Perte
- Abrasion / vitesse élevée d’épaisseur
corrosion locale
-Cas des assemblages boulonnés soumis à des Cratères à
- Cavitation / vibrations fond rugueux
corrosion
- Frottement / -Perte
corrosion d’épaisseur
64
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
3. MOYENS DE PRÉVENTION :
3.1. CONCEPTION DES ÉQUIPEMENTS :
Règles de conception :
D’une façon générale, il faut éviter les hétérogénéités de tous ordres.
Nous rappelons ci-après quelques règles pratiques à respecter :
- drainage efficace des récipients
- facilité de nettoyage
- étude de systèmes qui facilitent le remplacement des parties les plus vulnérables
- éviter des contraintes excessives sur les composés exposés à un milieu corrosif
- éviter le contact électrique de métaux dissemblables
- éviter des courbes ou des étranglements brusques dans une tuyauterie
65
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
Un inhibiteur est une substance chimique que l'on ajoute en petite quantité au
milieu pour diminuer la vitesse de corrosion du matériau métallique à protéger. Leur
domaine d'utilisation recouvre les milieux acides, la vapeur, et les eaux de
refroidissement.
inhibiteurs d’adsorption :
Il s’agit d’inhibiteurs filmants qui s’adsorbent à la surface pour donner un film
protecteur. Ce sont des substances organiques du type monoamines ou polyamines.
suppresseurs d’oxygène :
Ils enlèvent l’oxygène dissous contenu dans les solutions (sulfite de sodium,
hydrazine).
inhibiteurs oxydants :
Il s’agit des chromates, des nitrites, des sels ferriques, etc. Ces substances élèvent le
potentiel de corrosion dans la zone de passivation. Les molybdénites et les phosphates
nécessitent de l’oxygène dissous pour avoir une action efficace.
66
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
Ils constituent une barrière physique entre le milieu agressif et le métal à protéger.
Leur efficacité dépend de leur propre comportement vis-à-vis du milieu agressif ainsi
que de l’intégrité du revêtement.
On distingue :
les revêtements métalliques obtenus soit par électrolyse (Zn, Ni, Cr, Cu, Cd,
…), soit par immersion (Zn, Al, …), par diffusion (chromisation,
shérardisation “Zn”), par projection (Zn, Al, …), par placage (tôles plaquées
col aminées)
67
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
68
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
La corrosion est souvent masquée dans les installations. On a recours alors à des
méthodes d’examen non destructif pour vérifier l’état des équipements en service.
69
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
70
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
71
CH 4 : ETUDE D’UN CAS
Par ailleurs, il est recommandé que la maintenance informe les inspecteurs des
opportunités de visites liées aux mises à disposition des tuyauteries, aux accès mis en
place pour les interventions, aux dé calorifugeages, aux remplacements
d’accessoires…
72
CH 5 : STRATEGIE DE MAINTENANCE
CHAPITRE 5 :
STRATEGIE DE MAINTENANCE
73
CH 5 : STRATEGIE DE MAINTENANCE
1. Pratiques actuelles :
A ce jour un plan de maintenance propre à faire face à la corrosion n'a pas été mis
en place. Les quelques actions menées contre la corrosion sont insérées dans le plan
global de maintenance des différentes installations telles le nettoyage de ceintures de
réservoirs ou des grilles du ventilateur des groupes incendie. On ne sent pas une réelle
préoccupation vis-à-vis des dommages provoqués par la corrosion sur les différents
éléments.
Par rapport aux spécifications du dépôt en question nous ne pourront pas choisir
toutes les méthodes de protections, par ailleurs certaines ne seront certainement pas
envisageables tandis que d'autres pourront être appliquées en complément.
Les procédés généralement utilisés pour supprimer ou ralentir la corrosion sont ceux
déjà présentés précédemment.
74
CH 5 : STRATEGIE DE MAINTENANCE
Ici, il s'agira surtout de la protection cathodique qui est très utilisée pour
protéger les structures et les équipements en acier. On soumet l'installation à un
potentiel extérieur par application soit d'un courant imposé, soit par adjonction de
masses métalliques jouant le rôle d'anodes sacrificielles à base de Zn, Mg ou Al. Elle
peut être utilisée dans le cas de canalisations enterrées ou des réservoirs d'eau. La
densité de courant dans ces cas est de 5 à 30mA/m2, dans un sol anaérobie
quelques mois s'écoulent avant une pleine polarisation.
