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L3- GENIE CIVIL & INFRASTRUCTURE

Bureau d’étude :
Construction Métallique
Étude de la charpente métallique du projet de
la piscine de Tourcoing.

23/03/2018

FAWAL Rémy/DIRAA Oussama/EL SOUKI Monzer/AMIRI Samir

-1-
Bureau d’étude : Construction Métallique
23 mars 2013

Sommaire

Introduction…………………………………………………………………………………….3

Dimensionnement des pannes hautes…………………………………………..4

Dimensionnement des pannes basses…………………………………………..8

Dimensionnement du treillis……………………………………………………….11

Analyse du contreventement………………..….……………………….....……17

Conclusion………………………………………………………………………………………18

-2-
Introduction

Ces séances consistent à nous montrer comment les ingénieurs font la conception et
surtout, comment ils dimensionnent un ouvrage. C’est pourquoi durant ces deux séances nous
nous sommes intéressés à un ouvrage assez complet qui va nous faire découvrir le
dimensionnement ainsi que le comportement de différents éléments.
Le projet en question est une piscine olympique située à Tourcoing (59). Le projet a été
lancé en 2010. Le maitre d’ouvrage est LMCU (Lille Métropole Communauté Urbaine).
L’architecte mandataire est Mikou design studio, et l’architecte associé est de Alzua +.
Différents bureau d’étude s’occupent de l’ouvrage :

- Bureau d’études : Ethis


- Bureau d’études structure/fluides : Batiserf
- Bureau d’étude HQE : Solener
- Acousticien : Peuts
- Economiste : Becquart

La surface du projet (SHON) est de 9800 m². Le projet a pour montant : 20 millions €.

Objectif :

Comme le montre l’image ci-dessous, on peut observer que le toit est réalisé par différents
éléments. La particularité du toit est qu’elle est faite en construction métallique. C’est
pourquoi dans ce travail nous nous somme intéressé aux éléments qui constituent le toit tels
que :

- La panne haute
- La panne basse
- Le treillis
- Le contreventement

Pour comprendre le comportement, et, pour vérifier si le toit respecte les normes de
l’Eurocode3, nous allons donc dimensionner ces différents éléments.

-3-
Dimensionnement des pannes hautes :

Pour dimensionner les pannes hautes, nous allons :

ü Vérifier les pannes à l’ELU par le calcul du moment sollicitant et résistant


en flexion simple.
ü Vérifier les pannes à l’ELS par le calcul de la flèche.

Dans la situation réelle, la panne haute est plus longue car dotée de porte-à-faux de
part et d’autre. Ces éléments soulagent la poutre et permettent une optimisation de la
panne et de ce fait si on néglige leurs actions dans une situation moins favorable et cela va
dans le sens de la sécurité.

Notre étude se portera donc sur une panne de 7,5 m de long que l’on considérera
comme une poutre sur deux appuis. Pour la panne nous avons fait l’hypothèse de prendre
un IPE 220 On prendra un poids propre de 0.3kN(hypothèse)

Les charges permanentes :

- Bac acier 0.10 kN/m2


- Foamglass 0.22 kN/m2
- Etanchéité 0.25 kN/m2
- Faux-plafond 0.15 kN/m2
- Gaines et câbles 0.05 kN/m2
- Poids propre de la panne 0.30 kN/m

G = ( 0.1 + 0.22 + 0.25 + 0.15 + 0.05 ) * 3 + 0.3 = 2.57kN/m

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Les charges dues à la neige :

La structure que l’on étudie est prévue pour prendre place dans le département du
Nord (59) dans la ville de Tourcoing. Selon l’Euro code 0, on se situe donc en Zone A1 avec
un coefficient d’exposition Ce = 1.0 et charge caractéristique de neige :
Sk = 0,45 kN.m-2.

