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du cours
“L’économie est la science qui étudie comment
des ressources rares sont employées pour la
satisfaction des besoins des hommes vivant en
société ; elle s’intéresse, d’une part, aux
opérations essentielles que sont la production, la
distribution et la consommation des biens,
d’autre part, aux institutions et aux activités
ayant pour objet de faciliter ces
opérations” (Malinvaud, 1969)
→Synthèse intéressante de différents courants
dans la doctrine économique même si elle
n'est pas parfaite
Section 1. Définition des fondamentaux de la
science économique
Sur la notion d’économie
Sur la science économique
• L’approche classique
• L'approche marxiste
• L'approche marginaliste
Sur les opérations en économie
• La notion de production
• Les facteurs de production
• L'investissement
• La consommation de ménages
• L'épargne
• L'enchaînement des opérations en
économie
Synthèse des notions économiques
La microéconomie : point de vue que
l’économiste prend en compte.
La microéconomie modélise les comportements
individuels sur la base de quelques hypothèses :
rationalité des agents et comportement
maximisateur. Mais cette description des
comportements individuels ne peut déboucher
sur une théorie du fonctionnement des marchés
qu’au prix de simplifications qui limitent
considérablement la valeur opérationnelle de
cette théorie.
La macroéconomie, au contraire, étudie les
grandeurs agrégées (le produit, l’investissement,
la consommation) directement, sans les déduire
des comportements individuels. Elle utilise
souvent la représentation du circuit, articulation
de flux monétaires et réels. Le partage du
revenu des ménages entre consommation et
épargne est une variable économique
importante, étudiée depuis longtemps par les
économistes.
Section 2. L’histoire de la pensée économique
(approche synthétique)
Les mercantilistes (1450-1750 environ) : première
école de penser qui a fait œuvre de
systématisation et qui ont essayé de définir les
grandes règles de l’action économique de
l’Etat. Colbert en est une grande figure.
Ils sont à l’origine de l’expression économique
politique. C’est une pensée économique qui
cherche quels sont les moyens dont dispose un
pays pour s’enrichir. Un des moyens que dispose
les pays pour s’enrichir est l’accumulation des
métaux précieux. Cette vision de la richesse
favorise des politiques commerciales
protectionnistes. Les mercantilistes considèrent
qu’un pays s’enrichit si sa balance commerciale
est excédentaire. L’Etat doit donc accorder des
privilèges à ses propres compagnies, ou avec
notre propre colonie (Colbert appelle ça le
commerce exclusif). C’est à l’Etat de mettre en
œuvre la politique commerciale et de
développer l’industrie nationale.
Les physiocrates et le circuit économique :
mouvement né au siècle des Lumières qui se
développe notamment en France. C’est une
véritable école et le père fondateur est F.
Quesnay (1694-1774), le médecin royal de Louis
XV. Mirabeau et P. Dupont de Nemours en font
partis. Ce sont les premiers qui ont développé
une méthode qui se veut scientifique => science
économique. Ils analysent en termes de circuit.
Le premier Tableau économique date de 1758.
Ils ont une définition particulière de la richesse
économiste distincte de celle des mercantilistes :
la richesse est fondée sur la terre (sens foncier =
seul l’agriculture peut faire naître un produit net).
Il y a les rentiers qui sont les propriétaires fonciers,
les agriculteurs qui est la classe productive et les
artisans qui est la classe improductive. Les
artisans sont considérés comme étant la classe
improductive car ils transforment le produit mais
ne le créent pas. Les physiocrates mettent en
évidence les relations entre les différents agents
qui participent à l’économie.
Il y a une limitation du rôle de l'Etat = étaticité
(quels sont les domaines qui appartiennent par
essence à l'Etat).
La pensée classique :
Adam Smith (1776) est considéré comme le père
de l’économie politique.
→ Théorie de la valeur et des prix. Pour lui,
contrairement aux physiocrates, la richesse
est due au travail. C'est la distinction entre la
valeur d’usage (utilité que l’on peut tirer
d’un bien) et la valeur d’échange
(manifeste le pouvoir d’acheter d’autre
biens). La valeur d’échange détermine le
prix grâce à la confrontation entre l’offre et
la demande. Or, la valeur d’échange
détermine le prix naturel de la marchandise
(= le prix qui permet de payer le revenu des
facteurs utilisés pour produire le bien).
→ La théorie de la main invisible est liée à
l’individualisme méthodologique. L'individu
est au centre du système. Adam Smith
théorise la main invisible : les hommes sont
tous guidés par la recherche de leurs intérêts
personnels dans un cadre concurrentiel.
Chaque individu en essayant de maximiser
son intérêt personnel dans un cadre
concurrentiel contribue à la satisfaction de
l’intérêt général. Le marché s’autorégule par
l’action commune des individus.
La postérité keynésienne :
“Nous sommes tous keynésiens”, disait un jour
Richard Nixon.
Paragraphe 3
De l’impôt négatif
L’impôt négatif adopte la même logique
redistributive pour établir des équilibres
économiques au marché
Dans ce prolongement, ça combine une
certaine solidarité avec les plus démunie et une
partie du secteur « privatisation »
Impôt proportionnel 25 pour-cent
Gain net 9000€ demander a tifeen
1) 2 0 1 7 ; u n e d e f q u ’ o n p e u t q u a l i f i e r
d’opérationnelle , quelles sont les opérations
produites , selon cette def l’économie
numérique correspond au secteur de TIC
( techno formation et communication )
Cette def a permit de saisir la porte des
transformation économique et par ces trucs
rapides massive de l’économie ( big data)