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LOT 01 – VRD
Opération : NPNRU Centre-ville de Saint-André – Chemin LONTAN
Mandataire de réalisation : Mairie de Saint-André
Maîtrise d’œuvre : Atelier LD / LD Austral / Scène publique / ETUDIS
Sommaire
Sommaire .................................................................................................................................................................... 2
PREAMBULE ......................................................................................................................................5
I. SPECIFICATIONS TECHNIQUES GENERALES .....................................................................................6
100. PREPARATION DE CHANTIER ........................................................................................................6
1. GENERALITES .......................................................................................................................................................... 6
2. DOCUMENTS PARTICULIERS ..................................................................................................................................... 6
3. MODE D’EXECUTION DES TRAVAUX ......................................................................................................................... 6
101 Travaux Préparatoires ................................................................................................................................................... 6
102 Etat des Lieux - Constat d’huissier ................................................................................................................................ 6
103 Implantation, Etudes d’exécution, Plan de récolement, PPSPS, PAQ, DOE................................................................... 7
104 Maintien de la signalisation .......................................................................................................................................... 9
105 Nettoyage des emprises et dépose soignée du mobilier .............................................................................................. 9
106 Abattage d’arbres existants ........................................................................................................................................ 10
107 Protection des arbres existants................................................................................................................................... 10
108 Travaux de nuit ........................................................................................................................................................... 10
900. MOBILIER.................................................................................................................................73
1. GENERALITES ........................................................................................................................................................ 73
2. MODE D’EXECUTION DES TRAVAUX ....................................................................................................................... 73
901. Dalle podotactile en béton ............................................................................................................................................... 73
902. Potelets ............................................................................................................................................................................ 73
903. Potelets à tête blanche h:1,2m ........................................................................................................................................ 73
904. Bloc marche basalte ......................................................................................................................................................... 73
905. Main courante .................................................................................................................................................................. 74
906. Garde-corps trottoir ......................................................................................................................................................... 74
907. Garde-corps voirie ............................................................................................................................................................ 74
908. Bloc basalte 0,5x0,5m ...................................................................................................................................................... 74
909 à 914. Banc béton.............................................................................................................................................................. 75
915. Assise bois sur muret existant et projeté ......................................................................................................................... 75
916. Corbeille ........................................................................................................................................................................... 75
917. Appui-vélos....................................................................................................................................................................... 76
918. Pergola dans la venelle des amoureux ............................................................................................................................. 76
Préambule
Le présent cahier des clauses techniques particulières a pour but de faire connaître le projet
d’aménagement ainsi que les principes de réalisation.
Il forme un tout avec l'ensemble des autres documents constituant ce dossier (Plans, Pièces
administratives...), chacun de ces documents doit être pris comme mutuellement complémentaire.
Afin que le soumissionnaire ait une vision précise de l'étendue de ses prestations, il est indispensable que le
présent document soit connu dans son intégralité.
Le présent document n'ayant qu'une valeur descriptive d'ensemble, l'entreprise devra, au moment de sa
soumission et lors de la réalisation, prévoir tous les ouvrages nécessaires à l'achèvement complet des
travaux et installations et ceci afin d'être en stricte conformité avec l'ensemble des textes réglementaires
en vigueur ainsi qu'avec les règles de l'art.
De ce fait, il ne pourra être accepté aucune réclamation ni aucun complément financier sous prétexte
d'erreurs, d'imprécisions ou d'omissions dans les différents documents constitutifs du présent dossier.
Les travaux seront exécutés en conformité avec les normes et règlements en vigueur.
Les travaux préliminaires comprennent l’ensemble des travaux préparatoires nécessaires à la bonne
réalisation du projet. Ils permettent de démolir les ouvrages situés dans l’emprise des travaux, de nettoyer
l’ensemble des zones existantes et permettre ainsi de réaliser les travaux de voirie, place, etc….
L’entrepreneur sera tenu de réaliser les démolitions préalables aux terrassements et strictement
nécessaires à la réalisation des ouvrages neufs. Les démolitions pourront concerner les revêtements
existants, les canalisations enterrées existantes, les ouvrages en béton et maçonnerie (trottoirs, dalles,
piédroits, radiers, murets, murs de soutènement, etc.…), ainsi que la dépose des clôtures fondée dans le sol
ou scellées dans des murs.
La démolition des limites privatives à savoir murs, clôtures, claustras et des accès aux propriétés à savoir
escaliers, dallage, portillons ou portails consistera à démolir ou déposer les ouvrages précités y compris
leurs fondations existantes et à évacuer les gravats dans une décharge autorisée.
2. DOCUMENTS PARTICULIERS
L’entrepreneur du lot VRD devra exécuter ses travaux préliminaires en parfaite harmonie avec les règles de
sécurité et d’hygiène liées au droit du travail (ports de gants, lunettes, matériel adapté).
Etudes d’Exécutions
Les études et plans d’exécution sont à la charge de l’entrepreneur et seront validés par la maîtrise d’œuvre.
L'Entrepreneur sera tenu de réaliser une étude d’exécution pour ce qui concerne l’ensemble des travaux à
réaliser. Il pourra s’appuyer sur les documents du dossier d’appel d’offres qui devront être vérifiés et
complétés autant que de besoin.
L’implantation du projet sera réalisée par le géomètre du présent Lot, sur la base des plans fournis par la
maîtrise d’œuvre.
- Un repère NGR sera implanté par le géomètre à proximité mais en dehors de l'emprise des travaux
afin de permettre à tout moment le contrôle des nivellements
Ce prix rémunère, forfaitairement, l’établissement et la livraison de l’ensemble des documents conformes à
l’exécution de l’ensemble des prestations telles que définies au CCTP.
PAQ
Contrôle extérieur (F65A, Art. 22)
Le contrôle extérieur au producteur consiste à s'assurer de la convenance du P.A.Q. et de son respect par
l'entrepreneur, et en particulier, à exécuter certaines épreuves prévues au marché.
Parmi les épreuves visées ci-avant, on citera :
- Les contrôles d'implantation des ouvrages,
- Les essais de contrôle sur les ciments,
- Les essais complémentaires de réception des granulats,
- Les épreuves de contrôle des bétons,
- Les épreuves d’information des bétons,
- Les contrôles des pv de réception de compactage des fonds de formes, couches de base et de
fondation par le lot 1,
- Les contrôles des pv de réception de mise en œuvre des remblais de fouilles par le lot 1
- Les contrôles de la nature des matériaux,
- Les contrôles de la nature des matériels,
- Le contrôle de la conformité aux normes.
Ces contrôles ne dispensent pas l'entrepreneur de son contrôle interne. Il sera informé des résultats des
contrôles extérieurs.
En cas de défaillance de l'entreprise en ce qui concerne son contrôle interne, le maître d’œuvre pourra faire
intervenir son contrôle extérieur après mise en demeure restée sans effet. Les frais correspondants seront
à la charge de l'entrepreneur.
Au cours de l'exécution des ouvrages, le maître d’œuvre procédera à des contrôles préalablement définis
pour lesquels la poursuite des opérations par l'entreprise est subordonnée à son acceptation prononcée
dans un délai déterminé. Ces points de contrôles sont appelés "Points d'arrêt" ; ils sont associés à des délais
de préavis, délais au-delà desquels l'entreprise peut poursuivre l'exécution en absence de manifestation du
maître d’œuvre.
Pour les points d'arrêt d'exécution, sauf proposition particulière de l'entreprise acceptée par le maître
d’œuvre ou son représentant, les délais de préavis sont de 12 heures en heures travaillées après la remise
de la demande au contrôle extérieur.
Dans le cadre des différentes procédures d'exécution du plan d'assurance qualité, l'entreprise récapitulera
les délais de préavis associés aux points d'arrêt.
La liste ci-après donne des points d'arrêt obligatoires :
- Contrôle d’implantation des ouvrages,
- Contrôle des remblais et réception Lot1/Lot3 (Noues et espaces plantés),
- Réception des témoins,
- Contrôle des coffrages,
L’entreprise devra missionner à ses frais un des trois Géomètres Experts agréés par le Maitre d’ouvrage
pour faire le relevé des plans de récolement des ouvrages réalisés.
Les prix remis par l’entrepreneur sont réputés tenir compte des obligations qu’il a dans la fourniture des
dossiers de récolement en cinq exemplaires papier plus un exemplaire des plans de récolement sur support
informatique au format DWG. Ils intégreront également l’établissement des plans de récolement
spécifiques et procès-verbaux réclamés par les concessionnaires pour la réception des ouvrages qui les
concernent.
Les cinq dossiers des ouvrages exécutés comprendront également une notice technique détaillée
présentant :
- L’ensemble des caractéristiques détaillées des matériels et matériaux mis en œuvre,
- Tous les documents (PV, attestations, …) qui attestent les performances des matériaux,
matériels, composants ou ouvrages mis en œuvre,
- Pour les ouvrages comprenant des équipements, les manuels d’exploitation (guide de conduite,
schémas et notices de fonctionnement) et d’entretien (préventifs et curatifs, précautions de
remise en état).
Des photos numériques des ouvrages enterrés spécifiques (croisement de réseaux, ouvrage spécial,
spécificité du sous-sol…) avant la fermeture des fouilles seront demandées à l'appui des récolements par le
maître d’œuvre. Ces photos seront accompagnées de plans précisant la position de l’ouvrage photographié
en coordonnées X, Y et Z et en classe de précision A. Un exemplaire sera remis au maître d’œuvre dans le
cadre du DOE et un autre sera remis au CSPS chaque mois pour intégration dans le DIUO.
Le maître d'ouvrage se réserve le droit de faire vérifier les plans de récolement par un géomètre expert de
son choix et si nécessaire, contradictoirement avec celui de l'entreprise concernée. Cette vérification
pourra se faire par sondage, à raison d'un sondage tous les 200 mètres de réseaux en moyenne, les
emplacements de ces sondages étant désignés par le directeur des travaux et à sa diligence. Dans la limite
ci-dessus visée, les frais de vérification sont à la charge de l'entreprise. Les marges de tolérance dans les
erreurs pouvant apparaître, sont celles fixées par l'ordre National des Géomètres Experts et seront fonction
de la précision demandée (1, 2 ou 3). Le maître d'ouvrage ou le maître d’œuvre pourra exiger des sondages
supplémentaires. Dans ce cas, si les erreurs sont supérieures aux marges de tolérance indiquées plus haut,
les frais complémentaires seront à la charge de l'entreprise.
Dans le cas contraire, ils seront à la charge du maître d'ouvrage.
Avant le début des travaux et pendant tout le cours de ceux-ci, l'Entrepreneur devra faire connaître
nominativement au Maître d'Œuvre le responsable de l'exploitation et de la signalisation du ou des
chantiers, responsable qui devra pouvoir être contacté via un numéro d’astreinte 24h/24 et 7j/7 pendant
tout le délai global de l’opération et pour chacun des lots, l’intervention sur le site devra être réalisé dans
les 2h00 suivant l’appel.
Tout manquement aux conditions d’astreinte présentés ci-dessous feront l’objet de pénalités décrites au
CCAP.
Pour chaque chantier et pour chacun des éléments de signalisation, l'Entrepreneur est tenu d'avoir en
permanence en réserve un panneau de chaque type.
L'Entrepreneur devra maintenir la signalisation 5 jours après la date fixée pour les opérations préalables à
la réception sur l'ensemble du chantier.
Le personnel de l'entreprise travaillant sur le chantier devra être doté d'un gilet rétroréfléchissant.
Les parties latérales ou saillantes des véhicules opérant habituellement sur la chaussée seront marquées de
bandes rouges et blanches rétroréfléchissantes.
En cas de carence de l'Entrepreneur ou en cas de danger, le Maître d'Œuvre se réserve le droit de prendre
toutes mesures utiles aux frais de l'Entrepreneur et sans sa mise en demeure préalable, sans que cette
action dégage la responsabilité de l'Entrepreneur en cas d'accident.