La charge de neige sur les toitures est la suivante :

Sn = µ.Sk.Ce.Ct avec µ = 0,8 (pour une pente inferieure a 3%)

Sn = 0,36 kN.m-2

Pour ce cas de charge, le moment s’écrit :


𝐋²
MSn =Sn = 7,59 kN.m
𝟖

Les charges d’exploitation reparties :

Les charges d’exploitations représentent les charges à envisager pour les travaux
d’entretient de la toiture.
Le bâtiment étant de catégorie H (toiture inaccessible sauf pour réparation et
entretien courant), on considère donc une charge répartie qk=0.8 kN / m².
Cette charge couvre une aire rectangulaire de 10 m2 que l’on décide de localiser au
centre de la panne afin de la solliciter de la façon la plus défavorable possible et de sorte à
couvrir l’entraxe de 3m.

qk couvre donc une aire de 10 m2 = 3m * a avec a = 3,33 m

qk = 0.8 * a = 2,40 kN / m

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Pour ce cas de charge, le moment s’écrit :
𝐪𝐤𝐚 𝟐𝐋(𝐚
Mqk = = 11,66 kN.m
𝟖

La charge d’exploitation ponctuelle :

D’après l’Euro code fourni, dans le tableau 6.10, pour le cas d’une charge ponctuelle
qk=1.5kN pour une toiture de pente inférieur à 15% (dans notre cas la pente est 3%).

𝐋
Pour ce cas de charge, le moment s’écrit : MQk = Qk = 2,81 kN.m
𝟒

Moment 2 appuis Valeur Unité


Mg 18,08 KN.m
Msn 7,59 KN.m
MQ 2,81 KN.m
Mqk 11,66 KN.m

Détermination du moment sollicitant à l’ELU :

1,35Mg+1,5Msn 35,80 KN.ml


M,ed,ELU 1,35Mg+1,5MQ 28,63 KN.ml
1,35Mg+1,5Mqk 41,90 KN.ml

Pour notre dimensionnement, on se place dans le cas le plus défavorable qui est celui
de la charge d’exploitation repartie qk.

On retient donc :

MED, ELU= 1.35 MG+1.5 Mqk => MED, ELU= 41.90kN.m

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Vérification à l’ELU :

On doit d’abord vérifier l’inéquation suivante :

*+
Med,ELU≤ Mrd avec Mrd= wpl,y avec γM0=1 et fy=235MPa
γMo

(On choisi un acier S235, on se place donc en classe 1 et on s’intéresse au module


de flexion plastique).

On a donc : wpl,y ≥ Med,ELU / fy => wpl,y ≥ 178.30 cm3

L’IPE 200 respecte les critères de flexion, on peut alors valider à l’ELU les hypothèses
de départ.

Vérification a l’ELS :
Vérifions à présent si notre IPE respecte les critères de flèche :

Wmax ≤ L / 200 et W3 ≤ L / 250


/
Wmax = W1 + W2 + W3 - Wc ≤ l/200 avec W2 = 0 pour notre cas et Wc = W1
0

2∗4∗5^7 2∗;<∗5^7 /∗2∗4∗5^7 5


Wmax = + - ≤
087∗9: 087 9: 0∗087 9: />>

D’où : Iy ≥ [ 2∗4∗5^7
087∗9
+
2∗;<∗5^7
087 9
-
/∗2∗4∗5^7
0∗087 9
] * />>
5

/>>∗2 4@0;<
Iy ≥ [ ] l³
0∗087 9

Apres application numérique, on obtient : Iy ≥ 1013,53 cm4


On choisit de prendre un IPE 220 avec Iy = 2772 cm4

2∗;<∗5^7 5
W3 = = 0,007 m ≤ = 0,03 m
087 9: />>

L’IPE 200 respecte aussi les critères de flèche. Cependant, dans l’optique d’être le
plus sécuritaire possible, on prendra un IPE 220.

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Dimensionnement des pannes basses :

Hypothèses des charges permanentes

Après étude des plans fournis, nous pouvons remarquer qu’au niveau des pannes basses,
la toiture n’est pas continue et possède une passerelle d’entretient sur le coté. Nous avons
donc décidé de simplifier le problème en considérant que les charges sont appliquées sur la
longueur totale de la panne.

