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Courants économiques :

1. Pré-classiques (il n'en reste plus) :


- Période avant l'émergence des courants économiques majeurs.

2. Classiques (1776 juste avant l'indépendance et la révolution française - milieu du 19e) (il n'en
reste pas) :
- Jean-Baptiste Say (1767-1832) est l'un des économistes classiques.
- L'économie est la connaissance des lois qui président à la formation, à la distribution et à la
consommation des richesses.

3. Marx + Marxisme (milieu du 19e -) (il en reste peu) :


- Karl Marx est le principal représentant de ce courant.
- Critique du capitalisme et recherche d'une société sans classes.

4. Néoclassiques (1870 -) (c'est la majorité) :


- Adoption d'une approche basée sur le marché et les choix individuels.
- Léon Walras (1834-1910) est une gure majeure de ce courant.

5. Keynes + Keynésiens (1930 -) (il en reste peu mais plus que les marxistes) :
- John Maynard Keynes est le fondateur de cette école de pensée.
- Accent mis sur l'intervention de l'État pour réguler l'économie.

Approches méthodologiques :

1. Les lois économiques : naturelles ou sociales ?

- Les classiques utilisent souvent le terme "naturel" pour décrire les lois économiques.
- Les néoclassiques; l'économie = science des choix, dès lors qu'il y a un marché.
- Marx s'oppose à cette; les lois économiques = pas plus féodales que celles de la société
esclavagiste.

2. Individualisme méthodologique vs holisme méthodologique :


- L'individualisme méthodologique (néoclassiques) cherche à comprendre la société à partir des
individus.
- Le holisme méthodologique (marxistes) cherche à comprendre les individus à travers les
causes de la société.

1. Homo oeconomicus :
- Représentation théorique de l'individu rationnel, sans déterminations spéci ques, utilisée par
les néoclassiques.

2. Diversité des courants de pensée en économie :


- La diversité provient de la discussion de problèmes di érents ou de perspectives di érentes
sur les mêmes problèmes.
- Certaines idées fausses peuvent persister en raison des intérêts et des besoins sociaux
qu'elles servent.

3. Objectivité vs subjectivité :
- L'objectivité recherche une représentation neutre du monde réel.
- La subjectivité peut être in uencée par des intérêts et des partis pris.

4. Science économique :
- Recherche d'une représentation du monde la plus proche de la neutralité.
- Certaines idées sur le comportement humain peuvent ne pas être véri ables, remettant en
question le statut de l'économie en tant que science.
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- Il existe deux grandes approches pour étudier l'économie : l'approche statique, qui se concentre
sur l'équilibre sur le marché, et l'approche dynamique, qui considère l'économie comme un
système en constante reproduction.

- La production est le processus de transformation des intrants en produits nis. La valeur ajoutée
est la nouvelle valeur créée au cours de la production, correspondant à la di érence entre la
valeur des produits nis et la valeur des intrants.

- La consommation productive se réfère à l'utilisation de biens et services dans le processus de


production, tandis que la consommation nale correspond à l'utilisation de biens et services pour
la satisfaction directe des besoins.

- Le PIB (Produit Intérieur Brut) mesure les ux marchands dans une économie, mais il ne prend
pas en compte l'amortissement. Le PIN (Produit Intérieur Net) est une mesure qui tient compte de
la valeur ajoutée nette et des revenus dans l'économie.

- Les revenus du travail et les revenus du capital sont les deux principales catégories de revenus
dans une économie. Les salaires sont des revenus contractuels, tandis que le pro t est ce qui
reste de la valeur ajoutée après avoir payé les salaires et les autres dépenses.

- Le dividende est un revenu de la propriété versé aux actionnaires qui ont mis des capitaux à
disposition d'une société. Les loyers ne sont pas considérés comme des consommations
intermédiaires, car ils sont liés à l'utilisation de biens immobiliers.