C'est la méthode qui sera appliquée dans l'ensemble des équipements parce
qu’elle ne rencontre aucune contrainte ou de sélectivité quant à son adoptons. Nous
allons donc l'approfondir dans les sous-chapitres à venir.
C'est une opération nécessaire pour éliminer les traces de saleté ou de graisse
(molécules organiques, carbone essentiellement) de la surface de la pièce en acier
avant de la soumettre à quelque traitement thermique que ce soit (soudure par
exemple) ou de finition superficielle (satinage, polissage électrolytique, etc.). Le
carbone présent sur 1a surface de la pièce, risque en effet de pénétrer à l'intérieur de
celle-ci durant le traitement thermique, et ainsi de provoquer des dommages
esthétiques et de compromettre sur certains points les caractéristiques du matériau,
rendant les pièces plus dures, plus fragiles et moins résistantes à la corrosion.
Toutes ces méthodes pourront être appliquées; elles seront départagées par le
temps de l'application et par les facilités qu'offrent chacune d'elles.
2.2.2 Décapage :
75
CH 5 : STRATEGIE DE MAINTENANCE
Le décapage chimique est réalisé avec des décapants à peinture et vernis sons
forme de liquides épais ou même de gels. Les décapants les plus courants sont à base
de solvants qui ramollissent le film de peinture. On applique le décapant sur la
peinture et on le laisse agir quelques minutes jusqu’a ce que celle-ci se boursoufle. Il
suffit alors de gratter avec une spatule ou avec une brosse pour enlever la peinture.
Lorsqu'il y a plusieurs couches de peinture successives, il peut être nécessaire de
procéder à une seconde application de décapant.
Le décapage par sablage est à la fois rapide et efficace, notamment pour les
pièces comportant des endroits difficiles d'accès. Sur les pièces en acier on projette à
l'air comprimé une poudre abrasive très dure, aux grains anguleux qui décolle la
peinture.
C'est un procédé déjà utilisé sauf que le sable est remplacé par un composant
appelé «grid » pour ses caractéristiques moins polluantes que celles du sable; ce
procédé pourra donc être conservé d'autant plus qu'elle offre l'avantage de la rapidité
par rapport aux autres méthodes.
2.2.3 Passivation :
par voie chimique: addition d'agents oxydants tels que les chromates dans
l'électrolyte,
CH 5 : STRATEGIE DE MAINTENANCE
Les aciers peuvent également être protégés à l'aide d'une couche passive obtenue
au contact de l'oxygène atmosphérique; toutefois dans ce cas la protection n'est que
relative.
2.3.1 Composition :
77
CH 5 : STRATEGIE DE MAINTENANCE
La dernière couche apporte l'aspect visuel final d'où son nom de finition. C'est
elle aussi qui est en première ligne pour résister aux agressions diverses:
températures, chocs, rayures, contact avec des substances chimiques ...
78
CH 5 : STRATEGIE DE MAINTENANCE
Actions préventives:
Dans les archives, devra figurer une description contenant des informations
sur le type d'équipement, sa date de fabrication ou d'installation, pour les activités
techniques, le rattachement aux fournisseurs, produits, contrôleurs, etc. On peut voir
ci-après le modèle de la fiche proposée. D'autres informations nécessaires à la
maintenance pourront éventuellement être ajoutées.
79
CONCLUSION GENERALE
Conclusion générale
80
CONCLUSION GENERALE
De plus les sommes importantes engagées pour la réhabilitation des bacs et des
conduites vont inclure des coûts (arrêt du stockage dû à une vidange entière du bac)
qui ne font réellement partie de la réhabilitation proprement dite.
Ceci montre que tout est inter relié, et de ce fait nos recommandations doivent
être toutes mises en pratique afin de vraiment améliorer le contrôle et la bonne tenue
des équipements
En règle générale, dans un plan de maintenance il est recommandé dans les cas où
une défaillance est constatée, de procéder comme suit :
81
BIBLIOGRAPHIE
[3]-ZAIDI ALI
[4]-SAFIA SAHRI
[8]- GOOGLE.