Les charges de la toiture :

- Bac acier 0.10 kN/m²


- Foamglass 0.22 kN/m²
- Etanchéité 0.25 kN/m²
- Faux-plafond 0.15 kN/m²
- Gaine et câbles 0.05 kN/m²
- Poids propre 0.30 kN

Nous avons choisi un IPE200 (hypothèse) et donc un poids propre de 0.25 kN/m.

Avec un entraxe de 3m, on obtient donc Gtoiture=2.6kN/m.

Les charges de la passerelle


Sur la panne basse nous avons aussi les charges permanentes de la passerelle qui
reprend les charges suivantes :

- Plancher technique = 0,35 kN/m²


- Gaines et câblage = 0,05 kN/m²
- Faux plafond = 0,15 kN/m²

Le total de ces charges nous donne 0,55 kN/m²

Ce qui nous donne en multipliant par l’entraxe : 0,55 x 3 = 1,65 kN/m


Nous ajoutons le poids propre de la panne basse de 0,25 kN/m

Les charges permanentes de la passerelle nous donnent au total : G = 1,90 kN/m

-8-
Les charges de la façade
Pour le dimensionnement de la panne basse, nous devons rajouter en plus de la charge
de toiture (identique à celle de la panne haute) la charge de façade.
Nous savons que la charge est reprise à 0.7m de l’appui. En connaissant la charge
surfacique, nous allons déterminer la charge ponctuelle.

Gfaçade = 0,75 x 3 x 3,5 = 7,875 kN

Les charges de neige :


Dans ce cas, nous avons une accumulation de la neige. La charge de neige est donc
différente de celle de la panne haute.

Nous allons donc calculer la charge de neige grace à la formule : S=µ2*Ce*Ct*Sk

Avec Ce=Ct=1, µ2 =2.14 et Sk=0.45 ; On obtient S=0.963 kN/m²


Avec un entraxe de 3m, on a finalement S=2.9 kN/m

Les charges d’exploitation :

Nous avons les mêmes charges d’exploitations que pour la panne haute :

Qk=1.5kN/m
qk=0.8kN/m²*3m=2.4kN/m

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Vérification à l’ELU (flexion)

Pour le dimensionnement de la panne basse, le cas le plus défavorable sera celui de


la charge de neige. Nous allons donc calculer le moment sollicitant à l’ELU.
Moment solicitant de la neige :

Ms2= Q*L/m avec m= 7.9598 et Q=((q1+q2)/2)*L


donc Ms2,ELU=14.1 kN.m

Moment sollicitant des charges permanentes :

MG= (G*L²)/8 = 18.3kN.m

Moment sollicitant total à l’ELU :

Med,ELU= 1.35*MG+1.5*MS2 = 1.35*18.3+1.5*14.1


Med,ELU = 45.83 kN.m

On va maintenant calculer le moment résistant :

(Nous avons un IPE200 en nuance S235)

Mc,rd=wpl*fy/γM0 avec wpl=285.4cm3 et fy=235MPa.


Mc,rd= 67.01kN.m

On voit que Med,ELU≤ Mc,rd, . La condition à l’ELU est donc vérifier.


On garde un IPE220.

Vérification au cisaillement :

Dans cette vérification, l’effort tranchant résistant doit être supérieur à l’effort tranchant
sollicitant ( Ved,ELU ≤ Vc,rd ) :

Ved,ELUmax = Ved,ELUG+S = ((G+S)*L)/2 = 18kN


Vc,rd = Av*(fy /√3* γM0)

Av=1.04h*tw=1349.92mm² pour un IPE 220

Donc Vc,rd = 183kN

La condition est vérifiée, on garde donc un IPE220.

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Vérification de la flèche à l’ELS :

On rappelle que notre flèche maximale ne doit pas être supérieur à L/200 donc :

wQ+wG ≤ L/200.

wQ+wG= (5*pL4/384EI)+0.013*(QL3/EI) avec I=2772cm4

Après calcul on trouve wQ+wG=17mm, ce qui est inférieur à L/200=37.5mm donc notre
hypothèse de départ avec l’IPE220 est vérifiée.