- Les principales questions de la science économique portent sur la nature de la valeur ajoutée,
l'explication du pro t, les facteurs qui favorisent ou entravent la croissance économique,
l'intervention de l'État dans l'économie et la durabilité de la croissance économique.

Ces débats existent depuis le début du 19e siècle et continuent d'animer la discipline
économique.

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**Les Principaux Courants Économiques**

1. Antiquité:
- Peu de travaux économiques, peu de théorie économique.
- Valeur d'échange basée sur le travail contenu dans les biens.
- Aristote - premier penseur à se demander les termes de l'échange.

2. Mercantilisme (XVIe-XVIIIe siècle):


- Concentration sur le commerce et la nance.
- La richesse est augmentée aux dépens des autres nations.
- Guerre militaire et commerciale pour augmenter la richesse de l'État.
- Interventionnisme, nationalisme, protectionnisme.
- Favorisation de la bourgeoisie pour la puissance de l'État.
- Colonialisme pour accéder aux ressources et mains-d'œuvre esclaves.

3. Utopie (Thomas More):


- Critique de la société de son époque.
- Imaginer un lieu idéal qui n'existe pas (utopie).

4. Physiocratie (XVIIIe siècle):


- Nature comme pouvoir dominant.
- Recherche des rapports économiques naturels.
- Valeur ajoutée provient de l'agriculture.
- Circuit économique représenté par les classes sociales.

5. Transition vers le libéralisme (XIXe siècle):


- Changement de la pensée économique du protectionnisme vers le libéralisme.
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- Physiocrates précurseurs du libéralisme.
- Liberté du commerce et de l'échange.

1) Adam Smith et son livre "La Richesse des nations" :


- Adam Smith était un philosophe et économiste écossais du XVIIIe siècle, considéré comme l'un
des pères fondateurs de l'économie moderne.
- Publié en 1776, son livre "La Richesse des nations" est souvent considéré comme l'œuvre
fondatrice de l'économie politique.
- Smith a écrit le livre pendant la période de la révolution américaine, dans un contexte où le
capitalisme et les idées libérales commençaient à s'a rmer.
- Son voyage en France en 1760 a été marquant, car il a pu discuter avec les physiocrates, un
groupe d'économistes français, et échanger des idées sur l'économie politique.

2) La division du travail et l'échange selon Smith :


- Adam Smith a observé que la division du travail conduit à une augmentation de la productivité. Il
a pris l'exemple de la manufacture d'épingles, où une spécialisation des tâches permettait de
produire un plus grand nombre d'épingles.
- Smith a souligné que la division du travail nécessite des échanges, car les individus doivent
obtenir les biens et services qu'ils ne produisent pas eux-mêmes.
- Il a fait valoir que la monnaie facilite les échanges en servant d'intermédiaire communément
accepté, permettant ainsi une plus grande uidité dans les transactions commerciales.

3) La théorie de la valeur :
- Dans "La Richesse des nations", Smith a développé une théorie de la valeur basée sur le travail.
Selon lui, la valeur d'une marchandise dépend de la quantité de travail nécessaire à sa
production.
- Il a critiqué la théorie subjective de la valeur qui faisait dépendre la valeur d'un bien de l'utilité
perçue par les individus.
- Bien que sa théorie de la valeur ait été critiquée pour sa tautologie, d'autres économistes
classiques comme David Ricardo ont repris ses idées et ont développé des théories plus
approfondies.

4) Le marché et la "main invisible" :


- Adam Smith a soutenu que les individus, en poursuivant leur intérêt personnel, contribuent
involontairement à l'intérêt général grâce au mécanisme du marché.
- Il a utilisé le terme de "main invisible" pour décrire comment les interactions économiques sur le
marché, régies par la concurrence, conduisent à des résultats béné ques pour la société dans
son ensemble.
- Selon Smith, la concurrence encourage les individus à améliorer leur productivité, à innover et à
répondre aux besoins du marché pour maximiser leurs propres pro ts.

