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Thème
Etude de la Climatisation, Chauffage,
Plomberie sanitaire et Electricité de l’Ecole
Nationale des Impôts annexe d’ORAN
Proposé par :
SONELGAZ
Djelloul
A mes très chers Parents
A mes très chères sœurs Hanane et Widad
A mes très chers frères Mahmoud et Nasr Eddine
J’espère toujours être à la hauteur de vos espérances
A tous les membres de ma famille sans exception.
A tous les amis de la famille.
A mes amis pendant toutes les années de l’université.
A toute personne ayant contribué à ce travail de prés ou
de loin.
A mon binôme Djelloul ainsi que toute sa famille
Et a toute la promo ETVB 2005/2006
Je vous dédie ce travail
KARIM
ETVB · Introduction 1/150
INTRODUCTION
Génie Civil
Climatique
Système de Climatisation
ETVB · Présentation De Projet 2/150
Présentation de Projet
Table des sous chapitre 1/1
I- PRESENTATION DE PROJET :
Cette étude consiste à réaliser un projet de mise en œuvre de l’école nationale des impôts (annexe
d’Oran), Le bâtiment est constitue de cinq blocs (Fig-01)
BLOC 4
(Salle de sport)
BLOC 3
BLOC 1 BLOC 2
BLOC 5
(Salle de conférences)
Le terrain servant d’assiette au projet est d’une superficie de 4800 m² se situe à la ville d’ORAN. Il
est limité :
Au nord : route.
Au sud : route.
A l’ouest : ILot C.
A l’este : ILot A.
La présentation de notre méthodologie est conforme au cahier des charges est aux recommandation s
du maître de l’ouvrage et des exigences concernant notre formation pour la maîtrise de tous les
procédés d’étude et de conception des équipements techniques.
Concernant les murs extérieurs sont de plusieurs types : brique, béton, vitrage. Les murs intérieurs
sont en brique de 10 cm.
Notre construction n’a pas de vide sanitaire, elle est directement posée sur l’hérisson.
Le faux plafond qui existe dans tout le projet varie entre 0,8 m à 0,9 m
Notre projet se situe dans la zone climatique A, à une altitude de 52 m et une latitude de 35°NORD
Avec :
1. Hiver :
• Tmin = 2,4 °C
• Hr = 80 %
2. Eté :
• Tmax = 33,8 °C
• Hr = 60%
1. Hiver :
• T int = 21°C
• Hr = 50%
2. Eté :
• Tint = 24°C
• Hr = 50%
• T int = 27°C
• Hr = 50%
Pour ces conditions, on adopte un système de climatisation classique qui correspond aux exigences
du cahier de charge, ce système de climatisation est détaillé dans le schéma de principe suivant.
Dans ce schéma de principe, on voit bien les différents équipements à installer. Et pour satisfaire les
exigences du cahier de charge (la température intérieure et l’humidité relative intérieure hivernale
et estivale) on est amené à faire :
1. Un bilan hiver qui nous permet de dimensionner les équipements utilisés en hiver.
2. Un bilan été qui nous permettons de dimensionner les équipements utilisés en été.
3. Calcul hydraulique pour dimensionner la tuyauterie qui relie les différents équipements
utilisés et aussi pour dimensionner les pompes.
Chaudière
Groupe de production d’eau glacée (GPEG).
Ventilo-convecteur.
Centrale de traitement d’air (CTA).
Echangeur.
Collecteur.
Vanne à 03 voies.
Ballon tampon.
Vase d’expansion.
Pompes.
L’eau du réseau publique passe à travers l’adoucisseur, une fois qu’on alimente la chaudière avec
cette eau douce, on ferme le circuit de l’installation avec la vanne d’isolement.
Cette eau douce traverse la chaudière pour se chauffer à une température de 90 °C, après elle se
collecte dans un collecteur pour se distribuer aux différents équipements.
Du collecteur vers les batteries chaudes, des CTA via d’une tuyauterie hydraulique, l’eau sorte de la
batterie chaude avec une température de 70°C pour se collecter de nouveaux dans un notre
collecteur, et en fin elle revienne à la chaudière pour se réchauffer et atteindre la température
voulue (90°C) et le circuit recommence.
Concernant les deux colonnes montantes des ventilo-convecteurs, l’eau qui vienne toujours du
collecteur à une température de 90°C traverse un échangeur dont son rôle est de diminuer la
température d’alimentation des ventilo-convecteurs à 45°C, donc l’eau sorte de l’échangeur vers les
deux colonnes montantes avec une température de 45°C et elle revienne à l’échangeur à 37°C, et le
circuit recommence.
Dans cette installation on utilise des pompes pour vaincre les pertes de charge de la tuyauterie, on
utilise un vase d’expansion pour protéger l’installation en cas de surpression, on utilise des vannes à
03 vois pour le réglage des CTA, avec des vannes d’isolements, et des vannes de commutation entre
l’hiver et l’été.
L’eau qui vienne de l’adoucisseur travers le GPEG (groupe de production d’eau glacée) pour se
refroidir à une température de 7°C, cette eau froide se décharge dans un ballon tampon dont leur
rôle est de diminuer le fonctionnement de GPEG, c’est à dire de diminuer la consommation
énergétique.
L’eau sort de ballon tampon vers un collecteur et de collecteur vers les 03 CTA et les deux colonnes
montantes de la ventilo-convecteur.
En suite il ressort de la batterie froide des CTA et des ventilo-convecteurs à une température de
12°C au maximum, et elle se collecte de nouveau dans un collecteur, puis elle revienne au GPEG, et
le circuit recommence.
Dans cette installation , on utilise des pompes pour vaincre des pertes de charges , des vannes
d’isolement ,des vannes à 03 voie pour régler les CTA , des vanne de commutation entre l’été et
l’hiver, et on utilise aussi un vase d’expansion pour protéger l’installation en cas de surpression.
ENTRE SOL
Local S (m²) H (m) Local S (m²) H (m)
Sal de prie 106,81 2,5 Hal 76,6 2,5
buanderie 98,00 2,55 Ch 1 26,98 1,65
atelier
maintenance 85,46 2,55 Ch 2 28,68 1,65
infirmerie 25,73 2,55 Ch 3 25,85 1,65
réfectoire 300,12 2,65 Ch 4 16,15 1,65
Détergents 15,76 2,5 Ch 5 13,9 1,65
Article ménager 15,12 2,5 Circulation ch 14,78 1,65
Circulation
Four bure 18,62 2,5 service 91,17 1,65
Accueil salle sport 72,95 2,5 Local pompe 7,35 2,05
Livraison 81,67 4,55 Local technique 15,32 2,05
RDC 2 éme ETAGE
Local S (m²) H (m) Local S (m²) H (m)
Bibliothèque 1 189 2,3 Cl 2-6 98,18 2,95
Bibliothèque 2 103,55 2,3 Cl 2-5 87,46 2,95
Sal enseignent 55,85 2,95 Cl 2-4 93,13 2,95
cafetéria 64,17 4,15 Dégagement 257,53 2,95
sal de restaurant 457,62 3,9 Local technique 6,69 2,95
cuisine 1 11,45 2,95 Atelier péd1 59,50 2,95
Hall 1 135,67 3 Atelier péd2 51,41 2,95
Hall 2 51,81 3 Atelier péd3 48,64 2,95
Hall principal 321,33 3 services moyens 18,39 2,95
Cuisine 2 174,123 3,9 service internat 15,23 2,95
1ér ETAGE service économat 13,88 2,95
Local S (m²) H (m) secret 1 11,36 2,95
Cl 2-3 98,14 2,95 Chef dép1 19,18 2,95
Cl 2-2 86,88 2,95 Chef dép2 14,79 2,95
Cl 2-1 92,82 2,95 Secrétaire 2 10,55 2,95
Dégagement 257,53 2,95 service budget 18,77 2,95
service
Salle informatique 1 40,53 2,95 ordonnancement 26,98 2,95
Salle informatique1-1 39,31 2,95 secret 3 15,75 2,95
Salle informatique 2 30,82 2,95 Chef département 3 23,10 2,95
Laboratoire langue 48,66 2,95 carrier 22,13 2,95
Département Stage
pratique 13,07 2,95 service Recrutement 29,58 2,95
Chef département 15,43 2,95 sou direct 19,75 2,95
Secrétaire 1 13,74 2,95 secret 4 16,92 2,95
Bureau stage
pratique 16,97 2,95 sal archive 1 12,72 2,95
Chef département 2 17,47 2,95 sal archive 2 27,31 2,95
Secrétaire 2 11,60 2,95 Dépara personnel 18,60 2,95
Bureau formation 17,58 2,95 sou direction de l'ad 90,25 2,95
Secrétaire 3 18,06 2,95 Département budget 11,39 2,95
Département moyen
sou direct 16,96 2,95 général 22,45 2,95
bureau recherche 12,20 2,95 dégagement escalier 23,23 2,95
Bilan Hiver
Bilan Eté
Bilan Hiver
Premier Chapitre
Bilan Hiver
Table des sous chapitre 1/1
I- Bilan Thermique :
Pour tout projet d’installation de chauffage, il est indispensable de veiller à respecter l’équilibre du
bilan thermique du bâtiment. Le bilan thermique permet de déterminer les besoins réels en
chauffage. Il est établi ainsi :
5 % par les
15 % Ponts 15% par les portes
Par les murs Thermiques et fenêtres
15 % par le sol
Fig (I -1) : les déperditions thermiques
Des déperditions existent au niveau des parois (Fig I-1), par renouvellement d’air et par les pertes
de rendement de l’installation de chauffage.
Les apports gratuits sont dûs au rayonnement solaire et aux occupants du logement (Fig I-2)
Déperditions par Déperditions par
les parois Renouvellement d’air
Besoins réels
Energie
Consommée
D’après la (Fig I–1) on remarque que 45% des déperditions sont a travers les parois et les
toitures et pour voire l’importance de l’isolation on va faire une étude comparative entre la
construction ordinaire (mur avec 5 cm de lame d’air et plancher sans polystyrène) et la construction
avec isolation (mur avec 5 cm de polystyrène et plancher avec une couche de polystyrène de 5 cm).
III-1 Généralités :
Le calcul des déperditions par les parois fait intervenir la notion des coefficient K et k.
K est le coefficient de transmission surfacique et k est le coefficient de transmission linéique. Ils
s’expriment tous les deux en w/m² °c.
Le coefficient K d’une paroi est donné par la formule suivante :
1
K= [w /m²°C] for (I-2)
Rsup + Σ Rdes matériaux
Où
R sup est la résistance superficielle de la paroi,
Σ Rdes matériaux , la somme des résistances thermiques de tous les matériaux constituant la paroi.
Les valeurs de la résistance thermique superficielle (en m²°c/w) sont indiquées dans le tableau ci-
après.
Résistance thermique superficielle
Nature de Paroi en contact avec Paroi en contact avec un autre
la paroi l’extérieur, un passage ou local non chauffé, un comble, un
local ouvert vide sanitaire
Mur 0,17 0,22
Plancher 0,22 0,34
Toiture 0,14 0,18
Tableau I -1 : résistance thermiques superficielles
On distingue trois types de parois pour les quelles le calcul des déperditions est diffèrent :
On entend par paroi extérieure un mur,un plancher, une terrasse, les portes et fenêtres en
contact direct avec l’extérieur. Les déperditions à travers une paroi en contact avec l’extérieur, pour
un degré d’écart de température, sont données par la formule suivante :
Cette formule s’applique également aux parois en contact avec des locaux chauffés à une
température différente de la pièce concernée par le calcul, par exemple, pour un couloir ou un
escalier chauffé dans un immeuble,(si elle est connue). Sinon, le local est considéré comme non
chauffé, alors on adoptera la formule adaptée à cette situation (voir plus bas).
Pour les parois opaques (murs), la surface à prendre en compte est la surface totale diminuée de
la surface des ouvertures (portes, fenêtres). La Fig I-3 présente la façon de prendre les mesures.
Pour chaque mur en contact avec l’extérieur (ou avec un local chauffé à une température
intérieure), On applique la formule :
DS = K × S util [w/°C] for (I-5)
Où
DS représente les déperditions surfaciques (w/°C),
K, le coefficient de transmission surfaciques (w/m² °C),
S util, la surface totale du mur moins la surface des portes et des fenêtres (m²),
ti , la température intérieur (21 °C),
te , la température extérieur (3.8 °C).
Paroi
Vitrée
Pour les parois vitrées, les déperditions surfaciques sont données par la même formule que pour
les parois opaques. Seul le coefficient K utilisé est différent. On utilise le coefficient KV (coefficient
des parois vitrées).la surface de la fenêtre (S) est la surface totale (vitrage + dormant). Les valeurs
de KV se trouvent dans le DTR (C 3-2) page 25.
DS = KV × S util [w/°C] for (I-6)
Pour les portes, le coefficient à utiliser se trouve dans le DTR (C 3-2) page 25, Le calcul est
identique à celui des parois opaques. La surface de la porte est la surface totale (ouvrant +
dormant).
Les déperditions linéiques prennent en compte les déperditions dues aux ponts thermiques.
Les valeurs du coefficient k à utiliser sont indiquées dans le DTR (C 3-2) page 29.
Ces valeurs de k sont données pour une paroi mais les déperditions s’effectuent au niveau des
deux parois : mur et plancher ou mur extérieur et refend, par exemple. Il y a donc lieu de multiplier
les déperditions linéiques par deux. Si les ponts thermiques sont inexistants, les déperditions
linéiques sont nulles.
DL = k × L × (ti – te) [w/°C] for (I-7)
Où
DL représente les déperditions linéiques (w/°C),
K, le coefficient de transmission linéique (w/m²°C),
L, la longueur de liaison (m),
ti, la température intérieure (°C),
te, la température extérieure (°C).
Les déperditions thermiques d’un plancher sur terre-plein sont des déperditions linéiques. Elles
font intervenir le coefficient k dont les valeurs les plus courantes sont en fonction de la différence
de niveau notée Z les valeurs sont indiquées dans le Tableau 5.1 page 40 de DTR.
La formule permettant d’évaluer ces déperditions est la même que pour les déperditions linéiques.
Ce type de paroi prend en compte toute paroi (mur, cloison, plancher, plafond) en contact avec
un espace non chauffé (garage, buanderie, sous –sol, vide sanitaire, comble). On considère que, ces
espaces bien que non chauffés, présentent une température minimale supérieure à la température
extérieure de base.
Pour le calcul des déperditions au niveau de ce type de paroi, on fait intervenir le coefficient Tau.
Ce coefficient Tau a pour expression :
(t i −t n )
Tau = for (I-8)
(t −t )
i e
[SU]
Où
ti est la température intérieure (°C),
te, la température extérieure de base (°C),
tn, la température minimale de l’espace non chauffé (°C).
Si on ne pourra pas évaluer la température tn, on peut se référer aux valeurs de Tau indiquées
dans les Tableaux 6.4 de DTR page 50 pour notre cas on a prés Tau = 0,3 .
La formule de calcul des déperditions pour les parois en contact avec un local non chauffé, est la
suivante :
Dlnc = Tau [Σ (K × S) + Σ (k × L)] [w/°C] for (I-9)
Les déperditions de base pour le calcul de la puissance de chauffage à prévoir sont obtenues par
la formule ci-après :
On va calculer comme pour les parois extérieures les déperditions linéiques et surfaciques de
chaque paroi ; puis on les multiplie par l’écart de température (ti – te).
Dans le cas des parois en contact avec l’extérieur, le coefficient Tau n’est pas pris en compte, car
il est égal à 1. Les formules de calcul de ces deux types de parois sont donc identiques.
La situation géographique de bâtiment est prise en compte, pour déterminer la zone climatique
ou elle se situe, et pour connaître la température de base minimale à laquelle elle est exposée. Cette
situation est la première étape de l’étude. Notre projet se trouve dans la zone climatique A qui
comprend le rivage de la mer et parfois le versant Nord des chaînes côtières, latitude et de 35° nord
et altitude de 52 m.
T = 21 °C.
Hr = 50 %
V- Exemple De Calcul :
On a pris comme exemple de calcul, un bloc de trois locaux qui concerne le 3éme étage.
A TT ENTE
DIRECTEUR
SA LLE DE R EUNION
V-1 Total Des Déperditions De Base Par Les Parois De Notre Exemple De calcul :
Pour faciliter la tâche, il est utile de répartir nos calculs sur un tableau ou on indiquera toutes les
valeurs relevées. Dans ce tableau, on doit répertorier toutes les parois opaques de notre exemple de
calcul.
