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FACULTY OF SCIENCES
PHYSICS DEPARTMENT
INTRODUCTION
A. DEFINITION
Le cours d’initiation à l’informatique est un ensemble des sciences et techniques qui enseigne
le traitement automatique de l’information par un ordinateur. Il est constitué par cinq parties à
savoir le Matériel informatique, Système d’exploitation Windows, Microsoft Word, Microsoft
Excel, Microsoft Power Point et Internet.
Un ordinateur est un automate capable d'effectuer des actions dites primitives (c'est-à-dire
déterminées par ses concepteurs, de les enchaîner dans l'ordre voulu, de les répéter et surtout de
choisir, en fonction du résultat des actions précédentes, la prochaine action à effectuer entre deux
ou plusieurs possibilités connues à l'avance.
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Un programme est un texte qui énumère, dans le bon ordre, les primitives de l'ordinateur dont
l'exécution mènera à la production du résultat recherché. C'est le texte du programme qui pilote la
sequence des actions effectuées par l'ordinateur.
Un logiciel est un ensemble de programmes.
Un système d'exploitation est un programme dont la fonction principale est de déclencher
l'exécution d'autres programmes, à bon escient de préférence.
B. SYSTEMES DE NUMERATION
1. Système décimal
2. Système binaire
Pour traiter une information, l’ordinateur utilise le langage binaire qui est une suite des zéros et
des unités (0 et/ou 1). Chaque symbole possède un nombre du système décimal correspondant.
C’est le code d’un symbole. Le passage des nombres du système décimal au système binaire se
fait automatiquement par l’ordinateur. Ce processus s’appelle codage binaire.
Exemple : Dans le système décimal, la lettre L a pour code 76. Son code binaire est 1001100.
Pour trouver ce code, on procède ainsi :
76 2
-76 38 2
0 -38 19 2
Pour trouver 1001100, on a écrit les restes de la division de76 par 2 en allant de la droite vers la
gauche.
D’où 1001100
3. Système Octal
4. Système hexadécimal
Pendant que le système décimal utilise 10 chiffres qui sont tous numériques, le système
hexadécimal utilise seize (16) symboles pour représenter ses nombres. Comme la langue
latine consiste en 10 chiffres, on ne peut pas en créer d’autres. Pour résoudre ce problème
C. UNITÉS DE L’INFORMATION
L’unité minimale de l’information dans l’ordinateur porte le nom de bit i.e. le code binaire
(binary digit) qui peut prendre les valeurs 00, 01, 10,11.
1 nibble = 4 bits
1 octet (1 byte)= 8 bits
Un mot ( word) =1 octet (byte)= 16 bits
1 double mot (double word) = 32 bits
1 Kilo-octet Ko ou 1 kilobyte (KB) = 210 octets =1024 octets
1 MB (1 Mo) = 210 KB (210 Ko)
1GB= 210 MB
Lorsque l’on a un nombre binaire représenté par 4 bits, on peut trouver le nombre
équivalent dans le système décimal ou hexadécimal en se référant au tableau ci -haut.
1.1 INTRODUCTION
L’ordinateur personnel (Personal computer : PC) est composé de deux parties principales :
La partie matérielle ou physique (hardware) : qui constitue l’ensemble des
éléments constitutifs de l’ordinateur. Elle comprend l’Unité centrale et les
périphériques.
La partie formée par les Programmes ou logiciel (software) : qui constitue
l’ensemble de tous les programmes nécessaires pour l’exploitation de l’ordinateur.
Il existe deux types de logiciels :
Système d’exploitation (operating system) : un programme qui gère et coordonne tous les
logiciels installés dans l’ordinateur. Il organise les répertoires, fichiers et contrôle les
périphériques eg : Disk Operating System (DOS), Windows 98, Windows 2000, Windows
NT, Windows XP, UNIX, Linux, FEDORA, et IBM OS/400.
Programme d’application (application software) : ce sont des programmes (logiciels) qui
permettent à l’utilisateur d’entrer les données (input) dans à la machine et, après le traitement
par la machine, d’obtenir le résultat (output). e.g. MS Word, MS Excel, MS Power point, web
browsers, web development tools, database programs et graphic design tools.
La partie physique de l’ordinateur est principalement composée de :
L’unité centrale de traitement (UCT) ou Central Processing Unit (CPU) ;
Les périphériques (peripherals) : Ce sont les outils qui permettent de travailler avec
l’ordinateur (input /output devices). Ils servent soit à envoyer des informations dans
l’ordinateur (souris, clavier, scanner, digital camera...), soit inversement à recevoir des
informations de l’ordinateur (imprimante, moniteur ou écran, LCD : Liquid Crystal Display,
haut-parleur).
L'unité centrale est le boîtier destiné à recevoir tous les composants internes de votre ordinateur
Le format AT : Le format AT a été le premier format adopté mais la faible place disponible
pour les composants internes a expliqué son abandon.
Le format ATX : Successeur du format AT, le format ATX permet une meilleure ventilation
des périphériques internes et apporte aussi un gain de place. C'est le standard actuel.
Le format ATX 2.0 : Simple évolution au niveau de l'alimentation, le format ATX 2.0 ne se
distingue de l'ATX que par une alimentation disposant d'une prise carrée.
Le format BTX : Inventé par Intel, le format BTX permet d'améliorer encore la circulation
de l'air dans le boîtier. Ce format n'est pas destiné à remplacer l'ATX à court terme, car il n'est
présent que sur certaines cartes-mères haut de gamme.
Les emplacements : Un boîtier possède plusieurs emplacements pour pouvoir y stocker les
périphériques. Ce nombre varie en fonction de chaque boîtier.
Les emplacements 3,5 pouces sont destinés aux disques durs et lecteurs de disquettes. Les
emplacements 5,25 pouces accueillent les graveurs de CD (Compact Disc) ou bien les lecteurs de
CDROM, de DVD (Digital Versatile Disc), de USB ( Universal Series Bus) etc... Ce sont eux
qui, en général, déterminent les dimensions d'un boîtier.
L'avantage de prendre une alimentation très puissante est qu'elle fera généralement moins
de bruit qu'une petite alimentation utilisée à son maximum, la durée de vie en sera d'ailleurs
améliorée.
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Il peut y avoir jusqu'à cinq types de connecteurs sur une alimentation :
Celui de la carte-mère, qui est rectangulaire et possède une vingtaine de fils.
Les prises Molex, qui alimentent les périphériques 3,5 pouces et 5,25 pouces.
L'alimentation du lecteur de disquette.
L'alimentation des disques durs.
Le branchement des façades lumineuses ou encore de ventilateurs intégrés au boîtier.
La carte graphique est l'élément qui permet de visualiser les informations sur votre écran.
La carte graphique est chargée d'afficher une simple image formée de points colorés appelés
pixels.
Changer une carte graphique est facile. Pensez néanmoins lors d'un changement à
désinstaller l'ancienne par le gestionnaire de périphériques de Windows. Le schéma d’une carte
graphique se trouve ci-après :
La carte mère est l'élément principal de l'ordinateur sur lequel vont venir se greffer les
autres éléments de votre ordinateur (disque dur, lecteur CD,...)
Elle abrite de nombreux circuits électroniques qui permettent de véhiculer les informations entre
chaque élément :
1.1.2.1. Le chipset (ensemble de puces) : c'est un circuit électronique qui est chargé de
coordonner les échanges de données entre les divers composants de l'ordinateur (carte graphique,
processeur...). Il est important de choisir une carte-mère embarquant un chipset récent afin de
garantir à votre PC une évolution possible sans se ruiner. D'autre part, le chipset peut gérer
beaucoup de fonctions comme :
Le son intégré avec enceintes 6.1
Le réseau
Le chipset graphique intégré
Le FireWire
1.1.2.2. Le BIOS: Le BIOS (Basic Input Output System) est un programme de base
permettant de charger les périphériques au démarrage avant le système d'exploitation et de
communiquer avec celui-ci. Il est stocké dans une mémoire ROM (Read Only Memory) et il
utilise les données contenues dans la mémoire pour connaître la configuration du système.
1.1.2.3. Les Bus: Un bus est un circuit intégré à la carte-mère qui assure la circulation des
données entre les différents éléments du PC (mémoire vive, carte graphique, bus système, etc...).
On caractérise un bus par sa fréquence (cadence de transmission des bits) et sa largeur (nombre
de bits pouvant être transmis simultanément).
Les cartes sons sont devenues très importantes aujourd'hui car sans son on ne pourrait pas
aujourd'hui lire des DVD, écouter de la musique ...
Cette carte se trouve à l'intérieur de l'ordinateur. A noter que sur certains ordinateurs, les
circuits audio ne sont pas sur une carte, mais sont directement intégrés à la carte mère.
1.1.4 MEMOIRES
Définition : Mémoire tout dispositif capable de stocker des informations (instructions et données)
de telle sorte que l'organe qui les utilise puisse à n'importe quel moment accéder à l'information
qu'il demande.Une mémoire est formée d'un certain nombre de cellules, ou cases, contenant
chacune une information. Chaque cellule a un numéro qui permet de la référencer et de la
localiser. Ce numéro est son adresse. Avec une adresse de n bits il est possible de référencer
directement au plus 2n cellules. La capacité d'une mémoire est le nombre total de cellules qu'elle
contient. Elle s'exprime en nombre de bits, d'octets (bytes) ou de mots (words).
Aujourd'hui 256 Mo semblent être un minimum. 1024 Mo ne seront jamais de trop si vous
souhaitez travailler sur la photo, le montage vidéo et généralement tout ce qui touche à l'image.
Rajouter de la mémoire est une opération très facile.
Le disque dur est l'organe du PC servant à conserver les données de manière permanente,
même lorsque le PC est hors tension, contrairement à la mémoire vive , qui s'efface à chaque
redémarrage de l'ordinateur, c'est la raison pour laquelle on parle de mémoire de masse.
C'est là que sont sauvegardées vos données, vos programmes et le système windows qui
font fonctionner votre ordinateur (tout comme un cerveau humain).
La capacité des disques durs est exprimée en Giga Octet (Go). Un disque dur est organisé
en plusieurs milliers de blocs qui stockent les informations.
Par exemple un processeur à 700Mhz effectue 700 millions d'opérations par seconde.
Il est composé de :
L’unité arithmétique et logique (Arithmetical and Logical Unit : ALU): qui accomplit les
opérations arithmétiques et logiques telles que addition, multiplication, comparaison de deux
nombres,..
Unité de commandes (Command unit) : Cette unité contrôle le travail de calcul et
coordonne le travail des autres parties de l’ordinateur.
1.2. PERIPHERIQUES
1.2.1.1. Définition
La souris est un manipulateur pour entrer les commandes dans l’ordinateur. La souris est
constituée par une petite boîte avec deux ou trois boutons; sur la partie d’en bas il y a une bille
qui tourne sur le tapis. Le mouvement de la souris est matérialisé sur l’écran d’une flèche ou d’un
symbole adapté à telle ou telle situation particulière : c’est ce que l’on appelle pointeur de la
souris.
Pour effectuer une action ou un choix quelconque, on peut appuyer sur les boutons de la souris.
On déplace la souris au moyen d’un mouvement souple du poignet. On évite le plus possible de
bouger la main. Si vous n’arrivez pas à atteindre un point, levez légèrement la souris,
rapprochez-la de votre main, puis reposez –la.
Pointer veut dire mettre le pointeur de la souris sur un élément de votre choix, se trouvant dans
une fenêtre ou sur le bureau de travail de Windows.
Cliquer (click) veut dire appuyer sur le bouton gauche de la souris (par exemple pour
sélectionner quelque chose). Si vous appuyez sur le bouton droit de la souris on dira tout
simplement cliquer droit (right-click).
Cliquer double ou double clic signifie appuyer deux fois de suite (sans y mettre une longue
intervalle de temps ; c- à- d à intervalle rapproché) sur le bouton gauche.
Glisser la souris (drag) –déplacer la souris tout en maintenant son bouton gauche.
Plus la vitesse est rapide, moins on aura à déplacer la souris, en contrepartie, on aura moins de
précision (notamment dans un logiciel de dessin).
Le bouton gauche est le plus utilisé. Le bouton droit est cependant essentiel à connaître.
Le bouton gauche: Quand cela n'est pas précisé, il faut utiliser le bouton gauche de la souris.
Généralement, un simple clic suffit. On entend par clic la pression exercé par le doigt sur le
bouton gauche puis le relâchement de celui-ci.
Un clic permet de :
- Sélectionner un fichier sur le Bureau ou dans une fenêtre de Windows ;
- Dérouler le menu Démarrer ou un menu d'application (cliquer de nouveau en dehors pour
annuler la sélection ou refermer le menu) ;
- Lancer une application dans la barre de lancement rapide (près du bouton Démarrer)
Un double-clic permet de :
- Lancer une application ou ouvrir un fichier sur le Bureau ou dans une fenêtre de Windows ;
- Ouvrir un programme de configuration dans la partie droite de la barre des tâches (près de
l'horloge) ;
- Sélectionner un mot à l'intérieur d'un texte ; etc.
1.2.2.1. Définition
Le clavier est un périphérique d’entrée essentiel pour l’ordinateur, car c’est grâce à lui qu’il est
possible d’envoyer les données et les commandes dans l’ordinateur. De la même manière que la
machine à écrire, le clavier permet de saisir les caractères (lettres, chiffres, symboles, etc.…).
Il existe différents types de claviers, dont :
- le clavier à 83 touches (ou boutons),
- le clavier à 84 touches (ou boutons)
- le clavier à 102 touches (ou boutons), appelé aussi clavier étendu.
- le clavier à 105 touches (ou boutons), compatible au Microsoft Windows.
Boutons de fonction
Pavé
numérique
Boutons
de partie centrale
commande ( La partie Boutons de
semblable à la contrôle de
machine à écrire) déplacement
du curseur
1. Boutons de fonction
Les touches de fonction se trouvant sur le bord d’en haut du clavier : F1, F2,…, F12, Print screen,
Scroll Lock, Pause Break. Le rôle de ces boutons change d’un programme d’application à un
autre et même d’un système d’application à un autre.
Le Bouton «Print Screen » - ce bouton permet d’imprimer l’écran (l’affichage de l’écran), il est
utilisé en combinaison avec d’autres boutons.
Le Bouton « Pause/ Break » - il est utilisé pour arrêter temporairement l’accomplissement d’une
action.
Le Bouton «Scroll Lock » - il est utilisé pour se déplacer sur le texte d’un écran, mais sans
changer la position du curseur.
Le Bouton « Tab » il est utilisé pour la rédaction des textes, il permet de déplacer le curseur
jusqu’à la 8ème position (points d’insertion). Ce bouton est surtout utilisé pour le remplissage des
tableaux.
Dans un logiciel de traitement de texte comme Word la touche tabulation permet :
De faire un retrait de paragraphe. Par exemple, lorsque vous commencez un paragraphe vous
ne commencez pas directement à taper à la marge de gauche, vous faites un petit décalage de
2 cm environ (8 caractères) puis vous tapez.
De faire des énumérations.
Les Boutons « Ctrl et Alt »- ces boutons sont utilisés en combinaison avec d’autres boutons.