On choisit donc un IPE220 pour les pannes basses.

Dimensionnement du treillis :
Nous allons dimensionner le treillis courant situé en file 3. Nous considérons le treillis
comme une poutre sur deux appuis.
Deux charges sont appliquées sur le treillis. Les charges permanentes qui sont le
poids propre de celui-ci, le poids de la façade, de la panne haute et basse. Et les charges
d’exploitation et la neige pour notre cas. Nous négligerons l’effet du vent.

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Calcul des charges appliquées au treillis
Les charges permanentes :

• Charges permanentes réparties G1

G1 = 0,824 kN/m2 * 7,50 m = 6,18 kN/m

- Poids propre de la panne basse 0,262 kN/m


- Poids propre de la panne haute 0,262 kN/m
- Façade (0,75 kN/m2 * 3 m) 2,25 kN/m
- Poids propre du treillis 2 kN/m

• Charges permanentes ponctuelles G2

- Plancher technique (0,35 kN/m2 * 3,5 m * 7,5 m) 9,19 kN


- Façade 7,875 kN
- Poids propre du treillis 7 kN

La largeur d’influence du treillis est 7,50 m.

Ce qui nous donne un total de charge pour G1 et G2 :

G1 = 10,954 kN/m

G2 = 24,065kN

Les charges de la neige :

On considère qu’il n’y a pas d’accumulation de neige pour le calcul du treillis :

S = μi *Ce*Ct*Sk * Linfluence =0.8 * 1 * 1 * 0.45 * 7.5 = 2,7 kN/m

Avec : Linfluence = Largeur d’influence du treillis

Les charges d’exploitation :


Q = Linfluence*Lplancher * qexploitation
Q = 7,50 * 3,50 * 2,5

Q = 65,63 kN/m

- 12 -
Calcul à l’ELU :
Les forces à l’ELU

PG1ELU = 10,954* 1,35 = 14,7879 kN/m

PG2ELU = 24,065 * 1,35 = 32,487 kN

PSELU = 2,7 * 1,5 = 4,05 kN/m

PQELU = 65,63 * 1,5 = 98,45 kN

Moment sollicitant à mi-travée


Ltreillis= 54,50 m et a = 13,75 m

HIJK 4L ∗5MNOPQQPR S
MD5E GG =
8
= 5490,46 kN.m

HIJK 4S ∗T
MD5E G/ =
/
= 223,35 kN.m

HIJK ; ∗5MNOPQQPR S
MD5E S =
8
=1504 kN.m

HIJK W ∗T
MD5E Q =
/
= 677 kN.m

Nous prenons donc la combinaison de charge la plus défavorable :

G1 + G2 + S + 0,5Q = 7556,31 kN.m


G1 + G2 + Q + 0,5S = 7142,8 kN.m

On choisit MELU = 7556,31 kN/m

Effort tranchant

Ltreillis= 54,50 m et a = 13,75 m

\]^_ `L ∗ Yabcdeedf
𝑉9YZ 𝐺G = = 403 kN
/

\]^_ `S ∗ Yabcdeedf (g
𝑉9YZ 𝐺/ = = 24,3 kN
Yabcdeedf

HIJK W ∗ 5MNOPQQPR (T
VD5E (Q) = = 73,6 kN
5MNOPQQPR
HIJK ; ∗ 5MNOPQQPR
VD5E (S) = = 110 kN
/

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Combinaison la plus défavorable :

G1+ G2 + S + 0.5Q = 574,1 kN

G1+ G2 + Q + 0.5S = 555,9 kN

On choisit donc 574,1 kN.