Tableau I-2 : Tableau des déperditions salle de réunion
Tableau des déperditions par les parois
Salle de Parois opaques
réunion
L×h S S K ou
Paroi ou L Brute Nette K ou K×S Tau ti - te Dé
Kv
ME 30 21.5*3.55 75.968 57.576 1.150 66.213 1 18.6 1231.559
MN 12.19*0.8 9.752 9.752 3.704 36.122 1 18.6 671.858
PL haut - 63.1 63.100 0.560 35.336 1 18.6 657.250
MI 10 4.95*3.54 17.523 11.427 1.879 21.471 0.3 5 32.20
MB 4.35*3.54 15.399 12.199 1.516 18.500 0.3 5 27.75
MV 1.6*2 3.2 3.2 3.28 10.496 0.3 5 15.744
Fenêtres et portes
F1 5.40*1.6 8.64 8.64 3.28 28.34 1 18.6 527.124
P1 1.60*2.4 3.84 3.840 2.4 9.216 0.3 5 13.824
P2 0.94*2.4 2.256 2.256 2.4 5.412 0.3 5 8.118
Pertes linéiques
ME/ME 17.7 - - 0.064 1.133 1 18.6 21.070
Plan/M 21.4 - - 0.16 3.424 1 18.6 63.068
To/ME 21.4 - - 0.14 2.996 1 18.6 55.720
To/MCE 4.34 - - 0.14 0.607 0.3 5 1.517
Niv/Lint 48.76 - - 0.16 7.800 1 18.6 145.08
Mur/Por 5.74 - - 0.19 1.100 0.3 5 1.65
ME/men
Tableaux 8.8 - - 0.16 1.408 1 18.6 26.200
Linteaux 5.6 - - 0.19 1.064 1 18.6 19.800
MCD/Men
Tableaux 4.6 - - 0.16 0.736 0.3 5 1.04
Linteaux 1.6 - - 0.19 0.304 0.3 5 0.456
DP (total des déperditions de base par les parois (w/°C) 3521.028
Tableau I-3: Tableau des déperditions Direction
Tableau des déperditions par les parois
Direction Parois opaques
L×h S S K ou
Paroi ou L Brute Nette K ou K×S Tau ti - te Dé
Kv
ME 30 7.27*2.95 21.446 12.967 1.150 14.912 1 18.6 277.36
MV 2.1*2.95 6.195 6.195 3.280 20.312 1 18.6 377.803
PL haut - 35.70 35.70 0.560 20.000 1 18.6 372.000
MI 10 2.7*2.95 7.965 1.77 1.879 3.32 0.3 5 4.98
MB 4.1*2.95 12.095 12.095 1.516 18.336 0.3 5 27.504
MV 1.6*2.95 4.72 4.72 3.280 15.48 0.3 5 23.22
Fenêtres et portes
F1 5.3*1.6 8.48 8.48 3.28 27.82 1 18.6 517.452
PV 1.0*2.4 3.84 3.840 2.4 9.216 0.3 5 13.824
Pertes linéiques
ME/ME 5.6 - - 0.064 0.358 1 18.6 6.659
Plan/M 7.3 - - 0.16 1.168 1 18.6 21.725
To/ME 7.3 - - 0.14 1.022 1 18.6 19.009
To/MCE 4.1 - - 0.14 0.574 0.3 5 0.861
ME/men
Tableaux 8.5 - - 0.16 1.36 1 18.6 25.296
Linteaux 5.3 - - 0.19 1.007 1 18.6 18.73
MCD/Men
Tableaux 6.15 - - 0.16 0.984 0.3 5 1.476
Linteaux 1.6 - - 0.19 0.304 0.3 5 0.456
DP (total des déperditions de base par les parois (w/°C) 1708.382
Tableau I-4 : Tableau des déperditions Directeur
Tableau des déperditions par les parois
Directeur Parois opaques
L×h S S K ou
Paroi ou L Brute Nette K ou K×S Tau ti - te Dé
Kv
ME 30 11.7*2.95 34.515 21.108 1.150 21.274 1 18.6 451.500
MV 3.65*2.95 10.768 10.768 3.280 35.32 1 18.6 656.934
PL haut - 20.25 20.25 0.560 11.34 1 18.6 118.117
Fenêtres et portes
F1 1.65*1.6 2.64 2.64 3.28 8.659 1 18.6 161.06
Pertes linéiques
ME/ME 14.75 - - 0.064 0.944 1 18.6 17.560
Plan/M 11.7 - - 0.16 1.872 1 18.6 34.82
To/ME 11.7 - - 0.14 1.638 1 18.6 30.467
ME/men
Tableaux 4.85 - - 0.16 0.776 1 18.6 14.433
Linteaux 1.65 - - 0.19 0.313 1 18.6 5.822
DP (total des déperditions de base par les parois (w/°C) 1490.713
Pour déterminer la majoration des déperditions linéiques par transmission, on prend un volume
thermique (Salle de réunion, la direction, salle de directeur) après, on détermine les déperditions
surfaciques et linéiques de ce dernier tel que :
Commentaire :
On remarque que les déperditions linéiques ne dépassent pas 10 % des déperditions surfaciques,
donc pour le reste de calcul, chaque volume thermique doit être majoré de 10 %.
Dans la rubrique précédente nous avons calculé DP, c'est-à-dire les déperditions de base par les
parois. Nous allons maintenant nous intéresser à DR, les déperditions de base par renouvellement
d’air.
Pour calculer ces déperditions, il faut connaître la perméabilité à l’air du logement.
Le calcul se déroulera donc en deux étapes pour déterminer :
Où
0,34, Chaleur volumique de l’air en (wh/m3°C),
F0, Coefficient de perméabilité des ouvrants,
L, Longueur des ouvrants des fenêtres en (m),
Les déperditions de base par renouvellement d’air sont données par la formule :
Pour déterminer les déperditions totales pour notre exemple de calcul on doit appliquer la formule
suivante :
Dans cette partie on va faire une étude comparative entre les déperditions de bâtiment sans
isolation et avec une isolation, on a choisi comme isolant le polystyrène.
λC =1.4
Lame
Brique Polystyrène Brique Ciment Plâtre Brique d’air Brique Ciment
Plâtre
5 cm 5 cm
RCC = 0.14
Tableau I-9 : Tableau de comparaison entre les déperditions avec et sans isolation
Déperdition Surfacique
Local Avec Polystyrène Avec Lame D’air
Salle de réunion 2780.158 3351.157
Direction 1386.83 1676.619
Directeur 1264.582 1387.628
Total 5431.57 6415.404
On remarque bien d’après le tableau 12, que les déperditions à travers les parois et la toiture avec
isolation sont inférieures par rapport aux déperditions à travers la toiture non isolée.
De la même manière et avec le même isolant, on recalcule de nouveau les déperditions totales de
chaque étage et de l’ensemble de bâtiment.
Les résultats des calculs ont donnés deux graphes :
Gph I-1 Diagramme Comparative des déperditions par étage Gph I-2 Histogramme Comparative des déperditions totales
30000
25000 150000 Diminution de 20%
20000
avec isolation 100000
15000
sans isolation
10000
50000 sans isolation
5000
0 avec isolation
conférence
0
2 éme étage
3éme étage
4éme étage
Entre sol
1er étage
Sou sol
Sale de
RDC
Commentaire :
Graphe 1 : on remarque bien que les déperditions calorifiques avec isolation sont inférieures aux
déperditions, sans isolation et cette différence est due à la présence de polystyrène, mais aussi on
remarque que cette différence est plus importante d’un étage à un autre.
On remarque aussi une légère différence (cas avec isolation et cas sans isolation pour les différent
niveaux) cette légère différence est dûe à la quantité de surface de vitrage et le nombre des
ouvrants qui est différent d’un étage a un autre et qui influe sur la quantité de polystyrène mise en
fonction dans l’ensemble des mur, de chaque étage.
Graphe 2 : dans ce diagramme on voit clairement le but d’isoler la structure. C’est avec l’isolation
qu’on a gagné 20% de déperdition totale et cette diminution va influer sur le dimensionnement de
la chaudière et la consommation énergétique de la construction.
VII- Conclusion :
Après avoir fait tous ces calculs, la somme des déperditions étant de :
Le dimensionnement des équipements a été fait pour des parois non isolées (cahier des charges)
Cette étude comparative montre bien les avantages de l’isolation sur le dimensionnement et le coût
de fonctionnement.
Bilan Eté
Table des sous chapitre 1/1
I- Introduction :_____________________________________________________________21
II- Gains a Travers Les Parois Opaques : _______________________________________21
III- Apport a Travers Les Parois Vitrées : ________________________________________22
III-1 Gains Par Transmission : _______________________________________________22
III-2 Gains Par Ensoleillement a Travers Les Vitrages : ___________________________22
III-2-1 Rayonnement Total Maximal Réel It et le Rayonnement Diffus Maximal Réel Id : 22
III-2-2 Détermination Du Coefficient D’amortissement : _________________________23
IV- Apports a Travers Les Parois En Contact Avec Le Sol : __________________________23
V- Apport De Chaleur Par Introduction D’air Extérieur : _____________________________24
V- 1 Apport De Chaleur Par Renouvellement D’air : ______________________________24
V-2 Apports Dûs Aux Infiltrations D’air : _______________________________________24
VI- Apport De Chaleur Dus Aux Occupants : _____________________________________24
VII- Apports Dus Aux Machines Electriques : _____________________________________25
VIII- Apports Dus a L’éclairage : _______________________________________________25
IX- Apports a Travers Les Parois Intérieures : ____________________________________26
X-Apports a Travers Les Parois En Contact Avec Des Locaux Non Conditionnés : ________26
XI- Exemple De Calcul : _____________________________________________________26
XI-1 Détermination Coefficient C∆te :_________________________________________27
XI-2 Détermination de ∆te : _________________________________________________27
XI-3 Détermination Des Apports Calorifiques : __________________________________27
XI-4 Gains à travers les parois vitrées dûs au gradient de température : ______________28
XI-5 Gains à travers les parois opaques intérieurs : ______________________________28
XI-6 Gains Dûs à L’environnement Intérieur : ___________________________________28
XI- 7 Gains Par Infiltration D’air : _____________________________________________28
XI-8 Gains Par Renouvellement D’air : ________________________________________28
XII- Conclusion : ___________________________________________________________29
I- Introduction :
Dans le cadre de notre projet, nous avons pris en compte, pour le dimensionnement des
équipements de climatisations les gains suivants :
Les apports des parois extérieures sont calculés par la formule suivante :
Où :
APO représente les apports a travers les parois opaques.
1,2 : est un coefficient de majoration qui tient compte des apports à travers les ponts
thermiques (apports linéiques).
Kété : est le coefficient de transmission de la paroi considérée pour l’été.
Sint : représente la surface intérieure de la paroi considérée.
Δte (t) : est la différence équivalente de température à l’heure (t).
Calcul De Δte(t) :
α
× [Δt em (t ) − Δt es (t )] ×
Itb
Δt e = Δt es (t ) + CΔt e + [w/°C] for (II-2)
0,9 Itb(40)
Où:
Δte(t) est la différence de température équivalente à l’heure (t), en considérant que la paroi
est à l’ombre, ses valeurs sont données dans les tableaux 3.2 et3.3 du DTR (C3-4) page 28
et29 pour les paroi verticales ou horizontales.
CΔte est un facteur de correction dont les valeurs sont données dans le tableau 3.4 du DTR
(C3-4) page 29, en fonction de l’écart diurne (Eb) et de la différence maximale de
température sèche d’air entre l’intérieure et l’extérieure (ΔTS max) pour le mois considéré.
α est un facteur d’absorption de la paroi extérieure ; il est donné en fonction de la couleur de
la paroi, si elle est peinte, sinon en fonction des matériaux constituants cette paroi dans le
tableau 3.5 du DTR (C3-4) page 30.
Δtem(t) est la différence de température équivalente à l’heure (t) en fonction de l’orientation
de la paroi considérée voir tableaux 3.2 et 3.3 du DTR (C3-4) page 28 et 29.
It,b représente le rayonnement total de base pour le mois, la latitude et l’orientation
considérée tableaux 2.4 DTR (C3-4) page 21.
It,b(40) : est le rayonnement total de base pour le mois,la latitude de 40° Nord et pour
l’orientation considérée tableaux 2.4 DTR (C3-4) page 21.
Les apports à travers les parois vitrées externes notés AV(t), sont donnés par la formule suivante :
Les gains par transmission à travers les parois vitrées extérieures sont donnés par :
Les apports dus au rayonnement solaire à travers les parois vitrées extérieures sont donnés par la
formule suivante :
AVE (t) = [SVens×It + (SV – SVens) ×Id] × Fs ×NPVI(t) [w] for (II-5)
Où :
SV est la surface totale vitrée en [m²].
SVens est la surface vitrée ensoleillée en [m²].
SV − SVens représente la surface vitrée à l’ombre en [m²].
It est le rayonnement total maximal réel en [w/m²].
Id est le rayonnement diffus maximal réel en [w/m²].
NPVI(t) sans dimensions, représente le coefficient d’amortissement .
FS est le facteur solaire du vitrage.
Le rayonnement total maximal réel It et le rayonnement diffus maximal Id sont donnés par les
formules suivantes :
Ccadre coefficient de correction est égale à 1,17 pour un cadre métallique et 1 pour un
cadre en bois.
Climp coefficient de correction qui tient compte de la nature de l’atmosphère
Climp = 1 pour une atmosphère limpide ; on pourra adopter une atmosphère limpide
en zone rurale, hors agglomération.
Climp = 0,92 pour une atmosphère peu limpide ; (on pourra adopter une atmosphère
peu limpide pour les zones suburbaines, les zones résidentielles).
Climp = 0,87 pour une atmosphère obscure ; (on pourra adopter une atmosphère
obscure pour le centre des grandes villes, les zones industrielles).
Calt coefficient de correction qui tient compte de l’altitude du site, est obtenu en
augmentant sa valeur de 0,7 % par 300m en prenant Calt =1 pour l’altitude égale à 0 m.
Cros coefficient de correction égale à 0,99 tableau 2.5 DTR (C3-4) page 22.
ΣM ext + 1 Σ msep + Σ mi
M = 2 [kg / m²] for (II-8)
S pl
Où :
Mext la masse des parois qui sépare la zone thermique considérée et l’environnement
extérieur (murs extérieurs, toiture, plancher en contact avec le sol ) en [kg].
msep masse des parois séparant la zone thermique considérée et les autres zones thermiques
(cloisons, planchers intermédiaires, plafonds) en [kg].
mi désigne toute masse fixe (cloisons, murets, cage d’escalier, etc.) se trouvant au sein de la
zone thermique considérée.
Spl surface de plancher pour la zone thermique considérée, en [m²].
Les apports par transmission à travers les parois en contact avec le sol sont donnés par la formule
suivante :
APO = Kété x Sapp x (TS m – TSbi) [w] for (II-9)
Où :
Kété est le coefficient de transmission de la paroi en contact avec le sol, il est calculé en
considérant la paroi en contact avec l’extérieur.
Sapp est la surface d’apport, dans le cas d’un plancher en contact avec le sol, les apports n’ont
lieu que sur une bande de 5m de largeur comptés à partir du périmètre intérieur, mais au-
delà de cette bande les apports sont considérés comme nuls.
TSm est la température moyenne sèche de l’air extérieur ; elle est donnée en fonction de la
zone climatique et de l’altitude dans le tableau 2.1 (conditions extérieures de base).
Ces apports sont dûs à l’introduction d’air neuf, ils sont donnés par les formules :
ARENL (t) = 0.797 x qvan x Max [(HSb,e − HSb,i) ; 0] [w] for (II-11)
Où :
0,32 représente le produit de la chaleur spécifique de l’air [1004 j/kg°C] par la masse
volumique de l’air [1,15 kg/m3] et par un facteur de conversion [1/3600], [ j/m3 °c].
0,797 en [jkg air / gvap m3air], il représente le produit de la masse volumique moyenne de l’air
[1,15 kg/m3] par la chaleure de vaporisation de l’eau [2498 j/g] et par un facteur de
conversion [1/3600].
HSb,e et HSb,i représentent l’humidité spécifique de base de l’air extérieur et intérieur , ils
sont données par les tableaux 2.1 et 2.6 du DTR (C3-4), page 19 et 24.
qvan est le débit d’air neuf en [m3 /h].
TSe représente la température sèche de l’air extérieur.
TSb,i représente la température sèche de l’air intérieur.
Il représente les apports dûs aux infiltrations d’air à travers les portes et les fenêtres donnés par la
formule suivante :
AINFS (t) = 0,32 x qvinf x ( TSe(t) − TSb,i ) [w] for (II-12)
Pour entretenir la vie, le corps humain transforme de l’énergie, Alors que la température du corps
est maintenue constante à 37 ± 0,8°C, celle de la peau est de l’ordre de 32 à 33°C (mais au niveau
des pieds,elle peut descendre à 15 – 20°C si la température ambiante est faible,c'est-à-dire inférieure
à 15°C).