Ctrl- contrôle, Alt- alterner (il consiste à changer certaines opérations).
Le Bouton « ESC (escape=échapper) » il est utilisé pour changer (ou annuler) l’opération que
l’on vient d’accomplir.
3. La partie centrale
Le Bouton « Enter= Entrée »- cette touche joue le rôle de la confirmation d’une opération. Elle
est aussi utilisée pour marquer la fin d’un paragraphe ; elle permet d’aller à la ligne suivante.
Cette touche se trouve à droite de la partie centrale.
Le Bouton « Back Space » :C’est une flèche se trouvant en haut du bouton « Enter », il
permet d’effacer un symbole se trouvant directement à gauche du curseur (barre verticale
montrant le point d’insertion d’un caractère).
Le Bouton portant le pointeur de la souris : il donne la même action que celle accomplie après
avoir cliqué sur un objet avec le bouton droit de la souris.
La barre d’espacement : c’est une longue barre se trouvant sur la partie centrale et permettant
de mettre l’espace entre les mots d’un texte.
Le Bouton « Delete»- Il est utilisé pour supprimer le symbole se trouvant juste à droite de la
position du curseur ; c’est le cas contraire du bouton « Back Space».
Le Bouton « Home=début »- Il est utilisé pour ramener le curseur au début de la phrase (s’il se
trouve à la fin de la phrase ou au milieu de la phrase).
Le Bouton « End= fin »- Il est utilisé pour déplacer le curseur vers la fin de la phrase (s’il se
trouve au début de la phrase ou au milieu de la phrase).
Le Bouton « Pg Up (page Up= page haut »- ce bouton est utilisé pour ramener le curseur à la
page précédente.
Le Bouton « Pg Dn (page Down= page bas »- ce bouton est utilisé pour ramener le curseur à la
page suivante.
Le Bouton « Insert »- permet de passer d’un régime de rédaction à un autre (du régime de
déplacement du texte au régime de substitution).
flèche à gauche- ce bouton permet de déplacer le curseur d’une seule positon vers la
gauche sans effacer le caractère.
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Home - La touche « début »- permet de se déplacer au début de la phrase.
e
- 4 Cette touche déplace le curseur d’une seule position vers la gauche sans effacer le
- caractère.
6
- Cette touche déplace le curseur d’une seule position vers la droite
sans effacer le caractère.
Le délai de répétition: C’est le temps au bout duquel l’ordinateur considère qu’une touche
est enfoncée ; afin de différencier une simple pression de la touche d’un enfoncement prolongé.
Vous avez une marque sur chacune des touches. Il convient d'adopter ces règles de bases.
ATTENTION : Cette technique d’apprendre le clavier ne fonctionne que sous les claviers
français c'est-à-dire où les touches du clavier commencent par AZERTY ou
anglais pour lequel les touches commencent par QWERTY.
Sur la touche F et J, il faut placer vos deux index (index finger or forefinger or pointer finger)
sur chacune d'elle. Sur la touche F vous placez l'index gauche et sur la touche J l'index droit ;
La main gauche :
o Le majeur (middle finger) sur la lettre D
o L'annulaire (ring finger) sur la lettre S
o L'auriculaire (little finger, also known as 'pinky') sur la lettre Q ou sur A pour
QWERTY
La main droite :
Les écrans plats (flat screen) : Ils sont plus légers et plus maniable que les précédents. De plus
ils ne prennent pas beaucoup de place. Ils sont très pratiques pour les personnes qui travaillent
souvent sur ordinateur.
L'écran est l'appareil qui sert à afficher le signal provenant de la carte vidéo de l'ordinateur.
Sur le bureau de travail il existe différents icônes et la barre des tâches (taskbar).
Les icônes
Bureau de travail de
Windows2000
On appelle icône l’image graphique accompagnée d’une légende et qui représente un objet que
l’on peut ouvrir par un double clic. Pour sélectionner l’icône, on clique une fois sur cette
icône. Sur le bureau de travail (Desktop), il y a toujours l’icône « Poste de travail (My
computer) »et « la corbeille (Recycle bin) ». La corbeille est comme la poubelle de
l ‘ordinateur. Dans la corbeille se conservent tous les fichiers (documents) que vous avez
Dans ce menu contextuel qui s’affiche, cliquez sur la commande « Propriétés ». Dans la boîte
de dialogue qui s’ouvre, cliquez sur l’onglet « Options de la barre des tâches ».
Cochez sur l’option « toujours visible » si vous voulez que la barre des tâches soit
toujours visible sur l’écran et ne sera pas couverte par les fenêtres des programmes.
Cochez sur l’option « masquer automatiquement (auto hide) » si vous ne voulez pas que
la barre des tâches soit visible. Si la barre des tâches est masquée, pour la faire
réapparaître, appuyez sur le bouton du clavier « WIN» ou faites la
Pour déplacer la barre des tâches sur l’écran, il faut faire les opérations suivantes :
- Pointer sur la barre des tâches.
- Cliquer et sans relâcher le bouton de la souris, glisser vers le côté choisi de l’écran puis
relâcher le bouton de la souris. On peut aussi augmenter ou diminuer la largeur de la barre
des tâches. Pour cela pointer sur la barre des tâches et quand vous voyez apparaître la
double flèche, cliquez et sans relâcher le bouton de la souris, glissez vers le centre de
l’écran pour augmenter et vers le bas pour diminuer la largeur.
Lorsqu’on ouvre un programme, un document ou une fenêtre, un bouton correspondant
s’affiche sur la barre des tâches. Vous pouvez cliquer sur ces boutons des programmes pour
basculer entre les programmes lancés (ouverts). La barre des tâches permet de contrôler ou de
connaître les programmes lancés.
Programmes ouverts
Programmes lancés
2.1.2. Menus
On appelle menu une suite de commandes ou d’instructions regroupées par genre, ex : on
trouve dans le menu appelé « Fichier » une commande « ouvrir » qui sert à ouvrir ou
charger un document. Pour le système Windows il existe trois sortes de menus :
- Le menu principal (menu démarrer = start menu)
- Le menu contextuel (shortcut menu)
- Les menus des programmes appliqués.
C’est le menu qui s’ouvre quand on clique sur le bouton « Démarrer (start) », quand on
appui sur le bouton du clavier « WIN »( le bouton symbolisant le drapeau de Windows) ou si
on appui sur les boutons «CTRL+ESC ». Ici le signe plus signifie qu’il faut faire une
combinaison de touches, c- à- d appuyer sur la touche « Ctrl » et sans relâcher ce bouton
appuyer encore sur la touche ESC. Chaque commande du menu principal (menu Démarrer)
C’est le menu qui s’affiche quand on clique quelque part (sur un objet) avec le bouton
droit de la souris. Les commandes qui s’affichent ont un rapport avec l’objet sur lequel on a
cliqué, c- à- d les opérations qu’on peut accomplir avec cet objet. Quand on utilise le menu
contextuel on travaille rapidement. On peut aussi ouvrir le menu contextuel avec le clavier en
faisant la combinaison « Shift+F10 », mais il faut d’abord mettre le pointeur de la souris sur
l’objet concerné.
Menu contextuel qui s’ouvre quand on clique sur le bureau de travail avec le bouton
droit de la souris.
Le menu
contextuel
Ce sont des listes des commandes qui se trouvent dans les programmes appliqués. Pour les
ouvrir ou les dérouler, il faut cliquer sur le nom du menu à ouvrir ou faire la combinaison
« ALT+ la lettre souligné dans le nom du menu ».
Dans cette fenêtre les mots : File (fichier), Edit (Edition), View(affichage)…- sont des
menus des programmes appliqués sous Windows.
Quand vous ouvrez les menus des programmes, en général sont affichées les commandes
récemment utilisées. Pour afficher le menu complet, cliquez sur les deux flèches se trouvant à
la fin des commandes visibles. Vous pouvez aussi afficher directement le menu complet en
cliquant deux fois sur le nom du menu à ouvrir sur la barre des menus.
Certains éléments du menu principal possèdent des flèches devant leurs noms, cela
veut dire que ces éléments représentent à leur tour des listes de commandes ; c’est pourquoi on
les appelle les sous- menus (Programme, Documents, Paramètres, Chercher). Pour afficher les
sous- menus il faut cliquer sur la flèche.
1. Le sous- menu « Programmes » : contient tous les programmes appliqués déjà installés
dans l’ordinateur.
2. Le sous- menu « Documents » : Le sous-menu « documents » contient la liste des 15
derniers documents (travaux) récemment ouverts. Pour ouvrir un document de la liste, il
suffit tout simplement de cliquer une fois sur le nom du document à ouvrir.
Dans la boîte de dialogue « Aide », cliquez sur l’onglet « Sommaire » pour trouver les thèmes
groupés par sujets, puis suivez les instructions sur l’écran (vous devez cliquer sur le thème
correspondant à l’information que vous cherchez).
Cliquez sur l’onglet « Index » pour trouver une aide sur les sujets spécifiés arrangés par ordre
alphabétique, puis suivez les instructions sur l’écran.
Cliquez sur l’onglet « Rechercher » pour trouver tous les sujets qui contiennent les mots clés
ou la phrase que vous avez entrée dans la case, puis suivez les indications sur l’écran.
Après avoir cliqué sur le bouton « Parcourir (browse) » on trouve la fenêtre suivante:
7. La commande « Arrêter (Shut Down) » : On clique sur cette commande pour terminer le
travail avec l’ordinateur, c- à- d quand on se prépare à terminer le travail.
Avant de terminer le travail avec le Windows, il faut enregistrer toutes les données
dans les programmes d’applications ouverts.
1. - Cliquer sur le bouton « Démarrer », se trouvant sur la barre des tâches (taskbar).
-Mettre le curseur ou le pointeur de la souris sur la commande « Programmes », puis dans
la liste des programmes, cliquer sur le nom du programme que l’on veut ouvrir.
Si vous avez utilisé la combinaison «CTRL+ESC » ou la touche « WIN » pour afficher le
menu principal, il faut utiliser les flèches de déplacement du curseur pour choisir le
programme à ouvrir, puis appuyer sur le bouton du clavier « Enter ».
2.4.1. Définition
Une fenêtre est une portion (surface rectangulaire) de l’écran, délimitée par un cadre épais ou
à défaut d’une couleur qui permet de ne pas la confondre avec le reste de l’affichage.
Il existe trois sortes de fenêtres : fenêtre d’un programme, fenêtre d’un document et boîte de
dialogue.
Bouton de réduction
Barre de menus
Barre de titre
Bouton d’agrandissement
Curseur de défilement
On peut aussi agrandir (maximize), réduire (minimize), déplacer (move), restaurer (restore) ou
dimensionner (size) la fenêtre en utilisant le menu contextuel qui s’ouvre quand on clique
avec le bouton droit de la souris sur la barre de titre du programme ouvert.
La barre d’état donne les informations concernant la position du curseur (point d’insertion).
Sur la barre d’état est affiché (de gauche à droite) : le numéro de la page sur laquelle se trouve
le curseur, le numéro de la section du document, le numéro de la page par rapport au nombre
total des pages d’un document, le numéro de la ligne et de la colonne sur laquelle se trouve le
curseur et la langue utilisé.
La fenêtre d’un programme comprend : la barre de titre (qui indique le programme ouvert), la
barre des menus, la barre d’outils, barre d’adresse (pour Windows 98,2000, XP). Le titre
indique généralement le nom du programme et celui du document en cours, juste pour ne pas
les confondre avec les autres fenêtres.
Dans le coin droit (en haut) dans la barre de titre il y a trois boutons :
Pour réduire la fenêtre, on peut aussi cliquer sur la commande «Réduction » du menu
contextuel qui s’ouvre quand on clique avec le bouton droit de la souris sur l’icône du
programme dans la barre de titre. Pour faire réapparaître la fenêtre réduite, on clique sur la
commande « Restauration »du même menu contextuel. Pour ouvrir ce menu contextuel, on
peut aussi faire la combinaison « Alt+ appuyer sur barre d’espacement».
Pour réduire toutes les fenêtres, on peut utiliser le menu contextuel qui s’ouvre quand on
clique avec le bouton droit de la souris sur la barre des tâches (sur la zone libre de la barre des
tâches), puis on clique sur la commande « Réduire toutes les fenêtres ».
Si la fenêtre d’un programme n’occupe pas tout l’écran, on peut la déplacer d’un endroit à un
autre ; pour cela il faut cliquer sur la barre de titre et sans relâcher le bouton de la souris glisser
jusqu’à la nouvelle position. On peut aussi la redimensionner en changeant sa hauteur et sa
largeur. Pointez les bordures de la fenêtre et le pointeur de la souris se transforme en double
flèche, cliquez sur la double flèche et sans relâcher le bouton de la souris, glissez dans la
direction voulue (vers l’extérieur de la fenêtre, pour augmenter et vers l’intérieur de la fenêtre
pour diminuer).
- Cette flèche apparaît quand on pointe sur la bordure d’en haut sur la fenêtre
- Cette flèche apparaît quand on pointe sur la bordure d’à droite et d’à gauche de la fenêtre
Pour fermer la fenêtre d’un programme on peut aussi utiliser la combinaison « ALT+F4 ».
La fenêtre d’un document se trouve à l’intérieur de la fenêtre d’un programme ; elle contient la
barre de titre avec trois boutons dans le coin droit en haut et la barre de défilement horizontal
et vertical.
Pour faire monter le texte d'une ligne vers le haut, cliquer sur le bouton
Pour faire monter le texte d'une ligne vers le bas, cliquer sur le bouton
Pour visionner l'écran suivant, cliquer en dessous du curseur de défilement.
Pour visionner l'écran précédent, cliquer au-dessus du curseur de défilement
Pour passer à la page suivante, on peut aussi cliquer sur le bouton avec deux flèches .
Pour passer à la page précédente, on peut aussi cliquer sur le bouton avec deux flèches .
Pour fermer la fenêtre d’un document, on clique sur le bouton de fermeture ou on fait la
combinaison « CTRL+F4 ».
Quand on clique sur chacune des commandes suivies par les points de suspension il y a une
boîte de dialogue qui va s’ouvrir (ex : Ouvrir (open), Enregistrer Sous (Save As)…, etc)
Dans la boîte de dialogue il y a la barre d’option, ici « Ouvrir » avec deux boutons à la fin : ?
Dans cette boîte de dialogue, les mots : Bordures, bordure de la page, trame de fond sont
appelés onglets.
On remarque qu’il y a une différence entre l’onglet sur lequel on a cliqué (Bordures) et les
onglets sur lesquels, on a pas cliqué (Bordure de page et Trame de fond). Pour passer d’un
onglet à un autre, on doit cliquer sur l’onglet. Pour se déplacer sur les éléments de la boîte de
Boîte : En appuyant sur la flèche vers le haut ou vers le bas (bouton de rotation), Windows
augmente ou réduit le chiffre dans la case. Boîte
Bouton de rotation
- bouton radio : les boutons radio sont utilisés pour choisir une option, cependant
seulement un seul bouton radio peut être actif à la fois.
- Bouton crochet : ce bouton vous donne le choix d’activer ou de désactiver une option.
