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L'antisèche Casper

Cadre de travail pour l'approche des situations (PPRDJ) :


Problème : identifier les principaux problèmes ou conflits
Perspective : Identifier les perspectives de chacune des personnes impliquées
Responsabilité : Identifiez votre responsabilité dans cette situation
Décision : Prendre une décision sur la manière d'aborder la situation
Justifier : Justifiez votre décision

Décrivez un moment où vous avez été en conflit. Comment avez-vous résolu le problème ?
Lors d'une réunion au travail, un de mes collègues m'a accusé d'avoir perdu un carnet contenant
des informations importantes pour l'un de nos projets. Lorsque je leur ai dit que je n'avais jamais
vu le cahier auparavant, mon collègue s'est mis sur la défensive. Ce comportement n'était pas
dans les habitudes de ma collègue, qui était habituellement gentille et respectueuse. Un jour,
pendant la pause déjeuner, j'ai demandé si je pouvais leur parler en privé de la raison pour
laquelle ils m'accusaient d'avoir perdu le carnet. Ils m'ont confié qu'ils n'étaient pas sûrs que
j'avais perdu le carnet, mais qu'ils craignaient de perdre leur emploi en raison d'une évaluation
négative de leurs performances. Mon collègue m'a dit qu'il était désolé de m'avoir accusé d'avoir
perdu la tête et qu'il était prêt à dire à mon patron qu'il m'avait accusé prématurément. Avant qu'il
ne le fasse, je lui ai dit que nous pourrions chercher ensemble le carnet dans son bureau. En
fouillant dans ses affaires, nous avons fini par trouver le carnet. Nous avons fini par aller
ensemble voir notre patron et lui dire que nous avions trouvé les documents et mon collègue a
également fini par s'excuser de m'avoir accusée.

Parlez-nous d'un moment où vous étiez en retard sur une échéance. Qu'avez-vous fait pour
résoudre la situation ?
Pendant ma dernière année d'université, j'étais en retard sur un travail de fin d'études qui valait
50 % de ma note, mais heureusement, j'avais quelques jours de libre pour le terminer. C'est alors
que j'ai reçu la nouvelle extrêmement déchirante que ma grand-mère était décédée et que son
enterrement était prévu quelques jours avant la date de remise de mon mémoire. Pendant cette
période de deuil, je n'ai pas pu faire de progrès significatifs sur mon travail et je savais que
j'aurais du mal à le terminer avant la date limite, car je devais me rendre à l'enterrement de ma
grand-mère en dehors de l'État. Mon professeur m'avait dit qu'il n'accordait aucune prolongation,
mais j'ai pensé que si je faisais autant de progrès que possible et que je lui envoyais un brouillon
de mon travail, cela lui montrerait que je faisais de mon mieux pour terminer dans les temps, il
pourrait peut-être faire une exception pour ma situation. Une semaine avant la date de remise du
devoir, j'ai envoyé à mon professeur un courriel contenant la version la plus récente de mon
devoir et une explication de ma situation, et il a décidé de m'accorder une semaine
supplémentaire pour terminer le devoir, ce que j'ai fait dans les temps.

Parlez-nous d'un moment où vous avez été confronté à l'adversité. Comment avez-vous
réagi face à l'adversité ?
Je suis né avec une malformation de la poitrine qui limite ma capacité à respirer et m'empêche de
faire du sport avec mes amis quand je suis plus jeune. Il m'arrivait aussi de me faire taquiner par
mes camarades de classe à cause de l'aspect de ma poitrine. Lorsque j'étais plus jeune, j'ai parfois
laissé cette maladie affecter mon estime de soi et j'ai évité de faire du sport. Cependant, en
grandissant, j'ai décidé de ne pas accepter que cette maladie me définisse et j'ai commencé à faire
ce que je pouvais pour l'améliorer. J'ai commencé à faire du jogging tous les jours pour améliorer
mon cardio et à soulever des poids pour rendre ma déformation moins visible. Après avoir eu des
difficultés à courir le 100 mètres au lycée, j'ai pu participer à des semi-marathons à l'université.
En outre, après m'être ouverte à mes amis au sujet de ma maladie, je n'ai plus ressenti de gêne ou
de timidité à ce sujet. Ils m'ont soutenu dans l'adversité et m'ont aidé à comprendre que même si
je ne ressemble pas à tout le monde, cela ne veut pas dire que je ne devrais pas être traité comme
tout le monde.