Principalement par convection, rayonnement, et évaporation, et dans une moindre mesure par
conduction, respiration et sécrétion (Fig II-2) La perte de chaleur est de l’ordre 120 w dans des
conditions de température de 18 – 30°C, pour un individu au repos, en air calme, et peut aller
jusqu’à 500 w dans des conditions d’activités physiques soutenues.
Wn est la puissance nominale du tube fluorescent (cas de notre projet) ou autre type de
luminaire.
Cme est un coefficient de majoration qui est égal à :
X- Apports a Travers Les Parois En Contact Avec Des Locaux Non Conditionnés :
Les apports de chaleur à une instante t, APO (t), traversant une paroi opaque en contact avec un
local non conditionné sont donnés par la formule suivante :
APO (t) = Kété × Sint × Δtinc (t) [w] for (II-16)
Où :
K été en (w/m²°c), est le coefficient de transmission en partie courante de la paroi
considérée.
S int en (m²), est la surface intérieure de la paroi considérée.
Δt inc en (°c), représente l’écart de température entre l’espace non conditionné et le local
considéré. Cet écart est donné par la formule suivante :
Δtinc (t) = [(Tse (t) - Cinc) – Ts b,I] [w] for (II-17)
Où :
TSe(t) : en (°c) est la température extérieure sèche à l’instant considéré en °C.
TSe = TSb, e - ( CTs x Eb)
C lnc est un coefficient correcteur en °C.
TSb,I représente la température intérieure du local conditionné en °C
Soit la salle d’informatique type 1 de 1ér étage 6m×6.6m×2.9m (voire Fig II-4) dont la
façade orientée est dans le mur extérieur est de 30 cm, le sol est une dalle en corps creux de 16 cm
recouvert d’un carlage de 2cm.
L’ouverture dispose d’un encadrement en aluminium de 1 ,6 m×2,03 m.
La durée de fonctionnement de l’installation est 12 h.
Le but d’exemple est de déterminer les apports à travers le mur (orientée Est) au mois de juillet
à 18h en zone climatique A pour des conditions intérieure fixées (Tint=24°C/Hr=50%).
Le coefficient d’absorption du mur α = 0.7 (face extérieure de couleur claire).
Tsbe =33,8.
Eb = 9 C° (tableau 2.1 DTR (C3-4))
Le tableau 3.4 du DTR (C3-4) donne C∆te = 0,277 après interpolation.
On a :
It.b = 516
It.b (40) = 516 (tableau 2.4 P 21 DTR (C3-4)).
Après l’interpolation du tableau 2.4 DTR C3-4 on obtient le tableau suivant pour le mois de juillet :
Pour une masse surfacique de 354 kg/m², le tableau du DTR (C3-4) donne
Facteur solaire est de 0,6 (tableau 4.9 du DTR (C3-4) glace réfléchissante extérieur claire.
Coefficient pour l’encadrement 1,17.
Ccadre = 1.
Npvi = 0,34 (tableau 4.5 DTR (C3-4)).
La même démarche que APOI on trouve les apports à travers les parois vitrées intérieurs
AINFs= 232.82 W
D’après for (II-13):
AINFl = 0,797×(14,5 - 9) × [3,2×(14,5 +8,7)]
AINFl = 130.66W
XI-8 Gains Par Renouvellement D’air :
XII- Conclusion :
Après avoir fait tout les calculs, les apports calorifique, sont de :
At = 600,08 KW
Equipement Principal
Equipement Complémentaire
Equipement Principal
Premier Chapitre
ETVB ·Equipement principal 30/150
Equipement Principal
Table des sous chapitre 1/2
Equipement Principal
Table des sous chapitre 2/2
Un système de climatisation regroupe l’ensemble des appareils dont la fonction essentielle est
de préparer l’air à distribuer dans les locaux en fonction des charges de ces locaux.
Par conséquent, pour déterminer et choisir ces appareils, on est d’abord amené à calculer un certain
nombre de caractéristiques fondamentales qui nous permettront :
De suivre les évolutions de l’air sur le diagramme de l’air humide au cours du traitement
qu’il subira en central et dans les équipements terminaux.
De connaître la puissance et le débit des appareils à installer.
Ces caractéristiques sont fondamentales, d’une part parce qu’elles sont spécifiques de chaque
procédé de climatisation, d’autre part parce que leur détermination constitue une base nécessaire
aux calculs des installations.
1- Le système à installer :
On a choisi pour les salles de classe un système tout eau à deux tubes où on utilise l’eau chaude
pendant l’hiver et l’eau froide pendant l’été.
2- Durée de fonctionnement :
Notre projet est un établissement scolaire où il n’y a pas d’internat donc la durée de fonctionnement
est de 6h à 18h00.
3- Le faux plafond :
Le faux plafond existe dans tous nos locaux, Il varie entre 0.8 m à0.9 m et ce faux plafond sert à
poser les CTA et les climatiseur plafonniers.
Pour :
Salle de restauration
Réfectoire
Bibliothèque
Salle de conférence
La climatisation de ces pièces est assurée par des centrales de traitement d’air CTA
Concernant la salle de sport on a installé un aérotherme qui marche en hiver, la salle de sport
n’est pas climatisée en été.
Dans notre projet on a opté le système tout eau, dans ce système de climatisation le fluide
primaire utilisé au niveau des locaux est l’eau cette eau peut être chaude ou froide suivant les besoin
thermique, elle est préparée en centrale (chaudière pour l’eau chaude, groupe de production d’eau
glacée pour l’eau froide). Le principal appareil utilisé dans chaque local à climatiser est le ventilo-
convecteur.
Fig(I-1) cassette
Des ventilo- convecteur en allége pour les locaux qui ont des parois en contact avec
l’extérieur.
Les types et les puissances des ventilo-convecteurs sont mentionnés dans les tableaux suivants :
MODELES CARROSSES :
1 ér étage
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
cl2-3 640,0 8907,46 R3 432 2 4490 0,215 76
cl2-2 850,0 10519,08 R4 434 2 5310 0,254 106
cl2-1 640,0 8769,46 R3 432 2 4490 0,215 76
sal inf1 1120,0 12732,35 R2 434 2 6650 0,318 140
sal inf2 1120,0 12575,97 R2 434 2 6650 0,318 140
sal inf3 985,0 11826,57 R3 434 2 5990 0,287 140
labo 1045,0 12351,47 R3 435 2 6270 0,300 123
2 éme étage
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
cl2-6 640,00 8906,97 R3 432 2 4490 0,215 76
cl2-5 940,00 10959,06 R4 435 2 5740 0,275 106
cl2-4 640,00 8864,70 R3 432 2 4490 0,215 76
Ath péd1 740,00 10035,66 R2 432 2 5150 0,246 95
Ath péd2 850,00 10568,12 R4 434 2 5310 0,254 106
Ath péd3 850,00 10424,82 R4 434 2 5310 0,254 106
3 éme étage
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
classe1 715,00 9016,09 R5 434 2 4580 0,219 96
classe3 675,00 7824,65 R2 430 2 4200 0,201 92
classe3 675,00 7824,57 R2 430 2 4200 0,201 92
classe1 640,00 8972,46 R3 432 2 4490 0,215 76
classe3 675,00 8392,91 R2 430 2 4420 0,211 92
classe3 675,00 7925,78 R2 430 2 4420 0,211 92
classe3 675,00 8151,84 R2 430 2 4420 0,211 92
4 éme étage
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
classe1 850 10386,42 R4 434 2 5310 0,245 106
classe3 690 8456,21 R6 435 2 4410 0,211 85
classe3 690 8423,54 R6 435 2 4410 0,211 85
classe3 690 8439,67 R6 435 2 4410 0,211 85
MODELES CASSETTES :
ENTRE SOL
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
sal prière 1690 11957,11 R1 123 1 12800,00 0,612 184
RDC
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
Cuisine 1690 28812,13 R1 123 2 12800,00 0,612 185
550 R3 62 1 3640 0,174 70
sal ensieg 1045,00 12389,47 R3 435 2 6270 0,300 123
cafétéria 940,00 11326,00 R4 435 2 5740 0,275 106
1 ér étage
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
chef dépa1 740 2745,32 R1 61 1 2820 0,135 87
secret1 500 1872,23 R3 61 1 2130 0,102 54
bur stag 550 3256,11 R3 62 1 3640 0,174 56
bur chef2 550 3545,18 R3 62 1 3640 0,174 56
secret2 670 3789,61 R2 62 1 4140 0,198 70
bur form 600 2302,39 R2 61 1 2440 0,117 69
secret3 600 2367,32 R2 61 1 2440 0,117 69
sou direct 370 2949,94 R5 63 1 3020 0,144 62
chef dép3 740 2726,36 R1 61 1 2820 0,135 87
secret4 740 2775,71 R1 61 1 2820 0,135 87
bur étud 740 2592,18 R1 61 1 2820 0,135 87
chef dép4 600 2392,83 R2 61 1 2440 0,117 69
secret5 500 1977,49 R3 61 1 2130 0,102 54
bur scol 330 2550,77 R5 62 1 2563 0,123 31
secret6 370 2830,80 R5 63 1 3020 0,144 32
secret7 740 2802,73 R1 61 1 2820 0,135 87
chef dép5 330 2478,84 R5 62 1 2563 0,123 31
sou direct 600 2342,82 R2 61 1 2440 0,117 69
2 éme étage
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
ser moy 640 4881,32 R5 122 1 5070 0,243 61
ser int 740 2762,76 R1 61 1 2820 0,135 87
ser écon 330 2472,47 R5 62 1 2563 0,123 31
secret 740 2266,25 R1 61 2 2820 0,135 87
chef dép1 430 2943,64 R4 62 1 3100 0,148 40
chef dép2 740 2790,89 R1 61 1 2820 0,135 87
secret 600 2153,21 R2 61 1 2440 0,117 69
ser budg 740 2586,32 R1 61 1 2820 0,135 87
ser ord 550 3567,66 R3 62 1 3640 0,174 56
secret 590 4561,80 R3 63 1 4660 0,223 59
chef dép3 640 4978,08 R5 122 1 5070 0,243 61
carrier 1075 6779,33 R3 122 1 7280 0,348 111
ser rec 1075 6443,53 R3 122 1 7280 0,348 111
sous direct 860 4710,65 R1 62 1 4790 0,229 89
secret 430 3009,61 R4 62 1 3100 0,148 40
3 éme étage
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
Office 670 4056,49 R2 62 1 4140 0,198 70
directeur 1640 6945,42 R1 122 1 7280 0,348 179
direction 1140 8801,88 R3 123 1 9280 0,444 118
S réunion 1320 15180,16 R2 122 2 8260 0,395 140
4 éme étage
Puissance
local Q d'air frigo Repère Type ventilo N Puissance T Q d'eau Puissance
m³/h (w) l/s (w)
Salle
séminaire 1690 23513,93 R1 123 2 12800 0,612 123
C A L O R IF U G E A G E E N A R M A F L E X
C A SSE TTE
Fa ux
P la f o n d
Ces centrales de toiture sont des systèmes de production décentralisés, qui veut dire production
autonome par une batterie réversible à détente directe fonctionnant avec un fluide frigorigène.
Ces fonctions sont :
L’autre pour les salles de restaurations et bibliothèque type non autonome (production d’eau chaude
ou froide centralisée), cette centrale de traitement d’air sera abritée dans un local technique.
Ces fonctions sont :
SH SH
SHF = = (carrier 1-113) For (II-1)
SH + LH TH
Avec:
La température de soufflage Ts
L’enthalpie de l’air soufflé (la quantité d’énergie par 1 kg d’air) : hs
L’humidité spécifique de l’air soufflé : Xs
Régime été
1. Calcule de SHF:
On trace une droite qu’elle passe par le point (I) de diagramme et la valeur
correspondante au SHF calculé 0,81.
La droite SHF du local considéré sera parallèle à la droite précédente et passera par les
conditions de base (Ti=27°c, Hri=50%).
Le point de soufflage est l’intersection de la droite SHF du local et la droite verticale qui passe par
le point de température (Tsou= 17°c).
Sachant que ∆Tsou =10°C (DTR P76 entre 8-12 lorsque le soufflage est loin des occupants)
1- On calcule le SHF :
2- écart de soufflage (pour un soufflage plafonnier, on prend l’écart de 10°C)
3- détermination les caractéristiques de point de soufflage.
1. Calcul de SHF:
Conditions extérieures
Tse = 33,8°C Hre = 60%.
Tsi = 27°C (DTR C3-4 P 24) Hri = 50%.
Qs − Qrs
SHF = For (II-2)
QT − (Qrs + QrL )
Qs = 30704,27 w.
QL = 14830,77 w.
Q T = 45535 w
Qrs = 8808,45 w . Q T = 3917Kcal/h
QrL = 9678,77 w .
Où :
QT = apport calorifique total.
QS = apport calorifique sensible.
QL = apport calorifique latent.
Qrs = apport calorifique de renouvellement d’air sensible.
QrL = apport calorifique de renouvellement d’air latent.
21896
SHF = = 0,81
45535 − (8808.45 + 9678.77 )
TSou = 17 °C.
hS = 10,3 kcal/kg = 43 kJ/kg.
XS = 10,2 g/kg.
TI = 27 °C.
hI = 13,3 kcal/kg
XI = 11,2 g/kg.
39170
ma sou = = 13056,67 kg/h
(13.3 − 10.3)
4. Le Débit Volumique De Soufflage :
TSM =
(5026 × 27 + 5550 × 33,8) = 30,50 °C
(5026 + 5550 )
TM = 30,50 °C,
hM = 16.2 kcal/h = 69 kJ/kg,
XM = 15, 5 g/kg.
X (g/kg)
E
1 - FB
α
Sbf S
FB
T °C Tsbf Ts
(X − XR) (X − X sbf )
=
bf m
For (II-10)
FB 1 − FB
FB ( Xm − Xsbf )
XR = XSbf - [g/kgas] For (II-11)
1 − FB
XSbf = XS = 10,2 kcal/h
FB = 0,2 D’après le DTR
Conditions extérieures :
TE = 2.4 °C HrE = 80 %
TI = 21°C HrI = 50 %
Q
hsou = hI + [kcal /kgas] For (II-15)
ma sou
18439,64
hsou = 0,9 + = 11,11 kcal/kg
13056,67
Q
Tsou = TSI - [C°] For (II-16)
0,29 Dsou
18439,64
Tsou = 21 - = 27 °C
0,29 × 10575,90
Tsou = 27 °C,
h sou = 11,11 kcal/kg,
X sou = 7,4 g/kgas.
Da sou × TI + Dan × TE
TM = [C°] For (II-17)
Dsou + Dan
Où
TM : température du mélange.
Dasou : débit d’air soufflé.
TI : température intérieure.
TE : température extérieure.
Dan : débit d’air neuf.
3. L’efficacité de l’humidificateur :
X sou − X m
E= [%] For (II-19)
XB − Xm
7,4 − 6,5
E= = 17,65 %
11,6 − 6,5
SHF = 0,87.
TSou = 17 °C.
hSou = 10,1 kcal/kg
XSou = 10 g/kg.
40897,43
ma Sou = = 12780,44 kg/h
13,3 − 10,1
TM = 29 °C.
hM = 15,7 kcal/kg
XM = 14,2 g/kg.
(X − XR) (X − X sbf )
=
bf m
(Ssbf = XS = 10)
FB 1 − FB
XR = 8,95 g/kg.
Tsou= 25 °C
hsou = 10,65 kcal/kg
Xsou = 7,5 g/kgas
ETVB · Projet Fin D’étude · Partie Equipement Saidji-Chami
ETVB ·Equipement principal 44/150
L’efficacité E :
7,5 − 6,8
E= = 15,55 %
11,3 − 6,8
SHF = 0,86
Tsou= 17 °C T I = 27 °C
hsou = 10,5 kcal/kg hI = 13,3 kcal/h
Xsou = 10,5 g/kgas XI= 11,2 g/kg
49795,35
masou = = 17784 kg/h
13,3 − 10,5
TSM = 29 °C.
hSM = 15,5 kcal/kg
XSM = 13,8 g/kg.
Tsou = 27 °C T M = 16 °C
hsou = 11,22 kcal/kg hM = 7,7 kcal/h
Xsou = 7,3 g/kgas XM= 6,5 g/kg
7,3 − 6,5
E= = 14,54 %
12 − 6,5
SHF = 0,76
Tsou= 17 °C
hsou = 10,2 kcal/kg
Xsou = 9,9 g/kgas
33229,17
masou = =10719,09 kg/h
13,3 − 10,2
TM = 30 °C.
hM = 16,3 kcal/kg
XM = 15 g/kg.