Un « V » dans le bouton veut dire que l’option est active (l’option qui joue un rôle).
Ici les options « textes animés »et « info-bulles» sont actives, tandis que l’option
« Espace pour images » est inactive. Pour passer d’une option à une autre, on peut
Si la fenêtre n’occupe pas ses dimensions maximales(c-à-d quand elle n’occupe pas tout
l’écran), on peut la redimensionner. Pour cela il faut pointer sur ses bords épais, et quand vous
voyez une double flèche, cliquez sur elle et sans relâcher le bouton de la souris, glissez vers la
droite, vers la gauche, vers le bas ou vers le haut ; ça dépend de la direction dans laquelle vous
voulez augmenter les dimensions.
La configuration des périphériques est l’action de fixer certains paramètres des périphériques
pour mieux travailler. On utilise la fenêtre de panneau de configuration (control panel).
Le panneau de configuration
permet de changer les
paramètres des périphériques.
On clique deux fois sur l’image
d’un périphérique dont on doit
changer les paramètres.
On peut aussi ouvrir cette
fenêtre en passant par le « Poste
de travail (My computre »,
puis en cliquant sur l’icône
« Panneau de
configuration (control panel)».
On clique sur l’onglet « Ecran de veille (screen saver)» ; pour cacher l’affichage de l’écran.
L’écran de veille empêche aux gens très curieux de lire ce que vous avez sur l’écran. Toujours
pour fixer les changements qu’on vient de faire, on clique sur le bouton de la boîte de
dialogue, « Appliquer (Apply)».
Dans ce cas on ne peut pas lire par exemple le document. Pour annuler l’écran de veille,
appuyer sur un bouton quelconque du clavier ou sur la souris. L’écran de veille apparaît quand
vous passez un certain temps sans toucher ni le clavier ni la souris. Vous pouvez fixer ce
temps en déterminant le nombre de minutes sur la case « attente (wait) ».
On clique sur l’onglet « Apparence» pour changer la couleur de tous les éléments de la
fenêtre (la barre des menus, barre de titre,…)
Il existe une autre méthode pour ouvrir cette boîte de dialogue (méthode générale) :
Cours d’Initiation à l’informatique UNR_Année Académique 2007,
50
- Dans le menu principal, choisissez la commande « Paramètres (settings)»,
- Dans le sous- menu, choisissez la commande « Panneau de configuration (control
panel) » (c’est la fenêtre qui permet de fixer les paramètres de tous les périphériques).
- Deux fois, cliquer sur l’icône du moniteur, là où est marqué le mot « affichage
(display) » ;
- Cliquez sur l’onglet correspondant au paramètre qui vous intéresse.
Comme pour l’écran, nous disposons dans le panneau de configuration, d’une icône pour
régler les paramètres de la souris.
En cliquant deux fois sur l’icône de la souris, la boîte de dialogue correspondante s’ouvre.
Toujours dans la fenêtre panneau de configuration, cliquer deux fois sur l’image du clavier
1. L’onglet « vitesse
(speed) »
Tout d’abord, vous pouvez
en bas, faire glisser le
curseur qui modifie le
clignotement du curseur
dans les textes ; en suite
vous savez que si vous
laissez le doigt appuyé sur
une touche ; celle-ci se
répète au bout de quelques
instants. Le curseur (flèche
orientée vers le bas) du
haut sert à modifier ce
comportement en
augmentant ou en
diminuant le délai de répétition, ainsi que la fréquence de celle-ci. L’option « Délai avant
répétition » permet de fixer l’intervalle de temps avant le début de la répétition. L’option
« Fréquence de répétition » permet de fixer la vitesse d’entrer les symboles, c- à- d le
nombre de répétitions d’un symbole qu’on peut faire entrer dans une seconde.
Cliquez d’abord sur le bouton « Ajouter = Add », puis choisissez la langue dans la boîte de
dialogue « Ajout de langue » et enfin cliquez sur le bouton « OK » de cette boîte de
dialogue. Après la confirmation, sur la barre des tâches va apparaître le bouton permettant de
basculer entre plusieurs langues mais pour que ce bouton apparaisse sur la barre des tâches, il
faut cocher sur l’option « Activer l’indicateur sur la barre des tâches ».
Cliquez sur « French (France) » si vous voulez utiliser le français et sur « English(United
States) » si vous voulez utiliser l’anglais.
3. Dans l’onglet « Général » vous trouverez le type du clavier connecté sur votre ordinateur.
Pour changer le type du clavier à utiliser, cliquez sur le bouton de cette boîte de dialogue
« changer ».
L’onglet « Date/Heure » permet facilement de régler ces valeurs. Pour cela, il faut cliquer
dans la case où sont indiqués l’heure, les minutes et les secondes et changer celles-ci à l’aide
du clavier. On clique sur l’élément à modifier.
Pour fixer le mois, il faut le choisir dans la boîte de sélection là où est marqué le mot Août.
Pour fixer la date, il faut cliquer sur le numéro du jour.
On clique sur l’onglet « fuseau Horaire », pour regarder la différence qu’il y a entre le temps
universel et le temps de certaines villes du monde. Par exemple à Kigali nous sommes à 2
heures de plus par rapport à G.M.T. L’onglet « fuseau Horaire » aidera les grands voyageurs
à s’adapter à l’heure locale.
Calculatrice scientifique
En rédigeant un texte on saisit les caractères en appuyant sur les boutons du clavier. Pour cela
avant de commencer la rédaction il faut vérifier la langue du clavier. La langue du clavier est
indiquée sur la barre des tâches par les symboles comme : EN- anglais, FR- français, RU-
russe, etc… . Pour choisir la langue du clavier, on clique sur ces symboles et dans la liste qui
s’affiche, on clique sur la langue avec laquelle on veut travailler.
Avant de commencer la rédaction, il faut aussi fixer : la taille de police (12), la police (Times
New Roman), et les marges.
- Au moment de la rédaction d’un texte pour déplacer le curseur, on peut utiliser la souris (en
cliquant à l’endroit) ou on utilise le clavier en appuyant sur les boutons avec les flèches
Pour saisir les symboles ne se trouvant pas sur le clavier on peut utiliser les combinaisons
suivantes (cfr Annexe 1) :
Alt+130 é Alt+139 ï Alt+150 û
Alt+135 ç Alt+64 @ Alt+151 ù
Alt+136 ê Alt+140 î Alt+131 â
Alt+137 ë Alt+145 æ Alt+133 à
Alt+138 è Alt+147 ô
En rédigeant un texte vous pouvez avoir besoin d’utiliser le synonyme pour éviter la
tautologie, pour cela, cliquez sur le mot dont il faut chercher le synonyme avec le bouton droit
de la souris et dans le menu contextuel qui s’ouvre, pointez sur la commande « Synonymes »
un répertoire
En informatique, un répertoire est une liste de descriptions de fichiers. Du point de vue du
système de fichiers, il est traité comme un fichier dont le contenu est la liste des fichiers
référencés. Un répertoire a donc les mêmes types de propriétés qu'un fichier comme le nom, la
taille, la date, les droits d'accès et les divers autres attributs.
L’organisation des fichiers sous Windows et Mac OS est conçue autour d’une structure dite
« en arbre », c’est à dire que vous pourrez hiérarchiser vos fichiers et dossiers en
plusieurs niveaux, un peu comme un organigramme d’une entreprise, sauf que le haut de
l’organigramme s’appelle la racine (root en anglais).
Examinons
maintenant la
structure ou
l’arborescence de dossiers( répertoires) et de
fichiers du dossier Program Files sous Windows
XP.
NB
Vous pouvez utiliser des caractères majuscules ou minuscules ; Windows et Mac OS ne
font pas de différences. Par contre Unix fait la différence entre les majuscules et les
minuscules (en anglais on dit case sensitive); alors attention si vos fichiers sont destinés
à Internet tenez en compte.
Certains caractères spéciaux sont interdits dans l’environnement Windows et Mac OS, le
mieux c’est de n’en utiliser aucun ; de même il est préférable d’utiliser le souligné
Pour organiser vos données vous aurez à créer, modifier, déplacer vos dossiers.
Pour créer un dossier rien de plus simple, que ce soit sous Windows 95 à XP ou sous Mac
OS 9 et X.
Notes
Pour vider la corbeille sous Mac OS 9, allez dans le menu spécial puis vider la
Pour vider la corbeille double-cliquez sur cette dernière et allez dans le menu fichier et cliquez sur
vider la corbeille. Il vient Un message d’attention avant la suppression définitive des éléments
contenus dans la corbeille.
3.1. INTRODUCTION
Le logiciel Word a été conçu par la société Microsoft. C’est un logiciel de traitement de
texte. Avec Word, vous avez la possibilité de réaliser tous les types de documents
professionnels ou privés (notes de service, courrier, rapport, mémoire, thèse, publipostage …).
Le curseur
La barre de menu L’aide en ligne
Par défaut, on crée un document vierge mais on peut se servir des documents préexistant
dans Word. Pour utiliser un de ces modèles, vous devez cliquer sur le menu Fichier (file) puis
sur Nouveau (new). La boîte de dialogue suivante apparaît alors :
Choisissez alors votre modèle de document Word parmi les proposés. D’autres
documents Word se trouvent dans les différents onglets que la boîte de dialogue propose.
3.1.4. Enregistrer un document
Pour enregistrer un document Word, il suffit de cliquer sur le menu Fichier (File) puis
sur Enregistrer sous … (save as). La boîte de dialogue Enregistrer sous apparaît alors :
Par défaut, Word propose toujours d’enregistrer le document actif sous Mes documents
(My documents). Mais vous pouvez le changer de place ou créer des sous dossier. Dans la
zone de texte Nom du fichier (filename), Word prend par défaut les premiers caractères que
vous avez tapés. Si le nom ne vous convient pas vous pouvez le changer. Lorsque vous avez
trouvé le bon dossier et mis un nom vous pouvez cliquer sur le bouton enregistrer. Le saisi va
alors se placer en barre de titre.
Pour fermer un document Word, il suffit de cliquer sur le bouton Fermer la fenêtre
dans la barre de menu ou de cliquer sur le menu Fichier (file) puis Fermer (close).
Généralement Word ouvre les fichiers sur le dossier Mes documents mais vous avez la
possibilité d’ouvrir d’autres fichiers stockés à d’autres endroits (Disquette, Cd ROM …). Pour
cela, il suffit de cliquer sur la liste déroulante de la case Regarder dans (look in). Vous avez
aussi la possibilité d’ouvrir un sous dossier en double-cliquant sur son nom ou en cliquant sur
son nom puis en cliquant sur le bouton Ouvrir (open). Il en va de même pour les fichiers.
Pour enregistrer le même document sous un autre nom, il suffit de cliquer sur le menu
Fichier puis Enregistrer sous … La boîte de dialogue vue dans la section 3.1.4. réapparaît.
Maintenant, dans la partie Nom du fichier, il faut renommer le fichier.
Pour quitter le logiciel MS Word, il suffit de cliquer sur le bouton Fermer dans la
barre de titre ou de cliquer sur le menu Fichier puis Quitter (exit).
3.2. PARAMETRER WORD POUR FACILITER LA SAISIE DU DOCUMENT
Explorateur de document
Aperçu avant impression
Messagerie Electronique
Insérer un tableau
Dessin (drawing)
Lien Hypertexte
Orthographe
Enregistrer
Imprimer
Colonnes
Nouveau
Annuler
Rétablir
Couper
Copier
Ouvrir
Coller
Il existe plein d’autres barres d’outils, nous les verrons au fur et à mesure de ce cours.
(outside borders) Style de flèche (arrow style
Augmenter le retrait
Style de trait (dash style)
(encrease indent)
Standard. Il faut refaire les manipulations pour afficher les autres barres d’outils.
Diminuer le retrait
(decrease indent) Style de ligne (line style)
Puces (bullets)
Couleur de police (font coulor)
Numérotation
Couleur du contour
(numbering)
Justifier (justfy)
Couleur de remplissage
Aligner à droite Insérer une image de la bibliothèque
Centrer Insérer un objet WordArt
Aligner à gauche Zone de texte
Souligné (Underline) Ellipse
Rectangle
3.2.1.3. La barre d’outils Dessin
Italique (Italic)
Flèche
Gras (Bold)
Trait
Taille de la police
Formes automatique
( font size)
Rotation libre
Police (font)
Sélection des objets
Style
Dessin
3. 2.2. Afficher la règle
La règle est un repère sur votre écran. Elle se situe en dessous des barres d’outils et à
gauche de l’écran. Si elle n’apparaît pas, vous devez cliquer sur le menu Affichage (View)
puis Règle (ruler).
Les caractères non imprimables sont des caractères que l’on peut voir à l’écran mais qui
n’apparaissent pas lors de l’impression du texte. Ces caractères nous permettent de se repérer à
l’écran. Pour afficher ces caractères, assurez-vous que le bouton Afficher / Masquer (show/
hide) est bien enfoncé. Ce symbole marque les fins de paragraphes, les sauts de ligne et
les tabulations.
est apparu. Pour sauter une ligne, vous devez appuyer une nouvelle fois sur la touche
ENTREE.
Lorsque vous arrivez en fin de ligne, le mot que vous êtes en train de taper peut ne pas
rentrer sur la ligne, il ne faut surtout pas appuyer sur la touche ENTREE, car Word le
considérera comme un nouveau paragraphe. Il faut continuer à taper et Word ira
automatiquement à la ligne. L’exemple suivant vous le prouve :
Une fois saisie, certains mots sont soulignés en rouge. Word ne trouve pas ce mot dans
son dictionnaire orthographique. Il estime donc que nous avons fait une erreur de saisie. Si
c’est le cas, vous pouvez corriger l’erreur soit :
en supprimant le(s) caractère(s) avec la touche Retour arrière et en saisissant
le(s) nouveau(x) caractère(s) ;
en utilisant le correcteur orthographique (voir 2.2.1.1).
En cours de frappe, Word analyse les caractères tapés et propose d’insérer un mot à notre
place. C’est souvent le cas pour les dates. Si la proposition de Word vous convient, il suffit
d’appuyer sur la touche TABULATION sinon il faut appuyer sur la touche ECHAP (ESC).
Pour insérer un symbole, vous devez cliquer sur le menu Insertion puis Caractères
spéciaux. La boîte de dialogue suivante apparaît alors.
L’onglet « Symboles » est affiché. Maintenant, vous n’avez plus qu’à choisir la police en
faisant dérouler la liste déroulante. Ensuite, vous devez choisir le symbole à insérer et lorsque
vous avez choisi, il suffit de cliquer sur le bouton Insérer puis Fermer. Le symbole se place
alors à l’endroit de votre curseur. Les polices de caractères où l’on trouve le plus de caractères
particuliers sont les polices Webdings, Wingdings, Wingdings 2 et Wingdings 3.
Vous devez faire exactement la même manipulation que précédemment en cliquant sur le
menu Insertion puis symbols,, puis caractères spéciaux (special characters). La boîte de
suivante apparaît alors :
Maintenant, vous devez cliquer sur l’onglet « Caractères spéciaux ». Faites défiler
l’ascenseur jusqu’à ce que vous trouviez votre caractère. Lorsque vous l’avez trouvé, cliquez
sur le bouton Insérer puis Fermer. Le caractère apparaît à l’endroit où est placé votre curseur.