5) Travail productif et improductif :


- Smith a distingué entre le travail productif et le travail improductif. Le travail productif est celui
qui contribue directement à la création de biens et de services ayant une valeur sur le marché.
- Il a souligné que les travailleurs productifs génèrent de la valeur ajoutée, car leur travail aboutit à
la production de biens qui peuvent être vendus.
- Smith a également mentionné les travaux improductifs, tels que les retraités, les inactifs, les
enfants, qui ne participent pas directement à la création de richesse marchande.

1) Les idées d'Adam Smith :


- Adam Smith était un économiste et philosophe écossais du XVIIIe siècle, considéré comme l'un
des fondateurs de l'économie politique moderne.
- Smith a développé l'idée selon laquelle la croissance économique est favorisée par
l'accumulation du capital, résultant de l'épargne et de l'investissement.
- Il soutenait que les capitalistes devraient réinvestir une partie de leurs revenus plutôt que de les
dépenser, ce qui permettrait d'améliorer la productivité et d'encourager la croissance
économique.
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- Smith a également mis en avant le rôle de la division du travail dans l'augmentation de
l'e cacité et de la production.

2) David Ricardo et la théorie de la valeur :


- David Ricardo était un économiste anglais du XIXe siècle, connu pour son travail sur la théorie
de la valeur.
- Ricardo cherchait à expliquer les prix relatifs des biens et s'est concentré sur le travail comme
facteur déterminant de la valeur.
- Selon Ricardo, la valeur d'une marchandise dépend de la quantité de travail nécessaire à sa
production, et non du salaire versé aux travailleurs.
- Il a introduit l'idée des prix naturels et des prix de marché, où les forces de l'o re et de la
demande in uencent les prix à court terme.

3) La main invisible et l'équilibre chez Ricardo :


- Ricardo a également utilisé le concept de la main invisible, inspiré par Adam Smith, pour
expliquer comment les forces du marché conduisent à une certaine harmonisation économique.
- Selon lui, les prix du marché agissent comme un signal pour les capitalistes, qui s'ajustent en
conséquence et contribuent à l'équilibre économique.
- Ricardo a distingué entre les équilibres stables et instables, où un équilibre stable est une
situation où les forces qui ramènent les prix vers leur niveau naturel sont fortes, tandis qu'un
équilibre instable peut être perturbé facilement.

4) Limites de la théorie de Ricardo :


- La théorie de la valeur de Ricardo a été critiquée pour ne pas expliquer la présence des pro ts
dans l'économie.
- Certains économistes utilitaristes ont soutenu que la valeur des biens dépend de leur utilité
plutôt que du travail nécessaire à leur production.
- Cependant, les partisans de Smith et de Ricardo ont fait la distinction entre la valeur d'usage et
la valeur d'échange, a rmant que la valeur des biens est déterminée par les conditions de
l'échange.

Théories économiques :

1. J-B Say et la valeur-utilité :


- La valeur des biens est déterminée par leur utilité pour les consommateurs.
- Tous les acteurs économiques sont des producteurs, qu'il s'agisse des salariés, des capitalistes
ou de la terre.
- Pas de di érence entre valeur et prix de marché.
- Le salaire correspond à la valeur créée par le producteur.
- Rejet du concept de pro t en tant que tel, considéré comme une forme d'intérêt.

2. Théorie de la rente chez Ricardo :


- La terre ne crée pas de valeur ajoutée, mais elle est une ressource limitée appropriée par des
propriétaires.
- Les terres agricoles ont des fertilités inégales, ce qui in uence le prix des produits agricoles.
- La rente foncière joue un rôle important dans la xation des prix de production agricole.

3. La dynamique de long terme :


- Les idées de Malthus sur la population et la croissance.
- La tendance à la croissance exponentielle de la population face aux ressources limitées.
- Les moyens proposés pour limiter la population.
- L'opposition de Malthus à l'assistance aux pauvres.