Tsou= 28,5 °C TM = 14 °C
hsou = 11,67 kcal/kg h M = 7,15 kcal/h
Xsou = 8 g/kgas XM= 6,3 g/kg
8 − 6,3
E= = 27 %
12,5 − 6,3
Nous avons choisit une centrale de traitement d’aire de la gamme CIAT, série CIATRONIC
MAGISTER ES (voire fiche technique).
1. Caisson de mélange :
Mélange 2 voies.
Boîtes à volets étanches extérieures
Volets en opposition avec joints en bouts de lames
Entraînement par roues dentées
Position : 11HE
Commande à motoriser extérieure
Fig (III-1) CTA plafonnier
2. Filtre :
Cellule type F2
Efficacité G4 : >= 90 % gravimétrique
Perte de charge sur air (Propre) : 5 mce
Avec prises de pression
3. Batterie de réfrigération :
Nombre de rangs : 4
Tubes Cuivre / Ailettes Aluminium
Puissance frigorifique: 94.2 kW
Fluide réfrigérant : Eau
T° entrée / T° sortie:7 °C / 12 °C
T° entrée air / Humidité:25 °C / 54 %(HR)
T° sortie air / Humidité:16,7°C / 89,1 %(HR)
Débit de fluide: 11,63 m³/h
Perte de charge sur fluide : 0.015mmce
Perte de charge sur air: 5 mce
Vitesse d'air, passage libre sur batterie: 2,37 m/s
Montage en tiroir sur glissières
Panneau amovible d'accès au séparateur de gouttes et bac de condensas
Diamètres des mamelons : Raccord Fileté 1"1/2
Contenance en fluide : 5,55 l
Bac de récupération des condensas en acier galvaniser.
4. Batterie de chauffage :
Nombre de rangs : 2
Tubes Cuivre / Ailettes Aluminium
Puissance calorifique : 38,2 kW
Fluide chauffant: Eau
T° entrée / T° sortie : 90 °C / 70 °C
T° entrée air / Humidité:20 °C / 52 %(HR)
T° sortie air / Humidité 29,4 °C / 29,6 %(HR)
Débit de fluide:2,76 m³/h
Perte de charge sur fluide : 6 579 Pa
5. Ventilateur type BP :
Nous avons choisit une centrale de traitement d’aire de la gamme CIAT, série CIATRONIC
MAGISTER ES (voire fiche technique).
1. Caisson de mélange :
Mélange 2 voies.
Boîtes à volets étanches extérieures
Volets en opposition avec joints en bouts de lames
Entraînement par roues dentées
Position : 11HE
Commande à motoriser extérieure
2. Filtre :
Cellule type F2
Efficacité G4 :>= 90 % gravimétrique
Perte de charge sur air (Propre): 5 mce
Avec prises de pression
3. Batterie de réfrigération :
Nombre de rangs : 4
Tubes Cuivre / Ailettes Aluminium
Puissance frigorifique: 92.845 kW
Fluide réfrigérant : Eau
T° entrée / T° sortie:7 °C / 12 °C
T° entrée air / Humidité:25 °C / 54 %(HR)
T° sortie air / Humidité:16,7°C / 89,1 %(HR)
Débit de fluide: 11,63 m³/h
Perte de charge sur fluide : 0.02mmce
4. Batterie de chauffage :
Nombre de rangs : 2
Tubes Cuivre / Ailettes Aluminium
Puissance calorifique : 40,2 kW
Fluide chauffant : Eau
T° entrée / T° sortie: 90 °C / 70 °C
T° entrée air / Humidité:20 °C / 52 %(HR)
T° sortie air / Humidité: 29,4 °C / 29,6 %(HR)
Débit de fluide: 2,76 m³/h
Perte de charge sur fluide : 6 579 Pa
Perte de charge sur air : 3 mCE
Vitesse d'air, passage libre sur batterie:2,37 m/s
Montage en tiroir sur glissières
Panneau amovible pour pose d'un thermostat antigel
Diamètres des mamelons :Raccord Fileté 1"
Contenance en fluide : 2,77 l
5. Ventilateur type BP :
Nous avons choisit une centrale de traitement d’aire de la gamme CIAT, série CIATRONIC
MAGICTA1 :
1. Mélange 2 voies
2. Section de filtration
Cellules type F2
Efficacité G4 :>=90%
Perte de charge sur air (propre) :98 Pa
4. batterie de chauffage :
Puissance calorifique : 32 kw
Tº entrée/Tº sortie : 90ºC/70º
Tº/humidité entrée d’air : 16 ºC/60%
Tº/humidité sortie d’air : 24.5/33%
Débit de fluide : 1.3 m3/h
Perte de charge sur fluide : 0,002 mce.
La centrale de traitement d’air de la salle de conférence est de type ROOF TOP fonctionnement
réversible.
1 Fonctionnement été :
3. Fonctionnement hiver :
Dt = 21,68 kW
Selon notre besoin calorifique et selon le catalogue CIAT on a choisi : (héliotherme H3000)
Le GPEG sert à refroidir l’eau généralement de 12°C a 7°C avec plusieurs procédé et parmit ces
procédé le fréon.
L’eau froide alimente les ventilo convecteur et les CTA pour climatiser les déférents locaux.
C’est la valeur max de la somme brute des charges recut par l’ensemble des locaux à climatiser
pendant la saison estival (juillet, août, septembre).
P = 600,080 Kw
On installe de GPEG qui fonctionne on cascade pour augmenter la durée de vie des GPEG et éviter
le fonctionnement en plein charge.
2
Pgroupes = Pd’appelle. [W] for (IV-2)
3
2
: Coefficient de subdivision (pour augmenter la gamme de sécurité).
3
Pgroupe = 0,67 × 600,080 = 402,054 kw
Version standard
2 compresseurs semi hermétiques doubles vis.
2 circuits frigorifiques.
Evaporateur multitubulaire.
Condenseur refroidissement par air.
Puissance électrique à absorbée : 172 kw.
Poids : à vide 4258kg, en service 4456 kg.
Perte de charge =5,2 mce
FigureIV-1 GPEG POWER CIAT LX
V- Ballon Tampon :
Quelle que soit la taille de l’installation, le volume minimum de la boucle d’eau est donné par la
formule suivante :
Avec :
V = 409×2×3,25
V = 2658,5 L
2700 L
VI-1 Introduction
Une chaudière est un générateur de chaleur, dont le rôle est de transmettre la chaleur produite
par combustion du combustible utilisé (gaz , fuel) au fluide chauffant ( l’eau ) chargé de véhiculer
cette chaleur aux différents corps de chauffes ( ventilo-convecteurs , C.T.A ,… ).
QTotale = 270,684 kw
La puissance utile Put des chaudières sera sélectionnée, en fonction des besoins calorifiques à
satisfaire Qtot , et en fonction du nombre de chaudières choisies :
2
Putile = Q Tot [kw] For (VI-2)
3
Où
2
: Coefficient de subdivision.
3
Putile = 181,35 kw
Consultant le catalogue de DIETRICH nous avons choisit deux chaudière d’une série type DTG
et d’une puissance de 190 kw
Caractéristique technique :
P brûleur = 199,48 kw
VII-1 Introduction :
La chaufferie est définie comme étant le local ou se trouve la chaudière et les différents
équipements qui assurent le bon fonctionnement de l’installation de chauffage ou de la
climatisation.
La chaufferie peut se située :
Pour la conception d’une chaufferie, il faut respecter quelques règles de sécurité pour éviter les
accidents qui peuvent survenir lors du fonctionnement de celle-ci.
Parmi les règles on peut citer :
Les parois doivent présenter un degré coup feu d’au mois deux heurs, pour ce la ils
doivent être exécuter avec des matériaux réputés résistants, tel que le béton armé de
8cm d’épaisseur au moins.
Le sol ou le plancher d’une chaufferie doit être imperméable et forme une pente vers
un siphon.
Les portes doivent être en matériaux incombustible, accessible à tout moment aux
agents, et s’ouvrir vers l’extérieur et se rabatte complètement.
Les chaudière doivent reposées sur des socles de béton armé d’épaisseur de 10 cm et
doit être débordé de 5cm sur les côtés et de 15 cm à l’avant et à l’arrière .
Il doit y avoir impérativement des extincteurs faciles à utiliser et de nombre suffisant.
L’évacuation des produits de combustion se fera dans les conduits de fumée,
construis en briques pleins de terre cuite, ou en béton de ciment.
La chaufferie doit comportée un système permanent de ventilation.
⎡ 0,035 × 380000 ⎤
Donc : Sb = Max ⎢ ;2,5⎥
⎣ 1000 ⎦
La ventilation haute est située en partie haute du local et déboucher vers l’extérieur :
Equipement Complémentaire
Table des sous chapitre 1/2
I- COLLECTEURS :_________________________________________________________58
I-1 Introduction :__________________________________________________________58
I-2 Collecteur de l’échangeur :_______________________________________________58
I-3 Collecteur de la chaudière : ______________________________________________58
I-4 Collecteur du ballon tampon :_____________________________________________58
II- CHOIX DU L’ECHANGEUR : _______________________________________________59
II-1 Introduction : _________________________________________________________59
II-2 Puissance de l’échangeur : ______________________________________________59
III- CHOIX DU VASE D’EXPANSION : __________________________________________60
III-1 Introduction :_________________________________________________________60
III-2 Méthode de détermination du vase d’expansion : ____________________________60
III-2-1 Volume d’expansion : ______________________________________________60
III-2-2 Capacité du réservoir : _____________________________________________61
III-3 Calculs : ____________________________________________________________61
a) Détermination de la contenance en eau de l’installation : ____________________61
b) Calcul du volume expansé : __________________________________________61
c) Calcul de la capacité du vase d’expansion : ______________________________62
e) Circuit eau froide : __________________________________________________62
IV- vanne À trois voies :______________________________________________________63
IV-1 Introduction : ________________________________________________________63
IV-2 Organes de réglage : __________________________________________________63
IV-2-1 Détermination du coefficient Kvs : ____________________________________63
IV-3 EXEMPLE DE CALCUL :_______________________________________________64
IV-3-1 Circuit d’eau chaude : ______________________________________________64
IV-3-2 Circuit d’eau froide : _______________________________________________64
V - CHOIX DES POMPES :___________________________________________________66
V-1 Introduction : _________________________________________________________66
V-2 Description d'une machine centrifuge ______________________________________66
V-2-1 La roue :_________________________________________________________66
V-2-2 Le distributeur : ___________________________________________________66
V-2-3 Le diffuseur : _____________________________________________________66
V-2-4 La volute : _______________________________________________________66
V-2-5 Le divergent : _____________________________________________________66
Equipement Complémentaire
Table des sous chapitre 2/2
I- COLLECTEURS :
I-1 Introduction :
Le collecteur est un équipement de forme cylindrique qui sert à faire distribuer de l’eau aux
autres appareils, ou’ de faire collecter l’eau de plusieurs appareils.
Comme notre projet a L’ensemble des équipements (GPEG, échangeur, chaudière, ballon tampon)
alors elles doivent être raccordé par des collecteurs, leur dimensionnement dépend de :
Nombre des équipements.
Le diamètre de raccordement. Fig(I-1) collecteur
Le diamètre du collecteur est toujours supérieur à celui du raccordement, à cet effet, il y a deux
méthodes de calcul :
1
φ = D× n 2
[mm] For (I-1)
Avec :
Ø (mm) : Diamètre du collecteur.
D (mm) : Diamètre de raccordement.
n : nombre d’équipement.
II-1 Introduction :
D’où :
Pe =15756,48 ×20 = 315129,6 cal/h
Pe = 366,18 KW
Péch = 390kw
Longueur = 1,60m
Diamètre = 225mm
Contenance en eau = 19 litres
Perte de charge = 0,23 mce
III-1 Introduction :
Le vase d’expansion est un dispositif de sécurité qui sert a absorber la dilatation de l’eau du a
l’augmentation de température.
On utilisera dans notre projet, un vase d’expansion fermé qui supprime tous les risques
d’évaporation et de gel.
Avec :
Soit :
T départ chaudiére + T retour chaudiére
Tmoy [°C] For (III-2)
2
V exp
C= [L] For (III-3)
1 − ( P1 )
P2
Avec :
C : capacité du réservoir.
Vexp : volume expansion.
P1 : pression effective de gonflage correspondant à la hauteur statique + 1 bar.
P2 : pression d’ouverture de la soupape + 1 bar.
III-3 Calculs :
Contenance de la tuyauterie :
Vtuy = 1153.26 L
Vv+c = 85.73 L
La contenance en eau = 77 L
Pour corriger les erreurs commises dans l’estimation des longueurs, on prend une marge de 10%,
donc :
On a :
90 + 70
Tmoy = = 80 °c
2
D’où : Tmoy = 80°C
• Cm = 0,0288 pour T = 80 °C
• Cr = 0,0004 pour T = 10 °C
Donc :
D’onc :
41,11
C= = 112,93 L
1 − (3,18 5)
D’où : C = 112,93 L
d) sélection du réservoir :
120 L-4/7B-VT-M
Tableau (III-1) caractéristique de 120 L-4/7B-VT-M
Pression
Capacité Référence Ф mm H (mm) Masse (kg)
service
120L 066291 460 700 12 4
Vu la très faible dilatation d'eau glacée pour le régime 7° C/12°C dans le réseau d'eau froide, et en
absence d’une formule de calcul pour l’eau froide le choix du vase d'expansion se fait alors on
sélectionnant la gamme la plus petite donné par le constructeur, pour cette raison on à sélectionner
un vase d'expansion d'un capacité de 6 Litres.
ΔPv100
a= [SU] for (IV-1)
ΔPv100 + Δ Pr 100
Dans notre projet, on utilise le réglage de la puissance par variation de température par mélange
IV-2-1 Détermination du coefficient Kvs :
Pour le calcul du Kvs on retient cette hypothèse suivante :
a = 0,5 de se faite ∆Pv100 = ∆Pr100 donc :
Pour le choix de diamètre nominal, à partir de la valeur Kvs calculé et de catalogue fournie par les
constricteurs.
On choisi un Kvs proche de K vs calculé, d’où on déduit le diamètre nominal de la vanne à 03 voie
À partir de Kvs choisi on vérifie l’autorité de la vanne de la manière suivante :
1. On calcul ∆Pv100
2. On calcul (a) et on vérifie s’il satisfait la condition : 0.33 <a<0.66
CTA 1 :
Coefficient Kvs :
QV
K VS = [m3/h] for (IV-3)
ΔPv 100
Donc:
2,76
Kvs = = 3,11 m3/h
0,8
Coefficient Kvs :
11,63
Donc Kvs = = 21,83 m3/h.
0,284
tronçon L Q V D Dn Vréel Re λ J V²/2g Σ ζ DPsing ΔPt pdc DPv3v Kvs KvsN DPv100 a
m l/s m/s mm mm m/s mce mce mce m³/h
V3V-echanger 3 4,38 1,5 60,97 66 1,28 56321174 0,004 0,01 0,08 5,5 0,45 0,46 0,23 0,69 18,91 20 0,62 0,47
V3V-CTA1(BF) 13,79 3,23 1,5 52,37 66 0,94 41562118 0,004 0,04 0,04 5,2 0,23 0,27 0,02 0,28 21,83 20 0,34 0,54
V3V-CTA1(BC) 14 0,77 1,5 25,52 26 1,45 25053079 0,004 0,23 0,10 5,2 0,54 0,77 0,02 0,79 3,11 3 0,85 0,52
V3V-CTA2(BF) 24 3,23 1,5 52,37 66 0,94 41562118 0,004 0,06 0,04 4,5 0,20 0,26 0,02 0,28 21,80 20 0,34 0,54
V3V-CTA2(BC) 24,50 0,77 1,5 25,52 26 1,45 25053079 0,004 0,44 0,10 4,5 0,47 0,91 0,02 0,93 2,86 3 0,85 0,48
V3V-CTA3(BF) 25 4,2 1,5 59,74 66 1,23 54082224 0,004 0,11 0,08 5,6 0,42 0,53 0,03 0,55 20,34 20 0,57 0,51
V3V-CTA3(BC) 25,6 0,4 1,5 17,51 21 1,04 14599131 0,004 0,26 0,05 5,6 0,30 0,57 0,02 0,59 1,69 2 0,42 0,42
Avec :
Le choix de la vanne à 03 voies se fait dans le catalogue HONEYWELL selon la valeur de Kvs
normalisée.