Pour se déplacer dans un document Word avec le clavier vous devez vous servir des
touches situées entre le pavé alphanumérique et le pavé numérique
(home): Cette touche permet de replacer le curseur au début de la ligne.
FIN (end) : Cette touche permet de placer le curseur à la fin de la ligne.
ou Pg Up : Cette touche permet de déplacer le curseur vers le haut page par page.
ou Pg Down : Cette touche permet de déplacer le curseur vers le bas page par page.
: Cette touche permet de revenir d’un caractère vers la gauche.
: Cette touche permet de se déplacer d’un caractère vers la droite.
: Cette touche permet de monter le curseur d’une ligne.
: Cette touche permet de descendre le curseur d’une ligne.
Pour vous déplacer dans un document Word avec la souris, vous pouvez utiliser les
ascenseurs verticaux et horizontaux mais aussi les boutons page suivante et page précédente
(voir le schéma dans la partie 1-3). En cliquant avec le bouton gauche dans votre document
Word, vous allez déplacer votre curseur à l’endroit où vous avez cliqué.
La sélection de texte permet par exemple de mettre en gras votre texte au lieu de le faire
caractère par caractère. La sélection de texte ou de mot se présente de cette façon :
3.3.4.1. Avec le clavier
Pour sélectionner du texte avec le clavier, vous devez placer le curseur devant le mot où
la phrase à sélectionner. Ensuite, tout en maintenant la touche MAJ ou enfoncée, appuyez
sur la flèche de direction qui va vers la droite. Votre texte ou votre mot est sur un fond noir
(comme pour l’image précédente). Vous venez de sélectionner le texte.
Pour supprimer un caractère qui se trouve avant le curseur vous devez utiliser la touche
RETOUR ARRIÈRE (BACKSPACE) . Cette touche est située au-dessus de la grosse touche
ENTREE. Cette touche supprime les caractères un à un et les supprime vers la gauche.
Pour supprimer un caractère qui se trouve après le curseur, vous devez utiliser la touche
SUPPR (delete). Cette touche est située sous la touche INSER entre le pavé alphanumérique
et le pavé numérique. Cette touche supprime les caractères un à un et les supprime vers la
droite.
Pour supprimer un mot, une phrase ou un paragraphe vous devez sélectionner le texte
que vous voulez supprimer par une des méthodes vu précédemment. Ensuite, il suffit
d’appuyer sur la touche SUPPR ou sur la touche RETOUR ARRIERE.
3.4.3. Copier, couper et coller un mot, une phrase ou un texte
3.4.3.1. Copier
Pour copier un mot, une phrase ou un texte dans un document, on procède comme suit :
Sélectionner le mot, la phrase ou le texte à copier ;
Cliquer sur le menu Edition (edit), puis sur copier (copy) ;
Mettre le curseur là où l’on veut copier ;
Cliquer sur le menu Edition, puis sur coller (paste).
L’annulation d’une opération consiste à annuler la frappe que vous avez saisie. Pour
annuler une opération, vous avez 3 possibilités :
Par la barre de menu : il faut cliquer sur le menu Edition (edit) puis Annuler (undo)
A chaque fois que vous faites une faute d’orthographe ou que Word ne trouve pas un mot
dans son dictionnaire, Word souligne ce mot en rouge. Pour corriger cette faute, il suffit de
faire un clic droit sur le mot. Word ouvre alors un menu contextuel dans lequel il propose une
ou plusieurs solutions pouvant correspondre à votre mot. Pour corriger la faute, il faut cliquer
sur le mot que Word propose. L’image suivante vous montre la correction d’un mot.
Pour corriger les fautes de grammaire en cours de frappe, vous devez vérifier si l’option
« Vérifier la grammaire et l’orthographe » est cochée. Pour cela, cliquer sur le menu Outils
(tools) puis Options, la boîte de dialogue suivante s’ouvre. Il faut cliquer sur l’onglet
« Grammaire et Orthographe » pour voir l’option :
Cochez la case « Vérifier la
grammaire et l’orthographe » si
elle n’est pas cochée.
Pour corriger les fautes d’orthographe et de grammaire, vous avez deux possibilités. La
première consiste à cliquer sur le bouton suivant . La deuxième consiste à cliquer sur le
menu Outils puis Grammaire et Orthographe (grammar and spelling). Dans n’importe
quel cas, la boîte de dialogue suivante s’ouvre alors :
Pour corriger vos fautes d’orthographe, il suffit de lire ce qui est inscrit dans la partie
« Suggestion ». Ensuite, lorsque vous avez apporté la correction, il suffit de cliquer sur le
bouton Remplacer (replace). Si vous êtes sur qu’il n’y a pas de faute de grammaire ou
d’orthographe à votre phrase et que Word en trouve une, cliquez sur le bouton Ignorer
(ignore). Si vous voulez ajouter un mot dans le dictionnaire de Word, il suffit de cliquer sur le
bouton Ajouter (add to dictionary).
Si vous voulez un synonyme d’un mot que vous mettez tout le temps dans votre texte, il
faut sélectionner le mot dont lequel vous voulez trouver un synonyme. Ensuite, il suffit de
cliquer sur le menu Outils puis Langues et enfin Dictionnaire des synonymes (thesaurus).
L’image suivante vous montre les synonymes trouvés pour le mot MAISON :
Une police de caractère s’est le style d’écriture que l’on peut mettre dans un document
Word. Pour changer la police de caractère, vous devez cliquer sur la barre d’outils Mise en
forme (format) et sur le bouton Police (font). Il suffit de cliquer alors sur la liste déroulante et
de choisir la police que vous voulez.
La taille des caractères permet d’agrandir ou de réduire la police d’écriture. Pour changer
la taille des caractères, vous devez cliquer sur la barre d’outils Mise en forme (format) et sur
le bouton Taille (size). Il suffit de cliquer alors sur la liste déroulante et de choisir la taille que
vous voulez.
Word. Pour mettre en gras, il suffit de cliquer sur le bouton suivant ou B et de taper
le texte. Pour enlever le gras, vous devez cliquer sur le même bouton.
Comme pour le gras, l’italique permet de faire ressortir des éléments de votre document
Word. Pour mettre en italique, il suffit de cliquer sur le bouton suivant et de taper le texte.
Pour enlever l’italique, vous devez cliquer sur le même bouton.
Pour changer la couleur des caractères vous devez cliquer sur la flèche du bouton suivant
. Après avoir cliquer sur la flèche, une palette de couleur apparaît. Choisissez la couleur
qui vous convient ou cliquer sur Autres couleurs pour créer votre propre couleur.
3.5.7. Changer la casse
La casse est le passage du mode minuscule au mode majuscule ou inversement. Pour
changer la casse d’un mot, d’une phrase ou d’un paragraphe, vous devez choisir Modifier la
casse (change case) dans le menu Format. La boîte de dialogue suivante apparaît alors :
Il ne vous reste plus qu’à choisir le type de modification que vous voulez apporter et de
cliquer sur le bouton OK.
L’alignement d’un paragraphe sur la marge de gauche permet d’aligner toutes les lignes de
votre paragraphes à gauche. Généralement à l’ouverture d’un nouveau document Word c’est
cet alignement qui est pris par défaut. Si ce n’est pas le cas, vous devez cliquer sur le bouton
suivant .
Le paragraphe précédent a été tapé avec un alignement vers la gauche.
U ne lettrine donne un aspect encore différent a votre paragraphe. Une lettre est la
première lettre que l’on voit dans un journal par exemple. Elle marque la première
lettre du gros titre. Pour créer une lettrine, vous devez taper votre lettre puis la sélectionner.
Ensuite, il faut choisir Lettrines (drop cap) dans le menu Format. La boîte de dialogue
suivante apparaît :
Vous avez 3 positions pour choisir votre lettrine. Pour choisir une des trois, il suffit de
cliquer sur la position que vous voulez. Ensuite, vous avez la possibilité de choisir la police de
votre lettrine pour cela, il suffit de cliquer sur la liste déroulante Police (font). Ensuite, vous
pouvez choisir la hauteur de ligne de votre lettrine et si elle est collée ou non au texte que vous
voulez taper.
Les listes à puces permettent de faire des énumérations. Par exemple, comme il fait beau
aujourd’hui, je vais à la plage, il me faut :
Mon maillot de bain
De la crème solaire
Mes lunettes de soleil …
Pour créer des listes à puces, il faut se mettre à la ligne en appuyant sur la touche
ENTREE du clavier puis de cliquer sur le bouton suivant . Dans ce cas là, la puce est défini
par Word et vous ne pouvez la changer. Pour mettre la puce que l’on désire, il suffit de choisir
Puces et Numéros (bullets and numbering) dans le menu Format, la boîte de dialogue
suivante apparaît alors :
En cliquant sur le bouton Image vous aurez d’autres puces. Maintenant que vous avez
choisit, cliquez sur le bouton OK et votre puce apparaît. Lorsque vous avez fini une
énumération pour aller à la suivante, il suffit d’appuyer sur la touche ENTREE du clavier. Une
nouvelle puce apparaît alors. Pour finir votre énumération, vous devez appuyer 2 fois sur la
touche ENTREE.
Une liste numérotée correspond à une liste à puce mais au lieu d’avoir des symboles
pour avoir notre énumération, on a des chiffres. On va reprendre l’exemple de la partie 2.6.7.
1. Mon maillot de bain
2. De la crème solaire
3. Mes lunettes de soleil
Pour créer votre liste numérotée, vous pouvez passer par le menu Format puis Puces et
numéros et enfin choisir l’onglet Numéros (numbered) ou vous pouvez cliquer sur le bouton
suivant dans la barre d’outils Mise en forme. Les numéros fonctionnent exactement
comme les puces il faut appuyer sur la touche ENTREE pour créer un autre numéro ou
appuyer 2 fois sur ENTREE pour finir l’énumération.
3.6.9. Créer une liste hiérarchisée
Pour créer une liste hiérarchisée, vous devez sélectionner Puces et numéros dans le
menu Format puis vous devez choisir l’onglet Hiérarchisation et enfin la liste que vous
voulez. Pour créer une hiérarchisation, il suffit d’appuyer sur la touche TABULATION.
Exemple :
1) Mon maillot de bain
a) Bleu
b) Noir
Après avoir taper « Mon maillot de bain », vous devez aller à la ligne en appuyant sur
ENTREE, Word alors met un 2), il suffit d’appuyer sur la touche TABULTATION, Word crée
un retrait et marque un a) … Pour créer un 2), vous devez re-sélectionner Puces et numéros
dans le menu Format et re-choisir l’onglet Hiérarchisation, et les numéros de hiérarchisation
sont passées à un 2ème niveau.
Pour créer une bordure autour d’un paragraphe, vous devez sélectionner le paragraphe.
Ensuite, il suffit de cliquer sur le menu Format puis Bordures et trames (borders and
shading). La boîte de dialogue suivant s’ouvre alors :
Maintenant, il ne vous reste plus qu’à choisir le type, le style, la couleur et la largeur
pour votre bordure de paragraphe et de cliquer sur le bouton OK.
Une trame de fond est une couleur que l’on peut appliquer à un paragraphe. Pour créer
une trame de fond, vous devez sélectionner votre paragraphe. Dans la boîte de dialogue, vu
précédemment, il faut choisir l’onglet Trame de fond (shading) puis de choisir la couleur qui
vous convient.
Il existe différent format de papier pour lequel on peut imprimer un document. Les deux
formats de papier les plus connus sont les formats A4 et A3. Par défaut, c’est le format A4 qui
est pris. Si vous voulez changer le format du papier, il suffit de choisir Mise en page (page
setup) dans le menu Fichier et de cliquer sur l’onglet Format du papier (paper). La boîte de
dialogue suivante apparaît alors :
Il suffit alors de cliquer sur la liste déroulante « Format du papier » est de choisir le
format du papier que vous voulez.
Pour changer l’orientation de la page, vous devez cliquer sur le bouton radio « Paysage
(landscape) ». Par défaut, c’est l’orientation « Portrait » qui est choisit. On parle aussi
d’orientation à la « Française » ou à « l’Italienne ».
Lorsque vous saisissez des informations dans un document Word, vous ne commencez
jamais à saisir en haut à gauche de la feuille, votre curseur se place au début de vos règles
(verticale et horizontale). C’est ce qu’on appelle une marge. Par défaut, les marges de gauche,
droite, haut et bas sont à 2.5 cm mais vous pouvez réduire ou agrandir la marge comme vous
voulez. Pour cela, vous devez choisir Mise en page dans le menu Fichier et choisir l’onglet
Marge (margin). La boîte de dialogue suivante apparaît alors :
En cliquant sur les flèches qui montent ou qui descendent pour chaque marge, vous
pouvez agrandir ou diminuer les marges de votre document Word.
ATTENTION : Si vous diminuez trop les marges une boîte de dialogue peut apparaître
vous disant qu’une partie du texte saisie peut-être rogner par l’imprimante. Je vous conseille
de ne jamais descendre les marges à plus de 1.3 cm sinon vous aurez automatiquement cette
boîte de dialogue.
Vous pouvez toujours ignorer le conseil en cliquant sur le bouton « Ignorer » mais en
dessous de 0.5 cm, vous allez perdre une partie de votre texte.
Un saut de page permet d’aller sur une nouvelle page vierge à la suite de votre texte.
L’insertion d’un saut de page évite d’appuyer plusieurs fois sur la touche ENTREE du clavier
pour aller à la page suivante. Pour insérer un saut de page vous devez choisir Saut (break)
dans le menu Insertion. La boîte de dialogue suivante apparaît alors :
Ensuite, vous sélectionnez « Saut de page » si celui-ci n’est pas sélectionner. Par défaut,
le bouton radio « Saut de page » est sélectionnez. Ensuite, il suffit de cliquer sur le bouton OK
et vous arrivez à la page suivante.
Dans un en-tête ou pied de page vous pouvez mettre la police, la taille, la couleur … que
vous voulez. Tant que vous n’avez pas cliqué sur le bouton Fermer de la barre d’outils, vous
ne pourrais pas créer ou continuer votre document Word. Pour avoir la signification de tous les
icônes de la barre d’outils, il suffit de passer la souris sur un icône et de voir sa signification.
Pour ajouter une bordure à votre document Word, vous devez choisir Bordures et
trames (borders and shading) du menu Format. La boîte de dialogue suivante apparaît :
Cliquez ensuite sur l’onglet « Bordure de page (page border)». Maintenant, il ne vous
reste plus qu’à choisir le type, le style, la couleur, la largeur et le motif de la bordure.
Vous pouvez appliquer la bordure à tous votre document, ou à une partie de votre
document en cliquant sur la liste déroulante « Appliquer à ».
L’aperçu avant impression permet de vérifier si toutes vos pages sont mise en page
correctement. Pour pouvoir faire un aperçu avant impression, vous devez choisir sur Aperçu
avant impression (print preview) du menu Fichier ou cliquez sur le bouton suivant . La
fenêtre suivante s’ouvre alors :
Pour quitter cette fenêtre et revenir à la page de Word, vous devez cliquer sur le bouton
Fermer de la barre d’outils « Aperçu avant impression ».
