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Cours CM 6 février

Droit Numérique

Leçon 1 :
Introduction au droit du numérique
Le D du numérique n’existe pas.

Toutes les matières du d ont un volet numérique mais le d du numérique n’existe pas c’est qu’un
espace. Même le D des données personnelles ça n’est pas car ça tjrs existe en version papier et
c’étaient des données personnelles.

Des ouvrages :

Cyber droit, Christiane Feral-Shuhl, 2020

Numérique et grandes notions du droit privé, Emmanuel Netter, 2019, v. https://enetter.fr

Titre 1. Les définitions du droit et du numérique

Section 1. Le droit
Le D est un ensemble des R qui régissent la société et sont assortie d’une sanction par une autorité
publique.

Il y a le monde normal et le monde parallèle qui est celui d’internet (virtuel) donc le principe serait de
régir ce monde.

Il y a un balancement entre les deux positions, le numérique est un fait réel et une autre position qui
dit que c’est irréel donc régir un d spécifique.

La position qui fait d’internet un monde parallèle reste très majoritaire et on se pose de plus ne plus
la question depuis la metaverse.

Metaverse : univers virtuelle numérique

Enjeux juridique : écologique, posséder des choses, acheter, vendre et vue qu’on utilise notre vrais
argent il faut donc encadrer.

Il y a 3 options Pour réglementer le numérique :

1. Adapter les R existences, internet et metavers c’est un fait social comme les autres donc on
va pas lui appliquer des r différentes.
2. Faire une R spéciale, on retrouve des tentatives spécifiques dans notre droit pour le
numérique. Ex : aux USA Telecommunication act en 1996 est adapté qui retient l’option.
Réaction immédiate d’une association de liberté Electronic Frontier Foundation qui considère
que internet est un endroit libre mais qui n’a pas obtenu gain de cause.
A travers cet exemple on voit les tentions entre l’option 1 et l’option 2. En général els Etats
ne font rien car ils ne savent pas quo faire
3. Des pp privées qui vont prendre le pouvoir et travailler dans le numérique et vont devenir
tellement puissants économiquement qu’ils vont eux même faire des R. On les appelle les
Contrôleurs d’accès (gatekeepers) ou les géant du Web. Les MAGMA
(Meta,Amazon,Google,Microsoft,Apple)
En Europe on prends les textes europ ééens pour éradier cette option.
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Des textes qui vont rentrer en vigueur tout doucement.


DMA (digital market act) = Règlement (UE) 2022/1925 du Parlement européen et du Conseil
du 14 septembre 2022 relatif aux marchés contestables et équitables dans le secteur
numérique. Qui vient régir les rapports des entreprises pour qu’elles puissent survivre dans
le numérique.

DSA (digital service act) = Règlement (UE) 2022/2065 du Parlement européen et du Conseil
du 19 octobre 2022 relatif à un marché unique des services numériques régir les rapports
entre les particuliers et les plateformes.
Obligent certaines obligations pour protéger les particuliers.

Section 2. Le numérique
C’est avant tout une technique de représentation du monde, il en existe 2 des techniques : l’analogie
et le numérique.

 L’analogie : quand on substitue un signal physique à un autre, ex : montre le signal analogie


sera alors l’aiguille donc le monde es représenter pas une montre qui représente le temps.
 Avec le numérique c’est la même chose mais ça ne sera pas un signal physique mais en
chiffre, reprenons l’ex de la montre on aura une montre affichage numérique et elle sera plus
précise et donner l’heure à la milliardième seconde. On représente la réalité sous une forme
réel chiffré.
Le père de la techniqe numérique est Alan Turin,g qui pdnt la WW2 a fabrique une machine
numérique pour décrypté les messages secrets d’une machine nazie.
Films sur ça : Film de 2014, Imitation Game
Le numérique emporte sur l’analogie un peu prés sur tout le domaine.
Numérique n’a pas d’existence physique, il est immatériel, c’est une idée donc les juristes on
regarder les 2 points d’encrage dans le monde physique.
 Les machines
 Les réseaux

I. Les machines
Des outils qui utilise ma technique numérique, toutes sortes d’engins (montre, machine à laver,
téléphone) On va surtout s’intéresser à 3 outils car ils sont les machines de la démocratisation du
numérique . Ordinateur

 Portable
 Tablette

II. Les réseaux


Mais surtout on va parler du 2e points d ‘encrage dans le monde réel qui est les
réseaux

A. La naissance d’Internet
C’est le 1e niveau de la mise en réseau entre les ordi, l’idée de faire communiquer
entre les ordi qui sont pas en même endroit est une idée militaire.
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L’intérêt dans le domaine militaire c’est que l’odri par le bais outil numérique
permettent de transcrire des info en chiffre et ces messages qui sont transcrit en
chiffre par transiter par plsr chemins possibles vers un autre ordi.
L’intérêt dans le domaine militaire est que si un chemin est détruit par l’ennemi il est
tjrs possible de transiter le message par un autre chemin. C’est le puralités des
chemins à contribuer a son ressort.

ARPA (Advanced Research Projects Agency) en 1958 a mis en réseaux une dizaine
d’ordi, ce tout premier réseau d’ordi porter le nom de ARPANET.
Tout l’enjeu à été ensuite d’élargir ensuite le réseau.
En 1974 Vinton Cerf a mis ne place Transmission Control Protocol (TCP).
Une fois que tous les ordi ont pu communiquer tous ensemble alors on a ensuite mis
en place pour identifier chaque ordi, Internet Protocol (IP).