L'entrepreneur assure le nettoyage quotidien nécessaire des salissures, terres et détritus apportés sur la
voie publique et sur l'emprise du chantier.
Les emplacements mis à la disposition de I‘entrepreneur pour ses installations de chantier devront être
entièrement débarrassés dans un délai de quinze jours après l'achèvement de son intervention.
Toutes les dégradations des circulations dues aux engins travaillant sur le chantier seront remises en état
aux frais de l'Entrepreneur.
1. GENERALITES
Nota : Avant le début des travaux de terrassement, l’entreprise devra avertir tous les concessionnaires et
les administrations locales des travaux à réaliser et devra demander la signalisation des réseaux existants.
Des sondages réalisés en présence des concessionnaires et administrations devront être réalisés afin de
vérifier leur existence.
Les terrassements seront exécutés mécaniquement par des engins adaptés aux conditions du chantier, au
volume des terrassements, à la distance de transport, aux possibilités d’évolution et à la nature des sols.
Les terrassements seront exécutés conformément aux recommandations du Guide technique pour la
réalisation des remblais et couches de formes ou « GTR » (Setra/LCPC de sept. 92).
L’entreprise devra organiser le chantier de manière à le débarrasser des eaux de toute nature, à ne pas
intercepter les écoulements et à prendre les mesures utiles pour que ceux-ci ne soient pas préjudiciables
aux fonds de fouilles et aux ouvrages existants.
Elle aura la charge d’assurer tous les épuisements et de prendre toutes les mesures nécessaires à
l’assainissement du chantier de façon que tous les ouvrages soient exécutés à sec. Ces sujétions font partie
des aléas normaux de l’entreprise et ne donneront lieu à aucune rétribution spéciale.
L’entreprise ne pourra établir aucune réclamation, ni ne prétendre à aucune indemnité en raison de la gêne
ou de l’interruption de travail, des pertes de matériaux ou de tous autres dommages qui pourraient
résulter des arrivées d’eaux consécutives aux phénomènes atmosphériques.
L’ensemble des terrassements généraux nécessaires à tous les travaux (déblais et remblais y compris
encaissement) nécessaire à la réalisation des voiries.
L’entrepreneur aura à sa charge le tri soigné des matériaux sains provenant notamment des graves
récupérées lors des terrassements ou des couches superficielles des structures en place. Des sondages
structurels seront réalisés préalablement de façon à définir un principe de travail. Toutes les sujétions de
stockage provisoire des matériaux sains avant réemploi sont incluses dans le prix forfaitaire. Certaines
zones de voirie feront l’objet d’un apport complémentaire de grave 0/31.5 en renforcement structurel ou
purges ponctuelles dans la limite du volume fixé dans la DPGF du lot VRD. La prestation englobe les
terrassements qui en résultent et le réglage. Après réglage, les formes seront soigneusement compactées.
L’entrepreneur du lot VRD devra respecter les sujétions de réservations différentielles résultant des
épaisseurs disparates des matériaux et de leur fondation rattachée.
L’ouverture des tranchées ne pourra être exécutée sur une longueur supérieure à 20 m avant
remblaiement (sauf accord du Maître d’œuvre et du Maître d’ouvrage).
Les déblais réutilisables (matériaux de structures traditionnelles, tout venant, gravats divers) seront triés et
posés en tas ou colonne à proximité des tranchées, les autres matériaux (limons, argile, ETC.) seront
évacués en décharge de l’entreprise.
Le remblaiement se fera par réutilisation des matériaux de surfaces ou matériaux d’apport, préalablement
au reprofilage général de la forme défini dans le chapitre précédent et en accord avec les services
techniques de la ville.
L’entrepreneur du Lot VRD devra prendre toutes dispositions nécessaires pour que les ouvrages soient
exécutés à sec, et assurer l’évacuation des eaux de toutes natures et sera en toutes hypothèses
responsables des éboulements qui pourraient subvenir. Dans ce cas, il rétablira dans les conditions initiales
et à ses frais, les parties de terrain éboulées. Il devra étayer ses fouilles selon les directives de l’OPPBTP. Ces
étaiements et blindage étant compris dans les prix composés forfaitaires, ils ne donneront pas lieu à une
majoration du prix forfaitaire.
Ces essais seront de type « pénétromètre dynamique à main » (PANDA ou autre) ils seront réalisés par un
technicien confirmé appartenant à un bureau d’études indépendant.
Les valeurs et les conclusions des essais de compactage devront être fournies au Maître d’œuvre et au
Maître d’ouvrage avant réalisation des structures de chaussées et dans un délai permettant au maître
d’œuvre d’interpréter les résultats avant la réalisation des structures de chaussées.
Ces essais seront réalisés sur toute la hauteur de la tranchée jusqu’au niveau du sable, et seront répartis
uniformément tout au long de la tranchée. Ils seront réalisés à l’axe de la tranchée et selon les répartitions
suivantes :
2. CHAUSSEE ET TROTTOIRS
Il sera en outre pourvu d’office et sans délai au transport et au rangement des matériaux et le montant des
dépenses sera déduit du compte de l’entrepreneur.
2.3. Essais
La terminologie applicable aux matériaux et aux ouvrages est celle définie par les normes AFNOR. Les essais
seront exécutés conformément aux conditions fixées dans le présent devis ou à défaut d’indication, par les
normes AFNOR.
Les prélèvements seront faits contradictoirement.
Les essais seront faits par un laboratoire agrée à la charge de l’entrepreneur sur décision du Maître
d’œuvre. Tout lot rebuté devra être enlevé du chantier dans les délais qui seront imposés.
2.6. Granulats
Ils sont conformes aux normes en vigueur en tenant compte des particularités suivantes.
Le pourcentage d’éléments très fins ne doit pas dépasser 2% pour les graviers. Pour les sables, cette
quantité est appréciée par la méthode de l’équivalent de sable.
Les matériaux seront soit une grave naturelle silico-calcaire, soit un tout venant de concassage
silicocalcaire, soit un mélange corrigé. Ils ne seront ni fragiles, ni gélifs, ils seront exempts de débris
végétaux ou de corps étrangers au gîte dont ils proviendront.
Contrôle du dosage
Le contrôle du dosage en liants se fait par pesée d’un prélèvement à la bâche et au bac lors du répandage.
Il doit être confirmé en fin de chantier par la consommation totale du chantier en liants.
Contrôle de l’homogénéité
Le malaxage après quelques passes doit créer une mouture du sol qui l’apparente à une grave naturelle
dont les plus gros éléments ne doivent pas excéder 20 à 30 mm. Le malaxage doit être poursuivi jusqu'à
l’obtention de ce résultat : D < 30 mm
Contrôle de l’épaisseur
L’épaisseur est vérifiée après compactage par l’examen de quelques sondages réalisés par tout moyen à la
convenance de l’entreprise. Les moyens de compactage adéquat seront mis en place.
Contrôle de la compacité
Réalisé par un laboratoire agréé. Le contrôle de la compacité est réalisé par la mesure du poids volumiques
sec (« densité sèche ») en place comparée aux caractéristiques optimal Proctor Normal déterminées au
stade de l’étude géotechnique.
Le nombre des points de mesure est le plus souvent défini de la façon suivante :
- 1 essai pour 20 ml de cheminement,
- 1 essai pour 100 m² de plateforme.
Le poids volumique sec mesuré in situ doit être au moins égal à la valeur correspondant à 97 % du poids
volumique sec de l’essai Proctor Normal dans 95 % des cas sans qu’aucun résultat ne soit inférieur à 95 %.
Contrôle de réception
Les essais, réalisés par un laboratoire agréé, sont à la charge de l’entrepreneur.
2.11. Béton
a. Provenance et agrément des matériaux, produits et éléments
Tous les matériaux, produits et éléments destinés à la construction des ouvrages, doivent être soumis par
l’entrepreneur à l'agrément préalable du Maître d’œuvre. Cet agrément est sollicité pendant la période de
préparation, accompagné des certificats d'homologation, arrêtés d'agrément et autorisations d'emploi
lorsque ceux-ci sont exigés.
Granulats
Les granulats pour le béton sont conformes à la norme NF EN 12620. Leurs caractéristiques
complémentaires sont conformes à la norme NF P 98-170.
Ils sont de classe C III tel que défini dans l’annexe A de la norme NF P 98-170.
Le chargement, le transport et le stockage des granulats doivent être effectués en limitant les risques
d’attrition et de ségrégation.
Eau
L’eau utilisée pour la fabrication du béton est conforme à la norme NF EN 1008.
Adjuvants
Les adjuvants sont conformes à la norme NF EN 934-2.
L’emploi d’un entraîneur d’air est obligatoire. La teneur en air occlus du béton (NF P 18-353) doit être
comprise entre 3 et 6 %.
L’emploi d’un adjuvant autre que l’entraîneur d’air fait l’objet lors de l’étude de formulation d’une étude de
compatibilité avec les autres constituants, conformément à la norme NF P 98-170.
Fibres
Les fibres peuvent être des fibres “polyester”, des fibres “polypropylène”* ou des fibres métalliques. Leur
dosage doit être conforme aux indications du fabricant.
Leur utilisation et leur dosage sont soumis à l’acceptation du maître d’œuvre.
L’incorporation de fibres fait l’objet, lors de l’étude de formulation, d’une vérification de compatibilité avec
les autres constituants.
Les caractéristiques des fers de liaison (dimensionnelles et mécaniques) sont soumises à l’acceptation du
maître d’oeuvre.
Produits pour joints
Les produits pour joints ont pour rôle le remplissage des joints du revêtement en vue d’assurer leur
étanchéité et de résister aux U. V. ainsi qu’aux pollutions urbaines.
Trois types de produits sont utilisés :
- Les produits coulés à chaud,
- Les produits coulés à froid,
- Les produits préformés et les joints à base de liège.
La nature et les caractéristiques des produits sont soumis à l’acceptation du maître d’œuvre par
l’entrepreneur, quelle que soit la technique utilisée (joints moulés dans le béton frais ou joints sciés).
Ils sont conformes à la norme NF P 98-170 et à l’annexe D de cette norme. L’entrepreneur doit fournir au
maître d’oeuvre les certificats d’essai ayant servi à vérifier les capacités des produits à assurer l’étanchéité
des joints malgré la variation de leur ouverture.
Produits pour traitement de surface
Retardateur de surface pour le béton désactivé (sans objet)
Caractéristiques
La formulation du béton proposée par l’entrepreneur doit respecter, lors de l’épreuve de l’étude de
formulation, les caractéristiques physiques et mécaniques suivantes :
- Teneur en air occlus : 3 à 6 %, mesurée selon la norme NF P 18-353
- Le cas échéant, maniabilité au maniabilimètre LCL : 13 s ± 50 s (norme NF P 18-452)
- Affaissement au cône : 4 cm ± 1 cm (norme NF P 18-451)
Nota : En cas d’utilisation d’un béton provenant d’une centrale titulaire du droit d’usage de la marque NF, il
n’y a pas de convenance de fabrication.
f. Epreuves de convenance
Epreuve de convenance de fabrication
L’épreuve de convenance de fabrication est à la charge de l’entrepreneur chargée des travaux.
Elle se déroule conformément au paragraphe 5.1 de la norme NF P 98-170.
Epreuve de convenance de mise en œuvre
L’épreuve de convenance de mise en œuvre est à la charge de l’entrepreneur chargé des travaux.
Elle se déroule conformément au paragraphe 5.2 de la norme NF P 98-170.
Une planche de référence de dimensions : 3,00m x 3,50m est exécutée par l’entrepreneur.
Pour les projets prévoyant la réalisation de béton désactivé, l’épreuve de convenance comprend en plus :
- La mise en œuvre du retardateur de prise,
- La détermination du couple dosage du retardateur et délai avant lavage.