4. Les crises capitalistes :


- Les crises de surproduction dans le capitalisme.
- Di érence avec les crises précapitalistes liées à la sous-production.
- Les crises capitalistes sont des crises de surproduction accompagnées de dé ation.
- La loi de Say, qui a rme que toute o re crée sa propre demande.
- Remise en question de cette loi par certains économistes, comme Malthus.
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5. La dynamique de long terme :
- Malthus et la loi de la démographie : tendance à une croissance exponentielle de la population
face aux ressources limitées.
- Proposition de moyens de limiter la croissance démographique tels que l'âge du mariage, le
contrôle de la contraception, l'abstinence volontaire (mais qui ne fonctionnent que pour les
riches).
- Opposition de Malthus à l'assistance aux pauvres, considérant que cela encouragerait une
augmentation de la population sans solution durable.

6. La question des crises :


- Les crises capitalistes : une nouvelle forme de crise économique induite par le capitalisme.
- Les crises capitalistes sont des crises de surproduction, avec des marchandises invendables.
- Di érence entre les crises précapitalistes (sous-production) et les crises capitalistes
(surproduction).
- Les crises capitalistes entraînent une crise de dé ation, contrairement aux crises précapitalistes
qui étaient caractérisées par l'in ation.

2. La loi de Say :
- La loi de Say a rme que toute o re crée sa propre demande.
- L'économie s'ajuste en permanence grâce à la production, aux revenus et à la consommation.
- La monnaie est un simple intermédiaire d'échange.
- La loi de Say est soutenue par la majorité des économistes, mais Malthus s'y oppose.

Partie 4 : Karl Marx :


- Le matérialisme historique : les sociétés sont déterminées par leur structure économique.
- Les classes sociales sont déterminées par le capitalisme, et Marx préconise leur renversement.
- La valeur et la plus-value : le salarié ne vend pas son temps de travail, mais sa capacité de
travail. Le salaire est inférieur à la valeur créée, générant ainsi de la plus-value.
- Le capitalisme cherche à augmenter la plus-value absolue (baisse des salaires ou augmentation
de la journée de travail) et la plus-value relative (augmentation de la productivité).
- Les progrès techniques sont le levier du capitalisme, mais peuvent aussi conduire à des crises
de surproduction générale.
- Les crises capitalistes sont des périodes de déséquilibre entre l'o re et la demande, in uencées
par la réserve de valeur de l'argent et les comportements des agents économiques.

Résumé du cours précédent :


- Le consommateur a des préférences avant même de classer les prix.
- La contrainte budgétaire est représentée par une droite.
- Le consommateur choisit le plaisir maximum qu'il peut obtenir au prix le plus bas possible.
- Les prix sont proportionnels aux utilités marginales.
- L'équilibre du producteur consiste à maximiser la production en combinant les biens de
consommation de manière rationnelle.
- Le producteur cherche à réduire les coûts par unité de production en fonction du prix des
facteurs de production.
- Les prix rémunèrent l'utilité marginale des facteurs de production chez le producteur.
- L'utilité marginale contribue à créer de la valeur ajoutée.
- Un salaire élevé pour un salarié est dû à une productivité marginale élevée.
- Selon la loi de Say, l'argent qui n'est pas utilisé pour la consommation sera réinvesti.
- Les néoclassiques expliquent qu'il existe deux types de marchés : le marché des biens de
consommation et le marché des biens d'investissement.
- Le taux d'intérêt in uence l'o re et la demande sur les marchés de biens d'investissement.
- Un taux d'intérêt élevé entraîne une augmentation de l'o re de biens de production, et
inversement.
- Le taux d'intérêt fonctionne à l'inverse de l'investissement.
- Pour qu'un marché fonctionne bien, certaines conditions doivent être respectées : atomicité,
libre entrée et sortie des acheteurs et des vendeurs, transparence de l'information.
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- Les néoclassiques estiment que l'intervention de l'État perturbe le prix d'équilibre et préconisent
une coordination du marché.
- Sur le marché du travail, l'o re est une fonction croissante de la demande, et la demande est
une fonction décroissante de l'o re.
- Selon les néoclassiques, il n'y a pas de chômage involontaire, sinon il n'y aurait pas de salaire
d'équilibre.
- Les prestations sociales augmentent le salaire d'équilibre et réduisent le niveau d'emploi.