Décrivez une fois où vous avez été confronté à un dilemme éthique. Comment avez-vous
réagi ?
Dans un précédent emploi, j'avais l'habitude d'approuver les dépenses de ma patronne, mais j'ai
remarqué un jour que certaines des dépenses qu'elle facturait à l'entreprise correspondaient à ses
dépenses personnelles. Cela a vraiment mis mon éthique à l'épreuve, car je pensais que si je ne
les approuvais pas, mon directeur trouverait une raison pour essayer de se débarrasser de moi ou
pourrait me menacer. Cependant, je ne me sentais pas à l'aise de mentir pour la couvrir. C'est
pourquoi je lui ai dit que je ne pouvais pas mentir et qu'elle devait apprécier mon honnêteté. Sur
le site, elle n'a pas fait passer ses dépenses personnelles par l'entreprise et elle ne m'a pas licencié
ni menacé de me faire perdre mon emploi.

Décrivez un moment où vous avez échoué. Comment avez-vous réagi ?


L'année dernière, je travaillais comme chercheur dans un laboratoire et notre groupe était sur le
point de soumettre un article à une grande revue. Mon patron m'a demandé combien de temps il
me fallait pour obtenir les données nécessaires à la rédaction de ma partie du document et, même
si je pensais que cela pourrait prendre beaucoup plus de temps, je lui ai dit deux semaines parce
que je ne voulais pas la décevoir. Les deux semaines ont passé, je n'avais pas les données et nous
avons manqué la date limite de soumission de l'article. Ma patronne a été très déçue par moi, non
pas parce que je n'ai pas obtenu les données, mais parce que je n'ai pas été honnête avec elle sur
le temps dont j'avais besoin. Après cette expérience, j'ai commencé à me donner plus de temps
que je ne le pensais pour mener à bien mes projets. J'ai également été franche et honnête avec
mon patron sur le temps dont j'avais besoin pour mener à bien les projets. En conséquence, nous
n'avons plus manqué de délais pour les documents et j'ai terminé ma collecte de données à temps.

Quelle est votre plus grande force ? Quelle est votre plus grande faiblesse ?
Je pense que ma plus grande force est ma capacité à comprendre les personnes qui traversent des
situations difficiles et à les aider à les surmonter. Lorsque mes amis traversent une période
difficile, ils viennent me voir pour me parler de leurs problèmes. Lorsque je fais du bénévolat à
l'hôpital, les patients me disent souvent que le temps que j'ai passé avec eux a contribué à apaiser
leurs inquiétudes dans une période difficile.
J'ai parfois du mal à déléguer des tâches. J'aime faire les choses moi-même pour m'assurer
qu'elles sont faites selon mes normes personnelles, mais c'est quelque chose sur lequel je travaille
dans mes fonctions de direction au travail. Dans le cadre de mon projet actuel, j'ai commencé à
organiser des réunions hebdomadaires avec mes collègues afin de leur déléguer des tâches et de
leur demander de me faire part de ce qu'ils ont accompli au cours de la semaine.

Conseils :
Dans vos réponses, essayez d'être aussi empathique et compréhensif que possible.
Lorsque vous regardez des vidéos, mettez-vous à la place de chaque personne.
Lisez les trois questions avant de répondre à la première.
Réchauffez-vous les doigts avec des tests de dactylographie avant de passer à l'acte, et
assurez-vous que la pièce n'est pas trop froide.
Ne dépassez pas 1:40 par question au premier coup d'œil et laissez 1:40 pour la dernière
question.

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