2.12. Pavés
Les pavés (à ergo ou non) seront choisis pour leur capacité à accueillir des engins, et particulièrement des
camions pompiers. Leur capacité portante sera suffisante pour un camion de poids 160kN avec un essieu
chargé à 90kN. La résistance au poinçonnement sera de 80N/cm² sur une surface minimale de 0,20m².
Les pavés seront en béton préfabriqué, coulé sous pression suivant indications du maître d’œuvre.
Indications générales :
- Béton bitumineux semi-grenu 0/10 : Les granulats seront issus de "carrières de basalte ou de
porphyre" entièrement concassés, définis par les seuils de granularité d/D 2/6,3 ou 4/6,3 et 6/10.
- Le sable sera issu du broyage et du concassage de graviers de granularité d/D 0/2 ou 0/4. Il ne
pourra être toléré l'incorporation de sable roulé (maximum 10%) que dans la mesure où les
caractéristiques mécaniques obtenues seront suffisantes.
- Granulats de sable 0/2 : Le sable sera issu du broyage et du concassage de graviers de granularité
0/2.
La granularité de sable concassé ou broyé est définie par un fuseau de spécification à l'intérieur duquel doit
se trouver le fuseau de contrôle de régularité, ou fuseau de tolérance qui est défini par sa seule ouverture
(écart entre la limite supérieure et la limite inférieure).
Le fuseau de spécification et l'ouverture du fuseau de contrôle de régularité ou de tolérance sont les
suivants :
Le sable 0/2 devra avoir une teneur en fine de dix-huit pour cent (18 %) minimum.
Fines d'apport
Les fines d'apport éventuelles seront définies à partir d'une étude de laboratoire, quand la teneur en fines
apportées par les matériaux naturels sera insuffisante. L'entrepreneur est tenu de prévoir le stockage d'une
fine classique en silo (chaux ou ciment), muni de dispositifs d'alimentation et de dosage.
Liants
Les liants seront fournis par l'entrepreneur.
Le liant pour enrobés sera du bitume pur 40/50 ou 60/70. Il proviendra d'une raffinerie agréée par le maître
d’œuvre. L'entrepreneur devra s'assurer que la nature et la qualité des liants seront conformes aux
stipulations des articles 1 et 2 du chapitre I de la 2ème partie du fascicule 24 du CCTG.
Pour le contrôle de la qualité des liants, les dispositions de l'article 3-2 du fascicule 27 du CCTG sont
applicables.
- Le bitume pour bétons bitumineux sera approvisionné à température de dépotage par
l'entrepreneur en camions citerne à la centrale de fabrication des bétons bitumineux.
- L'entrepreneur assurera à ses frais l'organisation des livraisons du liant.
- L'entrepreneur devra à ses frais s'assurer en permanence que le bitume fourni est conforme aux
spécifications du présent CCTP.
- Les dispositions du second alinéa du paragraphe 1 de l'article 3 du fascicule 27 du CCTG restent
applicables.
Dopes et Activants
Il n'est pas prévu d'utiliser de dopes ou activants.
L'entrepreneur pourra toutefois en proposer l'emploi, celui-ci étant soumis à l'accord préalable du maître
d’œuvre.
3. DOCUMENTS PARTICULIERS
3.1. Voirie
Les critères de caractérisations et de classement des matériaux seront établis par rapport à ‘l’Instruction
Provisoire Relative aux granulats routiers’ (circulaire du 26/12/1977) et à la Recommandation SETRA LCPC
pour la réalisation des assises de chaussées en graves non traitées (Mai 1974) et à son complément
(décembre 1980) ou à la directive pour la réalisation des assises de chaussées en grave ciment (Mars 1969)
et à son complément d’octobre 1978.
Dimensionnement des chaussées établi à partir des prescriptions du manuel de conception des chaussées
neuves à faible trafic LCPC juillet 1981. Guide technique (SETRA/LCPC, 1994) et (SETRA/LCPC ,1998).
L’entrepreneur applique plus particulièrement les normes suivantes (liste non exhaustive) :
NF EN 197-1 Composition, spécifications et critères de conformité - Partie 1 : Ciments courants.
NF P 15-315 Liants hydrauliques - Ciment alumineux fondu.
NF EN 12620 Granulats - Vocabulaire, définitions, classification.
NF EN 206-1 Béton. Partie 1 : spécificité, performances, production et conformité.
NF EN 934-2 Adjuvants pour béton, mortier et coulis – Définitions, exigences, conformité, marquage et
étiquetage.
NF P 18-353 Adjuvants pour bétons, mortiers et coulis - Mesure du pourcentage d’air occlus dans un
béton frais à l’aréomètre à béton.
NF P 18-370 Adjuvants - Produits de cure pour bétons et mortiers - Définition, spécifications et
marquage.
NF EN 12390-3 Essai pour béton durci. Partie 3 : résistance à la compression des éprouvettes.
NF EN 12390-6 Essai pour béton durci. Partie 6 : résistance en traction pour fendage d’éprouvettes.
NF EN 12350-2 Essai pour béton frais. Partie 2 : essais d’affaissement.
NF EN 12878 Pigments de coloration
NF P 18-452 Bétons - Mesure du temps d’écoulement des bétons et mortiers aux maniabilimètres.
NF P 18-501 Additions pour béton hydraulique – Fillers.
NF P 18-502 Additions pour béton hydraulique - Fumées de silice.
NF EN 450 Cendres volantes pour béton - Laitier vitrifié moulu de haut-fourneau.
NF P 18-506 Additions pour béton hydraulique - Laitier vitrifié moulu de haut fourneau.
NF P 18-508 Additions pour béton hydraulique - Additions calcaires - Spécifications et critères de
conformité.
NF A 35-015 Armatures pour béton armé - Ronds lisses.
NF A 35-016 Armatures pour béton armé - Barres et fil machine à haute adhérence.
NF P 98-100 Assises de chaussées - Eaux pour assises – Classification.
NF P 98-115 Assises de chaussées - Exécution des corps de chaussées - Constituants - Composition des
mélanges et formulation - Exécution et contrôle.
NF P 98-170 Chaussées en béton de ciment - Exécution et contrôle.
NF P 98-245-1 Essais relatifs aux chaussées - Répandage d’un produit sur la surface d’une couche en béton
de ciment - Partie 1 : Mesure de la répartition d’un produit liquide.
NF P 98-246 Mesure de l’étanchéité des joints de chaussées en béton de ciment.
203. Mise à niveau de tous les ouvrages existants provisoires ou définitifs (tampons, bouches à clés,
regards, chambre) en trottoir et chaussées
Ce poste rémunère pour l'adaptation au projet, la mise à la cote d'ouvrages existants.
Il comprend :
- La récupération du système de fermeture, l'enlèvement soigné pour réutilisation puis, après la mise
à la cote des parois, la remise en place avec scellement à la cote du projet,
- La démolition au marteau piqueur ou à la main des parois pour l'abaissement à la cote finie moins
l'épaisseur du couronnement,
- Le coffrage des parois et le coulage de béton de classe d'environnement adaptée aux normes en
vigueur pour la surélévation à la cote finie moins l'épaisseur du couronnement.
Ce poste tient compte de tous les aléas et sujétions en particulier des précautions à prendre pour récupérer
le système de fermeture, quelle que soit la hauteur de l'ouvrage existant et son emplacement, des travaux
éventuels résultant d'un bris de celui-ci, des sujétions de nettoyage dans les regards et autour d'eux, des
dimensions différentes que peuvent avoir ces regards et toutes les sujétions de terrassements éventuels,
etc...
205. Décaissement
Ce poste rémunère, conformément au plan des démolitions, la démolition mécanique ou manuelle des
revêtements présents (majorité de béton, enrobé, etc…), quelle que soit leur épaisseur, et l’évacuation des
matériaux en décharge agréée.
Le rabotage des chaussées sera exécuté mécaniquement dans les zones précisées par le maître d’œuvre au
cours des travaux.
Les matériaux provenant du rabotage des chaussées seront mis en dépôt de l’entrepreneur.
Les raccordements de chaussée comprennent la découpe soignée du revêtement de chaussée aux engins
mécaniques, l’arrachage du revêtement et de la fondation de voirie, sur une épaisseur fonction de la
profondeur de la fouille des bordures. La structure de chaussée conservée en grave 0/80 et 0/31.5, la mise
en œuvre des revêtements identiques (nature, épaisseurs…).
Couche d’accrochage
Les fournitures et la mise en œuvre d’une couche d’accrochage sur revêtement grave bitume raboté
et non raboté sera exécuté.
Béton bitumineux
Ce poste comprend la fourniture et mise en œuvre d'un revêtement de béton bitumineux 0/10
basalte noir sur une épaisseur de 6 cm dosé à 120 kg/m².
210. Bétons
Ces postes comprennent la réalisation des revêtements en béton.
Ces prix rémunèrent en plus de la réalisation propre des bétons, la réalisation des bèches sur tous
les linéaires jouxtant les espaces plantées et les noues, et concernent les finitions des zones en
revêtement béton, avec réalisation de bordures (type bèche) plongeantes coulées en place dans la
continuité des revêtements béton.
Ces postes intègrent également la réalisation des joints de dilation des bétons (trait de scie).
210.2. Béton balayé sablé, ép. 20 cm circulable et 12cm pour cheminements piétons
La Fourniture et mise en œuvre d'un béton finition balayée, puis sablée, sur 20 ou 12 cm d'épaisseur, dosé à
350 kg ferraillé y compris joints de dilatation en trais de scie suivant plan.
L'entrepreneur doit l’apport des matériaux, l'arrosage, le cylindrage et le compactage des diverses
couches posées.
Mise en œuvre
- Mise en place d’une couche de fondation terre + pierre compactée sur une épaisseur 400 cm
- Pose d’un treillis soudé
- Coulage de la dalle béton sur une épaisseur de 15cm.
- Remplissage des alvéoles par un mélange de terre et sable de manière à être parfaitement
homogène. Le garnissage se fera manuellement. Les alvéoles seront arrosées plusieurs fois lors de la
mise en place afin de garantir le remplissage sur toute la hauteur. Les alvéoles seront garnies à refus
jusqu’au niveau fini. Ils ne devront pas comporter de creux.
- La surface devra être réglée plane à ±0.5cm/2m. Tout flashe supérieur à cette limite ne pourra être
réceptionné et sera obligatoirement reprise.
- Fourniture et mise en œuvre d'une couche de base en GNT 0/315 épaisseur 15 cm.
- Coffrage soigné, y compris chanfrein 1cm sur arêtes vives,
- Ferraillage.
- Fourniture à pied d’œuvre et mise en œuvre du béton selon les préconisations du fournisseur.
- Pose de la matrice – imitation basalte
- Les traits de scie et joints
L'entrepreneur doit l’apport des matériaux, l'arrosage, le cylindrage et le compactage des diverses couches
posées. L’entrepreneur devra suivre le calepinage proposé par la maitrise d’œuvre.
Les bordures seront posées au cordeau et à la règle, la tolérance en altitude sous la règle de 3 m étant de
3 mm, de même que la tolérance en alignement.
La prestation comprend :
- L’implantation
- Les fouilles
- La fourniture et la pose des bordures normalisées sur lit de béton maigre, y compris coupes des
angles
- L’épaulement au béton maigre des bordures
Les bordures seront mises en place selon le plan de bordure et profils en travers type.
Les différents modèles de bordures seront de type BA7 - 20 cm de large, hauteur 25 cm, vue selon carnet
de détail, chanfrein de 2 cm
La hauteur ne devra pas excéder 9cm (certains pare-chocs de voiture sont bas).
La prestation comprend :
- L’implantation
- Les fouilles
- La fourniture et la pose des lisses ou plat sur lit de béton maigre, y compris coupes des angles
- L’épaulement au béton maigre des lisses
- La réalisation des joints au mortier de ciment
- Les dimensions seront conformes au guide des coussins du CERTU., soit 180 x 300 cm.