V-1 Introduction :
On appel pompe tout appareil qui aspire un fluide d’une région basse pression pour le refoulé
vers une région de plus grande pression c'est-à-dire une plus grande perte de charge, en d’autre
manière le rôle de la pompe c’est de vaincre les pertes de charge de réseau hydraulique.
Donc la pompe consiste à augmenter la pression du fluide, cette augmentation de la pression de
liquide à lieu suite au transformation de l’énergie mécanique fournie par un moteur,le but est
d’augmenter l’énergie hydraulique de liquide dans l’entrée et la sortie de la pompe.
1. Pompe centrifuge.
2. Pompe axiale.
3. Pompe radiale.
V-2 Description d'une machine centrifuge
V-2-1 La roue :
Elle comporte des canalisations formées par le disque, les flasques de recouvrement et les aubages.
V-2-2 Le distributeur :
Le rôle du distributeur, situé en amont de la roue (non représenté sur la figure) est de permettre une
orientation correcte des filets fluides à leur entrée dans la roue. Il n'existe en fait que dans les
pompes à plusieurs étages de compression
V-2-3 Le diffuseur :
Avec ou sans aubages, cet organe permet de transformer en partie l'énergie cinétique (pression
dynamique) en énergie potentielle (pression statique) et d'orienter correctement le fluide à la sortie
de la roue pour son entrée dans la volute ou dans le distributeur de l'étage suivant.
V-2-4 La volute :
Son rôle consiste essentiellement à transformer le mouvement de rotation du fluide en mouvement
de translation.
V-2-5 Le divergent :
Comme le diffuseur, il permet de transformer une fraction de l'énergie cinétique du fluide en énergie
potentielle, ceci afin de limiter les pertes de charge dans les canalisations de transport du fluide.
Remarque : on utilise des pompes jumelés pour éviter le disfonctionnement total de l’installation,
si en cas une pompe tombe en panne l’autre la remplacera.
Une pompe centrifuge doit être choisie selon les caractéristiques réelles de l’installation dans
laquelle on doit l’installer tout en respectant les deux éléments :
V-4-1-1 Débit Q :
Quantité de liquide débitée par la pompe dans l’unité de temps .normalement exprimée en m³/h
C’est la somme de la hauteur géométrique dans les niveaux du liquide et les pertes de charge causée
par de frottement intérieur qui se forme au passage du liquide dans les tuyaux, dans la pompe et les
accessoires hydrauliques. L’expression à identifier est la suivante :
Oú :
∆Pt : la perte de charge totale du circuit considère.
Hg : la hauteur géométrique à l’aspiration / Hga + hauteur géométrique au refoulement.
Remarque : dans notre projet le réseau est fermé vertical donc (Hg = 0)
Oú :
Remarque :
Comme notre projet est un circuit fermé, cette vérification n’est pas nécessaire, l’énergie transmise
à l’eau par la pompe est uniquement utilisée pour vaincre les pertes de charge.
P
Q= [m3/h] For (V-2)
ΔT × 1000
Avec :
Donc :
327022
Q=
20 × 1000
Q = 16.35 m³/h
Donc on aura un débit de recyclage égal au 1/3 du débit nominal de la pompe soit :
Donc
Hmt = 1,1× 1,98 = 2,18 mce
rotor noyé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 0,118 kW
puissance moteur P2 = 0,09 KW
t°max = 110°c
débit proposé Q = 6,25 m³/h
rotor noyé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 0.321 kW
puissance moteur P2 = 0.18 KW
t°max = 110°c
débit proposé Q = 9.45 m³/h
rotor noyé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 0.124 kW
puissance moteur P2 = 0.09KW
t°max = 110°c
débit proposé Q = 6.75 m³/h
Hmt = (6,285+1,33+0,004+0,27)×1,1
Hmt = 8,68 mce
Qrcy = 3,88 m³/h
rotor noyé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 0.327 kW
puissance moteur P2 = 0.18 KW
t°max = 110°c
débit proposé Q = 9.40m³/h
rotor noyé
le métal en fonte
Donc :
HMT = 1,1 × (1,049 + 5,2)
HMT = 6,249 mce
rotor noyé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 0.483 kW
puissance moteur P2 = 0.34 KW
t°max = 110°c
Donc :
HMT = 1,1 × (1,201 + 0,004 + 5,2 + 0,8 + 0,21)
HMT = 8.15mce
Qrcy = 0,92 m³/h
rotor noyé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 0.205 kW
puissance moteur P2 = 0.18 KW
t°max = 110°c
débit proposé Q = 9.40m³/h
Donc :
rotor noyé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 0.232 kW
puissance moteur P2 = 0.18 KW
t°max = 110°c
débit proposé Q = 9.45 m³/h
Donc :
HMT = 1,1× (5,975 + 0,004 + 5,2 + 0,78+ 0,21)
HMT = 13,38 mce
Qrcy = 0,43 m³/h
rotor noyé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 1.11 kW
puissance moteur P2 = 1.5 KW
t°max = 110°c
débit proposé Q = 55 m³/h
Donc :
HMT = 1.1× (28,9 + 0,004 + 5,2)
HMT = 37,51 mce
Qrcy = 7,11 m³/h
rotor ventilé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 3.093kW
puissance moteur P2 = 5.5 KW
t°max = 110°c
débit proposé Q = 45 m³/h
Donc :
HMT = 1,1× (28,148 + 0,004 + 5,2 )
HMT = 36,69 mce
Qrcy = 6,02 m³/h
rotor ventilé
le métal en fonte
alimentation moteur (triphasé 230 V)
puissance consommée P1= 2.931 kW
puissance moteur P2 = 5.5 KW
t°max = 110°c
débit proposé Q = 45 m³/h
VI-1 Introduction
L’eau est dite dure lorsqu'il est fortement chargé en ions calcium et magnésium. Par contre l'eau
douce contient peut de ces ions.
Lorsque l’eau dure est chauffée à 60 C° au plus, il se forme un précipite insoluble en calcaire.
La dureté d'une eau s'exprime en degrés français [F°] et 1 F° = 10 g/m³ de carbonate de calcium [co
co3].
douce : de 0°F à 18 °F
mi-douce de 18°F à 30°F
dure plus de 30°F
Lorsque la dureté de l'eau est supérieure à 30°F, il est conseillé d'installes un adoucisseur sur les
canalisation d'eau.
Les adoucisseurs réduisent la dureté de l'eau en agissant sur les ions de calcium et magnésium.
Les adoucisseurs fonctionnes sur le principe des échanges d'ions ,l'eau passe à travers une colonne
de résine chargé d'ion de sodium ,ces ions vont être échangées avec les ions de calcium et
magnésium de l'eau.
Quand la résine est saturée en ions de calcium et magnésium il faut la régénérer, on rajoutant du sel
[Na cl].
Pour des raisons d’économie le volume adouci est de 25% du volume total de l’installation ; car
après le remplissage de l’installation, l’adoucisseur aura a adoucir un petit volume qui est celui des
pertes de la contenance totale de l’installation.
PE = 1004 ×(35-0)
PE = 35,14 m³
b) capacité de résine
c) la quantité de sel :
d) le choix du l'adoucisseur :
D’après le catalogue STEAM on choisi L’adoucisseur DS10 qui a les caractéristiques suivantes :
VII-1 Introduction :
Une bonne conception d’une installation de conditionnement d’air doit être capable de fournir
le confort voulu, en optimisant l’énergie (chaleur) produite et cela en la conservant précieusement,
d’où la nécessité du calorifugeage ou la protection contre les pertes thermiques des fluides
transportés par la tuyauterie et les gaines.
imperméable à l'eau
résistance aux feux
une bonne résistance
Pour notre projet le calorifugeage est réalisé avec de « l’armaflex », qui est un isolant à structure
cellulaire fermée à base de caoutchouc synthétique.
Il sera placé sur les gaines et la tuyauterie.
Il est muni d’une barrière pare-vapeur (incorporée), distribuée sur la totalité de l’épaisseur.
Il est inflammable.
L’armaflex utilisée pour la majorité des diamètres de la tuyauterie est d’une faible épaisseur
(épaisseur armaflex = 9 mm).
Calcul Aéraulique
Calcul Hydraulique
Calcul Aéraulique
Premier Chapitre
ETVB · calcul aéraulique 77/150
Calcul Aéraulique
Table des sous chapitre 1/1
I- CALCUL AERAULIQUE
I-1 Introduction:
Le réseau aéraulique doit permettre d’assurer les différents flux d’air, issus de l’étude des charges
thermiques du bâtiment et du taux de renouvellement d’air. Une fois les débits connus, il faut alors
déterminer la totalité du réseau aéraulique, c’est à dire ces différents éléments (ventilateur, bouches
de soufflage et d’aspiration…) et la manière de les connecter (formes et longueurs des gaines et des
coudes, dérivations).
Ce choix résulte d’un compromis entre le prix de l’installation et celui de son exploitation. A ces deux
contraintes principales, s’ajoutent plusieurs contraintes secondaires qui permettent d’encadrer les
valeurs possibles :
Grandes vitesses (c'est à dire petites sections) limitées par le bruit engendré.
Le dimensionnement d’un réseau aéraulique nécessite tout d’abord la connaissance des différents
flux d’air à mettre en œuvre, puis les caractéristiques et l’emplacement des différents accessoires
(bouches d’air, filtres, coude, etc...).
On peut alors dessiner le réseau aéraulique, en utilisant une représentation unifilaire en perspective.
Ce schéma doit comporter tous les accidents (coudes, branchements...) auxquels on attribuera un
repère. Seront indiqués le long de chaque branche le débit qui la traverse, et, sur chaque partie
rectiligne, la longueur séparant deux accidents.
L’optimisation technico-économique.
Remarque :
Comme notre projet a un coût d’énergie (coût de fonctionnement) est faible 12 h, et un coût des
équipements (coût d’investissement) importants, on a choisi un taux de pertes de charges plus
important tout en respectant la contrainte (0.7 Pa < ∆P < 1 Pa ) exigée par France air .
ξi × ρ × (Vi )²
ΔPs = ∑ i( Ji × Li ) + [Pa] For (I-2)
2g
Avec :
Remarque :
C’est par apport au perte de charge du circuit le plus défavorable qu’on va faire l’équilibrage du réseau
et le dimensionnement des ventilateurs d’amener d’air neuf.
On pose V = 7 m/s (pour un tronçon principal) dans la gaine, ou le débit est de 5235 m3/h
(ventil-X1), donc le diamètre de cette gaine sera de :
4×Q
D= [mm] For (I-3)
π ×V
D = 514 mm donc :
D normalisé = 525 mm
Vréel = 6,72 m/s
ETVB · projet fin d’étude · Transport de Fluide Saidji-Chami
ETVB · calcul aéraulique 80/150
Donc cette valeur représente la valeur limite des pertes de charges dans les autres tronçons. (Puisque
elle satisfait la condition 0,7 < J < 1 Pa/m) condition tiré de France air.
Tronçon Q V d DN Vrée l J J
(m3/h) [m/s] [mm] [mm] (m/s) [m] (Pa/m) (Pa)
VENTIL-x1 5235 7 559.63 600 6.72 2 0.92 1.847
I-5-2 Dimensionnement d’un autre tronçon de gaine (C-V2) celui qui alimente la
cassette C2 du bureau du 2iem étage :
• Q= 25 m3/h
• V= 2 m/s
• J=0,92Pa/m
1
⎛ 6 × V 1,82 ⎞ 1, 22
D = ⎜⎜ ⎟⎟ [mm] For (I-4)
⎝ 0,1 × J ⎠
Donc D = 92,14 mm
Dnormalisé =100 mm
Donc les conditions de perte de charge et de la vitesse sont vérifiées, et le dimensionnement des
autres tronçons se fait de la même manière que celle du tronçon précédent
On pose V = 7m/s ((pour un tronçon principal) dans la gaine, qui véhicule un débit de 7125 m3/h
(ventil-X1), donc le diamètre de cette gaine sera de :
V réel = 7 m/s
I-5-4 Dimensionnement d’un autre tronçon de gaine (x3-A) celui qui véhicule l’air
extrait De la circulation du 2éme étage :
• Q= 1695 m3/h
• V= 4 m/s
• J=0,86 Pa/m
Donc D = 361,48mm
D normalisé =300 mm
Donc les conditions de pertes de charges et de la vitesse sont vérifiées, et le dimensionnement des
autres tronçons se fait de la même manière que celle du tronçon précédent
On pose V = 9m/s dans la gaine, qui véhicule un débit de 20165 m3/h (B-CTA1), donc le diamètre de
cette gaine sera de :
Comme J réel > J limite on doit équilibrer le circuit par les élément d’équilibrage
Les résultats de calcul pour les autres CTA et les différents locaux sont dans l’annexe
Calcul aéraulique
II-1 Introduction :
Les installations de ventilation servent surtout à assurer l'hygiène de l’être dans les locaux qu'ils
occupent. Les habitations et les bureaux doivent être ventilés pour renouveler l'oxygène, maintenir
un équilibre de la concentration du gaz carbonique. La ventilation permet également de réduire la
chaleur, les odeurs désagréables et l'humidité, d'évacuer les fumées de cigarette.
Pour aérer un bâtiment, le moyen le plus simple est la ventilation naturelle, qui utilise la différence de
pression entre l'intérieur de l'édifice, la façade exposée au vent et celle qui est à l'abri. Cette différence
de pression engendre une entrée d'air. Pour aérer un local, on ménage une ouverture dans sa partie
basse (en dépression) et dans sa partie haute (en surpression). Mais une telle ventilation est parfois
insuffisante et dépend en partie des conditions atmosphériques, variables. De plus, l'air « frais »
arrivant par le bas, cette technique est peu conforme aux règles d'hygiène et peu confortable pour les
occupants de la pièce. C'est pourquoi les locaux sont presque toujours équipés de systèmes de
ventilation plus élaborés. Il s'agit alors d'une ventilation forcée.
II-2 Dimensionnement :
Tel que :
ρ
ΔPd = [Pa] for (II-2)
2 × (V 2 p − V 2 pdf )
Oú :
Vp : vitesse de l’air dans le tronçon principal.
Vpdf : vitesse de l’air dans le tronçon le plus défavorisé.
II-3 Exemple de calcul : (ventilateur d’amener d’air neuf pour les VC)
Le circuit le pdf est celui qui alimente ventilateur V3 (direction) de 3 ièm étage.
∆Ps =7,25 Pa
1,2
ΔPd = =26,63 Pa
2 × (6,722 − 0,882 )
Vp= 6,72
Vpdf = 0,88
Donc Pdispo =34,13 Pa
Et on a :
Q = 5235 m³/h
Remarque : le dimensionnement des ventilateur d’amener d’air neuf pour les CTA ce fait de la
même manière présidente sauf que dans ce cas la pression disponible est la même que la pression
statique (Pd = 0)
Pour assurer une diffusion en tous points de zone de climatisation, il faut que tous les circuits de
réseau aient la même perte de charge du tronçon le plus défavorisé. Ceci est assuré par des organes
de réglage ou d’équilibrage parmi ces organes d’équilibrage on trouve les volets d’équilibrage qui
servent a créer des perte de charge suffisante pour équilibre le réseau de distribution
L’équilibrage se fait en suivant les ces étapes :
Calcul de la différence de perte de charge entre chaque circuit et le circuit le plus défavorisé.
(Les circuits qui ont une perte de charge proche a celle de circuit le pdf de 10% ne seront pas
équilibrés)
Détermination de la position où on doit régler le registre du clapet (le réglage se fait manuellement),
la position est en fonction d’un coefficient k qui est donne par la formule :
Q
k= (à crée) for (II-4)
(ΔP )
1
2
Figure (II-1) : Induction d'air secondaire, portée et chute d'un jet d'air
Le soufflage de l'air doit permettre une induction suffisante pour avoir une température de
l'ambiance quasi-constante dans la zone d'occupation, définie par une hauteur de 1,8 m, et dont la
surface au sol est délimitée par une distance de 0,15 m par rapport aux murs verticaux. Trois
implantations de bouches de soufflage sont possibles :
Lorsqu'un air est soufflé prés d'une paroi, il va donc aspirer une partie de l'air situé entre le jet et la
paroi. Par suite, il apparaît une chute de pression statique près de la paroi, qui va tendre à plaquer le
jet le long de cette paroi. Dans le cas d'un soufflage horizontal, le jet d'air a donc tendance à adhérer
contre le plafond.
L'effet Couanda est très utile en climatisation puisque dans ce cas, l'air soufflé est à une température
inférieure à l'air ambiant et le jet a donc tendance à s'incurver vers le bas (cf. ci-dessus). L'effet
Couanda permet au jet d'air de pénétrer dans le local sans s'incurver trop rapidement.