Pour créer un tableau, cliquez sur le menu Tableau (Table) puis Insérer (insert) et enfin
Tableau (table). La boîte de dialogue suivante s’ouvre alors :
Avec les flèches qui montent et qui descendent, choisissez le nombre de lignes et de
colonnes puis cliquez sur OK.
Pour sélectionner une colonne de votre tableau, cliquez dans la première cellule que vous
voulez sélectionner puis tout en maintenant cliquer, déplacer la souris dans la ou les cellule(s)
du dessous.
Pour insérer une colonne dans votre tableau, placez le curseur dans une cellule de votre
tableau puis cliquez sur le menu Tableau puis Insérer et enfin Colonnes à gauche ou
Colonnes à droite. La colonne va s’insérer à gauche ou droite de la cellule dans laquelle se
situe le curseur.
3.8.4. Sélectionner une ligne
Pour sélectionner une ligne de votre tableau, cliquez dans la première cellule de la ligne
que vous voulez sélectionner. Tout en maintenant le clic enfoncé, déplacer la souris dans la ou
les cellule(s) d’à côté.
Pour insérer une ligne dans votre tableau, placez le curseur dans une cellule de votre
tableau puis cliquez sur le menu Tableau puis Insérer et enfin Lignes au-dessus (rows
above) ou Lignes en dessous (rows below). La ligne va s’insérer au-dessus ou au-dessous de
la cellule dans laquelle se situe le curseur.
Pour supprimer une ligne ou une colonne de votre tableau, placez la souris dans une
cellule pour laquelle vous voulez supprimer la ligne ou la colonne. Dans le menu Tableau,
choisissez Supprimer puis Lignes ou Colonnes. Le tableau se réduira alors de la ligne ou de
la colonne supprimer.
Pour se déplacer dans un tableau Word avec le clavier, utilisez les 4 flèches de direction
(gauche, droite, haut, bas). Vous vous déplacerez alors cellule par cellule.
Pour se déplacer dans un tableau Word avec la souris, il suffit de cliquer dans la cellule
où vous voulez placer le curseur.
Pour modifier la hauteur d’une ligne d’un tableau, sélectionnez la ligne puis choisissez
Propriétés du tableau dans le menu Tableau. La boîte de dialogue suivante apparaît alors :
Cochez ensuite la case « Spécifier la hauteur » et grâce aux flèches qui montent et qui
descendent, choisissez la hauteur de la ligne.
3.8.10. Centrer le tableau
Pour centrer votre tableau au milieu de votre document Word, sélectionnez tout votre
tableau puis choisissez Propriété du tableau dans le menu Tableau. La boîte de dialogue
suivante s’ouvre alors :
Pour modifier les caractères dans un tableau, sélectionnez la ou les cellules pour laquelle
vous voulez modifier les caractères. Ensuite, soit vous utilisez le menu Format puis Police
(font), soit vous utilisez la barre d’outils « Mise en forme pour modifier vos caractères .
Pour affecter une couleur a votre tableau, placez le curseur sur celui-ci puis choisissez
Propriété du Tableau dans le menu Tableau. Cliquez ensuite sur le bouton « Bordures et
trames » et cliquez enfin sur l’onglet « Trame de fond ». La boîte de dialogue suivante
apparaît alors :
Pour pouvoir modifier les bordures de votre tableau, cliquez dans une cellule du tableau
puis choisissez Propriété du Tableau dans le menu Tableau. Puis cliquez sur le bouton
« Bordures et trames ». La boîte de dialogue suivante apparaît alors :
Dans la partie « Style », choisissez le style de bordures que vous voulez. La partie
« Couleur » permet de changer la couleur de bordure de votre tableau. La partie « Largeur »
peut d’augmenter l’épaisseur du trait de la bordure. Comme pour la trame de fond, on peut
appliquer le changement des bordures à tout le tableau ou à une cellule pour cela il suffit de
cliquer sur la liste déroulante « Appliquer à ».
Laissez le bouton radio « Marques de paragraphes » coché et cliquez sur le bouton OK.
Pour convertir un texte en tableau, sélectionner le texte que vous voulez mettre dans le
tableau puis choisissez Convertir dans le menu Tableau puis Convertir texte en tableau.
Word vous propose la même boîte de dialogue que l’on a vu dans la construction d’un tableau.
Word ajuste tout ce qui se trouve dans la partie du texte sélectionné et propose en conséquence
le nombre de lignes et de colonnes voulues.
3.9. COLONNES
Pour mettre un texte en colonnes et lui faire prendre l’apparence d’un journal,
sélectionnez tout votre texte. Choisissez alors Colonnes dans le menu Format. La boîte de
dialogue suivante apparaît alors :
Vous pouvez insérer deux sortes d’images dans votre document Word :
Une image qui provient de votre ordinateur : pour cela, il suffit de choisir Images
(picture) puis à partir du fichier dans le menu Insertion. La boîte de dialogue « Insérer
une image » :
Il suffit ensuite de choisir le choix du dossier dans laquelle est enregistrée l’image. Pour
cela, il suffit de cliquer sur la liste déroulante « regarder dans » puis de choisir le dossier.
Une image qui provient de la bibliothèque de Word : pour cela, il suffit de choisir Images
puis Images de la bibliothèque dans le menu Insertion. La boîte de dialogue « Insérer un
élément » apparaît :
Maintenant, il ne vous reste plus qu’à choisir la catégorie de l’image puis de cliquer sur
l’image que vous voulez insérer.
Sélectionner une image consiste à afficher autour de cette image des poignets de
sélection. Pour sélectionner une image, il suffit simplement de cliquer sur cette image.
L’image suivante vous montre les poignets de sélection :
Poignets de sélection
Lorsque vous insérez une image dans un document Word, celle-ci se place soit à gauche,
soit au centre, soit à droite de votre document en fonction si vous avez choisi un alignement à
gauche, au centre ou à droite. Donc pour déplacer dans un de ces trois alignements, il suffit de
Mais si par exemple, vous voulez que votre image se place à un endroit particulier de
votre document, vous devez mettre cette image dans une zone de texte. Pour cela, vous cliquez
sur le bouton suivant dans la barre d’outils Dessin puis vous dessinez un rectangle ou un
carré. Ensuite, il suffit d’insérer une image comme nous l’avons vu dans la partie : Insérer une
image.
Pour modifier la taille d’une image, vous cliquez droit sur l’image et vous choisissez
l’option « Format de l’image ». La boîte de dialogue suivante s’ouvre alors :
Pour insérer un dessin dans votre document Word, la barre d’outils Dessin doit être
affichée. Ensuite, vous pouvez cliquer sur les deux boutons suivants qui représentent un
rectangle ou une ellipse . Pour dessiner ces formes, vous cliquez à un endroit de la
feuille. Tout en maintenant cliquez, vous déplacez la souris sur l’écran et la forme se dessine
alors.
Pour changer la forme de votre dessin, il suffit de sélectionner votre dessin. Les poignets
de sélection apparaissent alors puis il faut cliquer sur le bouton « Dessin » dans cette même
barre d’outils. Ensuite, il suffit de cliquer sur « Changer la forme », sélectionner une des
formes proposées puis, il suffit de cliquer sur le dessin que vous voulez mettre.
Vous voulez par exemple encadrer le titre de votre document Word. En dessinant un
dessin sur votre texte, la forme va se mettre au-dessus de votre texte. Pour faire apparaître le
texte dans votre dessin, il suffit de sélectionner votre dessin puis de cliquer droit sur le dessin
puis de choisir Ordre et enfin Texte au-dessus.
Pour insérer un WordArt dans votre document Word, il suffit de suivre la marche suivante :
Pour déplacer un WordArt dans votre document Word, il suffit de sélectionner votre WordArt.
Les poignets de sélection apparaissent alors. Avec la souris, il suffit de se placer sur le WordArt puis
de cliquer et de tenir cliquer et de déplacer le WordArt sur votre document.
Pour changer les couleurs d’un WordArt, vous devez afficher la barre d’outils WordArt. Pour
cela, il suffit de choisir Barres d’outils puis WordArt dans le menu Affichage. La barre d’outils
suivante apparaît alors :
Maintenant, il suffit de sélectionner votre WordArt, puis de cliquer sur le bouton « Format de
Dans la zone « remplissage » choisissez la couleur que vous voulez mettre à votre
WordArt. Bien entendu, vous pouvez choisir des motifs et des textures ou choisir une couleur
personnalisée à votre WordArt.
Pour changer la forme d’un WordArt, il suffit de cliquer sur le bouton « Changer la
forme » dans la barre d’outils WordArt.
Ensuite, il suffit de cliquer sur la forme que vous voulez et votre WordArt prend alors la
forme choisit.
CHAPITRE 4. MICROSOFT EXCELL 2003
4.1.1. Introduction
Excel est un logiciel conçu par la société Microsoft. C’est un tableur. Vous pouvez
réaliser des tableaux de données sous forme de liste contenant des calculs plus ou moins
complexes, des graphiques de données…
La barre de titre est composée du nom du logiciel (ici Microsoft Excel) puis du
nom que l’on va donner au classeur Excel. Par défaut, Excel nomme son premier classeur
« classeur1». Un classeur est Excel c’est la même chose que vous avez chez vous. C’est
un espace de travail mis à votre disposition pour construire vos tableaux. Il est composé
de 3 feuilles que l’on peut voir en bas à gauche. On peut ajouter ou retirer des feuilles a
ce classeur.
Une feuille est organisée en lignes (rows) et en colonnes (columns). Les lignes
sont identifiées par des nombres (de 1 à 65536) et les colonnes sont identifiées par des
lettres (de A à IV soit 256 colonnes).
La cellule est un élément de base de la feuille et se trouve à l’intersection d’une ligne et
d’une colonne. Chaque cellule est identifiée par une référence spécifique, qui fait appel
aux numéros de ligne et de colonne où elle se trouve dans une feuille. Par exemple, dans
chaque feuille, la cellule qui se trouve à l’intersection de la colonne A et de la ligne 1 est
donc identifiée par sa référence A1.
Barre de titre
Cellule active
Barre d’outils Barre de formules
Référence de la
cellule active
Numéro colonne
Ascenseur
Numéro de ligne vertical
Pour ajouter une feuille de calcul au classeur, il suffit de choisir Feuille dans le menu
Insertion. Une nouvelle feuille appelée Feuil4 est venu s’insérer entre la feuille1 et la feuille2.
Comme le montre l’image précédente, la feuille 4 n’est pas placée au bon endroit.
Pour la mettre derrière la feuille 3, il suffit de cliquez-glisser l’onglet de la feuille à
l’endroit voulu.
4.1.4.5. Supprimer une feuille de calcul d’un classeur
Pour supprimer une feuille de calcul d’un classeur, il faut se placer sur la feuille que
l’on veut supprimer. Ensuite, il suffit de choisir Supprimer une feuille du menu Edition.
Le message suivant apparaît :
Pour afficher la barre de formule, il suffit de cliquer sur Barre de formule dans le
menu Affichage. L’image suivante vous montre cette barre de formule :
Il existe deux types d’affichage des noms des lignes et des colonnes
Lettre
N°
N°
L’affichage du premier type est plus facile d’utilisation. Nous le retiendrons par la
suite. Pour passer à un affichage du deuxième type, il faut choisir Options dans le menu
Outils et cliquer sur l’onglet Général. Ensuite, il suffit de cocher la case Style de
référence L1C1 et de valider par OK. L’image suivante vous montre la case qu’il faut
cocher :
4.3. SAISIR ET MODIFIER DES DONNEES
Pour saisir un chiffre, utilisez le pavé numérique situé sur la partie droite du clavier.
Il faut que le bouton VERR NUM (Num Lock) soit allumé pour que les chiffres
apparaissent.
Par défaut, les chiffres sont alignés à droite. Il est inutile de saisir les zéros après la
virgule, Excel ne les mémorisent pas.
4.3.3. Saisir une date ou une heure
Pour saisir une date, il faut saisir les barres ( / )de fractionnement entre le jour, le
mois et l’année. Pour saisir une heure, il faut ajouter les deux points entre les heures et les
minutes.
Les cellules non adjacentes se sont des cellules qui ne se touchent pas. La
sélection des cellules non adjacentes se fait en même temps avec le clavier et la souris.
Pour sélectionner des cellules non adjacentes, il faut sélectionner la première cellule puis
tout en maintenant la touche CTRL enfoncée, il faut cliquer sur les cellules que l’on veut
sélectionner. L’image suivante vous montre la sélection de cellule non adjacente :
Pour sélectionner plusieurs lignes, il suffit de cliquer sur la première ligne que
l’on veut sélectionner. Tout en maintenant le clic enfoncé, il suffit de déplacer la souris
sur la ligne du dessus ou du dessous : L’image suivante vous montre la sélection de
plusieurs lignes :
Comme pour sélectionner une ligne, il faut cliquer sur le numéro de la colonne
que l’on veut sélectionner. L’image suivante vous montre la sélection d’une colonne :
Pour sélectionner toutes les cellules d’une feuille, il suffit de placer la souris à
l’intersection de la première ligne et de la première colonne. C’est un petit carré gris se
situant juste en dessous de la cellule de la référence active dans la barre de formule.
L’image suivante vous montre la sélection de toutes les cellules de la feuille :
Vous avez la possibilité avec Excel de créer une série de données. Une série de
donnée c’est une suite logique. Par exemple Lundi, Mardi, … où 01 janvier, 02 janvier.
Pour créer une série de donnée, saisissez dans une cellule Lundi puis validez la cellule et
retournez-y dessus. Maintenant, placez la souris en bas à droite de la cellule sélectionnée
sur un petit carré noir. La souris devient un petit + noir. Maintenant, cliquez et déplacez
dans les cellules de droites ou du dessous. Normalement, une suite logique vient de se
former.
Remarque : Cette technique est très employée pour copier des formules de calcul assez
complexe.
Insérer une cellule entre une autre cellule permet de libérer une place entre deux
cellules. Pour insérer une cellule, il suffit de choisir Cellules dans le menu Insertion. La
boîte de dialogue suivante apparaît :
Choisissez le bouton « Décaler les cellules vers la droite » ou « décaler les cellules
vers le bas » puis cliquez sur le bouton OK.
Pour insérer une ligne ou une colonne sur votre feuille Microsoft Excel, il suffit de
placer le curseur à l’endroit ou on veut insérer une ligne ou une colonne. Ensuite, il suffit
de choisir Lignes ou Colonnes dans le menu Insertion.
Fonctions dans le menu Insertion ou de cliquer sur l’icône suivant dans la barre
d’outils. La boîte de dialogue suivante apparaît :
Sur la partie gauche de la boîte de dialogue, vous avez les catégories de fonction. Il
suffit de cliquer sur une catégorie pour voir les fonctions apparaître sur la partie droite.
Voici quelques fonctions intéressantes :
La fonction SOMME additionne, une liste de cellule les unes à la suite des autres.
C’est comme si on faisait une addition.