- La hauteur sera de 7 cm
- La largeur des rampants latéraux sera de 32.5 cm
- La largeur des rampants avant sera de 50 cm.
- Les éléments pour les angles : 100 x 90 cm.
Les éléments intermédiaires : 50 x 90 cm.
Avant tout travaux définitifs, le titulaire du présent lot sera tenu de réaliser un échantillon de mur sur
plusieurs mètres. L’échantillon en cours de réalisation devra être présenté au Maître d’œuvre qui
apportera les conseils nécessaires au respect de l’esprit du projet.
Sans la réalisation de cet échantillon de référence et sa validation par le Maître d’œuvre, la poursuite des
travaux de maçonnerie ne pourra avoir lieu.
A prévoir, réservation tube pvc ø100 sur 0.40m de profondeur tous les 1 mètre (en faisant attention au
redent) pour clôtures en bardage vertical.
Reprise du mur de soutènement dans la venelle des amoureux sur une longueur d’environ 25ml et une
hauteur de 3,00m. Cette réfection comprend :
- La démolition du mur existant (y compris l’abattage et dessouchage des arbres)
- Stabilisation et maintien des terres,
- Réalisation des fondations,
- Fourniture et pose de blocs parpaings de 20, avec parement basalte effet granulométrique
150/300,
- Arase supérieure
Les produits de marquage employés devront figurer sur la liste ASQUER des produits certifiés NF2.
1-3.2. Durée de vie homologuée des produits
Les durées de vie certifiées des produits de marquage sont les suivants :
- Enduit à chaud NF2 ≥ à 400 000 passages de roues
- Enduit à froid blanc NF2 de 1 000 000 passages de roues
-
1-3.3. Types de produits utilisés
Les produits utilisés seront les suivants :
- Enduit à chaud
- Enduit à froid blanc et de couleur non rétroréfléchissant
Produits spéciaux (bande podotactile)
Dans le cas où les produits ne répondraient pas aux prescriptions d’homologation et après qu’une analyse
complète ait relevé l’absence de conformités avec les produits homologués, ils seraient refusés et enlevés
des chantiers. Les travaux déjà exécutés avec ces produits ne seraient pas rémunérés.
Signalisation de police :
Panneaux de type AB4, B1, B6d, M6h et C12 de catégorie SP.
Supports et fixations :
Tous types de supports et fixations pour les produits SP.
1-4.2. Panneaux
Les produits devront être conformes aux prescriptions de l’instruction interministérielle sur la signalisation
routière définie par l’arrêté du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et autoroutes Livre 1
et des modifications apportées par les arrêtés en cours de validité à la date de signature du marché.
1-4.3. Supports
Les panneaux de signalisation seront homologués dans les conditions prévues par l’arrêté Interministériel
du 3 Mai 1978, dans la catégorie SP26 et conformément à l’arrêté du 26 Juillet 1985, livres 2, 3, 4 et 5...
La marque d’homologation sera portée sur les panneaux. Le revêtement de l’ensemble des panneaux sera
rétro réfléchissant de classe II (haute intensité).
Les mâts seront positionnés à 70 cm de l’extérieur de la bordure de trottoir, avec une hauteur sous dernier
panneau de 2,20 m.
Le procédé adopté par l’entreprise devra recevoir l’approbation du maître d’œuvre et pourra être
interrompu après tout mauvais effacement.
1-6.1. Piquetage
Le piquetage sera effectué conjointement avec le maître d’œuvre.
1-6.2. Sécurité
La signalisation du chantier sera mise en place par les soins et sous la responsabilité de l’entreprise.
300. RESEAU EP
1. GENERALITES
Les matériaux et produits entrant dans la composition des ouvrages d’assainissement des eaux pluviales
doivent satisfaire aux prescriptions du chapitre II du fascicule 70 du CCTG, notamment aux normes
produites référencées en annexe 1 du fascicule 70 ou aux avis techniques en vigueur.
Les matériaux et produits qui ne sont pas couverts par une norme, et ne faisant pas l´objet d´un « Avis
technique favorable » doivent être agréés par le maître d´œuvre qui établira les conditions de réception à
appliquer à ces fournitures conformément à l´article II. 1 du fascicule 70.
Agréments : Tous les tuyaux préfabriqués et les accessoires de pose devront provenir d'usines agréées et
devront être conformes à la norme NF et à l'agrément SP cités plus haut.
1.3.2. Regards E.P.
Les regards et les éléments qui les composent seront en tous points conformes aux normes NF EN 1917
(=NF P16-346-1) et NF P 16-346-2 (compléments).
Les regards de visite du réseau E.P. seront constitués par une cheminée de section circulaire ou carrée en
béton étanche dosé à 350 kg. Les parois de la cheminée auront 0,15 m d’épaisseur minimale si elles sont
coulées sur place en béton banché et de 0,10 m d’épaisseur minimale si elles sont en éléments
préfabriqués. L’assemblage de buse de ciment pour constituer la cheminée du regard est interdit.
Les éléments préfabriqués pour regards, les dispositifs de couronnement et de fermeture devront satisfaire
à la certification de qualité suivante : Marque NF – SDP Voirie et seront conformes aux normes en vigueur
et notamment à la norme NFP 16-342 : Eléments fabriqués en usine pour regard de visite en béton sur
canalisation d’assainissement
Les regards sur réseau d'eaux usées seront préfabriqués en béton armé ø 600 mm intérieur avec dalle
flottante pour support de tampon et fermeture.
La forme de la noue doit-être le plus évasée possible, des galets concassés 200/400 resteront visibles dans
le fil d’eau de la noue et joueront un rôle anti-érosion.
Il comprend notamment :
L’implantation et le piquetage ;
La fourniture, l'amenée à pied d'œuvre des roches 300/500 ;
La réalisation de l’ouvrage type seuil ou mini barrage ;
Des espaces de temporisation sont à créer le long des 2 avenues. Cette prestation comprend la réalisation
d’espaces de temporisation des eaux pluviales. Les terrassements en déblais/remblais, le réglage et
compactage du fond de forme, la mise en œuvre de matériaux drainants dans le fond et d’une couche de
terre végétale.
Le réglage fin des formes de pente et du fil d’eau pour éviter des zones d’eau stagnante.
La mise en œuvre des talus.
Le raccordement de cadres par des ouvrages d’entonnement soignés.
Le nivellement au droit des murets maçonnés.
L’aménagement des dispositifs de surverse et débit de fuite.
La réalisation des maçonneries en moellons avec couvertine béton, en surverse en sortie du bassin de
rétention, avec notamment des lames inox de passage de surverse
Les canalisations seront posées sur un fond de fouille dressé et exempt de toute aspérité pouvant
détériorer la gaine protectrice. Une couche de sable 0/2 de 0,10m d'épaisseur sera mis en œuvre sur le
fond de la tranchée avant la pose de la canalisation.
Après la pose, la tranchée sera remblayée par du sable sur 0,10m de hauteur au-dessus de la canalisation.
Au-dessus de cette première couche, le remblaiement pourra s'effectuer à l'aide d'engins mécaniques.
Hors voiries et trottoirs, le remblaiement au-dessus du sable d’enrobage pourra être réalisé en totalité avec
les matériaux du site extraits des tranchées et soigneusement identifiés et triés :
Évacuation de la terre végétale et des débris végétaux divers,
Évacuation des déchets éventuels divers,
Réduction ou évacuation des blocs d’un diamètre supérieur à 80mm,
L’entreprise veillera en outre à éviter la ségrégation et le mélange des différents matériaux lors des
opérations de stockage et de mise en œuvre. En cas de sensibilité à l’eau des matériaux du site, avant mise
en remblais de ceux-ci, l’entreprise procèdera à des mesures de teneur en eau et des essais Proctor sur les
différents matériaux stockés pour obtenir un objectif de densification q3 (norme NF P 98-331).
Sous voiries et trottoirs, les dispositions précédentes seront appliquées jusqu’à 30 cm sous le niveau fond
de forme. La couche de remblai restante (30 cm) sera constituée d’une GNT 0/80, soigneusement
compactée par des moyens mécaniques.
Les terres excédentaires seront évacuées.
2. Pose
La manutention, la pose et l'assemblage des tuyaux seront effectués conformément aux prescriptions du
titre 1 du fascicule 70 du CCTG pour ce qui concerne les tuyaux gravitaires et conformément à la norme NF
EN 1610 (NF P 16-125) : "Mise en œuvre et essais des branchements et collectifs d'assainissement".
Les tuyaux seront posés selon les profils en long. Ils seront descendus soigneusement dans les tranchées et
seront posés sur le fond de fouille parfaitement réglé ; les cales de pose seront en bois ou en terre, les cales
en pierre étant strictement interdites.
Les tuyaux seront posés sans brutalité sur le sol ou dans le fond des tranchées et ne devront pas être roulés
sur des pierres ou sur un sol rocheux, mais sur des chemins de roulement. L'élingage par l'intérieur du
tuyau et interdit.
Le fond de forme recevra le lit de pose d’une épaisseur de 10 cm (constituée de matériaux contenant moins
de 5% de particules inférieurs à 0,1 mm et ne contenant pas d’éléments supérieurs à 30mm) dans laquelle
des petites niches seront aménagées au droit de chaque joint, de façon que la partie cylindrique du tuyau
ne présente aucun porte-à-faux. L'emboîtement sera dirigé vers le point haut de la conduite.
Au moment de la mise en place, ils seront sondés au marteau, soigneusement visités à l'intérieur et
débarrassés de tous les corps étrangers qui pourraient y avoir été introduits. Les surfaces de contact des
joints seront parfaitement nettoyées.
Les tuyaux seront posés à partir de l'aval, et l'emboîture, lorsqu'elle existe, sera dirigée vers l'amont. Les
assemblages, la façon et la pose des joints seront conformes aux prescriptions du CCTG (fascicule n° 70,
titre 1, article V.7.3).
Lorsque les ouvriers quittent le chantier, l'entrepreneur doit prendre toutes les mesures nécessaires pour
empêcher qu'on puisse introduire des corps étrangers dans les tuyaux posés ou qu'il puisse en tomber à
l'intérieur.
Les tuyaux devront être alignés suivant la pente du terrain, sans la moindre inflexion ni dans le sens
vertical, ni dans le sens horizontal.
Les tuyaux PVC seront entreposés, protégés du soleil. Les tuyaux ne devront prendre, lors du stockage,
aucune courbe.
3. Epuisements
Les épuisements de toute nature devant pallier les venues d'eau naturelles ou accidentelles pendant les
travaux de construction d'ouvrages ou de pose de canalisations sont à la charge de l'entrepreneur. Ils font
partie des travaux de l'entreprise qui devra, en outre, se procurer à ses frais le matériel nécessaire.
La réception doit comprendre les essais et vérifications suivantes. Ces essais seront consignés dans un
procès- verbal mentionnant les repères des tronçons testés avec référence au dossier de récolement,
l'identification des regards et branchements testés, les protocoles de tests d’étanchéité suivi et le compte
rendu des essais effectués.
1. Canalisations
Test visuel ou par caméra sur l'ensemble du tronçon
Absence de contre pente
Bon raccordement des emboitements
Test d'étanchéité à l'air ou à l'eau sur l'ensemble du tronçon après remblaiement complet de la fouille.
2. Branchements et regards
Test visuel de conformité
Test d'étanchéité à l'air ou à l'eau
Dans tous les cas, les protocoles sont soumis à l'approbation du service chargé de la police de l'eau.
D'une cunette de hauteur au moins égale au rayon de la canalisation et de deux plages inclinées à 10% (dix
pour cent) de pente se raccordant aux parois de la cheminée du regard ; les plages de la cunette seront
bouchardées.