B. La naissance du Web
Une fois qu’on peut faire communiquer les machines entre-elles internet va
permettre de faire plein d’utilisation par le biais de plsr protocol additionnel
(transmettre des fichiers, envoyer des mails, World Wide Web (le Web) Ce sont 3
protocoles différents. Avec le Web on va se rejoindre sur un espace ou les info sont
centralisé. Le protocole pour faire fonctionner le web c’est le protocol HTML.

C. L’essor des réseaux sociaux


C’est le web qui permet de les faire exister mais qui a une particularité est que son
objectif même et de faire échanger entre plsr personnes, des échanges socialise et de
faire société.
Un site marchand c’est aussi une application mais ça n’a pas le même but.

Les réseauc sociaiux se posent plsr questions : droit à l’image, harcèlement mais ce
sont pas des questions exclusive aux réseaux sociaux car on a pas attendu la création
des réseaux sociaux pour se poser ces questions.

Titre 2. Les interactions du droit et du numérique

Section 1. Le numérique utilisé par le droit


Le numérique à été une révolution pour tout le monde, et dans tous le secteurs, même le secteur de
droit car le numérique à bouleberse un certian nombre d’habitude.

Le numérique à révolutionné l’accessibilité du droit donc aussi les études du droit.

La 2e garbde révolution, la justice algorithmique.

I. L’accessibilité du droit
« nul n’est cense ignorer le droit » cet adage n’a pas attendu le numérique pour exister, cette
maxime date de 2e siècle ou un ouvrage « digeste » est un recueil de textes de droit accessible à tout
le monde. A partir de là, la loi a connu plsr façons de mettre à dispositions la loi sauprés de la
population. A l’époque on parlait du D canonique car il n’y avait pas de séparation et c’était une
transition orale.
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La 1e Révolution elle est assez tardive, c’est à partir de 1450 grâce à l’imprimerie, plus besoin de
recopier à la main, des annonces publiques, des affichages, jusqu’au code civil de 1804 des milliers
d’exemplaires. Dont le journal officiel de 1869

Il ne demeure pas moins car accès à ces documents était difficile à lire pour les justiciables.

A. L’accessibilité de la loi
Le numérique est la 2e grande révolution ensuite qui permet l’accessibilité du droit, Arrêté du 6 juillet
1999 création de Légifrance.

Une décision importante sur ce sujet du ConseilC° qui dit que la lisibilité et l’accessibilité du droit ont
une valeur constitutionnelle. Cons. const., 16 déc. 1999, n° 99-421 DC

B. L’accessibilité de la jurisprudence
Loi n° 2016-1321 pour une République numérique du 7 octobre 2016, mis en place pour lutter contre
l’opacité du droit, oblige à mettre toutes les décisions de justice rendu en FR en ligne.

Toutes les décisions de justices ont une interprétation.

La mise en place de cette lois est imparfaite, elle a été réalisé par le CE car l’Etat mais encore très
faible pour les CA le soucis est que l’Etat mets pas les moyens financiers.

II. La justice algorithmique


Elle renvoit à l’utilosation des algorithmes pour tirer les décisions de justices (par mots clés).

Ces moteurs de recherches exietsnt déjà mais elles sont imparfaites.

Arian Web = CE

Les Ets privées ont développés des moteurs de recherche très performants : Dalloz, Lexis 360,
Lextenso, Lexbase et Lamyline. Ces 5 éditeurs se sont lancés dans la constriction des moteurs de
recherches juridique, ils ont souvent des basses de données plus fournies que Légifrance.

Predictice et Doctrine ce sont des ets qui sont nées il y a entre 15 et 10 ans pour faire une
proposition de moteur de recherches extrêmement performant.

Dalloz et Lexis 360 et les 3 autres ont décidés d’attaquer Doctrine pour des pratiques déloyales et en
février le tribunal de commerce il les a déboutés de leur demande.

T. com. Paris 23 févr. 2023

Legaltech (v. podcast Moodle) qui explique les moteurs de recherches.

Cette justice algorithmique pose pas que seulement la qst des moteurs de recherches , mais elle
porte ne elle de nbrs potentialité. Le tri des décisions ouvre la possibilité de la justice prédictive.

La justice prédictive permet de traiter un grand nombre de décisions et faire de stats prédictive pour
des décisions à venir. La justice prédicitrbe o=aurait un vif intérêt piur 2 professions : avoca et
magistrat.
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 Avocat : qui pourrait prévoir et informer le client aurait ici un outil commercial assez
intéressant, négatif : caractériser les décisions par juge donc perte de liberté un peu et
généraliser tous les magistrats. Qu’on peut tjrs se tromper car impartialité des juges.
Positif : gain du temps.
 Magistrat : consulter à large échelle ce que font les autres magistrats.
Négatif : Ils ne sont plus dans l’impartialité donc déontologiemment ça pose problème (qu’il
n’y ait pas de réflexion personnelle) on se prive de l’étude du cas par cas.

Il a été question de créer un logiciel « Datajust » prévoyait de trier les dossiers par sexe,
dommages, permettant de faire une moyenne d’indemnités perçues dans le but de anticiper.
Cet outil à été très controversé avec des arguments positifs et négatifs.
Les unes craignant que les indemnités corporels soient plus personnelles, il y avait aussi un
enjeu de concurrence avec prédict.
Il y a un an le projet a été abandonné manque de moyen

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