La ligne 1 et 2 font l’addition des colonnes A, B, C et D. Grâce à la fonction
SOMME, le calcul se fait plus rapidement. On peut remarquer aussi que lorsqu’on insère
une fonction le signe = se place automatiquement dans la barre de formule suivie du nom
de la fonction. Derrière le nom de la fonction une parenthèse est ouverte. Ici, on va
chercher la première cellule que l’on veut additionner (A2) puis Excel ajoute les deux
points ( : ) qui veut dire « jusqu'à » puis on fait glisser la souris jusqu'à la dernière cellule
à additionner (D2). Il suffit de cliquer ensuite sur le bouton OK.
Si Excel ne vous propose pas les bonnes cellules qui vont vous permettre de
calculer une moyenne, il faut que vous les sélectionnées. Une fois sélectionnée, il suffit
de cliquer sur le bouton OK. En cellule D1, apparaîtra, la moyenne de ces 3 cellules.
L’image suivante vous montre comment s’écrit la fonction MOYENNE :
4.6.2.3. La fonction MAX
Dans la cellule D1, la valeur qui sera renvoyée par la fonction MAX sera 15.
Dans la cellule D1, la valeur qui sera renvoyée par la fonction MIN sera 6.
Pour afficher la barre d’outils Audit (formula auditing), il suffit de choisir Barres
d’outils puis Personnaliser (customize) dans le menu Affichage (view). La boîte de
dialogue suivante apparaît alors :
Il ne vous reste plus qu’à cocher la case « Audit » et de cliquer sur le bouton
Fermer (close). La barre d’Audit apparaît alors :
Si la cellule sélectionnée contient une formule, vous pouvez retrouver toutes les
cellules qui fournissent des données à la formule. Ces cellules sont appelées antécédents.
La formule de la cellule sélectionnée calcule un nouveau résultat dès que les valeurs des
antécédents changent.
Quand vous cliquez sur Repérer les antécédents , des flèches d'audit bleues
désignent les cellules de la feuille de calcul active qui fournissent des données à la
formule. Si vous cliquez de nouveau sur Repérer les antécédents, Microsoft Excel passe
à un niveau plus profond et repère toutes les cellules de la feuille de calcul active
référencées par les antécédents.
Pour afficher les antécédents, il faut que vous vous placiez sur le calcul qui vous
montre les antécédents :
Cet audit nous permet de voir les cellules qui nous ont permis de réaliser le calcul
de la moyenne de Pierre.
Pour supprimer les flèches de l’audit, il suffit de cliquer sur le bouton suivant .
Un nom de zone est un nom que l’on donne à une cellule ou plusieurs cellules.
Avant de créer un nom de zone, il faut sélectionner la zone. Pour créer un nom de zone, il
suffit de cliquer sur Nom puis Définir dans le menu Insertion. La boîte de dialogue
suivante apparaît alors :
Il faut ensuite définir le nom que vous voulez donner à votre zone et regarder si la
zone que vous avez sélectionnée correspond bien dans la zone de texte « Fait référence
à ».
Bien entendu, vous pouvez définir juste une cellule comme nom de zone.
Remarque : Le nom que vous donnez à votre zone ne doit pas contenir d’espace.
Par exemple, nous avons une série de facture dans laquelle le taux de TVA est de
19.6%. Au lieu de taper la formule de calcul qui permet de calculer le taux de TVA, nous
allons inscrire la TVA dans une cellule que l’on nommera TVA. L’image suivante vous
montre les factures :
La cellule B1 * le nom de
zone : TVA
Maintenant, il ne nous reste plus qu’à recopier le calcul dans les cellules D2 et F2.
Comme la cellule B2 est une référence relative, il n’y a pas besoin de mettre des dollars
( $ ) devant le B et devant le 1. L’image suivante vous montre, les formules de calcul
recopier à partir de la cellule B2
4.7. IMPRIMER LES CALCULS
Il suffit maintenant de saisir la largeur que vous voulez et de cliquer sur le bouton
OK.
ATTENTION : si vous voulez mettre un chiffre à virgule, il faut que vous tapiez la
virgule et non le point qui se trouve sur le pavé numérique.
Si vous voulez qu’Excel ajuste automatiquement la largeur de vos colonnes,
choisissez Colonnes puis Ajustement automatique (autofit selection) dans le menu
Format.
Pour modifier la hauteur des lignes, il faut choisir Lignes (rows) puis … dans le
menu Format.
Tout comme pour Word, vous pouvez ajouter un en-tête ou pied de page à votre
feuille Excel. Par défaut, aucun en-tête ou pied de page n’est sélectionné. Pour ajouter un
en-tête ou pied de page, il faut cliquer sur l’onglet « En-tête / pied de page ». Ensuite, il
faut cliquer sur le bouton En-tête personnalisé ou Pied de page personnalisé et saisir
votre en-tête ou pied de page.
4.8. METTRE EN FORME UN TABLEAU
Pour ajouter des décimales à un nombre, vous devez choisir Cellules dans le
menu Format puis, vous devez cliquer sur l’onglet Nombre et choisir dans le menu
« Catégorie » Nombre :
Pour supprimer des décimales à un nombre, vous devez faire la même chose que
précédemment mais il faut utiliser la flèche qui descend pour supprimer des décimales.
Une fois terminé, cliquez sur le bouton OK.
Un format personnalisé un format de date qui n’existe pas sous Excel et qu’il faut
créer. Pour créer un format personnalisé, vous devez choisir Cellules dans le menu
Format et cliquez sur l’onglet Nombre s'il n’est pas sélectionné. Dans le menu
« Catégorie », choisissez Personnalisée. La figure suivante, vous montre comment créer
un format personnalisé de date :
Dans la zone type, tapez le type de
format que vous voulez. Par exemple ici,
la date dans la cellule sera marquée
comme 12 décembre 92.
Une fois le type de format prédéfini, cliquez sur le bouton OK. Si un format de date
que vous avez crée ne vous convient pas, sélectionnez ce format grâce à l’ascenseur puis
cliquez sur le bouton Supprimer.
Pour choisir un format d’heure prédéfini, vous devez choisir Cellules dans le menu
Format et cliquez sur l’onglet Nombre s'il n’est pas sélectionné. Dans le menu
« Catégorie », choisissez Heure, une liste déroulante apparaît sur le coté droit de la boîte
de dialogue. Faîtes défiler l’ascenseur jusqu'à ce que vous trouviez le format d’heure qui
vous convient et cliquer sur le bouton OK.
Comme pour la date, vous pouvez créer un format personnalisé pour l’heure. Il faut
faire exactement la même chose que si vous créez un format personnalisé pour une date.
4.8.4. Créer un format personnalisé
Comme vous l’avez compris, vous pouvez personnaliser toute sorte de nombres,
de caractères comme vous l’entendez. Par exemple, vous êtes commerçant et vous voulez
créer une base de donnée de vos clients. Tous vos codes clients doivent commencer
obligatoirement par 00. Donc au lieu de taper pour chaque code client le 00 suivi de 4
chiffres derrière, vous pouvez créer un format personnalisé dans lequel le numéro de
client commencera tout le temps par 00. Il suffira ensuite de recopier ce format
personnalisé pour chaque code client et tous vos clients auront un code du style 001000.
Dans la zone de texte « Hauteur de ligne », saisissez la hauteur de ligne qui vous
convient.
ATTENTION : il faut mettre une virgule entre les chiffres et non un point.
Maintenant si vous voulez que ce texte entre dans la cellule A1 sans déborder sur
les autres cellules (les cellules B1, C1 … sont vides), il faut renvoyer ce texte à la ligne.
Pour cela, choisissez Cellules dans le menu Format, puis cliquez sur l’onglet
« alignement ». Vous devriez arriver à la boîte de dialogue suivante :
Cochez la case « Renvoyer à la ligne
automatiquement » puis cliquez sur le
bouton OK.
Créer des bordures autour d’une ou plusieurs cellules revient à mettre un cadre
autour de ces cellules. Pour créer des bordures, choisissez Cellules dans le menu Format,
puis cliquez sur l’onglet «Bordures ». Vous devriez arriver à la boîte de dialogue
suivante :
Dans la zone « Ligne » qui se situe à droite de la boîte de dialogue, choisissez le
style de ligne que vous voulez mettre à votre bordure (ligne, pointillé, tiret …). Si vous
voulez mettre des couleurs à la bordure, dans la liste déroulante « couleur », choisissez la
couleur qui vous convient.
Maintenant que le style de trait et la couleur du trait est choisi, il faut tracer les
traits. Pour cela, dans la zone « Bordure », différents boutons sont présents. Il représente
chacun un coté de la bordure. Cliquez sur les boutons pour lequel vous voulez ajouter une
bordure à votre cellule. La représentation de ces bordures apparaît au milieu de la boîte
de dialogue. Une fois les bordures placées, cliquez sur le bouton OK.
En cliquant sur les liste déroulante « En-tête » ou « Pied de page », vous trouverez
des en-tête ou des pied de page conçu par Excel. Si vous voulez créer des en-tête ou pied
de page personnalisé, il faut cliquer sur les boutons correspondants :
Lorsque le type de graphique et le type de sous graphique sont choisis, cliquez sur
le bouton suivant (next). La boîte de dialogue suivante apparaît alors :
Ici, vous trouvez le détail de la plage de
données sélectionnées. Si elle ne vous
convient pas vous pouvez la changer. On peut
voir en haut de la boîte de dialogue, l’aspect du
graphique. Cliquez sur le bouton suivant.
Dans cette boîte de dialogue, vous allez remplir différents champs comme le titre du
graphique, l’axe des abscisses, l’axe des ordonnées. Vous pouvez cliquer sur les
différents onglets se situant en haut de la boîte de dialogue pour voir les changements de
votre graphique. Une fois les options remplies, cliquez sur le bouton suivant. Une autre
boîte de dialogue apparaît :
Pour agrandir le graphique, il faut avoir les poignets de sélection. Pour cela,
cliquez sur le graphique. Ensuite, amenez la souris sur une des 4 poignets de sélections
situées dans les coins. Votre souris se transforme en 2 petites flèches noires. Cliquez-
glisser jusqu'à ce que la taille du graphique vous convient.
Comme pour la première étape de création d’un graphique, vous allez choisir le
type de graphique et le type de sous graphique. Une fois les différents éléments
sélectionnés, il faut cliquer sur le bouton OK et la forme de votre graphique va changer
comme le montre l’image suivante :
4.11. EXPORT DE DONNEES VERS WORD
Marquer le tableau à copier revient à sélectionner les cellules que l’on veut copier
pour les mettre sur le logiciel Microsoft Word. Si vous ne vous souvenez plus comment
on sélectionne des cellules, reportez à la partie 5.
Le presse papier est un logiciel fournit par Windows où on copie les informations
que l’on veut passer d’un logiciel à un autre. Pour copier les informations se situant sur
Excel, il faut sélectionner les informations puis appuyer sur le bouton suivant ou
choisir Copier dans le menu Edition. Le presse papier s’ouvre alors avec l’icône d’Excel
(ce sont des informations provenant du logiciel Excel) :
4.11.1.3. Coller le tableau
En passant d’un logiciel à l’autre, le presse papier est à suivi le changement de
logiciel. Pour coller les informations d’Excel sous Word, appuyez sur l’icône d’Excel
dans le presse papier. L’image suivante vous montre le coller de d’Excel sous Word :
Nous voulons trier ces personnes par ordre alphabétique. Pour cela, sélectionnez
tous les éléments qui font partie de la liste des personnes (titre, nom, prénom, code postal,
ville) sauf le titre de chaque colonne sinon lui aussi sera trié. Choisissez ensuite Trier
(sort) dans le menu Données (data). La boîte de dialogue suivante apparaît :
On va trier ces noms par
Dans la liste déroulante, ordre croissant. Donc on
choisissez Nom laisse le bouton radio
sur croissant.
Quand vous avez fini de faire votre choix de tri, cliquez sur le bouton OK, et la liste
est trié par ordre alphabétique comme le montre l’image suivante :
Ici aussi vous pouvez trier les cellules par ordre croissant ou décroissant. Une fois
les choix sélectionnés, cliquez sur le bouton OK. Les informations sont triées par nom et
par ville comme le montre l’image suivante :
Les sous-totaux permettent d’afficher rapidement des totaux sans besoin de faire
des formules de calcul compliqué. L’exemple suivant vous montre deux représentants qui
vendent du blé et du seigle pour une journée déterminé. On voudrait connaître pour
chaque représentant le montant des ventes en blé et en seigle pour la journée et la somme
total vendue par journée.
Vous allez me dire que c’est tout simple et qu’il faut juste faire des additions et je
vous répondrai que Oui mais il y a une autre solution. L’image suivante vous montre la
vente par représentant sur deux journées :
Maintenant en choisissant Sous-totaux dans le menu Données, la boîte de
dialogue suivante apparaît :
Cliquer sur le bouton OK. Les différents sous-totaux apparaissent sur la feuille
comme le montre l’image. J’ai ajouté de la couleur aux différents sous-totaux pour bien
les faire ressortir :
Sur la partie droite de la feuille sont apparue des accolades pour montrer ce que
rassemblent les différents sous totaux. Si vous voulez juste les différents sous-totaux, il
vous suffit d’appuyer sur la touche moins (-) pour juste laisser les sous totaux. Cette
touche moins ( - ) devient alors un plus ( + ) pour voir apparaître le contenu des différents
sous-totaux.
Une liaison entre feuilles ce sont des calculs provenant d’une feuille et se
reportant sur l’autre feuille. L’exemple suivant vous montre une base de donnée client
(avec un seul client) et les factures correspondant à ceux client. Le but est de connaître le
montant TTC de ce que nous doit le client :
Le but des liaisons entre feuilles et de mettre le montant TTC des sommes que nous
a payé le client dans la cellule correspondante. Bien entendu, la base de donnée et les
factures se situent sur 2 feuilles différentes. L’image suivante vous montre le calcul du
montant des deux factures qui se situe dans la base de donnée :
Pour créer une liaison entre d’autres classeurs, il faut faire exactement la même
chose que pour créer une liaison entre feuilles. Pour réaliser, une liaison entre deux ou
plusieurs classeurs, il faut que ces classeurs soient ouverts. Par exemple, on peut créer un
classeur base de donnée dans lequel, il y aura tous les clients et un autre classeurs où il y
aura toutes les factures des clients. L’image suivante vous montre la formule associée à la
liaison entre deux classeurs :
Explication : [Facture.xls] provient que j’ai enregistré mon classeur de facture sous
le nom de « Facture ». .xls est l’extension du fichier Excel. Ensuite, « Facture Dupont »
provient du nom que j’ai donné à la feuille du classeur « Facture ». $G$14 est une
référence absolue qui permet de créer ma formule de calcul.
Une fois que vous avez enregistré vos classeurs Excel et si vous voulez rouvrir la
base de donnée, Excel voit qu’il a des liaisons entre classeurs et vous affiche la boîte de
dialogue suivante. Pour mettre à jour ces liaisons, il faut cliquer sur le bouton Oui :
Une fois que la première cellule a été saisie, cliquer sur le bouton Ajouter. La
référence de la cellule apparaît dans le champ « Référence source ». Ensuite, cliquer de
nouveau sur ce même bouton et aller chercher la deuxième cellule puis cliquer de
nouveau sur le bouton Ajouter. Si vous avez une troisième référence, recommencez la
même opération. Une fois terminée, cochez la case Lier aux données source puis cliquer
sur le bouton OK.