Si une canalisation de branchement ou de raccordement était piquée sur la canalisation principale à la base
du regard :
L'angle de raccordement serait au maximum de 67°30' ;
Le niveau de la génératrice inférieure du branchement serait supérieur de 0,10 m au moins à celui de la
canalisation principale ;
Le raccordement des cunettes sera un modèle en pointe de cœur avec arêtes arrondies.
Une hotte conique ou pyramidale permettra de raccorder la cheminée au dispositif de fermeture.
Le couronnement incorporé ou non à la botte, permettra la fixation et la rehausse éventuelle du dispositif
de fermeture.
Le dispositif de fermeture comportera, selon le cas, un cadre et un tampon d'obturation rond type
chaussée en fonte ductile ou une grille plate à cadre carré en fonte ductile de 0,80 x 0,80.
Des échelons de descente en acier galvanisé seront fixés et scellés tous les 0,30 m de distance sur une des
parois de la cheminée du regard. Si la cheminée est réalisée avec des éléments préfabriqués en béton, les
échelons seront placés au cours même de la préfabrication. Les échelons seront disposés judicieusement
afin de permettre une descente aisée à l'intérieur du regard.
D’une crosse amovible pour faciliter l’accès à l’intérieur du regard
400. RESEAU EU
1. GENERALITES
1.1. Désignation des ouvrages
La prestation comprend la réalisation de l’ensemble des travaux du réseau d’eaux usées. Les spécifications
et les conditions d’exécution seront définies conformément aux normes et règlements en vigueur.
Les matériaux et produits entrant dans la composition des ouvrages d’assainissement des eaux usées
doivent satisfaire aux prescriptions du chapitre II du fascicule 70 du CCTG, notamment aux normes
produites référencées en annexe 1 du fascicule 70 ou aux avis techniques en vigueur.
Les matériaux et produits qui ne sont pas couverts par une norme, et ne faisant pas l´objet d´un « Avis
technique favorable » doivent être agréés par le maître d´œuvre qui établira les conditions de réception à
appliquer à ces fournitures conformément à l´article II. 1 du fascicule 70.
Agréments : Tous les tuyaux préfabriqués et les accessoires de pose devront provenir d'usines
agréées et devront être conformes à la norme NF et à l'agrément SP cités plus haut.
Les regards de visite du réseau E.U. seront constitués par une cheminée de section circulaire ou carrée en
béton étanche dosé à 350 kg. Les parois de la cheminée auront 0,15 m d’épaisseur minimale si elles sont
coulées sur place en béton banché et de 0,10 m d’épaisseur minimale si elles sont en éléments
préfabriqués. L’assemblage de buse de ciment pour constituer la cheminée du regard est interdit.
L’embase de la cheminée sera constituée :
- D’un radier en béton armé ou non mis en place par vibration interne
- D’une cunette de hauteur au moins égale au rayon de la canalisation et deux plages inclinées à
10 % (dix pour cent) de pente se raccordant aux parois de la cheminée du regard ; les plages de
la cunette seront bouchardées.
Les éléments préfabriqués pour regards, les dispositifs de couronnement et de fermeture devront satisfaire
à la certification de qualité suivante : Marque NF – SDP Voirie et seront conformes aux normes en vigueur
et notamment à la norme NFP 16-342 : Eléments fabriqués en usine pour regard de visite en béton sur
canalisation d’assainissement
Les regards sur réseau d'eaux usées seront préfabriqués en béton armé ø 600 mm intérieur avec dalle
flottante pour support de tampon et fermeture.
1.3.3. Tampons
Les tampons seront en tout point conformes à la norme NF EN 124 (NF P98-311). Chaque classe de
résistance sera scrupuleusement respectée en fonction de l’affectation des surfaces. Ils seront tous en
fonte ductile de type GS de qualité Pont à Moussons ou équivalente en diamètre ø 850 mm avec un
diamètre utile de passage de ø 600 mm. Ces tampons seront en fonte ductile de la classe 400 kN pour les
regards sous chaussée, et de la classe 250 kN pour les regards sous trottoir, exceptionnellement de la classe
125 KN en dehors de toute circulation.
- Passage caméra,
- Essais d’étanchéité des conduites et des regards,
- Remise en 3 exemplaires papier + un exemplaire sur support informatique des plans de
récolements rattachés en X, Y et Z, et classe de précision A.
Au-dessus de cette première couche, le remblaiement pourra s'effectuer à l'aide d'engins mécaniques.
Hors voiries et trottoirs, le remblaiement au-dessus du sable d’enrobage pourra être réalisé en totalité avec
les matériaux du site extraits des tranchées et soigneusement identifiés et triés :
Évacuation de la terre végétale et des débris végétaux divers,
Évacuation des déchets éventuels divers,
Réduction ou évacuation des blocs d’un diamètre supérieur à 80mm,
L’entreprise veillera en outre à éviter la ségrégation et le mélange des différents matériaux lors des
opérations de stockage et de mise en œuvre. En cas de sensibilité à l’eau des matériaux du site, avant mise
en remblais de ceux-ci, l’entreprise procèdera à des mesures de teneur en eau et des essais Proctor sur les
différents matériaux stockés pour obtenir un objectif de densification q3 (norme NF P 98-331).
Sous voiries et trottoirs, les dispositions précédentes seront appliquées jusqu’à 30 cm sous le niveau fond
de forme. La couche de remblai restante (30 cm) sera constituée d’une GNT 0/80, soigneusement
compactée par des moyens mécaniques.
Les terres excédentaires seront évacuées.
2. Pose
La manutention, la pose et l'assemblage des tuyaux seront effectués conformément aux prescriptions du
titre 1 du fascicule 70 du CCTG pour ce qui concerne les tuyaux gravitaires et conformément à la norme NF
EN 1610 (NF P 16-125) : "Mise en œuvre et essais des branchements et collectifs d'assainissement".
Les tuyaux seront posés selon les profils en long. Ils seront descendus soigneusement dans les tranchées et
seront posés sur le fond de fouille parfaitement réglé ; les cales de pose seront en bois ou en terre, les cales
en pierre étant strictement interdites.
Les tuyaux seront posés sans brutalité sur le sol ou dans le fond des tranchées et ne devront pas être roulés
sur des pierres ou sur un sol rocheux, mais sur des chemins de roulement. L'élingage par l'intérieur du
tuyau et interdit.
Le fond de forme recevra le lit de pose d’une épaisseur de 10 cm (constituée de matériaux contenant moins
de 5% de particules inférieurs à 0,1 mm et ne contenant pas d’éléments supérieurs à 30mm) dans laquelle
des petites niches seront aménagées au droit de chaque joint, de façon que la partie cylindrique du tuyau
ne présente aucun porte-à-faux. L'emboîtement sera dirigé vers le point haut de la conduite.
Au moment de la mise en place, ils seront sondés au marteau, soigneusement visités à l'intérieur et
débarrassés de tous les corps étrangers qui pourraient y avoir été introduits. Les surfaces de contact des
joints seront parfaitement nettoyées.
Les tuyaux seront posés à partir de l'aval, et l'emboîture, lorsqu'elle existe, sera dirigée vers l'amont. Les
assemblages, la façon et la pose des joints seront conformes aux prescriptions du CCTG (fascicule n° 70,
titre 1, article V.7.3).
Lorsque les ouvriers quittent le chantier, l'entrepreneur doit prendre toutes les mesures nécessaires pour
empêcher qu'on puisse introduire des corps étrangers dans les tuyaux posés ou qu'il puisse en tomber à
l'intérieur.
Les tuyaux devront être alignés suivant la pente du terrain, sans la moindre inflexion ni dans le sens
vertical, ni dans le sens horizontal.
Les tuyaux PVC seront entreposés, protégés du soleil. Les tuyaux ne devront prendre, lors du stockage,
aucune courbe.
3. Epuisements
Les épuisements de toute nature devant pallier les venues d'eau naturelles ou accidentelles pendant les
travaux de construction d'ouvrages ou de pose de canalisations sont à la charge de l'entrepreneur. Ils font
partie des travaux de l'entreprise qui devra, en outre, se procurer à ses frais le matériel nécessaire.
La réception doit comprendre les essais et vérifications suivantes. Ces essais seront consignés dans un
procès- verbal mentionnant les repères des tronçons testés avec référence au dossier de récolement,
l'identification des regards et branchements testés, les protocoles de tests d’étanchéité suivi et le compte
rendu des essais effectués.
1. Canalisations
Test visuel ou par caméra sur l'ensemble du tronçon
2. Branchements et regards
Test visuel de conformité
Test d'étanchéité à l'air ou à l'eau
Dans tous les cas, les protocoles sont soumis à l'approbation du service chargé de la police de l'eau.
La conduite étant posée sans regard, ni branchement d'aucune sorte, sera remplie d'eau ; les deux
extrémités seront fermées hermétiquement par une plaque sur joint de caoutchouc. Une des plaques
recevra un robinet de prise, et l'autre un tuyau souple. Cette prise sera raccordée à un fût de 200 litres dont
le plan d'eau sera en contre-haut de la génératrice supérieure de la conduite.
L’épreuve sera réalisée conformément à la méthode W de la norme NF EN 1610 (article 13.3).
3. Essais à l’air
L’essai d’étanchéité s’applique à l’ensemble de la conduite, des tuyaux et des joints. Il sera exécuté
conformément aux dispositions de l’article VI.1.5.4 du titre 1 du fascicule 70 du CCTG de la norme NF EN
1610 relatives aux essais à l’air (article 13.2) pour les conditions d’essai LB, LC et LD.
Ce type d’essai nécessite l’utilisation de tampons étanches appropriés. Les pressions d’essais, les variations
de pressions acceptables et les temps d’essais en fonction des diamètres de canalisations sont fournis dans
le tableau 3 du chapitre 13.2 de la norme. Ces pressions dépendent aussi des conditions d’essais.
Si ce type d’essais est choisi par l’entreprise, un protocole précis des essais sera à convenir avec le Maître
d’œuvre.
4. Inspection télévisée
Avant réfection définitive du revêtement de chaussée, il sera procédé à une inspection télévisée des
ouvrages exécutés par l'entreprise dans le cadre de son marché.
L'organisme chargé du contrôle soumis à l'agrément du maître d’œuvre intervient à la diligence et sous la
responsabilité de l’entrepreneur.
Ces contrôles seront réalisés après notification faite 20 jours ouvrés à l'avance par l'entrepreneur au maître
d’œuvre. L'entreprise prendra toutes dispositions utiles pour assurer à ses frais le nettoyage préalable du
réseau, si son état le justifie.
Si les conclusions de la visite sont satisfaisantes, la réception pourra être prononcée.
Si les conclusions ne sont pas satisfaisantes, l'entrepreneur prendra à sa charge toutes les réparations qui
s'imposent, ainsi qu'une inspection complète de la tranche du réseau faisant l'objet de la réception, et de
celles qui pourraient suivre jusqu'à parfaite exécution de l'ouvrage.
1. GENERALITES
1.1. Désignation des ouvrages
La prestation comprend la réalisation de l’ensemble des travaux d’alimentation en eau potable. Les
spécifications et les conditions d’exécution seront définies conformément aux normes et règlements en
vigueur.
- Caractéristiques géométriques
PN Epaisseur Epreuve Poids Nu
DN De mm
bar mm Usine bar kg/ml
100
125
Selon norme
150
200
- Pression d'utilisation
PS : Pression de service correspondant à la pression la plus élevée dans chaque cas suivant
Refoulement Distribution
Pression statique à débit nul 16 bars 7 bars
Pression maxi en régime dynamique 22 bars 11 bars
PMF : Pression maximale de fonctionnement : correspondant à la pression maximale que la conduite peut
avoir à supporter en un point considéré compte tenu des coups de bélier possibles sera donc de 11 bars
pour le réseau de distribution et de 22 bars pour le réseau de refoulement.