Partie 6 : John Maynard Keynes


- Keynes est un économiste anglais né à la n de la Première Guerre mondiale.
- Il se distingue par des positions minoritaires concernant les réparations de guerre et le traité de
Versailles.
- Il prend position sur la crise des années 1930 et a rme que l'État doit impérativement intervenir.
- Les idées de Keynes n'ont pas inspiré les politiques de Roosevelt.
- Keynes se considère comme socialiste, libéral et veut sauver le capitalisme.
- Il soutient l'intervention de l'État pour sauver l'économie.
- Selon Keynes, le chômage involontaire est dû à un équilibre de sous-emploi où les entreprises
ne veulent pas embaucher, indépendamment du niveau de salaire.
- Les anticipations futures sont plus déterminantes pour la demande de travail que le prix actuel.
- La monnaie n'est pas neutre et joue un rôle crucial dans l'économie capitaliste.

- Les agents économiques peuvent avoir des raisons de préserver de la monnaie.


- La monnaie est une réserve de valeur.

Merci de partager ces informations supplémentaires sur Keynes et les néoclassiques. Voici un
résumé des points importants :

John Maynard Keynes :


- Bien que les politiques inspirées par Keynes n'aient pas été largement mises en œuvre, il y a une
convergence d'idées entre di érents économistes.
- Keynes n'est pas un anti-capitaliste radical, mais il soutient l'intervention de l'État pour sauver
l'économie.
- Selon Keynes, le chômage involontaire est dû à un équilibre de sous-emploi où les entreprises
ne veulent pas embaucher, indépendamment du niveau de salaire.
- Il considère que le capitalisme peut être comparé à un "casino économique" où la spéculation
peut entraîner des dysfonctionnements économiques.

Le rôle actif de la monnaie :


- Keynes remet en question l'idée néoclassique selon laquelle la monnaie n'a pas de valeur
intrinsèque.
- Le taux d'intérêt est une variable monétaire qui détermine la répartition entre l'argent liquide et
les placements nanciers.
- Keynes souligne l'importance des anticipations futures dans la demande de travail et a rme
que c'est à l'État d'intervenir pour réguler les uctuations économiques.

La chaîne causale :
- Keynes utilise souvent des raisonnements en forme de circuit pour expliquer ses idées.
- Il soutient que l'investissement ne dépend pas uniquement de l'épargne, car les banques
peuvent créer de l'argent par le biais de prêts.
- La demande e ective, qui est basée sur les anticipations des capitalistes, est un facteur
déterminant pour l'emploi et l'investissement.

Politique économique :
- Keynes préconise l'intervention de l'État pour contrer les décisions des capitalistes qui peuvent
ralentir l'économie.
- L'État peut agir sur la demande par le biais de politiques budgétaires, en rendant l'argent moins
coûteux pour favoriser l'investissement, et en employant directement des personnes pour des
travaux publics.
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- Keynes soutient que l'État peut nancer ses interventions par la dette, car cela permet de
relancer l'économie et de combler les dé cits ultérieurement.

Il est intéressant de noter que malgré la domination des idées néoclassiques et néolibérales,
l'intervention de l'État dans l'économie continue d'augmenter, ce qui montre une certaine
convergence avec les idées de Keynes.

N'hésitez pas à consulter le cours sur www.pise.eco.fr pour obtenir des informations
complémentaires et conclure votre révision.
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