Si vous avez à faire d’autre consolidation, il faut effacer les « références source » se
situant dans le champ du même nom en les sélectionnant l’une après l’autre et en cliquant
sur le bouton Supprimer.
L’image suivante vous montre les calculs de consolidation :
La consolidation c’est un peu le mélange des liaisons et des sous totaux.
La fonction SI va nous permettre d’afficher une valeur à une question posé. L’image
suivante vous montre une liste d’élève avec les notes et moyenne général. Il faut que la moyenne
de ces élèves soit au moins égale à 10 pour qu’ils soient admis à leur examen.
Donc il faut se poser les questions suivante : SI (IF) la moyenne de Pierre est supérieur ou égale
à 10 ALORS (THEN) Pierre sera admis à l’examen SINON (ELSE) Pierre sera refusé.
Pour utiliser la fonction SI, il faut se placer à l’endroit où on veut réaliser la fonction SI (Ici en E2).
Ensuite, il faut choisir Fonctions dans le menu Insertion. La boîte de dialogue suivante
apparaît :
Si la fonction SI n’apparaît pas sur le coté droit de la boîte de dialogue, il faut la chercher dans la
catégorie « Logique » de la boîte de dialogue. La boîte de dialogue suivante apparaît alors :
Explication :
Valeur_si_vrai Si la moyenne est inférieur à 10 Alors l’élève est « Refusé ». Donc dans
cette zone de texte, il faut saisir « REFUSE ».
Vous n’êtes pas obliger de passer par l’assistant fonction SI pour créer cette fonction. Vous
pouvez taper cette fonction par vous-même. Nous allons réaliser la fonction SI de la cellule F3.
Placez-vous en cellule F3, puis tapez ceux-ci
Explication :
Une formule de calcul commence toujours par le signe =. Ensuite, viens le nom de la fonction.
Comme vous avez pu le remarquer dans d’autres fonctions, celles-ci sont entourées par des
parenthèses. Ensuite, viens le test logique. Le point virgule ( ; ) remplace le Alors donc il est
admis. Il faut taper Admis entre guillemets car cette fonction ne prend généralement que des
chiffres. Le deuxième point virgule ( ; ) remplace le Sinon donc il est refusé. Pour la même raison,
il faut taper refusé entre guillemets.
SI condition1
ALORS Réponse1
SINON SI condition2
ALORS Réponse2
SINON Réponse3
FIN SI
FIN SI
L’image suivante vous montre des notes d’élève. Le but est de savoir si parmi toutes ces notes
au moins un élève n’a pas eu la moyenne
Voici la formule qu’il faut taper pour savoir si un élève n’a pas eu la moyenne :
NB : Tapez exactement cette formule dans la cellule A6 par exemple. Ne rajoutez pas ou
n’omettez pas certains caractères car la formule ne fonctionneraient pas. Une fois terminé,
appuyez sur la touche ENTREE. Changez la note de l’élève en cellule C8 et normalement en
cellule A6, il doit y avoir du changement.
Syntaxe : SUMIF(range,criteria,sum_range)
L’image suivante vous montre l’exemple d’une vente de terrains avec les commissions que
touchera le vendeur :
Nous voulons calculer le montant de la commission si la vente des terrains est supérieur
à 1200,00 €. Pour choisir la fonction SOMME.SI, cliquez sur le menu Insertion puis Fonction. Si
la fonction SOMME.SI n’apparaît pas sur la partie droite de la boîte de dialogue, cherchez cette
fonction dans la catégorie Maths & Trigo. La boîte de dialogue suivante s’ouvre alors :
nombre, expression ou un texte qui définit quelles cellules seront additionnées. Par exemple,
criteria peut etre exprimé comme 32, "32", ">32", "apples.
Somme_plage (sum_range) : Addition de la plage de calcul en fonction du critère
(sum_range sont les cellules à additioner (the actual cells to sum).
Remarks
The cells in sum_range are summed only if their corresponding cells in range
match the criteria.
If sum_range is omitted, the cells in range are summed.
Microsoft Excel provides additional functions that can be used to analyze your
data based on a condition. For example, to count the number of occurrences of a
string of text or a number within a range of cells, use the COUNTIF function. To
have a formula return one of two values based on a condition, such as a sales
bonus based on a specified sales amount, use the IF function.
To switch between viewing the results and viewing the formulas that return the
results, press CTRL+` (grave accent), or on the Tools menu, point to Formula
Auditing, and then click Formula Auditing Mode.
Example2.
A B
1 Property Value Commission
2 100,000 7,000
3 200,000 14,000
4 300,000 21,000
5 400,000 28,000
6 Formula Description (Result)
7 Sum of the commissions for property values over
=SUMIF(A2:A5,">160000",B2:B5)
160000 (63,000)
CHAPITRE 5. POWER POINT
PowerPoint est un logiciel classé dans la catégorie des logiciels de Pré– PAO
(Présentation assistée par ordinateur). Il permet de concevoir, mettre en forme, valoriser
les idées qui seront développées lors d'une réunion ou d'un meeting. Ce logiciel est
capable de gérer des documents aussi variés que : Document A4, transparents, rétro
projection directe d'un écran d'ordinateur.
Toutes les diapositives de votre présentation auront un fond commun qu’on vous
demande de choisir maintenant : c’est le choix du modèle. Vous pourrez à tout moment
changer ce modèle.
Pour la 1ère
diapositive de
votre
présentation,
Choisir la Vous ouvrez une
première présentation qui
figure : c'est la existe déjà.
diapo de titre
puis cliquer sur
OK
Cliquez dans le
cadre puis tapez le
titre de votre
présentation
Exemple de réalisation :
Si cette barre n'existe pas vous pouvez la faire apparaître en allant dans le menu :
Affichage Barre d'outils Dessin
Vous voulez créer une étoile, une bannière, une flèche… des formes automatiques
sont déjà en mémoire. Voici comment créer une étoile :
Action...
3. Revenir sur votre diapo et réaliser un clic – glissé en diagonale (suivre le sens de la
flèche comme indiqué sur le dessin ci-dessous):
la forme se créé automatiquement
4 ronds verts apparaissent, pointer sur l'un d'entre eux et réaliser un clic glissé
tournant.
Action...
1. Cliquez sur le fond de la diapositive en dehors d'un objet
Votre première diapo étant réalisée nous allons créer une deuxième diapositive
Action...
Diapo
précédente
Diapo suivante
5.3. CREER UN ORGANIGRAMME
Cliquez dans la
première boîte puis
tapez le nom du Faire de même
PDG de la société avec les 3
directeurs
5.3.1. Comment sélectionner les boîtes
On peut sélectionner les boîtes pour modifier la couleur de fond, le cadre des boîtes,
changer le style d'écriture…Voici comment faire:
Action...
1. Sélectionner les 3 co-directeurs
2. Aller ensuite au menu Style puis cliquer sur le bouton Co-directeur :
Action...
2. Cliquez sur une des boîtes d'un co-directeur (Mr Bernard par exemple)
3. Tapez son nom et son titre à l'intérieur
Action...
1. Cliquez en dehors d'une boîte pour désélectionner
2. Aller au menu Style et choisir le style désiré
3. Créer vos boîtes
Action...
1. Créer vos boîtes
2. Sélectionner les boîtes dont le style est à modifier
3. Aller au menu Style et choisir le style désiré
Action...
Action...
Vous obtenez le tableau suivant que vous allez modifier avec vos propres données :
Sélectionner la ligne en
cliquant dans l'entête de
ligne puis taper sur la touche
du clavier Suppr
Taper les nouvelles valeurs
Pour terminer, cliquez à
l'extérieur du tableau
Votre diapo est terminée :
Action...
Choisir la nouvelle
couleur dans la
Vous pouvez augmenter ou diminuer la luminosité de l'imageliste puis OKsur les
en cliquant
boutons suivants
Vos diapos sont terminées, vous avez le choix, entre autres, d'imprimer vos diapos
sur papier A4 ou de réaliser un diaporama
Action...
Action...
Si vous avez choisi Appliquer, il vous faudra renouveler cette opération pour
toutes les diapos.
Action...
Le titre et le corps du texte peuvent apparaître avec également des effets spéciaux
Action...
1. Se mettre en mode "trieuse de diapositive"
2. Cliquer sur la première diapo
3. Cliquer sur le bouton de l'effet désiré
Choisir un
nouveau
modèle Puis
cliquer sur
appliquer
Ce modèle s'applique automatiquement à votre diaporama
Vous voulez modifier la police (taille, couleur…) de tous les titres de votre
diaporama. Afin de vous éviter de le faire sur chaque diapo vous allez travailler sur le
masque de votre diaporama
Action...
Renouvelez
l'opération pour
les sous titre
De cette façon, tous les titres de vos diapositives seront changer d'un seul coup.
Pour revenir à votre diaporama cliquez sur le bouton Mode diapositive
Une nouvelle
barre d'outils
apparaît : c'est la
barre du mode
plan
Aux débuts de l’informatique, des ordinateurs ont été mis au point, dès qu'ils furent aptes
à fonctionner seuls, des personnes eurent l'idée de les relier entre eux afin qu'ils puissent
échanger des données, c'est le concept de réseau. Il a donc fallu mettre au point des
liaisons physiques entre les ordinateurs pour que l'information puisse circuler, mais aussi
un langage de communication pour qu'il puisse y avoir un réel échange, on a décidé de
nommer ce langage: protocole.
Sur Internet, de nombreux protocoles sont utilisés, ils font partie d'une suite de protocoles
qui s'appelle TCP/IP. TCP/IP est basé sur le repérage de chaque ordinateur par une
adresse appelée adresse IP qui permet d'acheminer les données à la bonne adresse. Puis
on a associé à ces adresses des noms de domaine pour permettre de s'en souvenir plus
facilement.
Des réseaux hétérogènes (de natures différentes) se sont développés aux quatre coins du
globe; des personnes décidèrent donc de relier ces réseaux entre eux (des universités par
exemple, ou l'armée). Les protocoles ont donc évolué pour permettre la communication
de tous ces réseaux pour former le réseau des réseaux, formant petit à petit une
gigantesque toile d'araignée (en anglais «web ») formant le réseau le plus vaste, puisque
contenant tous les réseaux, que l'on appelle Internet! Sur Internet il existe différents
protocoles (langages entre les ordinateurs) qui permettent de faire différentes choses ou
services de l’internet:
6. 2. Les services de l'Internet
L'utilisateur typique n'a pas besoin de connaître les rouages internes de l'Internet pour
pouvoir l'utiliser. Il lui suffit de connaître les principaux services et d'apprendre un
ensemble de commandes de base. Les services les plus importants et ceux qui sont
utilisés par la majorité des usagers sont les suivants :
* Le service TELNET
Le service TELNET permet de faire des sessions interactives de télécommunication entre
un usager assis devant un terminal ou un poste de travail, et des ordinateurs offrant toutes
sortes de services un peu partout dans le monde, sans avoir à passer par le service
téléphonique interurbain dont les coûts d'utilisation sont prohibitifs lorsqu'on doit
communiquer sur de très grandes distances.
Parmi les applications les plus populaires disponibles via TELNET, on peut mentionner
l'accès aux catalogues des bibliothèques des universités et des centres de recherche, ainsi
que l'accès aux systèmes centraux d'information des diverses organisations
gouvernementales et universitaires. Ce moyen de communication a grandement favorisé
le développement des CWIS (Campus Wide Information System) partout dans le monde.
* Le service FTP
Le service FTP est utilisé pour transférer des fichiers entre le système local, où
l'utilisateur possède un compte, et d'autres ordinateurs situés dans l'Internet. La venue de
l'Internet a amené la plupart des organisations à mettre en service des systèmes appelés
"Anonymous FTP server" où sont entreposées des données que l'organisation désire
mettre à la disposition du public et que les gens peuvent consulter librement et à partir
desquels ils peuvent importer toutes sortes de données.
On compte présentement des milliers de serveurs accessibles publiquement dans le
monde. Pour permettre de trouver facilement ce qu'on cherche, par exemple des logiciels,
il existe des serveurs appelés ARCHIE que l'on peut consulter et qui peuvent nous donner
la liste des sites dans le monde où ils sont disponibles. Mentionnons en passant que le
système Archie a été développé à l'Université McGill et que le serveur Archie qui dessert
l'Est du Canada est présentement exploité par l'UQAM.
* Le réseau USENET
USENET n'est pas à proprement parler un réseau mais un service de babillards
électroniques qui permettent à l'ensemble des utilisateurs de l'Internet de publier des
articles dans environ 2,700 conférences sur toutes sortes de sujets. Dans la terminologie
de USENET, les conférences portent le nom de "News Group". Un article publié dans un
"News Group" important peut permettre à son auteur d'être lu par plusieurs dizaines de
milliers de personnes.
Il se publie quotidiennement dans l'ensemble des "News Groups" diffusés par USENET
environ 100,000 articles. En terme d'espace disques, ça représente au delà de 100 méga-
octets d'information.
Il se crée en moyenne trois nouveaux "News Groups" par jour. Souvent des groupes sont
créés à l'occasion d'événements importants sur la scène internationale: par exemple lors
de la guerre du Golfe, du dernier tremblement de terre en Californie, de l'intervention de
l'ONU en Somalie, etc.
C'est par l'entremise des articles publiés dans USENET que les utilisateurs peuvent se
renseigner sur l'Internet et se tenir au courant des développements.
La carte réseau est l'élément de l'ordinateur qui permet de se connecter à un réseau par
des lignes spécialement prévues pour faire transiter des informations numériques.
Le modem permet, lui, de se connecter à un réseau par l'intermédiaire des lignes
téléphoniques, qui ne sont pas prévues à cet effet à l'origine mais qui restent le moyen de
communication le plus répandu.
A la carte réseau est associée une adresse IP, permettant de caractériser l'ordinateur
sur le réseau.
La connexion par l'intermédiaire d'un modem est totalement différente. En effet, un
modem permet d'établir une communication entre deux ordinateurs par l'intermédiaire
d'une ligne téléphonique. Vous pouvez toutefois avoir accès à un réseau (donc par
extension à Internet) en contactant un ordinateur relié ("d'un côté") à une ou plusieurs
lignes téléphoniques (pour recevoir l'appel) et ("de l'autre côté") à un réseau par
l'intermédiaire d'une carte réseau.
Cet ordinateur appartient généralement à votre fournisseur d'accès internet (FAI).
Lorsqu'il vous connecte par son intermédiaire, il prête une adresse IP que l'ordinateur
gardera le temps de la connexion. A chaque connexion il attribue arbitrairement une des
adresses IP libres qu'il possède. S'il est en mesure de fournir la même adresse à chaque
connexion, on parle alors d'« adresse IP fixe ».
Note: The Difference between the Internet and the World Wide Web
Many people use the terms Internet and World Wide Web (a.k.a. the Web) interchangeably, but in fact the
two terms are not synonymous. The Internet and the Web are two separate but related things.