On recommande en général une distance inférieure à 0,3 m du plafond pour profiter de cet effet. Plus
l'air soufflé est froid, plus la bouche de soufflage doit être proche du plafond.
a) Point de séparation :
Malgré l'adhérence du jet au plafond dû à l'effet Couanda, le jet finit par ne plus adhérer au plafond et
s'incurve pour tomber dans la zone d'occupation.
b) Obstacle :
Figure (II-3) : Effet Couanda
La présence d'un obstacle perpendiculaire au jet d'air (poutre, luminaire,...) peut perturber la
diffusion de l'air et supprimer l'adhérence. On définit une hauteur critique de l'obstacle au-delà de
laquelle le jet d'air va chuter. Cette hauteur critique peut être estimée par la corrélation suivante :
Avec :
L’amener d’air neuf des ventilo-convecteur en allége se fait directement par l’extérieur par des
ouvertures, donc il faut s’assurer que les ouvertures peuvent être fermées à l’arrêt de fonctionnement.
L’air vicié des locaux conditionnée s’achemine à travers les grilles de transfère placées en bas des
portes vers les circulation à leurs tour les circulations repris cet air à travers des grilles de reprise
placées au faux plafond puis il sera extrait vers l’extérieur à travers la gaine principale d’extraction à
l’aide d’une tourelle placée en toiture.
un débit d’air estimer à 60m3/h se transférer des circulations vers les sanitaires puis vers
l’extérieur à travers des grilles de transfère placée en haut des sanitaire.
le débit d’aire transférés des locaux vers les circulation est estimé a 90% de l’air soufflé.
Le transfert d’air vers les couloires est assuré par une surpression dans les locaux
conditionnés du au soufflage d’air, et celui vers les sanitaires est assuré par la dépression causée
par les grilles de transfère placées en haut des sanitaires.
La cafétéria est située au RDS, elle est munie de fenêtre pour l’amener d’air neuf et l’aération, mais
pour ce qui est de l’extraction des fumées et de l’air, on utilisera une hotte d’extraction placée
au-dessus des machines à café.
Des hottes d’extraction placées au-dessus des machines à café pour la cafétéria, et au-dessus des
fours pour la cuisine
Pour le choix de la hotte d’extraction, il se fera dans le catalogue « France Air », type INDUCT air
HI.
Calcul Hydraulique
Table des sous chapitre 1/1
III-1 Introduction :
L’installation hydraulique est l’ensemble des tuyaux et des vannes qui servent à alimenter les
ventilo convecteurs et les CTA.
Et pour avoir un bon fonctionnement et un bon rendement des ventilo convecteur et les CTA il faux
être attentive au calcul des réseaux hydrauliques.
Pf
Q= [l/h] for (III-1)
ΔT
Où
Pf : puissance frigorifique.
ΔT : 12 – 7 = 7 °C
Les vitesses d’écoulement d’eau de chaque tronçon qui doit être compris entre 0,6 m/S et 1
m/s pour éviter le bruit.
Remarque :
Le calcul des pertes de charge se fait dans le cas le plus défavorables, c’est dans le cas de l’eau froide
car sa viscosité et sa puissance sont plus grandes que celles de l’eau chaude.
La perte de charge est la chute de pression dans un tronçon de tuyauterie. Son calcule à deux
objectifs.
Elles interviennent dans les tronçons de longueurs droites dont la section est constante.
LV 2
ΔPLin = λ [mce] for (III-2)
D2g
Où
ΔPLin : pertes de charges linéaires totales,
L : longueur de tuyauterie (m),
V : vitesse de l’eau (m/s),
Détermination de λ :
Pour des valeurs de Reynolds (Re) compris entre 2000 et 4000, nous donne un écoulement
turbulent lisse.
2000 < Re < 105
0,3164
λ= 0 , 25
for (III-3)
Re
V D
Re = for (III-4)
ϑ
Où
V: vitesse de la section normalisée,
D: diamètre de la section normalisée,
Re : nombre de rynolds,
υ: viscosité cinématique de l’eau = 1,5 × 10-6 (m²/s).
V²
Psing = ∑ ξ [mce] for (III-5)
2g
Où
ξ: coefficient de résistance local,
V : vitesse de l’écoulement de fluide,
v²
: Pression dynamique de fluide.
2g
PTot = Plin + Psing [mce] for (III-6)
Où
PTot : perte de charge totale,
Plin : perte de charge linéique,
Psing : perte de charge singulière.
Où :
Pf : puissance frigorifique,
φ : masse volumique de l’eau (kg/l),
Q : Débit d’eau (l/h),
Cp eau : chaleur massique de l’eau (1,162),
Où
Q : débit d’eau (m3/s)
V : la vitesse de l’écoulement,
S : la section de tuyauterie,
π D²
S= [m2] for (III-9)
4
4Q
D= [mm] for (III-10)
πV
D : diamètre de tuyauterie.
5) On calcul ΔPLin
LV ²
ΔPLin = λ [mce] for (III-11)
D 2g
6) On localise les coudes, les dérivations et les retricissement, pour chaque tronçon pour
calculer les Psing.
7) On fait la somme des Plin + Psing + Perte de charge de chaque ventilo.
Remarque :
Le calcule se fait pour l’eau froide et on calcule les pertes de charges pour l’allé et de nouveau pour
le retour, car on a pas les même pertes de charges singulières.
On prend comme exemple de calcul le tronçon CM1 – V12 qui alimente le ventilo convecteur en allége
de la classe 1 de 4 iém étages et qui appartient à la colonne montante 1.
5310
Q= = 2,54 ×10-4 m3/s
(3600 × 1000 × 1.162 × 5)
Pour les conduits qui alimentent les ventilo, on pose V = 0,7 m/s
D = 0,02145 m
D normaliser = 21 mm
Les diamètres de chaque tronçon se calculent selon son débit, en respectant les vitesses et on vérifie
si la vitesse ne dépasse pas la vitesse proposée
⎡ 4×Q ⎤
Vréel = ⎢ ⎥ [m/s] for (III-14)
⎣π × D² ⎦
Où
Q : Débit d’eau (m3/h),
D : diamètre normalisé de la tuyauterie.
Vréel = 0,73 m/s
V ×d
Re = = 10222 < 105 (régime turbulent lise).
υ
0,36
λ= 0 , 25
for (III-15)
Re
λ= 0,031
V²
ΔPSing = ∑ ξ [mce] for (III-16)
2g
ΔP: perte de charge singulière,
ξ: coefficient de résistance local,
V : vitesse de l’écoulement.
ξ = ξ coudes + ξ dérivation + ξ vanne = 2,2.
Perte de charge de ventilo = 1,8.
Perte de charge totale = ΔPTot = 1.8+0.054 =1,858 mce
ΔPretour = 1,99 mce.
Pompe→ V8 (ventilo qui alimente bureau de service, moyens de 2 iém étage) est le circuit le plus
défavorisé avec une valeur de 28,90 mce
Pompe→ V12 (ventilo qui alimente la salle d’informatique type 2 de 1 iér étage) est le circuit le plus
défavorisé avec une valeur de 27,148 mce
Le Calcul des autres diamètres des tronçons sont dans l’annexe partie hydraulique
Le circuit le plus défavorable c’est celui qu’il a la plus grande perte de charge c'est-à-dire la plus
grande hauteur manométrique.
Comme le choix de la pompe se fait par apport au circuit le plus défavorable, donc la pression ou la
hauteur manométrique dans les autres circuits sera provoquer par l’augmentation de la vitesse de la
circulation d’où la nécessité d’équilibrage des circuit entre eux.
Pour cela :
soit on crée des pertes de charges par des tours de vis située en aval des appareils.
Soit diminuer les diamètres.
Soit on crée des points singuliers au niveau de la tuyauterie.
On a choisi d’utiliser les vis à tour pour diminuer la pression dans les autres circuits.
0,01 q
Kv = 1
[SU] for (IV-1)
ΔP 2
Où :
Kv : coefficient d’équilibrage
q : le débit qui circule dans le tronçon à équilibrer,
ΔP : perte de charge à crée.
Remarque :
Si la différence de perte de charge est inférieur à 10% (ΔP (a créer) < 10%), ça sera inutile
d’équilibrer le circuit.
Q = 0,00025 m3/s.
Q = 0,250 l/s → Q = 900l/h.
0,01 × 900
Kv = 1
16,05 2
Kv = 2,24
Le Calcul des autres diamètres des tronçons sont dans l’annexe partie hydraulique
Plomberie Sanitaire
Table des sous chapitre 1/1
I- Introduction :_____________________________________________________________98
II- Mode d’alimentation : _____________________________________________________98
III- Objectifs de l'installation de plomberie : _______________________________________99
IV-1 Le débit: ______________________________________________________________99
IV-2 Les diamètres de branchement des appareils: ______________________________99
IV-3 Les vitesses d'écoulement admis : _______________________________________99
IV-4 Type de canalisation: __________________________________________________99
V-1 Coefficient de simultanéité : ___________________________________________100
V-2 le Débit probable: ____________________________________________________100
V-3 Dimensionnement des conduites : _______________________________________100
V-4 La Perte de charge : __________________________________________________100
V-4-1 La Perte de charge linéaire : ________________________________________100
V-4-2 la Perte de charge singulière : _______________________________________101
V-5 Calcul de pression : __________________________________________________101
II- EVACUATION DES EAUX USEES :_________________________________________102
II-1 Introduction : ________________________________________________________102
II-2 Application pour notre projet : ___________________________________________102
II-3 Dimensionnement des canalisations d’évacuation : __________________________102
II-3-1 Branchements des appareils : _______________________________________102
II-3-2 Canalisations verticales : ___________________________________________102
II-3-3 Les descentes en PVC :____________________________________________103
II-4 Collecteur principal : ________________________________________________104
I- Introduction :
L'eau est distribuée dans les bâtiments par différents réseaux et suivant les besoins des
utilisateurs. Le réseau de distribution intérieur aux bâtiments assure le transport de l'eau jusqu'aux
appareils d'utilisation. Des notions de confort intérieur exigent que certains équipement sont
installés tel que :
Evier
Une baignoire
Bidet
lavabo
Générateur de chaude
Point d'eau indépendant
Point d'eau machine à laver
W.C
Dans notre projet, on a opté une alimentation en chandelle comme en la voie dans le schéma
isométrique suivant:
Ces équipements sont reliés entre eux par une tuyauterie en acier galvanisé.
Ces résultats seront atteints par le choix judicieux du schéma du tracé des appareils et par le soin
apporté à leur mise en œuvre.
Le débit
Les vitesses
Le type de canalisation
Le tracé de l'alimentation
IV-1 Le débit:
Pour notre projet on a les débits de base suivant pour l'eau froide:
Q Lavabo = 0.2 l/s
QW.C avec réservoir de chasse = 0,1l/s
D lavabo = DN12
DW.C = DN12
La canalisation est en acier galvanisé en eau froide (k=0.92 10-5). Le tracé de l'alimentation : (voire
les plans, partie plomberie)
V- Méthodologie de calcul:
V-1 Coefficient de simultanéité :
Avec :
k : coefficient de perte de la rugosité relative de la canalisation (k=0.92 10-5 pour l’acier galvanisé en
eau froide)
U : vitesse d’écoulement en (m/s).
D : diamètre du tronçon en (m).
L : longueur de tronçon en (m).
ξ ×U ²
ΔP = [mce] For (I-6)
2g
Avec :
U : la vitesse d’écoulement en (m/s).
ξ : coefficient de perte de charge des différentes singularités.
Cet exemple donne les valeurs des diamètres et les valeurs de la pression d’entrée de 4éme étage.
étage 4 -cm1
Tronçon Q D DN L J Lj V ξ V2/2g ξV2/2g Σ(J) Pe Pe-Σ(J) h Ps
(l/s) m m m mce/m mce m/s mce m mce
X3 X4 0,333 0,021 0,021 3,740 0,107 0,402 0,961 1,5 0,046 0,003 0,405 15,331 14,926 3,7 11,186
X2- 1 0,333 0,021 0,021 0,040 0,108 0,004 0,962 0,5 0,046 0,001 0,005 11,186 11,180 0,0 11,180
a1 0,212 0,016 0,021 0,790 0,049 0,039 0,612 1,5 0,019 0,001 0,040 11,180 11,140 1,2 9,940
12 0,212 0,016 0,021 0,730 0,049 0,036 0,612 1,5 0,019 0,001 0,037 11,180 11,143 0,0 11,143
23 0,200 0,016 0,021 0,680 0,044 0,030 0,577 1,5 0,017 0,001 0,031 11,143 11,112 0,0 11,112
a4 0,286 0,019 0,021 0,540 0,082 0,044 0,826 1,5 0,034 0,003 0,047 11,112 11,065 0,5 10,565
45 0,286 0,019 0,021 0,330 0,082 0,027 0,825 1,5 0,034 0,003 0,030 10,565 10,535 0,0 10,535
56 0,268 0,018 0,021 0,080 0,074 0,006 0,775 1,5 0,030 0,002 0,008 10,535 10,527 0,0 10,527
67 0,250 0,018 0,021 0,700 0,065 0,046 0,722 1,5 0,026 0,002 0,047 10,527 10,480 0,0 10,480
78 0,231 0,017 0,021 0,690 0,057 0,039 0,667 1,5 0,022 0,002 0,041 10,480 10,439 0,0 10,439
89 0,212 0,016 0,021 3,938 0,049 0,192 0,612 6,5 0,019 0,006 0,198 10,439 10,241 0,5 9,741
9 10 0,200 0,016 0,021 0,610 0,044 0,027 0,577 1,5 0,017 0,001 0,028 9,741 9,713 0,0 9,713
II-1 Introduction :
• Eaux des WC
• Eaux ménagères (salles de bains, cuisines).
• Eaux pluviales.
Dans notre projet, nous traitons l’évacuation des eaux des WC qui sont évacuées par des tuyaux de
chutes, et les eaux ménagères qui sont évacuées par des tuyaux de descentes.
La fiche N°03-402 de la norme NF P 41-202 indique les diamètres min et les débits de base des
siphons d’appareils, le diamètre intérieur des branchements de vidange doit être au mois égal à
celui des siphons qu’il reçoit.
• Lavabos.
• WC.
On a prévu des chutes uniques qui assurent à la fois les fonctions de descente et de chute en
PVC avec ventilation primaire. Le calcul des descentes se fait comme suit :
En prenant le diamètre nominal des WC comme repère, on calcul le nombre équivalent des autres
appareils en WC.
1. En faisant le rapport de section des autres appareils que les WC et les diamètres des WC :
π × d²
For (II-1)
π × D²
Avec :
32 WC Ø 80
26 L Ø 40
Rapport de section :
π × d² 40²
= = 0,25
π × D ² 80²
Donc :
(26 L x 0,25) + (32 WC) = 39 WC
Nombre
Désignation Nombre Ф nominal Rapport de Ф descente
équivalent de
des descentes d'appareils (mm) section (mm) avec VS
WC
32 Ch d’eau 80
1 0,25 39 100
26 Lavabo 40
2 18 Ch d’eau 80 0,25 23 100
17 Lavabo 40
Tableau (II-3) : Calcul des descentes.
C’est la canalisation d’allure horizontale, réalisée avec une pente, collectant les différentes
descentes, pour les conduire à l’égout public, ces canalisations sont reçues en partie basse par des
regards qui sont reliés entre eux par des buses, pour qu’en fin l’eaux usée est déversée dans un
regard à l’extérieur du bâtiment de dimension plus grands que celle du regard intérieur.
Installation Electrique
Table des sous chapitre 1/3
Installation Electrique
Table des sous chapitre 2/3
Installation Electrique
Table des sous chapitre 3/3
I- ECLAIRAGE INTERIEUR :
I-1- Introduction :
L e bon éclairage est une des conditions indispensables pour assurer le confort des personnes sur
le plan visuel pour éviter l’épuisement et la fatigue des yeux, pour ce faire, plusieurs conditions sont à
satisfaire parmi elles :
Le bon calcul du nombre des luminaires et le bon choix de ce dernier sur le plan
puissance et efficacité.
Le bon choix du niveau d’éclairement suivant la nature du local et la nature des taches
a exécuter.
1- Luminance :
Cette grandeur détermine l’aspect lumineux d’une surface éclairée ou d’une source, dans une
direction donnée et dont dépend la sensation visuelle de luminosité.
Symbole : L ; Unité : cd/m²
L'indice de rendu des couleurs, désigné par IRC ou Ra, indique les aptitudes de la lumière émise par
la source à restituer l'aspect coloré de l'objet éclairé. La Commission Internationale de l'Eclairage
(C.I.E.) a défini un indice général de rendu des couleurs Ra dont la valeur maximale est 100.