Les canalisations devront être dimensionnées pour la cote piézométrique maximale en régime permanent
et la marge de sécurité devra couvrir les régimes transitoires exceptionnels.
L'entrepreneur devra fournir au représentant du Maître d’œuvre, avant toute commande, une attestation
du constructeur des canalisations confirmant au minimum les dispositions précédentes.
- Normes à respecter
Tuyaux
NF A 48-801 Spécification technique général des canalisations en fonte ductile avec pression
NF A 48-806 Tuyaux à emboîtement
NF A 48-841 Tuyaux à brides
Raccords
NF A 48-863 Raccords à emboîtements
NF A 48-842 Raccords à brides
NF A 48-830 Raccords en fonte ductile pour canalisations d'eau potable en PVC avec pression
Joints
NF A 48-870 Joint STANDARD GS
NF A 48-860 Joint EXPRESS GS
NF A 48-840 Systèmes de raccordements à brides pour les canalisations en fonte à graphite sphéroïdal
NF T 47-305 Bagues de joints : spécification des matériaux.
Revêtements
NF A 48-852 Revêtement extérieur au zinc
NF A 48-901 Revêtement intérieur au mortier de ciment
NF A 48-851 Revêtement extérieur polyuréthanne
Normes Internationales
ISO 2531 Tuyaux, raccords et pièces accessoires en fonte ductile pour canalisation avec pression
ISO 4633 Garnitures de joint : spécification des matériaux
ISO 8179 Revêtement extérieur au zinc
ISO 8180 Manche en polyéthylène
ISO 4179 Revêtement interne au mortier de ciment centrifugé
ISO 9002 Modèle pour l'assurance de la qualité en production et installation. Règlements, Chartes: Charte
du S.N.C.T., CODAP
- Revêtements
Revêtement intérieur
Les tuyaux en fonte seront revêtus en usine intérieurement d'un revêtement de type classique au mortier
de ciment. La mise en œuvre sera conforme aux spécifications de la Norme NFA 48901. Le revêtement final
aura une épaisseur moyenne minimale de 2,5 mm pour les tuyaux de diamètre 300 mm et 4,5 mm pour les
tuyaux de diamètre compris entre 350 mm et 600 mm.
Revêtement extérieur
Le revêtement extérieur des canalisations posées en tranchées puis remblayées sera du type classique et
composé de zinc métallique plus un vernis bitumineux. La mise en œuvre sera conforme à la norme NFA 48-
852.
Le revêtement extérieur des canalisations posées en élévation devra être insensible aux ultraviolets, du
type polyuréthanne ou peinture époxy.
- Pièces de raccord
Les pièces de raccord seront réalisées à partir de coudes forgés et pièces du commerce. Elles seront
revêtues en usine intérieurement et extérieurement par un vernis bitumineux. Elles devront répondre en
général à l'ensemble des paragraphes précédents du chapitre 2, avec les précisions suivantes.
Le choix des matériaux sera fait en tenant particulièrement compte de la compatibilité du type de fonte des
éléments associés situés sur une même ligne. L'entrepreneur devra présenter et faire approuver au Maître
d’œuvre pour chaque assemblage avant exécution, des notices techniques détaillées concernant le choix
des matériaux et des procédures de mise en œuvre prouvant le bon respect des normes et des codes SNCT,
CODAP ou équivalent.
Les caractéristiques des raccords devront être justifiées par notes de calculs. Le raccordement de ces pièces
sur les tubes et les accessoires pourra être réalisé par emboîtement ou par brides. Ces raccords seront
fabriqués en usine.
Les coudes seront du type 1/4, 1/8, 1/16 et 1/32 et proviendront de pièces du commerce et seront
conformes notamment à la norme ISO 2531, NF A 48-863, NF A 48-842.
Les revêtements des coudes auront des caractéristiques au moins égales à celles des tubes posés en ligne.
de manœuvre sera en acier inoxydable et sera pourvue d’un joint cache poussière interdisant l’introduction
de corps étrangers au niveau de la tige de manœuvre.
La fourniture du robinet comprend la fourniture du tabernacle, du tube allonge et de la bouche à clé à
poser en surface.
1.3.3. Purge
La purge sera constituée d’un robinet vanne associé à un tube coudé sous bouche à clé qui permettra la
purge du réseau jusqu’à la surface.
1. Manutention
Ces règles s'appliquent dans la mesure où le revêtement externe est de par sa définition et composition,
adapté aux conditions de températures rencontrées.
Un tube revêtu extérieurement doit être toujours manutentionné au moyen d'un équipement approprié.
Pour la manutention en usine ou sur chantier, on doit utiliser de préférence :
- Des élingues munies de crochets spéciaux fixés aux extrémités de chaque tube, à condition
toutefois de veiller à ne pas endommager le revêtement interne éventuel, ou les extrémités du
tube
- Des sangles larges et lisses en tissus ou en caoutchouc armé judicieusement disposées pour assurer
la stabilité du tube
- Des chariots élévateurs à fourches appropriées, dont les surfaces en contact avec le revêtement
sont protégées par une couche épaisse de caoutchouc ou similaire
L'emploi des sangles et des chariots implique l'interposition de supports d'épaisseur adaptée entre les lits
de tubes. Des câbles nus, des chaînes, des barres métalliques et autres accessoires de ces dispositifs ne
doivent jamais être mis en contact direct avec le revêtement ou laissés tomber ou frotter sur celui-ci.
Au cours de manutentions, les chocs préjudiciables au tube revêtu sont à éviter. On ne doit faire rouler les
tubes revêtus que sur des aires ou chemins de roulement convenablement préparés. La manutention des
tubes revêtus peut être réalisée dans l'intervalle de température ambiante compris entre -10°C et +
40°C.En dehors de cet intervalle, on doit s'assurer que la manutention n'est pas préjudiciable à la tenue du
revêtement.
2. Chargement et déchargement
Les tubes revêtus doivent être déposés sans brutalité sur les engins de transport, sur une aire de stockage
ou sur un lit de tubes. Au cours du chargement, toutes les dispositions utiles doivent être prises pour éviter
pendant le transport la détérioration des tubes et du revêtement et tout glissement. En particulier, les
ranchers des camions ou wagons, les intercalaires en bois éventuels (exempts d'échardes et de clous) et les
arrimages doivent être matelassés. Les lits de tubes revêtus peuvent être également isolés les uns des
autres par des matelas ou des anneaux appropriés ; cette disposition peut être nécessaire pour ménager un
espace suffisant pour la manutention par sangles.
3. Sollicitations admissibles
Durant le stockage et le transport des tubes revêtus, des mesures doivent être prises pour éviter tout
dommage aux tubes et à leurs revêtements. Il y a lieu notamment de limiter la contrainte maximale dans la
fonte, et les contraintes de pression sur le revêtement. La détermination du nombre maximum de lits de
tubes superposables peut faire l'objet d'un accord entre les parties.
En outre, il y a lieu de tenir compte des règles propres au type de stockage ou transport utilisés (gabarit,
sécurité).
Le premier lit de tubes est disposé au moins à 200 mm de la surface du sol ; cette distance peut être réduite
à un minimum de 30 mm si le terrain est ferme, plan et exempt de cailloux. Ce premier lit repose soit sur un
lit de sable ou de terre meuble stable, soit sur des bois, exempts d'échardes ou de clous, de forme,
dimensions et quantité telles que le revêtement ne soit pas endommagé ; les bois doivent être matelassés.
Les tubes d'extrémités de ce premier lit doivent prendre appui latéralement sur des supports extérieurs
judicieusement dimensionnés et répartis de manière à assurer la stabilité de l'ensemble, sans conduire
toutefois à endommager le revêtement. Dans les autres lits, les tubes peuvent reposer directement les uns
sur les autres, sauf dans le cas de tube à soudure proéminente et à revêtement externe mince qui doivent
être séparés par des bois matelassés ou des matelas ou des anneaux souples.
L'extrémité des tubes avec bout uni doive être décalée de plus de 10 cm des emboîtures, afin d'éviter les
déformations. Dans chaque lit, et notamment pour les lits inférieurs, les dispositions doivent être prises
pour que les tubes soient latéralement en contact entre eux, soit directement, soit avec interposition
d'intercalaires souples afin d'assurer une réaction et une répartition correctes des efforts et maintenir les
ovalisations dans les limites permises.
5. Transport
Le transport peut être effectué par camion, par chemin de fer ou par bateau en respectant les règlements
officiels propres à chaque type de transport. Dans le cas de transport par chemin de fer, camion ou sur le
pont supérieur des navires, les lits de tube peuvent ou non reposer sur des supports intercalaires.
Dans le cas de transport dans la cale des navires, les tubes du lit inférieur doivent être posés sur un fond de
bois plan et continu sur toute leur longueur, emboîture exclue ou sur des appuis espacés dimensionnés en
largeur et en nombre de façon suffisante. Une note de calcul justifiera le nombre de lits en cale. Les
canalisations devront être abritées des embruns ou projections d'eau de mer.
Aucune surcharge ne devra être appliquée aux différents lits de tube. Aucune substance agressive ou
salissante ne devra être transportée par le navire à côté ou au-dessus des tubes.
Le lit de pose sera constitué sur toute la largeur du fond de fouille de la tranchée. Il sera établi de manière
continue avant la pose des tuyaux sauf aux droits des niches ou réservations nécessaires à l'assemblage des
éléments constituant la conduite ; ces niches ou réservations seront ensuite remblayées avec le même
matériau fin et les mêmes soins que le lit de pose. Toutes sujétions de terrassements, blindage,
épuisement, fournitures et mise en œuvre concernant le lit de pose sont inclues dans les prix de pose de la
conduite ou de ses accessoires.
6.2. Pose
Pour toutes les dispositions relatives à la pose des canalisations, l'entrepreneur devra se conformer au
fascicule 71 du Cahier des Prescriptions Techniques. L'assemblage des tuyaux se fera en fond de fouille.
L'emboîtement des tuyaux et raccords à joint automatique se fera :
- A la barre à mine pour DN 100
- Avec le godet d'une pelle hydraulique
Dans ces deux cas, il est nécessaire d'intercaler une pièce de bois dur devant le tuyau.
L'assemblage pourra se faire également à l'aide de treuils mécaniques équipés de sangle et crochets avec
protection, ou de treuils à vérins hydrauliques.
Les déviations angulaires pourront être réalisées dans les limites des données ci-après pour des tuyaux
fonte :
Déviation admise Longueur des Rayon de
DN
(degrés) tuyaux (m) courbure (m)
100 4° 6 86
125 et 150 3°30 6 98
200 et 250 3° 6 115
300 et 350 2°30 6 138
La réalisation des massifs de butée est à la charge de l’entrepreneur. Les massifs sont inclus dans le prix
de fourniture et pose des conduites fonte.
7. Coupe de tuyaux
Il est nécessaire de réaliser pour l'exécution du chantier des coupes droites en ligne ou en atelier. Les
appareils à utiliser sur le chantier sont la tronçonneuse à meule disque ou meuleuse d'angle, et le coupe
tube à molettes.
Ces parements ne devront présenter aucun des défauts suivants : arêtes mal dressées ou épaufrées,
empreintes de panneaux de coffrage, traces de laitance dues à des déformations de coffrage, fissures,
bulles d'air apparentes, reprises visibles de bétonnage.
Toutes les dispositions seront prises pour éviter la ségrégation dans le béton. Un béton ségrégé sera
systématiquement refusé par le Maître d’œuvre.
Pour les arases horizontales d’ouvrages, la finition sera de type balayé au balai de cantonnier dans le sens
transversal avec épaufrure quart de rond sur arêtes.
Les pièces spéciales seront en fonte ductile à joints automatiques de type STANDARD 2GS de Pont à
Mousson ou équivalent pour l’eau potable ou mécanique de type EXPRESS ou verrouillé ou encore à brides.