The Internet is a massive network of networks, a networking infrastructure. It connects millions of
computers together globally, forming a network in which any computer can communicate with any other
computer as long as they are both connected to the Internet. Information that travels over the Internet does
so via a variety of languages known as protocols.
The World Wide Web, or simply Web, is a way of accessing information over the medium of the Internet. It
is an information-sharing model that is built on top of the Internet. The Web uses the HTTP protocol, only
one of the languages spoken over the Internet, to transmit data. Web services, which use HTTP to allow
applications to communicate in order to exchange business logic, use the the Web to share information.
The Web also utilizes browsers, such as Internet Explorer or Netscape, to access Web documents called
Web pages that are linked to each other via hyperlinks. Web documents also contain graphics, sounds, text
and video.
C'est un des services les plus couramment utilisés d'internet permettant d'envoyer des
messages sous forme de fichier texte.
Il est nécessaire pour utiliser le courrier électronique d'avoir un accès à Internet ainsi
qu'un compte sur un serveur de messagerie (POP3 pour Post Office Protocol que l'on
pourrait traduire par "Protocole de bureau de poste") que l'on peut assimiler à la boîte aux
lettres dans laquelle vous mettez le courrier que vous envoyez. Pour éviter que tout le
monde puisse voir votre courrier, celui-ci est protégé par un nom d'utilisateur appelé
login et un mot de passe (password).
Votre adresse électronique est donc un mélange de toutes ces données, elle s'écrit sous la
forme :
login@serveur.pop (par exemple "jean-francois.pillou@commentcamarche.net" –
7.1 INTRODUCTION
Les réseaux de communication informatique ou téléphonique empruntent différents types
de supports de communication pour transmettre une information.
Les réseaux informatiques peuvent être subdivisés en trois catégories:
1. Les réseaux locaux ou LAN (Local Area Network) qui regroupent les réseaux
internes d’entreprise où les distances vont de 10m à 1km.
2. Les réseaux métropolitains ou MAN (Metropolitan Area Network) qui correspondent
aux réseaux mis en oeuvre dans une ville où les distances sont de l’ordre de 10km. Le
MAN permet par exemple de relier entre eux différents campus d’une même ville.
3. Les réseaux étendus ou WAN (Wide Area Network) qui comprennent les réseaux
déployés à l’échelle d’un pays ou d’un continent.
Ainsi en fonction du type de réseaux que l’on est appelé à déployer, on utilisera une
technologie spécifique plutôt qu’une autre.
Les réseaux de télécommunications, quant à eux, doivent prendre en compte des
contraintes de temps et offrir des qualités de service noté aussi QoS (Quality of Service)
afin de permettre, par exemple, qu’une communication téléphonique ou que la diffusion
d’une vidéoconférence, qui impose une synchronisation entre l’image et le son, puisse se
faire correctement.
Les bus relient les processeurs, les mémoires, les entrées-sorties d’un calculateur ou d’un
multiprocesseur.
Les structures d’interconnexion relient dans une même pièce ou à des distances faibles,
différents calculateurs entre eux.
Le mot "bus" désigne la ligne physique qui relie les machines du réseau. Dans la
topologie en bus tous les ordinateurs sont reliés à une même ligne de transmission par
l'intermédiaire de câble. Cette topologie a pour avantages d'être facile à mettre en oeuvre
et de fonctionner facilement, par contre elle est extrêmement vulnérable étant donné que
si l'une des connexions est défectueuse, c'est l'ensemble du réseau qui est affecté.
Topologie en étoile
Dans une topologie en étoile, les ordinateurs du réseau sont reliés à un noeud central.
Contrairement aux réseaux construits sur une topologie en bus physique, les réseaux
configurés en une topologie en étoile sont beaucoup moins vulnérables car on peut
aisément retirer une des connexions en la débranchant du noeud central sans pour
autant paralyser le reste du réseau. En revanche un réseau à topologie en étoile est
plus onéreux qu'un réseau à topologie en bus car un matériel supplémentaire est
nécessaire (hub).
Topologie en anneau
Dans un réseau en topologie en anneau, les ordinateurs communiquent chacun à leur tour;
on a une boucle d'ordinateurs sur laquelle chacun d'entre eux va avoir la parole
successivement. En réalité les ordinateurs d'un réseau en topologie anneau ne sont pas
reliés en boucle, mais sont reliés à un répartiteur (appelé MAU, Multistation Access Unit)
qui va gérer la communication entre les ordinateurs qui lui sont reliés en impartissant à
chacun d'entre eux un temps de parole. La panne d’un seul ordinateur peut affecter tout le
réseau.
Figure4: Représentation de la topologie en anneau
7.2.2 Les topologies logiques et Techniques d’accès
Les topologies logiques les plus courantes et différentes techniques d’accès sont:
Ethernet (aussi connu sous le nom de norme IEEE 802.3) est une technologie de
réseau local basé sur le principe que toutes les machines du réseau Ethernet sont
connectées à une même ligne de communication, constituée des câbles coaxiaux (bus
physique) et d’un hub ou concentrateur (bus logique). Il fonctionne à 10Mbit/s,
100Mbit/s (Fast Ethernet) et 1Gbit/s (Giga-Ethernet).
L'anneau à jeton (Token Ring) est une technologie d'accès au réseau basé sur le
principe de la communication au tour à tour, c'est-à-dire que chaque ordinateur du
réseau a la possibilité de parler à son tour. C'est un jeton (un paquet de données),
circulant en boucle d'un ordinateur à un autre, qui détermine quel ordinateur a le droit
d'émettre des informations. Lorsqu'un ordinateur est en possession du jeton il peut
émettre pendant un temps déterminé, après lequel il remet le jeton à l'ordinateur
suivant. Le débit est de 4 ou 16Mbit/s.
La technologie FDDI (Fiber Distributed Data Interface) est une technologie d'accès
au réseau sur des lignes de type fibre optique. Il s'agit en fait d'une paire d'anneau (un
est dit primaire, l'autre permettant de rattraper les erreurs du premier, est dit
secondaire). Le FDDI est un anneau à jeton à détection et correction d'erreurs (c'est là
que l'anneau secondaire prend son importance). Le jeton circule entre les machines à
une vitesse très élevée. Si celui-ci n'arrive pas au bout d'un certain délai, la machine
considère qu'il y a eu une erreur sur le réseau. Le débit est de 100Mbit/s.
a) La commutation de circuits:
b) La commutation de paquets:
La commutation de paquet permet d’envoyer des paquets qui ont une taille maximum et
qui n’utilisent pas toujours le même chemin. Ainsi, un paquet envoyé à une date t1 (avec
t1 antérieur à t) peut arriver après un paquet envoyé à une date t. Ceci ne pose pas de
problème lors de la transmission de fichiers entre des ordinateurs, puisque le destinataire
est capable de remettre dans l’ordre les paquets grâce à leur numérotation associée.
Par contre, lors d’une communication téléphonique, si les tranches de paroles arrivent
dans un ordre différent, alors la conversation n’est plus compréhensible et d’autres
mécanismes de réservation de ligne sont nécessaires. La commutation de paquets est
principalement utilisée par les réseaux Internet car elle permet d’offrir une grande
souplesse. Ainsi, en cas de rupture ou d’encombrement d’une ligne, les paquets utilisent
automatiquement un autre chemin pour arriver à destination .Une variante de la
commutation de paquets est la commutation de messages qui repose sur le même principe
que la commutation de paquets, mais cette fois-ci, les messages contenant l’information
n’ont pas de taille maximum.
c) La commutation de cellules:
permettent ainsi de transmettre du trafic multimédia sur un réseau tout en offrant des
garanties de QoS.
Le multiplexage est l’opération qui consiste à grouper plusieurs voies, attribuées chacune
à une communication, de façon à les transmettre simultanément sur le même support
physique sans qu’elles se mélangent ou se perturbent mutuellement. A la réception, un
démultiplexage aussi parfait que possible doit permettre de séparer ces voies et de les
restituer sous leur forme originale.
On distingue :
a) L’accès multiple à répartition dans le temps (AMRT) ou TDMA (Time Division
Multiple Access), largement utilisé lors de communications numériques.
L’AMRT alloue régulièrement un intervalle de temps fixe à chaque station
souhaitant émettre sur une ligne donnée.
b) L’accès multiple par répartition de fréquence (AMRF) ou FDMA (Frequency
Division Multiple Access), largement utilisé dans le domaine des
télécommunications où l’on rencontre souvent des communications analogiques.
L’AMRF alloue une fréquence différente à chacune des stations souhaitant
émettre sur une même ligne donnée.
c) L’accès multiple à répartition par code (AMRC) ou CDMA (Code Division
Multiple Access) n’est plus basé sur le partage de la bande passante, mais permet
grâce à l’affectation d’un code à chaque station, à chacune de ces dernières
d’utiliser la totalité de la bande passante.
d) Le multiplexage en longueur d’onde (MLO) ou WDM (Wavelength Division
Multiplexing), permettant de véhiculer sur une même fibre optique différentes
longueurs d’ondes correspondant à chacune des stations. Le WDM offre une très
grande flexibilité en permettant aux opérateurs de n’utiliser que quelques
longueurs d’ondes au début et d’augmenter en fonction des besoins de bande
passante jusqu’à une centaine de longueurs d’ondes différentes.
Ainsi les multiplexages utilisent différentes normes sur les supports de communication,
telles que PDH (Plesiochronous Digital Hierarchy), SDH et SONET.
Pour réaliser le transport des données d’une extrémité à l’autre du réseau, il faut un
support de communication câblé physique ou hertzien. Cependant, pour s’assurer que ces
données arrivent correctement au destinataire, avec la qualité de service exigée, il faut
une architecture logicielle. Les principales architectures sur le marché mondial
actuellement sont l’architecture provenant de la normalisation de l’ISO (International
Standards Organisation) que l’on appelle Open System
L’architecture proposée par l’ISO qui forme le modèle de référence, comporte 7 couches
[1, 2, 3].
Application
Présentation
Session
Transport
Réseau
Liaison de données
Physique
La couche physique (Physical layer): Elle se charge d’émettre et de recevoir des bits
sur le réseau. Elle fournit les moyens mécaniques, électriques, fonctionnels et
procéduraux nécessaires à la transmission des éléments binaires entre les entités de
liaison.
La couche liaison de données (Data link layer): Elle a pour but de corriger les erreurs
qui ont pu se produire au niveau 1, pour que le taux d’erreurs résiduelles soit
négligeable; et de fournir l’établissement, le maintien et la libération des connexions.
La couche réseau (Network layer): Elle doit permettre d’acheminer correctement les
paquets d’information jusqu’à l’utilisateur final dans un réseau. Elle a comme
fonctions principales le contrôle de flux, le routage et l’adressage.
La couche transport (Transport layer): Elle doit optimiser les ressources du réseau de
communication en gérant un contrôle de flux ou un multiplexage des messages de
niveau 4 sur une connexion de réseau.
Cette architecture est à la source du réseau Internet. Les principaux protocoles définis
sont les suivants:
Internet protocole (IP) est un protocole de niveau réseau assurant un service sans
connexion ;
Transmission Control Protocol (TCP) est un protocole de niveau transport qui fournit
un service fiable avec connexion.
Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP), utilisé sur réseau local pour distribuer
automatiquement une configuration IP aux équipements du réseau.
Le protocole RARP (Reverse ARP) permet à une machine d’utiliser son adresse
physique pour déterminer son adresse logique dans l’Internet.
Le SNMP (Simple Network Management Protocol) est employé pour la gestion des
équipements connectés au réseau IP.
Le protocole DiffServ (Differential Services) met en jeu les bits des entêtes des
adresses IPv4 et IPv6.
Ces protocoles se présentent sous la forme d’une architecture en couches qui inclut
également, sans qu’elle soit définie, une interface d’accès au réseau. En effet de
nombreux sous réseaux distants peuvent être pris en compte dans l’architecture TCP/IP
aussi bien du type réseaux longue distance.
Les principaux équipements matériels mis en place dans les réseaux locaux sont:
Les passerelles ou gateway sont des organes qui permettent de relier différents
réseaux entre eux pour échanger des informations.
Le répéteur ou repeater permet de régénérer le signal.
Le concentrateur ou hub permet de concentrer le trafic réseau provenant de
plusieurs hôtes et de régénérer le signal.
Le Modem permet de transformer les signaux binaires en bande de base dans des
signaux analogiques.
Les câbles sont les conducteurs des signaux.
Le pont ou bridge est conçu pour relier les réseaux travaillant avec le même
protocole, opéré au niveau des adresses physiques en enregistrant dans des tables
internes, les adresses de toutes les stations connectées au réseau. Les protocoles
Source Routing, pour interconnecter Token-Ring et Spanning Tree pour tout type
de réseau, ont été développés par IEEE 802.5 et 802.1 respectivement.
Le commutateur ou switch analyse les trames arrivant sur ses ports et filtre les
données afin de les diriger sur les ports adéquats.
Le routeur interconnecte des réseaux différents tel que Ethernet à Token-Ring.
Les routeurs travaillent sur les adresses logiques. Le protocole le plus répandu
RIP (Routing Information
Protocol) permet d’optimiser l’acheminement des données entre stations émettrice et
réceptrice en adoptant le chemin le plus court.
Les bridge-routeurs, appelés aussi b-routeurs ou ponts routeurs, ont pour but d’allier
le meilleur des deux technologies.
Les relais au niveau transport sont utilisés pour interconnecter des réseaux de type
différent, par exemple réseau X.25 et Internet.
Les passerelles d’application offrent la conversion de tous les protocoles, au travers
des sept couches du modèle OSI. Ces passerelles sont surtout adaptées aux réseaux
hétérogènes avec la communication à bas débit.
La transmission des signaux peut s’effectuer soit à l’aide d’un support câblé, soit en
espace libre. L’onde guidée par un support métallique ou par fibre optique bénéficie d’un
indéniable avantage de fiabilité et de sécurité. Les systèmes radioélectriques ont
l’avantage de ne pas nécessiter de lourds travaux d’infrastructure mais l’onde en espace
libre est sensible aux parasites atmosphériques, l’encombrement du spectre
radioélectrique, les perturbations ionosphériques créent des bruits dans les canaux, la
pluie provoque des affaiblissements jusqu’a 100Ghz, le fading par l’humidité ambiante
absorbant l’énergie de l’onde transmise. En milieu urbain, la propagation est perturbée
par des distorsions du domaine fréquentiel, temporel et des pollutions créées par des
parasites industriels; des obstacles naturels (bâtiments, pierres, neiges…), les éruptions
solaires.
Le choix d’un support et d’un système de transmission est déterminé par le coût du
support de transmission, par le coût des équipements de multiplexage, des amplificateurs
ou régénérateurs de la liaison et surtout la qualité de service.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
6. http://www.commentcamarche.net; 25/07/2007
8 R. B.Alexis et S. Louis, Interconnexion des réseaux distants multiservices par fibre optique
en utilisant la technique ATM, NUR, janvier 2006
Course Evaluation
i. Assignments (T.P) : 7 marks/20
ii. Class exercises : 5 marks/20
iii. Exam : 6 marks/20
iv. Attendance : 2 maks/20