Pour notre projet on a prés IRC de 85 pour les sources à fluorescence (d’après le catalogue
MAZDA).
3- Température De la Couleur :
La température de la couleur est la couleur, apparente de la lumière fournie par une lampe et elle est
exprimée en degré KELVIN qui permet de classer les lampes en :
4- Contraste :
C'est l'appréciation subjective de la différence d'apparence entre deux parties du champ visuel vues
simultanément ou successivement. Il peut s'agir d'un contraste de couleur, d'un contraste de
luminance.
5- Intensité Lumineuse :
Cette grandeur définit l’importance du flux lumineux émis dans une direction donnée par une source
ponctuelle.
Autre facteur intervenant dans le confort visuel : le nombre, la répartition et le choix des luminaires
doivent assurer une uniformité de l'éclairement.
7- Flux Lumineux :
C’est la quantité d’énergie émise par une source sous forme de rayonnement visible dans toutes les
directions par unité de temps.
8- Eclairement Lumineux :
C’est le quotient du flux lumineux reçu par un élément d’une surface par l’aire de cet élément. Il
caractérise la quantité de lumière reçue par unité de surface.
9- Facteur De Dépréciation :
Ce facteur tient compte de la diminution du flux lumineux avec le temps, causé par :
Ce facteur peut admettre les valeurs suivantes : 1,2 < d < 1,5
On adoptera un facteur de dépréciation : d = 1,3. Fig (I-1) Plan utile
b
10- Plan Utile ou Plan De Travail : h'
C’est la surface de référence constituée par un plan sur a
lequel s'effectue normalement le travail. En éclairage
intérieur, sauf indication contraire, ce plan est par définition hu
horizontal et situé à 0,85 m du sol.
h
h : Hauteur des luminaires au-dessus du plan utile.
Plan utile
h’ : Hauteur de suspensions des luminaires.
a et b Cotés du local.
11- Rendement :
C’est le rapport entre le flux sortant de l’appareil et le flux émis par la source, ce rendement dépend
directement du fabriquant des luminaires, il varie entre 0,7 et 1. On adoptera un rendement de
η= 0,85.
Cette grandeur définit l’importance du flux lumineux émis dans une direction donnée par une source
ponctuelle.
Symbole : I ; Unité : Candela (cd)
C’est le quotient entre le flux lumineux émis par une source et la puissance électrique absorbée.
Symbole : e ; Unité : lm/W
14- L’utilance U :
C’est le rapport du flux reçu par la surface de référence. Elle dépend de quatre facteurs :
L’indice du local.
Le rapport de suspension.
Le facteur de réflexion du plafond et des murs.
La classe de luminaires
L’indice Du Local :
C’est un nombre représentatif de la géométrie de la partie du local entre le plan utile et le plan des
luminaires. Il est donné par la formule suivante :
h’
h’
L L
L
h
h
a×b 3a × b
K= K=
hu (a + b ) 2(h + h') × (a + b )
D’après les valeurs de K, on peut avoir la classe du luminaire selon le tableau suivant :
INTENSIF EXTENSIF
Classe A Classe J
Fig (I-3) les classes photométriques
Pour notre projet, les luminaires sont encastrés donc h’ = 0 d’où J=0.
Facteur de réflexion d'une surface : C'est le rapport du flux lumineux réfléchi au flux
incident. Ce facteur précise l'aptitude d'une surface à réfléchir la lumière incidente.
Eclairement satisfaisant.
Facilité d’entretien.
Facilité de remplacement des luminaires.
Facilité de commande.
Consommation d’énergie.
Esthétique.
Respect des normes.
Coût d’amortissement.
Périmètre : 25,67.
Surface : 40,53.
Hauteur : 2,95.
I-4-2 Teintes :
Le choix du type de luminaire se fait en fonction des besoins en éclairage des locaux. Nous avons
opté pour des lampes fluorescentes avec starter dans le but d’avoir un bon niveau d’éclairement.
Encastré 60×60×10
à grille
a×b
K= =1,504 Classe F.
h × ( a + b)
J= 0
K=1,504
Classe F
U = 0,75.
U = 0,75.
E = 350. ΦT = 28927,29 lm
d = 1,3.
η = 0,85.
φT
N =
φu [SU] for (I-3)
28927,29
Ncal = = 4,19 Lu → Ninst = 4 Lu
6900
Ninst
Eréel = × Erequis [Lux] for (I-4)
Ncalculé
On peut admettre :
Eréel = (1± 10%) × Erequis [Lux] for (I-5)
Avec :
Eréel : niveau d’éclairement réel calculé après l’implantation.
Erequis : niveau d’éclairement requis au début.
Ninst : nombre des luminaires installés.
Ncalculé : nombre des luminaires calculés.
4
Eréel = × 350 = 334,12 Lux 315 < 334,12 < 385 Vérifier
4,19
I-4-14 L’Implantation des luminaires :
E1=6,1 m
E2=6,7 m
E2 = 1,675 m
3,35 m E2/2
1,525 m E1/2
C’est le système qui convient aux bureaux et aux locaux á usage privés, ce mode permet d’établir ou
d’interrompre un circuit d’un seul endroit et il nous offre une autonomie d’utilisation.
Qui nous permet d’interrompre le circuit de deux endroits différents (direction et de dégagement).
Pour les couloirs, qui permet l’allumage ou l’extinction par des boutons poussoir de plusieurs
endroits différents.
Les prises du courant permettent d’établir une alimentation permanente à la disposition de l’usage.
Vers CD101
P6
3x2.5²
3x2.5²
3x2.5²
3x2.5²
3x2.5²
II-CHOIX DE CONDUCTEURS :
II-1 Introduction :
Le choix des conducteurs et leurs modes de pose, a une très grande importance, il influe sur la
durée de vie des câbles qui doivent résister aux différents types d’agressions au milieu ou ils vont être
installer d’une part, et d’autre part du coté de disponibilité d’énergie ou les pertes doivent être
minimales.
Une canalisation électrique est caractérisée par l’ensemble de trois éléments qui sont (figure 1) :
II-2 Conduits :
Définition : un conduit est un matériel de pose, constitué d’éléments tubulaires, non ouvrant et
conférant à des conducteurs isolés, des câbles unipolaires ou multipolaires, une protection continue
supplémentaire.
ICT6 ICD6
Fig (II-4) : exemple des conduits
Pour notre projet on a utilisé plusieurs types de câbles selon leur mode de pose et le milieu dont ils
sont installés.
Pour les circuits éclairage et prise de courant on a utilisé des conducteurs isolés type U 500 VGV
tel que :
Circuits d’éclairage : 3 conducteurs U 500 VGV de 1,5 mm² (phase +neutre+terre)
Circuits de prise de courant : 3 conducteurs U 500 VGV de 2,5 mm² (phase+neutre+terre).
Pour les câbles de distributions intérieurs, ils seront véhiculer dans des chemins de câbles en faux
plafond, ces derniers seront connecté à la terre afin d’éviter les perturbations des ces câbles sur le
réseau informatique (causé par la création d’un champ magnétique qui perturbe le réseau
informatique).
Le câble sera posé sur une couche de sable de 10cm de profondeur et recouvert par une autre
couche de sable de 10cm et de 10cm de terre (pleine) fine, en suite on placera un grillage rouge à une
hauteur de 40cm au-dessus du câble et le remblai sera fait en terre ordinaire compactée.
Les câbles seront placés sous les trottoirs, les allées piétonnières et les espaces verts pour ces
derniers, la pose avec buse s’impose, pour protéger les câbles contre les racines d’abord en cas de
remontée hors sol, le câble sera protégé par un grillage plastique rouge de 2.5m au-dessus du sol fini
et de 50cm au-dessous.
III-1 Introduction :
De permettre les opérations d'entretien sur un circuit, sans couper toute l'installation.
1. La distribution radiale.
2. La distribution en boucle.
3. La distribution en peigne.
Pour notre projet on a opté la distribution radiale, afin d’assurer une bonne répartition des
charges.
D'usage général, c'est la plus employée en Algérie. Elle peut être réalisée comme indiqué dans les
figures ci-dessous :
III-2-1 Avantages :
III-2-2 Inconvénients :
Un défaut au niveau des départs principaux affecte les niveaux des départs
divisionnaires et des départs terminaux.
Deux postes HT/BT, les groupes électrogènes, les centrales privées, les alimentations statiques
ininterrompues (ASI), comme les blocs autonomes d'éclairage de sécurité en sont des exemples.
De cette manière un défaut qui affecte un circuit d'importance secondaire ne prive pas
l'alimentation d’un circuit prioritaire.
La séparation des circuits, organisée en fonction des grands textes réglementaires.
Tous les récepteurs ne sont pas utilisés forcément à pleine charge ni en même temps. Les facteurs
ku et ks permettent de déterminer la puissance d'utilisation maximale qui sert à dimensionner
l'installation.
Le régime de fonctionnement normal d'un récepteur peut être tel que sa puissance utilisée soit
inférieure à sa puissance nominale installée, d'où la notion de facteur d'utilisation. Le facteur
d'utilisation s'applique individuellement à chaque récepteur.
Dans le cas général, le facteur d’utilisation sera donné en fonction de la puissance utiliser et la
puissance fournie :
Tous les récepteurs installés ne fonctionnent pas simultanément. C'est pourquoi, il est permis
d'appliquer aux différents ensembles des récepteurs (ou de circuits) des facteurs de simultanéité. Le
facteur de simultanéité s'applique à chaque regroupement de récepteur (exemple au niveau d'un
tableau terminal, d'un tableau divisionnaire, d'une armoire…).
a) Cas général
Tableau (III-1) Exemple de Ks
Utilisation Ks
Eclairage 1
1
Chauffage et conditionnement d’air
0,9
Prises de courant 0,1 + ( )
N
Moteurs Moteur de grande puissance 1
Moteur de moyen puissance 0,75
Moteur de faible puissance 0,6
N : est le nombre de prises connecter à la même source
b) Cas des armoires de distribution : Tableau (III-2) : Exemple de Ks pour les armoires
Nombre De Circuits Ks
2 et 3 0,9
4 et 5 0,8
6 et 9 0,7
10 et plus 0,6
c) Cas d’un immeuble d’habitation
Dans le cas d’un immeuble d’habitation, Ks se détermine par rapport au nombre d’abonnés
desservis par un même circuit.
III-5-1 L’éclairage :
Le calcul de la puissance des tableaux divisionnaires secondaires et des coffrets se fait de la même
manière.
C’est la somme des puissances de tous les départs du TGBT multipliée par le coefficient de
simultanéité qui dépend du nombre de départs.
Pu × Ka
Ptrans = [KVA] for (III-8)
Cosϕ
Avec :
Pu : Puissance totale d’utilisation.
Ka : Coefficient d’augmentation (1,2 < Ka < 1,6)
Pour notre projet, on a secourue la salle de conférence, la salle de sport, l’entre sol et dans chaque
étage on a une partie qui est secourue (les dégagements et les escaliers)
Pu
PG = [KVA] for (III-9)
Cosϕ
Pu = P x Ku x Ks = 640 x 1 x 1 = 640 w
Tel que :
Puissance absorbée égal à : 450 + 376 w
4956
Donc : Ku = = 0,29
16896
Remarque : La valeur du coefficient d’utilisation sera fixée par la suite pour tous les cas des prises de
courant du projet à 0,5
Donc :
Pu = n x I x U x cos Φ x Ku x Ks
= 6 x 16 x 220 x 0,86 x 0,5 x 0,25
= 2112 w = 2,112 kw
c- Armoire machinerie :
Cette armoire génère les départs des différents équipements de l’installation de climatisation, la
puissance au niveau de cette armoire est la somme des puissances de tous les appareils sans tenir
compte du coefficient de simultanéité.
d- Armoire GPEG :
La puissance au niveau de cette armoire est la somme de la puissance des deux
GPEG multipliée par le coefficient d’utilisation (Ku=0,8) et le coefficient de simultanéité (Ks =0,9)
e- TGBT :
La puissance au niveau de TGBT est la puissance de toute l’installation, ce qui revient á sommer
toutes les puissances des armoires juste en aval :
f- La puissance du transformateur :
Le groupe électrogène choisi sera dimensionné selon les besoins des l’armoires (ANS entre sol,
ANS 001, ANS 002, ANS 101, ANS 201, ANS 301, ANS 401)
Pu 67
PG = = = 78 KVA
Cosϕ 0,86
On a choisi un groupe de 80 KVA (CUMMINS 4BTA3.9G3)
Pour qu’une installation puisse fonctionner convenablement et en toute sécurité on doit assurer
une bonne alimentation en énergie électrique, ce qui nécessite le transport du courant a travers un
réseau de câblage, qui doit obéir aux normes pour éviter n’importe quel incident qui pourrait
interrompre la continuité de marche de l’installation. Pour ce faire, on doit choisir le type de câble
adéquat et calculer la section qui convient à la puissance demandée par les différents récepteurs de
l’installation.
La chute de tension doit être acceptable et compatible avec les tentions existantes au départ
et souhaiter a l’arrivé.
Le choix du type de câble doit être compatible avec son mode de pose (enterrée, encastré,
chemin de câble, …etc.).
P
I=
U × Cosθ (Monophasé) [A] for (IV-1)
P
I=
3 × U × Cosθ (Triphasé) [A] for (IV-2)
Avec:
P : la puissance P (w).
U : la tension (U).
Cos φ : 0,86.
Δ U ad
Z max =
2 × I × L (Monophasé) [Ω/km] for (IV-3)
Δ U ad
Z max =
3×I×L (Triphasé) [Ω/km] for (IV-4)
Avec:
∆Uadm : la chute de tension admissible dans le circuit en (V), (voir tableau (IV-1))
L : la longueur du tronçon en (Km).
In : intensité du courant en (A).
Circuit Circuit
Eclairage Force
Du TGBT au tableau de
distribution divisionnaire 1% 1%
Total 6% 8%
La section déterminée doit être vérifiée à l’échauffement qui comprend deux cas :
On vérifie la section par le calcul de la chute de tension qui est donné par les formules suivantes :
2 × δ × I × L × cos ϕ
ΔU = (Monophasé) [V] for (IV-5)
S
3 × δ × I × L × cos ϕ
ΔU = (Triphasé) [V] for (IV-6)
S
Avec :
On vérifie la section par la méthode de la densité de courant qui est donnée par :
I
J= [A/mm²] for (IV-7)
S
Avec :
J : la densité du courant.
In : l’intensité du courant en (A).
S : la section du conducteur calculée en (mm²).
a. Circuit éclairage :
Pu 480
I= = =2,73 A.
U × cos ϕ 220 × 0,86
ΔUadm 6,6
Zmax = = = 23,29 Ω / km.
2 × I × L 2 × 2,73 × 0,0519
Pu 1972
I= = = 11,20 A.
U × cos ϕ 220 × 0,8
ΔUadm 11
Zmax = = = 7,98 Ω / km.
2× I × L 2 × 11,20 × 0,06147
c. Circuit Ventilo-Convecteurs :
Pu 560
I= = = 3,18 A.
U × cos ϕ 220 × 0,86
ΔUadm 11
Zmax = = = 48,8 Ω / km.
2 × I × L 2 × 3,18 × 0,03545
Pu 247500
I= = = 438 A.
3 U × cos ϕ 1,73 × 380 × 0,86
ΔUadm 3,8
Zmax = = = 0,2 Ω / km.
3 × I × L 1,73 × 438 × 0,025
438
J== = 4 ,6 A / mm², non vérifiée.
95
I 438
Donc : J = = = 1,32 A / mm², d’après le tableau (IV-3) la section et > 200mm2 (vérifié).
S 300
Les résultats sont donnés dans l’annexe installation électrique chapitre calcul de section
V-REGIME DE NEUTRE
V-1 Introduction :
L’énergie électrique, bien qu’utile, est dangereuse pour l’homme. Si un courant traverse le corps
humain, il y a risque de lésions voir de mort. Il est donc nécessaire de protéger les personnes contre
de tels dangers
L’étude des régimes des neutres permet de mettre en évidence les précautions à prendre en
matière de sécurité devant les risques électriques encourus.
Les différents régimes de neutre (appelés schémas de liaison à la terre, SLT) utilisés en
Algérie, pour les installations de Basse Tension, sont:
1) Schéma TT :
Type d'installation dans lequel un point de la source d'alimentation, généralement le neutre, est
relié directement à une prise de terre et dans lequel les masses sont reliées directement à la terre,
d'où il résulte qu'un courant de défaut entre un conducteur de phase et la masse, tout en ayant une
intensité inférieure à celle d'un courant de court-circuit, peut cependant provoquer l'apparition d'une
tension de contact supérieure à la tension limite conventionnelle de sécurité.