Dimensionnement de la membrure basse :

La membrure inférieure travaille en traction donc nous vérifions le critère

NEd ≤ Nt,Rd

Hauteur de treillis : 3,40 m

mIJK
NDl =
nMNOPQQPR

u∗*v >.{∗u∗*|
No,ql = min( ; )
ϒwx ϒwS

NEd = 2222,44 kN

Section d’acier optimale à mettre en œuvre

Hypothèse S355

NDl ∗ ϒm> NDl ∗ ϒm/


A = min ( ; )
f+ f•

ϒm> = 1 et ϒm/ = 1.25


fy = 355 MPa
fu = 470 MPa

As = 5910,7 mm2

Choix de l’acier : HE 120 M

- 14 -
Dimensionnement de la membrure supérieure :
Critère de compression

NEd ≤ NC, Rd

Avec :
mIJK
NDl =
nMNOPQQPR

u∗*v
N„,ql =
ϒwx

Hauteur de treillis : 3,28 m

NEd = 2222,44 kN

Section d’acier optimale à mettre en œuvre :

Hypothèse S460

NDl ∗ ϒm>
A=
f+

Avec
ϒm> = 1
fy = 460 MPa

As = 4831,4 mm2

Vérification au flambement :

Ned < Nb,Rd

Avec :
A ∗ f+
N†,ql = χ ∗ βu ∗
ϒm>

NDl = 𝟐𝟐𝟐𝟐, 𝟒 𝐤𝐍

Le coefficient βu = 1 pour les classe 1,2 et 3.

- 15 -
Pour effectuer cette vérification, nous faisons une hypothèse sur le choix du profilé :

HE 500 M S460


- Longueur de flambement = 39,00 m
- Aire du profilé : 0,03443 m2
- Iy = 0,001619 m4
- fy = 460 MPa
- Module d’Young = 210 000 MPa

Avec
- h = 524 mm
- b = 306 mm
- tf = 40 mm

D’où χ = 0,1267

2222,4 kN < 2815,8 kN

Le critère est vérifié, nous prenons alors un HE 500 M.

Dimensionnement de la diagonale du treillis :

Calcul de la force F :

∑𝐹𝑦 =0=𝐹1+2222,4 𝑘𝑁

F1 = -2222,4 kN

∑𝐹𝑦 =0=−𝐹1−F2×cos𝛼

𝐹2 = 3142,9 kN

La diagonale travaille en traction donc nous vérifions que Ndiagonale ≤ Nt, Rd

Section d’acier optimale à mettre en œuvre :


Hypothèse S355

Nl•T•‘<T’“ ∗ ϒm> Nl•T•‘<T’“ ∗ ϒm/


A = min ( ; )
f+ f•

- 16 -
Avec :
ϒm> = 1
ϒm/ = 1.25
fy = 355 MPa
fu = 470 MPa

As = 8356,3 mm2

u∗*v
Donc. ≤ As
ϒwx

L’on choisit alors pour les diagonales un profilé HEA 160

Analyse de contreventement :

Pour permettre la stabilisation du treillis vis-à-vis des forces horizontales, on utilise


un système de contreventement pour diriger ces forces jusqu’aux fondation fondations ou
aux mur en béton. Les palées de stabilité horizontales reprennent les efforts des poutres au
vent, puis les palées verticales redirigent ces forces vers les fondations et les murs en béton.

Par ailleurs, le système de contreventement crée une nouvelle force de compression


sur chaque membrure du treillis, cet effort pourrait créer des instabilités ainsi le treillis serait
sous-dimensionné.

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Effort dû à l’imperfection au nœud :
–—˜
𝑓 = αm x
G>>
Avec :

G
- 𝛼n = 0,5(1 + )

- m=2
- Ned = Med/h = 2457 kN

–—˜ G
𝑓 = αm x = 0,5(1 + ) x 2457/100 =21,27 kN
G>> /

Cet effort est à prendre en compte pour le dimensionnent du treillis. Le treillis sera en
compression avec un effort de 70,57 kN (à vérifier).

Conclusion :
Le dimensionnement d’une structure impose un certain nombre
d’hypothèses de départ dans le but d’ajuster nos différents éléments
structuraux pour qu’ils résistent aux charges qui leurs seront soumises il
a ainsi été intéressant de se mettre à la place d’un bureau d’étude.

Durant cette mise en situation nous avons fait des choix sans
jamais négliger l’aspect sécuritaire mais aussi en essayant de rester
rationnel sur le plan financier.

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