L’ensemble « Poteau de lutte contre l’incendie » comprend la fourniture d’un clapet de non-retour
contrôlable type « MOREL » de BAYARD ou similaire conforme à la norme NFP 43010 avec certificat de
qualification ND anti-pollution.
1. Essais de pression
Les canalisations, les appareils d'équipement et la robinetterie seront éprouvés dans les conditions prévues
à l’article n° 63 du fascicule n° 71 du CCTG. Les canalisations seront soumises à une pression intérieure
d'eau P égale à la pression caractéristique PMF définie au paragraphe 2.3.4.3 majorée de deux bars. La
pression P ne devra en aucun cas être inférieure à dix bars. Les tronçons d'essai n'excéderont pas 2000 m,
sauf avec l'accord du Maître d’œuvre.
La fourniture de l'eau sera à la charge de l'entrepreneur. Les tronçonnements éventuels ainsi que les
butées d'essais resteront à la charge de l'entrepreneur. La mise en pression sera progressive. Les tronçons
comportant
Une vanne de sectionnement seront essayés vanne ouverte.
L'essai sera considéré comme satisfaisant si les conditions suivantes sont remplies :
1 - La pression d'épreuve ne devra pas baisser de plus de deux dixièmes de bars (0,2 bars). Pendant
toute la durée de l'essai quelle que soit la longueur du tronçon essayé,
2 - Sous la pression d'épreuve, il ne devra être constaté sur le tronçon, ni fissure, ni changement de
couleur, ni fente, ni suintement d'aucune sorte.
En cas d'insuccès de l'épreuve, l'entrepreneur devra exécuter, dans un délai maximum de dix jours après
avoir soumis les dispositions pour approbation au Maître d’œuvre, les réparations ou traitements
nécessaires pour que sa fourniture soit conforme aux prescriptions ci-dessus.
De nouveaux essais seront alors effectués dans les mêmes conditions que ci-dessus. En cas de nouvel
insuccès provenant de l'une des deux conditions requises, la conduite sera refusée. Les tuyaux, joints ou
pièces spéciales défectueux seront immédiatement marqués par le Maître d’œuvre. Ils seront déposés et
remplacés par l'entrepreneur, qui est tenu de reprendre les essais jusqu'à leur plein succès.
3. Essais d’étanchéité
Conformément à l’article 79 du fascicule 71 du CCTG, le maître d’œuvre se réserve le droit de demander à
l’entrepreneur l’exécution, avant la mise en service du réseau, d’un essai d’étanchéité des canalisations.
Cette épreuve portera sur les branches complètes du réseau. Chaque branche à essayer sera soumise à la
pression statique à débit nul du réseau, et on mesurera le volume d’eau « V » qu’il sera nécessaire d’y
introduire pour maintenir cette pression durant 24 heures.
La perte d’eau horaire de la branche v=V/24 ne devra pas dépasser 1/5000° du volume intérieur des
canalisations essayées.
Si cet essai n’était pas satisfaisant, mais si « v » restait inférieur à 1/500° du volume intérieur des
canalisations essayées, l’entrepreneur pourrait demander un délai qui ne pourra être supérieur à 2 mois
pour assurer l’étanchéité du tronçon. A l’expiration de ce délai, il sera procédé à un nouvel essai
d’étanchéité portant sur 24 heures.
Une fois les essais jugés satisfaisants, l’entrepreneur procèdera à la désinfection générale du réseau suivant
les prescriptions du service concessionnaire. Des prélèvements seront alors effectués et donnés à analyser
par l’entrepreneur à un laboratoire agréé. L’entrepreneur réalisera cette opération autant de fois que
nécessaire jusqu’à l’obtention de résultats d’analyses satisfaisants. Ce ne sera qu’à cette issue que
l’entrepreneur pourra procéder aux raccordements du réseau sur le réseau existant.
1. GENERALITES
L’entreprise titulaire du lot assurera la mise en place d’équipements pour la représentation programmée
d’un spectacle aquatique.
Présentation du matériel
Tout le matériel sera défini et proposé au Maître d'Œuvre, avant commande par le présent lot, auprès du
fournisseur concerné.
Le Maître d'œuvre ou son représentant pourra refuser tout matériel ou appareillage qui ne lui apparaîtrait
pas correspondre aux besoins de l'installation ou aux prescriptions du présent descriptif (sans que cette
décision puisse motiver une modification des conditions du marché, de leur application ou provoquer
l'établissement d'un additif).
L'installateur sera tenu pour responsable des délais supplémentaires qui pourraient découler du fait de la
présentation du matériel ou appareillage qui ne serait pas accepté par le Maître d'Œuvre ou son
représentant.
Il devra, en effet, proposer le matériel à l'acceptation suffisamment à l'avance pour éviter tout retard en ce
sens.
Tous les documents devront être transmis au Maître d'Œuvre et au Maître d'Ouvrage.
Pour l'exécution de ses travaux, l'entreprise dressera les dessins d'ensemble et de détails nécessaires à la
définition exacte de tous les éléments de sa construction. Avant de commencer ses travaux, elle est tenue
de relever sur place toutes les dimensions qui lui seront nécessaires pour mener à bonne fin, dans toutes
les règles de l'art, les travaux qui lui sont confiés.
L'entreprise fournira tous ses plans d'exécution, ensembles et délais en nombre et par circuit définis dans le
CCAG. Toute exécution sans accord du Maître d'Œuvre sur les plans est susceptible de modification ou
refus.
Les plans et documents énumérés ci-dessus seront mis à jour et complétés en tenant compte des
modifications intervenues en cours de travaux et seront à l'entière charge et frais de l'entrepreneur.
Les modalités de remise des dossiers et le nombre de dossiers à fournir sont indiqués dans le CCTP.
Au cas où l'entreprise n'obtiendrait pas d'approbation sur l'ensemble de ses documents, elle devra fournir à
nouveau les documents concernés après modifications pour une nouvelle approbation, et ce jusqu'à
l'approbation définitive de l'ensemble de ses documents.
Pendant cette durée, l’entreprise est tenue d’effectuer tous les travaux et corrections nécessaires au
parfait fonctionnement des matériels et installations.
Cette responsabilité entraînera le remplacement de toute pièce défectueuse ou présentant des vices de
construction ou ne donnant pas les caractéristiques voulues ou présentant une usure anormale. Elle restera
responsable de tous les accidents matériels ou corporels qui pourraient résulter de la fabrication ou de
l'installation du matériel ainsi que les dommages et intérêts qui pourraient en résulter.
La garantie sera de 2ans sur les pompes à partir de la première mise en route.
Le Maître d'Ouvrage bénéficiera des différents délais et conditions de garantie attachée à chaque matériel
installé, ces délais pourront être différents d'un matériel à l'autre.
Compte tenu des contraintes d'exploitation, les délais d'intervention devront être réduit au minimum et
explicitement définis dans le contrat de maintenance.
2. DOCUMENTS PARTICULIERS
Tous les ouvrages seront exécutés suivant les règles de l'Art, Normes, DTU et les règles et
recommandations professionnelles en vigueur et devront répondre aux prescriptions techniques et
fonctionnelles comprises dans les textes officiels, notamment :
- Les cahiers des charges D.T.U., les règles de calcul D.T.U. publiés par le C.S.T.B., ainsi que leurs
annexes modificatifs, additifs ou errata, non concernés par les fascicules techniques subvisés.
- Les cahiers des clauses spéciales rattachés au D.T.U. et les mémentos pour la conception, publiés
par le C.S.T.B.
- Les cahiers des charges pour l'exécution des ouvrages non traditionnels.
- Le cahier des clauses administratives générales applicables aux marchés publics
Ce poste comprend la fourniture, le transport et la pose des divers jets d’eau, à hauteur et zone d’arrosage
variable, encastrés au sol pour spectacle aquatique (au moins 6) équipés de projecteur à LED RVB,
connectés à un automate de contrôle y compris socles et supports de pose, bloc fontainerie, récupération
des eaux par caniveaux, cuve de stockage et revêtement de surface adapté.
Cette table d’eau sera composée d’un miroir d’eau (épaisseur de lame d’eau : environ 1cm) avec jets d’eau
et avaloirs. Elle sera dynamique et composée de jets verticaux à hauteur variable de 0 à 2.00 mètres selon
une programmation séquentielle variable jusqu’à 10 minutes.
L’ensemble des animations aquatiques fonctionnera simultanément ou indépendamment. Les jets d’eau
jaillissent depuis des ajutages qui seront indépendant du niveau d’eau et capables d’effectuer des montées
et descente rapide.
Les retombées d’eau (eaux grises) sont récupérées grâce à des caniveaux intégrés ou non au dispositif de
jets d’eau puis recyclées grâce à un système de filtration installé dans le local technique enterré. Un groupe
de filtration à sable garantira une qualité d’eau de baignade.
Il est indispensable que les matériaux utilisés soient de classe anti-vandalisme et circulable aux piétons. Les
équipements devront également résister aux fortes sollicitations des grands rassemblements et autres
sollicitations des émergences de l’espace public.
Les équipements électriques de programmation et de pilotage seront installés dans le local technique
enterré ainsi que les pompes et l’hydraulique.
Les animations se feront par un démarrage lent et progressif des divers effets d’eau pour permettre aux
passants d’évacuer la zone de fontainerie et profiter du spectacle.
Toutes les tuyauteries de liaison entre le local et le mur d’eau seront réalisés en PEHD ou PVC pression
suivant l’application et la nature du terrain. L’ensemble des tuyauteries devra être facilement purgeable.
Concernant le local technique, il comprend la fourniture, le transport et la pose des éléments de plomberie
type nourrice, vannes, filtration à sable + pompe, cuve ou réserve d’eau, analyseur, automate de gestion
DMX, variateurs, armoires électriques et la réalisation d’un local technique enterré ou hors sol ne pouvant
dépasser une hauteur de 1,50m sécurisé par trappe d’accès de classe anti-vandalisme.
La vitesse de refoulement est essentielle à la réussite des effets d’eau, une note de calcul détaillée des
vitesses dans chacune des différentes canalisations devra être fournie par l’entreprise.
La réserve d’eau sera attenante au local et sera équipé d’une pompe de relevage (débit : 5l/s) directement
raccordé au réseau d’assainissement pour en permettre la vidange.
La vidange de la table d’eau s’effectuera par l’intermédiaire d’une vanne installée en dérivation sur le
réseau de refoulement.
L’installation sera conçue de manière à offrir la plus grande souplesse d’utilisation (possibilité de
fonctionnement automatique et manuel avec plages de fonctionnement en variation et en fixe). Elle sera
munie d’un automate programmable avec autonomie de marche pour les effets programmés et
transmetteur pilotage et contrôle à distance.
L’unité de programmation sera composée de matériel résistant aux ambiances humides et installée dans
une armoire indépendante de la distribution de puissance dans le local.
Les pompes de circulation d’eau seront installées dans le local technique. Elles seront de type centrifuge
monobloc avec accouplement direct et seront de marque reconnue et éprouvée.
Le débit et la pression de la pompe feront l’objet de notes de calcul approfondies suivant l’installation et les
pertes de charge relatives au bon fonctionnement du projet. Le débit attendu pour une circulation des
rampes de jets verticaux (ligne de 6 jets) est d’environ 280 L/min à titre indicatif.
Elles seront équipées de tous les accessoires nécessaires à un bon fonctionnement (vannes de réglages,
manchons antivibratoires, …). Elles seront fixées sur un socle béton, aux dimensions adaptés aux fixations
de la pompe. Elles seront protégées par des contacteurs et sonde de niveau interdisant tout
fonctionnement en automatique ou en manuel par manque d’eau.
Les vannes papillons seront conformes à la directive 97/23/CE des équipements sous pression et suivront
les normes EN593 de conception et EN558 d’écartement.