2) Schéma IT :
Type d'installation dans lequel la source d'alimentation est isolée ou présente un point,
généralement le neutre, relié à la terre par une impédance de valeur suffisamment élevée pour qu'un
premier défaut d'isolement entre un conducteur de phase et la masse, ne provoque pas l'apparition
d'une tension de contact supérieure à la tension limite conventionnelle de sécurité.
3) Schéma TN :
Type d'installation dans lequel un point de la source d'alimentation, généralement le neutre, est
relié à la terre et dans lequel les masses sont reliées directement à ce point de telle manière que tout
courant de défaut franc entre un conducteur de phase et la masse soit un courant de court-circuit.
Nous avons prévu la réalisation du schéma TT (neutre à la terre), car l’installation ne nécessite pas
une continuité de service impérative.
1. Sécurité:
Le courant de premier défaut se referme par la boucle comprenant les prises de terre, des masses
et du neutre. Un dispositif différentiel coupe l'alimentation dès que la tension de défaut Ud est
supérieure à 50 v ou 25 V.
Fig(V-1) Schéma TT
2. Les avantages :
3. Les Inconvénients :
Afin d’éviter la multiplication des prises de terre, on ramène les conducteurs de protection au
tableau de distribution. Ils sont reliés ensuite à la Terre par un piquet de terre ou autres. Le
conducteur de protection n’est pas distribué par l’EDF.
4. Le Type De Conducteur :
Le conducteur de protection est un conducteur Jaune/vert qui relie toutes les masses des appareils
à la Terre.
Dans ce cas, le différentiel 300 mA ne sert à rien. Seul un différentiel 30 mA peut sauver l’utilisateur.
La résistance de terre étant trop élevée, le courant de fuite sera inférieur au courant de
déclenchement du différentiel.
Le différentiel ne déclenche pas et ne sert donc à rien.
La carcasse sera portée à un potentiel dangereux.
Ce cas de non déclenchement de la protection peut aussi être dû à un desserrage un mauvais
serrage des cosses de terre
C’est donc par souci de sécurité, que la législation a rendu l’installation d’une prise de terre. Elle
évite des élévations dangereuses potentiel des masses, et une mise sous tension accidentelle
métalliques ou conductrice pouvant être touchées par un individu. Une tension anormale (ou «
tension de défaut ») est crée, l’écoulement de la prise de terre du « courant de défaut » associé,
permettra le déclenchement si nécessaire des dispositifs de protection. Une prise doit être toujours
donc être associée à un dispositif de coupure, sinon elle n’a pratiquement aucun intérêt.
Il faut mettre à la terre le corps métallique de tout élément qu'on peut toucher, qui est
normalement isolé du courant électrique mais qui risque d'être en contact avec le courant : chauffe-
eau, cuisinière, machine à laver, réfrigérateur, moteur, lampadaire, tube fluorescent, cadre
métallique d'une porte, etc. On relie donc à la terre :
Les appareils d'une installation électrique (socles de prises) et les conducteurs de
protection (fil jaune et vert) de tous les circuits électriques.
Les masses des appareils de classe I qui ont une borne de terre signalée par le
(symbole )
La prise de terre est constituée d’une électrode en métal, bon conducteur qui ne craint pas la
corrosion et qui est en bon contact avec le sol.
L’électrode peut être de différents types, avec les dimensions minimales indiquées :
Une bonne prise de terre doit avoir une résistance électrique déterminée en fonction de la
sensibilité du dispositif différentiel de l'installation de la maison. La résistance maximale de la prise
de terre doit être de 100 ohms.
3. Le piquet enfoncé au moins jusqu’à deux mètres. C’est une technique utilisée pour créer une
prise de terre pour un bâtiment existant Fig (VI-3).
La connexion doit être sûre, durable et protégée contre la corrosion. Les canalisations de terre et
les conducteurs de protection doivent être protégés mécaniquement dans les traversées de planchers
et parois et ne jamais être encastrés directement. Les liaisons sont réalisées avec des fils conducteurs
de section précise :
Le conducteur de terre qui assure la liaison entre la prise de terre et la barrette de mesure : 16
mm² en cuivre isolé ou 25 mm² en cuivre nu.
Les conducteurs de protection qui vont du tableau de répartition aux appareils électriques et
aux prises de courant : 2,5 mm2 s'il est protégé mécaniquement ou 4 mm2 s'il n'est pas
protégé.
On établit de préférence les prises de terre dans les fonds de fouille des bâtiments ou dans les
caves et, de toute façon, dans des endroits abrités de la sécheresse et du gel.
Une prise de terre doit être éloignée de tout dépôt ou infiltration qui peut la corroder:
produits chimiques, fumier, purin, etc
L'utilisation de canalisations de distribution publique d'eau n'est pas autorisée par les
distributeurs d'eau.
Il est interdit d'utiliser comme prise de terre les canalisations d'eau, de gaz ou de chauffage
central, et les gaines métalliques des câbles.
La résistivité est très variable selon les régions et la nature des sols car elle dépend du taux
d’humidité et de la température (le gel ou la sécheresse l’augmentent).
2) Formule De Calcul :
Tableau (VI-2) : Formule de calcul
Dans une installation aux normes, et pour garantir la sécurité des individus, il faut que les
dispositifs de protection se déclenchent dès qu’une « tension de défaut » circulant dans l’installation
dépasse la tension limite par le corps humain. Dans le but de minimiser les risques, nous
considérerons :
U limite = 25V
De plus, de façon générale, dans les installations domestiques, dispositif de coupure différentiel
(DDR) associé à la prise de terre accepte une élévation de courant de 500 mA.
Par la loi d’Ohm, U=RI
On obtient : R = 25 V / 0,5 A = 50 Ω
Pour garantir la sécurité des individus et des biens, il faut que la de la prise de terre soit inférieure
à 50 Ω : R terre < 50 Ω
Pour ce projet il a été prévu de mettre une boucle de fond de fouille, elle consiste à placer sous le
béton de propreté à au moins 1 ,5 m de profondeur, un conducteur en cuivre étamé de section
28mm², attaché au ferraillage des fondations.
2×δ
R= [Ω] for (VI-1)
L
2 × 50
R= =0,724 Ω < 50 Ω ok
138
2) Avantage De L’installation :
Toutefois, L’efficacité des mesures de sécurité mises en oeuvre n’est garantie que si des contrôles
réguliers attestent de leur bon fonctionnement.
VII- PROTECTION :
VII-1 Introduction :
Toute installation doit être protégé par un des dispositifs assurant la protection du matériel et des
personnes. Ces dispositifs peuvent être des fusibles ou des disjoncteurs. Les dispositifs de protection
assurent la protection du matériel contre les surcharges et les courts circuits, et la Protection des
personnes contre les contacts directs et indirects.
Toute l’installation électrique doit être convenablement et divisée en plusieurs circuits, afin de :
La protection des personnes contre les dangers du courant électrique, qu’on doit réaliser
conformément aux normes NFC 12.100 et NFC 15.100, c’est la protection contre :
L’isolation des parties actives, en disposant une isolation fonctionnelle autour de ces parties
(revêtement isolant extérieur d’un câble).
Toute installation électrique est prévue pour une tension et une intensité donnée, mais elle peut
être le siége des perturbations accidentelles que l’on peut empêcher.
Elle consiste à disposer à l’origine du circuit, un appareil unipolaire ou multipolaire dont le but est
d’interrompre le courant lorsque celui-ci dépasse une certaine valeur, les surintensités peuvent être
causer, soit par :
1. Les surcharges normales : Elle se produisent lors du démarrage des moteurs, elle sont
passagères et peu dangereuses.
2. Les surcharges anormales : ces surcharges surviennent lorsque les équipements
installées sont trop puissants pour les lignes d’alimentation, ou bien quand le travail
demandée à une machine est trop important.
Pour les surcharges, on utilise des disjoncteurs thermiques temporisés, qui peuvent supporter le
démarrage des moteurs.
1. Les courts-circuits :
C’est l’élévation brutale du courant absorbé par le circuit due à un contact entre deux
conducteurs de polarité différente.
2. Type de protection :
1. Des fusibles.
2. Des disjoncteurs magnétiques.
Le courant de court-circuit apparaît lors d’un contacte accidentel entre deux phases ou entre une
phase et un neutre ou entre les trois phases ou un défaut d’isolement.
Donc, nous devrons prévoir des moyens de protection qui ouvriront rapidement le circuit à défaut,
pour cela, on doit calculer ces courants, afin de bien choisir le pouvoir de coupure de la protection.
Le courant de court circuit est calculé par la formule suivante :
Uo
Icc = [A] For (VII-1)
3 × Zt
Avec:
Zt² = ∑ R² + ∑X² [mΩ] For (VII-1)
Où :
U0 : tension entre phases du transformateur.
U0= 400 V pour réseau 380 V.
U0 = 230 V pour réseau 220 V.
Zt : impédance totale par phase en amont du défaut en (mΩ).
∑ R : la somme des résistances situées en amont d’un point en (mΩ).
∑X : la sommes des réactances situées en amont d’un point en (mΩ).
VII-5-1 Calcul des résistances et des réactances des différents points de l’installation :
Pcc(MVA) U0(V) R (m Ω ) X (m Ω )
230 0,03 0,21
250 MVA
400 0,095 0,633
230 0,016 0,105
500 MVA
400 0,047 0,316
Réactance Xc
Section (mm²) Résistance Rc
Câble Câble
Unipolaire (mΩ/m) Tripolaire (mΩ/m)
1,5 15.33 0.218 0.104
2,5 9.18 0.203 0.097
4 5.75 0.191 0.091
6 3.88 0.180 0.085
10 2.31 0.166 0.080
16 1.45 0.157 0.077
25 0.916 0.148 0.076
35 0.660 0.140 0.074
50 0.488 0.133 0.073
70 0.338 0.126 0.072
95 0.244 0.120 0.071
120 0.195 0.113 0.070
150 0.159 0.111 0.070
185 0.127 0.108 0.070
240 0.099 0.105 0.070
300 0.080 0.10 0.070
VII-6 Exemple de calcul : armoire normale secouru de 1er étage.
ANS 101
Elément Données U0 X R Z Xt Rt Zt Icc
Considéré V mΩ mΩ mΩ mΩ mΩ mΩ KA
Pcc(MVA) = 500
Réseau amont 400 0,32 0 0,32 0,32 0 0,32 722,5434
Uo(V) = 400
S (KVA) = 630
Transformateur Ucc = 0,04 400 10,25 0 10,25 10,57 0 10,57 21,87454
Uo(V) = 400
Transformateur -
ρ(Ωmm²/m) = 18,51
L(m) = 15 400 1,35 0,69 1,518 11,92 0,69 11,94 19,36433
S(mm²) = 400
Disjoncteur
Uo(V) = 400
Disjoncteur TGBT ـ ـ ـ ـ ـ ـ ـ ـ ـ ـ
ρ(Ωmm²/m) = 18,51
Disjoncteur -
L(m)= 2
400 0,3 0 0,3 12,22 0,69 12,24 18,89049
S(mm²)= 400
jeu de barre TGBT
Uo(V)= 400
Disjoncteur -
ρ(Ωmm²/m) = 18,51
L(m)= 2 400 0,3 0 0,3 17,59 121 122,3 1,890842
S(mm²)= 6
jeu de barre ANS 101
Uo(V)= 400
Pour une protection satisfaisante des installations, les disjoncteurs doivent être bien calibré pour
réaliser une protection efficace. Et pour cela ils doivent répondre à trois conditions :
Ir ≥ Ib
Le courant de réglage Ir doit être inférieur au courant admissible Iz que supporter le câble :
Ir ≤ Iz
Son pouvoir de coupure Pdc doit être supérieur ou égale au courant de court-circuit Icc :
Pdc ≥ Icc
VII-6-2Calcul du courant de réglage :
Pour éliminer le risque d’ouverture du circuit dans le cas d’un fonctionnement a pleine charge, une
marge de sécurité est prise en considération pour le calcul du courant de réglage. Cette marge peut
aller de 20 % a 50 % du courant nominale afin d’éviter le risque d’ouverture du circuit sauf en cas de
défaut.
Dans notre projet on a pris 20 % de marge. D’où, le courant de réglage est donné par la formule
suivante :
Ir = 1,20 In
Avec :
Ir : courant de réglage.
In : courant nominale du récepteur.
VII-6-2-1Exemple de calcul:
On prend comme exemple le départ N°6 du CD102 du 1ér étage alimentant un circuit d’éclairage de
puissance totale de 790 W.
P
On a : In = (circuit monophasé)
U × cos ϕ
790
D’ou: In = = 4,48 A.
220 × 0,8
On a: Ir = 1,20 In
VIII- SELECTIVITE
VII-1 Principe de sélectivité :
Un défaut en un point d’installation, doit être éliminé par le dispositif de protection placé
immédiatement en amont de ce défaut, et si possible, par lui seul.
La sélectivité est TOTALE, si pour toute valeur de Icc triphasé présumé, seul le dispositif AVAL
fonctionne.
La sélectivité est PARTIELLE si le dispositif AVAL fonctionne seul jusqu’à une valeur de court-
circuit inférieure à Icc présumé. Au-delà AMONT et AVAL fonctionnent.
En cas de défaut sur le premier récepteur les DDR de Q1 et de Q2 sont traversés par le même
courant de défaut. Il est donc impératif d'avoir une sélectivité entre ces deux appareils si l'on désire
avoir une continuité de service.
Il est donc nécessaire de régler le seuil de non fonctionnement du DDR de Q1 (IdnQ1/ 2) supérieur ou
au moins égal au seuil de fonctionnement du DDR de Q2 (IdnQ2).
La sélectivité est donc limitée à des valeurs de . On dit qu'il y a une sélectivité ampère
métrique partielle.
Pour obtenir la sélectivité dans tous les cas, il est nécessaire de retarder le fonctionnement du DDR
de Q1. Il s'agit dans ce cas d'une sélectivité chronométrique.
IX-1 introduction :
Toute installation électrique alimentée en courant alternatif met en jeu deux formes d’énergies :
L’énergie active correspond à la puissance active P mesurée en kW ; elle se transforme
intégralement en énergie mécanique (travail) et en chaleur (pertes).
IX-2 Définition :
1. Le facteur de puissance
2. La puissance active P
La puissance active se transforme intégralement en travail et en chaleur (pertes), elle est mesuré à
l’aide d’un watt mètre approprié. L’énergie active est enregistrée par un compteur « actif » et facturée
par la compagnie de distribution.
3. La puissance réactive Q
Elle est nécessaire à l’excitation magnétique des récepteurs. Elle est enregistrée par un compteur
d’énergie réactive.
Pour une puissance active donnée P(kW), la valeur de la puissance réactive Qc (KVAR) à installer est :
Avec :
tgφ :correspond au Cosφ de l’installation sans compensateur soit mesuré ou estimé.
tgφ = Q/P.
tgφ’= 0,5 : correspond a Cos φ’ = 0,92 qui est la valeur qui permet de ne pas payer les pénalités de
l’énergie réactive
Le tableau suivant donne les valeurs de K (puissance du condensateur) en (kVAR) à installer pour
augmenter le facteur de puissance
La localisation des condensateurs BT sur un réseau électrique constitue ce que l’on appelle le mode
de compensation. La compensation d’une installation peut être réalisée de différentes façons. Cette
compensation peut être globale, partielle (par secteur), ou locale (individuelle).
La batterie est raccordée directement aux bornes de chaque récepteur de type inductif (notamment
moteurs).
Le Cos φ désiré pour éviter la consommation excessive de l’énergie réactive est 0,92.
D’où, la puissance du condensateur en kVA a installer par KW de charge pour relever le facteur de
puissance est K = 1,303 kVA.
On a :
Qc = K*P.
Qc = 1,303 x 247,68
Qc = 224,15 kVA.
La détection manque tension se fera par un relais volt métrique, lorsqu’il y a manque de tension
entamant du disjoncteur général, on a les opérations suivantes :
L’éclairage de balisage.
L’éclairage d’ambiance
Il est obligatoire de mettre un éclairage de balisage aux sorties des salles et dans les
dégagements (couloir, escalier, hall).
Bien signaler tous les changements de direction, obstacles, sorties avec des étiquettes
adhésives.
Bloc a incandescence pour l’éclairage de balisage.
Pour notre projet, on a prévu des blocs autonomes pour chaque palier d’escalier, dans chaque sortie
et dans les couloires et les halls.
CONCLUSION GENERALE
Finalement un tel projet a été pour nous une partie d’expérience qui
nous a permis de réunir la théorie, la pratique, d’enrichir et d’élargir
toutes les différentes connaissances acquises durant notre formation.
FIN