600. IRRIGATION
1. GENERALITES
L'arrosage devra être réalisé de manière adéquate. Il n’y aura pas d’arrosage après des grosses averses et
en période pluvieuse, l’effet recherché étant de favoriser le développement profond du système racinaire
des espèces et leur meilleure tolérance aux conditions du milieu. Par ailleurs, il y aura à prévoir le cas
échéant un arrosage sélectif suivant les espèces et les systèmes mis en œuvre.
Les moyens d'arrosage seront principalement les suivants :
- Mise en place de bouche d’arrosage (clapets-vannes)
Au fur et à mesure de la croissance et pour une période homogène climatiquement, il sera recherché un
espacement des interventions d’arrosage – arrosage que l’on peut considérer comme exceptionnel sauf si
période sèche d’hiver importante, à partir de la fin de la première année d’entretien.
Les systèmes d’arrosage pouvant être utilisés par l’entreprise pendant la période d’entretien sera par des
tuyaux déroulés pour les massifs de faible développement et les engazonnements – les systèmes
propulsant des grosses gouttes d’eau et générant des tassements des sols sont donc proscrits.
Le réseau d'arrosage ne sera pas automatique, l'arrosage se fera de manière manuelle. Un arrosage manuel
depuis des bouches d'arrosage sera possible. L'objectif de l'arrosage manuel est de sensibiliser les équipes
d'entretien aux besoins en eau et à la vie de la plante.
L'arrosage en début et fin de journée est souhaitable afin de limiter l'évapotranspiration des végétaux.
Remarque : pour économiser l'eau il est indispensable de choisir des appareils adaptés à la configuration
du terrain. Ils seront équipés de clapets anti-vidange pour les points bas et de dispositifs de régulation
incorporés pour les rampes de grande longueur.
Ils devront assurer la parfaite liaison des tubes entre eux ou la jonction avec les appareils. Ils seront
mécaniques et non collés. Aucune partie des raccords ne devra être métallique, même galvanisée.
Ce poste comprend :
- La fourniture et la mise en place de régulateurs de pression 1" et 1"1/2 y compris tous accessoires
de montage, de raccordement et toutes sujétions.
Ce disconnecteur antipollution sera raccordé au réseau d’eaux pluviales pour l’évacuation des eaux
polluées.
Cela comprend l'exécution des fouilles en tranchée, la pose de la canalisation, le raccordement, le
remblaiement, y compris tous accessoires de raccordement.
Avant son installation, le disconnecteur doit faire l’objet d’une déclaration d’intention de pose auprès du
concessionnaire : la prestation sera à la charge de l’entrepreneur.
Ce poste comprend :
- La fourniture, la mise en place, y compris tous accessoires décrits ci-dessus et toutes sujétions
1.7. Regards :
Les regards pour équipement de commande seront en PEHD et n'aura pas de fond. Le tampon, de couleur
verte, sera verrouillable. Ils seront de type "JUMBO 24" ou similaire.
Les équipements prévus dans le regard sont :
- Vannes manuelles
- Régulateur de pression
- Filtre à disque
1. GENERALITES
Les fourreaux seront posés accolés et devront respecter les conditions de protection suivantes :
- Tous les passages des fourreaux seront situés sous les trottoirs et sous la chaussée mixte
- Enrobage des gaines avec du béton sous les traversées de voirie
- Respect des distances des autres canalisations
- Pose d’un grillage avertisseur de couleur verte de 0,50 m de largeur sur toute la longueur des
fourreaux
- Les remblais des tranchées seront exécutés après sablage des fourreaux suivant les mêmes
prescriptions que pour les réseaux électriques. Hauteur de couverture minimale 0,80m sous
chaussée et 0,60m sous trottoir.
709. Contrôle
L’entrepreneur devra obtenir de France Télécom un certificat de conformité du réseau après essai et
vérification par le concessionnaire. Ce certificat sera remis au Maître d’Œuvre.
Le contrôle des gaines PVC aura lieu en présence d’un représentant officiel de France Télécom par libre
passage d’un furet pulsé à l’intérieur de ces gaines par air comprimé.
Le compresseur et les furets seront fournis par l’entrepreneur. Les essais sont à la charge de l’entrepreneur
y compris la fourniture du matériel nécessaire et toutes contre visite jusqu’à complète réception.
Toutes les prestations du présent chapitre seront réalisées conformément au CCTG établi par France
Télécom et dont l'entrepreneur est censé avoir pris connaissance.
L’ouverture des tranchées ne pourra être exécutée sur une longueur supérieure à 20 m avant
remblaiement (sauf accord du Maître d’œuvre et du Maître d’ouvrage).
Les déblais réutilisables (matériaux de structures traditionnelles, tout venant, gravats divers) seront triés et
posés en tas ou colonne à proximité des tranchées, les autres matériaux (limons, argile, ETC.) seront
évacués en décharge de l’entreprise.
Le remblaiement se fera par réutilisation des matériaux de surfaces ou matériaux d’apport, préalablement
au reprofilage général de la forme défini dans le chapitre précédent et en accord avec les services
techniques de la ville.
L’entrepreneur du Lot VRD devra prendre toutes dispositions nécessaires pour que les ouvrages soient
exécutés à sec, et assurer l’évacuation des eaux de toutes natures et sera en toutes hypothèses
responsables des éboulements qui pourraient subvenir. Dans ce cas, il rétablira dans les conditions initiales
et à ses frais, les parties de terrain éboulées. Il devra étayer ses fouilles selon les directives de l’OPPBTP. Ces
étaiements et blindage étant compris dans les prix composés forfaitaires, ils ne donneront pas lieu à une
majoration du prix forfaitaire.
Ces essais seront de type « pénétromètre dynamique à main » (PANDA ou autre) ils seront réalisés par un
technicien confirmé appartenant à un bureau d’études indépendant.
Les valeurs et les conclusions des essais de compactage devront être fournies au Maître d’œuvre et au
Maître d’ouvrage avant réalisation des structures de chaussées et dans un délai permettant au maître
d’œuvre d’interpréter les résultats avant la réalisation des structures de chaussées.
Ces essais seront réalisés sur toute la hauteur de la tranchée jusqu’au niveau du sable, et seront répartis
uniformément tout au long de la tranchée. Ils seront réalisés à l’axe de la tranchée et selon les répartitions
suivantes :
900. MOBILIER
1. GENERALITES
Les orientations prises dans le choix du mobilier sont de privilégier la fabrication locale Réunionnaise.
Les mobiliers devront recevoir une protection anti-corrosion avant thermolaquage, teinte RAL laissée au
choix de du MOA et MOE.
Le mobilier doit être conforme au carnet de détail mais peut évoluer en dimension structurelle suivant les
études de dimensionnement à la charge de l’entreprise.
La pose de l’ensemble du mobilier comprend :
- Implantation des ouvrages
- Terrassements généraux en déblais pour la création des fondations
- Le pré-perçage des éléments à assembler.
- La pose et le scellement du mobilier
902. Potelets
Fourniture et mise en place de y compris fondation. Potelet à boule fixe hauteur hors sol 0,90m :
- Potelet à boule fixe ø76 mm
Certains segments de bloc béton de 2m de longueur présentent une assise bois. Des pièces de fixations (en
acier galvanisé) permettent de fixer les assises sur le bloc béton.
Les lattes de bois sont en cryptomeria de segments de 80 x 34 mm, de longueur 1490 mm. Leurs bords sont
chanfreinés sur tous les angles.
D’autres segments de 2m de longueur présentent une assise bois et un dossier.
Ces assises bois sont positionnées dans la rue Buschère et la venelle des amoureux.
Sur la profondeur totale des murets, fourniture et pose de 2 planches de bois sur toute la longueur. Ces
planches, posées parallèlement l’une de l’autre, auront les dimensions suivantes : 19,50 x 3,00 x 200 cm.
916. Corbeille
Corbeille en acier, ajourée vigipirate avec 30% de vide. Afin de protéger la corbeille de la pluie, le couvercle
ne devra pas présenter d’ouverture et devra être plein.
Fixation sur massif via des chevilles standard pour les sols durs (béton)(Type SPIT ou autre)
Fixation via piquet d’encrage de type chez « RISS » Diam 18 long 300 pour les sols mous (Terre, Gazon)
De type Iliade de Studio TF
Hauteur : 98.1 cm
Diamètre : entre 54.8 et 50.5 cm
RAL : 7016
Poids : 43 kg
110 litres
917. Appui-vélos
Support vélo en acier galvanisé à chaud, épais (acier auto-patinable, classe A), de type CorTen Bicycle Racks
de StreetLife.
Fixation sur des barres de connexion sous le niveau du sol pour créer un espacement régulier. Les appuis-
vélos peuvent être placés dans le sol ou dans du béton.
Le prix comprend, en plus de la fourniture, la pose et les systèmes de fixation au sol, les massifs de
fondation en béton et la remise en état des abords.
Réalisation d’une structure bois de 2.50m de hauteur, composée de poteaux et poutres bois suivant plan et
détails en annexes.
Les poteaux bois sont espacés de 3,00m de part et d’autre de la venelle des amoureux, et de 4,20m le long
du chemin.
Système de résistance au vent.
Ossature composée de :
Cadres avec poteaux sur platines et traverses hautes et basses en bois exotique naturellement classe IV.
- Dimensions suivant plans
- Poteaux bois 20 x 20
- Lambourdes horizontales 15 x 15 et 10
- Contreventement
- Toutes pièces de bois seront rabotées
- Fixation acier galvanisé
- Fixation sur plot béton à la charge du présent lot.
Il sera dû au titre du présent article toutes sujétions d'exécution, de contreventement et de fixation. Les
massifs béton seront réalisés par le présent lot, les sections seront à remettre à l'entreprise, la solidité de la
fixation sera à soumettre au bureau de contrôle
Protection au feu : pas d’obligations particulières. Les normes suivantes relatives aux bois de construction :
- NF EN 332 : Bois de structure. Classe de résistance (Indice de classement P 21. 553)
- NF EN 518 : Bois de structure. Exigences pour les normes de classement visuel de résistance (Indice
de classement P 21. 357)
- NF EN 519 : Bois de structure. Classement Spécifications pour le bois classé par machine et sa
résistance et les machines à classer.
- NF EN 1194 : Structure bois. Bois lamellé collé. Classe de résistance et détermination des valeurs
caractéristiques (Indice de classement P 21.354)
- NF EN 1912 : Bois de structure. Classe de résistance. Affectation des classes nouvelles et des
essences (Indice de classement P 21.395)
- Arrêté du 16 février 2010 modifiant l’arrêté du 27 juin 2006 relatif à l’application des articles R. 112-
2 à R. 112-4 du code de la construction et de l’habitation
Surcharges climatiques
- Climat tropical, humide, marin,
- Au sens de la NF EN 1991-1-4 : Vitesse de référence du vent Vb=34m/s ; catégorie de terrain III b
suivant lot n°0.
- Précipitation : 4,5 l/m²/min
Surcharges d'exploitation
Suivant les normes NF EN 1990 et 1991 et Annexes Nationales.
Essais et controles
ESSAIS
Les essais suivant les normes ci-dessus. Les P.V. d'essais sont à transmettre au concepteur et au bureau de
contrôle.
AUTO-CONTROLES
Conformément aux règles et normes ci-dessus, les entreprises doivent justifier leurs autocontrôles sur des
documents écrits, en particulier pour :
- Le contrôle des fixations de couverture,
- Le contrôle des serrages de boulons - écrous,
- Le contrôle des étanchéités.
TOLERANCES - DEFORMATIONS
Selon règlementations ci-dessus
Signatures
L’entrepreneur aura pris connaissance de ce document et s’engage à respecter les prescriptions notifiées
dans celui-ci, ainsi que leurs applications sans réserve.
Fait à : Le :
LE MAITRE D’ŒUVRE
Pour visa